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Reine de France (d · h · j · ) (actuellement une redirection vers Liste des reines et impératrices de France)


â voir
  • La construction de l’État monarchique en France de 1380 à 1715La construction de l’État monarchique en France de 1380 à 1715, 2021, excellents passages ur le rôle réginal sommaire
  • Kathleen Nolan, Queens in Stone and Silver: The Creation of a Visual Imagery of Queenship in Capetian France, Palgrave MacMillan, 2009 (ISBN 978-1-4039-6990-3), lire en ligne
    • TM
    • traite de l'identité visuelle (sceau, tombeau, etc.) de beaucoup de femmes nobles que celles indiquées (Bertrade de Montfort, Adèlaide de Maurienne, Aliénor d'Aquitaine et Blanche de Castille), à décortiquer (Constance de France, Constance de Castille,etc.)******
  • RAYNAUD, Christiane (dir.). Familles royales : Vie publique, vie privée aux XIVe et XVe siècles. Nouvelle édition [en ligne]. Aix-en-Provence : Presses universitaires de Provence, 2010
  • Elizabeth A. R. Brown, "Philip the Fair and His Family: His Sons, Their Marriages, and Their Wives", Medieval Prosopography, 2017, vol 32
  • Elizabeth A. R. Brown. “Philip the Fair’s Sons, Their Statuses, and Their Landed Endowments", Medieval Prosopography, 2017, vol 32
  • Sophie Brouquet-Cassagnes, Capétiennes. Les reines de France au Moyen Âge (Xe-XIVe siècles), Paris, Champs-Vallon, 2018***
  • Field, Sean L. & Walter Simons. 2018. « A prophecy fulfilled? An annotated translation of the sources on the death of crown prince Louis of France (1276) and

the interrogations of Elizabeth of Spalbeek (1276-1278) ». The Medieval Low Countries, vol. 5, 2018

  • Stanis Perez, Le corps de la reine. Engendrer le Prince, d’Isabelle de Hainaut à Marie-Amélie de Bourbon-Sicile. Perrin, « Hors collection », 2019 dispo Cairn
à surveiller

Survol historique[modifier | modifier le code]


  • Haut Moyen Âge
  • Moyen Âge central
  • Moyen Âge tardif
  • Renaissance
  • XVIIe-XVIIIe s.
  • XIXe s.


Haut Moyen Âge
  • consors regni


  • Eric Bournazel, « Réflexions sur le rôle et la place de la reine dans le palais royal et le gouvernement aux temps mérovingiens », Le corti nell'alto Medioevo: Spoleto, 24-29 aprile 2014, Spolète, 2015, (2 vol.) p. 385-427 (dispo UL : D 111 C397 62 1 / D 111 C397 62 2)
  • Eric Bournazel, « Du pouvoir des reines aux temps mérovingiens », Études offertes à Jean-Louis Harouel. Liber amicorum, ed. D. Salles, A. Deroche et R. Carvais, Editions Panthéon-Assas, Paris, 2015, pp. 33-56.


  • Nelson, Janet L. “Les reines carolingiennes”. Sansterre, Jean-Marie, et al.. Femmes et pouvoirs des femmes à Byzance et en Occident (vie-xe siècles). Lille : Publications de l’Institut de recherches historiques du Septentrion, 1999. (pp. 121-132 https://books.openedition.org/irhis/1640








  • MacLean, Simon, Queenship, Nunneries and Royal Widowhood in Carolingian Europe, Past and Present (2003) 178 (1): 3-38. "The author traces the political implications of these three phenomena which came together very strongly during the second half of the ninth century. MacLean uses case studies of Empress Richgard's management of the monastery of Andlau in Alsace and of Empress Engelberga's administration of S. Sisto in Piacenza, Italy. In both instances the royal widows drew on natal family ties and regional connections to establish their authority. MacLean suggests that the rise in queenly influence at this period was in part an effort to establish a moral role for queens whose reputations had been badly tarnished by such events as Lothar's divorce." (résumé)
ico-Carolingiens


Moyen Âge
  • Giulia Calvi (éd.), Women Rulers in Europe : Agency, Practice and the Representation of Political Powers (XII-XVIII), EUI Working Papers HEC, n° 2008/2, (pdf téléchargé), articles pertinents :
    • Janet L. Nelson, Family structures and gendered power in early medieval kingdoms : the case of Charlemagne’s mother, p. 27-44
    • Serena Ferente, Naturales dominæ : Female political authority in the Late Middle Ages, pp. 45-61.
    • Fanny Cosandey, "Quelques réflexions sur les transmissions royales maternelles : La succession de Catherine de Médicis", p. 62-71
époque moderne
  • Bartolomé Bennassar, Le Lit, le pouvoir et la mort : Reines et Princesses d'Europe de la Renaissance aux Lumières, Paris, De Fallois, 2006 (UL: D 107.3 B469 2006)
  • Frédérique Leferme-Falguières, Les courtisans : une société de spectacle sous l'Ancien Régime, PUF, 2007 (dispo GB) (cérémoniaux - naissances, baptêmes, mariages de la famille royale, choix du conjoint, accueil et intégration des princesses, obsèques...
  • Mathieu da Vinha, Au service du roi : dans les coulisses de Versailles, 2015, notamment La maréchale de la Mothe-Houdancourt : gouvernante des enfants de France (Accouchement en public, etc.) et Marie-Angélique Madeleine Poisson : première femme de chambre de la dauphine
  • Travaux de Lucien Bély, dont :
    • Lucien Bély, La société des princes: XVIe - XVIIIe siècle, 1999 (dispo GB : 940.252 B454s)
    • Lucien Bély, Les Relations internationales en Europe : XVIIe et XVIIIe siècles, Paris, PUF, 2007 (1992), etc.
  • Isabelle Poutrin et Marie-Karine Schaub dir. Femmes et pouvoir politique. Les princesses d'Europe, XVe-XVIIIe siècle, Paris, Bréal, 2007, p. 218-232. (UL : HQ 1236 F3297 2007) sommaire
    • Michel Nassiet, Les reines héritières : d’Anne de Bretagne à Marie Stuart
    • Bénédicte Lecarpentier, La reine diplomate : Marie de Médicis et les cours italiennes ()
    • Thomas Kaiser, Maternité et nationalité : Marie-Antoinette
    • Monique Chatenet, Habits de cérémonie : les mariages à la cour des Valois ()
    • Jean-François Dubost, Le corps de la reine, objet politique : Marie de Médicis ()
    • Fanny Cosandey, Les préséances à la cour des reines des France ()
    • Annie Duprat, Les princesses dans la propagande : Marie-Antoinette au miroir des reines de France
  • Travaux d'Arlette Jouanna
XVIIe s.


XVII-XVIIIe s.


XIXe s.
  • Coffret de la toilette de la duchesse de Parme réalisé par François-Désiré Froment-Meurice, toilette commandée par souscription des dames légitimistes de France à l'occasion du mariage (1845) de Louise Marie-Thérèse de Bourbon-Artois (1819-1864), petite fille de Charles X, avec le prince héréditaire de Lucques, futur duc Charles III de Parme, livré à Parme. Son décor constitue une évocation nostalgique et idéalisée d'un Moyen Age fidèle à son roi et à son Dieu, en même temps qu'une exaltation de la France traditionnelle et des liens du mariage. Les coffrets à bijoux dont la forme rappelle les châsses mosanes du XIIe siècle sont décorés des portraits de vingt Françaises illustres par leur piété, leur courage et leur talent littéraire, telles Blanche de Castille, Jeanne d'Arc ou Clémence Isaure. (liste complète dans la notice; selon moi, "Jeanne la Boiteuse" n'est pas Jeanne de Bourgogne, mais Jeanne de Penthièvre)


général
  • Chantal Grell, Deux reines de France face au tribunal de l'histoire : les procès de Brunehaut et de Frédégonde, dispo. sur Torossa

Les raisons d'un choix[modifier | modifier le code]


  • importance d'inclure dans cette section les cas d'épouses d'héritiers n'étant jamais devenues reines (Bonne de Luxembourg, Marie-Anne de Bavière, Marie-Adélaïde de Savoie, Marie-Thérèse d'Espagne, Marie-Josèphe de Saxe, etc.) et les projets de mariage avortés pour le roi ou l'héritier du trône
  • cas des reines par accident, pas destinées à devenir reines, mariées à des hommes qui n'étaient pas destinés au trône : Adélaïde d'Aquitaine, Jeanne de Bourgogne (épouse de Philippe de Valois), Catherine de Médicis, mariée au second fils du roi de France, etc.
  • autres motivations :
    • autre importance politique de l'alliance (Marguerite d'Écosse pour consolider l'alliance franco-écossaire ?)
    • Jeanne de Bourbon pour assurer l'acquisition du Dauphiné (avait d'abord été promise au dauphin Humbert... sa dot servira finalement à financer l'achat du Dauphiné)
    • docilité de la bru (choix par la belle-mère, cas de Brunehilde choisissant sa future belle-fille
    • importance de la beauté de la future (étudié pour les Habsbourg)
  • « <p. 106>Une des règles non écrites de la monarchie française, élaborée par les jurisconsultes du XVIe siècle, exige que les enfants du roi choisissent leur conjoint hors du royaume au sein des familles souveraines. Il importe ainsi de ne pas favoriser une famille sujette du royaume en lui offrant une alliance avec le sang royal. Cet impératif rejoint les logiques matrimoniales communes à la société aristocratique : il faut épouser quelqu'un du même rang que soi. L'endogamie est par conséquent la règle et la peur de la mésalliance agit comme un interdit. [...] La noblesse est avant tout héréditaire ; elle ne se donne pas plus qu'elle ne se crée. Il importe donc d'en conserver les qualités en préservant la transmission des valeurs aristocratiques par l'éducation et en évitant les mésalliances. Les logiques matrimoniales de la famille royale participent de la même idéologie et la <p. 107> qualité du sang royal ne saurait être altérées en le mêlant à un autre de moindre extraction.[1] »
  • « Le choix du conjoint obéit donc à des principes d'homogamie sociale très stricts, qui rejoignent des considérations économiques et politiques. [...] Après Anne de Bretagne, les futures reines et dauphines sont choisies dans les maisons souveraines étrangères. À partir du XVIe siècle, toutes les principautés souveraines ont en effet été réunies à la couronne et la quête du conjoint s'effectue donc logiquement hors des frontières. Ce principe ne connaît que deux exceptions : Louise de Lorraine et Marguerite de Valois. Or, les mariages d'Henri III et d'Henri IV interviennent dans un contexte particulièrement troublé par les guerres de religion et les problèmes dynastiques. L'appui de la famille de Lorraine est indispensable à Henri III au moment de son accession au trône. Il épouse Louise le lendemain de son sacre pour s'assurer cette alliance. D'autre part, les princes de Lorraine sont considérés comme princes étrangers en France puisque leur duché est terre d'Empire. [mariage Marguerite-futur Henri IV] obéit à la même logique. Pour Catherine de Médicis, il permet d'acheter la paix religieuse en unissant le premier prince réformé de France à la sœur du roi. Il suit aussi une logique politique et dynastique particulière, unissant la branche de Valois à la branche de Bourbon, offrant une légitimité supplémentaire à Henri de Navarre. Mais une fois son accession au trône assurée, Henri IV s'empresse de répudier Marguerite de Valois, pour choisir Marie de Médicis et revenir à un choix matrimonial plus conforme aux usages et aux exigences de la succession à la couronne.[2] »
    • note de moi : le futur Henri IV, au moment de son mariage avec Marguerite, n'est pas destiné à succéder à la couronne de France. La logique s'appliquant au mariage du roi ou de son héritier ne s'applique donc pas.
  • Lettre de Talleyrand à Louis XVII à propos du choix d'une épouse pour le duc de Berry, ses objections à la grande-duchesse Anne de Russie, soeur du tsar, sa préférence pour une princesse des Bourbon et liste des princesses disponibles (entre 14 et 25 ans), catholiques, avec famille


L'importance du lignage[modifier | modifier le code]

  • importance du haut lignage de la femme
  • épouses serviles de rois mérovingiens, incompréhension/mépris des contemporains (Régine LeJan)
  • Charles de Lorraine qui aurait été exclu du trône de France parce que son épouse était d’un rang relativement modeste (discours que Richer place dans la bouche d'Adalbéron)
    • à propos du discours que Richer prête à Adalbéron contre Charles de Lorraine : « Pour Richer, tout tient dans les accusations portées par Adalbéron contre Charles, disqualifié de la succession pour avoir servi un "roi extérieur" (regi externo servire) et épousé une femme issue du milieu de ses vassaux armés (milites). Tout cela n'est qu'élucubration. [saut de ligne] (...) Quant à la prétendue mésalliance de Charles, elle aurait certainement empêché son élection, et même sa candidature. Mais son épouse portait le nom d'Adélaïde, leurs enfants eurent tous des noms royaux; il est probable qu'elle était la fille d'Herbert II de Troyes (6). »
      • note 6 "Trop attaché à défendre la crédibilité de Richer, Ferdinand Lot a donné deux épouses successives à Charles, l'une issue de milites, l'autre fille du comte de Troyes, mais l'hypothèse, défendue avec peu de conviction, est irrecevable."
        • source : Carlrichard Brühl (trad. de l'allemand par Gaston Duchet-Suchaux, édition française établie par Olivier Guyotjeannin), Naissance de deux peuples, Français et Allemands : IXe-XIe siècle [« Deutschland-Frankreich. Die Geburt zweier Völker »], Fayard, (1re éd. 1990), 387 p. (ISBN 2-213-59344-2 et 9782213593449), p. 255 et note 6.


  • recherche de femmes issues de lignées royales chez les premiers Capétiens (ex : Rozala d'Italie) pour affirmer leur nouveau statut
Marie de Médicis
  • « ...dès que Henri IV commença à prendre en considération l'éventualité d'un deuxième mariage (...), la possibilité de choisir la nièce du Grand-duc lui vint à l'esprit, accompagnée toutefois de réserves profondes au sujet de son rang princier, aussi bien que de la méfiance suscitée en lui par sa parenté avec la précédente reine de France de la maison de Médicis, Catherine. "Étant l'une des moindres maisons de la chrétienté qui porte le titre de prince - disait-il en 1598 à Sully - puisqu'il n'y a pas plus de soixante ou quatre-vingts ans, ses devanciers n'étaient qu'au rang des plus illustres bourgeois de leur ville, et de la même race que la reine-mère Catherine qui a causé tant de maux à la France et à moi en particulier, j'appréhende cette alliance de crainte d'y rencontrer aussi du mal pour moi, les miens et l'État.(3)" »[3]
    • (3) Les Œconomies royales de Sully, éd. D. Buisseret et B. Barbiche, II (1595-1599), Paris, 1988, p. 147
    • ce passage des Mémoires de Sully - Henri IV évoque d'autres princesses** (intéressant pour les motivations d'un choix)


Marie Leszczynska
  • mariage avec Marie Leszczyńska vu comme une mésalliance

Engendrer un héritier[modifier | modifier le code]

  • reines choisies rapidement surtout pour engendrer un héritier, parfois en dépit de leur lignage « ordinaire » : Alix de Champagne, 3e épouse de Louis VII; Jeanne d’Évreux; Agnès de Méranie (? contexte de la répudiation d’Ingeborge), Constance de Provence (menacée de répudiation après la naissance d’un héritier, le roi voulant retourner avec Berthe de Bourgogne), Marie Leszczyńska
  • besoin de reines en âge d’engendrer, pas enfants : cas de Marguerite d’Autriche fiancée à Charles VIII (?), cas de Marie Anne Victoire d'Espagne, fiancée à Louis XV (?)
  • menaces de répudiation en cas de stérilité : Blanche de Castille (?), Marguerite de Provence (?), Catherine de Médicis

Les riches héritières[modifier | modifier le code]

  • Aliénor, duchesse d'Aquitaine (raison du mariage, volonté d'empêcher le divorce pour éviter la perte de l'héritage)
  • Isabelle de Hainaut
  • Jeanne, reine de Navarre et comtesse de Champagne
  • Jeanne de Bourgogne, héritière d’Artois, ép. Philippe IV
  • Jeanne, comtesse d’Auvergne et douairière de l’héritier de Bourgogne
  • Anne de Bretagne (deux fois reine en raison de son héritage) et Claude de France (toujours pour assurer l'héritage de la Bretagne au royaume de France)
  • Marie Stuart, reine d'Écosse


Rétablir ou maintenir la paix / politique[modifier | modifier le code]

la couche royale, voie vers le pouvoir[modifier | modifier le code]

  • cas des concubines/maîtresses devenues reines
  • cas mérovingiens
  • cas de certaines concubines des Carolingiens : Himiltrude (?), Luitgarde...
  • Friedelehe (contestation de cette théorie)
  • ambitions de Gabrielle d'Estrées
  • épouses morganatiques au XVIIe s. : Mme de Maintenon, Mme de Choin

Se marier par amour[modifier | modifier le code]

  • les reines mérovingiennes
  • Berthe de Bourgogne (?)
  • Bertrade de Montfort
  • Blanche de Navarre (?)
  • Louise de Lorraine (?)
  • le cas de Madame de Maintenon
  • impératrices Joséphine et Eugénie

Importance de la beauté[modifier | modifier le code]

Les obstacles de la consanguinité[modifier | modifier le code]

Divorces, dissolutions[modifier | modifier le code]

  • David d'Avray, Papacy, Monarchy and Marriage, 860-1600, 2015
  • David d'Avray, Dissolving Royal Marriages, A Documentary History, 860–1600
    • Pour la France, traite de :
      • Robert le Pieux et Berthe de Bourgogne
      • Philippe 1er et Bertrade de Montfort
      • Louis VII et Aliénor d'Aquitaine
      • Philippe II Auguste et Ingeburge de Danemark
      • Charles IV le Bel et Blanche de Bourgogne
      • Louis XII et Jeanne de France
      • Henri IV et Marguerite de Valois

Les reines au pouvoir[modifier | modifier le code]

  • cas des filles de roi devenues reines de France par leur mariage, non leur filiation (Jeanne de France, Claude de France, Marguerite de Valois), Emma de France, Raoul devient roi grâce à son mariage ?
  • loi salique
  • reines-mères, régentes...
  • pouvoir informel
  • perception négative vs pouvoir de la reine
  • Patrick Corbet, "Entre Aliénor d'Aquitaine et Blanche de Castille: Les princesses au pouvoir dans la France de l'Est", Mächtige Frauen? Königinnen und Fürstinnen im Europäischen Mittelalter (11-14 Jahrhundert). Edited by Claudia Zey. Jan Thorbecke Verlag, 2015. Pages 225 - 247 description, en ligne

Participation des femmes dans la vie politique française[modifier | modifier le code]

L'invention de la loi salique[modifier | modifier le code]

Les régentes[modifier | modifier le code]

  • minorité de l'héritier, absence du roi (guerre, croisade, folie de Charles VI)
  • Brunehilde, Anne de Kiev, Blanche de Castille, Isabeau de Bavière, Catherine de Médicis, Marie de Médicis, Anne d'Autriche, régences sous le régime impérial : Joséphine, Marie-Louise, Eugénie...
  • régences prévues (Jeanne de Champagne, Jeanne de Bourbon...) ou effectives
  • celles qui se font refuser la régence (Charlotte de Savoie vs Anne de France; Claude de France vs Louise de Savoie)
  • Autrand, Françoise, « La succession à la couronne de France et les ordonnances de 1374 », Joël Blanchard éd., Représentation, pouvoir et royauté à la fin du Moyen Âge, actes du colloque organisé par l'Université du Maine les 25 et 26 mars 1994 (Paris : Picard, 1995), p. 25-32 (dispo UL : JC 375 R425 1995)
  • (en) Tracy Adams et Glenn Rechtschaffen, « Isabeau of Bavaria, Anne of France, and the History of Female Regency in France », Early Modern Women: An Interdisciplinary Journal, vol. 8,‎ , p. 119-147 (lire en ligne)
  • Tracy Adams, « Theorizing Female Regency: Anne of France’s Enseignements à sa fille », dans Cynthia J. Brown et Anne-Marie Legaré, éd., Les Femmes, la culture et les arts en Europe entre Moyen Âge et Renaissance, Turnhout, Brepols Publishers, 2016, p. 387-401 DOI 10.1484/M.TCC-EB.5.107677 (dispo UL : N 5240 F329 2016)
  • Ursula Vones-Liebensten, « Une femme gardienne du royaume ? Régentes en temps de guerre (France-Castille, XIIIe siècle) », La guerre, la violence et les gens au Moyen Âge tome 2, p. 9-22 (dispo UL)
  • Elizabeth McCartney, « The King’s Mother and Royal Prerogative in Early-Sixteenth-Century France » dans Medieval Queenship résumé (dispo UL) (Catherine de Médicis)
  • Corvisier André. Pour une enquête sur les régences. In: Histoire, économie et société, 2002, 21ᵉ année, n°2. Le couple / Varia, sous la direction de Scarlett Beauvalet et Agnès Walch. pp. 201-226.
  • Thierry Wanegfflen, Le pouvoir contesté. Souveraines d'Europe à la Renaissance, Paris, Payot, 2008 (dispo BdeQ) (Catherine de Médicis, Anne de Bretagne, régences, France vs Europe...)

Relations[modifier | modifier le code]

La reine et son roi[modifier | modifier le code]

  • reines par amour : Berthe de Bourgogne...
  • inimitiés : Constance d'Arles, Ingeburge de Danemark, Aliénor d’Aquitaine...
  • répudiation : Ingeburg de Danemark
  • influence de la reine auprès du roi
  • infidélité du roi

La reine et ses enfants[modifier | modifier le code]

  • importance d'engendrer / stérilité
  • le pouvoir de la reine-mère
  • Amour : Blanche de Castille et ses enfants
  • Inimitié Constance de Provence et son fils
  • les reines sans enfant (statut précaire...)
  • rôle (ou non) dans l'éducation des enfants
  • grossesse, accouchement et rythme des naissances
  • taux de fécondité
  • travaux de Pascale Mormiche sur l'éducation des princes français
    • Pascale Mormiche, « Enfance, enfances de princes en France (xviie-xviiie siècles) », Mélanges de l’École française de Rome - Italie et Méditerranée modernes et contemporaines [En ligne], 123-2 | 2011 :
      • « Vers 1780, la figure maternelle de la reine apparaît dans l’éducation royale. Marie-Antoinette introduit des changements dans l’éducation des enfants royaux dont Louis XVI lui a confié la charge exclusive ce qui ne s’est jamais vu pour une reine de France. En 1783, une révolution transforme dans l’allure des enfants : plus de poudre, plus de rouleaux, des cheveux libres. La mode à l’anglaise apparaît dans l’aile des princes à Versailles, avec des habits d’enfant comme les autres enfants d’aristocrates. La reine garde ses enfants auprès d’elle, modifie pour ce faire les appartements du rez-de-chaussée du château. Comportement impensable quelques années auparavant, elle se retire de la cour et s’enferme avec eux lors des maladies. Des lieux spécifiques d’éducation sont projetés, jardins, espaces de jeux, galerie de maquette de marine et de physique... Mais les circonstances politiques et les décès des enfants ne permettent pas d’aller plus loin dans l’interprétation des modifications que la reine aurait entreprises de son propre chef. »
  • Pascale Mormiche, Stanis Perez (dir.), Naissance et petite enfance à la cour de France (Moyen Âge - XIXe siècle), Villeneuve-d’Ascq, Presses Universitaires du Septentrion, 2016, (ISBN 978-2-7574-1379-1) présentation et sommaire - présentation éditeur, dont :
    • Pascale Mormiche « De la grossesse à la naissance : le calendrier et le cérémonial (1638-1789) »
    • Ghislain Tranié, « L’honneur que le Roy me faict aittre marry de mon aspesansse me consolle et m’afflige ». Les effets de l’infécondité sur les corps de Louise de Lorraine et de Henri III
    • Emmanuelle Berthiaud, La grossesse invisible : la représentation des reines et des princesses enceintes à la cour de France (XVIIe-XIXe siècles)
    • Stéphanie Richard, « Ut prole non careat » : procréation et nullités de mariage à la cour de France à la fin du Moyen Âge

Filles de France [rôle...][modifier | modifier le code]

La reine comme marâtre[modifier | modifier le code]

La reine et sa belle-famille[modifier | modifier le code]

  • Marguerite de Provence, querelle avec Charles d’Anjou à propos de la Provence, relation avec Blanche de Castille
  • Jeanne d’Évreux, Blanche de Navarre avec la famille royale française
  • le roi mariant les parents de son épouse (Jeanne de Bourbon, soeurs mariées par Charles V selon ses intérêts)

La reine et sa famille d’origine[modifier | modifier le code]

  • la promotion des familles des reines aux temps carolingiens (ex : Bosonides)
  • Blanche de Castille et les relations avec sa famille
  • Haganon, favori de Charles III le Simple, p.e. parent de la reine

La reine et les favorites[modifier | modifier le code]

  • éléments Marie d’Anjou et Agnès Sorel, Bernard Chevalier, « Marie d’Anjou », p. 91-92
  • Maîtresses et favorites dans les coulisses du pouvoir du Moyen Âge à l’Époque moderne, Saint-Étienne, Publications de l'Université de Saint-Étienne, sous presse (sommaire)
    • Bruno Dumézil – « Il se rangeait trop volontiers aux avis des femmes » : le roi mérovingien face à ses concubines
    • Flavie Leroux, La fortune familiale d’une favorite sous Louis XIV : Madame de Montespan et la politique matrimoniale des Rochechouart-Mortemart
    • Laurent Guitton, Fastes et malheurs du métier de favorite : Antoinette de Maignelais, de la cour de France à la cour de Bretagne
    • Marion Chaigne-Legouy, Le « dossier Agnès Sorel ». État de la question et perspectives de recherche
    • Guillaume Garnier, Le coucher, le lever, le sommeil des maîtresses royales, les exemples de Mme de Maintenon et de Mme de Pompadour
    • Éliane Viennot, Marguerite de Valois et Henri IV. La contribution d'une reine à une typologie de la maîtresse royale, etc.
  • travaux de Flavie Leroux sur les maîtresses royales
    • L’intégration des maîtresses royales au « système de la cour » (1661-1691), dans Femmes à la cour de France - charges et fonctions (Moyen Âge – XIXe siècle), à paraître
  • Femmes à la cour de France - charges et fonctions (Moyen Âge – XIXe siècle), à paraître
    • Flavie Leroux, L’intégration des maîtresses royales au « système de la cour » (1661-1691)
    • Antoine Rivault, Le clan de la duchesse d’Étampes : pouvoir et fortune d’une favorite royale à la Renaissance (1525-1575)
    • Pascal Firges, Extra-marital alliances ? Concubinage and Power at the French Court in the Seventeenth and Eighteenth Centuries
    • Véronique Garrigues, Les clairs-obscurs de Françoise de Foix, dame de Chateaubriant (1494-1537) : Revisiter l’image d’une favorite royale (XVIe-XIXe s.)

La reine et l'entourage royal[modifier | modifier le code]

Le "parti de la reine" à la cour[modifier | modifier le code]

  • parti de Marie de Brabant à la cour de Philippe III
  • parti de Marie-Antoinette
  • parti d'Anne d'Autriche

La reine et son entourage[modifier | modifier le code]

  • Femmes à la cour de France - charges et fonctions (Moyen Âge – XIXe siècle), à paraître
    • Aubrée David Chapy, La « Cour des Dames » d’Anne de France et de Louise de Savoie : émergence d’un nouvel espace de pouvoir
    • Fanny Giraudier, Une cour sans reine : parcours et statuts des femmes à la cour de France en l’absence de reine (1589-1600)
    • Charles Eloi-Vial, La Maison de l’impératrice Marie-Louise face au déclin de l’Empire
    • Elisabeth Narkin, Les charges et le personnel féminin de la cour des enfants (XVe – XVIIe siècle)
    • Pascale Mormiche, Les nourrices des Enfants de France (XVIIe-XVIIIe siècle)
biblio
ico

La reine sans le roi :veuves et répudiées[modifier | modifier le code]

  • reines délaissées et isolées devant se remarier, comme Anne de Kiev
  • remariages (Anne de Kiev, Alix de Savoie) (refus de se remarier : Blanche de Navarre)
  • réactions des fils au remariage
  • douairières, défense de leurs droits : Jeanne d’Évreux, Blanche de Navarre
  • régentes (à traiter plutôt dans la section Reine et pouvoir)
  • répudiées : Berthe de Hollande, Aliénor d’Aquitaine, Ingeborge de Danemark, Jeanne de France, Marguerite de Valois
  • entrées au couvent
  • gardiennes de la mémoire familiale
  • Emmanuelle Santinelli, Des femmes éplorées ? Les veuves dans la société aristocratique du haut Moyen Âge, Presses Univ. Septentrion, 2003
  • Jean Verdon, Les veuves des rois de France aux Xe et XIe siècles, dans Veuves et veuvages dans le haut Moyen-Age, 1993 p. 187-198 (photocopié), et autres articles de ce volume

Rôles et fonctions : le "métier de reine"[modifier | modifier le code]

Représentation[modifier | modifier le code]

  • la reine, un "trésor animé"

La dame de paix, diplomatie / médiatrice[modifier | modifier le code]

  • épouser pour consolider une alliance/garantir une paix (ex : Anne de Bretagne)
  • rôle des reines dans les négociations de paix, intermédiaire entre les partis
  • rôles de Jeanne d’Évreux et Blanche de Navarre dans les relations des rois de France avec Charles le Mauvais
  • Isabeau de Bavière
  • Épitre à la reine de Christine de Pisan adressée à Isabeau de Bavière
  • Charlotte de savoie, intervenant en 1469 pour ramener la paix entre Louis XI et Charles de Guyenne (Offenstadt, p. 319)
  • Rachel Gibbons, « Les conciliatrices au bas Moyen Âge : Isabeau de Bavière et la guerre civile », dans Philippe Contamine et Olivier Guyotjeannin, dir.;, La guerre, la violence et les gens au Moyen Âge : 119e congrès national des sociétés historiques et scientifiques, Amiens, 1994, vol. 2 : La violence et les gens, Paris, CTHS, (ISBN 978-2-7355-0331-5), p. 23-33
    • dispo UL : AS 162 A3 C749p 119 2
  • Adams, Tracy, « Moyenneresse de traictié de paix: Christine de Pizan's mediators », Healing the Body Politic: The Political Thought of Christine de Pizan, éd. Karen Green et Constant J. Mews, Turnhout, Brepols (Disputatio, 7), 2005, p. 177-200. (pas dispo UL)
  • Françoise Autrand, Christine de Pizan: une femme en politique, Paris, Fayard, 2009 (dispo emprunt numérique banq)



  • Claire-Marie Schertz, Autour de Christine de Pizan : entre lyrisme courtois et engagement politique », COnTEXTES [En ligne], 13 | 2013 (Épitre à la reine)
    • "Comme le montre Nathalie Nabert, le thème de la reine guérisseuse fait référence aux saintes protectrices du royaume que sont sainte Geneviève, patronne de la ville de Paris, et sainte Clotilde, épouse de Clovis et reine de France, et renvoie au domaine de l’hagiographie" (renvoi à Nabert (Nathalie), « La mère dans la littérature politique à la fin du Moyen Âge (xive-xve siècles) », Bien dire et bien aprandre, n° 16, 1998)
  • Women, Diplomacy and International Politics since 1500, 2015 (non dispo UL) sommaire - extraits Google, notamment :
    • Ellie Woodacre, « Cousins and Queens: Familial ties, political ambition and epistolary diplomacy in Renaissance Europe »
    • Silvia Z. Mitchell, « Marriage Plots: Royal Women, Marriage Diplomacy, and International Politics at the Spanish, French and Imperial Courts, 1665-1679 »
  • J. DEVAUX, A vostre priere et parole il en vauldra grandement mieulx : images de la médiatrice dans les Chroniques de Froissart, Femmes de pouvoir, femmes politiques durant les derniers siècles du Moyen Âge et au cours de la première Renaissance, dir. É. BOUSMAR, A. MARCHANDISSE, B. SCHNERB et J. DUMONT, Bruxelles, 2011

Une "reine de guerre" ?[modifier | modifier le code]

  • Marjolaine Massé, « Représenter la victoire militaire d’une femme : le cas de l’étendard de la reine Gerberge », Les Cahiers de l’École du Louvre. Recherches en histoire de l’art, histoire des civilisations, archéologie, anthropologie et muséologie, no 15,‎ (ISSN 2262-208X, DOI 10.4000/cel.9017, lire en ligne)
  • Damien Bril, « Des reines violentes. Le genre et la guerre dans l’iconographie royale française au XVIIe siècle », Les Cahiers de l’École du Louvre. Recherches en histoire de l’art, histoire des civilisations, archéologie, anthropologie et muséologie, no 15,‎ (ISSN 2262-208X, DOI 10.4000/cel.9736, lire en ligne, consulté le )

Intercession[modifier | modifier le code]

  • rôle d'intermédiaire/médiatrice entre le roi et ses sujets, villes, communautés religieuses, d'autres princes, papes...
  • l'accès au roi/prince
  • plaider
  • depuis le haut moyen âge (ex : mention de la reine comme intermédiaire dans les diplômes carolingiens; Brunehaut obtenant des privilèges (pontificaux?) pour ses fondations d'Autun)...
  • Jean-Marie Moeglin, dir. L'Intercession du Moyen Âge à l'époque moderne. Autour d'une pratique sociale

Genève, Droz, 2004, compte-rendu (UL : BV 210.3 I61 2004), dont :

    • Introduction (p. 12-13)
    • Hermann Kamp, L'intercession dans les relations politiques au Moyen Âge classique (p. 74-75-76)


Mécénat[modifier | modifier le code]

  • trouvères et troubadours ?
  • mécénat culturel, livres…
  • Jeanne de Navarre commandant une biographie de Saint Louis à Joinville
  • dévotion...
  • fondation Maubuisson


  • catalogue d'exposition L'Art au temps des rois maudits : Philippe le Bel et ses fils, 1285-1328
  • Art et architecture à Melun au Moyen Âge : actes du colloque d'histoire de l'art et d'archéologie tenu à Melun les 28 et 29 novembre 1998, Paris : Picard, 2000 (UL : NA 1043 A784 2000), nombreux article, notamment :
    • Yves Gallet, La collégiale Notre-Dame de Melun au temps de Robert le Pieux
    • Arnaud Timbert et Yves Gallet, Une fondation royale du début du XIIIe siècle: l'abbaye Saint-Jean-Baptiste du Jard [Adèle de Champagne]
    • Gajewski-Kennedy, Alexandra, Recherches sur l'architecture cistercienne et le pouvoir royal: Blanche de Castille et la construction de l'abbaye du Lys
    • Erlande-Brandenburg, Alain - Le tombeau de Coeur de Blanche de Castille à l'abbaye du Lys
  • Les chapelles du chevet de la collégiale de Mantes. Un petit chef-d'oeuvre du gothique rayonnant; Gallet, Yves. (2005) - In: Bulletin monumental vol. 163 (2005) p. 101-114
  • Les statuettes de la chapelle dite "de Navarre" à Notre-Dame de mantes; Baron, Françoise. (2001) - In: Bulletin de la Société nationale des antiquaires de France (1997) p. 266-274
  • Plagnieux, Philippe, « Une fondation de la reine Marie de Brabant: la chapelle Saint-Paul Saint-Louis », dans Mantes médiévale. La collégiale au coeur de la ville, 2000, p. 110-116 (pas dispo UL)


  • L. Fagnart, É. L’Estrange (éd.) : Le mécénat féminin en France et en Bourgogne, XVe-XVIe siècles : nouvelles perspectives - compte-rendu : http://cour-de-france.fr/article2763.html
  • Patronnes et mécènes en France à la Renaissance. Études réunies et présentées par Kathleen Wilson-Chevalier avec la collaboration d'Eugénie Pascal, Saint-Etienne, Publications de l'Université de Saint-Etienne, 2007 (table des matières), dont :
    • Aurore Evain — Les Reines et princesses de France, mécènes, patronnes et protectrices du théâtre au XVIe siècle
    • Elizabeth Lestrange — Le mécénat d’Anne de Bretagne
    • Cynthia Brown — Le mécénat d’Anne de Bretagne et la politique du livre
    • Annemarie Jordan et Kathleen Wilson-Chevalier — L’épreuve du mécénat: «Alienor d’Austriche», une reine de France effacée?
    • Sheila ffolliott(sic)-La reine mécène idéale de la Renaissance : Catherine de Médicis définie par elle-même ou définie par les autres ?
    • Caroline zum Kolk Caroline zum Kolk — Le mécénat de Catherine de Médicis d’après sa correspondance
    • Laurent Odde — Les coulisses du pouvoir : Châteaux, jardins et fêtes. Quelques aspects du mécénat (transgressif) de Catherine de Médicis
    • Chantal Turbide — Catherine de Médicis mécène d’art contemporain: l’hôtel de la Reine et ses collections
    • Alexandra Zvereva — Catherine de Médicis et les portraitistes français
    • Michèle Bimbenet-Privat — Catherine et ses orfèvres: précision, exigence, autorité
    • Kerrie-rue Michahelles — Apprentissage du mécénat et transmission matrilinéaire du pouvoir. Les enseignements de Catherine de Médicis à sa petite-fille Christine de Lorraine
  • Murielle Gaude-Ferragu et Cécile Vincent-Cassy (dir.), « La dame de cœur ». Patronage et mécénat religieux des femmes de pouvoir dans l’Europe des XIVe-XVIIe siècles, Rennes, PUR, 2016, table des matières, livre dispo en ligne notamment :
    • Étienne Anheim, La chapelle d’Isabelle de Bavière (1370-1435), reine de France
    • Caroline zum Kolk, L’évolution d’un service curial : la chapelle de la reine de France (XIIIe-XVIe siècle) lire en ligne
    • Marylou N’Guyen-Millanvoye, Le patronage religieux de la reine de France face à l’émergence du catholicisme d’État. Approche comparatiste des chapelles de Marie de Médicis (1575-1642) et d’Anne d’Autriche (1601-1666).
    • Elisabeth A. R. Brown, Le mécénat et la reine : Jeanne d’Évreux (1308 ?-1371), la liturgie et le puzzle d’un bréviaire
    • Anne-Marie Legaré, Le mécénat artistique de Charlotte de Savoie à Bourges (1470-1483) : L’exemple de ses livres à caractère religieux
    • Kathleen Wilson-Chevalier, « Trinités royales » et « quadrangle d’amour » : Claude de France, Marguerite de Navarre, François Ier, Louise de Savoie et la réforme fabriste de l’Église. (mise en valeur du rôle négligé de Claude)
    • Rose-Marie Ferré, Clémence de Hongrie (1293-1328) et les oeuvres pour la mort. Entre patronage religieux et revendications dynastiques
    • Christelle Balouzat-Loubet, Le patronage religieux d’une princesse capétienne : dévotions, fondations et mécénat de Mahaut, comtesse d’Artois (1302-1329)
mécénat musical
  • Leeman L. Perkins, L. (1984). « Musical Patronage at the Royal Court of France under Charles VII and Louis XI (1422-83) », Journal of the American Musicological Society, 37(3), 507-566. DOI: 10.2307/831337
collèges
  • Thierry Kouamé (2009), « Rex Fundator. Les interventions royales dans les collèges universitaires de Paris, Oxford et Cambridge (XIVe-XVe siècle) », Corinne Péneau. Itinéraires du savoir de l'Italie à la Scandinavie (Xe-XVIe siècle). Études offertes à Élisabeth Mornet, Paris, 2009 pages., 25 pages , Publications de la Sorbonne, p.p. 231 pages-253 pages, (fondation des collèges de Navarre et Bourgogne au début du XIVe s., premières fondations royales de collèges en France)
  • Nathalie Gorochov, Le Collège de Navarre : De sa fondation, 1305, au début du XVe siècle, 1418 : histoire de l’institution, de sa vie intellectuelle et de son recrutement, Paris, Champion, 1997.

Une cour sans reine[modifier | modifier le code]

  • Becquet, princesses de la Restauration
  • Fanny Giraudier. Une cour sans reine : Catherine de Bourbon et la restauration de la cour entre 1593 et 1600. Caroline zum Kolk; Kathleen Wilson-Chevalier. Femmes à la cour de France. Charges et fonctions (XVe - XIXe siècle), Presses Universitaires du Septentrion, 2018


Douaire / richesse / droits / aspect légal[modifier | modifier le code]

  • Jean-Marc Cazilhac, Le Douaire des reines de France à la fin du Moyen Âge, Harmattan, 2017 présentation en ligne (avec extrait dispo)
    • De Bettrade de Monfort (1067-1117) à Marie d'Angleterre (1519-1589)
  • Jean-Marc Cazilhac, « Le Douaire de la reine de France à la fin du Moyen Âge », dans Reines et princesses au Moyen Âge: Actes du cinquième colloque international de Montpellier-Université Paul-Valéry (24-), Les Cahiers du C.R.I.S.M.A., 2001, Volume 1, p. 75-87. [lire en ligne].
  • Régine Le Jan, « Douaires et pouvoirs des reines en Francie et en Germanie (VIe-Xe siècle) », dans Dots et douaires dans le haut Moyen Âge; repris dans Régine Le Jan, Femmes, pouvoir et société dans le haut Moyen Age (HQ 1143 L534 2001, [2]
  • Françoise Barry, Les droits de la reine sous la monarchie française jusqu'en 1789, F. Loviton, 1952
  • Françoise Barry, La reine de France, Paris, 1964.

Perceptions de la reine[modifier | modifier le code]

La reine idéale[modifier | modifier le code]

  • piété, pacificatrice
  • portraits de "bonnes reines" (ex : Blanche de Castille)

L'adultère de la reine[modifier | modifier le code]

  • cas Marguerite de Bourgogne et ses belles-soeurs, implications politiques et dynastiques de l'affaire de la tour de Nesle
    • Colette Beaune, « Les rois maudits », dans Razo, n° spécial, Mythes et histoire, vol. 12, 1992, p. 7-24 (UL : GR 520 M999 1992)
  • Bonne de Luxembourg, soupçon d'adultère avec le connétable de Brienne pour expliquer son exécution
  • Aliénor d'Aquitaine
  • Marie-Antoinette
  • accusations d’adultère, indice du pouvoir de la reine ?
  • lèse-majesté vs "droit civil"
  • Black, Nancy B. Medieval Narratives of Accused Queens. Gainesville: University Press of Florida, 2003. critique
  • Peggy McCracken, The Romance of Adultery: Queenship and Sexual Transgression in Old French Literature, University of Pennsylvania Press, 1998
  • John Carmi Parsons, Damned If She Didn’t and Damned When She Did: Bodies, Babies, and Bastards in the Lives of Two Queens of France http://link.springer.com/chapter/10.1007/978-1-137-05262-9_13 (Eleanor d'Aquitaine et Marie-Antoinette)

La méchante marâtre[modifier | modifier le code]

  • the wicked mother-in-law
  • dans les contes, folklores, etc.
  • Frédégonde, Bertrade de Montfort, Marie de Brabant
  • Claude Roussel, "La méchante belle-mère dans les chansons de geste tardives", dans Reines et princesses, colloque

L'empoisonneuse/la magicienne/la sorcière[modifier | modifier le code]

  • Frédégonde
  • Brunehaut
  • Emma d'Italie, accusée d'avoir assassinée son époux Lothaire (+adultère) par Adémar de Chabannes
  • Adélaide d'Anjou (sous le nom de Blanche d'Aquitaine), accusée d'avoir empoisonnée son époux Louis V par Adémar de Chabannes (repris par tradition postérieure)
  • Bertrade de Montfort, tentant d'empoisonner/envoûter le futur Louis VI, son beau-fils, pour assurer le trône à l'un de ses propres fils (voir travaux de Collard)
  • Marie de Brabant
  • Catherine de Médicis
  • Collard Franck, « Venenosa mulier coronata. Variations sur le thème de la reine empoisonneuse dans l'Occident médiéval », Reines et princesses au Moyen Âge, Actes du Ve colloque du CRISIMA (Montpellier, novembre 1999), M. Faure (éd.), Montpellier, 2001, p. 304-322.
  • Geneviève Bührer-Thierry, « Reines adultères et empoisonneuses, reines injustement accusées: la confrontation de deux modèles aux VIIIe-Xe siècles »
  • Emmanuelle Santinelli-Foltz, « À la recherche des empoisonneuses du haut Moyen Âge », dans Lydie Bodiou, Frédéric Chauvaud et Myriam Soria (dir.), Les vénéneuses. Figures d’empoisonneuses de l’Antiquité à nos jours, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2015. (dispo en ligne BAnQ)
  • Luisa Capodieci : Medicæa Medæa. Art, astres et pouvoir à la cour de Catherine de Médicis, 2011 (UL : CB 361 T779 484)


Valentine Visconti
  • Alain Marchandisse, « Milan, les Visconti, l'union de Valentine et de Louis d’Orléans, vus par Froissart et par les auteurs contemporains », dans Paola Moreno et Giovanni Palumbo (dir.), Autour du XVe siècle. Journée d'étude en l'honneur d'Alberto Varvaro, Liège, Publications de l'Université de Liège, (ISBN 978-2-87019-292-4, lire en ligne), p. 93–116.
  • Laurent Hablot, « Valentine Visconti ou le venin de la biscia », Lydie Bodiou, Frédéric Chauvaud et Myriam Soria, éd. Figures d'empoisonneuses de l’Antiquité à nos jours, Presses universitaires de Rennes, 2015, p.179-194 [lire en ligne]
  • travaux Franck Collard sur poison

Les "mauvaises reines"[modifier | modifier le code]

  • Katherine Crawford, Constructing Evil Foreign Queens, Article | Published in 2007 in Journal of Medieval and Early Modern Studies 37 (2)

dispo UL




  • Brunehaut
  • Frédégonde
  • Aliénor d'Aquitaine
  • Marguerite de Bourgogne
  • Jeanne de Bourgogne (épouse de Philippe VI)
  • Isabeau de Bavière
  • Catherine de Médicis
  • Marguerite de Valois (la reine Margot)
  • Marie de Médicis
  • Marie-Antoinette
  • Affaire de la tour de Nesle et légende de Buridan (la reine a tour à tour été identifiée à Jeanne de Navarre (épouse de Philippe le Bel ou à une de ses brus)
  • Edmond Faral, "Jean Buridan: Maître és arts de l'Université de Paris", Histoire littéraire de la France 28 (1949).
    • Edmond Faral, Jean Buridan. Notes sur les manuscrits, les éditions et le contenu de ses ouvrages, Archives d'Histoire Doctrinale et Littéraire du Moyen Âge 15: 1-53 (1946) (à voir) ??
  • Villon, Brantôme, Gaguin, Bayle...


    • (en) Nicola Mary Sutherland, « Catherine de Medici: The Legend of the Wicked Italian Queen », The Sixteenth Century Journal, Vol. 9, No. 2 (juillet 1978), p. 45-56 JSTOR:2539662 DOI 10.2307/2539662
      repris dans Princes, Politics and Religion, 1547-1589, Londres, The Hambledon Press, 1984. (p. 237-248)


  • « (...) il en résulte qu'à l'instar des Messaline, Brunehaut, Frédégonde et Médicis, que l'on qualifioit autrefois de reines de France, et dont les noms à jamais odieux ne s'effaceront pas des fastes de l'histoire, Marie-Antoinette, veuve de Louis Capet, a été, depuis son séjour en France, le fléau et la sangsue des Français » (début du réquisitoire d'Antoine Fouquier-Tinville, accusateur public, au procès de Marie-Antoinette, 16 octobre 1793; cité par Jean-Noël Castorio, Messaline, la putain impériale, 2015, p. 256)
  • Jean-Noël Castorio, Messaline, la putain impériale, 2015 comparaison avec le traitement de Marie-Antoinette dans les pamphlets

L’étrangère[modifier | modifier le code]

  • xénophobie, italophobie, austrophobie, xénophobie envers l'Espagne, l'Italie, l'Autriche...
  • entourages "étrangers"
  • faiblesse des réseaux des reines étrangères
  • nécessité pour les reines étrangères de se remarier ?? (Edwige de Wessex, Anne de Kiev)
  • rech. avec "Foreign Queen", "Alien Queen"
  • Edwige de Wessex, Constance de Provence, Anne de Kiev, Catherine de Médicis, Marie de Médicis, Anne d'Autriche, Marie-Antoinette...


  • méfiance/haine envers l'étrangère (Marie-Antoinette)
  • vulnérabilité de la reine privée du soutien de sa parentèle, devant se remarier (Anne, Edwige)
  • entourage étranger de la reine (Anne d'Autriche)


  • Chantal Thomas, La Reine scélérate. Marie-Antoinette dans les pamphlets, 1989
  • Cottret, Monique, «Les reines étrangères», dans Joël Fouilleron et al. (édit.), Sociétés et idéologies des Temps modernes. Hommages à Arlette Jouanna, Montpellier, Université de Montpellier III, Centre d’histoire moderne et contemporaine de l’Europe méditerranéenne et de ses périphéries, 1996, tome I, p. 105-116. (UL : DC 110 S678 1996 1)


Piété[modifier | modifier le code]

  • funérailles, lieu d'enterrement
  • Longchamp, Lourcine
  • préservation de la "mémoire capétienne"
  • donations aux ordres religieux, etc.
  • Sean L. Field, « Franciscan ideals and the royal family of France (1226–1328) », dans Michael J. P. Robson, éd., The Cambridge Companion to Francis of Assisi, 2011 [lire en ligne]

Cérémonies[modifier | modifier le code]

  • les honneurs de la reine
  • pour le XVe s., Bernard Chevalier, « Marie d’Anjou »

Mariages[modifier | modifier le code]

Onction, sacre et couronnement[modifier | modifier le code]

Sacre des rois de France, Chronologie des sacres des rois de France, Sacre

  • bénédiction/consécration des reines à l'époque carolingienne
  • Marie de Médicis, dernière reine couronnée
  • Dominique Alibert, http://www.mgh-bibliothek.de/dokumente/a/a126880.pdf « Sacre royal et onction royale à l'époque carolingienne », Jacqueline Hoareau-Dodineau et Pascal Texier (éd.), Anthropologies juridiques : mélanges Pierre Braun, Limoges, Presses Universitaires de Limoges, 1998, p. 19-44. (téléchargé), surtout p. 28-32
    • "Appliquée à la reine, comme l’a souligné Alibert à la suite de Kantorowicz, [l'onction royale] pouvait vouloir assurer la fertilité physique de la dynastie, et signifier la fertilité spirituelle du roi"  (Buc 2001 -qui suit, se référant à Alibert 1998
  • Bucc Philippe, « Rituel politique et imaginaire politique au haut Moyen Âge », Revue historique 4/2001 (n° 620) , p. 843-883
  • Dominique Alibert, « Procéder au sacre royal à l'epoque carolingienne », [In:] Procéder / Textes rèunis par Jacqueline Hoareau-Dodinau, Guillaume Métairie et Pascal Texier, Limoges: PULIM (2006), S. 85-95
  • Dominique Alibert, Semen eius in aeternum manebit ... : remarques sur l'engendrement royal à l'époque carolingienne, Mariage et sexualité au moyen âge - Accord ou crise? / Sous la dir. de Michel Rouche, Paris: Presses de l'Univ. de Paris-Sorbonne (2000), S. 135-145, 3 Abb

Joyeuses Entrées[modifier | modifier le code]

  • finde la signification d'un rituel, entrée de Louis XIV et Marie-Thérèse à Paris
  • Fanny Cosandey, La reine de France, symbole et pouvoir, Paris, Gallimard, Bibliothèque des Histoires, 2000,
  • Gaude-Ferragu, La reine de France au Moyen Âge
  • Les entrées royales à Paris de Marie d'Angleterre (1514) et Claude de France (1517) (dispo UL : PQ 1104 T355 577
  • Murielle Gaude-Ferragu, Le 'double corps' de la reine. L'Entrée d'Isabeau de Bavière à Paris (22 août 1389), Le Corps du prince, Micrologus XXII (2014), (pas dispo UL)
  • Pascal Lardellier, Les miroirs du paon. Rites et rhétoriques politiques dans la France de l'Ancien Régime, Paris, Honoré Champion, 2003 (dispo UL DC 111.3 L321 2003 ) compte rendu traite spécifiquement des entrées, en partiçulier entrée Marie de Médicis Paris 1600)

Accouchements et relevailles[modifier | modifier le code]

  • notamment Bernard Chevalier, « Marie d’Anjou », p. 90
  • accouchement en public
  • depuis quand? Récit détaillé de Marie de Médicis, sage-femme Louise Bourgeois, mais certainement avant

Naissance et petite enfance à la cour de France. Moyen-Âge - XIXe siècle Naître au Moyen Age

Funérailles et sépultures[modifier | modifier le code]


  • Anne Péan, « Les décors des pompes funèbres en France 1643-1683 : naissance d’un genre », in Actes du Ve congrès national d'archéologie et d'histoire de l'art, Bordeaux, INHA (« Actes de colloques »), 1999, [En ligne], mis en ligne le 07 avril 2009 : « Les pompes funèbres organisées pour la reine [Marie-Thérèse], en 1683, par leur nombre et par leur ampleur, marquèrent un apogée dans le règne de Louis XIV : aucun autre Grand du royaume, pas même le roi, ne fut honoré post mortem d’une telle abondance de décors éphémères. »
  • récit des funérailles de Blanche de Castille, Jeanne de Bourbon, Isabeau de Bavière, Anne de Bretagne...


Représentations dans l'art, la littérature, l'historiographie[modifier | modifier le code]

  • portraits des reines de France, enluminures, tombeaux, sceaux..., portraits royaux
  • Vierges, épouses, mères. Les personnifications nationales à l’Époque moderne, prog de colloque, 2016, avec liens vers résumés de commnications, en particulier :
    • Damien Bril (Dijon), Pouvoir féminin et allégorie politique: Régence et personnification nationale en France au XVIIe siècle
    • Aubrée David-Chapy (Paris), Invention et exaltation d’une figure maternelle et mariale: le cas de la régente Louise de Savoie (1515–1531)
    • Benoît Dauvergne (Paris), La mère, l’héritier, la France. Représenter les naissances masculines de la famille royale au XVIIe siècle
    • Bastien Coulon (Paris), Déesses mères et mythologie nationale: la personnification de la France dans les scènes de naissances royales au XVIIIe siècle


  • Gaude-Ferragu, Murielle, « Habit réel, habit imaginé . La reine de France en majesté, XIVe-début du XVIe siècle », In: Revue de l'art vol. 172 (2011) p. 9-20


  • Augustin Thierry, Récits des temps mérovingiens

Logements / Aspects architecturaux / Géographie / Mobilité/ Itinéraire[modifier | modifier le code]

  • logement du roi vs celui de la reine
  • mobilité, itinérance,itinéraire: avec le roi ou non?
  • Monique Chatenet, Krista De Jonge (éd.), Le prince, la princesse et leurs logis. Manières d’habiter dans l’élite aristocratique européenne (1400-1700), Paris, Picard, 29 oct. 2014, (ISBN 978-2-7084-0977-4) (dispo UL : NA 7325 R396 2014)


Sceaux et anneaux sigillaires[modifier | modifier le code]

Vêtements, parures, bijoux[modifier | modifier le code]

  • reines, "trésor animé" des rois
  • deuil en blanc pour les reines jusqu'au XVIe s. ?
  • costume d'Éléonore d'Autriche
  • influence sur la mode
  • importance des bijoux, etc.
  • joyaux de Blanche de Navarre
  • couronnes
  • costume de cour
  • robe parée, robe à la française...
  • nouvelle reine vêtue à la française pour signifier son intégration / sa nouvelle identité
    • Christiane Coester, « Passages de frontières. Le voyage de la jeune mariée dans la haute noblesse des temps modernes (XVe-XVIIIe siècle) », Genre & Histoire [En ligne], 9 | Automne 2011, mis en ligne le 17 juin 2012, consulté le 14 février 2017. URL : http://genrehistoire.revues.org/1469
  • étiquette
reine adoptant le costume français comme signe d'intégration
  • Eleonore d'Autriche, Marie d'Angleterrr et Marie de Médicis conservant le costume de leur pays après leur mariage
  • COX-REARICK, JANET. “Power-Dressing at the Courts of Cosimo De' Medici and François I: The ‘Moda Alla Spagnola’ of Spanish Consorts Eléonore d'Autriche and Eleonora Di Toledo.” Artibus Et Historiae, vol. 30, no. 60, 2009, pp. 39–69., www.jstor.org/stable/25702881
lois somptuaires
mariages
  • Monique Chatenet, « Habits de cérémonie. Les mariages à la cour des Valois », dans Isabelle Poutrin et Marie-Karine Schaub dir. Femmes et pouvoir politique. Les princesses d'Europe, XVe-XVIIIe siècle, Paris, Bréal, 2007, p. 218-232. (UL : HQ 1236 F3297 2007) (robe de mariage des reines de France à partir du XVIe s.)
influence de la reine sur la mode et la consommation
  • Constance d'Arles, accusée d'avoir introduit de nouvelles modes à la cour de France
  • Marie de Brabant, Isabeau de Bavière, Catherine de Médicis, Marie-Antoinette, impératrices Joséphine et Eugénie (voir les sections consacrées à ces souveraines)
  • fonction d'encouragement de l'industrie et de la consommation
  • (en) Rachel Gibbons, « The Queen as "social mannequin". Consumerism and expenditure at the Court of Isabeau of Bavaria, 1393-1422 », Journal of Medieval History, vol. 26, no 4,‎ , p. 371-395 (ISSN 0304-4181, DOI 10.1016/S0304-4181(00)00010-5, lire en ligne). (la reine comme "corps de mode")
  • "Catherine de Médicis rappelle à ce propos à sa fille Marguerite, reine de Navarre, la fonction d’initiatrice et de vecteur de mode qu’elle se doit de tenir dans sa propre cour : « c’est vous qui inventez et produisez les belles façons de s’habiller ; et en quelque part que vous alliez, la cour les prendra de vous, et non vous de la cour »"[5]
  • « Il faut rappeler que la consommation des duchesses angevines correspond à la mise en pratique d’activités conformes au code de conduite attendu des aristocrates. [...] Un des plus intéressants « miroirs de princesses » de la fin du Moyen Âge, rédigé par une femme de pouvoir, les Enseignements d’Anne de France à sa fille Suzanne, future duchesse de Bourbon (1505), permet de mieux comprendre ces enjeux financiers. [...] Dans le chapitre « touchant ces habits et atours », Anne de France préconise à sa fille de « toujours tant que vous habilliez le mieux et plus nettement que pourrez. Car au regard du monde, croyez pour vrai qu’il est malséant et fort déshonnête de voir une fille ou femme noble nicement habillée et mal en point ». Ce conseil est d’autant plus pressant que ce sont les « nobles femmes, qui, voluntiers, sont plus regardées que les autres » et qui jouent le rôle de « miroer patron et exemple des autres » »[6].
réglementations somptuaires vs importance de marquer son rang par le vêtement
  • détails du costume réservé à la reine (ex : longueur de la traîne, etc.)
  • « Lors de son entrée dans la ville de Bruges, en 1301, la reine Jeanne se plaint alors amèrement de la splendeur des atours des femmes : « Je croyais être reine ici, j’en vois des centaines. » »[7]
    • autre version : la reine Jeanne, en entrant à Bruges : "Je croyais être ici la seule reine, et j'en aperçois six cents."
    • Une légende inventée au XVIe siècle par l'historien Jacques de Meyer raconte que la reine, éblouie par le luxe des parures des bourgeoises de Bruges, se serait écriée : «Je croyais être ici la seule reine, mais dans les rues de la ville j'en vois des centaines. »[8]
    • "n'a sans doute jamais été prononcé"[9]
    • cette histoire, souvent citée à propos de la loi somptuaire de 1294, est probablement apocryphe[10]
    • origine et caractère douteux de l'anecdote : « This style also included the telling of anecdotes and other forms of making history vivid and entertaining. It was not fully distinct from the forms of narratives usually found in novels. Thus in the passage in Ganshof’s text that led up to the events of 1302, where the ‘splendour’ of the city was described in enthusiastic terms, he inserted an anecdotal passage: ‘Even after the occupation of the city, unjust occupation by France in 1298, the king Philippe le Bel bringing his wife, the proud Jeanne de Navare [sic ] to see Bruges, the queen exclaimed: “I believed [myself] to be the only queen here and now I see hundreds[.”]’(18) This insertion of direct speech into the narrative remained the only one in the short text, but it suggests that fictional and non-fictional modes of discourse were not yet very clearly distinguished in the author’s mind. He accepted the utterance of the queen as ‘fact’ and remained insensitive towards the questionable character of the anecdote. To be sure, the story was quite popular among the writers of Brugean history. Ganshof’s 1909 text gives a page of bibliography at the end. Several of the works listed there contain the same anecdote, always rendering Queen Jeanne’s statement in direct speech. Thus for instance W.H. James Weale, the art historian and promoter of early Flemish painting, in his 1862 compendium Bruges et ses environs. (19) He had probably taken the story from Warnkoenig’s history of Bruges, which also mentioned the original source, a Flemish chronicler from the sixteenth century, Jacques Marchant.(20) Young Ganshof’s most likely source, however, is the autodidact scholar Karel De Flou’s 1898 guidebook Promenades dans Bruges. (21) Unlike Warnkoenig and Weale, who gave the number ‘600’, De Flou let Jeanne complain about ‘hundreds’ of other ‘queens’, and he did not represent the story as a tradition on the brink of legend. Both these features mark Ganshof’s 1906 text too. This finding suggests that the lack of critical impetus was not simply naive, but already a rhetorical feature acquired by emulating authors like De Flou. »
      • 18. Ibid., 3: ‘Même après la prise de la ville, prise injuste par la France de 1298, le roi de France Philippe le Bel menant sa femme, l’orgueilleuse Jeanne de Navare [sic ] voir Bruges la reine s'écria: “Je croyais être seule reine ici et j’en vois par centaines[.”]’
      • 19. Weale, Bruges et ses environs, 4. For Weale, see van Biervliet, Leven en Werk van W.H. James Weale; Haskell, History and its Images, 452–62.
      • 20. Warnkoenig, Histoire constitutionnelle et administrative, 82; the German original, not quoted by Ganshof, was part of the Flandrische Rechts- und Staatsgeschichte.
        • Warnkoenig, Leopold August. Histoire constitutionnelle et administrative de la ville de Bruges et du pays du franc. Brussels: Librairie Verbeyst, 1851. (Originally published as part of Flandrische Rechts- und Staatsgeschichte bis zum Jahre 1305. Tübingen: L.F. Fues, 1835–42).
      • 21. De Flou, Promenades dans Bruges, 14. For De Flou (1853–1928) see the entry by André Demedts and Fernand Bonneure. In Nieuwe Encyclopedie van de Vlaamse Beweging. Tielt: Lannoo 1998, Vol. 1, 1161.
      • source : TRÜPER, Henning. « Learning experiences, emulating affects and crafting historicity: Franz Ganshof on Bruges, 1906, 1909 ». European Review of History—Revue européenne d'histoire, 2010, vol. 17, no 1, p. 125-149, ici p. 129 et notes p. 144 [lire en ligne]


faste et richesse du costume lié au statut/honneur réginal/conforme à la dignité royale
  • « [...] il y a affirmation de prééminence sociale. À sa mort, la reine Louise, épouse de Henri III, née princesse pauvre de Lorraine, laissa des vêtements allant des plus simples aux plus somptueux, bien qu’on lui eût connu des goûts simples : sa robe la plus modeste (ronde en satin blanc) fut estimée à 6 livres, la plus riche à 1200 livres (elle était de velours cramoisi, à manches pendantes, découpée sur broderie or et argent et doublée de toile d’argent). Il était arrivé à la reine de s'expliquer sur ce luxe. Lors d'une réception de la reine mère à Paris le dimanche gras de 1580 elle ne parut qu'avec retard, tant sa toilette avait été longue. Elle portait une robe très riche, damassée, brodée de branches d’or et d’argent. A l'ambassadrice d'Angleterre elle dit qu'étant devenue une souveraine par son mariage, elle devait en porter le vêtement. »[11]



deuil
  • Renée DAVRAY-PIÉKOLEK, « DEUIL, histoire du costume  », Encyclopædia Universalis : « Les reines de France portent le deuil en blanc jusqu'au XVIe siècle : Marie Stuart, Élisabeth d'Autriche et Louise de Lorraine sont les dernières reines blanches ; Anne de Bretagne aurait été la première reine à porter le deuil en noir, imitée par Catherine de Médicis puis par Marie de Médicis et Anne d'Autriche. La dernière souveraine à avoir porté le deuil blanc est la reine Élisabeth d'Angleterre, épouse de George VI : lors de sa visite officielle en France en 1938, après la mort de sa mère, elle porte des vêtements blancs. En outre, le blanc subsiste longtemps pour le deuil des jeunes filles et des enfants, parallèlement à la diffusion du noir. Quant aux rois de France et d'Angleterre, ils portent le deuil en violet ou en pourpre, couleurs royales, encore que Henri VIII ait choisi le blanc à la mort d'Anne Boleyn, qu'il avait fait exécuter. »
  • Zvereva, Alexandra. “L’éloquence du deuil : portraits de Louise de Savoie” Brioist, Pascal, et al.. Louise de Savoie (1476-1531). Tours : Presses universitaires François-Rabelais, 2015. (pp. 19-26) : "D’inspiration flamande et germanique – ce fut l’habit que prit Marguerite d’Autriche à la mort de Philibert de Savoie –, le deuil blanc semble avoir été introduit en France par Éléonore d’Autriche et resté relativement marginal, réservé surtout aux périodes du grand deuil, les 40 jours qui suivaient la disparition d’un époux ou d’un parent proche."
  • Marie Stuart, en deuil blanc (commenté)
  • Portrait de Marie Stuart en tenue de deuil blanc par François Clouet
  • Deux portraits de Marguerite en deuil blanc par François Clouet en 1559
  • portraits de reines en costume de deuil... Marie Stuart, Catherine de Médicis, les reines du XVIIe s., Marie-Antoinette...


Bibliographie[modifier | modifier le code]

Sylvie Joye, Marâtres mérovingiennes, (statuts précaires des reines à l'époque mérovingienne, liée à l'amour que le roi leur porte et au devenir de leur progéniture; rel. des reines avec leurs filles, fils et enfants nés des précédentes unions du roi)

Reines / dauphines / fiancées particulières[modifier | modifier le code]

Clothilde[modifier | modifier le code]


  • "Sur les différentes dates de naissance et de mort retenues pour Clotilde, voir E. Santinelli-Foltz, « Entre Burgondes et Francs : Clotilde, princesse burgonde, reine des Francs (472/480-544/548) », dans A. Wagner, N. Brocard éd., Les Royaumes de Bourgogne jusqu'en 1032 : à travers la culture et la religion : Besançon, 2-4 octobre 2014, Turnhout, 2018, p. 197-218 (p. 203) ; E. Santinelli-Foltz, « Aux côtés de Clovis : la reine Clotilde (472/480-544/548) », dans M. Kazanski, P. Périn éd., Autour du règne de Clovis. Les grands dans l’Europe du haut Moyen Âge. Histoire et archéologie, Caen, 2020, p. 76-90 (p. 77)."
    • Les Royaumes de Bourgogne jusqu'en 1032 : à travers la culture et la religion : Besançon, 2-4 octobre 2014
      • dispo UL notice - DC 611 B778 R888 2018

Radegonde[modifier | modifier le code]

Brunehaut[modifier | modifier le code]

Frédégonde[modifier | modifier le code]


Bathilde[modifier | modifier le code]

lithographie de J-A Laurent d'après sa peinture (1826)
peinture
  • Jean-Antoine Laurent, Bathilde, veuve de Clovis II, rend la liberté à de jeunes esclaves (1814), peinture présentée au salon de 1814 (cat. no 578), déposée par le musée du Louvre auprès du Domaine national de Saint-Cloud, localisation actuelle inconnue (Numéro principal : INV 5725; Autre numéro : L 3470)[12]
    • notice du catalogue de 1814 : « n°578 Bathilde, veuve de Clovis II, rend la liberté à de jeunes esclaves. Cette reine, qui fut régente sous la minorité de son fils aîné, Clotaire III, étoit d’une grande beauté et avoit un esprit juste est délicat. Elle se fit adorer du peuple et aidée des conseils du profond et politique Ebroin, maire du palais, elle gouverna (dit Mézeray) avec autant de bonté, de prudence et de justice, qu’eût pu faire un bon roi. Aussi, dix ans durant, on ne vit aucun trouble dans les états de son fils, mais ce qui contribua le plus à sa gloire, ce fut la touchante action représentée dans ce tableau. Du temps de Bathilde, l’usage des esclaves subsistoit encore ; elle le fit abolir, et rendit à leurs parens de pauvres enfans qu’ils avoient été forcés de vendre pour satisfaire à des exactions odieuses qu’elle supprima pour jamais. »[13]
    • possible gravure de la peinture : Laurent, Jean-Antoine (1763-1832), Sainte Bathilde, Reine de France (ico en ligne), Bibliothèque numérique de la Sorbonne
    • Le tableau, acquis en 1815 par Louis XVIII pour 7000 francs, est "certainement disparu lors de l'incendie ou emporté par les Prussiens"., [14]

Bertrada / Berte/ Berte[modifier | modifier le code]

  • (en) Janet L. Nelson, « Women at the Court of Charlemagne: A Case of Monstrous Regiment ? », dans John Carmi Parsons, éd. Medieval Queenship, Alan Sutton, 1994 (ISBN 0750905832 et 9780750905831), p. 43-61.
    Article republié dans Janet L. Nelson, The Frankish World, 750-900 [recueil d'articles], Londres, The Hambledon Press, 1996, p. 223-242.
  • (en) Janet L. Nelson, « Bertrada », dans Matthias Becher et Jörg Jarnut (dir.), Der Dynastiewechsel von 751. Vorgeschichte, Legitimationsstrategien und Erinnerung, Münster, Scriptorium, 2004, p. 93-108.
    Article republié dans Janet L. Nelson, Courts, elites, and gendered power in the early Middle Ages [recueil d'articles], Aldershot, 2007, section IX
    (rôle important joué par Bertrada dans l'élection de 751)
  • (en) Janet L. Nelson, « Family structures and gendered power in early medieval kingdoms : the case of Charlemagne’s mother », dans Giulia Calvi (éd.), Women Rulers in Europe : Agency, Practice and the Representation of Political Powers (XII-XVIII),
  • tentative de répudiation par Pépin (allusion dans correspondance avec les papes)


en littérature

Désirée de Lombardie (ép. Charlemagne)[modifier | modifier le code]

  • Role de la reine Bertrade dans la conclusion de cette alliance
  • E. Delaruelle, Charlemagne, Carloman, Didier et la politique du mariage franco-lombard (770-771), Revue Historique, T. 170, Fasc. 2 (1932), pp. 213-224
  • selon historiographie récente, l'épouse de Carloman, frère de Charlemagne, n'était peut-être pas une fille du roi Didier
  • J.L. NELSON, Making a Difference in Eighth-Century Politics: The Daughters of King Desiderius, in After Rome's fall. Narrators and Sources of early Medieval History. Essays presented to Walter Goffart , ed. A.C. MURRAY, Toronto 1998, pp. 171-190
  • ARY, M. (1981). THE POLITICS OF THE FRANKISH-LOMBARD MARRIAGE ALLIANCE. Archivum Historiae Pontificiae, 19, 7-26. Retrieved from http://www.jstor.org/stable/23563957
  • Why Not to Marry a Foreign Woman: Stephen III's Letter to Charlemagne, Walter Pohl dispo UL

Hildegarde (ép. Charlemagne)[modifier | modifier le code]

Fastrade (ép. Charlemagne)[modifier | modifier le code]

  • lettre de Charlemagne à Fastrade, 791, seule lettre authentique de Charlemagne
  • 2 révoltes contre Charlemagne (un groupe de nobles en 785/786 et celle de Pépin le Bossu en 792) causées par la cruauté de Fastrade, selon Eginhard
  • épitaphe et tombe
  • Janet Nelson's "The Siting of the Council at Frankfort: Some Reflections on Family and Politics," in Das Frankfurter Konzil von 794: Kristallisationspunkt karolingischer Kultur, ed. R. Berndt, Quellen und Abhandlungen zur mittelrheinischen Kirchengeschichte 80, in two parts (Mainz, 1997), 149-165 (téléchargé) (The most complete and convincing exposition of Fastrada's importance)
  • (en) Janet L. Nelson, « Women at the Court of Charlemagne: A Case of Monstrous Regiment ? », dans John Carmi Parsons, éd. Medieval Queenship, Alan Sutton, 1994 (ISBN 0750905832 et 9780750905831), p. 43-61.
    Article republié dans Janet L. Nelson, The Frankish World, 750-900 [recueil d'articles], Londres, The Hambledon Press, 1996, p. 223-242.
  • Nelson, « Hussies, Matrons, and Others in Carolingian Chronicles », dans Authority and Gender in Medieval and Renaissance Chronicles, Cambridge, 2012, p. 5-31 extrait ici (téléchargé) (p. 5-20), le reste copié de Google Book, complet
révolte de Pépin le Bossu
revolte de 785-786
  • McKitterick, R. Histoire et mémoire de la crise d’une élite carolingienne: l’année 785 et les Annales regni Francorum. Les élites au haut Moyen Âge. Crises et renouvellement, ed. François Bougard/Laurent Feller/Régine Le Jan (Collection Haut Moyen Âge 1, Turnhout 2006), 267-282. Dispo UL
  • en:Hardrad
légende de l'anneau de la morte
  • Charlemagne vient en aide à un serpent, qui lui offre en remerciant un anneau magique. Charlemagne offre l'anneau à son épouse Fastrade et est aussitôt pris pour elle d'un amour aveugle et intense, même après sa mort... Jusqu'à ce qu'on découvre l'anneau dans la bouche de la morte
  • nombreuses occurences de ce motif folklorique : anneau magique de Tove, ring of Fastrada, Pétrarque

Luitgarde (ép. Charlemagne)[modifier | modifier le code]

  • concubine 794, puis épouse de Charlemagne
  • en:Karolus magnus et Leo papa, poème carolingien sur une chasse de Charlemagne, où Luitgarde et les filles de Charlemagne apparaissent de façon proéminente
  • poème de Theodulfe d'Orléans His poem "Ad Carolum Regem" ("To King Charles")16 is valuable to historians because it describes many people in Charles' court, including Queen Luitgard, his sons (Charles and Louis), his daughters, his sisters...
    • Theodulf: Theologian at Charlemagne's Court, Poet, and Bishop of Orleans
  • légende de son tombeau sous la tour Charlemagne et voute De Luitgarde à St Martin de Tours
  • travaux de Nelson
  • rech chasse luitgard, liutgard...
  • ico, representation de Charlemagne et de l'une de ses épouses (Luitgard?) dans un manuscrit réalisé entre 817 et 823 -Monastery of Saint Paul in Carinthia, Austria
  • évocations dans poésie carolingienne?
  • Scharer, Anton, "Charlemagne's Daughters," Early Medieval Studies in Memory Patrick Wormald . Studies in Early Medieval Britain. Aldershot, Hampshire: Ashgate, 2009. Pp. 602. $165.00. (ISBN 978-0-7546-6331-7). Dispo UL DA 135 E12 2009
    • analyse du rôle des filles de Charlemagne à travers la poésie
    • à la mort de Liutgard, ls filles de Charlemagne remplissent à la cour les fonctions auparavant assurées par la reine

Ermengarde (1re ép. Louis le Pieux)[modifier | modifier le code]

Judith (2e ép. Louis le Pieux)[modifier | modifier le code]

Ermentrude (1re ép. Charles le Chauve)[modifier | modifier le code]

Richilde (2e ép. Charles le Chauve)[modifier | modifier le code]

ico
  • Richilde sur Biblissima
  • fol. 1 de la Bible de Saint-Paul-hors-les-Murs, 875, le personnage féminin à droite de Charles le Chauve est Richilde, enceinte
    • description détaillée : Alibert, Dominique, http://www.mgh-bibliothek.de/dokumente/a/a126880.pdf « Sacre royal et onction royale à l'époque carolingienne », In: Anthropologies juridiques (1998), S. 19-44 (téléchargée, passage en question, p. 29-30.
  • coffre trouvé à Ellwangen (Ellwangen casket, chest, reliquary), exécuté en Francia occidentalis en 876/877 pour Richilde et ornés de son portrait (au centre), entourés de ceux de Charles le Chauve et Louis le Bègue
    • Dufour, De l'anneau sigillaire au sceau..., p. 13
    • Dufour, Le rôle des reines de France aux IXe et Xe siècles, p. 915.
    • images (faire rech. avec Ellwangen, Richildis, casket, ...
  • sceau de Richilde (sceaux des reines de France)


Adélaide (2e ép. Louis II le Bègue)[modifier | modifier le code]

Adélaïde de Frioul (d · h · j · )

  • article wiki avec hypothèses généalogiques affirmées comme vérités, etc.

Frérone / Frédérune (ép. Charles le Simple)[modifier | modifier le code]

Frédérune (d · h · j · )

  • Depreux, « Le comte Haganon, favori de Charles le Simple, et l'aristocratie d'entre Loire et Rhin », sans doute parent de Frérone


Edwige de Wessex (ép. Charles le Simple)[modifier | modifier le code]

Edwige de Wessex (d · h · j · )


  • Jean Verdon, Les veuves des rois de France aux Xe et XIe siècles, dans Veuves et veuvages dans le haut Moyen-Age, 1993 p. 187-198 (photocopié)
influence politique sous Charles le Simple
  • Depreux, « Hiérarchie et ordre au sein du palais : l'accès au prince » : p. 321 : « Néanmoins, on ne peut pas institutionnaliser le rôle de la reine - comme celui des autres membres de la cour -: l'influence de cette dernière varie fort d’une personne à l’autre et dépend de divers facteurs. Par exemple, la mère de Charles le Simple, Adélaïde, intervient dans un tiers des actes jusqu’en jusqu’en 901, mais la reine Frérone n’intervient qu'une seule fois (avec d’autres personnes) pour appuyer une demande de l’évêque de Paris en 907 - quant à la reine Ogive, elle n'est jamais mentionnée. »
  • aussi Le contexte de rédaction des Annales de Flodoard de Reims (919-966), note 86
douaire
  • abbaye Notre-Dame et Saint-Jean de Laon, Tusey, Attigny
  • Tusey : en 938, Louis IV d’Outremer reprend la villa de Tusey et ses dépendances au comte Roger de Laon pour le restituer à sa mère (Flodoard)
  • Le Jan : « Douaires et pouvoirs des reines en Francie et en Germanie (VIe-Xe siècle) »; « La reine Gerberge, entre Carolingiens et Ottoniens »
  • Herbert garde une partie du douaire de la reine après sa mort
  • Michel Bur, La frontière entre la Champagne et la Lorraine du milieu du Xe à la fin du XII e siècle, Francia, , t. 4, 1977, p. 237-

254 ( En tant qu'abbesse de Notre-Dame et Saint-Jean de Laon, Ogive disposait de grands biens entre Marne et Meuse)

  • ici
  • reçoit d'importants domaines d'Herbert

Béatrice de Vermandois[modifier | modifier le code]

Emma de France (ép. Raoul)[modifier | modifier le code]

Gerberge de Saxe[modifier | modifier le code]


Emma d'Italie[modifier | modifier le code]

Empoisonnement de Lothaire par la reine Emma (dans Les Mystères du Peuple d'Eugène Sue)
  • Riché, Pierre, « Le "vieux traître" autour de l'an mil: Adalbéron de Laon », in La trahison au moyen âge. De la monstruosité au crime politique (2009) p. 173-184 (photocopié)
  • Jean Dufour, « Emma II, femme de Lothaire, roi de France », Kaiserin Adelheid und ihre Klostergründung in Selz: Referate der wissenschaftlichen Tagung in Landau und Selz vom 15. bis 17. Oktober 1999. Edited by Franz Staab and Thorsten Unger. Verlag der Pfälzischen Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften in Speyer, 2005. Pages 213 - 227.
  • Phyllis Jestice, "Emma, the Forgotten Sister? Half-Siblings and the Limits of Kinship in Tenth-Century Germany", conférence lors d'un colloque en 2015; compte-rendu : « Phyllis Jestice’s paper made a bold claim: that in tenth-century Germany, a kinship bond was not perceived to exist between half-siblings who were related through their mothers. In other words, Emma of Italy, the maternal half-sister of Otto II of Germany, was not regarded by him as his sister. Jestice arrived at this argument in order to make sense of the silence of the French and German chronicles on the topic, and on the absence of Emma from the witness lists of Otto’s charters, when his other sisters frequently appear. This is definitely a topic on which more work needs to be done so that it’s not simply an argument from silence in a single case. »[16]



sa mère, Adélaide de Bourgogne


  • Psautier de la reine Emma
    • CAHN, Walter, "The psalter of Queen Emma", Cahiers archéologiques: fin de l'antiquité et moyen âge (ISSN 0068-4945), vol. 33 (1985) p. 72-85. dispo UL : CC 3 C1315 33 1985
    • http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=12077815 résumé
    • p. 159, pour une desc. + réf. concernant la reproduction d'une image de ce psautier (rep. planche XVI, bas de ce volume)
    • gravure, inseree par J. Mabillon au t. IV de ses Annales ordinis saneti Benedieti, Paris, 1707, p. 32-33
    • B. de Montfaucon, Les monumens de la monarchie française, tome I, Paris, 1729, pl. XXX (entre p. 306-307); description, p. 346-347
  • Yves Sassier, « Rex Francorum, dux Francorum: le gouvernement royal au dernier demi-siècle carolingien », Le monde carolingien: bilan, perspectives, champs de recherches - Brepols Publishers, ul dispo: DC 70 M741 2009
  • tradition de la reine adultère ayant empoisonné Lothaire
  • tradition tirée des miracles de saint genou (?), rapportée par Adhémar de Chabannes (R. Landes)
    • Ademari Cabannensis Chronicon, Turnhout : Brepols, 1999, lib. 33, c. 66, p. 185-187 (édition annotée de la chronique par Bourgain et Landes) (dispo UL : BR 60 C8222 129)
    • voir aussi section Adélaide d'Anjou
    • Richard Allen Landes, Relics, Apocalypse and the Deceits of History : Ademar of Chabannes, 989-1034. Cambridge, Harvard Univers. Pr., 1995 (pas dispo UL, mais accessible sur Google Books), p. 183-193; 374-376
    • Richard Allen Landes, « L'accession des Capétiens : Une reconsidération selon les sources aquitaines », Religion et culture autour de l'an mil : royaume capétien et Lotharingie (colloque Hugues Capet), 1990, p. 151-166 (UL : DC 83 C714r 1990 - Prêté jusqu'au 2016-09-02)
  • Monnaies en provenance du trésor de Fécamp, p.e. frappées au nom de la reine Emma (Emma Regina) (ENMAPEOINA)

Adélaide d'Anjou[modifier | modifier le code]

  • bac 2, brouillon dédié
  • voir aussi Emma d'Italie

Adélaïde d'Aquitaine[modifier | modifier le code]


épouses de Robert le Pieux[modifier | modifier le code]


  • lettre écrite par Gerbert d'Aurillac pour Hugues Capet et adressée aux empereurs byzantins Basile II et Constantin VIII demandant une princesse byzantine (filia sancti imperii - une fille du saint empire) pour son héritier Robert (p.e. Eudocie, fille aînée de Constantin VIII cf. Vasiliev)


Rosala-Suzanne d'Italie[modifier | modifier le code]

  • mariage arrangé par l'empereur Othon, qui s'était emparé de sa famille lors de la conquête de l'Italie?


Berthe de Bourgogne[modifier | modifier le code]

« monstrueuse », aurait été punie par la naissance d’un enfant à la tête d’oie (voir Ernest Martin, Histoire des monstres [1880], Grenoble, J. Million, 2002). Le cas est cité comme « fable » par les rédacteurs du Recueil des historiens des Gaules et de la France, X,1757, pour l’an 1001 (Recueil des historiens des Gaules et de la France [Reprod.], [éd. par Dom Martin Bouquet,...] ; nouv. éd. publ. sous la dir. de M. Léopold Delisle,.... 1840-1904, p. 107) : « Le Roi Robert trop épris d’amour pour Berte, ne voulut point la renvoyer, jusqu'à ce que Dieu prit soin de le corriger par lui-même. Car cette femme se flattant après avoir conçu du Roi de mettre au monde un fils, enfanta un monstre fable ; 211. B. un fils s’il est permis de le croire, ayant exactement le cou et la tête d’une oie, 211, n. 492. C. n. Ce qui épouvanta le Roi et l’obligea de répudier sa parente. »

Constance d'Arles[modifier | modifier le code]

  • motivation du mariage : parentèle angevine
  • pas de rupture avec les Blois, p.e. la nièce de Constance, Ermengarde d'Auvergne, épouse Eudes II de Blois en 1005;
Hugues de Beauvais
  • Bachrach, Fulk Nerra, the Neo-Roman Consul 987-1040,
  • Halphen, Guillot, comté d'Anjou
  • A. de Dion, « Le comte palatin Hugues de Beauvais », Mémoires et documents publiés par la Société archéologique de Rambouillet, t. 10, 1890-1893, p. 160-180.
scandale de la mode méridionale selon Raoul Glaber et Guillaume de Volpiano


affaire de l'hérésie d'Orléans
  • hérésie d'Orléans
  • l'une des motivations : discréditer la reine Constance et son entourage? (Bautier, Mazel, voir l'AdQ pour les réf.)
    • Thierry II d'Orléans
    • Robert-Henri Bautier, « L'hérésie d'Orléans et le mouvement intellectuel au début du XIe siècle. Documents et hypothèses », dans Actes du 95e congrès national des sociétés savantes. Reims 1970. Section philologie et histoire jusqu'à 1610, t. I : enseignement et vie intellectuelle, Paris, 1975, p. 63-88.
    • Van Torhoudt Eric. : les Normands inventent l'hérésie d'Orléans !. In: Annales de Normandie, 55ᵉ année, n°4, 2005. pp. 341-367. (analyse du contexte politique, dont nuance de l'interprétation de L. Theis : 342, 352-356)
  • Taviani-Carozzi, Huguette, Une histoire "édifiante": l'hérésie à Orléans en 1022, Faire l'événement au Moyen Âge, 2007, p. 275-298 (p. 284, 285, 296)


  • rech. "entourage de la reine Constance"
  • Constance et son rôle dans la succession royale :
    • Andrew W. Lewis, "Successions ottoniennes et robertiennes: un essai de comparaison", Le roi de France et son royaume autour de l'an mil, 1992, p. 47-53
révolte contre son fils Henri 1031/32
  • Dejardin-Bazaille, Cécile. "Henri Ier: image et souvenir d'un roi", Cahiers de civilisation médiévale vol. 51 (2008) p. 343-360
migration du nom Constance
  • Constance Bouchard, "Patterns of Women's Names in Royal Lineages, Ninth-Eleventh Centuries." Medieval Prosopography 9/1 (1988), 1-32.
  • Constance Bouchard, "The Migration of Women's Names in the Upper Nobility, Ninth-Twelfth Centuries." Medieval Prosopography 9/2 (1988), 1-19.
  • Constance Bouchard, Those of My Blood: Creating Noble Families in Medieval Francia, University of Pennsylvania Press, 2001 (le chap. 7 reprend "The Migration of Women's Names...")
  • Marion F. Facinger, "A Study of Medieval Queenship: Capetian France 987–1237", Studies in Medieval and Renaissance History, 5 (1968), pp. 3–48 (Arizona Center for Medieval and Renaissance Studies)
  • L. Theis, Robert le Pieux
  • Andrew W. Lewis, Le sang royal
ico

commons:Category:Constance of Arles



Anne de Kiev[modifier | modifier le code]

  • introduction du nom de Philippe
  • régence
pierre rouge/hyacinthe de Saint-Denis
  • éléments ici et
  • Selon Suger, pierre rouge de grande taille (rubis ? hyacinthe ?) d'Anne de Kiev, donné par son petit-fils Louis VI au trésor de Saint-Denis, sertie dans la grande couronne royale
voir
mythe de l'Évangéliaire slavon de Reims

Bertrade de Montfort[modifier | modifier le code]

  • famille de Montfort
  • mariage avec Foulques d'Anjou (Guillot, Halphen... marchandage de Foulques avec le duc Robert Courteheuse pour obtenir la main d Bertrade, selon Orderic Vital ...à valider)
  • mariage controversé avec le roi Philippe Ier, Duby, Mews...
  • douaire en Touraine
  • rel. avec Robert d'Arbrissel et Fontevrault, fondation de Haute-Bruyères
  • 1re reine avec sceau
  • perception Orderic Vital, Suger, Yves de Chartres
  • reconnue comme reine ou non par les contemporains?
  • rel. avec Louis VI
    • aurait tenter de le faire emprisonner ou empoisonner par Henri Ier d'Angleterre, selon Orderic (Collard)
  • perception par les contemporains et la postérité
  • pour Bournazel, logiques politiques plutôt qu'amoureuses de cette union
  • Max Lejbowicz, « Adélard citharède et la Reine musicophile », Cahiers de recherches médiévales et humanistes, 31 | 2016, 329-352. http://crm.revues.org/14037


  • Éric Bournazel, Louis VI le Gros, Paris : Fayard, 2007. (dispo UL : DC 88 B775 2007; dispo BAnQ; absente VdQ)



concubine ou épouse?
  • reçoit un douaire du roi Philippe (reconnaissance comme épouse) et reconnue telle dans ses chartes
  • concubine pour Suger
  • « On observe avec curiosité que Bertrade de Montfort, épouse de Foulque IV d'Anjou, mais ensuite maîtresse du roi Philippe Ier, est presque toujours dite regina, la reine, dans les actes assez nombreux où elle apparaît comme témoin. »[17]
sceau

Lucienne de Rochefort[modifier | modifier le code]

  • Éric Bournazel, Louis VI le Gros, Paris : Fayard, 2007. (dispo UL : DC 88 B775 2007; dispo BAnQ; absente VdQ)

Alix / Adélaide de Savoie / Maurienne[modifier | modifier le code]

  • seule reine de France dont le règne est mentionné à côté de celui du roi dans la datation des chartes
  • son règne (avec celui d'Adèle de Champagne), selon Facinger, marquerait l'apogée du pouvoir des reines capétiennes, avant le déclin sous Philippe Auguste
  • sceau
  • elle et Raoul de Vermandois se retirent de la cour après la mort de Louis VI, au début du règne de Louis VII, par couardise selon Suger (indice d'une lutte d'influence se soldant par leur défaite ?)
  • Suger la mentionne très peu dans sa Vie de Louis le Gros (parce qu'il ne l'aimait pas? était en désaccord avec elle?)
  • Éric Bournazel, Louis VI le Gros, Paris : Fayard, 2007. (dispo UL : DC 88 B775 2007; dispo BAnQ; absente VdQ)
Saint-Pierre de Montmartre


fiançailles avec Baudouin III de Hainaut

Aliénor d'Aquitaine[modifier | modifier le code]

  • Bonnie Wheeler et John Carmi Parsons, éd., Eleanor of Aquitaine : Lord and Lady, New York : Palgrave Macmillan, 2003. (nombreuses rééditions, 2008... ebook 2016 acheté résumés
    • sommaire, notamment :
    • Brown, Elizabeth A. R., Eleanor of Aquitaine Reconsidered: The Woman and Her Seasons, p. 1-54 résumé
    • Hivergneaux, Marie, Queen Eleanor and Aquitaine, 1137 - 1189, p. 55-76
    • Turner, Ralph V., Eleanor of Aquitaine in the Governments of Her Sons Richard and John, p. 77-95
    • De Aragon, Rágena, Wife, widow, and mother: some comparisons between Eleanor of Aquitaine and noblewomen of the Anglo-Norman and Angevin world, p. 97-114 résumé
    • Huneycutt, Lois Lynn, Alianora regina anglorum: Eleanor of Aquitaine and her Anglo-Norman predecessors as queens of England, p. 115-132
    • Lewis, Andrew W., The birth and childhood of king John: some revisions, p. 159-176 résumé (naissance d'Aliénor deux ans plus tôt)
    • Shadis, Miriam et Berman, Constance Hoffmann, A taste of the feast: reconsidering Eleanor of Aquitaine's female descendants, p. 177-211
    • Brundage, James Arthur, The canon law of divorce in the mid-twelfth century: Louis VII C. Eleanor of Aquitaine, p. 213-222
    • Bouchard, Constance Brittain, Eleanor's divorce from Louis VII: the uses of consanguinity
    • McCracken, Peggy, Scandalizing desire: Eleanor of Aquitaine and the chroniclers
    • Parsons, John Carmi, Damned if she didn't and damned when she did: bodies, babies, and bastards in the lives of two queens of France, p. 265-300
    • O'Callaghan, Tamara Faith, Tempering scandal: Eleanor of Aquitaine and Benoît de Sainte-Maure's Roman de Troie, p. 301-318 résumé
    • Tolhurst, Fiona, What ever happened to Eleanor?: reflexions of Eleanor of Aquitaine in Wace's Roman de brut and Lawman's Brut, p. 319-336 résumé
    • Aziza Pappano, Margaret, Marie de France, Aliénor d'Aquitaine, and the alien queen, p. 337-367 résumé
    • Beech, George T., The Eleanor of Aquitaine vase, p. 368-376
    • Nolan, Kathleen, The queen's choice: Eleanor of Aquitaine and the tombs at Fontevraud, p. 377-406 résumé
    • Wood, Charles Tuttle, Fontevraud, dynasticism, and Eleanor of Aquitaine, p. 407-422
    • Martindale, Jane, Eleanor of Aquitaine and a "queenly court"?
  • Turner, Ralph V., « Eleanor of Aquitaine, twelfth-century English chroniclers and her "Black Legend" » . (2008) - In: Nottingham medieval studies vol. 52 (2008) p. 17-42
  • Inventing Eleanor: The Medieval and Post-Medieval Image of Eleanor of Aquitaine . By Michael R. Evans . London and New York : Bloomsbury Academic . 2014
  • The World of Eleanor of Aquitaine: Literature and Society in Southern France between the Eleventh and Thirteenth Centuries. Edited by Marcus Bull and Catherine Léglu, Boydell Press, 2005, notamment :
    • Daniel Power, The Stripping of a Queen: Eleanor of Aquitaine in Thirteenth-century Norman Tradition
      • résumé : "The author examines vernacular prose histories about the dukes of Normandy and kings of England. Power analyzes one passage concerning Eleanor immediatly following her divorce from Louis VII. She disrobes before her barons and asks for confirmation that she is not a devil. Power links this to the many medieval stories about a female noble ancestor who reveals that she is part demon by turning into a snake in her bath or flying out of church to avoid the Eucharist. The Norman histories vigorously contest this demonic rumor by the barons' affirmation that Eleanor has the most beautiful body in the kingdom."
chartes / pouvoir
  • Marie Hivergneaux, « Aliénor, duchesse d'Aquitaine et deux fois reine : rôle et pouvoir d'une femme au XIIe siècle (v. 1124/1137-1204) » dans Reines et princesses au Moyen Âge: Actes du cinquième colloque international de Montpellier-Université Paul-Valéry (24-), Volume 1, Les Cahiers du C.R.I.S.M.A., 2001, p. 43-62 [lire en ligne].
  • Hivergneaux, Marie, « Autour d'Aliénor d'Aquitaine: entourage et pouvoir au prisme des chartes », Plantagenêts et Capétiens. Confrontations et héritages, 2006, p. 61-74 (dispo UL)
  • Hivergneaux, Marie, « Aliénor d'Aquitaine: le pouvoir d'une femme à la lumière de ses chartes (1152-1204) », La cour Plantagenêt (1154-1204), 2000, p. 63-87
  • Hivergneaux, Marie, « Queen Eleanor and Aquitaine, 1137 - 1189 », Eleanor of Aquitaine. Lord and Lady, 2003 p. 55-76
mécénat
  • Broadhurst, Karen M., Henry II of England and Eleanor of Aquitaine: Patrons of Literature in French?, Viator , 27., ( 1996): Pages 53 - 84.
    • résumé : [Henry probably only commissioned two texts in French: Wace's "Roman de Rou" and Benoît's "Chronique des ducs de Normandie;" there is no evidence that Eleanor commissioned any works]
  • Harvey, Ruth., « Eleanor of Aquitaine and the Troubadours », The World of Eleanor of Aquitaine: Literature and Society in Southern France between the Eleventh and Thirteenth Centuries. Edited by Marcus Bull and Catherine Léglu . Boydell Press, 2005.
    • résumé : [The author looks at evidence of Eleanor's connections to troubadours. Despite some modern historians' optimistic constructions of Eleanor and her court as a haven for troubadours, there is virtually no documentation of troubadours either in her entourage or writing songs for her.


trésor


folklore


Aliénor comme Mélusine
  • Richard Coer de Lyon roman en moyen anglais daté des environs de 1300 : "A-versions of the romance begin with a fantastical account of Richard’s birth. Henry II in search of a queen wed Cassodorien the daughter of the king of Antioch. The pair have three children, Richard, John, and Topyas. They live happily except Cassodorien always leaves Mass before the elevation of the Host. After Henry forces her to witness it she flies through the church roof, Topyas in tow, and disappears. Richard eventually succeeds Henry II to the throne at the age of 15 on his father’s death."



postérité

Adèle de Champagne[modifier | modifier le code]

  • Jean Dufour, « Adèle de Champagne, troisième femme de Louis VII, une reine méconnue », dans Reines et princesses au Moyen Âge: Actes du cinquième colloque international de Montpellier-Université Paul-Valéry (24-), Volume 1, Les Cahiers du C.R.I.S.M.A., 2001, p. 35-41 [lire en ligne].
  • Baldwin, Philippe Auguste, notamment pour tentative des Champenois de s'assurer le pouvoir fin règne Louis VII / déb Philippe Auguste contre Philippe d'Alsace

Isabelle de Hainaut[modifier | modifier le code]

- D'abord promise à Henri, héritier du comté de Champagne - son mariage : manoeuvre du jeune Philippe Auguste pour réduire l'influence du clan champenois

Ingeburge de Danemark[modifier | modifier le code]

Agnès de Méranie[modifier | modifier le code]

Agnès de Méranie (d · h · j · · ©)

  • John Baldwin, « La vie sexuelle de Philippe Auguste », Mariage et sexualité au Moyen âge: accord ou crise? : colloque international de Conques/sous la direction de Michel Rouche avec le concours du Centre européen de culture, d'art et d'histoire médiévales. – Paris : Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, P. 217-229 (aussi Isabelle de Hainault et Alix de Méranie)
  • John Baldwin, « L'entourage féminin de Philippe Auguste », Femmes de pouvoir, femmes politiques durant les derniers siècles du Moyen Âge (téléchargé) (aussi Isabelle de Hainaut, Agnès de Méranie)
dans la fiction


Blanche de Castille[modifier | modifier le code]

mécénat et piété


Marguerite de Provence[modifier | modifier le code]

  • Ordonnances pour l'hôtel de la reine Marguerite de Provence 1261 : Douët d’Arcq, Louis (éd.), Comptes de l’Hôtel des rois de France aux xive et xve siècles, Paris, Société de l’Histoire de France, 1865, p. v-vi.

Marie de Brabant[modifier | modifier le code]

  • mécénat
  • mort du fils aîné de Philippe
  • thème de la marâtre empoisonneuse
  • conflit avec Pierre de la Brosse
politique et généralités


Pierre de La Broce
  • mention Pierre de La Broce et Marie de Brabant dans Dante
  • Chronique de Primat
  • Franck Collard, « Recherches sur le crime de poison au Moyen Âge », Journal des savants, janvier-juin 1992, p.99-114, p. 105 et 109-110
  • Franck Collard, "Grandeur et chute d'un conseiller du roi. L'affaire Pierre de la Brosse", L'Histoire, no 197 (mars 1996), p. 50-54. (photo ipad)
  • Xavier Hélary, « La reine, le légat, et le chambellan. Un "péché contre nature" à la cour de Philippe III », Passions et pulsions à la cour (Moyen Âge - Temps modernes), Micrologus' Library, 68, 2015 (photographié sur ipad - dispo UL)
  • Xavier Hélary, Pierre de La Broce, seigneur féodal, et le service militaire sous Philippe III. L'ost de Sauveterre (1276). In: Journal des savants, 2006, n°2. pp. 275-305.
  • Xavier Hélary, Trahison et échec militaire : le cas Pierre de La Broce (1278), dans Maïté Billoré et Myriam Soria (éd.), La trahison au Moyen âge. De la monstruosité au crime politique (Ve-XVe siècle), Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2009, p. 185-195 (photocopié)
  • William C. Jordan, The Struggle for Influence at the Court of Philip III: Pierre de la Broce and the French Aristocracy, French Historical Studies, Volume 24, Number 3, Summer 2001, p. 439-468 : muse
  • deposition de Simon de Brie, plainte de la reine au pape, etc.
  • aussi ici
  • et ici
  • Documents sur Pierre de la Brosse, Bulletin de la Société de l'histoire de France, 1844, 87-10
L'affaire Pierre de la Broce dans le théâtre médiéval
  • pièce Philippe III (1838) sur l'affaire Pierre La Brosse


Pierre de Benais, complice de Pierre de la Brosse
mystique liée à l'affaire, Elisabeth of Spalbeek
  • Jesse Njus, The Politics of Mysticism: Elisabeth of Spalbeek in Context, Church History, vol. 77, no 2 (Jun., 2008), pp. 285-317
  • Sylvain Piron, « La parole prophétique », Le pouvoir des mots au Moyen Âge, Brepols, 2014, p. 255-286, analyse du rôle d'Elisabeth de Spalbeek dans l'affaire Pierre de la Broce, p. 25 du pdf et suiv.
  • Hanon de Louvet, Robert. « L'origine nivelloise de l'institution béguinale "La Royauté", fondation béguinale d'une Reine de France Marie de Brabant et la légende de la béguine de Nivelles » in Annales de la Société archéologique et folklorique de Nivelles et du Brabant Wallon (1952). 17 (1952): 5-77.
  • NAMÈCHE, A. J. Marie de Brabant et la béguine de Nivelles. Revue catholique, 1855, vol. 12, p. 598-608.


  • L’enquête, conservée dans le carton Arch. Nat. J 429, a été éditée par J. De Gaulle, « Documents historiques », Bulletin de la société de l’histoire de France, 1, 1844, p. 87–100 et L. Delisle, Cartulaire normand de Philippe-Auguste, Louis VIII, saint Louis et Philippe le Hardi, Caen, 1887, n°927. Le récit de Langlois, Le règne, p. 22-30, doit être complété par R. Kay, «Martin IV and the fugitive bishop of Bayeux», Speculum, 40, 1965, p. 460-483 et J. Njus, «The Politics of Mysticism : Elisabeth of Spalbeek in Context », Church History, 77, 2008, p. 285-317. Voir aussi W.C. Jordan, « The Struggle for Influence at the Court of Philip III: Pierre de la Broce and the French Aristocracy », French Historical Studies, 24, 2001, p. 439-468
emprisonnement fictif de Marie
  • tradition brabançonne de l'emprisonnement de Marie; son frère le duc de Brabant Jean Ier venant en France, la visite en prison; convaincu de l'innocence de sa soeur, il s'offre d'affronter pour elle en combat Pierre de la Broce, qui s'enfuit
    • pas mentionné dans les sources françaises
    • Louis van Velthem, écrivant vers 1315, ***
      • résumé ici
        • Paris Gaston. Le roman du comte de Toulouse. In: Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale, Tome 12, N°45, 1900. pp. 5-32. (recherches sur cette tradition)
    • dans les « Gestes de Brabant » (Brabantsche Yeesten) de Jan van Boendale (1279-1351)
      • édition de cette source : vol. 1 (la partie concernant le règne de Jean Ier semble être en brabançon)
      • Jan Frans Willems, Jan van Heelu, Lodewijk van Velthem, Maria van Braband, Weduwe J. S. Schoesetters, 1828 (brève bio poétique néerlandaise-française)
    • La gloire Belgique
    • Les oeuvres du début XIXe s. misent sur l'article de la reine (historique ou fictif) adoptent cette version.
    • par exemple ici (biographie de Marie de Brabant de 1853)
  • manuscrit source des images : Brussel KB Albert I, IV 684, manuscrit illustré de Jan van Boendale, Brabantsche Yeesten (nombreuses autres enluminures relatives à l'affaire de Marie de Brabant :
    • image 98 : adoubement du duc Jean et son frère Godefroy par le roi Philippe III
    • 102 : emprisonnement de Marie sur ordre de Philippe (déjà une version ci-haut)
    • 104 : Jean Ier de Brabant parlant à sa soeur emprisonnée (déjà une version ci-haut)
    • 105 : Philippe III avec Jean et Godefroy de Brabant, peut-être avec Pierre de la Broce qui s'enfuit (?)
    • 107 : exécution de Pierre de La Brosse, sous les yeux de Jean et Godefroy de Brabant - (version NB ici)
    • 108 : une ville française
    • 109 : Couronnement de Marie de Brabant
    • Bibliothèque Royale Albert Ier, Cinq années d'acquisitions. 1969-1973. Exposition organisée à la Bibliothèque royale Albert Ier du 18 janvier au 1er mars 1975, Brussel, 1975, Bruxelles, 1975, n° 26. notice du manuscrit***
    • page avec beaucoup de ces enluminures extraites en grand format
diplomatie
mode


mécénat



Geoffroy de Saint-Léger, libraire et enlumineur (?)
  • "Parmi les autres libraires de la rue [rue Neuve-Notre-Dame] on a Geoffroy de Saint-Léger, attesté en 1316 et jusqu'en 1337 qui était, lui aussi, apparemment, libraire et enlumineur à la fois [...] et qui semble surtout avoir produit des textes littéraires, y compris trois manuscrits du Roman de la Rose. Parmi ses clients se trouvent deux reines de France, Clémence de Hongrie [...] et Jeanne de Bourgogne, épouse de Philippe IV"[20] [sic] (moi : quelle Jeanne de Bourgogne? celle de Philippe V ou de Philippe VI ??]
    • travaux de Richard H. Rouse and Mary A. Rouse
    • à voir:Richard H. Rouse and Mary A. Rouse, Manuscripts and Their Makers: Commercial Book Producers in Medieval Paris, 1200–1500, Turnhout, Belgium: Harvey Miller Publishers, 1999, vol. I, p. 173-202 (chap. 8, Geoffroy de Saint-Léger "le jeune", (active 1333–43, chapter 8)) (dispo UL : Z 310.6 P232 R863 2000 1-2 (2 vol.))
ico



  • oeuvres du "maître de Meliacin" ?

Marie de Brabant


fondation d'une chapelle dans la collégiale Notre-Dame de Nantes
  • par Marie de Brabant en 1313, plus tard tetminée par Jeanne de Navarre, ép. De Philippe d'Évreux
  • fondation de la chapelle dite plus tard de Navarre dans la collégiale
  • présence de statues d reines fondatrices pour lesquelles de nombreuses identifications ont été proposées, dont celle de Marie de Brabant, Jeanne de Navarre, Jeanne d'Evreux, Blanche de Navarre, etc.
  • Collégiale Notre-Dame de Mantes-la-Jolie
  • Baron Françoise. Les statuettes de la chapelle dite «de Navarre » à Notre-Dame de Mantes. In: Bulletin de la Société Nationale des Antiquaires de France, 1997, 2001. pp. 266-274.
dans la fiction / culture / postérité
  • peintures :
    • Bekker, Jean I, duc de Brabant, délivrant sa soeur Marie, 1844 réf
    • Vermote, Le Duc de Brabant, Jean le Victorieux, délivrant sa soeur, 1855 réf
    • J. P. De Weerdt, Jean Ier, duc de Brabant, rend visite à sa sœur emprisonnée et, apprenant son innocence, s'indigne., 1863 réf
  • opéra
    • ici, sur opera Maria di Brabante de Rossi, adapté d'Ancelot

Jeanne de Navarre[modifier | modifier le code]

Jeanne Ire de Navarre (d · h · j · ) commons:Category:Joan I of Navarre

Sculpture possiblement de Jeanne de Navarre, Bode Museum



  • plusieurs articles dans : Une histoire pour un royaume, XIIe-XVe siècle : actes du colloque "Corpus Regni" organisé en hommage à Colette Beaune (liste ici), ul : DC 82 H673 2010
    • Elizabeth A. R. Brown, « La mort, les testaments et les fondations de Jeanne de Navarre, reine de France (1273-1305) »
    • Franck Collard et Isabelle Heullant-Donat, « Deux autres Jeanne. Figures de reines défigurées aux XIVe et XVe siècles » (Jeanne de Navarre, liée tardivement à la légende de la Tour de Nesle)


  • André Finot, Comtes de Champagne, rois de Navarre. Le dernier comte roi Don Enrique el Grueso. Minorité de la reine Dona Juana. Régence de la reine Dona Blanca. Mémoires de la société académique de l'Aube, 1928 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5745586k


  • minorité
  • fondation du collège de Navarre

brus de Philippe le Bel[modifier | modifier le code]

  • sur les frères d'Auynay
    • Laurent Nabias,[ https://hal-univ-paris3.archives-ouvertes.fr/hal-01408358/ « Les Gallois d'Aunay, un lignage francilien »], Mémoires publiés par la fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et l'Ile de France, Fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et de l'Ile-de-France, 2009, 60, pp.23-51.

Marguerite de Bourgogne[modifier | modifier le code]

Marguerite de Bourgogne (1290-1315) (d · h · j · )

  • Anne-Hélène Allirot, « « Aiiés pité de moy » : la pénitence de quelques dames scandaleuses entre 1250 et 1350 », Cahiers de recherches médiévales et humanistes, 25 | 2013, 213-221. https://crm.revues.org/13090
  • Brown, Elizabeth A. R., « Diplomacy, adultery and domestic politics at the court of Philip the Fair: Queen Isabelle's mission to France in 1314 » . (1989) - In: Documenting the Past : Essays George Peddy Cuttino p. 53-83
  • Sophie Mentzel, « Marguerite de Bourgogne, reine et criminelle en représentation au théâtre et au cinéma », Actes du colloque international Le Spectacle du crime féminin sur la scène et dans le cinéma européen, Université de Rouen 14-16 novembre 2018 (dir. Ariane Ferry, Sylvie Humbert-Mougin, Judith Le Blanc, Gwénaëlle Le Gras et Sandra Provini). À paraître aux Presses Universitaires de Rouen et du Havre (PURH).


Tour de Nesle et Buridan


  • éd. de La Tour de Nesle de Dumas, 1901, illustrée par Robida****
  • Frédéric Gérard
  • Paul de Couder, Léon Marcy, Histoire de la Tour de Nesle (aussi traduit en italien)
  • Tour de Nesle à Pont à Mousson
  • romans de Cordel
  • rech avec Tour de Nesle, Buridan et Marguerite de Bourgogne ds plusieurs langues
  • Henri de Boisguillaume, Les amours tragiques de Marguerite de Bourgogne
  • rech. avec mot-clé "Marguerite de Bourgogne" sur Gallica (Amours tragiques de Marguerite de Bourgogne, Episodes de la tour de Nesle, Supplique de Marguerite de Bourgogne près de MM. les juges et avocats du barreau de Paris...)
tour de Nesle au cinéma
  • Hervé Dumont, « Le scandale de la Tour de Nesle (1314) » sur Encyclopédie du film historique [en ligne], volume 2 : Moyen Âge et Renaissance, 2013
    ...Alexandre Dumas se sert de cette légende pour "La Tour de Nesle", une tragédie en cinq actes et neuf tableaux coécrite avec Frédéric Gaillardet et Jules Janin (1832), qui devient carrément le prototype du mélo historique sanglant. En réalité, Dumas n’a fait que corriger et réécrire (à la demande du Théâtre de la Porte-Saint-Martin à Paris) une pièce maladroite de Gaillardet ; le public lui attribua bientôt tout le mérite de son succès retentissant, provoquant même un duel entre les deux auteurs. Le triomphe de la pièce (avec la célèbre Mademoiselle George, protégée de Bonaparte et du tsar Alexandre Ier, dans le rôle de la reine) lui évita la censure de Thiers en 1836, mais le texte fut néanmoins interdit entre 1853 et 1861. L’action est déplacée à début décembre 1314, au moment où Louis X le Hutin accède au trône : Marguerite de Bourgogne n’est alors plus princesse, mais reine de France, ce qui rend la chose plus croustillante encore !

Michel Zévaco en fera de même avec son roman "Buridan, héros de la Tour de Nesle" en 1911 (cf. film de 1923).

La Tour de Nesle (film, 1909)

- Henri Demesse a tiré de la pièce de Dumas, Gaillardet et Janin un roman de plus de 1700 pages en 1880. Notons, en outre, "La Mort de Marguerite de Bourgogne", un drame d’Éliacin Jourdain (Paris, 1845) et la parodie-vaudeville "La Tour de Nesle à Pont-à-Mousson" de Théodore Cogniard et Clainville (Paris, 1861).

  • popularité de la légende la Tour de Nesle
opéras

Zévaco[modifier | modifier le code]

histoire de l'édition de Buridan, héros de la Tour de Nesle et Marguerite de Bourgogne
  1. Buridan, Le héros de la Tour de Nesle (1905/1911), (Les Mystères de la Tour de Nesle), [1.Les Amours de Marguerite de Bourgogne; 2.L’Élixir d’Amour], [1.Buridan; 2. Mabel, la femme en noir], [1.Marguerite de Bourgogne]
  2. La Reine sanglante, Marguerite de Bourgogne (1905/1911), (Les Mystères de la Tour de Nesle), [3–4. La Cour des miracles], [2. Myrtille]
  • publié ensuite en 1909 dans Le Journal des Romans Populaires Illustrés (multiples numéros).
  • 1re publication en livre : 1911 – Tallandier, Le Livre national, # 82, 83. (Les romans héroïques). En 2 volumes : 1. Buridan, Le héros de la Tour de Nesle. [55 chapitres, en 486 pp.]; 2. La Reine sanglante, Marguerite de Bourgogne. [43 chapitres & un ‘Conclusion’, en 397 pp.]
biblio
  • DUFOURNET Gabriel, « Buridan, le Héros de la Tour de Nesle, de Michel Zévaco », in Le Phare Fouilleur, 1979, n°6, pp. 7 et 8.
diffusion

FIGUEROLA Carme, "Michel Zévaco en Espagne", Oeuvres & Critiques, 2006, vol.31, núm. 2, p. 119-141

en Espagne[modifier | modifier le code]


  • Margarita de Borgoña, Carrillo, Álvaro, Publicado por Maucci (1911) (trad de Zévaco ?)
  • LA TORRE DE NESLE. Novela Histórica del tiempo de la Reina Margarita de Borgoña, 1888 RARA EDICION ILUSTRADA POR JOSE ROY

Ico[modifier | modifier le code]

Clémence de Hongrie[modifier | modifier le code]

Jeanne de Bourgogne (épouse Philippe V)[modifier | modifier le code]

  • Gustave Duhem, « Jeanne de Bourgogne, Comtesse de Poitiers et Reine de France », Mémoires de la société d'émulation du Jura, 12e série, vol. 1,‎ 1928-1929, p. 139-173.
    • peut-être dispo en ligne ici, en particulier


  • Paul Lehugeur, Histoire de Philippe le Long, roi de France : 1316-1322, 2 tomes, dispo sur Gallica


  • traité d'Evreux, 1291
  • sur traité de Vincennes (1295) qui cède la Franche-Comté à la France
  • administration du comté de Bourgogne par Jeanne
  • La Franche-Comté et les anciens Pays-Bas, XIIe-XVIIIe siècles, t. 1 : Aspects politiques, diplomatiques, relig[i]eux et artistiques, 2010 (UL : DC 611 F815 F816 2010 1), notamment :
    • Laurence DELOBETTE et Nicole BROCARD, Entre France et Empire : le mariage d’Othon IV et de Mahaut d’Artois (1285)
    • et autres communications
  • Provinces et Etats dans la France de l'Est : le rattachement de la Franche-Comté à la France : espaces régionaux et espaces nationaux : actes du colloque de Besançon, 3 et 4 octobre 1977, p. 207-231 extraits Google (UL : AS 162 B554 2e sér. 216 )***
    • Redoutey, Jean-Pierre, La Franche-Comté sous Philippe le Bel ou Philippe le Bel et la Franche-Comté
    • Michel Parisse, etc.
  • Redoutey, Jean-Pierre, Le Comté de Bourgogne de 1295 à 1314. Problèmes d'administration. - In: Mémoires de la Société pour l'histoire du droit et des institutions des anciens pays bourguignons vol. 33 (1975/76) p. 7-65
  • M.-T. Allemand-Gay, Le pouvoir des comtes de Bourgogne au xiiie siècle, Besançon, 1988 (Annales littéraires de l’Université de Besançon, 368) (dispo UL : AS 162 B554 2e sér. 368) (bof)
  • études sur Mahaut d'Artois, sur Philippe le Bel
  • Mahaut d'Artois : une femme de pouvoir / Christelle Balouzat-Loubet., dispo BAnQ
  • Richard, Une petite-nièce de Saint Louis, Mahaut d'Artois
  • Godefroy Menilglaise, « Mahaut comtesse d'Artois : accusation de sortilège et d'empoisonnement, arrêt d'absolution, confédération des nobles du Nord de la France », Mémoires de la Société des Antiquaires de France, t. 28, 1865, p. 181 et suiv. (accusation d'avoir fait préparer des philtres d'amour pour ramener l'entente entre le comte et la comtesse de Poitiers...)
  • Pascal Ladner, « L’Administration royale de la Franche-Comté sous Philippe le Bel (1295-1314) », Publications du Centre Européen d'Etudes Bourguignonnes, vol. 4, 1962, p. 77-86 DOI 10.1484/J.PCEEB.3.26
ico
sources internet où piocher
mécénat
  • Erlande-Brandenburg Alain. Un reliquaire de Philippe V et de Jeanne de Bourgogne. In: Bulletin Monumental, tome 133, n°4, année 1975. p. 333.
  • patronage Saint-Jacques-de-l'Hôpital et confrérie Saint-Jacques aux Pélerins de Paris
  • Jean Pucelle
  • comptes d'Artois... Mahaut d'Artois...

Épouses de Charles IV le Bel[modifier | modifier le code]

  • Mollat Guillaume. Jean XXII et Charles IV le Bel (1322-1328) [Auguste Coulon et Suzanne Clémencet, Lettres secrètes et curiales de Jean XXII (Bibliothèque des Écoles françaises d'Athènes et de Rome). ]. In: Journal des savants, 1967, n°2. pp. 92-106. http://www.persee.fr/doc/jds_0021-8103_1967_num_2_1_1148
    • dispense de 1322' projet de mariage avec Yolande d'Aragon, union avec Marie de Luxembourg, rel. Pape avec Jeanne d'Évreux,

Blanche de Bourgogne[modifier | modifier le code]



livre d'heures possible


  • Elizabeth A. R. Brown, "Laver de ses pechiés une pecheresse royale : Psalm Collects in an Early Fourteenth-Century Devotional Book" , in : Cultural Performances in Medieval France: Essays in Honor of Nancy Freeman Regalado, Cambridge, Brewer, 2007 : p. 163-177.
    • rel. Blanche avec sa mère après son emprisonnement
  • Delisle, Les Heures de Blanche de France, duchesse d'Orléans, in : Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, 66, 1905 : p. 489-539.
    • liste des enluminures, p. 503


Thomas de la Marche

Thomas de La Marche (d · h · j · )

  • Marcellin Boudet, Thomas de La Marche, bâtard de France, et ses aventures : 1318-1361, 1900 Internet Archive - Gallica
  • Marcellin Boudet, « Charles le Bel et Thomas de la Marche », Le Moyen Âge, 1901
  • Marcellin Boudet, « Nouveaux documents sur Thomas de la Marche, seigneur de Nonette et d'Auzon, bâtard de France », Le Moyen Âge, 1903
  • Gaston Paris, [ Notice critique sur l'ouvrage de] Marcellin Boudet. Thomas de La Marche, bâtard de France et ses aventures (1318-1361), Journal des Savants, décembre 1900, pp. 694-707.
  • Moranvillé Henri. De l'origine de Thomas de la Marche. In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1905, tome 66. pp. 281-286.
  • ici
  • ici

Marie de Luxembourg[modifier | modifier le code]

ico

Jeanne d'Évreux[modifier | modifier le code]

ico

Jeanne de Bourgogne (Philippe VI)[modifier | modifier le code]

Jeanne de Bourgogne (v. 1293-1349) (d · h · j · )

Blanche de Navarre[modifier | modifier le code]

  • Surget, M. (2010). La fratrie, un ménage de remplacement ? Les solidarités familiales privées chez les Enfants de Navarre dans la France du XIV e siècle. Revue Historique De Droit Français Et étranger (1922-), 88(4), 499-522. Retrieved from http://www.jstor.org/stable/43852592
  • Surget Marie-Laure. Mariage et pouvoir : réflexion sur le rôle de l'alliance dans les relations entre les Evreux-Navarre et les Valois au XIV siècle (1325-1376) . In: Annales de Normandie, 58ᵉ année, n°1-2, 2008. pp. 25-56. http://www.persee.fr/doc/annor_0003-4134_2008_num_58_1_6192#
    • Jean le Bel et Villani affirmant concurrence entre Philippe VI et Jean pour épouser Blanche (p. 44)
  • Charon Philippe, « Révoltes et pardons dans les relations entre Charles II de Navarre et la dynastie des Valois (1354-1378) », dans Violences souveraines au Moyen Âge. Travaux d’une École historique. Paris, Presses Universitaires de France, « Le Noeud Gordien », 2010, p. 205-215. DOI : 10.3917/puf.sere.2010.01.0205. URL : http://www.cairn.info/violences-souveraines-au-moyen-age--9782130573630-page-205.htm (dispo UL)



mariage avec Philippe VI
  • dispense de consanguinité et source pour mariage le 19 janv 1350 dans Mollat, Clément VI et Blanche de Navarre
ico
  • groupe de donateurs royaux priant (un roi, une reine, un prince) daté de vers 1350, conservé au MET (identifiés respectivement à Philippe de Valois, Blanche de Navarre (ou Jeanne de Bourgogne, Jeanne de Boulogne, Jeanne de Bourbon) et le futur Jean II (aussi Charles V)

Jeanne de Boulogne / d'Auvergne[modifier | modifier le code]

Jeanne Ire d'Auvergne (d · h · j · · ©)

ico
  • commons:Category:Joan I of Auvergne
    • vérifier les sources/exactitudes des images de la cat. commons (Roman du comte d'Artois... tombeau dans Baluze?)
  • (attention à ne pas confondre avec Jeanne de Boulogne/Auvergne dans le roman du comte d'Artois)
  • ico
  • ico2
  • couronnements et joyeuses entrées de Jean II le Bon
  • entrée de Jean II à Paris par Fouquet (avec Jeanne d'Auvergne)
  • Jean II, dit le Bon et Jeanne d'Auvergne, sa seconde femme (gravure du XIXe siècle), Abel Hugo, France historique et monumentale, pl. LXX et description p. 426


  • héritage Bourgogne/Franche-Comté/Artois pour son fils (acquisition, résistance, gestion, régence, face aux anglais...)


influence limitée de la reine Jeanne auprès du roi et de la cour de France
  • lettre de Jeanne à Pierre le Cérémonieux, roi d'Aragon, qui la priait d'intervenir auprès de Charles II de Navarre pour l'inciter à épouser une princesse aragonaise, l'une des filles du roi Pierre II de Sicile : la reine lui répond en l'invitant à s'adresser plutôt à Jeanne d'Évreux et Blanche de Navarre (lettre datée de décembre 1350[21])
  • « Jeanne de Boulogne ne semble avoir joué aucun rôle politique. L’essentiel de ce que l’on connaît d’elle tient dans les « joyeuses entrées » qu’elle effectue dans les villes du royaume. Durant la captivité de son époux en Angleterre elle ne semble à aucun moment tentée par le pouvoir. Le peu que l’on sait de son itinéraire nous la montre constamment éloignée de son époux. »[22])
  • Raymond Cazelles, « Jean II le Bon : Quel homme? Quel roi? », Revue Historique, T. 251, Fasc. 1 (509) (JANVIER-MARS 1974), pp. 5-26 JSTOR:40952980 [dispo sur Gallica]
  • a la garde des enfants de Jean le Bon (du moins ses deux plus jeunes fils) jusqu'en 1351


succession de Bourgogne


influence famille de Boulogne sur Jean II


couronnement
  • Desportes Françoise, Desportes Pierre, « Le sacre de Jean le Bon d'après ses comptes », Marie-Thérèse Caron, Pierre Desportes, Marie-Claude Gerbet et al., Villes et sociétés urbaines au Moyen Âge, mélanges Jacques Heers, Paris, Presses de l'université de Paris Sorbonne, 1994, p. 185-205 (UL : HT 115 V7471 1994)


refuge en Bourgogne (1356-1360) après Poitiers


mort et sépulture
  • selon père Anselme, corps à Saint-Denis et coeur aux Célestins de Paris (idem Jean II le Bon)
  • mention et indication de la sépulture de cœur de Jean II et Jeanne de Boulogne aux Célestins de Paris (fondé par le futur Charles V) (1352) :
  • abbaye de Fontenay, sépulture de Philippe de Bourgogne, comte de Boulogne (époux de Jeanne de Boulogne); de Jeanne de France, duchesse de Bourgogne et de la petite-fille de celle-ci, Jeanne de Bourgogne (fille de Jeanne de Boulogne), gravure du tombeau : File:Fontenay Johany.jpg (photocopie d'une gravure parue dans Dom Plancher, (PLANCHER (Dom U.), Histoire générale et particulière de Bourgogne…, op. cit., tome II, p. 238) (voir aussi Histoire des ducs de Petit)
  • Cîteaux : Eudes IV et Philippe de Rouvre y sont inhumés
  • Sainte-Chapelle de Dijon : Jeanne de Boulogne a un moment le projet d'y faire dresser le tombeau de son défunt époux, Philippe de Bourgogne
ico


Jeanne de Bourbon[modifier | modifier le code]

ancienne historiographie


Isabeau de Bavière[modifier | modifier le code]

Isabeau de Bavière (d · h · j · )

  • rôle dans la consommation, la mode / mécénat
  • pouvoir et influence politique
  • lien avec Christine de Pizan
  • mauvaise réputation / historiographie
  • rôle comme médiatrice /diplomatie / paix
pouvoir et influence politique
  • Rachel Gibbons, « Isabeau de Bavière : reine de France ou « lieutenant-général » du royaume ? », dans Éric Bousmar, Jonathan Dumont, Alain Marchandisse et al. (dir.), Femmes de pouvoir, femmes politiques durant les derniers siècles du Moyen Âge et au cours de la première Renaissance, Bruxelles, De Boeck, coll. « Bibliothèque du Moyen Âge » (no 28), , 656 p. (ISBN 978-2-8041-6553-6, lire en ligne), p. 101-112.


rôle dans la consommation, la mode / mécénat


mauvaise réputation / historiographie
  • (en) Tracy Adams, The Life and Afterlife of Isabeau of Bavaria, Baltimore, Johns Hopkins University Press,
  • Tracy Adams, « Isabeau de Bavière : la création d'une reine scandaleuse », Cahiers de recherches médiévales, Ouzouer-le-Marché, CRMH, no 25 « Le droit et son écriture. La médiatisation du fait judiciaire dans la littérature médiévale »,‎ , p. 223-235 (ISSN 2273-0893, lire en ligne).
  • (en) Tracy Adams et Glenn Rechtschaffen, « The Reputation of the Queen and Public Opinion : The Case of Isabeau of Bavaria », Medieval Feminist Forum. Journal of the Society for Medieval Feminist Scholarship, University of Iowa, vol. 47, no 1,‎ , p. 5-31 (lire en ligne)
  • (en) Rachel Gibbons, « Isabeau of Bavaria, Queen of France (1385-1422): The Creation of an Historical Villainess », Transactions of the Royal Historical Society, 6e série, vol. 20,‎ , p. 51-73 (DOI 10.2307/3679229, JSTOR 3679229).



Sade et son Histoire secrète d’Isabelle de Bavière, reine de France
Dumas, Isabel de Bavière
L'Amour d'une reine ou une nuit à l'hôtel St Paul (théâtre, 1837)


peinture


sceau
  • Isabeau de Bavière et son sceau, vidéo : L’institut national du patrimoine propose un entretien vidéo à propos du sceau d’Isabeau de Bavière. D’un caractère exceptionnel, le sceau d’Isabeau de Bavière tranche complètement avec les sceaux utilisés par les autres reines de France. La restauration du sceau d’Isabeau de Bavière a permis de mettre en valeur l’image remarquable de la reine.
  • empreinte de sceau sur Gallica

Marie d'Anjou[modifier | modifier le code]

Marguerite d'Écosse[modifier | modifier le code]

Auld Alliance


Charlotte de Savoie[modifier | modifier le code]

Charlotte de Savoie (d · h · j · )

  • Frizet, Yannick. “Louis XI et le partage familial de la dévotion”. Raynaud, Christiane. Familles royales : Vie publique, vie privée aux XIVe et XVe siècles. Aix-en-Provence : Presses universitaires de Provence, 2010. (pp. 145-184) (long développement sur rel. Charlotte avec Louis, usage en politique...)


bibliophilie
  • Anne-Marie Legaré, « Charlotte de Savoie (v. 1442-1483): Aimoit fort la lecture et les livres... », dans Christian Freigang and Jean-Claude Schmitt, éd. Hofkultur in Frankreich und Europa im Spätmittelalter/ La culture de cour en France et en Europe à la fin du Moyen Âge, Berlin, Akademie Verlag, 2005, p. 101-121. (dispo UL : DC 33.15 H711 2005)
dans les arts et la fiction
  • roman Charlotte de Savoie, reine de France, 1778, Nouvelles françaises, (vol. 2, no 7) de Louis d'Ussieux - en ligne, avec ico
  • Tableau Louis XI à Amboise, Salon 1839, de Claudius Jacquand:
    • "Chaque jour la reine donnait une leçon de lecture au dauphin, malgré la défense expresse de son royal époux... Furieux à la nouvelle de cette infraction à ses volontés, Louis XI arrive furtivement au château, et, après les plus violens emportemens, il sépare la reine de son fils. Peu de jours après, il la conduisait à Tours, laissant le jeune prince à Amboise, qui y demeura jusqu’au jour de son avènement au trône." (PH. DE COMMINES.)
    • gravure
    • LOUIS XI OF FRANCE SURPRISING THE QUEEN INSTRUCTING THE DAUPHIN CONTRARY TO HIS WILL sur Artnet
Diptyque de Charlotte de Savoie

Marguerite d'Autriche, fiancée de Charles VIII[modifier | modifier le code]

Marguerite d'Autriche (1480-1530) (d · h · j · )

  • Trombert, F., « Une reine de quatre ans à la cour de France: Marguerite d'Autriche, 1484-1485 », Autour de Marguerite d'Écosse, 1999, p. 123-162.
  • Franck Collard, « La royauté française et le renvoi de Marguerite d'Autriche. Remarques sur la rhétorique de la paix et du rex pacificus à la fin du XVe siècle », Gisela Naegle (dir.), Frieden schaffen und sich verteidigen im Spätmittelalter / Faire la paix et se défendre à la fin du Moyen Âge, Munich : Oldenbourg, 2011, p. 343-356 (dispo UL) en ligne
  • Gilles Docquier, « Convoi exceptionnel ou tournée de gala : retour et accueil de Marguerite d’Autriche, épouse répudiée, dans les Pays-Bas (1493) », dans Paul Delsalle, Gilles Docquier, Alain Marchandisse et Bertrand Schnerb (dir.), Pour la singuliere affection qu’avons a luy. Études bourguignonnes offertes à Jean-Marie Cauchies, Turnhout, Brepols, 2016 (Burgundica). (Brepols)
ico

Marie d'Angleterre[modifier | modifier le code]


Claude de France[modifier | modifier le code]

  • Le Sacre, couronnement, triomphe et entrée de la reine et duchesse, Madame Claude de France, plusieurs exemplaires manuscrits

Éléonore d'Autriche /de Habsbourg[modifier | modifier le code]

Éléonore de Habsbourg (d · h · j · )

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrages
Articles
  • Michel Combet, « Éléonore d'Autriche, une reine de France oubliée », dans Maurice Hamon et Ange Rovère (dir.), Être reconnu en son temps : personnalités et notables : 134e Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, Bordeaux, 2009, Éditions du CTHS, coll. « Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques (édition électronique) », (ISSN 1773-0899, lire en ligne), p. 15-25
  • (en) Janet Cox-Rearick, « Power-Dressing at the Courts of Cosimo de' Medici and François I: The "moda alla spagnola" of Spanish Consorts Eléonore d'Autriche and Eleonora di Toledo », Artibus et Historiae, vol. 30, no 60,‎ , p. 39-69 (JSTOR 25702881)
  • Annemarie Jordan et Kathleen Wilson-Chevalier, « L’épreuve du mécénat : « Alienor d’Austriche », une reine de France effacée ? », dans Kathleen Wilson-Chevalier (dir.), Patronnes et mécènes en France à la Renaissance, Saint-Étienne, Publications de l’université de Saint-Étienne, coll. « L'École du genre », (ISBN 978-2-86272-443-0), p. 341-380 [lire en ligne (1)] - [lire en ligne (2)]
  • Annemarie Jordan Gschwend, « Antoine Trouvéon, un portraitiste de Leonor d'Autriche récemment découvert », Revue de l'Art, no 159,‎ , p. 11-19 (lire en ligne)
  • (en) Annemarie Jordan Gschwend, « 'Ma meilleur soeur' : Leonor of Austria, Queen of Portugal and France », dans Fernando Checa (éd.), The Inventories of Charles V and the Imperial Family, vol. 3, Madrid, Fernando Villaverde Editores, (ISBN 978-2-86272-443-0), p. 2569-2592
  • Chloé Pardanaud, « Plaider, convaincre, entrer en scène : Éléonore d’Autriche et la libération des Enfants de France, d’après sa correspondance inédite », Seizième Siècle, vol. 4, no 1,‎ , p. 195-216 (lire en ligne)
  • (en) Kathleen Wilson-Chevalier, « Art patronage and women (including Habsburg) in the orbit of King Francis I », Renaissance Studies, vol. 16, no 4,‎ , p. 475-524 (lire en ligne).



Catherine de Médicis[modifier | modifier le code]

  • rech. Avec italophbie, montée après 1570', travaux de jean balsamo, etc.
ico
  • représentation de Catherine de Médicis dans le tableau Le Massacre de la Saint-Barthélemy de François Dubois (XVIe s.)
    • Massacre de la Saint-Barthélemy
    • Nicolas Le Roux, « Le Massacre de la Saint-Barthélemy », Histoire par l'image [en ligne] : « Une silhouette sombre se découpe devant le bâtiment. Il s’agit de Catherine de Médicis, la mère du roi Charles IX. La reine mère apparaît également à deux autres endroits du tableau : sur le pont, et près de la Seine, en bas à gauche du tableau. Si Catherine de Médicis n’était pas présente lors du massacre, Dubois l’insère dans son tableau afin de lui imputer une responsabilité dans ce massacre. (...) Le tableau de Dubois attribue clairement la responsabilité des violences à la reine mère. L’œuvre participe à la construction de la légende noire de cette princesse. »
  • Katharine Crawford, Catherine de Medicis and the Performance of Political Motherhood, Sixteenth Century Journal, vol. 31, no 3, november 2001,
ico
culture


infertilité
  • GORDETSKY, Jennifer, RABINOWITZ, Ronald, et O'BRIEN, Jeanne. The “infertility” of Catherine de Medici and its influence on 16th century France. Canadian Journal of Urology, 2009, vol. 16, no 2, p. 4585. http://canjurol.com/pdfs/DrGordetsky.pdf ***
sorcellerie, poison
légende noire
  • Una McIlvenna, Scandal and Reputation at the Court of Catherine de Medici, Routledge, 2016 (dispo UL : PQ 239 M152 2016)


  • aussi xénophobie envers Italie
mort et sépulture
mythe gastronomique
  • Catherine de Médicis à la base de la gastronomie française
  • Loïc Bienassis & Antonella Campanini, La reine à la fourchette et autres histoires. Ce que la table française emprunta à l’Italie: analyse critique d’un mythe, in La table de la Renaissance. Le mythe italien, curated by Pascal Brioist and Florent Quellier, Tours-Rennes, Presses Universitaires de Rennes / Presses Universitaires François-Rabelais de Tours, 2018 (Collection “Tables des Hommes”), pp. 29-88.***
  • Loïc Bienassis, « Du brie de Charlemagne à la tarte renversée des sœurs Tatin : essai d’analyse des légendes culinaires et de leurs usages », In Situ [En ligne], 41 | 2019, mis en ligne le 10 décembre 2019, consulté le 31 mai 2020. URL : http://journals.openedition.org/insitu/25298 ; DOI : https://doi.org/10.4000/insitu.25298


sceau
postérité
dans la fiction
  • L'éducation courtisane de Linda Sayeg, 2013 (une dame d'honneur de Catherine de Médicis)
  • Florence FIX, « « Encore des barricades » ? Les États de Blois au théâtre (1810-1837) » in Le Lys recomposé. La représentation des pouvoirs sous l’Ancien Régime dans la littérature fictionnelle du XIXe siècle (1800-1850), Actes du colloque organisé à l’Université de Rouen en mars 2018, publiés par Laurent Angard, Guillaume Cousin, et Blandine Poirier. Publications numériques du CÉRÉdI, "Actes de colloques et journées d'étude (ISSN 1775-4054)", n° 22, 2019.
    • passages sur la représentation de Catherine de Médicis dans diverses pièces de théâtre portant sur les États de Blois de 1588 qui se terminent par l'assassinat de Guise
  • travaux d'Odile Krakovitch et Legoy pour le théâtre
  • Odile Krakovitch, « Les femmes de pouvoir dans le théâtre de Dumas : de Christine à Messaline », Revue d'histoire littéraire de la France, no 4,‎ , p. 811-829 (lire en ligne).
jeux vidéo



voir aussi

Marie Stuart /d'Écosse[modifier | modifier le code]

Marie Stuart (d · h · j · ) Catégorie:Marie Stuart

  • développement de la section "Reine de France"
  • Marie Stuart. Le destin français d'une reine d’Ecosse, exposition, 15 octobre 2008 - 2 février 2009, Musée de la Renaissance, château d’Ecouen
    • catalogue : Thierry Crépin-Leblond (dir.), Marie Stuart, Le destin français d'une reine d'Écosse, RMN, 2008
    • lien vers dossier de presse
  • A. Wilinson, Mary Queen of Scots and French Public Opinion, 1542-1600, 2004
postérité / dans la culture et la fiction

fr:Catégorie:Marie Stuart dans la culture en:Cultural depictions of Mary, Queen of Scots en:Category:Cultural depictions of Mary, Queen of Scots

  • travaux de Nicole Cadène sur l'historiographie de Marie Stuart
    • Nicole Cadène, « Marie Stuart dans le théâtre de la Restauration: reine de France ou d’Ecosse? », dans Figures de l'histoire de France dans le théâtre au tournant les Lumières, 1760-1830, 2007 (dispo UL) résumé
ico

commons:Category:Mary, Queen of Scots

Louise de Lorraine[modifier | modifier le code]

Louise de Lorraine-Vaudémont (d · h · j · )

  • Jacqueline Boucher, Deux épouses et reines à la fin du XVIe siècle: Louise de Lorraine et Marguerite de France, Université de Saint-Etienne, 1995 Google Livres) (dispo UL : DC 119.7 B753 1995; dispo BAnQ : 923.144 B7531d 1995)


deuil / douairière
  • chambre "de deuil" de Louise de Lorraine à Chenonceau (ico sur commons
  • serait la dernière reine de France à porter le deuil en blanc[23]
ico

Marguerite de France[modifier | modifier le code]

Marie de Médicis[modifier | modifier le code]


mécénat

Anne d'Autriche[modifier | modifier le code]

contexte
mazarinades
mécénat / art / symbolique / propagande


rumeurs d'adultère
dans la fiction
  • Anne d'Autriche dans Les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas et autres oeuvres qui s'en inspirent
ico


Marie-Thérèse d'Espagne[modifier | modifier le code]

[Marie-Anne de Bavière, épouse du grand dauphin][modifier | modifier le code]

Marie-Anne de Bavière (1660-1690) (d · h · j · )

ico

[Marie-Adélaïde de Savoie (1685-1712), dauphine, mère de Louis XV][modifier | modifier le code]

  • épouse de Louis de France (1682-1712), petit-fils de Louis XIV; duc de Bourgogne, puis dauphin ; mère de Louis XV

Marie-Adélaïde de Savoie (d · h · j · ),

  • Bruno Cortequisse, Les Dauphines de France au temps des Bourbons, 1660-1851, Perrin, 2023, chap. 3 : dispo sur Cairn

Marie Leszczynska[modifier | modifier le code]

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  • Jennifer Grant Germann. "Fecund Fathers and Missing Mothers: Louis XV, Marie Leszczinska, and The Politics of Royal Parentage in the 1720s." Studies in Eighteenth-Century Culture 1, no. 1 (2007): 105-126. https://www.academia.edu/7207768/
  • travaux de Jennifer Germann
    • Figuring Marie Leszczinska (1703--1768): Representing queenship... (these)
    • Picturing Marie Leszczinska (1703-1768): Representing Queenship in Eighteenth-Century France
vie de cour
  • Bernard Hours, Louis XV et sa cour. Le roi, l’étiquette et le courtisan. Essai historique, Paris, PUF, 2002 (dispo UL)
patronage musical
  • David Hennebelle, Les Concerts de la Reine (1725-1768), Lyon, Symétrie, 2015.

[Marie-Thérèse d'Espagne (1726-1746), dauphine (1745-1746), ép fils de Louis XV][modifier | modifier le code]

Marie-Thérèse d'Espagne (d · h · j · )

  • Bruno Cortequisse, Les Dauphines de France au temps des Bourbons, 1660-1851, Perrin, 2023, chap. 4 : dispo sur Cairn

[Marie-Josèphe de Saxe (1731-1767), dauphine (1747-1765), ép. fils de Louis XV][modifier | modifier le code]

Marie-Josèphe de Saxe (1731-1767) (d · h · j · )

  • Bruno Cortequisse, Les Dauphines de France au temps des Bourbons, 1660-1851, Perrin, 2023, chap. 5 : dispo sur Cairn

Marie-Antoinette[modifier | modifier le code]

Marie-Antoinette d'Autriche (d · h · j · · AdQ)


  • Marie-Antoinette : Galeries nationales du Grand Palais, Paris, 15 mars-30 juin 2008 / , catalogue d'exposition 2008 [ GB : 944.034092 M334]*** (rééd. Xavier Salmon)
  • Xavier Salmon, Marie-Antoinette, images d'un destin, 2005 (portraits, dans l'art) (GB: 944.035092 M334sx)
  • Annie Duprat, Marie-Antoinette, 1755-1793 Images et visages d’une reine, Paris, Autrement, 2013 [compte rendu] (GB : 923.144 M334d) (dispo en ligne BAnQ)***
  • Chantal Thomas, La reine scélérate  : Marie-Antoinette dans les pamphlets, Seuil, 1989 (dispo en ligne BAnQ) ***
  • Thomas E. Kaiser, « Scandal in the Royal Nursery: Marie-Antoinette and the Gouvernantes des Enfants de France », Historical Reflections / Réflexions historiques, 32-2, 2006, p. 403-420
  • Marie-Antoinette face à l'histoire : colloque à la Sorbonne, 30 septembre 2006 / [organisé par l'] Institut de la Maison de Bourbon. Éditeur Paris : F.-X. de Guibert, 2008. (GB : 944.035092 M334c) sommaire


influence sur la mode
  • Caroline Weber, Queen of Fashion: What Marie Antoinette Wore to the Revolution, 2006 (dispo UL : GT 865 W373 2006)
  • Kimberly Chrisman-Campbell, Fashion Victims: Dress at the Court of Louis XVI and Marie Antoinette, Yale University Press, 2015 (pas dispo [UL) (https://hal.inria.fr/halshs-01419530/document compte-rendu])


postérité
réputation comme mauvaise mère
  • « [Discussion du portrait Marie-Antoinette et ses enfants de Vigée-Lebrun] Marie-Antoinette desperately wished to convey to her husband’s subjects that she was devoted to her children, and through them France; but the French did not see her as a mother. France’s queens had a long history of not being loved by the people; and as Katherine Crawford demonstrates, xenophobia and their proximity to the reigning monarch contributed to the historic French construction of kings’ consorts and or mothers as being “evil foreign queens,” the Austrian born Marie-Antoinette dubiously and eventually linked first in the libelous pamphlets to the notorious Catherine de’ Medici.(87) Even her maternity worked against her, starting with the questioning of Louis XVI’s paternity as far back as the couple’s first child in 1778. Anxieties pertaining to her sexuality and her reproductive capacity made her out to be an “antimother,” one who was feared and despised quite some time before the libelles transformed her into the hypersexed monster that preyed upon her own son.(88)

(87) Katherine Crawford, “Constructing Evil Foreign Queens” in Journal of Medieval and Early Modern Studies 37:2 (Spring 2007): 405-11.
(88) "See Gutwirth on the conceptualization of Marie-Antoinette as an “antimother” in Twilight of the Goddesses, 184-85. See as well Lynn Hunt’s analysis of her as a “bad mother” in both Ch. 4, “The Bad Mother” in The Family Romance of the French Revolution, 89-123; and its earlier inception, “The Many Bodies of Marie Antoinette: Political Pornography and the Problem of the Feminine in the French Revolution,” in L. Hunt, ed., Eroticism and the Politic (Baltimore; London: Johns Hopkins University Press; 1991), 108-130." [24] »

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  • gravure dans l'ouvrage Les crimes des reines de France, représentant Marie-Antoinette sous les traits d'une sirène, image de la tromperie
    • Vivian Cameron, « Gender and power: Images of women in late 18th-century France », History of European Ideas, Volume 10, Issue 3, 1989, Pages 309-332 (interprétation de cette image)
    • discussion ici



"L'Autel Royal"
groupe allégorique à l'avènement et au sacre de Louis XVI et à Marie-Antoinette

[Marie-Joséphine de Savoie] (Louis XVIII)[modifier | modifier le code]

[Marie-Thérèse de France][modifier | modifier le code]

Marie-Thérèse de France (1778-1851) (d · h · j · )

  • Hélène Becquet, « Royauté, royalismes et révolutions : Marie-Thérèse-Charlotte de France (1778-1851) », Revue d'histoire du XIXe siècle [En ligne], Thèses et HDR soutenues (résumé de thèse) :"Ce rôle politique est l’un des aspects abordés dans la cinquième partie qui cherche à déterminer le rôle de Marie-Thérèse-Charlotte de France au sein de la monarchie restaurée, dans laquelle elle tient lieu de reine."
  • Hélène Becquet, Marie-Thérèse de France. L’orpheline du Temple. Paris, Perrin, 2012*****
  • Hélène Becquet, « Une royauté sans reine : les princesses de la Restauration », dans Hélène BECQUET et Bettina FREDERKING [dir.], La dignité de roi. Regards sur la royauté au premier XIXe siècle, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2009, (ISBN 978-2-7535-0949-8) (dispo BAnQ)
  • Becquet Hélène. La fille de Louis XVI et l'opinion en 1795 : sensibilité et politique, In: Annales historiques de la Révolution française, n°341, 2005. pp. 69-83.
  • Becquet Hélène. Les filles de France à Versailles au XVIIIe siècle, entre intégration et exclusion, In: Bibliothèque de l'école des chartes. 2012, tome 170. Versailles. De la résidence au musée Espaces, usages, institutions XVIIe-XXe siècle Études et documents réunis par Fabien Oppermann, sous la direction de Fabien Oppermann. pp. 131-153.
  • autres travaux de Hélène Becquet


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Joséphine de Beauharnais[modifier | modifier le code]

Joséphine de Beauharnais (d · h · j · )

rôle dans la mode / consommation

Marie-Amélie de Bourbon-Sicile[modifier | modifier le code]

Marie-Amélie de Bourbon-Siciles (d · h · j · )

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  • Thibaut Trétout, « Louis-Philippe et la cour », dans Hélène Becquet et Bettina Frederking (dir.), La dignité de roi : Regards sur la royauté en France au premier XIXe siècle, Rennes, Presses universitaires de Rennes, (ISBN 978-2-7535-6692-7, lire en ligne), p. 117–135 "Première caractéristique de ces rapports, la distance prise par le roi des Français vis-à-vis du fonctionnement de la cour. L’administration de la Maison du Roi et des maisons satellites se trouve en effet confiée, par ordre de son époux, aux soins de la reine. C’est à Marie-Amélie que sont d’abord adressés les rapports du trésorier de la Couronne63, puis, par son intermédiaire, à l’Intendant de la liste civile, celui-ci n’ayant que le soin de régulariser les dépenses ordonnées64. C’est la reine qui accorde les gratifications65, qui fixe le montant des secours66, et c’est sur son crédit que sont payés les aides de camp du roi67. Étendue au livre des visites68, cette prérogative de Marie-Amélie renvoie à l’exercice d’une faculté qui lui est déléguée par Louis-Philippe, selon la formule en usage dans les différents rapports : « soumis, par ordre du Roi, à l’approbation de Sa Majesté la Reine ». Ce pouvoir de Marie-Amélie décharge le roi de la gestion laborieuse des maisons, tout en lui permettant, sur leur marche quotidienne, un contrôle indirect. Montalivet, l’Intendant de la liste civile le plus longtemps en place au cours du règne, ainsi qu’Atthalin, premier et inamovible aide de camp qui assure la direction de la Maison, achèvent de dessiner les contours du dispositif institutionnel mis en place sous la Monarchie de Juillet. La délégation opérée par le roi des Français en matière d’administration des maisons royales et princières, que distingue le truchement de la reine, nous paraît moins tenir à un désintérêt de Louis-Philippe pour son intérieur qu’à une conception nouvelle du rôle de son entourage dans la mécanique des fluides parlementaires."

Hélène de Mecklembourg-Schwerin (épouse du fils héritier de Louis-Philippe[modifier | modifier le code]

Hélène de Mecklembourg-Schwerin (d · h · j · )

  • recherche d'une épouse plus prestigieuse pour l'héritier du trône
  • raisons du choix

Eugénie de Montijo, impératrice (1853-1870)[modifier | modifier le code]

Eugénie de Montijo (d · h · j · )

  • fascination d'Eugénie pour Marie-Antoinette
rôle dans la mode et les arts
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ressources

Iconographie[modifier | modifier le code]



  • Figures de l'histoire de France par M. Moreau le Jeune, avec le discours de M. Garnier

À Paris, chez Ant.-Aug. Renouard, ap. 1790 (gravures de Jean Michel Moreau (1741-1814), dit Moreau le Jeune)

couronnes, sceaux, joyaux
Delpech
portraits
reines de jeu d'échec
reines de France de jeux de carte


manuscrits

http://belgica.kbr.be/fr/coll/ms/bibliotecaCarolina_fr.html ms numèrisés de la bibliotheque royale de Belgique

Dans la fiction[modifier | modifier le code]


  • chansons de geste, littérature, théâtre, cinéma...
  • Queens in Literature
  • Karen Pratt, « The image of the queen in Old French literature », Queens and Queenship in Medieval Europe, 1997
  • John Carmi Parsons, « The Pregnant Queen as Counsellor and the Medieval Construction of Motherhood », dans John Carmi Parsons and Bonnie Wheeler, éd., Medieval Mothering, Garland Publishing, 1996, p. 39-61. résumé
chansons de geste
  • Berte aus grans piés d'Adenet le Roi
  • Macaire, variantes : reine Sebile (Blanchefleur, wife of the aged and infirm emperor Charlemagne, having repulsed the advances of Macaire, is accused of infidelity and sentenced to perpetual exile. Ultimately her innocence is proved, she pardons her husband, and is reunited with him.)
  • Geste des Lorrains (Blanchefleur de Maurienne, épouse du roi Pépin de France
  • reine Blanchefleur, soeur de Guillaume d'Orange, dans ce cycle (ex : Aliscans)
    • Blandine Longhi, « Bonnes et mauvaises épouses dans la geste de Guillaume d’Orange : différentes solutions littéraires à la peur de la femme », Questes, 20 | 2011
    • Sonia Marteau, « Le rôle politique des femmes dans Aliscans », paru dans Loxias, Loxias 30, mis en ligne le 09 septembre 2010
    • GUIDOT, Bernard. Aliscans : structures parentales ou filiation spirituelle ? In : Les relations de parenté dans le monde médiéval [en ligne]. Aix-en-Provence : Presses universitaires de Provence, 1989
    • J. Wathelet-Willem, “Le Roi et la Reine dans la Chanson de Guillaume et dans Aliscans : analyse de la scène de Laon”, Mélanges J. Lods, Paris, 1978, I, p 558-70.
    • Stephanie Hathaway, The Maligned Sister of Guillaume d'Orange: Blancheflor in Aliscans and Wolfram’s Willehalm (pas dispo en ligne, seulement résumé : « "L’ambition du fameux héros Guillaume d’Orange, dans l’histoire d’Aliscans est de procurer le support militaire de la couronne affaiblie de la France, afin de libérer ses terrains de l’invasion de Saracen. Suivant les négociations à la cour à Laon, une promesse est faite par le roi Louis, mais seulement après confrontation et des menaces dans lesquelles Blancheflor, la reine de Louis et la sœur de Guillaume, joue un rôle important. Le portrait de Blancheflor symbolise la faiblesse de la monarchie sous Louis le Pieux, et les évènements suivants cela consiste de sa châtiment et la réparation suivante joue un rôle important dans l’acquisition du support royal pour Guillaume, et pour renforcer les liens entre la couronne française affaiblie et ses vassaux narbonnais. Par un contraste et comparaison des textes, en concentrant sur les scènes à Laon, ce papier enquête sur le caractère de Blancheflor dans les deux, Aliscans et la version allemande de Wolfram, Willehalm, pour révéler comment le portrait de cette reine insolente sert comme une raison distincte dans le secteur du pouvoir et des politiques dans l’histoire de la bataille en cour pour la souveraineté de Guillaume. Nous apprenons de Blancheflor que l'ampleur et les limitations de l’influence d'une reine médiévale sur les négociations de la cour, exemplifiant son rôle dans la dynamique du système féodal dans la littérature. »
  • Stephanie Hathaway, Women at Montlaon: The Influential Roles of the Female Characters in Court Negotiations in Aliscans and Wolfram’s Willehalm, résumé
  • Hugues Capet, chanson de geste


  • reines de France dans la littérature
  • Bertière, Simone, « Le personnage d'Anne d'Autriche dans la trilogie des mousquetaires d'Alexandre Dumas », Dix-neuf Vingt. Revue de littérature moderne, numéro 5, mars 1998, Dumas/ Giono, p. 67-77.
  • Travaux de Nicole Cadène sur la représentation de Marie Stuart à l'époque moderne et romantique
    • Marie Stuart selon le XIXe siècle français ou le dilemme d'une héroïne
    • Marie Stuart dans le théâtre de la Restauration : reine de France ou d'Ecosse?, in P. Mironneau & G. Lahouati (dir.), Figures de l’histoire de France dans le théâtre au tournant des Lumières 1760-1830, Oxford, Voltaire Foundation, SVEC, 2007, p.247-256. résumé (dispo UL: PQ 2105 A2 B561 2007:07)
    • « Marie Stuart trois fois martyre ? Relégitimations de la reine d’Écosse au XIXe siècle français », in P.Chopelin et S. Edouard (dir.), Le Sang des princes. Cultes et mémoires des souverains suppliciés, XVIe-XXIe siècle, Rennes, PUR, 2014, p. 199-210. (dispo UL JC 345 S225 2014)
      • dans le même recueil :
        • La fin de Marie Stuart et le "commencement" de sa gloire : la réception de la nouvelle de son exécution en 1587 / Sylvène Édouard
        • Les princes martyrs, héros d'opéra au XIXe siècle : le cas de Marie Stuart / Stella Rollet
    • Marie Stuart selon le XIXe siècle français ou le dilemme d'une héroïne


  • Sophie Guermès, « Le personnage de Marguerite de Valois dans Les Huguenots de Meyerbeer », Figures de l’histoire de France dans le théâtre au tournant des Lumières 1760-1830, études présentées par Paul Mironneau et Gérard Lahouati, Oxford, Voltaire Foundation, 2007 (Les Huguenots, opéra


  • Livre de la cité des dames et autres de Christine de Pisan
    • Glynnis Cropp, "Les personnages féminins tirés de l'histoire de la France dans le "Livre de la Cité des Dames""
  • Frédégonde (force); Blanche de Castille; Jeanne d'Évreux, 3e épouse de Charles IV; Blanche de France, épouse de Philippe d,Orléans, Blanche de Navarre, veuve de Philippe VI de Valois; Marie, duchesse d'Anjou
    • voir aussi autres écrits de Christine de Pisan, Épitre à la reine, Livre des moeurs de Charles V...
    • Anne Paupert, « L’autorité au féminin : les femmes de pouvoir dans la Cité des dames », Le Moyen Français, vol. 78-79, 2016, p. 167-185
    • CLAVIER, Tatiana. Les enseignements d’Anne de France et l’héritage de Christine de Pizan In : Lectrices d'Ancien Régime [en ligne]. Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2003


théâtre
  • Paul Gerbod, « La scène parisienne et sa représentation de l'histoire nationale dans la première moitié du XIXe siècle », Revue Historique, vol. 266, no 1 (539) (juillet-septembre 1981), p. 3-30 [lire en ligne]
    • p. 11 : "La présence des reines se trouve très limitée avec la régente Berthe (Le siège de Paris du vicomte d'Arlincourt, situé au IX- siècle et joué en 1826), Blanche d'Aquitaine ou le dernier des Carolingiens (1827, H. Bis), Marguerite d'Anjou, reine d'Angleterre, Isabeau de Bavière (in Charles VI, opéra de Casimir Delavigne, le 15 mars 1843)..."
  • Odile Krakovitch , « Les femmes de pouvoir dans le théâtre de Dumas : de Christine à Messaline », Revue d'histoire littéraire de la France 4/2004 (Vol.104) , p. 811-829 (Catherine de Médicis) et autres travaux de O. Krakovitch Les femmes de pouvoir dans le théâtre de la Restauration, etc.
  • Odile Krakovitch, « Les femmes de pouvoir dans le théâtre de la Restauration », Figures de l’histoire de France dans le théâtre au tournant des Lumières 1760-1830, études présentées par Paul Mironneau et Gérard Lahouati, Oxford, Voltaire Foundation, 2007, résumé (dispo UL: PQ 2105 A2 B561 2007:07)
  • Odile Krakovitch, « Les femmes de pouvoir dans le théâtre romantique », dans Femmes de pouvoir : mythes et fantasmes (dir. O. Krakovitch, G. Sellier, E. Viennot), Paris, L’Harmattan, 2001, p. 97-118. (dispo UL)
  • Odile Krakovitch, « Haine et peur du pouvoir des femmes. Enquête à travers le théâtre français du XIXe siècle », dans Femmes et pouvoirs (dir. Sophie Stoffel), édition du séminaire tenu en 2005 à l’Université des Femmes à Bruxelles. Bruxelles, Collection Pensées féministes, 2007, p. 243-261.
  • Frédégonde et Brunehaut de Lemercier
  • Catherine de Médicis aux États de Bloisde Arnault


Isabeau de Bavière


à l'écran/au cinéma
  • Nicole Foucher-Janin, « Marie-Antoinette, reine de l’écran », Apparence(s) [Online], 6 | 2015
  • Pascal Dupuy, « Une reine au cinéma », Annales historiques de la Révolution française [En ligne], 347 | janvier-mars 2007. (Marie-Antoinette)
  • Olivia Carpi, « L’art du stéréotype : la représentation des guerres de Religion dans la série Le Chevalier de Pardaillan de Josée Dayan (Antenne 2, 1988) », TV/Series [En ligne], 10 | 2016, mis en ligne le 01 décembre 2016, consulté le 14 février 2017. URL : http://tvseries.revues.org/1921 ; DOI : 10.4000/tvseries.1921


)

  • Moshe Sluhovsky, « History as Voyeurism: from Marguerite De Valois to La Reine Margot », Rethinking History : The Journal of Theory and Practice, Volume 4, Issue 2, 2000
  • Geneviève Sellier, « La Reine Margot au cinéma : Jean Dréville (1954) et Patrice Chéreau (1994) », in Odile Krakovitch, Geneviève Sellier, Éliane Viennot (dir.), Femmes de pouvoir : mythes et fantasmes, Paris, L'Harmattan, coll. « Bibliothèque du féminisme », 2001, p. 205-218.
opéra
  • voir ca:Llista de personatges històrics d'òpera*** très exhaustif, y compris pour les personnages secondaires
    • personnages pertinents nommés : Clotilde (Clotilde de Borgonya), Frédégonde (et Galswinthe) (Fredegunda), Brunehaut (Brunequilda), Berthe de Laon (Berta de Laon), Judith de Bavière (Judit de Baviera), Emma d'Italie et Adelaide d'Anjou (Emma d'Itàlia, Adelaida d'Anjou), Aliénor (Elionor d'Aquitània), Marguerite de Provence (Margarida de Provença), Maria de Brabant (Marie de Brabant), Elisabet de Baviera (Isabeau de Bavière), Anne de Bretagne (Anna de Bretanya), Marie Tudor (Maria Tudor i de York), Éléonore d'Autriche (Elionor d'Habsburg), Catherine de Médicis (Caterina de Mèdici), Marguerite de Valois (Margarida de Valois), Anne d'Autriche (Anna d'Espanya), Maria Teresa d'Àustria (Marie-Thérèse), Marie-Antoinette (Maria Antonieta d'Àustria), etc.



romans


imagerie populaire / d'Épinal


IMDB[modifier | modifier le code]

...

...



  • à partir de IMDb, en ordre chronologique décroissant, souveraines françaises n'ayant PAS été incarné à l'écran : (les identifiants du personnage dans IMDb sont indiqués sur Wikidata)
    • prochaine à vérifier : Jeanne d'Auvergne
    • Monarchie de Juillet : Marie-Thérèse de France, Marie-Amélie de Bourbon-Sicile
    • Valois : ... Jeanne de Bourbon, Isabeau de Bavière (??), Marie d'Anjou, Charlotte de Savoie, Élisabeth d'Autriche, Louise de Lorraine

Sources[modifier | modifier le code]


  • comptes de l'argenterie, journaux du trésor, ordonnances...
  • L. Douët-D'Arcq, Comptes de l'argenterie des rois de France au 14e siècle, 1851
    • Compte de Geoffroi de Fleuri, argentier du roi Philippe V, pour les six derniers mois de 1316, p. 1-76 (obsèques de Louis X et du petit roi Jean Ier, dépenses du sacre de Philippe V et Jeanne 1re de Bourgogne)
    • Comptes d'Étienne de la Fontaine, puis de Gaucher de Vanne, argentiers de Jean II (dont dépense pour le sacre de Jean II et Jeanne de Boulogne (et dons du sacre tirés de la succession de Jeanne (II) de Bourgogne
    • Inventaire du garde-meuble de l'argenterie (15 mai 1353), p. 304-330 dont nombreux objets provenant de la succession de Jeanne (II) de Bourgogne
    • etc.
  • Viard, Journaux du trésor de Philippe VI de Valois...
  • Lamazou-Duplan, Véronique (dir.), Goulet, Anne, Charon, Philippe [Publ.]., Le Cartulaire dit de Charles II de Navarre. El Cartulario llamado de Carlos II rey de Navarra, tome 1, 2010, Corpus documental para la historia del reino de Navarra, Bookset Part 3, 1 téléchargé ici
    • Éditions de nombreux documents pertinents (avec analyses), notamment (dots, douaires, mariages Blanche de Bretagne et Philippe d'Artois, Marguerite d'Artois et Louis d'Évreux, assignations de Philippe IV à Louis d'Évreux, renonciation de Jeanne de Navarre, rel. Évreux-Navarre avec le roi :
      • no 1 (1297) p89 du pdf : Philippe IV le Bel confirme à Philippe d’Artois la promesse qu’il a fait de doter sa fille aînée Marguerite
      • no 2 (1300, 24 fév. Longchamp) p91 : Traité de mariage entre Louis de France, fils de Philippe IV le Bel, et Marguerite de Bourgogne, fille du duc Robert II de Bourgogne
      • no 28 1317 (n. st.), février. Paris (p155) : Philippe V le Long vidime et confirme la charte de Philippe IV le Bel (Paris, avril 1313, n. st.) relative aux fondations pieuses de la reine Marie de Brabant prévues dans son testament. (assignations de rentes pour 2 chapelles à Mantes)
      • no 30-31 : 1317, décembre. Vernon (p160-162) : Revenus qui seront assignés à Louis d'Évreux par le roi sur des terres alors tenues par Marie de Brabant en douaire.
      • no 32 : 1318 (n. st.), 28 mars. Paris (p165) - Philippe V le Long s’accorde avec Eudes IV duc de Bourgogne sur les droits que leur nièce et pupille Jeanne de France, fille de Louis X le Hutin, détient sur les comtés de Champagne et de Brie, dont il reconnaît qu’ils devront lui revenir s’il décède sans héritier mâle.
      • no 37 - 1322 (p177) (vidimus de la renonciation de Jeanne aux comtés de Champagne et de Brie
      • no 38 - 1324 (p.183) Eudes IV, duc de Bourgogne, mande à ses vassaux et sujets de la terre des Blancs-Fossés, de Neuville, de Gyé-sur-Seine et de Villemoiron, et à ceux des fiefs de Vitry et d’Essoyes, de prêter hommage au comte Philippe d’Évreux au nom de sa femme Jeanne de France à qui ces terres appartiennent comme provenant de la dot de la mère de cette dernière, Marguerite de Bourgogne.
      • 43 [Après 1333, décembre]. Paris (p202) - Philippe VI de Valois vidime et confirme l’accord intervenu à Paris en décembre 1333 entre les roi et reine de Navarre, Philippe et Jeanne d’Évreux, d’une part, et le duc Eudes IV de Bourgogne, d’autre part, au sujet des 3 205 livres de terre restant dues de la dot de Marguerite de Bourgogne;
      • 47 - 1334, 18 décembre. Paris (p211) - Assignation d'Eudes IV, duc de Bourgogne à Philippe et Jeanne d’Évreux, roi et reine de Navarre, à cause de la dot de sa soeur Marguerite, épouse de Louis X le Hutin et mère de la reine de Navarre.
      • 51 - 1335, 11 octobre. (p229) - Eudes IV, duc de Bourgogne, et Jeanne, sa femme, ratifient le traité négocié le 24 juillet 1335 entre leur représentant et celui du roi de Navarre, Philippe de Melun, concernant la dot de Marguerite de Bourgogne, mère de la reine de Navarre, non encore entièrement réglée
      • 58 - 1343, octobre. Chanteloup (p248) - Philippe VI de Valois vidime l’accord intervenu en 1328 entre Jeanne d’Évreux, reine de France, veuve de Charles IV le Bel, agissant au nom de ses filles Blanche et Marie, d’une part, et Jeanne et Philippe de Navarre, d’autre part : la reine de France renonçait pour ses filles au royaume de Navarre moyennant la remise en leur faveur par Jeanne et Philippe d’Évreux d’une rente.
      • no 67 - 1354, 22 février, Mantes-la-Jolie (p279) - Traité de Mantes entre Jean II et Charles le Mauvais
      • no 68 - 1355, 10 septembre. Valognes (p283) - Traité de Valognes entre Charles II de Navarre et Jean II le Bon.
      • no 69 - 1354 (n. st.), 4 mars. Paris (p295) - Jean II le Bon accorde rémission au roi de Navarre et à ses frères Philippe et Louis, ainsi qu’à leurs complices, coupables du meurtre de Charles d’Espagne, connétable de France. Mention de l'intercession des reines Jeanne d'Évreux et Blanche de Navarre
      • no 88 - 1361 (n. st.), 2 février. Vernon (p342) - Blanche de Navarre accepte le partage de la succession de ses père et mère fait par son frère Charles qui lui donne la terre et châtellenie de Condé-sur-Noireau pour 2 500 livres de revenu annuel. Le château de Condé étant occupé par les Anglais, Charles de Navarre s’engage à les en déloger avant un mois; passé ce délai, il lui baillera le château de Tinchebray en attendant la libération effective de Condé.
      • no 98-99-105-111-113 (1365) Paris (p360, 366, 377**, 386, 391) - Traité de paix entre Jean II le Bon (ratifié par Charles V) et Charles II de Navarre, négocié par Jeanne et Blanche (et implantation)

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AdQ, BA, ressources wiki[modifier | modifier le code]

  • AdQ et BA autres langues :

Historiographie[modifier | modifier le code]


  • Le Recueil des dames de Brantôme (plus tard divisé en Dames illustres et Dames galantes) : Anne de Bretagne, (réhabilitation Catherine de Médicis, Marie Stuart, Marguerite de Valois (reine Margot)), Marie-Elisabeth fille de Charles IX; contestation de la loi salique
  • travaux de Christian Amalvi, Laurent Avezou

Expo L'Invention du passé[modifier | modifier le code]

personnages (reines de France et autres) indexés (dépouillement selon CD)
  • Aliénor D’AQUITAINE (1122-1204), reine de France, puis d’Angleterre : peinture – Laurent (1819, n°787) [ou 1822 ??] ; Monvoisin (1827, n°745) ; Collin (1833, n°455)
    • Jean-Antoine Laurent, salon de 1822, n°787, Entrevue d’Éléonore de Guyenne avec le sultan d’Iconie
      • notice de catalogue : "Raymond, prince d’Antioche, oncle de cette reine ayant eu à se plaindre de Louis-le-Jeune, son époux, et voulant s’en venger, avait proposé à Éléonore un nouveau mariage avec le sultan d’Iconie, à condition qu’il se ferait baptiser, et qu’il contracterait un traité d’alliance avec lui. Louis, averti par de fidèles serviteurs de ce que l’on tramait contre lui, déjoua cette intrigue, et fit enlever la reine à l’instant qu’elle s’y attendait le moins."
    • Raymond Auguste Monvoisin (1794-1870) (ou 1790-1870) ?), salon 1827, n°745, Rosemonde
      • notice de catalogue : "Henri II, roi d’Angleterre, pour soustraire son amante à la fureur jalouse d’Eléonore de Guienne, sa femme, lui avait fait bâtir un palais où il la visitait secrètement ; la reine découvre la retraite de sa rivale et la fait mourir de sa propre main."


  • Anne D’AUTRICHE (1601-1666), reine de France : peinture – Decaisne (1831, n°481) ; Mauzaisse (1831, n°1475) ; Steuben (1831, n°1956) ; Scheffer (1831, n°2612) ; Fournier (1833, n°967) ; Beaume (1835, n°92) ; Guérin (1835, n°1006) ; Decaisne (1837, n°468) ; Gué (1838, n°872) ; Lafargue (1838, n°1025) ; Delaye (1840, n°420) ; Juillerat (1845, n°909) ; Schopin (1847, n°1455) ; Barescut (1848, n°194) ; Poltoratzkty (1848, n°3747) ; sculpture – Caudron (1831, n°2188) ; Descemet (1837, n°522) ; Ramus (1847, n°2152) ; gravure – Lafosse (1833, n°3314) ; Marin-Lavigne (1833, n°3316)
  • Sainte BATHILDE (vers 626-680), reine des Francs : peinture – Laurent (1814, n°578) ; sculpture – Therasse (1848, n°4908)
  • Isabeau de BAVIERE (1370-1435), reine de France : peinture – Truchot (1822, n°1258) ; Dulong (1835, n°657) ; Darondeau (1838, n°389) ; Lebas (1842, n°1162)
  • Marie Anne Victoire de BAVIERE (1660-1690), dauphine de France : peinture – Beaume (1834, n°88)
  • Anne de France, dite Anne de BEAUJEU (1461-1522), duchesse de Bourbon : peinture – Villières (1839, n°2085) ; Gosse (1844, n°830) ; sculpture – Gatteaux (1847, n°2089)
  • Berthe ou BERTRADE de Laon (vers 720-783), reine des Francs : sculpture – Oudiné (1848, n°4867)
  • Sainte Adélaïde de BOURGOGNE (vers 931-999), impératrice du Saint-Empire : peinture – Lemercier (1842, n°1223)
  • Marguerite de BOURGOGNE (1290-1315), reine de France : peinture – Court (1833, n°2981) ; Debacq (1842, n°496) ; Peyson (1845, n°1331)
  • Marie de BRABANT (1254-1322), reine de France : peinture – Saint-Evre (1839, n°1876)
  • Anne de BRETAGNE (1477-1514), duchesse de Bretagne, reine de France : sculpture – Debay (1847, n°2071)
  • BRUNEHAUT (vers 547-613), reine des Francs : peinture – Niquevert (1824, n°1263) ; Serrur (1827, n°960) ; Petit (1831, n°1650) ; Latil (1831, n°2780) ; Stürler (1835, n°2001)
  • Blanche de CASTILLE (1188-1252), reine de France : peinture – Richard (1808, n°495) ; Beaunier (1814, n°39) ; Le Barbier (1814, n°587) ; Richard (1814, n°786) ; Delaval (1817, n°219) ; Roehn (1817, n°659) ; van Brée (1817, n°745) ; Servières (1819, n°1030) ; Aulnette du Vautenet (1822, n°37) ; Fragonard (1824, n°673) ; Devillers (1837, n°541) ; Cornu (1838, n°338) ; Lavauden (1838, n°1096) ; Marquet (1841, n°1388) ; Tellier (1841, n°1865) ; Arquinvilliers (1842, n°31) ; Gué (1844, n°870) ; Roberti (1847, n°1384) ; sculpture – Etex (1837, n°1917)
  • Odette de CHAMPDIVERS (vers 1390-1425) : peinture – Herbé (1836, n°959) ; Borrel (1838, n°157) ; Provandier (1838, n°1452) ; Biard (1839, n°165) ; Duverger (1848, n°1508) ; sculpture – Huguenin (1836, n°1946) ; Huguenin (1839, n°2225)
  • Sainte CLOTILDE (474 ou 475-544), reine des Francs : peinture – Delaval (1819, n°297) ; Duvidal de Montferrier (1819, n°419) ; Laurent (1819, n°697) ; Pagès (1824, n°1286) ; Seguin (1835, n°901) ; Revest (1835, n°1826) ; Legrand de Saint-Aubin (1836, n°1194) ; l’Étang (1837, n°662) ; Devéria (1838, n°525) ; Perdrau (1839, n°1629) ; Piepape (1843, n°952) ; Ferrière (1845, n°590) ; Boursault-Mugnier (1845, n°1719) ; Trézel (1850, n°2957) ; sculpture – Feugère des Forts (1850, n°3381)
    • Jean-Antoine Laurent, salon 1819 no n°697, Clotilde suppliant Clovis son époux d’embrasser le christianisme avant son départ pour la bataille de Tolbiac; (Mais.d. R.), [Fontainebleau, musée national du château, galerie de Diane]


  • Ingeburge de DANEMARK (1175-1236), reine de France : peinture – Boyenval (1819, n°167) ; Lemire (1819, n°745)
  • Marguerite D’ÉCOSSE (1424-1445), dauphine de France : peinture – Servières (1817, n°695) ; Servières (1819, n°1031) ; Rumeau (1822, n°1150) ; Beaume (1824, n°72) ; Frapart (1834, n°785) ; Dubouloz (1836, n°570)
  • Marie-Thérèse D’ESPAGNE (1638-1683), reine de France : peinture – Devéria (1834, décor Louvre) ; Desnos (1838, n°503) ; Gué (1838, n°872) ; Crespy-Leprince (1839, n°438) ; sculpture – Desboeufs (1836, n°1903)
  • Claude de FRANCE (1499-1524), reine de France : peinture – Barrigue de Fontanieu (1819, n°39) ; Boichard (1836, n°192)
  • Jeanne de FRANCE (1464-1505) : peinture – Villaine (1845, n°1648)
  • FREDEGONDE (vers 545-597), reine des Francs : peinture – Boguet (1819, n°106) ; Couder (1831, n°407) ; Cibot (1833, n°403) ; Fourmont (1837, n°748) ; Doutreleau (1842, n°572) ; sculpture – Bougron (1833, n°2462)
  • Éléonore de HABSBOURG (1498-1558), reine du Portugal, puis de France : peinture – Révoil (1824, n°1428) ; Jacquand (1834, n°1011)
  • Louise de LORRAINE-VAUDEMONT (1553-1601) : peinture – Herbé (1838, n°908)
  • Catherine de MEDICIS (1519-1589), reine de France : peinture – Ancelot (1819, n°11) ; Chaponnière (1831, n°302) ; Jonnes (1831, n°1152) ; Lecomte (1831, n°3074) ; Auguste (1835, n°60) ; Johannot (1835, n°1120) ; Monvoisin (1835, n°1585) ; Johannot (1836, n°1038) ; Saint-Evre (1839, n°1874) ; Robert-Fleury (1840, n°602) ; Rimbault-Borrel (1840, n°1406) ; Detouche (1848, n°1264) ; Terral (1849, n°1883) ; Baillet (1850, n°84) ; sculpture – Fauginet (1838, n°1859)
    • Jacques-Auguste Fauginet, Catherine de Médicis méditant la construction des Tuileries. Statuette en plâtre. Salon de 1838.
  • Marie de MEDICIS (1575-1642), reine de France : peinture – Monsiau (1812, n°663) ; Damame-Demartrais (1814, n°231) ; Monsiau (1814, n°714) ; van Brée (1817, n°746) ; Garnier (1819, n°487) ; Mauduit-Hersent (1822, n°693) ; Boulanger (1834, n°187) ; Marquet (1835, n°1518) ; Barré (1836, n°79) ; Jacquand (1838, n°958) ; Boulanger (1839, n°222) ; Alaux (1841, n°11) ; Empis (1844, n°636) ; Cavé (1845, n°277) ; sculpture – Caillouet (1847, n°2031) ; gravure – Rollet (1840, n°1823) ; Allais (1841, n°2146)
  • Agnès de MERANIE (vers 1180-1201), reine de France : peinture – Auzou (1808, n°11) ; Lemire (1819, n°745) ; Laloua (1841, n°1159)
  • Alix de PROVENCE ( ?-1129), comtesse de Provence : peinture – Auzou (1817, n°19)
  • Marguerite de PROVENCE (1221-1295), reine de France : peinture – Richard (1808, n°495) ; Lair de Janville (1810, n°459) ; Le Barbier (1814, n°587) ; Richard (1814, n°786) ; Delaval (1817, n°219) ; Dumas (1845, n°516) ; sculpture – Husson (1847, n°2105)
  • Agnès SOREL (entre 1422 et 1426-1450) : peinture – Bouteiller (1814, n°146) ; Millin du Perreux (1814, n°380) ; Bitter (1817, n°78) ; Verdé-Delisle (1831, n°2068) ; Martin (1834, n°1344) ; Murat (1834, n°1453) ; Lecoeur (1835, n°1287) ; Geffroy (1838, n°792) ; Chavet (1848, n°854)
  • Marie STUART (1542-1587), reine d’Écosse : peinture – Vermay (1808, n°616) ; Richard (1814, n°787) ; Vermay (1814, n°934) ; Garnerey (1819, n°479) ; Rumeau (1819, n°1008) ; van Brée (1819, n°1117) ; Ducis (1822, n°398) ; Ducis (1822, n°399) ; Lecomte (1822, n°825) ; Révoil (1822, n°1081) ; Servières (1822, n°1193) ; Lachassaigne (1824, n°988) ; Saint-Evre (1824, n°1519) ; Vafflard (1824, n°1646) ; Destouches (1824, n°2312) ; Devéria (1827, n°331) ; L. C. (1831, n°255) ; Deschamps (1831, n°559) ; Ancelet (1833, n°36) ; Debacq (1833, n°572) ; Hautier (1833, n°1217) ; Lavauden (1833, n°1460) ; Schmitz (1833, n°2165) ; Serrur (1833, n°2183) ; Bruyères (1833, n°2953) ; Frapart (1835, n°834) ; Breton (1836, n°239) ; Johannot (1836, n°1039) ; Mailand (1836, n°1279) ; Bagatti-Valsecchi (1837, n°44) ; Rubio (1837, n°1613) ; Mauduit (1838, n°1263) ; Valton (1838, n°1720) ; Goetz (1839, n°892) ; Raudin (1839, n°1747) ; Saint-Evre (1839, n°1874) ; Lacaze (1840, n°951) ; Rimbault-Borrel (1840, n°1406) ; Serrur (1840, n°1505) ; T… (1840, n°1532) ; Brown (1842, n°261) ; Honein (1847, n°834) ; Laugée (1849, n°1240) ; gravure – Pauquet (1822, n°1800) ; Pauquet (1824, n°2031) ; Schmit (1824, n°2150) ; Boilly (1827, n°1576) ; Desmaisons (1835, n°2474)
  • THEODEGILDE, reine des Francs : peinture – Bertin (1819, n°87) ; Laurent (1819, n°698)
    • Jean-Antoine Laurent, salon 1819, n°698 Chérebert, roi de France, offrant l’anneau royal à Teudegilde qu’il épousa et à laquelle il donna le titre de reine (M.I.) - [Auch, musée des Jacobins]
  • Jeanne de TOULOUSE (1220-1271), comtesse de Toulouse : peinture – Demanne (1812, n°272) ; Demanne (1814, n°1357)
  • Marguerite de VALOIS (1553-1615), reine de France : peinture – Monsiau (1812, n°663) ; Monsiau (1814, n°714) ; Decaisne (1827, n°1452) ; Pils (1846, n°1448) ; gravure – Noël (1831, n°2506)
  • Valentine VISCONTI (1638-1408), duchesse d’Orléans : peinture - Richard (1802, n°243) ; Rabigot (1812, n°754) ; Georges (1814, n°1356) ; Bouton (1817, n°116) ; Coupin de la Couperie (1822, n°263) ; Servières (1822, n°1191) ; Triqueti (1833, n°2285) ; Loche (1835, n°1431) ; Colin (1837, n°360) ; Borrel (1838, n°157) ; Arquinvilliers (1844, n°41) [Valentine de Milan, tête d'étude] ; Pillaul (1844, n°1448) ; sculpture – Huguenin (1846, n°2190) ; gravure – Fauchery (1831, n°2333)
    • Anna Borrel, salon de 1838, no 157 - Valentine de Milan et Odette de Champs-Divers
      • notice de cat : "Valentine de Milan ayant appris l’amour du duc d’Orléans, son mari, pour Odette, la fit venir. « C’est donc vous, lui dit-elle, qui avez voulu me faire tort de l’amour de Monseigneur, et qui croyez, après cela, qu’il n’y a qu’à vous agenouiller pour que je vous pardonne. » Odette se releva vivement : « J’ai mis un genou en terre, Madame, parce que vous êtes une grande princesse, et non pour que vous me pardonniez, car, grâce au ciel, je n’ai aucune faute à me reprocher envers vous. »" (Alex. Dumas, Isabel de Bavière)
      • File:Valentine of Milan and Odette de Champdivers.jpg, image sur commons

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Frédérique Leferme-Falguières, Les courtisans : une société de spectacle sous l'Ancien Régime, PUF, 2007, p. 106-107
  2. Frédérique Leferme-Falguières, Les courtisans : une société de spectacle sous l'Ancien Régime, PUF, 2007, p. 107
  3. Elena Fasano Guarini, « "Gentildonna" "Borghese" "cittadina": problèmes de traduction entre la Cour de Henri IV et la Cour des Médicis » in Sociétés et idéologies des Temps modernes: Hommage à Arlette Jouanna, Université de Montpellier, 1996, p. 166.
  4. Chronique normande de Pierre Cochon, notaire apostolique à Rouen, publiée pour la première fois en entier par Ch. de Robillard de Beaurepaire, Rouen, Le Brument pour la Société de l'histoire de Normandie, 1870, p. 244 [lire en ligne]
  5. Isabelle Paresys, « Corps, apparences vestimentaires et identités en France à la Renaissance », Apparence(s) [En ligne] 4 | 2012,
  6. Marion Chaigne, « Comptes féminins, contes du quotidien ? Les activités des duchesses de la seconde Maison d'Anjou à la lumière de leurs finances », Questes, vol. 15, 2008.
  7. BUBENICEK, Michelle. « Marquer la prééminence sociale dans la noblesse française médiévale : Du rôle du bijou et du vêtement à travers deux exemples genrés, au XIVe siècle » In : Marquer la prééminence sociale [en ligne]. Paris-Rome : Publications de la Sorbonne, 2014 (généré le 07 février 2017), cité d'après J. Quicherat, Histoire du costume en France, Paris, Hachette, 1877, p. 204.
  8. Jacques Paviot, Bruges, 1300-1500, Autrement, 2002, p. 17.
  9. https://books.google.ca/books?id=qgYNRxrjnOUC&pg=PA39&dq=%22Je+croyais+%C3%AAtre+ici+la+seule+reine%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiS4NWHvvPXAhWL7IMKHdt7DWMQ6AEIOTAD#v=onepage&q=%22Je%20croyais%20%C3%AAtre%20ici%20la%20seule%20reine%22&f=false
  10. Sarah-Grace Heller, “Anxiety, Hierarchy, and Appearance in Thirteenth-Century Sumptuary Laws and the Romance of the Rose” French Historical Studies 27.2 (spring 2004): 311-348, ici p. 336 et notes 69-70
  11. Jacqueline Boucher, « Le costume autour des derniers Valois : signe de pouvoir et objet de polémique », dans Paraître et se vêtir au XVIe siècle, 2006, p. 218
  12. notice
  13. Cité dans L'Invention du Passé. Histoires de cœur et d'épée en Europe, 1802-1850, t. 2, Paris, Musée des Beaux-Arts de Lyon, Hazan, 2014, CD-Rom, 4-Répertoire des peintures exposées au Salon parisien entre 1802 et 1850, p. 202-203.
  14. Bernard Chevallier et Arnaud Denis (collaborateur), « Le palais revisité », dans Bernard Chevallier, Aurélia Rostaing et Jean-Denis Serena (dir.), avec la collaboration d'Arnaud Denis, Saint-Cloud, le palais retrouvé, Paris, Swan Éditeur / Éditions du Patrimoine-Centre des monuments nationaux, (ISBN 978-2-9536796-2-5), p. 190
  15. C. Léglu, Vida of queen Fredegund, p. 12-13
  16. source
  17. Robert Favreau et Georges Pon, « Le Grand Cartulaire de Fontevraud », Jacques Dalarun, éd. Robert d'Arbrissel et la vie religieuse dans l'Ouest de la France : Actes du Colloque de Fontevraud, 13-16 décembre 2001, Turnhout, Brepols, 2004, p. 241-254. DOI 10.1484/M.DM-EB.3.1688, ici p. 244 et note 18.
  18. Amédée de Césena, Agnès de Méranie : tragédie en 5 actes, Paris, A. Ledoux, 1842, [lire en ligne]
  19. François Ponsard, Agnès de Méranie, tragédie en cinq actes et en vers, Paris, Furne, 1847 [lire en ligne]
  20. Christopher de Hamel (trad. de l'anglais), Une histoire des manuscrits enluminés [« A history of illuminated manuscripts »], Londres, Phaidon, (1re éd. 1994), 272 p. (ISBN 0714890375 et 9780714892832, présentation en ligne), p. 152.
  21. Raymond Cazelles, Societe Politique, Noblesse Et Couronne Sous Jean Le Bon Et Charles V, Librairie Droz, 1982, p. 9-10.
  22. Raymond Cazelles, Societe Politique, Noblesse Et Couronne Sous Jean Le Bon Et Charles V, Librairie Droz, 1982, p. 87.
  23. Jacqueline Boucher, Deux épouses et reines à la fin du XVIe siècle: Louise de Lorraine et Marguerite de France, Université de Saint-Etienne, 1995, p. 101.
  24. Maria Spencer Wendeln, Princess On The Margins: Toward A New Portrait Of Madame Élisabeth De France, 2015, p. 79

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