Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou
FESPACO Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou | |
Le siège du FESPACO à Ouagadougou. | |
Date de création | 1969 |
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Créateur | François Bassolet Claude Prieux Louis Thiombiano, premier secrétaire général du FESPACO Alimata Salembéré |
Prix principal | Étalon de Yennenga |
Édition courante | FESPACO 2019 |
Durée | 8 jours (tous les 2 ans, entre février et mars) |
Direction générale | Alex Moussa Sawadogo |
Lieu | Ouagadougou Burkina Faso |
Site web | www.fespaco.bf |
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Le Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou ou FESPACO est l'un des plus grands festivals de cinéma africains. Créé en 1969 sous le nom de « Premier festival de Cinéma Africain de Ouagadougou », il se déroule tous les deux ans à Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso. Il est également l'un des rares festivals de cinéma d'État encore existants dans le monde[1].
Présentation
L’objectif du festival est de « favoriser la diffusion de toutes les œuvres du cinéma africain, de permettre les contacts et les échanges entre professionnels du cinéma et de l'audiovisuel, et de contribuer à l'essor, au développement et à la sauvegarde du cinéma africain, en tant que moyen d'expression, d'éducation et de conscientisation »[2].
Historique
Le festival a été créé en 1969 à Ouagadougou.
Ouagawood
Ouagawood est le nom donné à l'industrie cinématographique africaine dont les films sont présentés à Ouagadougou lors du FESPACO[3],[4].
Employé pour la première fois par des journalistes de la BBC[3] et du quotidien La Libre Belgique lors du FESPACO 2011[4], le terme « Ouagawood » est un mot-valise combinant Ouaga, le diminutif de « Ouagadougou », capitale du Burkina Faso, et celui d'un autre symbole de l'industrie cinématographique, en l'occurrence américaine : « Hollywood » (suivant le même modèle que les expressions Bollywood et Nollywood). Outre le symbole, ce dénominatif reste encore très peu usité.
Éditions
3e FESPACO (1972)
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Le Wazzou polygame d'Oumarou Ganda (Niger)
- Deuxième prix (Prix spécial d'authenticité) : Hydre Dyama de Moussa Kémoko Diakité (Guinée)
- Troisième prix : L'Opium et le Bâton de Ahmed Rachedi (Algérie)
- Prix de consolation : Pour ceux qui savent, de Tidiane Aw (Sénégal)
- Premier prix du court métrage : Moseka de Kouami Mambu Zinga (Zaïre)
- Deuxième prix du court métrage : Sur le sentier du requiem de Pierre-Marie Dong (Gabon)
4e FESPACO (1973)
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Les Mille et Une Mains de Souheil Ben Barka (Maroc)
- Prix de l'authenticité africaine : Identité de Pierre-Marie Dong (Gabon)
- Prix du 7e art : Décembre de Mohammed Lakhdar-Hamina (Algérie)
- Prix de consolation : Le Sang des parias de Mamadou Djim Kola (Haute-Volta)
- Prix du court métrage : Accident de Benoit-Maurice Ramampy (Madagascar)
- Félicitations du jury : Oumarou Ganda (Niger)
5e FESPACO (1976)
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Muna Moto de Jean-Pierre Dikongué Pipa (Cameroun)
- Premier prix de consolation : ex æquo Vent du Sud de Mohamed Slim Riadh (Algérie) et Ndiangane de Mahama Johnson Traoré (Sénégal)
- Deuxième prix de consolation : Sur le chemin de la réconciliation de René-Bernard Yonli (Haute-Volta)
- Prix du 7e art : L'Héritage de Mohamed Bouamari (Algérie)
- Prix spécial du jury : ex æquo Sejnane d'Abdellatif Ben Ammar (Tunisie) et Nationalité immigrée de Sydney Sokhona (Mauritanie)
- Mention spéciale : Kaddhu Beykat (Lettre paysanne) de Safi Faye (Sénégal) et Saïtane d'Oumarou Ganda (Niger)
- Autre mention spéciale : première participation du Ghana
6e FESPACO (1979)
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Baara de Souleymane Cissé (Mali)
- Prix de l'authenticité : Soleil des hyènes de Ridha Béhi (Tunisie)
- Prix du 7e art : Alyam Alyam d'Ahmed El Maânouni (Maroc)
- Prix du meilleur court métrage : La Boîte dans le désert de Brahim Tsaki (Tunisie)
- Prix spécial de consolation : Yik-Yan de Hamidou-Benoit Ouedraogo (Haute-Volta)
- Prix de l'Agence de Coopération Culturelle et Technique :Béogho naba de Kollo Daniel Sanou (Haute-Volta)
7e FESPACO (1981)
- Grand prix (Étalon de Yennenga): Djeli de Fadika Kramo-Lanciné (Côte d'Ivoire)
- Prix de l'authenticité : La Chapelle de Jean-Michel Tchissoukou (Congo)
- Prix du 7e art : West Indies de Med Hondo (Mauritanie)
- Prix Oumarou Ganda : Love Brewed in the African Pot de Kwaw Ansah (Ghana)
- Prix du meilleur court métrage : Poko d'Idrissa Ouedraogo (Haute-Volta)
8e FESPACO (1983)
- Grand prix (Étalon de Yennenga): Finyè de Souleymane Cissé (Mali)
- Prix Oumarou Ganda : Pawéogo (L'Émigrant) de Kollo Daniel Sanou (Haute-Volta)
- Prix du meilleur court métrage : Certificat d'indigence de Moussa Bathily (Sénégal)
- Prix d'interprétation féminine : Rosine Yanogo dans Wend Kuuni (Haute-Volta)
- Prix d'interprétation masculine : Mohamed Abachi dans Le Coiffeur du quartier des pauvres (Maroc)
- Prix du meilleur scénario : L'Ombre de la terre de Taïeb Louhichi (Tunisie)
- Prix de la meilleure image : Zo Kwe Zo de Joseph Akouissonne (Centrafrique)
- Caméra d'or : Issaka Thiombiano et Sékou Ouedraogo dans Wend Kuuni (Haute-Volta)
- Prix du meilleur opérateur : L'Ombre de la terre de Taïeb Louhichi (Tunisie)
9e FESPACO (1985)
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Histoire d'une rencontre de Brahim Tsaki (Algérie)
- Prix du 7e art : Nelisita de Ruy Duarte (Angola)
- Prix Oumarou Ganda : Jours de tourmente de Paul Zoumbara (Burkina Faso)
- Prix du meilleur court métrage : Mariaamu's Wedding de Nangaoma Ngoge (Tanzanie)
- Prix de la meilleure musique : Pierre Akendengué pour Les Coopérants (Cameroun)
- Prix du public : Rue Cases-Nègres d'Euzhan Palcy (France)
- Prix de la meilleure image : Les Baliseurs du désert de Nacer Khémir
10e FESPACO (1987)
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Sarraounia de Med Hondo (Mauritanie)
- Prix du 7e art : Le Choix d'Idrissa Ouedraogo (Burkina Faso)
- Prix Oumarou Ganda : Nyamanton de Cheick Oumar Sissoko (Mali)
- Prix du meilleur court métrage : Le Singe fou de Joseph Koumba (Gabon)
- Prix de la meilleure musique : Le Choix d'Idrissa Ouedraogo (Burkina Faso)
- Prix du public : Nyamanton de Cheick Oumar Sissoko (Mali)
11e FESPACO (1989)
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Heritage Africa de Kwaw Ansah (Ghana)
- Prix Oumarou Ganda : Mortu Nega de Flora Gomes (Guinée-Bissau)
- Prix du meilleur court métrage : La Geste de Ségou (Segu janjo) de Mambaye Coulibaly (Mali)
- Prix Paul Robson de la diaspora : Ori de Raquel Gerber (Brésil)
- Prix d'interprétation féminine : Bia Gomes dans Mortu Nega (Guinée-Bissau)
- Prix d'interprétation masculine : Kofi Bucknor dans Héritage... Africa (Ghana)
- Prix du meilleur scénario : Zan Boko de Gaston Kaboré (Burkina Faso)
- Prix de la meilleure image : La Citadelle de Mohamed Chouikh (Algérie)
- Prix de la meilleure musique : Francis Bebey pour Yaaba (Burkina Faso)
- Mention spéciale pour la prise de son : Testament de John Akomfrah (Ghana)
- Prix du public : Yaaba d'Idrissa Ouedraogo (Burkina Faso)
12e FESPACO (1991)
- Grand prix (Étalon de Yennenga): Tilaï d'Idrissa Ouedraogo (Burkina Faso)
- Prix Oumarou Ganda : Ta Dona d'Adama Drabo (Mali)
- Prix du meilleur court métrage : La Transe (El Hadhra), de Moncef Dhouib (Tunisie)
- Prix du meilleur film documentaire: Yiri Kan d'Issiaka Konaté (Burkina Faso)
- Prix Paul Robson de la diaspora : Almacita Di Desolato de Felix de Rooy (Pays-Bas)
- Mention spéciale (Prix Paul Robson) : Twilight City d'Auguste Reece (Royaume-Uni)
- Autre mention spéciale : Sango Malo de Bassek Ba Kobhio (Cameroun)
- Prix d'interprétation féminine : Mariatou Kouyaté dans Bamunan (Mali)
- Prix d'interprétation masculine : Balla Moussa Keïta dans Sere (Guinée)
- Prix du meilleur scénario : Louss de Rachid Benhadj (Algérie)
- Prix de la meilleure image : Jit de Michael Raeburn (Zimbabwe)
- Prix de la meilleure musique : Abdullah Ibrahim pour Tilaï (Burkina Faso)
- Prix de la meilleure prise de son : Leila, ma raison de Taïeb Louhichi (Tunisie)
13e FESPACO (1993)
- Grand prix (Étalon de Yennenga): Au nom du Christ de Gnoan Roger M'Bala (Côte d'Ivoire)
- Prix Oumarou Ganda : Gito l'ingrat de Léonce Ngabo (Burundi)
- Prix du meilleur court métrage : Denko de Mohamed Camara (Guinée)
- Prix du meilleur film documentaire : Femmes d'Alger de Kamal Dehane (Algérie)
- Prix spécial du jury (longs métrages) : Les Étrangers de Djim Kola (Burkina Faso)
- Prix spécial du jury (courts métrages) : Boxumalen d'Amet Diallo (Sénégal)
- Prix Paul Robson de la diaspora : Lumumba : la mort d'un prophète de Raoul Peck (Haïti)
- Prix d'interprétation féminine : Maysa Marta dans Les Yeux bleus de Yonta (Guinée-Bissau)
- Prix d'interprétation masculine : Joseph Kumbela dans Gito l'ingrat (Burundi)
- Prix du meilleur scénario : Contre le gouvernement d'Atef el-Tayeb (Égypte)
- Prix du meilleur montage : Bezness de Nouri Bouzid (Tunisie)
- Prix de la meilleure image : Sankofa de Hailé Gerima (Éthiopie)
- Prix de la meilleure musique : Cheick Tidiane Seck pour Yelema (Mali)
- Prix du meilleur son : Quartier Mozart de Jean-Pierre Bekolo (Cameroun)
14e FESPACO (1995)
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Guimba de Cheick Oumar Sissoko (Mali)
- Prix du meilleur court métrage : Le Franc de Djibril Diop Mambety (Sénégal)
- Prix de la meilleure interprétation masculine : Mohamed Ali Allalou dans Youcef (Algérie)
- Prix de la meilleure interprétation féminine : Youssra dans Mercedes (Égypte)
- Prix spécial du jury : À la recherche du mari de ma femme de M.A. Tazi (Maroc)
- Mention spéciale du jury : Le Grand Blanc de Lambaréné de Bassek Ba Kobhio (Cameroun)
- Prix Paul Robeson (film de la diaspora) : L'Exil de Behanzin de Guy Deslauriers (Martinique)
- Prix Oumarou Ganda de la première œuvre : Keïta ! L'Héritage du griot de Dani Kouyaté (Burkina Faso)
- Prix des meilleurs costumes et décors : Guimba de Cheick Oumar Sissoko (Mali)
- Prix de la meilleure monteuse : Kahena Attia (Tunisie)
- Prix du meilleur scénario : Khaled El Haggar pour Ahlam Saghira (De petits rêves) (Égypte)
15e FESPACO (1997)
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Buud Yam de Gaston Kaboré(Burkina Faso)
- Prix du meilleur court métrage de fiction : Bouzié de Jacques Trabi
- Prix de la meilleure interprétation masculine : Belkacem Hadjadj dans Machaho
- Prix de la meilleure interprétation féminine : Aminata Ousmane Maïga dans Faraw, mère de sables
- Prix spécial du jury : Taafe Fanga d'Adama Drabo(Mali)
- Prix Paul Robeson (film de la diaspora) : The Last Angel of History de John Akomfrah
- Prix Oumarou Ganda de la première œuvre : Miel et Cendres de Nadia Fares Anliker
- Prix du meilleur montage : Kahena Attia pour Miel et Cendres
- Prix du meilleur scénario : Merzak Allouache pour Salut cousin !
- Prix de la meilleure bande-son : Le Complot d'Aristote de Jean-Pierre Bekolo
- Prix de la meilleure musique de film : Ilhéu da Contenda de Leão Lopes
- Prix de la meilleure image : Tableau Ferraille de Moussa Sène Absa
16e FESPACO (1999)
Longs métrages
- Grand prix (Étalon de Yennenga) : Pièces d'identités de Mwezé Ngangura (République démocratique du Congo)
- Mention spéciale du jury : La Vie sur Terre d'Abderrahmane Sissako (Mauritanie)
- Prix de la meilleure interprétation masculine : Fats Bookholane dans Chikin Biznis (Afrique du Sud)
- Prix de la meilleure interprétation féminine : Dominique Mesa dans Pièces d'identités (RDC)
- Prix Paul Robeson (diaspora) : Sucre amer de Christian Lara (Guadeloupe, France)
- Prix du meilleur montage : Nadia Ben Rachid pour La Vie sur Terre (Mauritanie)
- Prix du meilleur décor : F. Baba Keïta pour La Genèse (Mali)
- Prix de la meilleure musique : Wasis Diop pour Silmandé (Burkina Faso)
- Prix du meilleur son : Tawsi Thabet pour Lalla Hobby (Maroc)
- Prix de la meilleure image : Mustapha Belmihoub pour L'Arche du désert (Algérie)
- Prix du meilleur scénario : Mtutuzeli Matshoba pour Chikin Biznis (Afrique du Sud)
- Prix Oumarou Ganda : Fools de Ramadan Suleiman (Afrique du Sud)
Courts métrages
- Prix du meilleur court métrage de fiction : On the Edge de Newton Aduaka (Nigeria)
- Prix du meilleur documentaire : Hot Irons d'Andrew Dosunwu (Nigeria)
- Prix Paul Robeson (diaspora) : Blue Note de Rahdi Taylor (États-Unis)
Édition 2001 et suivantes
- Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou 2001
- Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou 2003
- Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou 2005
- Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou 2007
- Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou 2009
- Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou 2011
- Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou 2013
- Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou 2015
- Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou 2017
- Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou 2019
Liste des délégués généraux du FESPACO
Liste des délégués généraux du FESPACO depuis 1972[5] :
Rang | Pays | Président | Date du debut | Date de fin |
---|---|---|---|---|
1 | Burkina Faso | Louis Thombiano | 1972 | 1982 |
2 | Burkina Faso | Alimata Salembéré | 1982 | 1984 |
4 | Burkina Faso | Filippe Savadogo | 1984 | 1996 |
5 | Burkina Faso | Baba Hama[6] | 1996 | 2008 |
6 | Burkina Faso | Michel Ouedraogo[7] | 2008 | 2014 |
7 | Burkina Faso | Ardiouma Soma[8] | 2014 | En cours |
Palmarès par nation
Sont listés ci-dessous les récipiendaires par nationalité du grand prix Étalon de Yennenga. Le prix initial a connu une séparation en trois prix (Étalon d'or, d'argent et de bronze) a partir de l'édition 2005.
Rang | Pays | Vainqueur | Finaliste | Troisième |
---|---|---|---|---|
1 | Maroc | 4 | 1 | 1 |
2 | Mali | 3 | 0 | 0 |
3 | Côte d'Ivoire | 2 | 0 | 1 |
4 | Mauritanie | 2 | 0 | 0 |
5 | Burkina Faso | 2 | 0 | 2 |
6 | Sénégal | 2 | 0 | 1 |
7 | Algérie | 1 | 2 | 1 |
8 | Cameroun | 1 | 1 | 0 |
9 | Afrique du Sud | 1 | 1 | 0 |
10 | Niger | 1 | 0 | 0 |
11 | Ghana | 1 | 0 | 0 |
12 | RDC | 1 | 0 | 0 |
13 | Nigeria | 1 | 0 | 0 |
14 | Éthiopie | 1 | 0 | 0 |
15 | Rwanda | 1 | 0 | 0 |
16 | Tchad | 0 | 1 | 1 |
17 | Bénin | 0 | 1 | 0 |
18 | Égypte | 0 | 1 | 0 |
19 | Tunisie | 0 | 0 | 1 |
Autres initiatives
Le FESPACO Olvido ou « MINIFESPACO » a pour but de promouvoir le cinéma africain en dehors de la capitale. Il est organisé par l'institut Olvido en partenariat avec le Fespaco. La première édition s'est tenue à Ouahigouya du 5 jusqu'au 8 juin 2013 et a permis la diffusion d'une douzaine de film sélectionnés pour l'édition 2013[9].
Notes et références
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Cinéma burkinabé » (voir la liste des auteurs).
- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Ouagawood » (voir la liste des auteurs).
- « FESPACO, présentation sur le site officiel du festival », sur fespaco.bf (consulté le )
- « Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou », sur ficdc.org (consulté le )
- Christian Ndounou-Delwami, « BBC Afrique en direct au FESPACO », sur bbc.co.uk, (consulté le )
- Karin Tshidimba, « Voir Ouaga et revenir », sur lalibre.be, (consulté le )
- « Délégués Généraux Fespaco – FESPACO » (consulté le )
- « Michel Ouédraogo – Jeune Afrique », sur JeuneAfrique.com, (consulté le )
- « Personnes », sur Africultures (consulté le )
- « FESPACO : Michel Ouédraogo cède son fauteuil à Ardiouma Soma »
- FESPACO 2013 : les 12 meilleurs films seront projetés à Ouahigouya. Retrieved 05/29/2013 from http://www.ouahigouya.org/index.php?option=com_content&view=article&id=99:fespaco-2013-les-12-meilleurs-films-seront-projetes-a-ouahigouya&catid=1:latest-news
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Colin Dupré, Le Fespaco, une affaire d'État(s). 1969-2009, Paris, L'Harmattan, 2012, 406 pages, (ISBN 2336001632)
- Patrick G. Ilboudo, Le FESPACO, 1969-1989 : les cinéastes africains et leurs œuvres, original provenant de l'université du Michigan, La Mante, 1988.
- Naissance et évolution du FESPACO de 1969 à 1973, Chez l'auteur, Hamidou Ouédraogo (ancien Trésorier général du Fespaco), 1995, p.61, B009NHB2EO
Filmographie
- Les Parias du cinéma, d'Idrissa Ouedraogo, 1997, film documentaire, 6 min.
- Les Fespakistes, d'Eric Münch et François Kotlarski, 1999-2001, film documentaire, 52 min.
- Au bord de la piscine, de Mónica Blanc Gómez, 2006, film documentaire, 13 min
- Dix mille ans de cinéma, de Balufu Bakupa-Kanyinda, 1991, film documentaire, 13 min
Liens externes
- Site officiel
- (en) Fespaco 2009 sur RFI
- Présentation du Fespaco sur Africultures