Alexandre del Valle

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 12 mars 2020 à 12:03 et modifiée en dernier par Baldurar (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.
Alexandre del Valle
Biographie
Naissance
Nom de naissance
Marc d'Anna
Nationalité
Formation
Activité
Autres informations
Partis politiques
Directeur de thèse
Genre artistique
Site web

Alexandre del Valle — nom de plume de Marc d'Anna — est un essayiste franco-italien né le à Marseille.

Spécialisé en géopolitique, il s'intéresse principalement à l'islamisme, au terrorisme islamiste, aux relations entre l'Europe et la Turquie, et au monde arabo-musulman.

Chroniqueur et enseignant, il a milité en politique, notamment à l'Union pour un mouvement populaire.

Biographie

Marc d'Anna naît le [1] à Marseille[réf. nécessaire], d'une mère espagnole pied-noire et d'un père italien originaire de Tunisie[2],[3].

Il est diplômé de Sciences Po Aix, où il a obtenu un diplôme d'études approfondies (DEA) en histoire militaire, sécurité et défense en 1993. Il est également titulaire d'un DEAE (DEA européen) de l'université de sciences politiques de Milan en histoire des doctrines politiques et des institutions politiques, ainsi que d'un doctorat en histoire contemporaine, qu'il a obtenu en 2015 à l'université Paul-Valéry-Montpellier[n 1],[4],[5],[6].

Il épouse, en 2001, une intellectuelle argentine d'origine juive impliquée dans la cause israélienne, Monica Altman[2] dont il divorce en 2006[réf. nécessaire].

Carrière

Marc d'Anna intègre le secrétariat général de la défense nationale en 1997, où il est rédacteur-analyste de la Lettre Faits et Tendances de la section Affaires Internationales et Stratégiques[7]. Ensuite, il évolue dans la fonction publique territoriale et internationale avant de fonder son cabinet de conseil à Bruxelles[4].

Il est également enseignant en géopolitique à Sup de Co La Rochelle et à l'IPAG[6],[8],[9], et intervient à l'Université européenne de Rome ainsi qu'à l'Institut international de géopolitique[réf. nécessaire]. Il est chercheur-associé à l’Institut Choiseul jusqu'en 2014[10], et co-fondateur de l’Observatoire géopolitique de la Méditerranée (basé à Chypre)[11].

En tant qu'Alexandre del Valle, il a été chroniqueur à la Nouvelle Liberté (Marseille), La Une, Le Figaro Magazine, Le Figaro, Le Spectacle du Monde, Israël Magazine, Libéral (Italie), France-Soir[7],[2], Atlantico[10]. Il écrit régulièrement pour Atlantico, Le Figaro et Valeurs Actuelles.

Il a collaboré à plusieurs revues de géopolitique, Hérodote, Stratégique, Géostratégiques, Nova Storica, Risk, Politique Internationale, Outre-Terre, Daedalos Papers, Geopolitical affairs, Géoéconomie[11],[12]. Il se focalise sur la géopolitique du monde arabo-musulman[2].

Il est membre de divers groupes de réflexion, tels que le Daedalos Institute of Geopolitics[13].

Il est administrateur du cabinet de conseil et think tank Géopol Consultings.

En 2019, il prend part au voyage organisé en Sicile par Odeia (succursale de Wagram Voyages), ce qui illustre selon France Soir les liens de cette entreprise avec l'extrême droite[14].

Parcours idéologique

Marc d'Anna commence à s'intéresser aux questions moyen-orientales durant des séjours au Liban au début des années 1990, durant lesquels il participe à des missions humanitaires en faveur des chrétiens du Liban, sous l'égide de l'ordre de Malte[15].

Naissance d'Alexandre del Valle

En 1997, il publie son premier ouvrage Islamisme et États-Unis sous le pseudonyme « Alexandre del Valle ». Il explique que del Valle est le nom de sa mère, et Alexandre un nom de plume, qu'il a dû prendre pour honorer son devoir de réserve de fonctionnaire[16].

L'alliance américano-islamiste

Dans ce livre il essaie de prouver que le gouvernement américain utilise l'islamisme dans le but de détruire l'Europe[17]. Selon Denise Artaud, la thèse d'Alexandre del Valle concernant un « machiavélisme américain qui pousserait les États-Unis à s'allier à l'Islam pour nuire à l'Europe » est difficilement admissible, mais l'ouvrage traite également de « questions essentielles pour tous ceux qui s'intéressent à la géopolitique », notamment en ce qui concerne la « vassalité » et l'identité de l'Europe, qui s'affaiblit en renonçant à ses « racines culturelles »[18].

Le complexe occidental

En 1998, il participe, sous la direction d'Alain Griotteray, à la rédaction d'un ouvrage collectif intitulé Une certaine idée de la France. Il y défend l'idée du « patriotisme intégrateur » c'est-à-dire qu'il invite les Européens à se déculpabiliser des Croisades, de la colonisation, de l'esclavage, ... afin de pouvoir offrir aux nouvelles populations arrivant sur le sol européen une Histoire en héritage[19]. C'est à cette époque qu'il entame ses activités de chroniqueur, notamment pour Le Figaro et France-Soir[réf. nécessaire].

En 1999, il signe, pour s'opposer à la guerre en Serbie, la pétition « Les Européens veulent la paix »[20], initiée par le collectif Non à la guerre[21]. La même année, il assure des séances de formation pour les militants du Groupe union défense (groupe étudiant d'extrème droite) et s'exprime dans les colonnes d'Offensive, le journal des jeunes mégrétistes[22]. Il est par ailleurs conférencier à l'université d'été de Jeunesse Action Chrétienté, organisation catholique intégriste[22] fondée par Guillaume Peltier[23].

Il reprend[Quand ?] l'idée, développée par Bat Ye'or, d'une « dhimmitude » de l'Occident face à un « islamisme conquérant »[24].

Dans son ouvrage Le Complexe occidental, petit traité de déculpabilisation publié en 2014, Alexandre del Valle développe ses idées de 1998. Il y estime que cette « mauvaise conscience » et ce sentiment de culpabilité seraient la principale menace contre les sociétés occidentales[25]. Il estime que l'« Européen n’a pas à s’excuser éternellement pour les Croisades, l’Inquisition, la Colonisation ou la Shoah. L’utilisation systématique, obscène même, des drames de la IIe Guerre mondiale pour discréditer les Patriotes européens est devenu tout simplement insupportable »[26]. Il considère que la seule façon d’assurer sa pérennité pour la vieille Europe serait de renouer avec son identité, de se déculpabiliser, de se réconcilier avec son histoire judéo-chrétienne et ses racines dans le cadre d’un monde multipolaire fait de retour des identités et de Realpolitik décomplexée[27]. Il exprime régulièrement son opposition à l'entrée de la Turquie dans l’UE[28]. Ce processus relèverait, selon lui, d'une stratégie menée par certains dirigeants politiques turcs issus du courant islamiste et visant à « subvertir les valeurs occidentales et à pénétrer l'Union européenne pour mieux mettre fin à l'expérience d'essence occidentale et européenne par excellence que fut le kémalisme »[29].

Dénonciation de la nouvelle judéophobie

En 1999 et 2000, Alexandre del Valle défend dans Le Figaro la communauté juive et Israël, « alors victimes d’une vague de haine sans précédent », et il devient pro-israélien[2]. C'est également à cette époque qu'il épouse Monica Altman, une Juive argentine militante de la cause israélienne[2].

Il estime qu'il n'est plus possible aujourd'hui en France de dénoncer la judéophobie d'origine arabo-islamique sans être qualifié d'« agent sioniste » ou de « complice du colonialisme israélien » et d'être catalogué islamophobe ou raciste[30]. Il rappelle que les premières victimes du « totalitarisme islamiste » sont des musulmans et que les « défenseurs » de la lutte anti-raciste feraient mieux de dénoncer ce « fascisme vert » plutôt que d'essayer de « fasciser la communauté juive »[30]. Il estime que devant l'ampleur de l'électorat musulman, « la gauche et l'extrême-gauche, engluées dans leurs idées tiers-mondialistes et antisionistes (...) ne veulent pas admettre que le retour du totalitarisme, du racisme et de l'intolérance, passe également et même surtout, actuellement, par le sud, [et] qu'il est le fait principalement de l'islamisme[30]. »

Libération indique que « ses prises de position violemment anti-islamiques lui valent actuellement d'être régulièrement invité à présenter ses travaux devant certaines associations de la communauté juive très marquées à droite et soutiens inconditionnels de la politique menée par Ariel Sharon en Israël »[22].

Propos sur l'islam et l'islamisme

Alexandre del Valle, en s'appuyant sur les attentats du 11 septembre 2001, assimile l'islamisme à un « totalitarisme » ou un « fascisme »[31],[32]. Il gagne en notoriété en développant cette thèse sur les plateaux de télévision après les attentats[22]. Ainsi, dans son ouvrage Le totalitarisme islamiste à l’assaut des démocraties[33], il considère que le terrorisme islamiste sunnite et l’idéologie salafiste à prétention impérialiste qui le sous-tendrait ne sont pas une forme d'intégrisme, un concept qui selon lui mettrait sur un même plan les « trois monothéismes », mais bien une forme de « totalitarisme », à l’instar d’autres idéologies totalitaires « rouges » et « brunes » conquérantes et violentes fondées sur la terreur et le contrôle total de l’homme[34].

Il déplore en conséquence le rejet de la Russie par les pays de l’OTAN, à commencer par les États-Unis [35], et continue de plaider, a contrario, pour un « pan-Occident » réconciliant les anciens ennemis de la Guerre froide face à la menace selon lui principale du « totalitarisme islamiste »[36].

Il a publié un article sur le site anti-islam Riposte laïque[10] en 2009 intitulé « Comment fonctionne l'islamiquement correct ? »[37].

Persécution du christianisme

Alexandre del Valle soutient que la religion la plus persécutée est le christianisme. Selon lui, la banalisation de la haine envers les chrétiens et le christianisme dans le monde résulterait de son assimilation à un Occident colonial, dominant, donc à la « religion de l’oppresseur » blanc-européen, voire à l’impérialisme américain[38]. Dans son essai Pourquoi on tue les chrétiens dans le monde aujourd'hui, la nouvelle christianophobie, Alexandre del Valle dénonce les persécutions, voire le « génocide », des chrétiens dans le monde « anti-occidental », essentiellement les pays musulmans, certains États d’Inde et la Corée du Nord[39]. Il assimile ces actes à une forme de « solution finale » des chrétiens, éradication qui participerait d’un anti-occidentalisme radical propre à la montée des indigénistes et des idéologies radicales dans le cadre d’un monde multipolaire de plus en plus désoccidentalisé[40].

Parcours politique

Toujours étudiant à l'IEP d'Aix-En-Provence, Alexandre del Valle fait ensuite un passage au Centre national des indépendants et paysans (CNIP). Au même moment, il suit le mouvement de Philippe de Villiers Combat pour les valeurs, puis le Rassemblement pour la France (RPF) de Villiers et Charles Pasqua, dont il reste proche jusqu'à son adhésion à l'Union pour un mouvement populaire (UMP) en 2002[réf. nécessaire].

Selon Vincent Geisser, il aurait dans sa jeunesse été proche de certains milieux de l'extrême droite européenne néo-païenne[41] liés à la mouvance identitaire[42]. D'après Nicolas Lebourg, « il réussit le tour de force, durant quelques années, de collaborer à la fois avec l'extrême droite catholique intégriste partisane du nationalisme-intégral et les Völkischen néo-païens. Participant aux travaux du G.R.E.C.E., il se joint à l'axe Vial-Faye, comme eux collabore avec le parti de B. Mégret, avec Synergies européennes, et est proche de Réfléchir & Agir »[43]. Ainsi, en 2001, la revue d'extrême gauche REFLEXes juge que Del Valle présente un double visage, le décrivant comme « celui qui s’incruste dans la communauté juive et multiplie les gages de bonne conduite politiquement correcte en attaquant les « nazis » et « celui qui continue à écrire dans des revues extrême droitières comme Relève politique » et « continuerait à rencontrer quelques représentants de la droite la plus nazifiante »[26], ce qu'il dément par plusieurs droits de réponses[44],[45].

La même publication écrit qu'à l'IEP d'Aix-en-Provence, « ses fréquentations le poussent à participer aux activités d’Yggdrasill, petite secte païenne ultra-droitière, pour laquelle il écrit quelques articles dans la revue Muninn »[46]. Alexandre del Valle conteste ces accusations, accusant ses détracteurs d’être issus de l’extrême gauche [47] et de livrer une instruction à charge ne mentionnant que ses conférences ou articles accordés dans des milieux néo-païens en éludant ses autres interventions auprès de milieux divers. Dans son premier livre Islamisme et États-Unis paru en 1997, il dénonçait une tendance qui, selon lui, existerait dans les mouvements néo-païens, le GRECE et la nouvelle droite antisémite et islamophile : « Croire que l'ultra monothéisme islamique constitue une solution de rechange au monothéisme judéo-chrétien est une aberration que soutiennent certains intellectuels d'extrême droite se réclamant du « nationalisme européen », de « la nouvelle droite » ou du « néo-paganisme ». »

René Monzat écrit, dans un article paru en avril dans la revue d'extrême-gauche Ras l'front[48], que del Valle aurait initialement exposé ses thèses dans des cercles et conférences de la Nouvelle droite et du GRECE. Lorsque, la même année, Le Monde diplomatique, Le Monde, Politis et Libération reprennent les informations de Ras l'front sur le passé de del Valle[49], ce dernier réfute ces accusations et porte l'affaire devant la justice[50], intentant des procès à tous les journaux qui l'incriminent. Le premier d'une série de procès se solde par un arrêt de la 11e chambre de la Cour d'appel de Paris en , qui le déboute sur l'accusation de diffamation[51],[7], ce qui ne signifie pas que la justice reconnaisse que les accusations portées contre Alexandre del Valle soient fondées.

Il cofonde, avec son ami Rachid Kaci, La Droite libre, courant libéral-conservateur associé à l'UMP[52]. Le , lors de l'assemblée constituante de l'UMP, Rachid Kaci et lui se présentent à la vice-présidence de l'UMP, avec comme adversaires Alain Juppé ou Nicolas Dupont-Aignan[22]. Ils obtiennent 3,17 %, puis 14 % l'année suivante en liste commune avec Nicolas Dupont-Aignan[réf. nécessaire].

En 2006, les journalistes Cécilia Gabizon et Johan Weisz, relevant plusieurs de ses interventions entre 2002 et 2004, indiquent qu'« il suffit de suivre Del Valle pour s'apercevoir qu'il reste lié à la mouvance identitaire »[53].

En 2018, il participe au lancement de Mouvance France[54].

Critiques

Les auteurs du livre OPA sur les Juifs de France estiment qu'il demeure lié à la « mouvance identitaire » mais que ses positions « pro-sionistes » n'auraient qu'un angle utilitaire[55]. C'est aussi le thème d'un article du journal Le Monde[56] auquel il répond par une ferme « mise au point »[57].

D'après la journaliste Marika Mathieu, Alexandre del Valle a tout au long de sa carrière été contesté par des universitaires, qui critiquent notamment son utilisation du terme fascisme, et il est, selon elle, « perçu comme un intellectuel de plateaux qui diffuse des analyses simplistes ». Elle voit en lui une figure emblématique de ce que le sociologue Raymond Boudon nomme « les intellectuels du second marché », comme Bernard-Henri Lévy et Ivan Rioufol, des personnalités médiatiques dont la pensée vise l'opinion et les médias, contrairement aux « intellectuels du premier marché », orientés vers l'académique, tels que Alain Finkielkraut et Pierre-André Taguieff. Marika Mathieu cite Nicolas Lebourg, qui reproche aux « intellectuels du second marché » de ne pas maîtriser les « acquis et débats historiographiques sur les objets fascisme, nazisme, totalitarisme et islamisme »[58].

En , son cabinet Géopol Consultings se voit commander, de la part de Jean-Luc Schaffhauser, député européen du Front national, un rapport sur Mediapart. Le devis, d'un montant de 10 000 euros, comporte quatre volets dont les intitulés sont jugés « pour le moins complotistes » par L'Obs. Le devis définit les objectifs du rapport : « Démontrer les liens existants entre certains acteurs extérieurs et ce média », et « montrer que ce média est un chien de garde du système ! » (sic). Le rapport, intitulé « Les métastases de Mediapart », est présenté en octobre suivant. L'Obs estime que la section du rapport sur les actionnaires de Médiapart « multiplie les erreurs factuelles sur les patronymes, les parcours personnels et la structure financière de Mediapart ». Après avoir rendu disponible le rapport sur internet pendant plusieurs mois, Jean-Luc Schaffhauser le supprime, déclarant qu'il contient des « erreurs » à corriger[59].

En , dans une tribune publiée par Le Monde, plusieurs politologues et journalistes maliens dénoncent les « analyses à connotation ethnique » d'Alexandre del Valle sur la situation au Mali : « Les propos de MM. Del Valle et Pinatel reflètent une tendance vers une forme d’essentialisme dans l’analyse et l’interprétation des enjeux de notre monde. Si la seule préoccupation de ces « spécialistes » est de plaquer sur la situation malienne une grille de lecture qui satisfait leurs fantasmes sur le « choc des civilisations », ils sont alors des rhéteurs incendiaires qui compliquent la tâche de Sahéliens qui œuvrent sans relâche à bâtir des sociétés meilleures. Si leur préoccupation était au contraire de comprendre cette crise, qu’ils commencent par lire et se renseigner avant de parader sur les plateaux de télévision. Les enjeux sont importants »[60].

Ouvrages

Notes et références

Notes

  1. Il a soutenu sa thèse le  : L'Occident face à la seconde décolonisation portée par les idéologies islamistes et indigénistes, de la guerre froide à nos jours, sous la direction de Carol Iancu. Voir la notice SUDOC

Références

  1. « Notice de personne : Del Valle, Alexandre (1968-....) », sur bnf.fr, BnF (consulté le )
  2. a b c d e et f « Mais qui est donc Alexandre del Valle – par Jean-Patrick Grumberg », sur Dreuz.info, (consulté le )
  3. « Site officiel : biographie », sur alexandredelvalle.com (consulté le )
  4. a et b « Alexandre del Valle – Le projet totalitaire des monarchies du Golfe – Salut les Terriens (C8) | », sur www.ihsnews.net (consulté le )
  5. « Notice professionnelle », sur esc-larochelle.fr, Sup de Co la Rochelle (consulté le )
  6. a et b (en) « Alexandre Del Valle », sur esc-larochelle.fr, Sup de Co la Rochelle (consulté le )
  7. a b et c Normann L., "Qui est Alexandre del Valle?", 5 mars 2011 (consulté le 26 avril 2016)
  8. « Faculté et Recherche | IPAG », sur www.ipag.fr (consulté le )
  9. « Un professeur de l’IPAG parle des relations russo-américaines | IPAG », sur www.ipag.fr (consulté le )
  10. a b et c Marine Turchi, « Le FN a payé une enquête complotiste sur Mediapart avec des fonds publics », sur Mediapart, (consulté le ).
  11. a et b « 15 juin Paris – Diner-débat : Alexandre del Valle, Robert Ménard, Xavier Lemoine, Xavier Raufer : « La réalité des Molenbeek français » », Dreuz.info,‎ non daté (lire en ligne, consulté le )
  12. « DEL VALLE Alexandre , Pôle Culture (Culture générale), Les professeurs, Les professeurs, Le corps professoral, Professeurs Recherche, ESC La Rochelle | Ecole de commerce », sur www.esc-larochelle.fr (consulté le )
  13. Comité de rédaction de la revue française de géopolitique Outre Terre - Daedalos Institute.
  14. http://www.francesoir.fr/politique-france/extreme-droite-les-liaisons-dangereuses-entre-valeurs-actuelles-et-le-regime-syrien.
  15. Alain Wagner, « Vidéo française de l'intervention d'Alexandre Del Valle », sur libertiesalliance.org, (consulté le )
  16. « Alexandre le magnifique ! - Turquie Européenne », sur www.turquieeuropeenne.eu (consulté le )
  17. (en) Bat Ye'or, « Review of Islamisme et États-Unis : une Alliance contre l'Europe », sur meforum.org, Middle East Forum, (consulté le )
  18. Denise Artaud, « Alexandre del Valle. Islamisme et Etats-Unis : une alliance contre l'Europe », Politique étrangère, vol. 63, no 4,‎ (lire en ligne, consulté le )
  19. Causeur.fr, « L’Occident malade de lui-même - Causeur », Causeur,‎ (lire en ligne, consulté le )
  20. « Liste des personnalités signataires de l'Appel », sur nonguerre.chez.com.
  21. Renaud Dély, « L'extrême droite ratisse large contre les frappes de l'Otan. Le «Collectif non à la guerre» a tenu une réunion proserbe hier soir », sur liberation.fr, .
  22. a b c d et e Christophe Forcari, « Appétits extrémistes pour la tête de l'UMP », sur liberation.fr, (consulté le ).
  23. https://www.lemonde.fr/societe/article/2006/03/16/guillaume-peltier-faiseur-de-tribuns_751394_3224.html.
  24. Alexandre del Valle, La "dhimmitude" volontaire de l’Occident face à l’islamisme conquérant, alexandredelvalle.com, 1 mars 2017 (consulté le 25 août 2017.)
  25. Alexandre Devecchio, "Alexandre del Valle : «L'Occident doit cesser de se sentir coupable»", LeFigaro.fr, 19 mai 2014 (consulté le 31 janvier 2016)
  26. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées portrait
  27. Pascal Lorot, Géoéconomie no. 72 (novembre-décembre 2014), p. 5, Institut Choiseul, en ligne (consulté le 5 mai 2016)
  28. Alexandre del Valle, « Turquie, Union Européenne, États-Unis : Un subtil jeu à trois », revue Politique Internationale, no 126 hiver 2010, (consulté le 31 janvier 2016)
  29. Jean-Michel Demetz, "Pour ou contre la Turquie dans l'Union? ", L'Express, 31 mai 2004, en ligne, (consulté le 27 avril 2016)
  30. a b et c Alexandre del Valle, La quadrature du cercle Islamophobie, nouvelle judéophobie et reductio ad hitlerum, Outre-Terres, 2003/2.
  31. Racisme anti-arabe : Nouvelle évolution - MRAP, 6 août 2003 [PDF] (consulté le 31 janvier 2016)
  32. Joseph Macé-Scaron, «Nous avons affaire au troisième grand totalitarisme», Le Figaro, 16 octobre 2002.
  33. Propos recueillis à la conférence du 12 septembre 2012, Front Nouveau Belge, (consulté le 31 janvier 2016)
  34. A. Del Valle, "Daesh et la 'stratégie de la sidération' ", La Revue des deux Mondes, décembre 2015 - janvier 2016 (consulté le 3 mai 2015)
  35. Alexandre del Valle, « Le Pentagone abat ses cartes sur son objectif pour l’Europe : empêcher le rapprochement entre Europe et Russie à tout prix », Atlantico.fr, 4 février 2016, en ligne (consulté le 13 août 2016).
  36. Alexandre Devecchio, « Alexandre del Valle : 'L'Occident doit cesser de se sentir coupable' », LeFigaro.fr, 19 mai 2014 (consulté le 13 août 2016).
  37. « Comment fonctionne l’islamiquement correct? », Riposte Laïque,‎ (lire en ligne, consulté le )
  38. Alexandre Del Valle, « Les Chrétiens persécutés dans le monde : entre indifférence et complicité», Atlantico.fr, 14 décembre 2012 (consulté le 13 août 2016).
  39. A. Del Valle, « Le terrible sort des chrétiens coptes d'Egypte», FranceSoir.fr, 8 mai 2011 (consulté le 13 août 2016).
  40. Après l'UNI, la Droite libre : Guéant de moins en moins complexé - François Krug, Rue89, 16 février 2012
  41. M. Haddad, « Vincent Geisser, La nouvelle islamophobie », Archives de sciences sociales des religions, (En ligne), 134 | 2006, document 134-37, mis en ligne le 5 septembre 2006, consulté le 16 janvier 2011 ; assr.revues.org lire en ligne.
  42. Cécilia Gabizon, Johan Weisz, OPA sur les juifs de France : enquête sur un exode programmé (2000-2005), Grasset, 2006, pages 83, 87
  43. Nicolas Lebourg, Le Monde vu de la plus extrême droite : du fascisme au nationalisme-révolutionnaire, Perpignan, Presses universitaires de Perpignan, coll. « Études », , 260 p. (ISBN 978-2-35412-075-7, BNF 42334897, présentation en ligne)
  44. Claudine Douillet, « J'en ris ! » Alexandre del Valle répond à ses détracteurs - Jerusalem Post, édition française no 771, 19 juin 2006 (consulté le 26 avril 2016)
  45. A. Del Valle, "Droit de réponse à Marianne", 16 septembre 2006 (consulté le 26 avril 2016)
  46. Portrait Alexandre del Valle - REFLEXes, 29 novembre 2004.
  47. Lettre d'Alexandre del Valle à Fiammetta Venner, Cercle d'Étude de Réformes Féministes (consulté le 26 avril 2016)
  48. « L'étonnant parcours d'Alexandre del Valle, portraits croisés d'un militant multicartes », Ras l'front no 87, avril 2002
  49. Au nom du combat contre l'antisémitisme - Le Monde diplomatique, décembre 2002
  50. «  Au nom du combat contre l’antisémitisme » : droit de réponse d'Alexandre del Valle - Le Monde diplomatique, mars 2003
  51. Anne Vigerie, "Alexandre Del Valle: Nouveau livre à paraître en mai 2011", Cercle d'Étude de Réformes Féministes, 5 avril 2011 (consulté le avril 2016)
  52. Biographie d'Alexandre del Valle sur Bibliomonde.
  53. Cécilia Gabizon et Johan Weisz, Opa sur les juifs de France : enquête sur un exode programmé (2000-2005), Grasset, , 270 p. (lire en ligne).
  54. https://www.lesalonbeige.fr/mouvance-france-pour-elaborer-un-projet-applicable-en-cas-dalternance/.
  55. Cécilia Gabizon, Johan Weisz, OPA sur les Juifs de France : enquête sur un exode programmé (2000-2005), Grasset, 2006, p. 86-87.
  56. Xavier Ternisien, Le danger de l'islamophobie, 11 mai 2002, sur Le Monde (consulté le 15 avril 2016)
  57. Une lettre d'Alexandre Del Valle , 21 juin 2002, sur Le Monde (consulté le 15 avril 2016).
  58. Marika Mathieu, La Droite forte : année zéro : enquête sur les courants d'une droite sans chef, La Martinière, coll. « Essais et Documents », 336 p. (ISBN 978-2-7324-5965-3, présentation en ligne).
  59. « "Les métastases de Mediapart" : l'enquête paranoïaque commandée par les eurodéputés FN », sur nouvelobs.com, .
  60. « Le Mali ne doit pas devenir un fonds de commerce pour les apprentis sorciers de la géopolitique », Le Monde, 28 mai 2019.

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :