Le Monteil (Cantal)

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Le Monteil
Le Monteil (Cantal)
Vue générale du Monteil.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Cantal
Arrondissement Mauriac
Intercommunalité Communauté de communes Sumène Artense
Maire
Mandat
Jean-Michel Hojak
2020-2026
Code postal 15240
Code commune 15131
Démographie
Gentilé Montellois, Montelloises
Population
municipale
276 hab. (2021 en augmentation de 1,47 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 17′ 56″ nord, 2° 30′ 01″ est
Altitude Min. 553 m
Max. 1 022 m
Superficie 23,47 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Ydes
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Le Monteil
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Le Monteil
Géolocalisation sur la carte : Cantal
Voir sur la carte topographique du Cantal
Le Monteil
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Le Monteil

Le Monteil est une commune française, située dans le département du Cantal en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Créée sous le nom de Chastel, puis Chastel-Marlhac, elle adopte le nom Le Monteil en 1903 à la suite du transfert du chef-lieu de la commune vers ce hameau[1].

Ses habitants sont nommés les Montellois et les Montelloises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Cartographies de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

Le Monteil est un petit village situé au centre de la France, dans le département du Cantal et la région Auvergne. Il appartient à l'arrondissement de Mauriac et au canton d'Ydes.
L'altitude de la mairie est de 800 mètres environ. La superficie du Monteil est de 23,47 km2. Sa latitude est de 45.299 degrés nord et sa longitude de 2.5 degrés est[2].
La commune est située à 11,5 km au sud de Bort-les-Orgues, 31,6 km au sud-est d'Ussel, 83 km au nord-est de Tulle, 41,6 km au nord d'Aurillac et à 70,2 km au sud-ouest de Clermont-Ferrand[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Saignes Vebret La Monselie Rose des vents
Sauvat N Menet
O    Le Monteil    E
S
Auzers Trizac


Liste des communes limitrophes :

Le MonteilLe Monteil
Saignes (4,4 km)
Auzers (4,8 km)
Vebret (4,9 km)
Sauvat (4,9 km)
La Monselie (5,3 km)
Trizac (5,9 km)

Hameaux[modifier | modifier le code]

  • Auteroche
  • Belière
  • Bournioux
  • Chastel-Marlhac
  • Chastenat
  • Dijon
  • Jalanhac
  • la Brugeire
  • la Cartelade
  • la Gane
  • la Grange
  • la Maison Neuve
  • la Pouvrière
  • la Roche
  • la Serre
  • Lagat
  • Lazeroux
  • le Cheix
  • le Fageol
  • le Trieu
  • Milange
  • Milhac
  • Pérignac
  • Ribes
  • Saint-Victor
  • Trappes
  • Varagne
  • Ventèjes

Géologie[modifier | modifier le code]

La commune est située sur la bordure nord-ouest d'un plateau volcanique : la planèze de Trizac. Il s'agit d'une coulée basaltique issue du Suc de Rond (en occitan, Puech Redon)[4].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Plusieurs ruisseaux prennent leur source sur le territoire du Monteil, ce sont les ruisseaux de la Roche, des Gouttes, de Lagrange et d'Auteroche.
Le territoire de la commune est bordé à sa limite nord-est à proximité de Chastel-Marlhac par le Violon, affluent de la Sumène et sous-affluent de la Dordogne.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 369 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Saignes à 4 km à vol d'oiseau[7], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 987,0 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Transports[modifier | modifier le code]

Accès par l'autoroute A89 par la sortie Sortie 23 Ussel-Ouest à 43 km au nord-ouest ou par la sortie Sortie 25 Bort-les-Orgues à 58 km au nord-est en rejoignant Bort-les-Orgues puis Saignes.
Le village se situe sur la D 30 qui relie Saignes à Trizac.
Les aéroports les plus proches sont Clermont-Ferrand[11] et Aurillac[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Monteil est une commune rurale[Note 1],[13]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 1],[I 2].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (82,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (73,8 %), forêts (15 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %), zones urbanisées (1,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 273, alors qu'il était de 272 en 2013 et de 252 en 2008[I 3].

Parmi ces logements, 51,9 % étaient des résidences principales, 40,7 % des résidences secondaires et 7,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 97,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 2,2 % des appartements[I 4].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Monteil en 2018 en comparaison avec celle du Cantal et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (40,7 %) supérieure à celle du département (20,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 81,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (83,7 % en 2013), contre 70,4 % pour le Cantal et 57,5 pour la France entière[I 5].

Le logement au Le Monteil en 2018.
Typologie Le Monteil[I 3] Cantal[I 6] France entière[I 7]
Résidences principales (en %) 51,9 67,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 40,7 20,4 9,7
Logements vacants (en %) 7,3 11,9 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Également mentionnée sous le simple nom de Monteil[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Créée sous le nom de Chastel, puis Chastel-Marlhac, elle adopte le nom Le Monteil en 1903 à la suite du transfert du chef-lieu de la commune vers ce hameau[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1793 1796 Jean Rouchy    
1796 1798 Jean Sabatier   Agent, sous la tutelle de Pierre Barrier, président du canton.
1798 1800 Victor Bagilet   Agent, sous la tutelle de Pierre Barrier, président du canton.
1800 1810 Antoine Ferrif    
1810 1821 Antoine Valmier    
1821 1842 Jean Sabatier    
1842 1843 Antoine Raynal   Adjoint, le maire décédé.
1843 1848 Pierre Sabathier    
1848 1848 Pierre Raynal    
1848 1855 Antoine Dumas    
1855 1867 Jean-Baptiste Rouchy    
1867 1867 François Dumas    
1867 1874 Jean Dumas    
1874 1876 François Dumas    
1876 1890 François Sabatier    
1890 1900 Léon Rouchy    
1900 1903 François Sabatier    
1903 1912 Antoine Ferrif    
1912 1914 Pierre Léon Sabatier    
1914 1917 Frédéric Rivet   Conseiller, le maire et l'adjoint mobilisés.
1917 1919 Antoine Chalvignac    
1919 1965 Pierre Léon Sabatier    
1965 1977 Pierre Alphonse Rayna    
1977 1995 René Clavel    
1995 2001 Thierry Tible    
2001 2008 Michel Rebillon    
2008 2014 Jacques Rongier    
2014 2020 Jacques Rivet[18] SE Retraité
2020 En cours Jean-Michel Hojak    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].

En 2021, la commune comptait 276 habitants[Note 2], en augmentation de 1,47 % par rapport à 2015 (Cantal : −1,36 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1328981 1371 1731 2691 2721 3341 4251 322
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 3351 3171 3021 2871 2191 2981 3401 2591 250
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2101 2521 319901988907824750670
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
606539421378301274270269263
2017 2021 - - - - - - -
285276-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique


Répartition de la population en 1999 :

  • 49,6 % d'hommes et 50,4 % de femmes


Répartition de la population en 2007 :

  • 48,7 % d'hommes et 51,3 % de femmes
  • Célibataires : 30,7 %
  • Couples mariés : 48,3 %
  • Divorcés : 7,1 %
  • Veuves/Veufs : 13,9 %
Population par sexe et âge en 2008 (source=INSEE[22])
Hommes % Femmes %
Ensemble 127 100,0 134 100,0
0 à 14 ans 16 12,2 15 10,9
15 à 29 ans 16 13,0 12 8,7
30 à 44 ans 19 15,3 20 15,2
45 à 59 ans 36 28,2 32 23,9
60 à 74 ans 30 23,7 28 21,0
75 à 89 ans 9 6,9 2 18,1
90 ans ou plus 1 0,8 3 2,2
0 à 19 ans 22 17,6 17 13,0
20 à 64 ans 78 61,1 64 47,8
65 ans ou plus 27 21,4 52 39,1

Économie[modifier | modifier le code]

L'économie locale est principalement basée sur l'agriculture et le tourisme. On y pratique essentiellement l'élevage et principalement de bovins, mais aussi d'autres espèces dans une moindre mesure

Le taux de chômage en 2007 était de 9,6 % et en 1999 il était de 16 %.
Les retraités et les préretraités représentaient 37,2 % de la population en 2007 et 38,7 % en 1999.
Le taux d'activité était de 73,1 % en 2007, contre 63,9 % en 1999.

Population de 15 ans ou plus ayant un emploi selon le statut en 2008 (source = Insee 2008[23])
Nombre % dont % temps partiel dont % femmes
Ensemble 103 100,0 23,6 43,4
Salariés 57 55,7 35,6 49,2
Non-salariés 46 44,3 8,5 36,2
Statut et conditions d'emploi en 2008 (source = Insee 2008[23])
Hommes % Femmes %
Ensemble 58 100,0 45 100,0
Salariés 29 50,0 28 63,0
Titulaires de la fonction publique et contrats à durée indéterminée 22 38,3 20 45,7
Contrats à durée déterminée 2 3,3 5 10,9
Intérim 3 5,0 0 0,0
Emplois aidés 0 0,0 3 6,5
Apprentissage - Stage 2 3,3 0 0,0
Non-salariés 29 50,0 16 37,0
Indépendants 20 35,0 7 15,2
Employeurs 9 15,0 10 21,7
Aides familiaux 0 0,0 0 0,0
Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la zone (source = Insee 2008[23])
2008 % 1999 %
Ensemble 103 100,0 90 100,0
dans la commune de résidence 52 50,9 49 54,4
dans une commune autre que la commune de résidence 50 49,1 41 45,6
- située dans le département de résidence 31 30,2 27 30,0
- située dans un autre département de la région de résidence 4 3,8 1 1,1
- située dans une autre région en France métropolitaine 15 14,2 13 14,4
- située dans une autre région hors de France métropolitaine (Dom, Com, étranger) 1 0,9 0 0,0

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste.

Près d'une trentaine d'édifices figurent à l'inventaire général du patrimoine culturel[24] notamment :

  • l'église Saint-Victor-et-Sainte-Madeleine située dans le hameau de Chastel-Marlhac est un édifice du XIIe siècle inscrit à l'inventaire des monuments historiques depuis 1963[25] ;
  • l'église paroissiale Saint-Jean-Baptiste est construite à la fin du XIXe siècle dans le hameau du Monteil[26] ;
  • plusieurs maisons et fermes des XVIIIe et XIXe siècles.

L'ancien oppidum de Meroliacense castrum est un plateau basaltique situé près du hameau de Chastel-Marlhac dont l'occupation en tant que site défensif daterait de l'antiquité. Il a été mentionné par Grégoire de Tours[27].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • La famille Chappe, d'où sont sortis Jean Chappe, de l'académie des sciences, et l'inventeur des télégraphes, Claude Chappe, était originaire de Dijon, un petit hameau dépendant de Le Monteil, à 2 km de celui-ci. Elle se fixa à Mauriac en 1674[28].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  2. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  3. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 au Le Monteil » (consulté le ).
  4. « Chiffres-clés - Logement en 2018 au Le Monteil - Section LOG T2 » (consulté le ).
  5. « Chiffres-clés - Logement en 2018 au Le Monteil - Section LOG T7 » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Cantal » (consulté le ).
  7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. [1]
  3. [2] Localisation Interactive, Orthodromie et Navigation
  4. Canton de Saignes (Cantal) Marceline Brunet, Lionel Sauzade, Isabelle Védrine, Maryse Durin-Tercelin, édité par l'association étude du patrimoine auvergnat. 1999, 88 p. (ISBN 2-9055-5418-5)
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Le Monteil et Saignes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Saignes », sur la commune de Saignes - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Saignes », sur la commune de Saignes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. Le site de l'aéroport de Clermont-Ferrand
  12. Le site de l'aéroport d'Aurillac
  13. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  17. Dictionnaire statistique du département du Cantal. paru en 1824, réédité par le livre d'histoire-Lorisse (ISBN 2-8776-0693-7)
  18. Liste des maires du Cantal sur le site de la préfecture (consulté le 27 octobre 2014).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Insee - Résultats du recensement de la population - 2008 - Le Monteil
  23. a b et c [3]
  24. « Liste des notices pour la commune du Monteil », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  25. « Église Saint-Victor et Sainte-Madeleine de Chastel-Marlhac », notice no PA00093553, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  26. « Église paroissiale Saint-Jean-Baptiste », notice no IA15000034, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  27. Yveline David, « Le plateau de Chastel-Marlhac conserve, aujourd’hui encore, tout son mystère », sur www.lamontagne.fr, (consulté le )
  28. Dictionnaire statistique ou Histoire, description et statistique du département du Cantal. - Vol. III (CAP-LAS) - Jean-Baptiste de Ribier du Châtelet, Association cantalienne, Aurillac - 1855.