Mouton (Charente)

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Mouton
Mouton (Charente)
Mouton et son église (MH).
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Charente
Maire
Mandat
Francine Pineau
2020-2026
Code postal 16460
Code commune 16237
Démographie
Gentilé Moltonais
Population
municipale
221 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 53′ 32″ nord, 0° 14′ 38″ est
Altitude Min. 57 m
Max. 109 m
Superficie 9,08 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Boixe-et-Manslois
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Mouton
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Mouton
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Mouton

Mouton est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont les Moltonais et les Moltonaises[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et accès[modifier | modifier le code]

Mouton est une commune du Nord Charente située 5 km à l'est de Mansle et 28 km au nord d'Angoulême, sur la rive gauche de la Charente.

Mouton est aussi à 16 km au sud de Ruffec, et 17 km de Champagne-Mouton et Saint-Claud[2].

La route principale passant en limite sud de commune est la D 739, entre Saint-Claud et Mansle. Les routes départementales D 185 et D 187 desservent le bourg. La N 10 entre Angoulême et Poitiers passe 4 km à l'ouest du bourg, et on y accède par l'échangeur de Fontclaireau[3].

La gare la plus proche est celle de Luxé à 10 km, desservie par des TER à destination d'Angoulême, Poitiers et Bordeaux.

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

La commune compte quelques hameaux, comme Puygelier au sud-ouest sur la D 739 et au bord de la Bonnieure, Chez Régnier, Chez Rougier et les Rivières à l'ouest du bourg, Peucet à l'est et Villois au nord[3].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le sol de la commune est constitué de calcaire datant du Jurassique (Callovien, et Oxfordien au sud-ouest). Les vallées (Son-Sonnette et Charente) sont occupées par des alluvions du quaternaire, et parfois localement bordées de grèzes et colluvions dans quelques combes affluentes[4],[5],[6].

Le relief de la commune est celui de bas plateaux bordés par des vallées. Le point culminant est à une altitude de 109 m, situé au sud-ouest du bourg. Le point le plus bas est à 57 m, situé au confluent de la Bonnieure et de la Charente. Le bourg, situé dans la vallée du Son-Sonnette, est à 70 m d'altitude[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le Son-Sonnette traverse la commune d'est en ouest et passe au pied du bourg, avant de se jeter dans la Charente qui fait la limite occidentale de la commune et qui est donc sur la rive gauche du fleuve.

La Tiarde, ruisseau descendant de Saint-Sulpice-de-Ruffec, fait la limite orientale de la commune et se jette dans le Son-Sonnette. En fait, ce ruisseau déjà à sec en été s'infiltre totalement 200 m avant de l'atteindre.

La Bonnieure, qui a reçu la Tardoire, se jette dans la Charente à la limite sud-ouest de la commune près de Puygelier.

Le Fontaniou, court ruisseau parallèle au fleuve, borde la commune au nord[3].

Climat[modifier | modifier le code]

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mouton est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (91,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (63,9 %), prairies (16,1 %), zones agricoles hétérogènes (11,8 %), forêts (5,4 %), zones urbanisées (2,8 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Mouton est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente, le Son-Sonnette, la Tiarde et la Bonnieure. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Mouton.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 61,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 143 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 91 sont en aléa moyen ou fort, soit 64 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[17].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage de Mas Chaban, un ouvrage de classe A[Note 2]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les formes anciennes sont Molton en 1110[20], Multone au XIIIe siècle[21].

L'origine du nom de Mouton remonterait à un nom de personne gaulois Multo- dont dérive le français « mouton »[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

Mouton est longé au sud par la voie romaine qui se dirige de Chassenon à la Terne, embranchement de la voie d'Agrippa de Lyon à Saintes. Il a été découvert aux lieux-dits Chez Rougier et Villois des vestiges de villas romaines avec pavage en béton et murs recouverts d'enduit[23].

Le prieuré de Mouton a été donné à l'abbaye Saint-Martial de Limoges[24],[Note 3] vers 910 par le comte de Poitiers Aymar et son épouse Santia[réf. nécessaire]. Il est possible de suivre son histoire jusqu'à la Révolution au travers des bulles, chroniques, et autres documents conservés aux archives départementales à Angoulême, Limoges, dans des archives privées et aux archives nationales.

Divers fiefs étaient implantés sur la commune ou y possédaient des droits : le prieuré de Mouton, du fief des Rivières, de l'hébergement de la Croix, une partie de Mouton mouvant du fief vicomtal[Lequel ?], une partie de Mouton mouvant du seigneur d'Aunac, le mas de Baudant, le fief des Fontenelles, fief des Granges de Puygelier, mas du Châtelard, fief de la Salle, fief de Moutonneau, fief de Bourdelais, cure de Saint-Front[réf. nécessaire].

Les plus anciens registres paroissiaux ne remontent qu'à 1740[24].

Administration[modifier | modifier le code]

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1792 1795 Jean Bernard    
1795 1799 Jacques Fradonnet    
1799 1800 Louis Gobaud    
1800 1807 Jean Bernard    
1807 1811 Jacques Rouye    
1811 1830 Louis Bonenne    
1830 1834 Jean Caillier    
1834 1841 Pierre Sylvestre    
1841 1849 Jean Bouton    
1849 1875 Pierre Sylvestre    
1875 1881 Pierre Saulnier    
1881 1897 Jean Thizon    
1897 1899 Pierre Saulnier    
1899 1901 Célestin Pierre Bouton    
1901 1904 François Clerfeuille    
1904 1908 Jean Deschamps    
1908 1913 Brice Vignaud    
1913 1929 Eugène Tardat    
1929 1948 Marcel Dezerces    
1948 1964 Kléber Charraud    
1964 1977 Michel Degorce    
1977 1983 Jacques Bois    
1983 1989 Jacques Geneuvre    
1989 2001 Guy Charraud    
2001 2014 Hervé Saulnier    
2014 En cours Jean-Pierre Cornu SE Artisan retraité

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 221 habitants[Note 4], en stagnation par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
556587512676654648628637618
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
569562528486488472429397362
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
359341314312347340325280283
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
259235212194223217220234221
2020 2021 - - - - - - -
222221-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,5 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 117 hommes pour 108 femmes, soit un taux de 52 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
1,9 
7,0 
75-89 ans
13,1 
20,0 
60-74 ans
22,4 
23,5 
45-59 ans
17,8 
17,4 
30-44 ans
17,8 
13,0 
15-29 ans
13,1 
18,3 
0-14 ans
14,0 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

La viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[31].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Patrimoine religieux[modifier | modifier le code]

L'église paroissiale Saint-Martial date du XIIe siècle. Elle existait dès l'an 900 et appartenait à l'abbaye Saint-Martial de Limoges[Note 3]. Ce prieuré bénédictin a perdu la conventualité en 1535 lorsque l'abbaye est devenue simple chapitre[24].

L'église a été reconstruite au XIIe siècle et peu remaniée même si le haut du clocher a été reconstruit à la fin du Moyen Âge[32].

La nef et la façade de l'église datent du XIIe siècle; elle fut surélevée au XVe siècle. Il n'y a pas de croisillon sud. Le chœur a été voûté d'ogive au XVe siècle. Le portail comporte une anomalie : on a remplacé une des deux archivoltes romanes par une ogive[24].

Le cimetière primitif a été supprimé vers 1830. Le vieux cimetière, désaffecté, a été supprimé en 1972. Il reste quelques tombes anciennes (XIe au XIIIe siècles) autour de l'église et également dans le vieux cimetière[réf. nécessaire].

L'église a été classée monument historique par arrêté du [33]. Elle contient un autel en bois sculpté et peint et une statue de vierge à l'enfant mutilé peinte du XVIIIe siècle, inscrits monument historique à titre objet depuis 1994[34].

Patrimoine civil[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Marcel Reible, Église Saint-Denis de Lichères, Église Saint-Martial de Mouton (Charente), Mansle, 1976.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[18].
  3. a et b Peut-être une confusion avec l'abbaye Saint-Sauveur de Charroux, plus proche géographiquement et fondée par le comte de Limoges (voir page de discussion).
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a b c et d Carte IGN sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Mansle », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Mouton », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Mouton », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  18. Article R214-112 du code de l’environnement
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  20. Jean Nanglard, Cartulaire de l'église d'Angoulême, t. IX, Bulletins et mémoires de la Société archéologique et historique de la Charente, imprimerie G.Chasseignac, (1re éd. 1180), 296 p. (lire en ligne), p. 92
  21. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 110,154,283
  22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 485.
  23. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 147
  24. a b c et d Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 257
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mouton (16237) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  31. « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
  32. Panneau officiel placé devant l'église
  33. « Église de Mouton », notice no PA00104440, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  34. « Mouton », sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture