Mézin
Mézin | |||||
L'église Saint-Jean-Baptiste de Mézin. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Nérac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Albret Communauté | ||||
Maire Mandat |
Jacques Lambert 2020-2026 |
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Code postal | 47170 | ||||
Code commune | 47167 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Mézinais | ||||
Population municipale |
1 460 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 46 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 03′ 27″ nord, 0° 15′ 33″ est | ||||
Altitude | 140 m Min. 49 m Max. 166 m |
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Superficie | 31,58 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de l'Albret | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | Site de la mairie | ||||
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Mézin est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Géographie
Localisation
Au cœur de la Gascogne, au confluent de la Gélise et de l'Auzoue, la commune est située au sud-ouest du département de Lot-et-Garonne, en limite de celui du Gers et proche de celui des Landes.
Communes limitrophes
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat du Bassin du Sud-Ouest », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Reaup », sur la commune de Réaup-Lisse, mise en service en 1952[8] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[9],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,3 °C et la hauteur de précipitations de 848,8 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Agen-La Garenne », sur la commune d'Estillac, mise en service en 1941 et à 27 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour la période 1971-2000[12], à 13,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 13,8 °C pour 1991-2020[14].
Urbanisme
Typologie
Mézin est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (44,5 %), zones agricoles hétérogènes (39,2 %), forêts (8,4 %), zones urbanisées (2,7 %), cultures permanentes (2,1 %), prairies (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %)[20].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Toponymie
Histoire
Époque antique
S'agissant des traces attestées, en 1972, un agriculteur de Mézin met au jour dans son champ une statue de Jupiter datant du Ier siècle, et conservée au Musée d'Aquitaine à Bordeaux[21].
Le bourg médiéval
Les vestiges du bourg médiéval sont encore visibles : les premiers habitats sont regroupés autour du prieuré des bénédictins aux XIe et XIIe siècle[22]. La tradition veut que le monastère de Mézin ait été fondé par Charlemagne. Il est difficile d'en avoir une certitude historique. Une référence date du 30 septembre 1704 émanant des consuls de Mézin. Ils mentionnent un établissement clunisien "depuis environ le règne de Charlemagne"[23].
Le bourg est délimité par une enceinte circulaire. Les limites de la ville sont repoussées aux XIIIe et XVe siècle, démontrant un essor considérable. La "Porte Anglaise" est le témoin de ces fortifications en taille de pierre[22].
L'époque moderne
Tout au long du XVIIe siècle, les remparts sont entretenus et la ville se développe intra-muros. Les portes de la ville sont peu à peu délaissées. En 1770, les ruines de ponts-levis ou murailles sont détruites.
Au cœur du village, se développe la place du marché où se déroulent les principales activités. Cette place est ceinturée de portiques ou "cornières" en bois avant d'être remplacés par des constructions en arc de pierre[25].
L'ère du bouchon
À la frontière des Landes, l'industrie du liège est indissociable de l'histoire de Mézin, entre le XVIIIe et le XXe siècle. La commune comptait, à la veille de la Première Guerre mondiale, deux fabriques employant plus de cent ouvriers, cinq fabriques de cinquante à cent ouvriers, quatre ateliers de dix à cinquante ouvriers et une dizaine d'ateliers comptant moins de dix ouvriers. Le processus de fabrication était le suivant : le liège était enlevé aux sûriers, trié en trois catégories, et vendu au bouchonnier, il était alors maintenu deux ou trois heures dans une vaste chaudière ; puis séché et livré aux « coupeurs » qui le débitaient en « bandes » longues de 20 à 25 centimètres, et larges de 3 à 4 cm ; puis en « carrés » de 2 centimètres de côté ; c'est alors que les ouvrières, à domicile ou à la machine, le transformaient en bouchons. On fabriquait des objets de toutes sortes (compte-gouttes, savons, rondelles, diabolos) ; les restes (copeaux) étaient expédiés dans des « fabriques de linoléum et briques de liège ». Les sûriers de la région fournissaient un centième à peine de la matière première employée ; leur liège trop mince pour les bouchons était toutefois excellent pour confectionner de menus objets ; tout le reste venait d'Algérie, d'Espagne et de Portugal. Cette industrie s'est transformé à la fin du XIXe siècle par l'introduction de machines, qui ont remplacé la main-d’œuvre ouvrière[26].
Époque contemporaine
Dans le contexte de la Deuxième Guerre mondiale, Mézin accueille des réfugiés Alsaciens-Mosellans expulsés de leurs domiciles par les nazis.
Héraldique
Blason | D'azur aux trois fleurs de lys d'argent, bordées d'or[27]. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
Tendances politiques et résultats
Liste des maires
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].
En 2021, la commune comptait 1 460 habitants[Note 6], en évolution de −8,12 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
Lieux et monuments
- Située au cœur des pays du foie gras, des pruneaux, de l'armagnac, la ville fut notamment un des bastions de l'industrie du liège en France au cours des XIXe et XXe siècles.
- Église Saint-Jean-Baptiste[34] dont la première pierre fut posée au XIe siècle. Des difficultés de financement expliquent un achèvement tardif de sa construction (XIVe siècle). C'est une église de style romano-gothique fortifiée (architecture romano-gothique). L'édifice a été classé au titre des monuments historique en 1840[35].
- Église Saint-Barthélemy de Trignan. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1999[36].
- Église Saint-Jean-Baptiste de Thens.
- Église Saint-Philippe-et-Saint-Jacques de Mazéret.
- Porte Anglaise ;
- Place Armand-Fallières ;
- Ruelles et maisons anciennes ;
- Circuit des arbres et chapelles ;
- Musée du liège et du bouchon[37] ;
- Gare : désaffectée ;
- Une statue de bronze de près d'une tonne fut édifiée, en 1938, en l'honneur du « patriarche de la République », Amand Fallières, selon l'expression de l'historien Jean-Pierre Koscielniak. Ce monument fut détruit sur ordre du gouvernement de Vichy en 1942[38].
- Monument aux morts ;
- Villa gallo-romaine ;
Personnalités liées à la commune
- Louis-Mayeul Chaudon (1757-1817), biographe français mort à Mézin.
- Jean-Marie-Gabriel d'Arodes de Lillebonne dit Darrodes de Lillebonne (1781-1838), écrivain et auteur dramatique né à Mézin.
- Émile Tartas (1796-1860), officier général né à Mézin. Militaire engagé notamment en Algérie lors d'expéditions contre Abd el-Kader (1840-1845), il fut promu général en 1852.
- Pierre-Marie-Frédéric Fallières, évêque de Saint-Brieuc et Tréguier de 1889 à 1906.
- Armand Fallières (1841-1931), président de la République Française de 1906 à 1913, président du Sénat de 1899 à 1906, président du conseil en 1883, né à Mézin.
- Elsa Canovas dite "Choco", comédienne de Mezin.
- Germain D'Almeida (1851-1917), bouchonnier et poète gascon qui a écrit à Mézin des poèmes, en occitan. Une salle de la commune porte son nom rue Saint Benazit[39],[40],[41].
- Henri Labit (1920-1942), né à Mézin, officier des Forces aériennes françaises libres, résistant, compagnon de la Libération.
Voir aussi
Bibliographie
- Romain Wagner, Des carriers hettangeois à travers l'Histoire, Quarto d'Altino, 2015, 176 pages. (ISBN 978-2-9527697-9-2).
Articles connexes
Liens externes
- Mézin sur le site de l'Institut géographique national
- Site officiel de l'Office de Tourisme de Mézin
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[4].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[5].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Carte IGN sous Géoportail
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Reaup - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Mézin et Réaup-Lisse », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Reaup - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Mézin et Estillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique d'Agen-La Garenne - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- Joël Raffier, Le Jupiter de Mézin, Le Mag no 131, supplément à Sud Ouest du 4 octobre 2014, p. 32.
- Mousset, Hélène, « Mézin, du bourg médiéval à la petite ville industrielle », Le Festin - La reconquête de la mémoire, , p. 80.
- Bastard, Charles, Histoire de Mézin.
- [1]
- Les petites villes du sud-ouest de l'Antiquité à nos jours, colloque d'Aiguillon, 12 et 13 mai 2004, éd. Société d'histoire des petites villes, 382 p.
- Revue de Gascogne : bulletin mensuel du Comité d'histoire et d'archéologie de la province ecclésiastique d'Auch. Auteur : Société historique de Gascogne, Comité d'histoire et d'archéologie de la province ecclésiastique d'Auch. Éditeur : [s.n.] (Auch) 1864-1939, domaine public
- Cercle Héraldique, Généalogique et Historique du 47
- http://www.francegenweb.org/mairesgenweb/resultcommune.php?id=8267 sur le site MairesGenWeb
- Francis Sigl« Jacques Lambert a été reconduit », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 22.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Jacques Gardelles - Aquitaine gothique - p. 202-205 - Picard - Paris - 1992 - (ISBN 2-7084-0421-0).
- « Eglise Saint-Jean-Baptiste », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- « Eglise Saint-Barthélémy de Trignan », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )
- Musée d'Aquitaine : Musée du Liège et du bouchon
- (arkheia-revue.org) Jean-Pierre Koscielniak ; Fallières : une statue encombrante, Arkheia, Montauban, 2008.
- http://www.printempsdespoetes.com/index.php?url=agenda/fiche_eve.php&cle=49488
- Germain D'Almeida
- L'atelier couleur.