Chanay
Chanay | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Ain | ||||
Arrondissement | Nantua | ||||
Intercommunalité | CC Terre Valserhône l'interco | ||||
Maire Mandat |
Élisabeth Jeambenoit 2023-2026 |
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Code postal | 01420 | ||||
Code commune | 01082 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chanerus | ||||
Population municipale |
616 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 34 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 00′ 23″ nord, 5° 46′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 260 m Max. 1 184 m |
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Superficie | 18,10 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Genève - Annemasse (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Valserhône | ||||
Législatives | 3e circonscription de l'Ain | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ain
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-chanay.fr/ | ||||
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Chanay est une commune française, située dans le département de l'Ain en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]Chanay se trouve dans le Bugey, à 36 km à vol d'oiseau au sud-ouest de Genève, 30 km au nord-ouest d'Annecy, 50 km au nord de Chambéry, 35 km à l'est d'Ambérieu-en-Bugey et 23 km de Nantua.
Le sentier de grande randonnée GR 9, confondu avec le GR 509, passe dans l'ouest du territoire communal.
Chanay fait partie de l'Aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), de la zone d'emploi du Genevois français et du bassin de vie de Seyssel[I 1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Surjoux-Lhopital | ||||
Haut Valromey | N | Challonges (Haute-Savoie) Bassy (Haute-Savoie) | ||
O Chanay E | ||||
S | ||||
Corbonod |
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 18,10 km2 ; son altitude varie de 260 à 1 184 mètres[1].
Le col de Richemond est un col du massif du Jura, situé à 1 036 m d'altitude entre Valromey (vallée du Séran au sud-ouest) au Genevois français (vallée du Rhône au nord-est).
Hydrographie
[modifier | modifier le code]Le lit du fleuve Rhône constitue la limite est du territoire communal.
La Dorches, qui limite au sud le territoire communal, est un affluent du Rhône.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 390 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Usinens Sa », sur la commune d'Usinens à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 985,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Chanay est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[9],[10].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (76,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (77,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (67,8 %), prairies (14,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8,3 %), terres arables (4,6 %), zones urbanisées (3 %), eaux continentales[Note 2] (1,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,1 %)[11].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Lieux-dits, hameaux et écarts
[modifier | modifier le code]Six hameaux sont implantés sur la commune de Chanay. Bocconod et Vovray sur les premières pentes du crêt du Nû, respectivement à 600 m à l'ouest et à 1 500 m au nord-ouest du bourg. Chêne à 1 000 m au sud, Contamines à 1 000 m à l'est, Dorches à 1 200 m au sud en descendant vers le Rhône, le long de la rivière du même nom, ancien grand nœud routier jusqu'au début du XXe siècle, et Pyrimont au bord du Rhône.
Habitat et logement
[modifier | modifier le code]En 2015 et 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 300, alors qu'il était de 295 en 2010[I 2]. Parmi ces logements, 77,8 % étaient des résidences principales, 11,8 % des résidences secondaires et 10,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 77,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 22,8 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Chanay en 2020 en comparaison avec celle de l'Ain et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (11,8 %) supérieure à celle du département (5,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %).
Typologie | Chanay[I 3] | Ain[I 4] | France entière[I 5] |
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Résidences principales (en %) | 77,8 | 86,3 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 11,8 | 5,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 10,4 | 8,2 | 8,2 |
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]La commune est desservie par l'ancienne route nationale 491 (actuelle RD 991) reliant Mijoux à Chambéry.
La ligne de Lyon-Perrache à Genève (frontière) passe le long du Rhône, mais la gare de Pyrimont - Chanay est fermée. La station de chemin de fer la plus proche est la gare de Seyssel - Corbonod, desservie par des trains TER Auvergne-Rhône-Alpes.
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le toponyme Chanay est issu du gaulois cassanos signifiant chêne[12].
Histoire
[modifier | modifier le code]Ancien Régime
[modifier | modifier le code]Paroisse (Mons Chanisium, curatus de Chagnay, Chanei) sous le vocable de saint Victor. Vers 935, le comte Albitius et sa femme Odda donnèrent à l'abbaye de Nantua la montagne de Chanay, qui était leur terre de chasse. Les religieux de Nantua firent sans doute bâtir l'église mère de Chanay, car le patronage leur en fut confirmé par sentence de l’archevêque Renaud de Forez, en 1198.
Ce droit de patronage passa dans la suite aux évêques de Genève, qui nommaient à la cure aux derniers siècles.
Chanay formait deux seigneuries : celle de Chanay proprement dite et celle de Chanay-d’Izernore. La première, qui comprenait la plus grande partie de la commune, est relativement moderne, car elle ne fut inféodée qu'en 1584, par Charles-Emmanuel Ier, duc de Savoie, à Galois de Vignod, seigneur de Dorches dont les premiers seigneurs firent construire le château fort à la fin du XIe siècle. Les héritiers de Galois de Vignod la possédèrent une cinquantaine d'années indivise entr'eux, puis, jusque dans les premières années du XVIIIe siècle, avec la famille Constantin de Seyssel, qui l'acquit alors en totalité, ainsi que Chanay d’Izernore, et la possédait encore lors de la convocation des États généraux.
Époque contemporaine
[modifier | modifier le code]Dès 1885, les habitants des rives du Rhône demandent le remplacement du bac à traille qui assure le franchissement du fleuve, par un pont[13]. Le pont de Pyrimont est construit de à [13] et est inauguré en 1907[14]. Dans la nuit du 19 au , le pont est détruit par l'armée française, qui tente ainsi de retarder l'avancée allemande, lors de la bataille de France[14]. Le bac à traille reprend alors du service, ceci jusqu'au début des années 1950 et la construction du second pont de Pyrimont.
-
Construction du premier pont de Pyrimont
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Le Rhône et le pont, en 1934.
Au cours de la Seconde Guerre mondiale, le col de Richemond a abrité[15] un des plus importants maquis de l'Ain et du Haut-Jura. À son sommet, une stèle commémore les maquisards du col de Richemond.
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Stèle du maquis de Richemond.
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Stème sur la mairie, à la mémoire de la rafle du .
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs et électoraux
[modifier | modifier le code]Rattachements administratifs
[modifier | modifier le code]La commune se trouvait dans l'arrondissement de Belley du département de l'Ain jusqu'en 2017, année où elle intègre l'arrondissement de Nantua[I 1].
Elle faisait partie depuis 1793 du canton de Seyssel[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
[modifier | modifier le code]Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Valserhône[I 1]
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la troisième circonscription de l'Ain depuis le dernier découpage électoral de 2010[16].
Intercommunalité
[modifier | modifier le code]Chanay est membre de la communauté de communes dénommée Terre Valserhône l'interco[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
L'intercommunalité a porté les noms de communauté de communes du Bassin Bellegardien puis de communauté de communes du Pays Bellegardien avant de prendre sa dénomination actuelle en 2024.
Liste des maires
[modifier | modifier le code]Équipements et services publics
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Chanay accueille sur son territoire, un des principaux centres cliniques de la Mutuelle générale de l'Éducation nationale (MGEN), qui traite les problèmes de santé liés à l'adolescence. Ce centre est installé dans le Château des Quinsonnas, au centre du Bourg.
Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[22].
En 2021, la commune comptait 616 habitants[Note 3], en évolution de −3,75 % par rapport à 2015 (Ain : +4,96 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Ruines du château de Dorches Inscrit MH (1927)[24]. Les ruines situées à 2 km au sud-sud-est du bourg, sont les restes du château élevé vers 1116 par les sires de Balmey qui en prennent alors le nom. En 1257, Hugonet de Dorche en rend hommage au comte de Savoie[25].
- Anciennes mines et usine d'asphalte au hameau de Pyrimont.
- Château de Chanay du XIVe siècle, reconstruit au XIXe siècle Inscrit MH (1987, Partiel)[26]. Cette ancienne maison forte de Chanay-d'Izernore est bâtie par Philippe de Bussy vers 1350. Restauré par le comte de Quinsonas, il est considéré comme l'un des plus beaux du Bugey.
- Château des Quinsonnas.
- Col de Richemond.
- Église Saint-Victor de Chanay.
- La statue de la Vierge, érigée en 1856, et qui porte une plaque commémorative des habitants morts pour la patrie lors de la Guerre franco-allemande de 1870,
-
Donjon du château de Dorches.
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Le château de Quinsonnas.
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L'église Saint-Victor.
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Le monument aux morts.
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La statue de la Vierge.
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Chanay - Section LOG T1 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 à Chanay - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans l'Ain - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2020 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chanay et Usinens », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Usinens Sa », sur la commune d'Usinens - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Usinens Sa », sur la commune d'Usinens - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Henriette Walter, l'aventure des mots français venus d'ailleurs, page 44
- « Ancien pont routier de Pyrimont (détruit) ; piles (vestiges) », sur Patrimoine architectural et mobilier en Rhône-Alpes (consulté le ).
- Pont de Pyrimont sur Structurae.
- Gilbert Gonthier, Histoire du maquis de Richemond d'avril à septembre 1944, Lyon, éditions Bellier, , 188 p. (ISBN 978-2-84631-244-8, présentation en ligne).
- « Découpage électoral de l'Ain (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- Carole Bonnet, « Chanay : le témoignage d’un centenaire engagé dans la Marine nationale durant la Seconde Guerre mondiale : Jacques Béchard est né le 17 août 1920 à Chanay. À bientôt 100 ans, celui qui fut également maire de la commune pendant 30 ans a accepté de nous confier ses souvenirs de guerre. Un témoignage précieux, qui prend tout son sens en cette journée particulière du 8-Mai… », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne , consulté le ).
- « Listes des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République », Journal officiel de la République française, , p. 5747.
- Jacques Bosson et P.M., « Le maire de Chanay démissionne, des élections organisées en juin : Candidat en 2020 à un troisième mandat faute de relève pour lui succéder, le maire de Chanay Henri Caldairou vient d’annoncer sa démission. Avec deux sièges désormais vacants au conseil, il va falloir retourner aux urnes », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne, consulté le ).
- Lise Benoit-Capel, « Élisabeth Jeambenoit, première femme maire à Chanay : Première femme maire de Chanay, Élisabeth Jeambenoit dévoile son parcours et ses ambitions pour Chanay », Le Dauphiné libéré, (lire en ligne, consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no PA00116361, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 20 (cf. Dorche).
- Notice no PA00116362, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]- Site de la mairie.
- « Dossier complet : Commune de Chanay (01082) », Recensement général de la population de 2020, INSEE, (consulté le ).
- Résumé statistique de Chanay sur le site de l'Insee
- « Chanay » sur Géoportail.