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Corent

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Corent
Corent
Vestiges valorisés de l'oppidum de Corent.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Puy-de-Dôme
Arrondissement Clermont-Ferrand
Intercommunalité Communauté de communes Mond'Arverne Communauté
Maire
Mandat
Thierry Julien
2020-2026
Code postal 63730
Code commune 63120
Démographie
Population
municipale
764 hab. (2021 en évolution de +7,76 % par rapport à 2015)
Densité 285 hab./km2
Population
agglomération
10 656 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 40′ 05″ nord, 3° 11′ 43″ est
Altitude Min. 330 m
Max. 610 m
Superficie 2,68 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Veyre-Monton
(banlieue)
Aire d'attraction Clermont-Ferrand
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Martres-de-Veyre
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Corent
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Corent
Liens
Site web http://corent.fr

Corent est une commune française située dans le département du Puy-de-Dôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand.

Géographie

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Localisation

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Le bourg est situé sur le flanc oriental du puy de Corent, sur la rive gauche de l'Allier.

Cinq communes sont limitrophes de Corent[1] :

Géologie et relief

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Le puy de Corent est partagé entre les communes de Veyre-Monton (où se trouve, au sud-ouest, le point culminant, à 621 m) et de Corent. La partie du plateau qui dépend de Corent, au nord-est, est plus petite et moins élevée (autour de 560 m) ; c'est sur cette partie que se trouve le site archéologique de l'oppidum de Corent.

Corent est un village de vignerons ; les vignes sont principalement situées sur le versant sud du puy. Il fait partie du vignoble des côtes-d'auvergne.

Le territoire communal est traversé par les routes départementales 96 (reliant Authezat au sud et Longues, village de la commune de Vic-le-Comte, au nord-est) et 786 (reliant le village de Soulasse, commune de Veyre-Monton, à la D 96)[1].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 828 mm, avec 8,7 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Plauzat_sapc », sur la commune de Plauzat à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 606,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Au , Corent est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de Veyre-Monton[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant quatre communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[10]. Cette aire, qui regroupe 209 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (47,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (47,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (29,3 %), forêts (24,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (23,3 %), zones agricoles hétérogènes (16,5 %), terres arables (6,6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Protohistoire et Antiquité (du Néolithique à l'époque gallo-romaine)

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La commune de Corent abrite les restes d'un important oppidum gaulois, sur un site qui fut occupé dès le Néolithique. Au regard des fouilles effectuées[14], le site présente une longue occupation. Le Néolithique est représenté par un site palissadé et une sépulture collective un peu plus récente. L'âge du Bronze est abondamment illustré par des découvertes d'objets métalliques de toutes les étapes de cette époque et surtout par les vestiges d'une vaste agglomération datée de la fin de l'âge du Bronze final (Xe et IXe siècles), une des plus étendues que l'on connaisse en France. Cette agglomération rassemble de nombreuses habitations sur poteaux plantés et centrées sur un foyer en argile. Les fouilles ont permis d'observer régulièrement de petits dépôts volontaires (épingle, bracelet, os de faune), sans doute rituels, sous ces foyers. Après un court abandon, une nouvelle agglomération est aménagée vers 600 av. J.-C. Abandonnée à la suite d'un incendie, elle présente des vestiges bien conservés, en particulier des séries de vases écrasés en place qui constituent aujourd'hui le corpus le plus important connu pour la période. Puis le site ne fait plus l'objet que de fréquentations jusqu'à la fin du IIe siècle av. J.-C. Il semble que l'oppidum de Corent ait été alors la capitale des Arvernes avant Gergovie. Les fouilles récentes ont retrouvé les traces d'un important sanctuaire, avec certaines pièces exceptionnelles, telle une gravure représentant le sanctuaire en élévation, mis au jour en 2001[15]. Les découvertes archéologiques ont aussi confirmé les textes antiques sur les banquets et distributions organisées par les rois arvernes comme Luernios ou Bituitos. Les fouilles ont aussi mis en évidence, à proximité de la place se situant devant le sanctuaire, un habitat aristocratique présentant des signes de romanisation antérieurs à la conquête. Des travaux d'aménagement du site ont entraîné en la découverte d'un trophée gaulois révélant des umbo de bouclier, une cotte de mailles et des éléments d'une enseigne militaire. L'équipe de Matthieu Poux, de l'université Lumière-Lyon II, a mis au jour les restes d'un bâtiment constitué de gradins en bois d'une vingtaine de mètres de diamètre, construit entre le IIe et le Ier siècle av. J.-C. Cet édifice, construit sur le modèle du bouleutérion grec, avec son parterre central en U entouré de gradins pourrait être la salle de réunion du Sénat gaulois évoqué par Jules César[16].

En , un important ensemble de silos à grains est découvert, également par l'équipe de Matthieu Poux[17].

Époque moderne et contemporaine

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Le village actuel de Corent s'installe à cet endroit au Moyen Âge. Il dépend de la paroisse voisine d'Authezat.

À la Révolution, Corent est rattaché aux Martres-de-Veyre et ne devient une commune autonome qu'en 1875.

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Corent est membre de la communauté de communes Mond'Arverne Communauté, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le siégeant à Veyre-Monton, et par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[18]. Jusqu'en 2016, elle faisait partie de la communauté de communes Gergovie Val d'Allier Communauté[19].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Clermont-Ferrand, à la circonscription administrative de l'État du Puy-de-Dôme et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[10].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Martres-de-Veyre pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[10], et de la quatrième circonscription du Puy-de-Dôme pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[20].

Élections municipales et communautaires

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Élections de 2020

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Le conseil municipal de Corent, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[21] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[22]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. La totalité des quinze candidats en lice est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 44,81 %[23].

Chronologie des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1876 1886 le baron d'Arbelles    
1886 1900 Jean Vassias    
... ... ... ... ...

(réélu en 2020)
En cours
(au )
Thierry Julien[24]   Technicien supérieur[25]

Équipements et services publics

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Enseignement

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Corent dépend de l'académie de Clermont-Ferrand. Elle gère une école primaire publique[26].

Les élèves poursuivent leur scolarité au collège Jean-Rostand, aux Martres-de-Veyre[27], puis au lycée René-Descartes, à Cournon-d'Auvergne pour les filières générales et sciences et technologies du management et de la gestion, ou au lycée La-Fayette, à Clermont-Ferrand, pour la filière sciences et technologies de l'industrie et du développement durable[28].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1876. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 764 habitants[Note 4], en évolution de +7,76 % par rapport à 2015 (Puy-de-Dôme : +2,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
665644620602629572522499442
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
455394389318309315317395514
1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 - -
533568641662703766764--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Ruines du donjon de Chalus-les-Bussières (attesté au XIIIe siècle).
  • Ancien moulin de Chazeron (bâtiment cylindrique).
  • Église.
  • Croix de Saint-Verny.
  • Grottes de Corent (habitat troglodytique) : deux grottes creusées dans la falaise qui domine le village ; la plus grande a été aménagée avec des éléments maçonnés.
  • Carrière de pouzzolane du Roc rouge.

Personnalités liées à la commune

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Veyre-Monton comprend trois villes-centres (Les Martres-de-Veyre, Mirefleurs et Veyre-Monton) et une commune de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a et b Carte de Corent sur le site Géoportail de l'IGN (consulté le 29 octobre 2016).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Corent et Plauzat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Plauzat_sapc », sur la commune de Plauzat - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Plauzat_sapc », sur la commune de Plauzat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de Veyre-Monton », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Corent ».
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Clermont-Ferrand », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Site détaillant les recherches archéologiques à Corent », sur luern.fr (consulté le ).
  15. [Poux et al. 2005] Matthieu Poux, Matthieu Demierre, Magali Garcia et Guillaume Verrier, « Une esquisse de sanctuaire gaulois », L'Archéologue / Archéologie nouvelle, no 76,‎ , p. 52-55.
  16. M. Poux et al., « Corent, rapport de fouilles », 2011.
  17. « Un énorme site gaulois de stockage de grains découvert en Auvergne », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
  18. « CC Mond'Arverne Communauté (No SIREN : 200069177) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  19. « CC Gergovie Val d'Allier Communauté (No SIREN : 246300933) », sur la base nationale sur l'intercommunalité, (consulté le ).
  20. « Découpage électoral du Puy-de-Dôme », sur Politiquemania (consulté le ).
  21. Article L. 252 du Code électoral.
  22. « Municipales : le mode de scrutin dans les communes de moins de 1 000 habitants », sur vie-publique.fr, .
  23. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  24. « Liste des Maires du Puy-de-Dôme », sur amr63.asso.fr, Association des maires ruraux du Puy-de-Dôme (consulté le ).
  25. Supplément « Annuaire des maires Puy-de-Dôme », La Montagne, , p. 26 (édition du Puy-de-Dôme).
  26. Annuaire des établissements scolaires de Corent, sur education.gouv.fr, Ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).
  27. « Sectorisation », sur puy-de-dome.fr, Conseil départemental du Puy-de-Dôme (consulté le ). Taper « CORENT » dans le formulaire de saisie.
  28. Direction des services départementaux de l'Éducation nationale du Puy-de-Dôme, « Sectoriation des lycées - Département du Puy-de-Dôme » [PDF], sur ac-clermont.fr, Académie de Clermont-Ferrand (consulté le ), p. 5.
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.