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Reine de France (d · h · j · ↵) (actuellement une redirection vers Liste des reines et impératrices de France)
- â voir
- La construction de l’État monarchique en France de 1380 à 1715La construction de l’État monarchique en France de 1380 à 1715, 2021, excellents passages ur le rôle réginal sommaire
- Kathleen Nolan, Queens in Stone and Silver: The Creation of a Visual Imagery of Queenship in Capetian France, Palgrave MacMillan, 2009 (ISBN 978-1-4039-6990-3), lire en ligne
- TM
- traite de l'identité visuelle (sceau, tombeau, etc.) de beaucoup de femmes nobles que celles indiquées (Bertrade de Montfort, Adèlaide de Maurienne, Aliénor d'Aquitaine et Blanche de Castille), à décortiquer (Constance de France, Constance de Castille,etc.)******
- RAYNAUD, Christiane (dir.). Familles royales : Vie publique, vie privée aux XIVe et XVe siècles. Nouvelle édition [en ligne]. Aix-en-Provence : Presses universitaires de Provence, 2010
- Elizabeth A. R. Brown, "Philip the Fair and His Family: His Sons, Their Marriages, and Their Wives", Medieval Prosopography, 2017, vol 32
- Elizabeth A. R. Brown. “Philip the Fair’s Sons, Their Statuses, and Their Landed Endowments", Medieval Prosopography, 2017, vol 32
- Olivier Canteaut, Gouvernement et hommes de gouvernement sous les derniers Capétiens (1313-1328), thèse, 2005 (Marguerite de Bourgogne, Blanche de Hongrie, Jeanne de Bourgogne-Comté, Blanche de Bourgogne, Marie de Luxembourg, Jeanne d'Évreux)
- Les grandes chroniques de France, Viard, plusieurs volumes
- Sophie Brouquet-Cassagnes, Capétiennes. Les reines de France au Moyen Âge (Xe-XIVe siècles), Paris, Champs-Vallon, 2018***
- Field, Sean L. & Walter Simons. 2018. « A prophecy fulfilled? An annotated translation of the sources on the death of crown prince Louis of France (1276) and
the interrogations of Elizabeth of Spalbeek (1276-1278) ». The Medieval Low Countries, vol. 5, 2018
- Stanis Perez, Le corps de la reine. Engendrer le Prince, d’Isabelle de Hainaut à Marie-Amélie de Bourbon-Sicile. Perrin, « Hors collection », 2019 dispo Cairn
- à surveiller
- parution de Femmes à la cour de France. Charges et fonctions (XVe - XIXe siècle), à paraître 31 oct. 2018
Survol historique[modifier | modifier le code]
- piocher dans Élodie Chaudet, Femmes de pouvoirs, femmes au pouvoir en Bretagne au XVème siècle
- Nicola Courtright, A New Place for Queens in Early Modern France, 2009 https://www.academia.edu/2276102/A_New_Place_for_Queens_in_Early_Modern_France
- Haut Moyen Âge
- Moyen Âge central
- Moyen Âge tardif
- Renaissance
- XVIIe-XVIIIe s.
- XIXe s.
- Haut Moyen Âge
- consors regni
- F.C.W. Goosmann, Memorable crises: Carolingian historiography and the making of Pippin’s reign, 750-900, 2013
- Eric Bournazel, « Réflexions sur le rôle et la place de la reine dans le palais royal et le gouvernement aux temps mérovingiens », Le corti nell'alto Medioevo: Spoleto, 24-29 aprile 2014, Spolète, 2015, (2 vol.) p. 385-427 (dispo UL : D 111 C397 62 1 / D 111 C397 62 2)
- Eric Bournazel, « Du pouvoir des reines aux temps mérovingiens », Études offertes à Jean-Louis Harouel. Liber amicorum, ed. D. Salles, A. Deroche et R. Carvais, Editions Panthéon-Assas, Paris, 2015, pp. 33-56.
- travaux de Agathe Baroin, auteure d'une thèse sur La reine mérovingienne
- travaux de Sylvie Joye
- https://www.academia.edu/1948622/ Carolingian Rulers and marriage in the Age of Louis the Pious and his Sons »,
- travaux d'Emmanuelle Santinelli
- Bathilde, notice Siefar
- « Les reines mérovingiennes ont-elles une politique territoriale ? », Revue du Nord 3/2003 (n° 351) , p. 631-653
- autre version : La politique territoriale des reines mérovingiennes (Courdefrance.fr)
- Brunehilde, Bathilde, Hildegarde, Richilde, Gerberge étaient-elles considérées comme des femmes de pouvoir ? La perception masculine du pouvoir royal féminin et son évolution du VIe au Xe siècle
- E. Santinelli, [ « Femmes et structuration des groupes familiaux dans la Neustrie mérovingienne »]. In : L. Verslype (dir.), Villes et campagnes en Neustrie. Sociétés - Economies - Territoires - Christanisation (Actes des XXVe journées internationales d'Archéologie Mérovingienne de l'AFAM, 2007) (Europe médiévale, 8), Montagnac 2007, 63-72. [[http://artefacts.mom.fr/Publis/Santinelli_2007_[Fermes_groupes_familiaux_Neustrie].pdf lire en ligne]]
- Sabine Savoye, « Le pouvoir des reines mérovingiennes dans l'hagiographie mérovingienne », dans Femmes de pouvoir et pouvoir des femmes dans l'Occident médiéval et moderne (dispo UL)
- Sabine Savoye, notices Frédégonde et Brunehaut de Siefar
- Agnes Graceffa, Le pouvoir déréglé : Frédégonde, Brunehaut et l'historiographie masculine moderne
- J. L. Nelson, « La cour impériale de Charlemagne » https://books.openedition.org/irhis/2565
- J. Nelon, Women at the Court of Charlemagne: A Case of Monstrous Regiment?, Medieval queenship, 1998 (dispo UL : JC 375 M489 1998)
- Nelson, Janet L. “Les reines carolingiennes”. Sansterre, Jean-Marie, et al.. Femmes et pouvoirs des femmes à Byzance et en Occident (vie-xe siècles). Lille : Publications de l’Institut de recherches historiques du Septentrion, 1999. (pp. 121-132 https://books.openedition.org/irhis/1640
- Janet Nelson, « Queens as Jezebels: the Careers of Brunehild and Balthild in Merovingian History », dans Derek Baker éd. Medieval Women, Oxford, Blackwell, 1978, p. 31-77, repris dans Janet Nelson, Politics and Ritual in Early Medieval Europe, Londres, The Hambledon Press, 1986, p. 1-48.
- The ‘second Jezebel’: Representations of the sixth-century Queen Brunhild, thèse à télécharger (téléchargée)
- Éric Bournazel, « Réflexions sur le rôle et la place de la reine dans le palais royal et le gouvernement aux temps mérovingiens », Le corti nell'alto Medioevo, 2015 p. 385-428
- Jean Verdon, « Les femmes et la politique en France au Xe siècle », dans Mélanges Edouard Perroy, 1973, p. 108-119
- Philippe Depreux, Des groupes sociaux privilégiés, Les sociétés occidentales du milieu du VIe à la fin du IXe siècle, 2002
- travaux de Régine Le Jan
- Régine Le Jan, « Douaires et pouvoirs des reines en Francie et en Germanie (VIe-Xe siècle) », dans Dots et douaires dans le haut Moyen Âge; repris dans Régine Le Jan, Femmes, pouvoir et société dans le haut Moyen Age (HQ 1143 L534 2001, [1]
- Régine Le Jan, « D’une cour à l’autre : les voyages des reines de Francie au Xe siècle » et « La reine Gerberge, entre Carolingiens et Ottoniens » dans Régine Le Jan, Femmes, pouvoir et société dans le haut Moyen Age (HQ 1143 L534 2001
- Le Jan, Les cérémonies carolingiennes: symbolique de l’ordre, dynamique de la compétition, 2014
- Mariage et relations internationales : l'amitié en question
- travaux d'Elizabeth A. R. Brown sur la cour au temps de Philippe le Bel et ses fils
- « Royal marriage, royal property, and the patrimony of the crown : inalienability and the prerogative in fourteenth-century France », California Institute of Technology, Pasadena, 1982. Humanities Working Paper, No. 70. (dotation de Jeanne de Bourgogne et ses filles par Philippe V le Long)
- "The King’s Conundrum: Endowing Queens and Loyal Servants, Ensuring Salvation, and Protecting the Patrimony in Fourteenth-Century France." In Medieval Futures: Attitudes to the Future in the Middle Ages, edited by Burrow J. A. and Wei Ian P., 115-66. Boydell and Brewer, 2000. http://www.jstor.org/stable/10.7722/j.ctt9qdkdc.13. (manoeuvres pour obtenir la Franche-Comté, rel. avec les ducs de Bourgogne, etc.)
- "The ceremonial of royal succession in Capetian France: the double funeral of Louis X", Traditio vol. 34 (1978) p. 227-271 (Clémence de Hongrie, Jeanne I de Bourgogne)
- "The Ceremonial of Royal Succession in Capetian France. The Funeral of Philip V", Speculum vol. 55 (1980) p. 266-293
- "The prince is father of the king: the character and childhood of Philip the Fair of France", Mediaeval Studies, vol. 49 (1987) p. 282-334 (photocopié)
- "Diplomacy, adultery and domestic politics at the court of Philip the Fair: Queen Isabelle's mission to France in 1314", Documenting the Past : Essays George Peddy Cuttino, 1989 p. 53-83
- Sylvie Joye, Les élites féminines au Haut Moyen Âge
- Giovanna Tondini, « Consors regni : les variations d'un titre dans le passage du masculin au féminin, IVe-Xe siècle », dans Femmes de pouvoir et pouvoir des femmes dans l'Occident médiéval et moderne (dispo UL)
- Dierkens, Alain, « La diffusion du monachisme dit colombanien ou iro-franc dans quelques monastères de la région parisienne au VIIe siècle et la politique religieuse de la reine Bathilde »
- Dufour Jean. « Le rôle des reines de France aux IXe et Xe siècles ». In: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 142e année, N. 3, 1998. pp. 913-932.
- Michèle Gaillard. «Du pouvoir des femmes en Francia Media : épouses et filles des souverains (ca. 850 ca. 950) », dans M. Gaillard, M. Margue, A. Dierkens et H. Pettiau , Francia Media, une région au cœur de l’Europe (c. 840-c. 1050), Luxembourg : CLUDEM, 2011, p. 301-314
- Lecouteux Stéphane, « Le contexte de rédaction des Annales de Flodoard de Reims (919-966) . Partie 1 : une relecture critique du début des Annales à la lumière de travaux récents», Le Moyen Age 1/2010 (Tome CXVI), p. 51-121 (Frérone...).
- Lecouteux Stéphane, « Le contexte de rédaction des Annales de Flodoard de Reims (919-966) Partie 2 : présentation des résultats de la relecture critique du début des Annales . », Le Moyen Age 2/2010 (Tome CXVI), p. 283-318
- MacLean, Simon, Queenship, Nunneries and Royal Widowhood in Carolingian Europe, Past and Present (2003) 178 (1): 3-38. "The author traces the political implications of these three phenomena which came together very strongly during the second half of the ninth century. MacLean uses case studies of Empress Richgard's management of the monastery of Andlau in Alsace and of Empress Engelberga's administration of S. Sisto in Piacenza, Italy. In both instances the royal widows drew on natal family ties and regional connections to establish their authority. MacLean suggests that the rise in queenly influence at this period was in part an effort to establish a moral role for queens whose reputations had been badly tarnished by such events as Lothar's divorce." (résumé)
- ico-Carolingiens
- Alibert Dominique, « Un homme, une femme et des enfants : autour du couple dans quelques images du haut Moyen Âge », Médiévales 2/2013 (n° 65) , p. 65-75
- description de couples/familles royales dans le Psautier de Stuttgart, Psautier d'Utrecht, Bible de Saint-Paul-hors-les-Murs (représentation de Richilde), etc.
- Moyen Âge
- Murielle Gaude-Ferragu, La reine au Moyen-Age, le pouvoir au féminin (14e-15e), Tallandier, 2014. table des matières
- Jan Dhondt, « Sept femmes et un trio de rois », Contributions à l'histoire économique et sociale, Université libre de Bruxelles, t. 3, 1964-1965, p. 35-70. (UL: HC 311 A1 C764 3 1964/65), traite des sept femmes qu'ont épousées trois rois de France dans les années 990 à 1092
- Smith, Julie Ann, Queen-making and queenship in early medieval England and Francia, résumé
- Catherine Bearne, Lives and times of the early Valois queens. Jeanne de Bourgogne, Blanche de Navarre, Jeanne d'Auvergne et de Boulogne, 1898
- Giulia Calvi (éd.), Women Rulers in Europe : Agency, Practice and the Representation of Political Powers (XII-XVIII), EUI Working Papers HEC, n° 2008/2, (pdf téléchargé), articles pertinents :
- Janet L. Nelson, Family structures and gendered power in early medieval kingdoms : the case of Charlemagne’s mother, p. 27-44
- Serena Ferente, Naturales dominæ : Female political authority in the Late Middle Ages, pp. 45-61.
- Fanny Cosandey, "Quelques réflexions sur les transmissions royales maternelles : La succession de Catherine de Médicis", p. 62-71
- époque moderne
- Bartolomé Bennassar, Le Lit, le pouvoir et la mort : Reines et Princesses d'Europe de la Renaissance aux Lumières, Paris, De Fallois, 2006 (UL: D 107.3 B469 2006)
- Frédérique Leferme-Falguières, Les courtisans : une société de spectacle sous l'Ancien Régime, PUF, 2007 (dispo GB) (cérémoniaux - naissances, baptêmes, mariages de la famille royale, choix du conjoint, accueil et intégration des princesses, obsèques...
- Mathieu da Vinha, Au service du roi : dans les coulisses de Versailles, 2015, notamment La maréchale de la Mothe-Houdancourt : gouvernante des enfants de France (Accouchement en public, etc.) et Marie-Angélique Madeleine Poisson : première femme de chambre de la dauphine
- Travaux de Lucien Bély, dont :
- Lucien Bély, La société des princes: XVIe - XVIIIe siècle, 1999 (dispo GB : 940.252 B454s)
- Lucien Bély, Les Relations internationales en Europe : XVIIe et XVIIIe siècles, Paris, PUF, 2007 (1992), etc.
- Becquet Hélène, http://www.cairn.info/revue-dix-huitieme-siecle-2006-1-page-407.htm « La cour de France sous Louis XVI, un système en décadence ? L'exemple de la maison des enfants de France », Dix-huitième siècle, 1/2006 (n° 38), p. 407-428.
- Isabelle Poutrin et Marie-Karine Schaub dir. Femmes et pouvoir politique. Les princesses d'Europe, XVe-XVIIIe siècle, Paris, Bréal, 2007, p. 218-232. (UL : HQ 1236 F3297 2007) sommaire
- Michel Nassiet, Les reines héritières : d’Anne de Bretagne à Marie Stuart
- Bénédicte Lecarpentier, La reine diplomate : Marie de Médicis et les cours italiennes ()
- Thomas Kaiser, Maternité et nationalité : Marie-Antoinette
- Monique Chatenet, Habits de cérémonie : les mariages à la cour des Valois ()
- Jean-François Dubost, Le corps de la reine, objet politique : Marie de Médicis ()
- Fanny Cosandey, Les préséances à la cour des reines des France ()
- Annie Duprat, Les princesses dans la propagande : Marie-Antoinette au miroir des reines de France
- Travaux d'Arlette Jouanna
- XVIIe s.
- Daniel Séré, « Mazarin et la « comédie de Lyon » : au-delà de la légende. », Dix-septième siècle 2/2006 (n° 231) , p. 327-340 (projet de mariage entre Louis XIV et Marguerite-Yolande de Savoie, pas seulement une "comédie")
- Numéro de la revue XVIIe siècle, sur les unions dynastiques, 2009, dont :
- Géraud Poumarède , « Mazarin, marieur de l'Europe : Stratégies familiales, enjeux dynastiques et géopolitique au milieu du XVIIe siècle », Dix-septième siècle 2/2009 (n° 243) , p. 201-218
- Andrea Merlotti, « Politique dynastique et alliances matrimoniales de la Maison de Savoie au XVIIe siècle
- Nicklas Thomas, « Unir de cœur et d'interest » La Bavière, la Savoie, la France et le choix des princesses au XVIIe siècle,
- XVII-XVIIIe s.
- Kathryn Norberg, Women of Versailles, 1682–1789
- XIXe s.
- place/rôle/influence de Marie-Thérèse de France (1778-1851) (Hélène Becquet) et d'Adélaïde d'Orléans (Munro Price)
- Jo Burr Margadant, « The Perils of the Sentimental Family For Royalty in Postrevolutionary France: The Case of Queen Marie-Amélie »
- Jo Burr Margadant, « Representing Queen Marie-Amélie in a "Bourgeois" Monarchy », Historical Reflections / Réflexions Historiques, Vol. 32, No. 2 (Summer 2006), pp. 421-451 (téléchargé)
- Jo Burr Margadant, “"Les représentations de la reine Marie-Amélie dans une monarchie "bourgeoise"”, Revue d'histoire du 19e siècle, vol. 19, n°36 (Summer 2008)
- Hélène BECQUET et Bettina FREDERKING [dir.], La dignité de roi. Regards sur la royauté au premier XIXe siècle, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2009, 205 p. (ISBN 978-2-7535-0949-8) (dispo BAnQ), en particulier :
- Hélène Becquet, « Une royauté sans reine : les princesses de la Restauration »
- Munro Price, « Adélaïde d’Orléans et la Monarchie de Juillet »
- Munro Price, Louis-Philippe, le prince et le roi : La France entre deux révolutions, 2009 (dispo BAnQ) (rôle politique important de sa soeur Adélaide d'Orléans)
- Charles-Éloi Vial, Les derniers feux de la monarchie : la cour au siècle des révolutions, 1789-1870 (dispo GR)
- Coffret de la toilette de la duchesse de Parme réalisé par François-Désiré Froment-Meurice, toilette commandée par souscription des dames légitimistes de France à l'occasion du mariage (1845) de Louise Marie-Thérèse de Bourbon-Artois (1819-1864), petite fille de Charles X, avec le prince héréditaire de Lucques, futur duc Charles III de Parme, livré à Parme. Son décor constitue une évocation nostalgique et idéalisée d'un Moyen Age fidèle à son roi et à son Dieu, en même temps qu'une exaltation de la France traditionnelle et des liens du mariage. Les coffrets à bijoux dont la forme rappelle les châsses mosanes du XIIe siècle sont décorés des portraits de vingt Françaises illustres par leur piété, leur courage et leur talent littéraire, telles Blanche de Castille, Jeanne d'Arc ou Clémence Isaure. (liste complète dans la notice; selon moi, "Jeanne la Boiteuse" n'est pas Jeanne de Bourgogne, mais Jeanne de Penthièvre)
- notices liées : ici et là
- plus d'images
- général
- Fanny Cosandey, La reine de France, symbole et pouvoir.Editions Gallimard, Bibliothèque des Histoires, 2000, 414 p.
- Cosandey, Fanny. "La Maîtresse De Nos Biens": Pouvoir Féminin Et Puissance Dynastique Dans La Monarchie Française D'Ancien Régime. Historical Reflections / Réflexions Historiques 32, no. 2 (2006): 381-401. .
- Sarah Hanley, S. (2006). Configuring the Authority of Queens in the French Monarchy, 1600s-1840s. Historical Reflections / Réflexions Historiques, 32(2), 453-464.
- travaux d'Eliane Viennot, notamment :
- Eliane Viennot, La France, les femmes et le pouvoir. tome 1 : L'invention de la loi salique (Ve-XVIe siècle) (GB : 305.420944 V664f); tome 2 : Les résistances de la société (XVIe-XVIIIe siècle)...
- «L’histoire des reines de France dans le débat sur la loi salique (fin XVe-fin XVIe siècle)», in E. Santinelli & A. Nayt-Dubois (dir.), Femmes de pouvoir et pouvoirs de femmes, dans l’Europe occidentale médiévale et moderne, Valenciennes, PU de Valenciennes, 2009
- et autres ici
- Chantal Grell, Deux reines de France face au tribunal de l'histoire : les procès de Brunehaut et de Frédégonde, dispo. sur Torossa
- Éric Bousmar, Jonathan Dumont, Alain Marchandisse et Bertrand Schnerb, dir., Femmes de pouvoir, femmes politiques durant les derniers siècles du Moyen Âge et au cours de la première Renaissance, Bruxelles, de Boeck, 2012, (complet)
- Jean Verdon, « Les sources de l'histoire de la femme en Occident aux Xe-XIIIe siècles ». In: Cahiers de civilisation médiévale. 20e année (n°78-79), Avril-septembre 1977. pp. 219-251.
- plusieurs articles dans : Une histoire pour un royaume, XIIe-XVe siècle : actes du colloque "Corpus Regni" organisé en hommage à Colette Beaune (liste ici), ul : DC 82 H673 2010
- Elizabeth A. R. Brown, « La mort, les testaments et les fondations de Jeanne de Navarre, reine de France (1273-1305) »
- Anne-Hélène Allirot, « Une beata stirps au féminin ? Autour de quelques saintes reines et princesses royales »
- Franck Collard et Isabelle Heullant-Donat, « Deux autres Jeanne. Figures de reines défigurées aux XIVe et XVe siècles »
Les raisons d'un choix[modifier | modifier le code]
- à voir : Diplomatie et « relations internationales » au Moyen Âge (IXe-XVe siècle), Jean-Marie Moeglin, Stéphane Péquignot, Collection « Nouvelle Clio », PUF https://www.puf.com/content/Diplomatie_et_«_relations_internationales_»_au_Moyen_Âge_IXe-XVe_siècle
- dispo UL, partoe sur les mariages
- importance d'inclure dans cette section les cas d'épouses d'héritiers n'étant jamais devenues reines (Bonne de Luxembourg, Marie-Anne de Bavière, Marie-Adélaïde de Savoie, Marie-Thérèse d'Espagne, Marie-Josèphe de Saxe, etc.) et les projets de mariage avortés pour le roi ou l'héritier du trône
- cas des reines par accident, pas destinées à devenir reines, mariées à des hommes qui n'étaient pas destinés au trône : Adélaïde d'Aquitaine, Jeanne de Bourgogne (épouse de Philippe de Valois), Catherine de Médicis, mariée au second fils du roi de France, etc.
- autres motivations :
- autre importance politique de l'alliance (Marguerite d'Écosse pour consolider l'alliance franco-écossaire ?)
- Jeanne de Bourbon pour assurer l'acquisition du Dauphiné (avait d'abord été promise au dauphin Humbert... sa dot servira finalement à financer l'achat du Dauphiné)
- docilité de la bru (choix par la belle-mère, cas de Brunehilde choisissant sa future belle-fille
- importance de la beauté de la future (étudié pour les Habsbourg)
- Christian Settipani, Stratégies matrimoniales en question. Quelques unions atypiques dans les royaumes carolingiens aux IXe-XIe siècles (UL : HQ 513 S898 2013) (Anne de Byzance et Louis III - Anne de Kiev et Henri 1er - Béatrice de Vermandois et Hugues le Grand)
- « <p. 106>Une des règles non écrites de la monarchie française, élaborée par les jurisconsultes du XVIe siècle, exige que les enfants du roi choisissent leur conjoint hors du royaume au sein des familles souveraines. Il importe ainsi de ne pas favoriser une famille sujette du royaume en lui offrant une alliance avec le sang royal. Cet impératif rejoint les logiques matrimoniales communes à la société aristocratique : il faut épouser quelqu'un du même rang que soi. L'endogamie est par conséquent la règle et la peur de la mésalliance agit comme un interdit. [...] La noblesse est avant tout héréditaire ; elle ne se donne pas plus qu'elle ne se crée. Il importe donc d'en conserver les qualités en préservant la transmission des valeurs aristocratiques par l'éducation et en évitant les mésalliances. Les logiques matrimoniales de la famille royale participent de la même idéologie et la <p. 107> qualité du sang royal ne saurait être altérées en le mêlant à un autre de moindre extraction.[1] »
- « Le choix du conjoint obéit donc à des principes d'homogamie sociale très stricts, qui rejoignent des considérations économiques et politiques. [...] Après Anne de Bretagne, les futures reines et dauphines sont choisies dans les maisons souveraines étrangères. À partir du XVIe siècle, toutes les principautés souveraines ont en effet été réunies à la couronne et la quête du conjoint s'effectue donc logiquement hors des frontières. Ce principe ne connaît que deux exceptions : Louise de Lorraine et Marguerite de Valois. Or, les mariages d'Henri III et d'Henri IV interviennent dans un contexte particulièrement troublé par les guerres de religion et les problèmes dynastiques. L'appui de la famille de Lorraine est indispensable à Henri III au moment de son accession au trône. Il épouse Louise le lendemain de son sacre pour s'assurer cette alliance. D'autre part, les princes de Lorraine sont considérés comme princes étrangers en France puisque leur duché est terre d'Empire. [mariage Marguerite-futur Henri IV] obéit à la même logique. Pour Catherine de Médicis, il permet d'acheter la paix religieuse en unissant le premier prince réformé de France à la sœur du roi. Il suit aussi une logique politique et dynastique particulière, unissant la branche de Valois à la branche de Bourbon, offrant une légitimité supplémentaire à Henri de Navarre. Mais une fois son accession au trône assurée, Henri IV s'empresse de répudier Marguerite de Valois, pour choisir Marie de Médicis et revenir à un choix matrimonial plus conforme aux usages et aux exigences de la succession à la couronne.[2] »
- note de moi : le futur Henri IV, au moment de son mariage avec Marguerite, n'est pas destiné à succéder à la couronne de France. La logique s'appliquant au mariage du roi ou de son héritier ne s'applique donc pas.
- Lettre de Talleyrand à Louis XVII à propos du choix d'une épouse pour le duc de Berry, ses objections à la grande-duchesse Anne de Russie, soeur du tsar, sa préférence pour une princesse des Bourbon et liste des princesses disponibles (entre 14 et 25 ans), catholiques, avec famille
- ici
- commentaire ds Une royauté sans reine : les princesses de la Restauration
- ici
L'importance du lignage[modifier | modifier le code]
- importance du haut lignage de la femme
- épouses serviles de rois mérovingiens, incompréhension/mépris des contemporains (Régine LeJan)
- Charles de Lorraine qui aurait été exclu du trône de France parce que son épouse était d’un rang relativement modeste (discours que Richer place dans la bouche d'Adalbéron)
- à propos du discours que Richer prête à Adalbéron contre Charles de Lorraine : « Pour Richer, tout tient dans les accusations portées par Adalbéron contre Charles, disqualifié de la succession pour avoir servi un "roi extérieur" (regi externo servire) et épousé une femme issue du milieu de ses vassaux armés (milites). Tout cela n'est qu'élucubration. [saut de ligne] (...) Quant à la prétendue mésalliance de Charles, elle aurait certainement empêché son élection, et même sa candidature. Mais son épouse portait le nom d'Adélaïde, leurs enfants eurent tous des noms royaux; il est probable qu'elle était la fille d'Herbert II de Troyes (6). »
- note 6 "Trop attaché à défendre la crédibilité de Richer, Ferdinand Lot a donné deux épouses successives à Charles, l'une issue de milites, l'autre fille du comte de Troyes, mais l'hypothèse, défendue avec peu de conviction, est irrecevable."
- source : Carlrichard Brühl (trad. de l'allemand par Gaston Duchet-Suchaux, édition française établie par Olivier Guyotjeannin), Naissance de deux peuples, Français et Allemands : IXe-XIe siècle [« Deutschland-Frankreich. Die Geburt zweier Völker »], Fayard, (1re éd. 1990), 387 p. (ISBN 2-213-59344-2 et 9782213593449), p. 255 et note 6.
- note 6 "Trop attaché à défendre la crédibilité de Richer, Ferdinand Lot a donné deux épouses successives à Charles, l'une issue de milites, l'autre fille du comte de Troyes, mais l'hypothèse, défendue avec peu de conviction, est irrecevable."
- à propos du discours que Richer prête à Adalbéron contre Charles de Lorraine : « Pour Richer, tout tient dans les accusations portées par Adalbéron contre Charles, disqualifié de la succession pour avoir servi un "roi extérieur" (regi externo servire) et épousé une femme issue du milieu de ses vassaux armés (milites). Tout cela n'est qu'élucubration. [saut de ligne] (...) Quant à la prétendue mésalliance de Charles, elle aurait certainement empêché son élection, et même sa candidature. Mais son épouse portait le nom d'Adélaïde, leurs enfants eurent tous des noms royaux; il est probable qu'elle était la fille d'Herbert II de Troyes (6). »
- recherche de femmes issues de lignées royales chez les premiers Capétiens (ex : Rozala d'Italie) pour affirmer leur nouveau statut
- Marie de Médicis
- « ...dès que Henri IV commença à prendre en considération l'éventualité d'un deuxième mariage (...), la possibilité de choisir la nièce du Grand-duc lui vint à l'esprit, accompagnée toutefois de réserves profondes au sujet de son rang princier, aussi bien que de la méfiance suscitée en lui par sa parenté avec la précédente reine de France de la maison de Médicis, Catherine. "Étant l'une des moindres maisons de la chrétienté qui porte le titre de prince - disait-il en 1598 à Sully - puisqu'il n'y a pas plus de soixante ou quatre-vingts ans, ses devanciers n'étaient qu'au rang des plus illustres bourgeois de leur ville, et de la même race que la reine-mère Catherine qui a causé tant de maux à la France et à moi en particulier, j'appréhende cette alliance de crainte d'y rencontrer aussi du mal pour moi, les miens et l'État.(3)" »[3]
- (3) Les Œconomies royales de Sully, éd. D. Buisseret et B. Barbiche, II (1595-1599), Paris, 1988, p. 147
- ce passage des Mémoires de Sully - Henri IV évoque d'autres princesses** (intéressant pour les motivations d'un choix)
- Marie Leszczynska
- mariage avec Marie Leszczyńska vu comme une mésalliance
Engendrer un héritier[modifier | modifier le code]
- reines choisies rapidement surtout pour engendrer un héritier, parfois en dépit de leur lignage « ordinaire » : Alix de Champagne, 3e épouse de Louis VII; Jeanne d’Évreux; Agnès de Méranie (? contexte de la répudiation d’Ingeborge), Constance de Provence (menacée de répudiation après la naissance d’un héritier, le roi voulant retourner avec Berthe de Bourgogne), Marie Leszczyńska
- besoin de reines en âge d’engendrer, pas enfants : cas de Marguerite d’Autriche fiancée à Charles VIII (?), cas de Marie Anne Victoire d'Espagne, fiancée à Louis XV (?)
- menaces de répudiation en cas de stérilité : Blanche de Castille (?), Marguerite de Provence (?), Catherine de Médicis
Les riches héritières[modifier | modifier le code]
- Aliénor, duchesse d'Aquitaine (raison du mariage, volonté d'empêcher le divorce pour éviter la perte de l'héritage)
- Isabelle de Hainaut
- Jeanne, reine de Navarre et comtesse de Champagne
- Jeanne de Bourgogne, héritière d’Artois, ép. Philippe IV
- Jeanne, comtesse d’Auvergne et douairière de l’héritier de Bourgogne
- Anne de Bretagne (deux fois reine en raison de son héritage) et Claude de France (toujours pour assurer l'héritage de la Bretagne au royaume de France)
- Marie Stuart, reine d'Écosse
Rétablir ou maintenir la paix / politique[modifier | modifier le code]
- Blanche de Castille (paix entre Angleterre et France)
- Marie-Adélaïde de Savoie
- Merlotti Andrea, « Politique dynastique et alliances matrimoniales de la Maison de Savoie au XVIIe siècle », Dix-septième siècle 2/2009 (n° 243) , p. 239-255
la couche royale, voie vers le pouvoir[modifier | modifier le code]
- cas des concubines/maîtresses devenues reines
- cas mérovingiens
- cas de certaines concubines des Carolingiens : Himiltrude (?), Luitgarde...
- Friedelehe (contestation de cette théorie)
- ambitions de Gabrielle d'Estrées
- épouses morganatiques au XVIIe s. : Mme de Maintenon, Mme de Choin
Se marier par amour[modifier | modifier le code]
- les reines mérovingiennes
- Berthe de Bourgogne (?)
- Bertrade de Montfort
- Blanche de Navarre (?)
- Louise de Lorraine (?)
- le cas de Madame de Maintenon
- impératrices Joséphine et Eugénie
Importance de la beauté[modifier | modifier le code]
- Jong, Mayke de, « Queens and beauty in the early medieval west: Balthild, Theodelinda, Judith », Agire da donna. Modelli e pratiche di rappresentazione (2007) p. 235-248
Les obstacles de la consanguinité[modifier | modifier le code]
- épouser au loin : Anne de Kiev,
- Carole Avignon, Les stratégies matrimoniales des premiers Capétiens à l’épreuve des prohibitions canoniques en matière de parenté (XIe - XIIe siècles), Les Stratégies matrimoniales (IXe-XIIIe siècle) (UL : HQ 513 S898 2013)
Divorces, dissolutions[modifier | modifier le code]
- David d'Avray, Papacy, Monarchy and Marriage, 860-1600, 2015
- David d'Avray, Dissolving Royal Marriages, A Documentary History, 860–1600
- Pour la France, traite de :
- Robert le Pieux et Berthe de Bourgogne
- Philippe 1er et Bertrade de Montfort
- Louis VII et Aliénor d'Aquitaine
- Philippe II Auguste et Ingeburge de Danemark
- Charles IV le Bel et Blanche de Bourgogne
- Louis XII et Jeanne de France
- Henri IV et Marguerite de Valois
- Pour la France, traite de :
- menaces de répudiation en cas d'absence d'héritier (Isabelle de Hainaut, Blanche de Castille, Catherine de Médicis, Anne d'Autriche, Marie-Antoinette d'Autriche)
- http://opac.regesta-imperii.de/lang_en/anzeige.php?sammelwerk=R%C3%A9pudiation%2C+s%C3%A9paration%2C+divorce+dans+l%27Occident+m%C3%A9di%C3%A9val&pk=1266413
- Discours multiples, pluralité des pratiques : séparations, divorces, répudiations, dans l'Europe chrétienne du haut Moyen Age (VIè-IXè siècles) d'après les sources normatives et narrative
- Private Bodies and the Body Politic in the Divorce Case of Lothar II
- Travaux de Stéphanie Richard
- Stéphanie Richard, « Sans naissance, pas de mariage ? Le procès en nullité du mariage de Louis XII et Jeanne de France (1498) », Questes [En ligne], 27 | 2014
- Stéphanie Richard, « Ut prole non careat » : procréation et nullités de mariage à la cour de France à la fin du Moyen Âge, dans Pascale Mormiche, Stanis Perez (dir.), Naissance et petite enfance à la cour de France (Moyen Âge - XIXe siècle), Villeneuve-d’Ascq, Presses Universitaires du Septentrion, 2016
- Problématique de la séparation conjugale : les cas de Jeanne d'Harcourt (1485) et de Jeanne de France (1498)
Les reines au pouvoir[modifier | modifier le code]
- cas des filles de roi devenues reines de France par leur mariage, non leur filiation (Jeanne de France, Claude de France, Marguerite de Valois), Emma de France, Raoul devient roi grâce à son mariage ?
- loi salique
- reines-mères, régentes...
- pouvoir informel
- perception négative vs pouvoir de la reine
- Patrick Corbet, "Entre Aliénor d'Aquitaine et Blanche de Castille: Les princesses au pouvoir dans la France de l'Est", Mächtige Frauen? Königinnen und Fürstinnen im Europäischen Mittelalter (11-14 Jahrhundert). Edited by Claudia Zey. Jan Thorbecke Verlag, 2015. Pages 225 - 247 description, en ligne
Participation des femmes dans la vie politique française[modifier | modifier le code]
- Michel De Waele, La fin des guerres de Religion et l'exclusion des femmes de la vie politique francaise
L'invention de la loi salique[modifier | modifier le code]
- Elena Woodacre, 'Le roi est mort; Vive la reine?' The girl who should have been Queen of France, 2008 (téléchargé)
- Craig Taylor, ‘The Salic Law, French Queenship and the Defence of Women in the Late Middle Ages’, French Historical Studies, 29 (2006). 543-64.
- Craig Taylor, ‘The Salic Law and the Valois Succession to the French Crown’, French History, 15 (2001). 358-77
- Eliane Viennot, La France, les femmes et le pouvoir. tome 1 : L'invention de la loi salique (Ve-XVIe siècle)
- Eliane Viennot, « Le cas de la loi salique ». In: Réforme, Humanisme, Renaissance, n°67, 2008. pp. 23-25.
- Eliane Viennot, Masculinité et francité du monarque des lis: le débat sur la loi salique et la construction du consensus national pendant la dernière guerre du XVIe siècle
- Ralph Giesey, Le rôle méconnu de la loi salique : La succession royale, XIVe-XVIe siècles, Paris : Belles lettres, 2007. dispo UL : JN 2375 G455 2007 F
Les régentes[modifier | modifier le code]
- minorité de l'héritier, absence du roi (guerre, croisade, folie de Charles VI)
- Brunehilde, Anne de Kiev, Blanche de Castille, Isabeau de Bavière, Catherine de Médicis, Marie de Médicis, Anne d'Autriche, régences sous le régime impérial : Joséphine, Marie-Louise, Eugénie...
- régences prévues (Jeanne de Champagne, Jeanne de Bourbon...) ou effectives
- celles qui se font refuser la régence (Charlotte de Savoie vs Anne de France; Claude de France vs Louise de Savoie)
- Autrand, Françoise, « La succession à la couronne de France et les ordonnances de 1374 », Joël Blanchard éd., Représentation, pouvoir et royauté à la fin du Moyen Âge, actes du colloque organisé par l'Université du Maine les 25 et 26 mars 1994 (Paris : Picard, 1995), p. 25-32 (dispo UL : JC 375 R425 1995)
- (en) Tracy Adams et Glenn Rechtschaffen, « Isabeau of Bavaria, Anne of France, and the History of Female Regency in France », Early Modern Women: An Interdisciplinary Journal, vol. 8, , p. 119-147 (lire en ligne)
- Tracy Adams, « Theorizing Female Regency: Anne of France’s Enseignements à sa fille », dans Cynthia J. Brown et Anne-Marie Legaré, éd., Les Femmes, la culture et les arts en Europe entre Moyen Âge et Renaissance, Turnhout, Brepols Publishers, 2016, p. 387-401 DOI 10.1484/M.TCC-EB.5.107677 (dispo UL : N 5240 F329 2016)
- Fanny Cosandey, « Puissance maternelle et pouvoir politique. La régence des reines mères », Clio. Histoire‚ femmes et sociétés [En ligne], 21 | 2005, mis en ligne le 01 juin 2007, consulté le 28 novembre 2013.
- Tania Leduc, Jeux de pouvoir : des coulisses à l’avant-scène. Les reines de France Marie de Médicis et Anne d’Autriche, Maîtrise d’histoire, dir. Dominique Deslandres, Université de Montréal, 2007
- Pierre Bonin, RÉGENCES ET LOIS FONDAMENTALES, Annuaire-Bulletin de la Société de l'histoire de France, (2003), pp. 77-135
- Ursula Vones-Liebensten, « Une femme gardienne du royaume ? Régentes en temps de guerre (France-Castille, XIIIe siècle) », La guerre, la violence et les gens au Moyen Âge tome 2, p. 9-22 (dispo UL)
- André Poulet, « Capetian Women and the Regency : the Genesis of a Vocation », dans Medieval Queenship (http://link.springer.com/chapter/10.1007%2F978-1-137-08859-8_7 résumé) (dispo UL)
- Elizabeth McCartney, « The King’s Mother and Royal Prerogative in Early-Sixteenth-Century France » dans Medieval Queenship résumé (dispo UL) (Catherine de Médicis)
- Corvisier André. Pour une enquête sur les régences. In: Histoire, économie et société, 2002, 21ᵉ année, n°2. Le couple / Varia, sous la direction de Scarlett Beauvalet et Agnès Walch. pp. 201-226.
- Berger Élie. Le titre de régent dans les actes de la chancellerie royale.. In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1900, tome 61. pp. 413-425.
- Thierry Wanegfflen, Le pouvoir contesté. Souveraines d'Europe à la Renaissance, Paris, Payot, 2008 (dispo BdeQ) (Catherine de Médicis, Anne de Bretagne, régences, France vs Europe...)
Relations[modifier | modifier le code]
La reine et son roi[modifier | modifier le code]
- reines par amour : Berthe de Bourgogne...
- inimitiés : Constance d'Arles, Ingeburge de Danemark, Aliénor d’Aquitaine...
- répudiation : Ingeburg de Danemark
- influence de la reine auprès du roi
- infidélité du roi
La reine et ses enfants[modifier | modifier le code]
- importance d'engendrer / stérilité
- le pouvoir de la reine-mère
- Amour : Blanche de Castille et ses enfants
- Inimitié Constance de Provence et son fils
- les reines sans enfant (statut précaire...)
- rôle (ou non) dans l'éducation des enfants
- grossesse, accouchement et rythme des naissances
- taux de fécondité
- travaux de Pascale Mormiche sur l'éducation des princes français
- Pascale Mormiche, « Enfance, enfances de princes en France (xviie-xviiie siècles) », Mélanges de l’École française de Rome - Italie et Méditerranée modernes et contemporaines [En ligne], 123-2 | 2011 :
- « Vers 1780, la figure maternelle de la reine apparaît dans l’éducation royale. Marie-Antoinette introduit des changements dans l’éducation des enfants royaux dont Louis XVI lui a confié la charge exclusive ce qui ne s’est jamais vu pour une reine de France. En 1783, une révolution transforme dans l’allure des enfants : plus de poudre, plus de rouleaux, des cheveux libres. La mode à l’anglaise apparaît dans l’aile des princes à Versailles, avec des habits d’enfant comme les autres enfants d’aristocrates. La reine garde ses enfants auprès d’elle, modifie pour ce faire les appartements du rez-de-chaussée du château. Comportement impensable quelques années auparavant, elle se retire de la cour et s’enferme avec eux lors des maladies. Des lieux spécifiques d’éducation sont projetés, jardins, espaces de jeux, galerie de maquette de marine et de physique... Mais les circonstances politiques et les décès des enfants ne permettent pas d’aller plus loin dans l’interprétation des modifications que la reine aurait entreprises de son propre chef. »
- Pascale Mormiche, « Enfance, enfances de princes en France (xviie-xviiie siècles) », Mélanges de l’École française de Rome - Italie et Méditerranée modernes et contemporaines [En ligne], 123-2 | 2011 :
- Becquet Hélène, http://www.cairn.info/revue-dix-huitieme-siecle-2006-1-page-407.htm « La cour de France sous Louis XVI, un système en décadence ? L'exemple de la maison des enfants de France », Dix-huitième siècle, 1/2006 (n° 38), p. 407-428.
- travaux d'Emmanuelle Berthiaud sur la grossesse en France à l'époque moderne
- BERTHIAUD Emmanuelle, « Grossesse désirée, grossesse imposée : le vécu de la grossesse aux XVIIIe-XIXe siècles en France dans les écrits féminins privés », Histoire, économie & société, 4/2009 (28e année), p. 35-49. :
- "Le cas des reines était encore plus sérieux ; elles voyaient leur statut menacé en cas de stérilité car elles risquaient l’annulation du mariage [17]. Les cas longtemps malheureux d’Anne d’Autriche et de Marie-Antoinette illustrent cet impératif : « Il […] faut un dauphin »"
- BERTHIAUD Emmanuelle, « Grossesse désirée, grossesse imposée : le vécu de la grossesse aux XVIIIe-XIXe siècles en France dans les écrits féminins privés », Histoire, économie & société, 4/2009 (28e année), p. 35-49. :
- Pascale Mormiche, Stanis Perez (dir.), Naissance et petite enfance à la cour de France (Moyen Âge - XIXe siècle), Villeneuve-d’Ascq, Presses Universitaires du Septentrion, 2016, (ISBN 978-2-7574-1379-1) présentation et sommaire - présentation éditeur, dont :
- Pascale Mormiche « De la grossesse à la naissance : le calendrier et le cérémonial (1638-1789) »
- Ghislain Tranié, « L’honneur que le Roy me faict aittre marry de mon aspesansse me consolle et m’afflige ». Les effets de l’infécondité sur les corps de Louise de Lorraine et de Henri III
- Emmanuelle Berthiaud, La grossesse invisible : la représentation des reines et des princesses enceintes à la cour de France (XVIIe-XIXe siècles)
- Stéphanie Richard, « Ut prole non careat » : procréation et nullités de mariage à la cour de France à la fin du Moyen Âge
Filles de France [rôle...][modifier | modifier le code]
- Becquet Hélène. Les filles de France à Versailles au XVIIIe siècle, entre intégration et exclusion, In: Bibliothèque de l'école des chartes. 2012, tome 170. Versailles. De la résidence au musée Espaces, usages, institutions XVIIe-XXe siècle Études et documents réunis par Fabien Oppermann, sous la direction de Fabien Oppermann. pp. 131-153.
- Mesdames
La reine comme marâtre[modifier | modifier le code]
- Sylvie Joye, Marâtres mérovingiennes
- Marie de Brabant soupçonnée du meurtre de son beau-fils
- Collard Franck, « De l'émotion de la mort à l'émoi du meurtre. Quelques réflexions sur le sentiment de la mort suspecte à la fin du Moyen Âge. », Revue historique 4/2010 (n° 656) , p. 873-907
- Brigitte Kasten, "Stepmothers in Frankish legal life", Law, laity, and solidarities : essays in honour of Susan Reynolds, dispo UL : KJ 147 L415 2001
- Patricia Watson, Ancient stepmothers : myth, misogyny, and reality, 1995 (belle-mère dans le monde antique) (UL : PA 3015 S84 W341 1995)
- rech. sur Step-mother/marâtre en mythologie, littérature, etc.
La reine et sa belle-famille[modifier | modifier le code]
- Marguerite de Provence, querelle avec Charles d’Anjou à propos de la Provence, relation avec Blanche de Castille
- Jeanne d’Évreux, Blanche de Navarre avec la famille royale française
- le roi mariant les parents de son épouse (Jeanne de Bourbon, soeurs mariées par Charles V selon ses intérêts)
La reine et sa famille d’origine[modifier | modifier le code]
- la promotion des familles des reines aux temps carolingiens (ex : Bosonides)
- Blanche de Castille et les relations avec sa famille
- Haganon, favori de Charles III le Simple, p.e. parent de la reine
La reine et les favorites[modifier | modifier le code]
- éléments Marie d’Anjou et Agnès Sorel, Bernard Chevalier, « Marie d’Anjou », p. 91-92
- Maîtresses et favorites dans les coulisses du pouvoir du Moyen Âge à l’Époque moderne, Saint-Étienne, Publications de l'Université de Saint-Étienne, sous presse (sommaire)
- Bruno Dumézil – « Il se rangeait trop volontiers aux avis des femmes » : le roi mérovingien face à ses concubines
- Flavie Leroux, La fortune familiale d’une favorite sous Louis XIV : Madame de Montespan et la politique matrimoniale des Rochechouart-Mortemart
- Laurent Guitton, Fastes et malheurs du métier de favorite : Antoinette de Maignelais, de la cour de France à la cour de Bretagne
- Marion Chaigne-Legouy, Le « dossier Agnès Sorel ». État de la question et perspectives de recherche
- Guillaume Garnier, Le coucher, le lever, le sommeil des maîtresses royales, les exemples de Mme de Maintenon et de Mme de Pompadour
- Éliane Viennot, Marguerite de Valois et Henri IV. La contribution d'une reine à une typologie de la maîtresse royale, etc.
- travaux de Flavie Leroux sur les maîtresses royales
- L’intégration des maîtresses royales au « système de la cour » (1661-1691), dans Femmes à la cour de France - charges et fonctions (Moyen Âge – XIXe siècle), à paraître
- Femmes à la cour de France - charges et fonctions (Moyen Âge – XIXe siècle), à paraître
- Flavie Leroux, L’intégration des maîtresses royales au « système de la cour » (1661-1691)
- Antoine Rivault, Le clan de la duchesse d’Étampes : pouvoir et fortune d’une favorite royale à la Renaissance (1525-1575)
- Pascal Firges, Extra-marital alliances ? Concubinage and Power at the French Court in the Seventeenth and Eighteenth Centuries
- Véronique Garrigues, Les clairs-obscurs de Françoise de Foix, dame de Chateaubriant (1494-1537) : Revisiter l’image d’une favorite royale (XVIe-XIXe s.)
La reine et l'entourage royal[modifier | modifier le code]
- La reine et les favoris royaux
- Haganon (p.e. parent de la reine) à la cour de Charles III le Simple, suscitant la colère des grands
- Hugues de Beauvais, favori de Robert le Pieux, p.e. tué à l'instigation de Constance d'Arles ou des Angevins
- lutte de pouvoir Pierre de la Broce vs Marie de Brabant
- Klaus Oschema, The Cruel End of the Favourite. Clandestine Death and Public Retaliation at Late Medieval Courts in Europe (mention de Pierre de la Broce, notions historiographiques et conceptuelles)
Le "parti de la reine" à la cour[modifier | modifier le code]
- parti de Marie de Brabant à la cour de Philippe III
- parti de Marie-Antoinette
- parti d'Anne d'Autriche
La reine et son entourage[modifier | modifier le code]
- hôtel de la reine, filles et femmes d’honneur (croissance des effectifs, comparaison avec l'hôtel du roi...), rôle dans les cérémonies
- Maison de la Reine (France) - Première dame d'honneur - Surintendante de la Maison de la Reine - Gouvernante des enfants royaux - Dame d’atours (voir équivalent anglais) - Chancelier de la Reine - Dame de compagnie (mieux : en:Lady-in-waiting, section France)
- voir les équivalents anglais, souvent mieux sourcés
- Anne de Bretagne, première reine à résider de façon permanente à la cour
- Femmes à la cour de France - charges et fonctions (Moyen Âge – XIXe siècle), à paraître
- Aubrée David Chapy, La « Cour des Dames » d’Anne de France et de Louise de Savoie : émergence d’un nouvel espace de pouvoir
- Fanny Giraudier, Une cour sans reine : parcours et statuts des femmes à la cour de France en l’absence de reine (1589-1600)
- Charles Eloi-Vial, La Maison de l’impératrice Marie-Louise face au déclin de l’Empire
- Elisabeth Narkin, Les charges et le personnel féminin de la cour des enfants (XVe – XVIIe siècle)
- Pascale Mormiche, Les nourrices des Enfants de France (XVIIe-XVIIIe siècle)
- Becquet Hélène, http://www.cairn.info/revue-dix-huitieme-siecle-2006-1-page-407.htm « La cour de France sous Louis XVI, un système en décadence ? L'exemple de la maison des enfants de France », Dix-huitième siècle, 1/2006 (n° 38), p. 407-428.
- biblio
- Anne-Hélène Allirot, « L’entourage et l’Hôtel de Jeanne d’Évreux, reine de France (1324-1371) », Annales de Bretagne et des Pays de l’Ouest [En ligne], 116-1 | 2009
- Aline Roche, "Une perle de pris" : la maison de la reine Eléonore d’Autriche
- Sophie de Laverny, Les domestiques commensaux du roi de France au XVIIe siècle
- The Politics of Female Households : Ladies-in-waiting across Early Modern Europe (3 articles sur la France)
- Ruth Kleinman, « Social Dynamics at the French Court: The Household of Anne of Austria », French Historical Studies, Vol. 16, No. 3 (Spring, 1990), pp. 517-535
- Monique Chatenet, La Cour de France au 16e siècle, vie sociale et architecture ***
- Caroline zum Kolk, The Household of the Queen of France in the Sixteenth Century
- Caroline zum Kolk, « Les femmes à la cour de France au XVIe siècle : la fonction politique de la maison de Catherine de Médicis, 1533-1574 », Femmes de pouvoir et pouvoir des femmes dans l'Occident médiéval et moderne (dispo UL)
- Xavier de La Selle, Le service des âmes à la cour: confesseurs et aumôniers des rois de France ...
- Diagne (Alexis-Noël), L'Hôtel de la reine de France à la fin du Moyen Âge (1261-1422), thèse
- ico
-
L'impératrice Eugénie et sa cour sur les marches du palais de Compiègne, 1856
-
L'Impératrice Eugénie à Compiègne et les dames de la 3ème série de 1856 voir ici pour les "séries" de Compiègne
La reine sans le roi :veuves et répudiées[modifier | modifier le code]
- reines délaissées et isolées devant se remarier, comme Anne de Kiev
- remariages (Anne de Kiev, Alix de Savoie) (refus de se remarier : Blanche de Navarre)
- réactions des fils au remariage
- douairières, défense de leurs droits : Jeanne d’Évreux, Blanche de Navarre
- régentes (à traiter plutôt dans la section Reine et pouvoir)
- répudiées : Berthe de Hollande, Aliénor d’Aquitaine, Ingeborge de Danemark, Jeanne de France, Marguerite de Valois
- entrées au couvent
- gardiennes de la mémoire familiale
- Emmanuelle Santinelli, Des femmes éplorées ? Les veuves dans la société aristocratique du haut Moyen Âge, Presses Univ. Septentrion, 2003
- Jean Verdon, Les veuves des rois de France aux Xe et XIe siècles, dans Veuves et veuvages dans le haut Moyen-Age, 1993 p. 187-198 (photocopié), et autres articles de ce volume
Rôles et fonctions : le "métier de reine"[modifier | modifier le code]
- http://www.chateauversailles.fr/resources/pdf/fr/handicap/aide_visite_metier_de_reine.pdf
- http://maria-antonia.justgoo.com/t5991-pour-marie-antoinette-et-les-autres-le-metier-de-reine-de-france (entrevue avec Simone Bertière)
Représentation[modifier | modifier le code]
- la reine, un "trésor animé"
- Paulien Stafford, « Queens and Treasure in the Early Middle Ages », Elizabeth M. Tyler, éd. Treasure in the Medieval West, 2000,
La dame de paix, diplomatie / médiatrice[modifier | modifier le code]
- épouser pour consolider une alliance/garantir une paix (ex : Anne de Bretagne)
- rôle des reines dans les négociations de paix, intermédiaire entre les partis
- rôles de Jeanne d’Évreux et Blanche de Navarre dans les relations des rois de France avec Charles le Mauvais
- Isabeau de Bavière
- Épitre à la reine de Christine de Pisan adressée à Isabeau de Bavière
- Charlotte de savoie, intervenant en 1469 pour ramener la paix entre Louis XI et Charles de Guyenne (Offenstadt, p. 319)
- Rachel Gibbons, « Les conciliatrices au bas Moyen Âge : Isabeau de Bavière et la guerre civile », dans Philippe Contamine et Olivier Guyotjeannin, dir.;, La guerre, la violence et les gens au Moyen Âge : 119e congrès national des sociétés historiques et scientifiques, Amiens, 1994, vol. 2 : La violence et les gens, Paris, CTHS, (ISBN 978-2-7355-0331-5), p. 23-33
- dispo UL : AS 162 A3 C749p 119 2
- Adams, Tracy, « Moyenneresse de traictié de paix: Christine de Pizan's mediators », Healing the Body Politic: The Political Thought of Christine de Pizan, éd. Karen Green et Constant J. Mews, Turnhout, Brepols (Disputatio, 7), 2005, p. 177-200. (pas dispo UL)
- Françoise Autrand, Christine de Pizan: une femme en politique, Paris, Fayard, 2009 (dispo emprunt numérique banq)
- Éric HICKS et Thérèse MOREAU, « L'Epistre à la Reine de Christine de Pizan (1405) », Clio. Histoire‚ femmes et sociétés [En ligne], 5 | 1997 (appel à Isabeau de Bavière pour rétablir la paix entre Orléans et Bourgogne
- Yann Rodier, Marie de Médicis et les représentations symboliques d'une reine de Paix, ou le faire voir, faire croire de la Régence (1610-1617)
- Julie Anne Demel, Regard historique sur la diplomatie féminine en Autriche et en France. De la paix des Dames 3 août 1529 au traité de Lisbonne 13 décembre 2007 (orésentation d'ouvrage)
- voir idées : La Paix des Dames. Femmes, paix et pacification en péninsule ibérique au Moyen Âge (Xe-XVe siècle) (annonce de colloque, avec argumentaire et programme)
- Tania Van Hemelryck. « La femme et la paix. Un motif pacifique de la littérature française médiévale ». In: Revue belge de philologie et d'histoire, tome 84, fasc. 2, 2006. Histoire medievale, moderne et contemporaine - Middeleeuwse. moderne en hedendaagse geschiedenis. pp. 243-270. (nombreuses allusions aux reines)
- Offenstadt Nicolas. Les femmes et la paix à la fin du Moyen Âge : genre, discours, rites. In: Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, 31ᵉ congrès, Angers, 2000. Le règlement des conflits au Moyen Âge. pp. 317-333.
- Claire-Marie Schertz, Autour de Christine de Pizan : entre lyrisme courtois et engagement politique », COnTEXTES [En ligne], 13 | 2013 (Épitre à la reine)
- "Comme le montre Nathalie Nabert, le thème de la reine guérisseuse fait référence aux saintes protectrices du royaume que sont sainte Geneviève, patronne de la ville de Paris, et sainte Clotilde, épouse de Clovis et reine de France, et renvoie au domaine de l’hagiographie" (renvoi à Nabert (Nathalie), « La mère dans la littérature politique à la fin du Moyen Âge (xive-xve siècles) », Bien dire et bien aprandre, n° 16, 1998)
- Women, Diplomacy and International Politics since 1500, 2015 (non dispo UL) sommaire - extraits Google, notamment :
- Ellie Woodacre, « Cousins and Queens: Familial ties, political ambition and epistolary diplomacy in Renaissance Europe »
- Silvia Z. Mitchell, « Marriage Plots: Royal Women, Marriage Diplomacy, and International Politics at the Spanish, French and Imperial Courts, 1665-1679 »
- J. DEVAUX, A vostre priere et parole il en vauldra grandement mieulx : images de la médiatrice dans les Chroniques de Froissart, Femmes de pouvoir, femmes politiques durant les derniers siècles du Moyen Âge et au cours de la première Renaissance, dir. É. BOUSMAR, A. MARCHANDISSE, B. SCHNERB et J. DUMONT, Bruxelles, 2011
Une "reine de guerre" ?[modifier | modifier le code]
- Marjolaine Massé, « Représenter la victoire militaire d’une femme : le cas de l’étendard de la reine Gerberge », Les Cahiers de l’École du Louvre. Recherches en histoire de l’art, histoire des civilisations, archéologie, anthropologie et muséologie, no 15, (ISSN 2262-208X, DOI 10.4000/cel.9017, lire en ligne)
- Damien Bril, « Des reines violentes. Le genre et la guerre dans l’iconographie royale française au XVIIe siècle », Les Cahiers de l’École du Louvre. Recherches en histoire de l’art, histoire des civilisations, archéologie, anthropologie et muséologie, no 15, (ISSN 2262-208X, DOI 10.4000/cel.9736, lire en ligne, consulté le )
Intercession[modifier | modifier le code]
- rôle d'intermédiaire/médiatrice entre le roi et ses sujets, villes, communautés religieuses, d'autres princes, papes...
- l'accès au roi/prince
- plaider
- depuis le haut moyen âge (ex : mention de la reine comme intermédiaire dans les diplômes carolingiens; Brunehaut obtenant des privilèges (pontificaux?) pour ses fondations d'Autun)...
- Jean-Marie Moeglin, dir. L'Intercession du Moyen Âge à l'époque moderne. Autour d'une pratique sociale
Genève, Droz, 2004, compte-rendu (UL : BV 210.3 I61 2004), dont :
- Introduction (p. 12-13)
- Hermann Kamp, L'intercession dans les relations politiques au Moyen Âge classique (p. 74-75-76)
Mécénat[modifier | modifier le code]
- trouvères et troubadours ?
- mécénat culturel, livres…
- Jeanne de Navarre commandant une biographie de Saint Louis à Joinville
- dévotion...
- fondation Maubuisson
- Julien Abed, « Femmes illustres et illustres reines : la communication politique au tournant des xve et xvie siècles », Questes, 17 | 2009, 52-69.
- liste de peintres au service des reines au XVIe : http://www.portrait-renaissance.fr/Artistes/charges_remunerations.html
- catalogue d'exposition L'Art au temps des rois maudits : Philippe le Bel et ses fils, 1285-1328
- dossier de presse de l'expo
- 151 -Reliquaire de Philippe V et Jeanne de Bourgogne, p. 17
- no 152 Vierge et l’Enfant, offerte par Jeanne d'Évreux à Saint-Denis, p. 18
- 189 - Bréviaire de la Sainte-Chapelle à l’usage d’une reine de France [p.e. Marie de Brabant ou Jeanne de Navarre], Entre 1285 et 1297, Pierpont Morgan Library, New York, p. 30
- MS 1042 (notice catalogue) - description - images du manuscrit, en particulier reine agenouillée au folio 8
- dossier de presse de l'expo
- Art et architecture à Melun au Moyen Âge : actes du colloque d'histoire de l'art et d'archéologie tenu à Melun les 28 et 29 novembre 1998, Paris : Picard, 2000 (UL : NA 1043 A784 2000), nombreux article, notamment :
- Yves Gallet, La collégiale Notre-Dame de Melun au temps de Robert le Pieux
- Arnaud Timbert et Yves Gallet, Une fondation royale du début du XIIIe siècle: l'abbaye Saint-Jean-Baptiste du Jard [Adèle de Champagne]
- Gajewski-Kennedy, Alexandra, Recherches sur l'architecture cistercienne et le pouvoir royal: Blanche de Castille et la construction de l'abbaye du Lys
- Erlande-Brandenburg, Alain - Le tombeau de Coeur de Blanche de Castille à l'abbaye du Lys
- Les chapelles du chevet de la collégiale de Mantes. Un petit chef-d'oeuvre du gothique rayonnant; Gallet, Yves. (2005) - In: Bulletin monumental vol. 163 (2005) p. 101-114
- Les statuettes de la chapelle dite "de Navarre" à Notre-Dame de mantes; Baron, Françoise. (2001) - In: Bulletin de la Société nationale des antiquaires de France (1997) p. 266-274
- Plagnieux, Philippe, « Une fondation de la reine Marie de Brabant: la chapelle Saint-Paul Saint-Louis », dans Mantes médiévale. La collégiale au coeur de la ville, 2000, p. 110-116 (pas dispo UL)
- L. Fagnart, É. L’Estrange (éd.) : Le mécénat féminin en France et en Bourgogne, XVe-XVIe siècles : nouvelles perspectives - compte-rendu : http://cour-de-france.fr/article2763.html
- Patronnes et mécènes en France à la Renaissance. Études réunies et présentées par Kathleen Wilson-Chevalier avec la collaboration d'Eugénie Pascal, Saint-Etienne, Publications de l'Université de Saint-Etienne, 2007 (table des matières), dont :
- Aurore Evain — Les Reines et princesses de France, mécènes, patronnes et protectrices du théâtre au XVIe siècle
- Elizabeth Lestrange — Le mécénat d’Anne de Bretagne
- Cynthia Brown — Le mécénat d’Anne de Bretagne et la politique du livre
- Annemarie Jordan et Kathleen Wilson-Chevalier — L’épreuve du mécénat: «Alienor d’Austriche», une reine de France effacée?
- Sheila ffolliott(sic)-La reine mécène idéale de la Renaissance : Catherine de Médicis définie par elle-même ou définie par les autres ?
- Caroline zum Kolk Caroline zum Kolk — Le mécénat de Catherine de Médicis d’après sa correspondance
- Laurent Odde — Les coulisses du pouvoir : Châteaux, jardins et fêtes. Quelques aspects du mécénat (transgressif) de Catherine de Médicis
- Chantal Turbide — Catherine de Médicis mécène d’art contemporain: l’hôtel de la Reine et ses collections
- Alexandra Zvereva — Catherine de Médicis et les portraitistes français
- Michèle Bimbenet-Privat — Catherine et ses orfèvres: précision, exigence, autorité
- Kerrie-rue Michahelles — Apprentissage du mécénat et transmission matrilinéaire du pouvoir. Les enseignements de Catherine de Médicis à sa petite-fille Christine de Lorraine
- Murielle Gaude-Ferragu et Cécile Vincent-Cassy (dir.), « La dame de cœur ». Patronage et mécénat religieux des femmes de pouvoir dans l’Europe des XIVe-XVIIe siècles, Rennes, PUR, 2016, table des matières, livre dispo en ligne notamment :
- Étienne Anheim, La chapelle d’Isabelle de Bavière (1370-1435), reine de France
- Caroline zum Kolk, L’évolution d’un service curial : la chapelle de la reine de France (XIIIe-XVIe siècle) lire en ligne
- Marylou N’Guyen-Millanvoye, Le patronage religieux de la reine de France face à l’émergence du catholicisme d’État. Approche comparatiste des chapelles de Marie de Médicis (1575-1642) et d’Anne d’Autriche (1601-1666).
- Elisabeth A. R. Brown, Le mécénat et la reine : Jeanne d’Évreux (1308 ?-1371), la liturgie et le puzzle d’un bréviaire
- Anne-Marie Legaré, Le mécénat artistique de Charlotte de Savoie à Bourges (1470-1483) : L’exemple de ses livres à caractère religieux
- Kathleen Wilson-Chevalier, « Trinités royales » et « quadrangle d’amour » : Claude de France, Marguerite de Navarre, François Ier, Louise de Savoie et la réforme fabriste de l’Église. (mise en valeur du rôle négligé de Claude)
- Rose-Marie Ferré, Clémence de Hongrie (1293-1328) et les oeuvres pour la mort. Entre patronage religieux et revendications dynastiques
- Christelle Balouzat-Loubet, Le patronage religieux d’une princesse capétienne : dévotions, fondations et mécénat de Mahaut, comtesse d’Artois (1302-1329)
- mécénat musical
- Leeman L. Perkins, L. (1984). « Musical Patronage at the Royal Court of France under Charles VII and Louis XI (1422-83) », Journal of the American Musicological Society, 37(3), 507-566. DOI: 10.2307/831337
- David Hennebelle, « Devenez Lulliste, Ramiste ou Vacarmiste ». Marie-Antoinette et la musicomanie féminine à la cour, Paris, Cour de France.fr, 2016
- rôle de Marie Leszczynska et Marie-Antoinette, autres membres féminins de l'entourage de Louis XV et Louis XVI
- travaux de David Hennebelle
- Les Concerts de la Reine (1725-1768), Lyon, Symétrie, 2015 prés (Marie Leszczynska)
- L’œuvre de Rameau et les concerts de la reine (1734-1762), 2014
- collèges
- Thierry Kouamé (2009), « Rex Fundator. Les interventions royales dans les collèges universitaires de Paris, Oxford et Cambridge (XIVe-XVe siècle) », Corinne Péneau. Itinéraires du savoir de l'Italie à la Scandinavie (Xe-XVIe siècle). Études offertes à Élisabeth Mornet, Paris, 2009 pages., 25 pages , Publications de la Sorbonne, p.p. 231 pages-253 pages, (fondation des collèges de Navarre et Bourgogne au début du XIVe s., premières fondations royales de collèges en France)
- Nathalie Gorochov, Le Collège de Navarre : De sa fondation, 1305, au début du XVe siècle, 1418 : histoire de l’institution, de sa vie intellectuelle et de son recrutement, Paris, Champion, 1997.
Une cour sans reine[modifier | modifier le code]
- Becquet, princesses de la Restauration
- Fanny Giraudier. Une cour sans reine : Catherine de Bourbon et la restauration de la cour entre 1593 et 1600. Caroline zum Kolk; Kathleen Wilson-Chevalier. Femmes à la cour de France. Charges et fonctions (XVe - XIXe siècle), Presses Universitaires du Septentrion, 2018
Douaire / richesse / droits / aspect légal[modifier | modifier le code]
- Jean-Marc Cazilhac, Le Douaire des reines de France à la fin du Moyen Âge, Harmattan, 2017 présentation en ligne (avec extrait dispo)
- De Bettrade de Monfort (1067-1117) à Marie d'Angleterre (1519-1589)
- Jean-Marc Cazilhac, « Le Douaire de la reine de France à la fin du Moyen Âge », dans Reines et princesses au Moyen Âge: Actes du cinquième colloque international de Montpellier-Université Paul-Valéry (24-), Les Cahiers du C.R.I.S.M.A., 2001, Volume 1, p. 75-87. [lire en ligne].
- Régine Le Jan, « Douaires et pouvoirs des reines en Francie et en Germanie (VIe-Xe siècle) », dans Dots et douaires dans le haut Moyen Âge; repris dans Régine Le Jan, Femmes, pouvoir et société dans le haut Moyen Age (HQ 1143 L534 2001, [2]
- Françoise Barry, Les droits de la reine sous la monarchie française jusqu'en 1789, F. Loviton, 1952
- Françoise Barry, La reine de France, Paris, 1964.
Perceptions de la reine[modifier | modifier le code]
La reine idéale[modifier | modifier le code]
- piété, pacificatrice
- portraits de "bonnes reines" (ex : Blanche de Castille)
L'adultère de la reine[modifier | modifier le code]
- cas Marguerite de Bourgogne et ses belles-soeurs, implications politiques et dynastiques de l'affaire de la tour de Nesle
- Colette Beaune, « Les rois maudits », dans Razo, n° spécial, Mythes et histoire, vol. 12, 1992, p. 7-24 (UL : GR 520 M999 1992)
- Bonne de Luxembourg, soupçon d'adultère avec le connétable de Brienne pour expliquer son exécution
- Aliénor d'Aquitaine
- Marie-Antoinette
- accusations d’adultère, indice du pouvoir de la reine ?
- lèse-majesté vs "droit civil"
- Geneviève Bührer-Thierry, La reine adultère. In: Cahiers de civilisation médiévale. 35e année (n°140), Octobre-décembre 1992. pp. 299-312. (Xe s.)
- Geneviève Bührer-Thierry, « Reines adultères et empoisonneuses, reines injustement accusées: la confrontation de deux modèles aux VIIIe-Xe siècles »
- Black, Nancy B. Medieval Narratives of Accused Queens. Gainesville: University Press of Florida, 2003. critique
- Peggy McCracken, The Romance of Adultery: Queenship and Sexual Transgression in Old French Literature, University of Pennsylvania Press, 1998
- John Carmi Parsons, Damned If She Didn’t and Damned When She Did: Bodies, Babies, and Bastards in the Lives of Two Queens of France http://link.springer.com/chapter/10.1007/978-1-137-05262-9_13 (Eleanor d'Aquitaine et Marie-Antoinette)
- Les Enfances Louis, le Charlemagne furieux ou la Chanson de la reine Sebile: notes sur la biographie poétique de Charlemagne à partir d'un fragment épique conservé à Bruxelles lien avc motif de la reine calmniée et la menace de répudiation d'Isabelle de Hainaut]
La méchante marâtre[modifier | modifier le code]
- the wicked mother-in-law
- dans les contes, folklores, etc.
- Frédégonde, Bertrade de Montfort, Marie de Brabant
- Claude Roussel, "La méchante belle-mère dans les chansons de geste tardives", dans Reines et princesses, colloque
L'empoisonneuse/la magicienne/la sorcière[modifier | modifier le code]
- travaux de Collard, Le crime de poison au Moyen Age, Pouvoir et poison, etc.
- Bérangère Soustre de Condat-Rabourdin, « Feminea fraus : Adélaïde del Vasto (ca. 1075-1118), une princesse empoisonneuse sicilienne du XIIe siècle », Cahiers de recherches médiévales, 17 | 2009
- l’un des thèmes dominants des écrits d'Orderic Vital : le crime d’empoisonnement perpétré par les femmes de pouvoir.
- Frédégonde
- Brunehaut
- Emma d'Italie, accusée d'avoir assassinée son époux Lothaire (+adultère) par Adémar de Chabannes
- Adélaide d'Anjou (sous le nom de Blanche d'Aquitaine), accusée d'avoir empoisonnée son époux Louis V par Adémar de Chabannes (repris par tradition postérieure)
- Bertrade de Montfort, tentant d'empoisonner/envoûter le futur Louis VI, son beau-fils, pour assurer le trône à l'un de ses propres fils (voir travaux de Collard)
- Marie de Brabant
- Catherine de Médicis
- Collard Franck, « Venenosa mulier coronata. Variations sur le thème de la reine empoisonneuse dans l'Occident médiéval », Reines et princesses au Moyen Âge, Actes du Ve colloque du CRISIMA (Montpellier, novembre 1999), M. Faure (éd.), Montpellier, 2001, p. 304-322.
- Geneviève Bührer-Thierry, « Reines adultères et empoisonneuses, reines injustement accusées: la confrontation de deux modèles aux VIIIe-Xe siècles »
- Emmanuelle Santinelli-Foltz, « À la recherche des empoisonneuses du haut Moyen Âge », dans Lydie Bodiou, Frédéric Chauvaud et Myriam Soria (dir.), Les vénéneuses. Figures d’empoisonneuses de l’Antiquité à nos jours, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2015. (dispo en ligne BAnQ)
- William R. Jones, http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1111/j.1540-6563.1972.tb00434.x/full Political Uses of Sorcery in Medieval Europe
- Luisa Capodieci : Medicæa Medæa. Art, astres et pouvoir à la cour de Catherine de Médicis, 2011 (UL : CB 361 T779 484)
- Valentine Visconti
- Tracy Adams, « Valentina Visconti, Charles VI, and the Politics of Witchcraft », Parergon, vol. 30, n° 2, décembre 2013, p. 11-32.
- Alain Marchandisse, « Milan, les Visconti, l'union de Valentine et de Louis d’Orléans, vus par Froissart et par les auteurs contemporains », dans Paola Moreno et Giovanni Palumbo (dir.), Autour du XVe siècle. Journée d'étude en l'honneur d'Alberto Varvaro, Liège, Publications de l'Université de Liège, (ISBN 978-2-87019-292-4, lire en ligne), p. 93–116.
- Laurent Hablot, « Valentine Visconti ou le venin de la biscia », Lydie Bodiou, Frédéric Chauvaud et Myriam Soria, éd. Figures d'empoisonneuses de l’Antiquité à nos jours, Presses universitaires de Rennes, 2015, p.179-194 [lire en ligne]
- travaux Franck Collard sur poison
- « la ducesse d’Orliens, fille au sire de Millen et fame de monsr. d’Orlienz […] trespassa […], laquelle quidoit en son temps estre royne de France. Mais, par la grace de Dieu, elle failly à son entente. » (Chronique normande de Pierre Cochon)[4]
- ico : https://sites.google.com/site/marquesetprovenancemss/valentine-visconti
Les "mauvaises reines"[modifier | modifier le code]
- Katherine Crawford, Constructing Evil Foreign Queens, Article | Published in 2007 in Journal of Medieval and Early Modern Studies 37 (2)
dispo UL
- Le côté obscur de la force : Représentations négatives de la femme au pouvoir (appel à contributions, journée d'étude, mars 2017) (surveiller la liste des communications)
- Brunehaut
- Frédégonde
- Aliénor d'Aquitaine
- Marguerite de Bourgogne
- Jeanne de Bourgogne (épouse de Philippe VI)
- Isabeau de Bavière
- Catherine de Médicis
- Marguerite de Valois (la reine Margot)
- Marie de Médicis
- Marie-Antoinette
- Affaire de la tour de Nesle et légende de Buridan (la reine a tour à tour été identifiée à Jeanne de Navarre (épouse de Philippe le Bel ou à une de ses brus)
- rech. Tour de Nesle sur Gallica
- rech. Nesle sur MUCEM (ico!!)
- A l’ombre de la tour de Nesle (peccadille) (ico!!!) (depuis l'expo : La Tour de Nesle : de pierre, d'encre et de fiction)
- Edmond Faral, "Jean Buridan: Maître és arts de l'Université de Paris", Histoire littéraire de la France 28 (1949).
- Edmond Faral, Jean Buridan. Notes sur les manuscrits, les éditions et le contenu de ses ouvrages, Archives d'Histoire Doctrinale et Littéraire du Moyen Âge 15: 1-53 (1946) (à voir) ??
- Villon, Brantôme, Gaguin, Bayle...
- Colette Beaune « La mauvaise reine des origines : Frédégonde aux XIVe et XVe siècles », Mélanges de l'École française de Rome. Italie et Méditerranée 113/1, p. 29-44.
- Allirot, Anne-Hélène, «La male royne boiteuse Jeanne de Bourgogne», in Royautés imaginaires, Actes du colloque de l'Université Paris-X Nanterre, 26-27 septembre 2003, Turnhout, Brépols
- Aline Vallee-Karcher, "Jeanne de Bourgogne, épouse de Philippe VI de Valois : une reine maudite ?", dans Bibliothèque de l’École des chartes, année 1980, volume 138, numéro 1, pp. 94-96.
- (en) Nicola Mary Sutherland, « Catherine de Medici: The Legend of the Wicked Italian Queen », The Sixteenth Century Journal, Vol. 9, No. 2 (juillet 1978), p. 45-56 JSTOR:2539662 DOI 10.2307/2539662 repris dans Princes, Politics and Religion, 1547-1589, Londres, The Hambledon Press, 1984. (p. 237-248)
- (en) Nicola Mary Sutherland, « Catherine de Medici: The Legend of the Wicked Italian Queen », The Sixteenth Century Journal, Vol. 9, No. 2 (juillet 1978), p. 45-56 JSTOR:2539662 DOI 10.2307/2539662
- « (...) il en résulte qu'à l'instar des Messaline, Brunehaut, Frédégonde et Médicis, que l'on qualifioit autrefois de reines de France, et dont les noms à jamais odieux ne s'effaceront pas des fastes de l'histoire, Marie-Antoinette, veuve de Louis Capet, a été, depuis son séjour en France, le fléau et la sangsue des Français » (début du réquisitoire d'Antoine Fouquier-Tinville, accusateur public, au procès de Marie-Antoinette, 16 octobre 1793; cité par Jean-Noël Castorio, Messaline, la putain impériale, 2015, p. 256)
- Jean-Noël Castorio, Messaline, la putain impériale, 2015 comparaison avec le traitement de Marie-Antoinette dans les pamphlets
- Antoinette d'Autriche ou Dialogue entre Catherine de Médicis et Frédégonde, reines de France, aux enfers : pour servir de supplément et de suite à tout ce qui a paru sur la vie de cette princesse, 1789
- Les crimes des reines de France, depuis le commencement de la monarchie jusqu'à Marie-Antoinette, 1791
- La Tour de Nesle... suivi des Crimes et amours des reines de France, par Frédéric Girard
- rech. crimes des reines de France, sur Gallica
L’étrangère[modifier | modifier le code]
- xénophobie, italophobie, austrophobie, xénophobie envers l'Espagne, l'Italie, l'Autriche...
- entourages "étrangers"
- faiblesse des réseaux des reines étrangères
- nécessité pour les reines étrangères de se remarier ?? (Edwige de Wessex, Anne de Kiev)
- rech. avec "Foreign Queen", "Alien Queen"
- Edwige de Wessex, Constance de Provence, Anne de Kiev, Catherine de Médicis, Marie de Médicis, Anne d'Autriche, Marie-Antoinette...
- Anne d'Autriche
- Anne d’Autriche, la conversion d’une reine étrangère au sort de la France
- Alain Hugon, « Groupes et réseaux féminins à la Cour de Philippe IV d'Espagne (1621-1665) », Genre & Histoire [En ligne], 12-13 | Printemps-Automne 2013
- José Maria Perceval-Verde, Stratégie et image du pouvoir autour de la reine. Création, construction, développement et fin de la figure de la reine étrangère : le cas d’Anne d’Autriche (intervention à un colloque)
- Jean-François Dubost, Maria José del Rio Barredo, « La présence étrangère autour d’Anne d’Autriche », dans Chantal Grell (dir.), Anne d’Autriche. Infante d’Espagne et reine de France, Paris, Perrin, 2009, p. 111-153 ;
- Laura Oliván Santaliestra, « Retour souhaité ou expulsion réfléchie ? La maison espagnole d’Anne d’Autriche quitte Paris (1616-1622) », dans Giulia Calvi, Isabelle Chabot (dir.), Moving Elites : Women and Culture Transfers in the European Court System, Fiesole, s.n., 2010, p. 21-31. (téléchargé)
- Oliver Mallick, Au service de la reine. Anne d’Autriche et sa maison (1616-1666), Paris, Cour de France.fr, 2016.
- Marie-Antoinette d’Autriche
- Thomas E. Kaiser, « Who's Afraid of Marie-Antoinette? Diplomacy, Austrophobia and the Queen », French History 14(3) · September 2000
- Thomas Kaiser, « From the Austrian Committee to the Foreign Plot: Marie-Antoinette, Austrophobia, and the Terror », French Historical Studies, Volume 26, Number 4, Fall 2003, pp. 579-617 résumé
- Christine Dousset, « Marie-Antoinette : la reine refusée », Les Cahiers de Framespa, 7, 2011.
- méfiance/haine envers l'étrangère (Marie-Antoinette)
- vulnérabilité de la reine privée du soutien de sa parentèle, devant se remarier (Anne, Edwige)
- entourage étranger de la reine (Anne d'Autriche)
- Depreux Philippe. Princes, princesses et nobles étrangers à la cour des rois mérovingiens et carolingiens : alliés, hôtes ou otages ?. In: Actes des congrès de la Société des historiens médiévistes de l'enseignement supérieur public, 30ᵉ congrès, Göttingen, 1999. L'étranger au Moyen Âge. pp. 133-154.
- Platelle Henri. Le problème du scandale : les nouvelles modes masculines aux XIe et XIIe siècles. In: Revue belge de philologie et d'histoire. Tome 53 fasc. 4, 1975. Histoire (depuis l'Antiquité) — Geschiedenis (sedert de Oudheid). pp. 1071-1096. (Constance de Provence)
- Louise-Félicité de Kéralio, Les crimes des reines de France, depuis le commencement de la monarchie jusqu’à Marie-Antoinette (1791)
- In 1791 and 1792, Prudhomme had published "two" quite similar works both entitled Les crimes des reines de France depuis le commencement de la monarchie jusqu'à Marie-Antoinette
- gravure de l'ouvrage : Un peuple est sans honneur et mérite ses chaînes quand il baisse le front sous le sceptre des reines
- Serena Ferente, "Naturales dominæ : Female political authority in the Late Middle Ages"dans Giulia Calvi (éd.), Women Rulers in Europe : Agency, Practice and the Representation of Political Powers (XII-XVIII), EUI Working Papers HEC, n° 2008/2, pp. 45-61.
- Chantal Thomas, La Reine scélérate. Marie-Antoinette dans les pamphlets, 1989
- Cottret, Monique, «Les reines étrangères», dans Joël Fouilleron et al. (édit.), Sociétés et idéologies des Temps modernes. Hommages à Arlette Jouanna, Montpellier, Université de Montpellier III, Centre d’histoire moderne et contemporaine de l’Europe méditerranéenne et de ses périphéries, 1996, tome I, p. 105-116. (UL : DC 110 S678 1996 1)
- Les étrangers à la cour (programme de recherche)
- productions (bas de la page)
- Le théâtre des Nations : Courtisans étrangers à la cour de France au temps des Bourbons (1594-1789), no spécial de revue
Piété[modifier | modifier le code]
- funérailles, lieu d'enterrement
- Longchamp, Lourcine
- préservation de la "mémoire capétienne"
- donations aux ordres religieux, etc.
- Sean L. Field, « Franciscan ideals and the royal family of France (1226–1328) », dans Michael J. P. Robson, éd., The Cambridge Companion to Francis of Assisi, 2011 [lire en ligne]
Cérémonies[modifier | modifier le code]
- les honneurs de la reine
- pour le XVe s., Bernard Chevalier, « Marie d’Anjou »
Mariages[modifier | modifier le code]
- Sophie Tejedor, Les festivités du mariage de François, Dauphin de France et de Marie Stuart, Reine d’Ecosse (1558) : les promesses politiques d’une fête royale, dans Le Verger, Bouquet VI, 2014.
- Marie-Claude Canova-Green, "L’équivoque d’une célébration : les fêtes du mariage de Louis XIII et d’Anne d’Autriche à Bordeaux (1615)", dans Dix-septième siècle, année 2004, volume 1, numéro 222, pp. 3-24.
- Christiane Coester, « Passages de frontières. Le voyage de la jeune mariée dans la haute noblesse des temps modernes (XVe-XVIIIe siècle) », Genre & Histoire [En ligne], 9 | Automne 2011, mis en ligne le 17 juin 2012, consulté le 23 juillet 2016. URL : http://genrehistoire.revues.org/1469 (exemples de reines)
- Watkin, David. "Iungit Amor: Royal Marriage Imagery in France, 1550-1750." Journal of the Warburg and Courtauld Institutes 54 (1991): 256-61 http://www.jstor.org/stable/751497
Onction, sacre et couronnement[modifier | modifier le code]
Sacre des rois de France, Chronologie des sacres des rois de France, Sacre
- bénédiction/consécration des reines à l'époque carolingienne
- Marie de Médicis, dernière reine couronnée
- Smith, Julie Ann, « The earliest queen-making rites », Church History, 66.1 (Mar 1997): 18-35. (analysis of the liturgies that consecrated Judith (in 856) and her mother Ermentrude (in 866) as queens)
- R.-H. Bautier, « Sacres et couronnements sous les Carolingiens et les premiers Capétiens : recherches sur la genèse du sacre royal français », Annuaire-bulletin de la Société de l’histoire de France (1989),
- J. Nelson, « Early Medieval Rites of Queen-Making and the Shaping of Medieval Queenship », in A. J. Duggan, ed., Queens and queenship in medieval Europe, Woodbridge, 1997, 301-315 (reprinted in J. Nelson, Rulers and ruling families in early medieval Europe, Aldershot, 1999, item XV).
- Shane Bobrycki, « The royal consecration ordines of the Pontifical of Sens from a new perspective », Bulletin du centre d’études médiévales d’Auxerre | BUCEMA [En ligne], 13 | 2009
- Dominique Alibert, http://www.mgh-bibliothek.de/dokumente/a/a126880.pdf « Sacre royal et onction royale à l'époque carolingienne », Jacqueline Hoareau-Dodineau et Pascal Texier (éd.), Anthropologies juridiques : mélanges Pierre Braun, Limoges, Presses Universitaires de Limoges, 1998, p. 19-44. (téléchargé), surtout p. 28-32
- "Appliquée à la reine, comme l’a souligné Alibert à la suite de Kantorowicz, [l'onction royale] pouvait vouloir assurer la fertilité physique de la dynastie, et signifier la fertilité spirituelle du roi" (Buc 2001 -qui suit, se référant à Alibert 1998
- Bucc Philippe, « Rituel politique et imaginaire politique au haut Moyen Âge », Revue historique 4/2001 (n° 620) , p. 843-883
- Dominique Alibert, « Procéder au sacre royal à l'epoque carolingienne », [In:] Procéder / Textes rèunis par Jacqueline Hoareau-Dodinau, Guillaume Métairie et Pascal Texier, Limoges: PULIM (2006), S. 85-95
- Dominique Alibert, Semen eius in aeternum manebit ... : remarques sur l'engendrement royal à l'époque carolingienne, Mariage et sexualité au moyen âge - Accord ou crise? / Sous la dir. de Michel Rouche, Paris: Presses de l'Univ. de Paris-Sorbonne (2000), S. 135-145, 3 Abb
- Demouy Patrick. Le sacre de la reine de France dans le pontifical de l’Église de Reims (BM Reims, ms. 343), In: Bulletin de la Société Nationale des Antiquaires de France, 2013, 2015. pp. 284-297.
- Couronnement de Jeanne de Bourbon (analyse d'une enluminure)
Joyeuses Entrées[modifier | modifier le code]
- Yannick Barré, Recevoir les reines: les entrées solennelles de Claude de France et Eléonore d'Autriche, mémoire de maîtrise, UQAM, 2004 (résumé)
- Groupe de recherche sur les entrées solennelles
- Lyse Roy, « “De lo bel acuel que li fon fach non es de stimar”. Les entrées du roi François Ier et de la reine Claude de France à Marseille en 1516 », Memini, 19-20 | 2016, 311-333.
-
Entrée Marie d'Anjou à Toulouse, 1442
- finde la signification d'un rituel, entrée de Louis XIV et Marie-Thérèse à Paris
- Fanny Cosandey, La reine de France, symbole et pouvoir, Paris, Gallimard, Bibliothèque des Histoires, 2000,
- Gaude-Ferragu, La reine de France au Moyen Âge
- Les entrées royales à Paris de Marie d'Angleterre (1514) et Claude de France (1517) (dispo UL : PQ 1104 T355 577
- Vincent Terrasson de Fougères, "Le mariage du lis et de la rose. L’entrée de Marie d’Angleterre dans Paris en 1514", dans Pré-textes, année 2002, numéro 3, pp. 17-48 http://rossy.ruc.dk/ojs/index.php/pre/article/view/2974
- Murielle Gaude-Ferragu, Le 'double corps' de la reine. L'Entrée d'Isabeau de Bavière à Paris (22 août 1389), Le Corps du prince, Micrologus XXII (2014), (pas dispo UL)
- Pascal Lardellier, Les miroirs du paon. Rites et rhétoriques politiques dans la France de l'Ancien Régime, Paris, Honoré Champion, 2003 (dispo UL DC 111.3 L321 2003 ) compte rendu traite spécifiquement des entrées, en partiçulier entrée Marie de Médicis Paris 1600)
Accouchements et relevailles[modifier | modifier le code]
- notamment Bernard Chevalier, « Marie d’Anjou », p. 90
- accouchement en public
- depuis quand? Récit détaillé de Marie de Médicis, sage-femme Louise Bourgeois, mais certainement avant
- http://www.lepoint.fr/societe/naissance-au-palais-ce-a-quoi-carla-a-echappe-11-10-2011-1383264_23.php
- https://m.youtube.com/watch?v=7YDZv9wGt8c naissance Louis XIII, reportage
Naissance et petite enfance à la cour de France. Moyen-Âge - XIXe siècle Naître au Moyen Age
Funérailles et sépultures[modifier | modifier le code]
- it:Tombe delle consorti dei sovrani di Francia
- faire Sépulture des épouses des souverains français ?
- élection d’un lieu de sépulture (avec ou sans le roi ?)
- comparaison du cérémonial avec celui du roi
- tombeau
- celles qui se font inhumer ailleurs qu'à Saint-Denis
- sépultures multiples
- Gaude-Ferragu Murielle, « "L'honneur de la reine" : la mort et les funérailles de Charlotte de Savoie (1er-14 décembre 1483) », Revue historique 4/2009 (n° 652) , p. 779-804
- Jean-Marie Le Gall, « La nécropole dynastique des Bourbons à Saint-Denis ou l'impossible simple corps du roi », Revue historique 1/2006 (n° 637) , p. 61-80
- Alexandre Bande, Le cœur du roi. Les Capétiens et les sépultures multiples, XIIIe-XVe siècles, Paris, Tallandier, 2009, 250p
- Jean-Marie Le Gall, Le mythe de Saint Denis: entre renaissance et révolution, Champ Vallon, 2007
- extraits Google Livres
- Murielle Gaude-Ferragu « Les femmes et la mort: sépultures et funérailles des reines et des princesses au bas Moyen Age », Inhumations de prestige ou prestige de l'inhumation? Expressions du pouvoir dans l'au-delà (IVe-XVe siècle) cur. Armelle Alduc-Le Bagousse, Turnhout, Brepols 2009 (Tables rondes du CRAHM) pp. X-452, 383-404
- Murielle Gaude-Ferragu, D'or et de cendres: la mort et les funérailles des princes dans le royaume de France au bas Moyen Age, Presses Univ. Septentrion, 2005
- Alain ERLANDE-BRANDENBURG, Le Roi est mort : Etude sur les funérailles, les sépultures et les tombeaux des rois de France jusqu'à la fin du XIIIe siècle
- Anne Péan, « Les décors des pompes funèbres en France 1643-1683 : naissance d’un genre », in Actes du Ve congrès national d'archéologie et d'histoire de l'art, Bordeaux, INHA (« Actes de colloques »), 1999, [En ligne], mis en ligne le 07 avril 2009 : « Les pompes funèbres organisées pour la reine [Marie-Thérèse], en 1683, par leur nombre et par leur ampleur, marquèrent un apogée dans le règne de Louis XIV : aucun autre Grand du royaume, pas même le roi, ne fut honoré post mortem d’une telle abondance de décors éphémères. »
- récit des funérailles de Blanche de Castille, Jeanne de Bourbon, Isabeau de Bavière, Anne de Bretagne...
- Écrin du cœur d'Anne de Bretagne
- Périn Patrick. Saint-Germain-des-Prés, première nécropole des rois de France. In: Médiévales, n°31, 1996. La mort des grands. Hommage à Jean Devisse, sous la direction de Odile Redon . pp. 29-36.
- Médiévales, n°31, 1996. La mort des grands. Hommage à Jean Devisse. http://www.persee.fr/issue/medi_0751-2708_1996_num_15_31?sectionId=medi_0751-2708_1996_num_15_31_1366
- mort de Pepin, Charles le Chauve
Représentations dans l'art, la littérature, l'historiographie[modifier | modifier le code]
- portraits des reines de France, enluminures, tombeaux, sceaux..., portraits royaux
- Vierges, épouses, mères. Les personnifications nationales à l’Époque moderne, prog de colloque, 2016, avec liens vers résumés de commnications, en particulier :
- Damien Bril (Dijon), Pouvoir féminin et allégorie politique: Régence et personnification nationale en France au XVIIe siècle
- Aubrée David-Chapy (Paris), Invention et exaltation d’une figure maternelle et mariale: le cas de la régente Louise de Savoie (1515–1531)
- Benoît Dauvergne (Paris), La mère, l’héritier, la France. Représenter les naissances masculines de la famille royale au XVIIe siècle
- Bastien Coulon (Paris), Déesses mères et mythologie nationale: la personnification de la France dans les scènes de naissances royales au XVIIIe siècle
- CLAVIER, Tatiana. Les enseignements d’Anne de France et l’héritage de Christine de Pizan In : Lectrices d'Ancien Régime [en ligne]. Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2003
- Bleuenn Ricordel, Un cheval pour mon royaume ! La place du cheval dans la représentation équestre du roi (XVIe-XVIIIe siècles) (passages sur les portraits équestres de la reine)
- Daniel Roche, Amazones et cavalières : l'équitation et le genre, XVIe-XIXe siècles
- Raynaud, Christiane, « La reine dans les Grandes chroniques de France », The Medieval Chronicle. Proceedings of the 1st International Conference on the Medieval Chronicle, Driebergen, Utrecht, 13-16 july 1996, éd. Erik Kooper, Amsterdam, Rodopi (Costerus, New Series, 120), 1999, p. 226-239.
- Jennifer G. Germann, Picturing Marie Leszczinska (1703-1768) : Representing Queenship in Eighteenth-Century France, Ashgate, publication décembre 2015
- Histoire par l'image - Album - Portraits de femmes royales, dont Marie-Antoinette, la mal-aimée
- portrait d'Éléonore d'Autriche, reine de France (avec brève analyse)
- VIGIÉ Muriel, Le Portrait officiel en France du Ve au XXe siècle, Paris, Van Wilder, 2000
- Le portrait de la Renaissance française, plein, plein de ressources
- bon blog sur les portraits des derniers Valois (dont les reines)
- Fanny Cosandey, « Représenter une reine de France. Marie de Médicis et le cycle de Rubens au palais du Luxembourg », Clio. Femmes, Genre, Histoire [En ligne], 19 | 2004.
- Portrait en buste de Marie-Antoinette
- et autres sur Musée de l'histoire de France
- UNE REINE EN PORTRAIT : MARIE STUART EN FRANCE
- images livre d'heures de Catherine de Médicis
- Expo BNF- Dessins de la Renaissance, nombreux portraits commentés de reines
- Gaude-Ferragu, Murielle, « Habit réel, habit imaginé . La reine de France en majesté, XIVe-début du XVIe siècle », In: Revue de l'art vol. 172 (2011) p. 9-20
- Francesco Schiariti, La nostalgie de la civilisation. Les représentations de l’Ancien Régime dans les romans sensibles, les romans historiques, les vies romancées et les vies édifiantes (1789-1847), 2015 (pdf à télécharger - nombreuses remarques sur l'historiographie des reines)
- Travaux de Heta Aali sur l'historiographie des reines mérovingiennes au XIXe s.
- Augustin Thierry, Récits des temps mérovingiens
Logements / Aspects architecturaux / Géographie / Mobilité/ Itinéraire[modifier | modifier le code]
- logement du roi vs celui de la reine
- mobilité, itinérance,itinéraire: avec le roi ou non?
- Monique Chatenet, Krista De Jonge (éd.), Le prince, la princesse et leurs logis. Manières d’habiter dans l’élite aristocratique européenne (1400-1700), Paris, Picard, 29 oct. 2014, (ISBN 978-2-7084-0977-4) (dispo UL : NA 7325 R396 2014)
Sceaux et anneaux sigillaires[modifier | modifier le code]
- Périn Patrick, « À propos d'une bague sigillaire mérovingienne à chaton tournant », Revue du Nord 3/2011 (n° 391-392) , p. 579-587, attribuée à Nantilde
- anneau sigillaire au nom de Bertildis, trouvé à Laon, attribué à la reine Berchilde, épouse de Dagobert Ier
- Deloche, Maximin, :Etude historique et archéologique sur les anneaux sigillaires et autres des premiers siècles du moyen age, p. 203-205 (ico)
- Longpérier, Bague d'or mérovingienne (rech. avec Bertildis), ico
-
Anneau sigillaire de la reine Arégonde
Vêtements, parures, bijoux[modifier | modifier le code]
- reines, "trésor animé" des rois
- deuil en blanc pour les reines jusqu'au XVIe s. ?
- costume d'Éléonore d'Autriche
- influence sur la mode
- importance des bijoux, etc.
- joyaux de Blanche de Navarre
- couronnes
- costume de cour
- robe parée, robe à la française...
- nouvelle reine vêtue à la française pour signifier son intégration / sa nouvelle identité
- Christiane Coester, « Passages de frontières. Le voyage de la jeune mariée dans la haute noblesse des temps modernes (XVe-XVIIIe siècle) », Genre & Histoire [En ligne], 9 | Automne 2011, mis en ligne le 17 juin 2012, consulté le 14 février 2017. URL : http://genrehistoire.revues.org/1469
- étiquette
- Exposition Fastes de cour et cérémonies royales : le costume de cour en Europe, 1650-1800, 2009
- Actes en ligne du colloque Se vêtir à la cour en Europe (1400-1815)
- no spécial de la "Revue de l'Art" sur le costume de cour, no 174 2011-4 http://www.centrechastel.paris-sorbonne.fr/ouvrages/revue-de-lart-7
- travaux d'Isabelle Paresys
- La cour de France, fabrique de normes vestimentaires à l’époque moderne
- Isabelle Paresys, « Corps, apparences vestimentaires et identités en France à la Renaissance », Apparence(s) [Online], 4 | 2012
- Isabelle Paresys, « Vêtir les souverains français à la Renaissance : les garde-robes d’Henri II et de Catherine de Médicis en 1556 et 1557 », Apparence(s) [Online], 6 | 2015,
- https://www.canal-u.tv/video/institut_national_de_l_histoire_de_l_art/etudier_le_vetement_une_histoire_du_paraitre_10_janvier_2012.14758 Etudier le vêtement : une histoire du paraître (conf à écouter), dont
- Monique Chatenet, Le roi et la reine en représentation : mythe et réalité des habits de majesté
- reine adoptant le costume français comme signe d'intégration
- Eleonore d'Autriche, Marie d'Angleterrr et Marie de Médicis conservant le costume de leur pays après leur mariage
- COX-REARICK, JANET. “Power-Dressing at the Courts of Cosimo De' Medici and François I: The ‘Moda Alla Spagnola’ of Spanish Consorts Eléonore d'Autriche and Eleonora Di Toledo.” Artibus Et Historiae, vol. 30, no. 60, 2009, pp. 39–69., www.jstor.org/stable/25702881
- lois somptuaires
- Hugo Lucchino, Le vêtement et la morale en France aux XIVe et XVe s. https://www.academia.edu/14269941/Le_vêtement_et_la_morale_en_France_aux_XIVe_et_XVe_siècles
- Robert de Sorbon aurait reproché à Marguerite de Provence la trop grande recherche de ses tenues; la reine aurait aussi voulu pousser Saint Louis à se vêtir avec plus de splendeur
- https://books.google.ca/books?id=InUKAQAAMAAJ&pg=PA363&dq=marguerite+de+provence+robert+de+sorbon+vetement&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiqkNzM_azSAhVD1CYKHeYoBok4FBDoAQg-MAc#v=onepage&q=marguerite%20de%20provence%20robert%20de%20sorbon%20vetement&f=false
- https://books.google.ca/books?id=xWNF4TRGLa8C&pg=PA349&dq=marguerite+de+provence+robert+de+sorbon+costume&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwilwZGQ_qzSAhVBTCYKHfLQB-0Q6AEISTAJ#v=onepage&q=marguerite%20de%20provence%20robert%20de%20sorbon%20costume&f=false
- mariages
- Monique Chatenet, « Habits de cérémonie. Les mariages à la cour des Valois », dans Isabelle Poutrin et Marie-Karine Schaub dir. Femmes et pouvoir politique. Les princesses d'Europe, XVe-XVIIIe siècle, Paris, Bréal, 2007, p. 218-232. (UL : HQ 1236 F3297 2007) (robe de mariage des reines de France à partir du XVIe s.)
- influence de la reine sur la mode et la consommation
- Constance d'Arles, accusée d'avoir introduit de nouvelles modes à la cour de France
- Marie de Brabant, Isabeau de Bavière, Catherine de Médicis, Marie-Antoinette, impératrices Joséphine et Eugénie (voir les sections consacrées à ces souveraines)
- fonction d'encouragement de l'industrie et de la consommation
- (en) Rachel Gibbons, « The Queen as "social mannequin". Consumerism and expenditure at the Court of Isabeau of Bavaria, 1393-1422 », Journal of Medieval History, vol. 26, no 4, , p. 371-395 (ISSN 0304-4181, DOI 10.1016/S0304-4181(00)00010-5, lire en ligne). (la reine comme "corps de mode")
- "Catherine de Médicis rappelle à ce propos à sa fille Marguerite, reine de Navarre, la fonction d’initiatrice et de vecteur de mode qu’elle se doit de tenir dans sa propre cour : « c’est vous qui inventez et produisez les belles façons de s’habiller ; et en quelque part que vous alliez, la cour les prendra de vous, et non vous de la cour »"[5]
- « Il faut rappeler que la consommation des duchesses angevines correspond à la mise en pratique d’activités conformes au code de conduite attendu des aristocrates. [...] Un des plus intéressants « miroirs de princesses » de la fin du Moyen Âge, rédigé par une femme de pouvoir, les Enseignements d’Anne de France à sa fille Suzanne, future duchesse de Bourbon (1505), permet de mieux comprendre ces enjeux financiers. [...] Dans le chapitre « touchant ces habits et atours », Anne de France préconise à sa fille de « toujours tant que vous habilliez le mieux et plus nettement que pourrez. Car au regard du monde, croyez pour vrai qu’il est malséant et fort déshonnête de voir une fille ou femme noble nicement habillée et mal en point ». Ce conseil est d’autant plus pressant que ce sont les « nobles femmes, qui, voluntiers, sont plus regardées que les autres » et qui jouent le rôle de « miroer patron et exemple des autres » »[6].
- réglementations somptuaires vs importance de marquer son rang par le vêtement
- détails du costume réservé à la reine (ex : longueur de la traîne, etc.)
- « Lors de son entrée dans la ville de Bruges, en 1301, la reine Jeanne se plaint alors amèrement de la splendeur des atours des femmes : « Je croyais être reine ici, j’en vois des centaines. » »[7]
- autre version : la reine Jeanne, en entrant à Bruges : "Je croyais être ici la seule reine, et j'en aperçois six cents."
- Une légende inventée au XVIe siècle par l'historien Jacques de Meyer raconte que la reine, éblouie par le luxe des parures des bourgeoises de Bruges, se serait écriée : «Je croyais être ici la seule reine, mais dans les rues de la ville j'en vois des centaines. »[8]
- "n'a sans doute jamais été prononcé"[9]
- cette histoire, souvent citée à propos de la loi somptuaire de 1294, est probablement apocryphe[10]
- origine et caractère douteux de l'anecdote : « This style also included the telling of anecdotes and other forms of making history vivid and entertaining. It was not fully distinct from the forms of narratives usually found in novels. Thus in the passage in Ganshof’s text that led up to the events of 1302, where the ‘splendour’ of the city was described in enthusiastic terms, he inserted an anecdotal passage: ‘Even after the occupation of the city, unjust occupation by France in 1298, the king Philippe le Bel bringing his wife, the proud Jeanne de Navare [sic ] to see Bruges, the queen exclaimed: “I believed [myself] to be the only queen here and now I see hundreds[.”]’(18) This insertion of direct speech into the narrative remained the only one in the short text, but it suggests that fictional and non-fictional modes of discourse were not yet very clearly distinguished in the author’s mind. He accepted the utterance of the queen as ‘fact’ and remained insensitive towards the questionable character of the anecdote. To be sure, the story was quite popular among the writers of Brugean history. Ganshof’s 1909 text gives a page of bibliography at the end. Several of the works listed there contain the same anecdote, always rendering Queen Jeanne’s statement in direct speech. Thus for instance W.H. James Weale, the art historian and promoter of early Flemish painting, in his 1862 compendium Bruges et ses environs. (19) He had probably taken the story from Warnkoenig’s history of Bruges, which also mentioned the original source, a Flemish chronicler from the sixteenth century, Jacques Marchant.(20) Young Ganshof’s most likely source, however, is the autodidact scholar Karel De Flou’s 1898 guidebook Promenades dans Bruges. (21) Unlike Warnkoenig and Weale, who gave the number ‘600’, De Flou let Jeanne complain about ‘hundreds’ of other ‘queens’, and he did not represent the story as a tradition on the brink of legend. Both these features mark Ganshof’s 1906 text too. This finding suggests that the lack of critical impetus was not simply naive, but already a rhetorical feature acquired by emulating authors like De Flou. »
- 18. Ibid., 3: ‘Même après la prise de la ville, prise injuste par la France de 1298, le roi de France Philippe le Bel menant sa femme, l’orgueilleuse Jeanne de Navare [sic ] voir Bruges la reine s'écria: “Je croyais être seule reine ici et j’en vois par centaines[.”]’
- 19. Weale, Bruges et ses environs, 4. For Weale, see van Biervliet, Leven en Werk van W.H. James Weale; Haskell, History and its Images, 452–62.
- 20. Warnkoenig, Histoire constitutionnelle et administrative, 82; the German original, not quoted by Ganshof, was part of the Flandrische Rechts- und Staatsgeschichte.
- Warnkoenig, Leopold August. Histoire constitutionnelle et administrative de la ville de Bruges et du pays du franc. Brussels: Librairie Verbeyst, 1851. (Originally published as part of Flandrische Rechts- und Staatsgeschichte bis zum Jahre 1305. Tübingen: L.F. Fues, 1835–42).
- 21. De Flou, Promenades dans Bruges, 14. For De Flou (1853–1928) see the entry by André Demedts and Fernand Bonneure. In Nieuwe Encyclopedie van de Vlaamse Beweging. Tielt: Lannoo 1998, Vol. 1, 1161.
- source : TRÜPER, Henning. « Learning experiences, emulating affects and crafting historicity: Franz Ganshof on Bruges, 1906, 1909 ». European Review of History—Revue européenne d'histoire, 2010, vol. 17, no 1, p. 125-149, ici p. 129 et notes p. 144 [lire en ligne]
- faste et richesse du costume lié au statut/honneur réginal/conforme à la dignité royale
- « [...] il y a affirmation de prééminence sociale. À sa mort, la reine Louise, épouse de Henri III, née princesse pauvre de Lorraine, laissa des vêtements allant des plus simples aux plus somptueux, bien qu’on lui eût connu des goûts simples : sa robe la plus modeste (ronde en satin blanc) fut estimée à 6 livres, la plus riche à 1200 livres (elle était de velours cramoisi, à manches pendantes, découpée sur broderie or et argent et doublée de toile d’argent). Il était arrivé à la reine de s'expliquer sur ce luxe. Lors d'une réception de la reine mère à Paris le dimanche gras de 1580 elle ne parut qu'avec retard, tant sa toilette avait été longue. Elle portait une robe très riche, damassée, brodée de branches d’or et d’argent. A l'ambassadrice d'Angleterre elle dit qu'étant devenue une souveraine par son mariage, elle devait en porter le vêtement. »[11]
- deuil
- Renée DAVRAY-PIÉKOLEK, « DEUIL, histoire du costume », Encyclopædia Universalis : « Les reines de France portent le deuil en blanc jusqu'au XVIe siècle : Marie Stuart, Élisabeth d'Autriche et Louise de Lorraine sont les dernières reines blanches ; Anne de Bretagne aurait été la première reine à porter le deuil en noir, imitée par Catherine de Médicis puis par Marie de Médicis et Anne d'Autriche. La dernière souveraine à avoir porté le deuil blanc est la reine Élisabeth d'Angleterre, épouse de George VI : lors de sa visite officielle en France en 1938, après la mort de sa mère, elle porte des vêtements blancs. En outre, le blanc subsiste longtemps pour le deuil des jeunes filles et des enfants, parallèlement à la diffusion du noir. Quant aux rois de France et d'Angleterre, ils portent le deuil en violet ou en pourpre, couleurs royales, encore que Henri VIII ait choisi le blanc à la mort d'Anne Boleyn, qu'il avait fait exécuter. »
- Zvereva, Alexandra. “L’éloquence du deuil : portraits de Louise de Savoie” Brioist, Pascal, et al.. Louise de Savoie (1476-1531). Tours : Presses universitaires François-Rabelais, 2015. (pp. 19-26) : "D’inspiration flamande et germanique – ce fut l’habit que prit Marguerite d’Autriche à la mort de Philibert de Savoie –, le deuil blanc semble avoir été introduit en France par Éléonore d’Autriche et resté relativement marginal, réservé surtout aux périodes du grand deuil, les 40 jours qui suivaient la disparition d’un époux ou d’un parent proche."
- Marie Stuart, en deuil blanc (commenté)
- Portrait de Marie Stuart en tenue de deuil blanc par François Clouet
- Deux portraits de Marguerite en deuil blanc par François Clouet en 1559
- portraits de reines en costume de deuil... Marie Stuart, Catherine de Médicis, les reines du XVIIe s., Marie-Antoinette...
Bibliographie[modifier | modifier le code]
Sylvie Joye, Marâtres mérovingiennes, (statuts précaires des reines à l'époque mérovingienne, liée à l'amour que le roi leur porte et au devenir de leur progéniture; rel. des reines avec leurs filles, fils et enfants nés des précédentes unions du roi)
- Alison Stone, Some Portraits of Women in Their Books, Late Thirteenth - Early Fourteenth Century
- Capetian Woman
Reines / dauphines / fiancées particulières[modifier | modifier le code]
Clothilde[modifier | modifier le code]
- Claire Thiellet, Clotilde (Vers 475-545), notice Siefar
- Thiellet, Claire, Femmes, Reines et Saintes. Ve-XIe siècles, Paris, Presses de l’Université Paris-Sorbonne, 2004.
- Thiellet, Claire, «La sainteté royale de Clotilde», dans Clovis, histoire et mémoire, dir. Michel Rouche, t.II, Le baptême de Clovis, son écho à travers l’histoire, dir. Michel Rouche, Paris, Presses de l’Université Paris-Sorbonne, 1997, p.147-155.
- dispo UL notice DC 67 C6472 1997 (vol 2) - niveau 0, rayon 4B
- Bourgain Pascale. Clovis et Clotilde chez les historiens médiévaux, des temps mérovingiens au premier siècle capétien.. In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1996, tome 154. pp. 53-85.
- MARTELLUCCI, Myriam. Audiences royales et famille dans les Grandes chroniques de France, In : Familles royales : Vie publique, vie privée aux XIVe et XVe siècles [en ligne]. Aix-en-Provence : Presses universitaires de Provence, 2010 (Clotilde et Clovis dans les enluminures)
- Monique Goullet, édition préparatoire à l'oeuvre hagiographique d'Adson (téléchargé), remet en cause l'attribution de la Vie de Clotilde à Adson par KF Werner.
- KF Werner, « Les femmes, le pouvoir et la transmission du pouvoir »
- "Sur les différentes dates de naissance et de mort retenues pour Clotilde, voir E. Santinelli-Foltz, « Entre Burgondes et Francs : Clotilde, princesse burgonde, reine des Francs (472/480-544/548) », dans A. Wagner, N. Brocard éd., Les Royaumes de Bourgogne jusqu'en 1032 : à travers la culture et la religion : Besançon, 2-4 octobre 2014, Turnhout, 2018, p. 197-218 (p. 203) ; E. Santinelli-Foltz, « Aux côtés de Clovis : la reine Clotilde (472/480-544/548) », dans M. Kazanski, P. Périn éd., Autour du règne de Clovis. Les grands dans l’Europe du haut Moyen Âge. Histoire et archéologie, Caen, 2020, p. 76-90 (p. 77)."
- Les Royaumes de Bourgogne jusqu'en 1032 : à travers la culture et la religion : Besançon, 2-4 octobre 2014
- dispo UL notice - DC 611 B778 R888 2018
- Les Royaumes de Bourgogne jusqu'en 1032 : à travers la culture et la religion : Besançon, 2-4 octobre 2014
Radegonde[modifier | modifier le code]
- Michel Fauquier, Sainte Radegonde : Une sainte face au pouvoir des hommes
Brunehaut[modifier | modifier le code]
- Bruno Dumézil, Brunehaut (biographie) ****
- Dumézil Bruno, « Culture et politique (II) . Gogo et ses amis : écriture, échanges et ambitions dans un réseau aristocratique de la fin du VIe siècle», Revue historique 3/2007 (n° 643) , p. 553-593
- Nathalie Verpeaux, Autun. Les fondations attribuées à Brunehaut et leurs (re)fondations carolingiennes, Revue Mabillon, vol. 23, 2012, p. 5-40.
- Michèle Gaillard et Christian Sapin, « Monastères et espace urbain au haut Moyen Âge », Mélanges de l’École française de Rome - Moyen Âge [En ligne], 124-1 | 2012, DOI : 10.4000/mefrm.109
Frédégonde[modifier | modifier le code]
- E. T. Dailey, Gregory of Tours, Fredegund, and the Paternity of Chlothar II: Strategies of Legitimation in the Merovingian Kingdoms
- Catherine Léglu, The Vida of Queen Fredegund in Tote listoire de France: Vernacular Translation and Genre in Thirteenth-Century French and Occitan Literature, Nottingham French Studies, 2017-03 | journal-article, DOI: 10.3366/nfs.2017.0170 http://centaur.reading.ac.uk/39405/3/CentaurversionFred.pdf
Bathilde[modifier | modifier le code]
- peinture
- Jean-Antoine Laurent, Bathilde, veuve de Clovis II, rend la liberté à de jeunes esclaves (1814), peinture présentée au salon de 1814 (cat. no 578), déposée par le musée du Louvre auprès du Domaine national de Saint-Cloud, localisation actuelle inconnue (Numéro principal : INV 5725; Autre numéro : L 3470)[12]
- notice du catalogue de 1814 : « n°578 Bathilde, veuve de Clovis II, rend la liberté à de jeunes esclaves. Cette reine, qui fut régente sous la minorité de son fils aîné, Clotaire III, étoit d’une grande beauté et avoit un esprit juste est délicat. Elle se fit adorer du peuple et aidée des conseils du profond et politique Ebroin, maire du palais, elle gouverna (dit Mézeray) avec autant de bonté, de prudence et de justice, qu’eût pu faire un bon roi. Aussi, dix ans durant, on ne vit aucun trouble dans les états de son fils, mais ce qui contribua le plus à sa gloire, ce fut la touchante action représentée dans ce tableau. Du temps de Bathilde, l’usage des esclaves subsistoit encore ; elle le fit abolir, et rendit à leurs parens de pauvres enfans qu’ils avoient été forcés de vendre pour satisfaire à des exactions odieuses qu’elle supprima pour jamais. »[13]
- possible gravure de la peinture : Laurent, Jean-Antoine (1763-1832), Sainte Bathilde, Reine de France (ico en ligne), Bibliothèque numérique de la Sorbonne
- Le tableau, acquis en 1815 par Louis XVIII pour 7000 francs, est "certainement disparu lors de l'incendie ou emporté par les Prussiens"., [14]
Bertrada / Berte/ Berte[modifier | modifier le code]
- (en) Janet L. Nelson, « Women at the Court of Charlemagne: A Case of Monstrous Regiment ? », dans John Carmi Parsons, éd. Medieval Queenship, Alan Sutton, 1994 (ISBN 0750905832 et 9780750905831), p. 43-61. Article republié dans Janet L. Nelson, The Frankish World, 750-900 [recueil d'articles], Londres, The Hambledon Press, 1996, p. 223-242.
- (en) Janet L. Nelson, « Bertrada », dans Matthias Becher et Jörg Jarnut (dir.), Der Dynastiewechsel von 751. Vorgeschichte, Legitimationsstrategien und Erinnerung, Münster, Scriptorium, 2004, p. 93-108. Article republié dans Janet L. Nelson, Courts, elites, and gendered power in the early Middle Ages [recueil d'articles], Aldershot, 2007, section IX(rôle important joué par Bertrada dans l'élection de 751)
- (en) Janet L. Nelson, « Family structures and gendered power in early medieval kingdoms : the case of Charlemagne’s mother », dans Giulia Calvi (éd.), Women Rulers in Europe : Agency, Practice and the Representation of Political Powers (XII-XVIII),
- Close Florence. Le sacre de Pépin de 751? Coulisses d'un coup d'État. In: Revue belge de philologie et d'histoire, tome 85, fasc. 3-4, 2007.pp. 835-852.
- tentative de répudiation par Pépin (allusion dans correspondance avec les papes)
- éléments à piocher ici
- La fureur de Belisant/Blancaflor. Réflexions sur la tradition de la légende de Berthe aux grands pieds
- en littérature
- Berte au grand pié
- le motif de Berte comme "reine injustement accusée" apparaît pour la 1re fois dans le Liber historiæ Francorum[15]
Désirée de Lombardie (ép. Charlemagne)[modifier | modifier le code]
- Role de la reine Bertrade dans la conclusion de cette alliance
- E. Delaruelle, Charlemagne, Carloman, Didier et la politique du mariage franco-lombard (770-771), Revue Historique, T. 170, Fasc. 2 (1932), pp. 213-224
- selon historiographie récente, l'épouse de Carloman, frère de Charlemagne, n'était peut-être pas une fille du roi Didier
- J.L. NELSON, Making a Difference in Eighth-Century Politics: The Daughters of King Desiderius, in After Rome's fall. Narrators and Sources of early Medieval History. Essays presented to Walter Goffart , ed. A.C. MURRAY, Toronto 1998, pp. 171-190
- ARY, M. (1981). THE POLITICS OF THE FRANKISH-LOMBARD MARRIAGE ALLIANCE. Archivum Historiae Pontificiae, 19, 7-26. Retrieved from http://www.jstor.org/stable/23563957
- Why Not to Marry a Foreign Woman: Stephen III's Letter to Charlemagne, Walter Pohl dispo UL
Hildegarde (ép. Charlemagne)[modifier | modifier le code]
- Hildegarde sur Henry Project
- Jean Schneider, "Charlemagne et Hildegarde. Conscience dynastique et tradition locale", dans P. Riché et al. (éd.), Autour Hildegarde. Actes de colloque, Université Paris X-Nanterre, Cahier V, 1987.
- colloque Autour d'Hildegarde, sommaire, liens vers textes en ligne
Fastrade (ép. Charlemagne)[modifier | modifier le code]
- lettre de Charlemagne à Fastrade, 791, seule lettre authentique de Charlemagne
- 2 révoltes contre Charlemagne (un groupe de nobles en 785/786 et celle de Pépin le Bossu en 792) causées par la cruauté de Fastrade, selon Eginhard
- épitaphe et tombe
- Janet Nelson's "The Siting of the Council at Frankfort: Some Reflections on Family and Politics," in Das Frankfurter Konzil von 794: Kristallisationspunkt karolingischer Kultur, ed. R. Berndt, Quellen und Abhandlungen zur mittelrheinischen Kirchengeschichte 80, in two parts (Mainz, 1997), 149-165 (téléchargé) (The most complete and convincing exposition of Fastrada's importance)
- (en) Janet L. Nelson, « Women at the Court of Charlemagne: A Case of Monstrous Regiment ? », dans John Carmi Parsons, éd. Medieval Queenship, Alan Sutton, 1994 (ISBN 0750905832 et 9780750905831), p. 43-61. Article republié dans Janet L. Nelson, The Frankish World, 750-900 [recueil d'articles], Londres, The Hambledon Press, 1996, p. 223-242.
- Nelson, « Hussies, Matrons, and Others in Carolingian Chronicles », dans Authority and Gender in Medieval and Renaissance Chronicles, Cambridge, 2012, p. 5-31 extrait ici (téléchargé) (p. 5-20), le reste copié de Google Book, complet
- révolte de Pépin le Bossu
- Hees, B.J. van, Changing representations: Pippin the Hunchback in Carolingian memory, 2015 (téléchargé)
- Carl I. Hammer, "Pipinus Rex": Pippin's Plot of 792 and Bavaria, Traditio, Vol. 63 (2008), pp. 235-276 (consultable en ligne sur JSTOR)
- en:Pepin the Hunchback
- revolte de 785-786
- McKitterick, R. Histoire et mémoire de la crise d’une élite carolingienne: l’année 785 et les Annales regni Francorum. Les élites au haut Moyen Âge. Crises et renouvellement, ed. François Bougard/Laurent Feller/Régine Le Jan (Collection Haut Moyen Âge 1, Turnhout 2006), 267-282. Dispo UL
- en:Hardrad
- légende de l'anneau de la morte
- Charlemagne vient en aide à un serpent, qui lui offre en remerciant un anneau magique. Charlemagne offre l'anneau à son épouse Fastrade et est aussitôt pris pour elle d'un amour aveugle et intense, même après sa mort... Jusqu'à ce qu'on découvre l'anneau dans la bouche de la morte
- nombreuses occurences de ce motif folklorique : anneau magique de Tove, ring of Fastrada, Pétrarque
- http://www.persee.fr/doc/jds_0021-8103_1909_num_7_2_3330# compte rendu ouvrage anneau de la morte
Luitgarde (ép. Charlemagne)[modifier | modifier le code]
- concubine 794, puis épouse de Charlemagne
- en:Karolus magnus et Leo papa, poème carolingien sur une chasse de Charlemagne, où Luitgarde et les filles de Charlemagne apparaissent de façon proéminente
- poème de Theodulfe d'Orléans His poem "Ad Carolum Regem" ("To King Charles")16 is valuable to historians because it describes many people in Charles' court, including Queen Luitgard, his sons (Charles and Louis), his daughters, his sisters...
- Theodulf: Theologian at Charlemagne's Court, Poet, and Bishop of Orleans
- légende de son tombeau sous la tour Charlemagne et voute De Luitgarde à St Martin de Tours
- travaux de Nelson
- rech chasse luitgard, liutgard...
- ico, representation de Charlemagne et de l'une de ses épouses (Luitgard?) dans un manuscrit réalisé entre 817 et 823 -Monastery of Saint Paul in Carinthia, Austria
- évocations dans poésie carolingienne?
- Scharer, Anton, "Charlemagne's Daughters," Early Medieval Studies in Memory Patrick Wormald . Studies in Early Medieval Britain. Aldershot, Hampshire: Ashgate, 2009. Pp. 602. $165.00. (ISBN 978-0-7546-6331-7). Dispo UL DA 135 E12 2009
- analyse du rôle des filles de Charlemagne à travers la poésie
- à la mort de Liutgard, ls filles de Charlemagne remplissent à la cour les fonctions auparavant assurées par la reine
Ermengarde (1re ép. Louis le Pieux)[modifier | modifier le code]
- *Philippe Depreux, Prosopographie de l'entourage de Louis le Pieux (781–840), Sigmaringen, Thorbecke, (lire en ligne)
Judith (2e ép. Louis le Pieux)[modifier | modifier le code]
- Mayke de Jong, ‘Bride shows revisited. Praise, slander and exegesis in the reign of the Empress Judith’, in L. Brubaker & J.M.H. Smith (eds.), Gender in the Early Medieval World. East and West, 600-900, 570-618 (Cambridge University Press).
- Mayke de Jong, ‘Exegesis for an Empress’, in E. Cohen & M. de Jong (eds.), Medieval Transformations. Texts, Power and Gifts in Context (Leiden/Boston/Köln 2001), 69-100.
- Marie Sarny, « Judith, figure de la prophétesse et du miles Christi dans le Commentaire sur Judith de Raban Maur », Bulletin du centre d’études médiévales d’Auxerre | BUCEMA [En ligne], 18.1 | 2014, DOI : 10.4000/cem.13395
- Martin Gravel, « Judith écrit, Raban Maur répond. Premier échange d'une longue alliance », Mélanges Denise Angers et Joseph-Claude Poulin, 2010, p. 35-48
- E. Ward, « Caesar’s Wife : The Career of the Empress Judith, 819-829 », in P. Godman et R. Collins (dir.), Charlemagne’s Heir : New Perspectives on the Reign of Louis the Pious (814-840), Oxford, 1990, p. 205-227
- Elizabeth Ward, The career of the Empress Judith, 819-43, thesis, [University of London] (2003) (téléchargé)
- *Philippe Depreux, Prosopographie de l'entourage de Louis le Pieux (781–840), Sigmaringen, Thorbecke, (lire en ligne)
Ermentrude (1re ép. Charles le Chauve)[modifier | modifier le code]
Richilde (2e ép. Charles le Chauve)[modifier | modifier le code]
- ico
- Richilde sur Biblissima
- fol. 1 de la Bible de Saint-Paul-hors-les-Murs, 875, le personnage féminin à droite de Charles le Chauve est Richilde, enceinte
- description détaillée : Alibert, Dominique, http://www.mgh-bibliothek.de/dokumente/a/a126880.pdf « Sacre royal et onction royale à l'époque carolingienne », In: Anthropologies juridiques (1998), S. 19-44 (téléchargée, passage en question, p. 29-30.
- coffre trouvé à Ellwangen (Ellwangen casket, chest, reliquary), exécuté en Francia occidentalis en 876/877 pour Richilde et ornés de son portrait (au centre), entourés de ceux de Charles le Chauve et Louis le Bègue
- Dufour, De l'anneau sigillaire au sceau..., p. 13
- Dufour, Le rôle des reines de France aux IXe et Xe siècles, p. 915.
- images (faire rech. avec Ellwangen, Richildis, casket, ...
- sceau de Richilde (sceaux des reines de France)
- Genevra Kornbluth, « Richildis and her Seal: Carolingian Self-reference and the Imagery of Power », Jane L. Carroll et Alison G. Stewart, éd., Saints, Sinners, and Sisters: Gender and Northern Art in Medieval and Early Modern Europe, Ashgate, 2003, p. 161-181.
-
fol. 1 de la Bible de Saint-Paul-hors-les-Murs
Adélaide (2e ép. Louis II le Bègue)[modifier | modifier le code]
Adélaïde de Frioul (d · h · j · ↵)
- article wiki avec hypothèses généalogiques affirmées comme vérités, etc.
- Stewart Baldwin, Henry Project : http://sbaldw.home.mindspring.com/hproject/prov/adela005.htm Adelaide, wife of Louis II]; Louis II le Bègue (the Stammerer); Alard/Adalhard
- FMG
Frérone / Frédérune (ép. Charles le Simple)[modifier | modifier le code]
- Depreux, « Le comte Haganon, favori de Charles le Simple, et l'aristocratie d'entre Loire et Rhin », sans doute parent de Frérone
Edwige de Wessex (ép. Charles le Simple)[modifier | modifier le code]
Edwige de Wessex (d · h · j · ↵)
- Dans l'historiographie : Ogive, Otgive...
- Ortenberg, Veronica (2010). "'The King from Overseas: Why did Æthelstan Matter in Tenth-Century Continental Affairs?", 2010
- Simon MacLean, Making a difference in tenth-century politics: King Athelstan’s sisters and Frankish queenship, 2008
- Simon MacLean, Cross-channel marriage and royal succession in the age of Charles the Simple and Athelstan (c. 916-936), 2015
- Jean Verdon, Les veuves des rois de France aux Xe et XIe siècles, dans Veuves et veuvages dans le haut Moyen-Age, 1993 p. 187-198 (photocopié)
- influence politique sous Charles le Simple
- Depreux, « Hiérarchie et ordre au sein du palais : l'accès au prince » : p. 321 : « Néanmoins, on ne peut pas institutionnaliser le rôle de la reine - comme celui des autres membres de la cour -: l'influence de cette dernière varie fort d’une personne à l’autre et dépend de divers facteurs. Par exemple, la mère de Charles le Simple, Adélaïde, intervient dans un tiers des actes jusqu’en jusqu’en 901, mais la reine Frérone n’intervient qu'une seule fois (avec d’autres personnes) pour appuyer une demande de l’évêque de Paris en 907 - quant à la reine Ogive, elle n'est jamais mentionnée. »
- aussi Le contexte de rédaction des Annales de Flodoard de Reims (919-966), note 86
- douaire
- abbaye Notre-Dame et Saint-Jean de Laon, Tusey, Attigny
- Tusey : en 938, Louis IV d’Outremer reprend la villa de Tusey et ses dépendances au comte Roger de Laon pour le restituer à sa mère (Flodoard)
- Le Jan : « Douaires et pouvoirs des reines en Francie et en Germanie (VIe-Xe siècle) »; « La reine Gerberge, entre Carolingiens et Ottoniens »
- Herbert garde une partie du douaire de la reine après sa mort
- Michel Bur, La frontière entre la Champagne et la Lorraine du milieu du Xe à la fin du XII e siècle, Francia, , t. 4, 1977, p. 237-
254 ( En tant qu'abbesse de Notre-Dame et Saint-Jean de Laon, Ogive disposait de grands biens entre Marne et Meuse)
- ici
- reçoit d'importants domaines d'Herbert
Béatrice de Vermandois[modifier | modifier le code]
Emma de France (ép. Raoul)[modifier | modifier le code]
- Isabelle Rosé, La Gender History à l’épreuve du quantitatif. La reine robertienne Emma en ses réseaux (vers 890-934) (résumé de communication), 2015
- Isabelle Rosé, « D’un réseau à l’autre ? Itinéraire de la reine Emma († 934) à travers les actes diplomatiques de son entourage familial » (téléchargé)
- Isabelle Rosé, L’histoire du genre à l’épreuve du quantitatif ? Itinéraire réticulaire de la reine robertienne Emma (vers 890-934), La Forme des réseaux : France et Europe (Xe-XXe siècle), 2017
Gerberge de Saxe[modifier | modifier le code]
- MacLean Simon. Reform, Queenship and the End of the World in Tenth-Century France: Adso’s “Letter on the Origin and Time of the Antichrist” Reconsidered. In: Revue belge de philologie et d'histoire. Tome 86 fasc. 3-4, 2008. pp. 645-675.
- faire recherche avec Gerberge et Adson
Emma d'Italie[modifier | modifier le code]
- Suzanne Martinet, « La trahison des Adalbéron » [ou La trahison d'Adalbéron], Bulletin de la Société historique de Compiègne, 1988, no 30, p. 63-74. sommaire
- Riché, Pierre, « Le "vieux traître" autour de l'an mil: Adalbéron de Laon », in La trahison au moyen âge. De la monstruosité au crime politique (2009) p. 173-184 (photocopié)
- Jelle Lisson, The Dark Side of Remembrance: How Medieval Chroniclers Demonized Bishop Adalbero of Laon (977-1033), dans Shaping Authority: How Did a Person Become an Authority in Antiquity, the Middle Ages and the Renaissance?, p. 281 DOI 10.1484/M.LECTIO-EB.5.111089 - en ligne : https://www.academia.edu/32274120/
- Jean Dufour, « Emma II, femme de Lothaire, roi de France », Kaiserin Adelheid und ihre Klostergründung in Selz: Referate der wissenschaftlichen Tagung in Landau und Selz vom 15. bis 17. Oktober 1999. Edited by Franz Staab and Thorsten Unger. Verlag der Pfälzischen Gesellschaft zur Förderung der Wissenschaften in Speyer, 2005. Pages 213 - 227.
- version pdf (téléchargée)
- Phyllis Jestice, "Emma, the Forgotten Sister? Half-Siblings and the Limits of Kinship in Tenth-Century Germany", conférence lors d'un colloque en 2015; compte-rendu : « Phyllis Jestice’s paper made a bold claim: that in tenth-century Germany, a kinship bond was not perceived to exist between half-siblings who were related through their mothers. In other words, Emma of Italy, the maternal half-sister of Otto II of Germany, was not regarded by him as his sister. Jestice arrived at this argument in order to make sense of the silence of the French and German chronicles on the topic, and on the absence of Emma from the witness lists of Otto’s charters, when his other sisters frequently appear. This is definitely a topic on which more work needs to be done so that it’s not simply an argument from silence in a single case. »[16]
- projet de mariage avec Henri III le Querelleur
- Corbet, Les saint ottoniens (téléchargé), p. 165-166
- sa mère, Adélaide de Bourgogne
- Tiziana Lazzari, Who Saved the Young Queen? Adelaide's Escape from Hrotsvitha to Donizo (évasion d'Adélaïde de Bourgogne des griffes de Bérenger II en 951)
- Penelope Nash, Shifting Terrain – Italy and Germany Dancing to their Own Tapestry (impératrice douairière Adélaïde, immense fortune foncière)
- Psautier de la reine Emma
- CAHN, Walter, "The psalter of Queen Emma", Cahiers archéologiques: fin de l'antiquité et moyen âge (ISSN 0068-4945), vol. 33 (1985) p. 72-85. dispo UL : CC 3 C1315 33 1985
- http://cat.inist.fr/?aModele=afficheN&cpsidt=12077815 résumé
- p. 159, pour une desc. + réf. concernant la reproduction d'une image de ce psautier (rep. planche XVI, bas de ce volume)
- gravure, inseree par J. Mabillon au t. IV de ses Annales ordinis saneti Benedieti, Paris, 1707, p. 32-33
- B. de Montfaucon, Les monumens de la monarchie française, tome I, Paris, 1729, pl. XXX (entre p. 306-307); description, p. 346-347
- Yves Sassier, « Rex Francorum, dux Francorum: le gouvernement royal au dernier demi-siècle carolingien », Le monde carolingien: bilan, perspectives, champs de recherches - Brepols Publishers, ul dispo: DC 70 M741 2009
- tradition de la reine adultère ayant empoisonné Lothaire
- tradition tirée des miracles de saint genou (?), rapportée par Adhémar de Chabannes (R. Landes)
- Ademari Cabannensis Chronicon, Turnhout : Brepols, 1999, lib. 33, c. 66, p. 185-187 (édition annotée de la chronique par Bourgain et Landes) (dispo UL : BR 60 C8222 129)
- voir aussi section Adélaide d'Anjou
- Richard Allen Landes, Relics, Apocalypse and the Deceits of History : Ademar of Chabannes, 989-1034. Cambridge, Harvard Univers. Pr., 1995 (pas dispo UL, mais accessible sur Google Books), p. 183-193; 374-376
- Richard Allen Landes, « L'accession des Capétiens : Une reconsidération selon les sources aquitaines », Religion et culture autour de l'an mil : royaume capétien et Lotharingie (colloque Hugues Capet), 1990, p. 151-166 (UL : DC 83 C714r 1990 - Prêté jusqu'au 2016-09-02)
- R Blumenfeld-Kosinski, « Rewriting History in the Chanson de Hugues Capet », Olifant, 1990 - scholarworks.iu.edu
- Monnaies en provenance du trésor de Fécamp, p.e. frappées au nom de la reine Emma (Emma Regina) (ENMAPEOINA)
- légende d'Emma, adultère et empoisonneuse
- hypothèse du remariage en Bohème
Adélaide d'Anjou[modifier | modifier le code]
- bac 2, brouillon dédié
- voir aussi Emma d'Italie
Adélaïde d'Aquitaine[modifier | modifier le code]
- biographie de Robert le Pieux par Helgaud de Fleury (évocation d'Adélaide - construction de Saint-Frambault de Senlis, piété, etc.)
épouses de Robert le Pieux[modifier | modifier le code]
- Ad. Baudouin, « Les trois femmes du roi Robert », Mémoires de l'Académie des sciences, inscriptions et belles-lettres de Toulouse, 8e série, tome V, 1883, I, p. 203-227.
- lettre écrite par Gerbert d'Aurillac pour Hugues Capet et adressée aux empereurs byzantins Basile II et Constantin VIII demandant une princesse byzantine (filia sancti imperii - une fille du saint empire) pour son héritier Robert (p.e. Eudocie, fille aînée de Constantin VIII cf. Vasiliev)
- controverse : la lettre fut-elle envoyée ou non ?
- contexte : mariage (972) de Theophano avec l'empereur Othon II
- A. A. Vasiliev, « Hugh Capet of France and Byzantium », Dumbarton Oaks Papers, Vol. 6 (1951), pp. 227-251
- Pierre Riché, "Gerbert et Hugues Capet", Annuaire-Bulletin de la Société de l'histoire de France, (1987), pp. 63-72
- Jean-Paul Laurens, La Répudiation de la reine Berthe (esquisse), Musée Rolin, Autun
- The Parting of King Robert and Bertha, Philadelphia Museum of Art
Rosala-Suzanne d'Italie[modifier | modifier le code]
- mariage arrangé par l'empereur Othon, qui s'était emparé de sa famille lors de la conquête de l'Italie?
Berthe de Bourgogne[modifier | modifier le code]
- légende d'un enfant monstrueux né des amours de Berthe avec Robert le Pieux (pour les punir de leur union jugée incestueuse par l'Église)
- Emmanuelle Sempère, Désordres dans la lignée: le motif du prince monstrueux, entre science, merveille et politique au XVIIIe siècle :
- cas légendaire de l’enfant du roi Robert le Pieux et de sa cousine Berthe, dont l’union, frappée d’anathème, considérée comme illégitime et
- Emmanuelle Sempère, Désordres dans la lignée: le motif du prince monstrueux, entre science, merveille et politique au XVIIIe siècle :
« monstrueuse », aurait été punie par la naissance d’un enfant à la tête d’oie (voir Ernest Martin, Histoire des monstres [1880], Grenoble, J. Million, 2002). Le cas est cité comme « fable » par les rédacteurs du Recueil des historiens des Gaules et de la France, X,1757, pour l’an 1001 (Recueil des historiens des Gaules et de la France [Reprod.], [éd. par Dom Martin Bouquet,...] ; nouv. éd. publ. sous la dir. de M. Léopold Delisle,.... 1840-1904, p. 107) : « Le Roi Robert trop épris d’amour pour Berte, ne voulut point la renvoyer, jusqu'à ce que Dieu prit soin de le corriger par lui-même. Car cette femme se flattant après avoir conçu du Roi de mettre au monde un fils, enfanta un monstre fable ; 211. B. un fils s’il est permis de le croire, ayant exactement le cou et la tête d’une oie, 211, n. 492. C. n. Ce qui épouvanta le Roi et l’obligea de répudier sa parente. »
- aussi : Lecouteux Claude. Paganisme, christianisme et merveilleux. In: Annales. Économies, Sociétés, Civilisations. 37ᵉ année, N. 4, 1982. pp. 700-716.
- légende de la reine Pédauque
- http://www.bm-dijon.fr/documents/MEMOIRES%20CACO/1832-2001/2000-2001-039-08-127-148-1964171.pdf la reine Pédauque en Bourgogne
- Jean Baptiste Bullet, Dissertations sur la mythologie française et sur plusieurs curieux de l'histoire de France (reine Berthe en reine Pédauque)
Constance d'Arles[modifier | modifier le code]
- Constance d'Arles sur Henry Project
- page de sa grand-mère Constance (fragilité de l'hypothèse de la filiation avec Charles Constantin de Vienne)
- motivation du mariage : parentèle angevine
- pas de rupture avec les Blois, p.e. la nièce de Constance, Ermengarde d'Auvergne, épouse Eudes II de Blois en 1005;
- Hugues de Beauvais
- Bachrach, Fulk Nerra, the Neo-Roman Consul 987-1040,
- Halphen, Guillot, comté d'Anjou
- A. de Dion, « Le comte palatin Hugues de Beauvais », Mémoires et documents publiés par la Société archéologique de Rambouillet, t. 10, 1890-1893, p. 160-180.
- scandale de la mode méridionale selon Raoul Glaber et Guillaume de Volpiano
- Platelle Henri. Le problème du scandale : les nouvelles modes masculines aux XIe et XIIe siècles. In: Revue belge de philologie et d'histoire. Tome 53 fasc. 4, 1975. Histoire (depuis l'Antiquité) — Geschiedenis (sedert de Oudheid). pp. 1071-1096. (Constance de Provence)
- Parisse Michel, « Sigefroid, abbé de Gorze, et le mariage du roi Henri III avec Agnès de Poitou (1043). Un aspect de la réforme lotharingienne. », Revue du Nord 3/2004 (n° 356 - 357) , p. 543-566
- Véronique Gazeau, Traduction du sermon prononcé lors de la consécration de Saint-Bénigne de Dijon par Guillaume de Volpiano (même argumentaire que sur les modes nouvelles dans Raoul Glaber)****
- Constance et Robert assistent à la dédicace de l'église Saint-Aignan d'Orléans (+construction)
- affaire de l'hérésie d'Orléans
- hérésie d'Orléans
- l'une des motivations : discréditer la reine Constance et son entourage? (Bautier, Mazel, voir l'AdQ pour les réf.)
- Thierry II d'Orléans
- Robert-Henri Bautier, « L'hérésie d'Orléans et le mouvement intellectuel au début du XIe siècle. Documents et hypothèses », dans Actes du 95e congrès national des sociétés savantes. Reims 1970. Section philologie et histoire jusqu'à 1610, t. I : enseignement et vie intellectuelle, Paris, 1975, p. 63-88.
- Van Torhoudt Eric. : les Normands inventent l'hérésie d'Orléans !. In: Annales de Normandie, 55ᵉ année, n°4, 2005. pp. 341-367. (analyse du contexte politique, dont nuance de l'interprétation de L. Theis : 342, 352-356)
- Taviani-Carozzi, Huguette, Une histoire "édifiante": l'hérésie à Orléans en 1022, Faire l'événement au Moyen Âge, 2007, p. 275-298 (p. 284, 285, 296)
- rech. "entourage de la reine Constance"
- biographie de Robert le Pieux par Helgaud de Fleury (plusieurs passages sur Constance (ex, son caractère), termine la construction de Saint-Aignant d'Orléans après la mort de son époux, etc.)
- Constance et son rôle dans la succession royale :
- Andrew W. Lewis, "Successions ottoniennes et robertiennes: un essai de comparaison", Le roi de France et son royaume autour de l'an mil, 1992, p. 47-53
- Hugues de Beauvais, favori de Robert (tentant de le réconcilier avec Berthe de Bourgogne ?), assassiné (1008) par des "satellites" de Foulques Nerra, comte d'Anjou
- Lemarignier Jean-François. A propos de deux textes sur l'histoire du droit romain au moyen âge (1008 et 1308). In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1940, tome 101. pp. 157-168. (lettre de Fulbert de Chartres adressée à Foulques Nerra)
- tentative de répudiation de Constance
- Foulon Jean-Hervé, « Stratégies politiques, fondation monastique et recours à Rome vers l'an Mil : le cas de Beaulieu-lès-Loches. », Revue historique 2/2005 (n° 634) , p. 251-281
- révolte contre son fils Henri 1031/32
- Dejardin-Bazaille, Cécile. "Henri Ier: image et souvenir d'un roi", Cahiers de civilisation médiévale vol. 51 (2008) p. 343-360
- migration du nom Constance
- Constance Bouchard, "Patterns of Women's Names in Royal Lineages, Ninth-Eleventh Centuries." Medieval Prosopography 9/1 (1988), 1-32.
- Constance Bouchard, "The Migration of Women's Names in the Upper Nobility, Ninth-Twelfth Centuries." Medieval Prosopography 9/2 (1988), 1-19.
- Constance Bouchard, Those of My Blood: Creating Noble Families in Medieval Francia, University of Pennsylvania Press, 2001 (le chap. 7 reprend "The Migration of Women's Names...")
- Marion F. Facinger, "A Study of Medieval Queenship: Capetian France 987–1237", Studies in Medieval and Renaissance History, 5 (1968), pp. 3–48 (Arizona Center for Medieval and Renaissance Studies)
- L. Theis, Robert le Pieux
- Andrew W. Lewis, Le sang royal
- ico
commons:Category:Constance of Arles
Anne de Kiev[modifier | modifier le code]
- introduction du nom de Philippe
- régence
- pierre rouge/hyacinthe de Saint-Denis
- éléments ici et là
- Selon Suger, pierre rouge de grande taille (rubis ? hyacinthe ?) d'Anne de Kiev, donné par son petit-fils Louis VI au trésor de Saint-Denis, sertie dans la grande couronne royale
- voir
- Bautier, Robert-Henri. « Anne de Kiev, reine de France, et la politique royale au XIe siècle : étude critique de la documentation », Revue des études slaves, Tome 57 /4, 1985, p. 539-564, ici p. 550.
- Marion F. Facinger, « A study of medieval queenship : Capetian France (987-1237) », Studies in medieval and Renaissance history, vol. 5, 1968, p. 13 et no 19
- Danielle Gaborit-Chopin, Regalia : Les instruments du sacre des rois de France, Paris, 1987, p. 95
- Verdon Jean. Les sources de l'histoire de la femme en Occident aux Xe-XIIIe siècles. In: Cahiers de civilisation médiévale, 20e année (n°78-79), Avril-septembre 1977. pp. 219-251, ici p. 240-241 (analyse de l'influence d'après souscriptions des actes royaux)
- Verdon, « Les veuves des rois de France... »
- SANTINELLI, Emmanuelle. Des femmes éplorées ? Les veuves dans la société aristocratique du haut Moyen-Âge
- Cowdrey, Herbert Edward John. “Count Simon of Crepy's monastic conversion”
- mythe de l'Évangéliaire slavon de Reims
- Évangéliaire de Reims - selon une légende, aurait appartenu à Anne de Kiev (faux)
- Valérie Geronimi, « L’évangéliaire slavon de Reims : mythes, (re)découverte historique et perspectives », Revue des études slaves, LXXXIX 1-2 | 2018, 133-142.
Bertrade de Montfort[modifier | modifier le code]
- famille de Montfort
- mariage avec Foulques d'Anjou (Guillot, Halphen... marchandage de Foulques avec le duc Robert Courteheuse pour obtenir la main d Bertrade, selon Orderic Vital ...à valider)
- mariage controversé avec le roi Philippe Ier, Duby, Mews...
- douaire en Touraine
- rel. avec Robert d'Arbrissel et Fontevrault, fondation de Haute-Bruyères
- 1re reine avec sceau
- perception Orderic Vital, Suger, Yves de Chartres
- reconnue comme reine ou non par les contemporains?
- rel. avec Louis VI
- aurait tenter de le faire emprisonner ou empoisonner par Henri Ier d'Angleterre, selon Orderic (Collard)
- perception par les contemporains et la postérité
- pour Bournazel, logiques politiques plutôt qu'amoureuses de cette union
- Max Lejbowicz, « Adélard citharède et la Reine musicophile », Cahiers de recherches médiévales et humanistes, 31 | 2016, 329-352. http://crm.revues.org/14037
- Grabd cartulaire de Fontevraud, Bertrade y apparaît avec le titre de regina
- Constant J. Mews, Robert d’Arbrissel, Roscelin et Abélard, Revue Mabillon, 2009 (conflit entre chanoines de Tours et moniales de Fontevraud né de terres reçues en douaire par Bertrade)
- voir aussi ici
- Constant Mews, Bertrada de Montfort, Peter Abelard, and Adelard of Bath: The critique of authority in the early twelfth century, Parergon, janvier 2015, 32(1), p. 1-29 DOI: 10.1353/pgn.2015.0033
- Belle Tuten, Fashion and Benefaction in Twelfth-Century Western France
- Christof Rolker, Bishops, Kings and Incest : Extension and Subversion of the Ecclesiastical Marriage Jurisdiction around 1100, https://www.academia.edu/1361589/
- Carole Avignon, Les stratégies matrimoniales des premiers Capétiens à l’épreuve des prohibitions canoniques en matière de parenté (XIe - XIIe siècles)
- Éric Bournazel, Louis VI le Gros, Paris : Fayard, 2007. (dispo UL : DC 88 B775 2007; dispo BAnQ; absente VdQ)
- concubine ou épouse?
- reçoit un douaire du roi Philippe (reconnaissance comme épouse) et reconnue telle dans ses chartes
- concubine pour Suger
- « On observe avec curiosité que Bertrade de Montfort, épouse de Foulque IV d'Anjou, mais ensuite maîtresse du roi Philippe Ier, est presque toujours dite regina, la reine, dans les actes assez nombreux où elle apparaît comme témoin. »[17]
- sceau
Lucienne de Rochefort[modifier | modifier le code]
- Éric Bournazel, Louis VI le Gros, Paris : Fayard, 2007. (dispo UL : DC 88 B775 2007; dispo BAnQ; absente VdQ)
Alix / Adélaide de Savoie / Maurienne[modifier | modifier le code]
- seule reine de France dont le règne est mentionné à côté de celui du roi dans la datation des chartes
- son règne (avec celui d'Adèle de Champagne), selon Facinger, marquerait l'apogée du pouvoir des reines capétiennes, avant le déclin sous Philippe Auguste
- sceau
- elle et Raoul de Vermandois se retirent de la cour après la mort de Louis VI, au début du règne de Louis VII, par couardise selon Suger (indice d'une lutte d'influence se soldant par leur défaite ?)
- Suger la mentionne très peu dans sa Vie de Louis le Gros (parce qu'il ne l'aimait pas? était en désaccord avec elle?)
- Éric Bournazel, Louis VI le Gros, Paris : Fayard, 2007. (dispo UL : DC 88 B775 2007; dispo BAnQ; absente VdQ)
- Dufour Jean. Louis VI, roi de France (1108-1137), à la lumière des actes royaux et des sources narratives. In: Comptes rendus des séances de l'Académie des Inscriptions et Belles-Lettres, 134e année, N. 2, 1990. pp. 456-482.
- Andrew W. Lewis, Le sang royal...
- Saint-Pierre de Montmartre
- fondation, s'y retire, sépulture
- Philippe Plagnieux, Saint-Pierre de Montmartre : un manifeste capétien, 2014 (téléchargé)
- Lombard-Jourdan Anne. L’invention du "roi fondateur" à Paris au XIIe siècle : de l’obligation morale au thème sculptural. In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1997, tome 155, livraison 2. pp. 485-542. section Abbaye de Montmartre et ses fondateurs Louis VI et la reine Adélaïde, p. 509 et suiv.
- fiançailles avec Baudouin III de Hainaut
- aurait d'abord été promise à Baudouin III de Hainaut
- Baudouin III aurait renoncé à cette alliance en constatant la laideur de sa promise
- lié au contrôle de Douai, disputé entre Flandre et Hainaut
- circonstances de la querelle de Douai (sans mention de l'alliance) :
- Verlinden Charles. Souveraineté flamande et souveraineté hennuyère à Douai à la fin du XIe siècle. In: Revue du Nord, tome 18, n°69, février 1932. pp. 5-19.
- Koch de Meyer G. Douai à la fin du XIe siècle. In: Revue du Nord, tome 33, n°129, Janvier-mars 1951. pp. 56-60.
Aliénor d'Aquitaine[modifier | modifier le code]
- Bonnie Wheeler et John Carmi Parsons, éd., Eleanor of Aquitaine : Lord and Lady, New York : Palgrave Macmillan, 2003. (nombreuses rééditions, 2008... ebook 2016 acheté résumés
- sommaire, notamment :
- Brown, Elizabeth A. R., Eleanor of Aquitaine Reconsidered: The Woman and Her Seasons, p. 1-54 résumé
- Hivergneaux, Marie, Queen Eleanor and Aquitaine, 1137 - 1189, p. 55-76
- Turner, Ralph V., Eleanor of Aquitaine in the Governments of Her Sons Richard and John, p. 77-95
- De Aragon, Rágena, Wife, widow, and mother: some comparisons between Eleanor of Aquitaine and noblewomen of the Anglo-Norman and Angevin world, p. 97-114 résumé
- Huneycutt, Lois Lynn, Alianora regina anglorum: Eleanor of Aquitaine and her Anglo-Norman predecessors as queens of England, p. 115-132
- Lewis, Andrew W., The birth and childhood of king John: some revisions, p. 159-176 résumé (naissance d'Aliénor deux ans plus tôt)
- Shadis, Miriam et Berman, Constance Hoffmann, A taste of the feast: reconsidering Eleanor of Aquitaine's female descendants, p. 177-211
- Brundage, James Arthur, The canon law of divorce in the mid-twelfth century: Louis VII C. Eleanor of Aquitaine, p. 213-222
- Bouchard, Constance Brittain, Eleanor's divorce from Louis VII: the uses of consanguinity
- McCracken, Peggy, Scandalizing desire: Eleanor of Aquitaine and the chroniclers
- Parsons, John Carmi, Damned if she didn't and damned when she did: bodies, babies, and bastards in the lives of two queens of France, p. 265-300
- O'Callaghan, Tamara Faith, Tempering scandal: Eleanor of Aquitaine and Benoît de Sainte-Maure's Roman de Troie, p. 301-318 résumé
- Tolhurst, Fiona, What ever happened to Eleanor?: reflexions of Eleanor of Aquitaine in Wace's Roman de brut and Lawman's Brut, p. 319-336 résumé
- Aziza Pappano, Margaret, Marie de France, Aliénor d'Aquitaine, and the alien queen, p. 337-367 résumé
- Beech, George T., The Eleanor of Aquitaine vase, p. 368-376
- Nolan, Kathleen, The queen's choice: Eleanor of Aquitaine and the tombs at Fontevraud, p. 377-406 résumé
- Wood, Charles Tuttle, Fontevraud, dynasticism, and Eleanor of Aquitaine, p. 407-422
- Martindale, Jane, Eleanor of Aquitaine and a "queenly court"?
- Turner, Ralph V., « Eleanor of Aquitaine, twelfth-century English chroniclers and her "Black Legend" » . (2008) - In: Nottingham medieval studies vol. 52 (2008) p. 17-42
- Inventing Eleanor: The Medieval and Post-Medieval Image of Eleanor of Aquitaine . By Michael R. Evans . London and New York : Bloomsbury Academic . 2014
- The World of Eleanor of Aquitaine: Literature and Society in Southern France between the Eleventh and Thirteenth Centuries. Edited by Marcus Bull and Catherine Léglu, Boydell Press, 2005, notamment :
- Daniel Power, The Stripping of a Queen: Eleanor of Aquitaine in Thirteenth-century Norman Tradition
- résumé : "The author examines vernacular prose histories about the dukes of Normandy and kings of England. Power analyzes one passage concerning Eleanor immediatly following her divorce from Louis VII. She disrobes before her barons and asks for confirmation that she is not a devil. Power links this to the many medieval stories about a female noble ancestor who reveals that she is part demon by turning into a snake in her bath or flying out of church to avoid the Eucharist. The Norman histories vigorously contest this demonic rumor by the barons' affirmation that Eleanor has the most beautiful body in the kingdom."
- Daniel Power, The Stripping of a Queen: Eleanor of Aquitaine in Thirteenth-century Norman Tradition
- No de Medieval Feminist Forum à propos d'Aliénor :
- Tolhurst, Fiona. "The Outlandish Lioness: Eleanor of Aquitaine in Literature ." Medieval Feminist Forum: A Journal of Gender and Sexuality 37, no. 1 (2004) : 9-13. : The author briefly discusses Eleanor's portrayal in the film, "Lion in Winter."
- DeAragon, RáGena C. "Do We Know What We Think We Know? Making Assumptions About Eleanor of Aquitaine." Medieval Feminist Forum: A Journal of Gender and Sexuality 37, no. 1 (2004) : 14-20. : The author surveys some recent textbooks for their coverage of Eleanor of Aquitaine. She finds mostly brief accounts with many inaccuracies. Scholarly works about Eleanor also present speculation as fact.
- chartes / pouvoir
- Marie Hivergneaux, « Aliénor, duchesse d'Aquitaine et deux fois reine : rôle et pouvoir d'une femme au XIIe siècle (v. 1124/1137-1204) » dans Reines et princesses au Moyen Âge: Actes du cinquième colloque international de Montpellier-Université Paul-Valéry (24-), Volume 1, Les Cahiers du C.R.I.S.M.A., 2001, p. 43-62 [lire en ligne].
- Hivergneaux, Marie, « Autour d'Aliénor d'Aquitaine: entourage et pouvoir au prisme des chartes », Plantagenêts et Capétiens. Confrontations et héritages, 2006, p. 61-74 (dispo UL)
- Hivergneaux, Marie, « Aliénor d'Aquitaine: le pouvoir d'une femme à la lumière de ses chartes (1152-1204) », La cour Plantagenêt (1154-1204), 2000, p. 63-87
- Hivergneaux, Marie, « Queen Eleanor and Aquitaine, 1137 - 1189 », Eleanor of Aquitaine. Lord and Lady, 2003 p. 55-76
- mécénat
- Broadhurst, Karen M., Henry II of England and Eleanor of Aquitaine: Patrons of Literature in French?, Viator , 27., ( 1996): Pages 53 - 84.
- résumé : [Henry probably only commissioned two texts in French: Wace's "Roman de Rou" and Benoît's "Chronique des ducs de Normandie;" there is no evidence that Eleanor commissioned any works]
- Harvey, Ruth., « Eleanor of Aquitaine and the Troubadours », The World of Eleanor of Aquitaine: Literature and Society in Southern France between the Eleventh and Thirteenth Centuries. Edited by Marcus Bull and Catherine Léglu . Boydell Press, 2005.
- résumé : [The author looks at evidence of Eleanor's connections to troubadours. Despite some modern historians' optimistic constructions of Eleanor and her court as a haven for troubadours, there is virtually no documentation of troubadours either in her entourage or writing songs for her.
- trésor
- Vase d'Aliénor, offert par Louis VII à Suger et Saint-Denis
- Vase de cristal d'Aliénor, notice du Louvre
- Notice sur Panorama de l'art
- George T. Beech, « The Eleanor of Aquitaine Vase, William IX of Aquitaine, and Muslim Spain », Gesta, Vol. 32, No. 1 (1993), pp. 3-10
- George T. Beech, « The Eleanor of Aquitaine Vase: Its Origins and History to the Early Twelfth Century », Ars Orientalis, Vol. 22 (1992), pp. 69-79
-
Vase d'Aliénor
- folklore
- beaucoup en tant que reine d'Angleterre (meurtrière de Rosemonde Clifford (Fair Rosamund), maîtresse d'Henri II)
- en:Queen Elanor's Confession, ballade traditionnelle
- Elizabeth Carney, « Fact and Fiction in ‘Queen Eleanor's Confession’ », Folklore, vol. 95, no 2, 1984 DOI 10.1080/0015587X.1984.9716310
-
Queen Eleanor and Fair Rosamund
-
La reine Aliénor offrant le choix à Rosemonde entre le poignard et le poison (illustration tirée d'un chapbook du 17e ou 18e s.)
-
Queen Eleanor and Fair Rosamund
-
idem
-
Aliénor s'apprêtant à tuer Rosemonde voir ici
- Aliénor comme Mélusine
- Richard Coer de Lyon roman en moyen anglais daté des environs de 1300 : "A-versions of the romance begin with a fantastical account of Richard’s birth. Henry II in search of a queen wed Cassodorien the daughter of the king of Antioch. The pair have three children, Richard, John, and Topyas. They live happily except Cassodorien always leaves Mass before the elevation of the Host. After Henry forces her to witness it she flies through the church roof, Topyas in tow, and disappears. Richard eventually succeeds Henry II to the throne at the age of 15 on his father’s death."
- postérité
- Hayley Bassett, Eleanor of Aquitaine: 20th & 21st century approaches
- Fiona Tolhurst, « The Outlandish Lioness: Eleanor of Aquitaine in Literature », Medieval Feminist Forum 37, no. 1 (2004) : 9-13. autre version ici
- Shannon Forrest-Reeves, Making Eleanor: Perceptions of Eleanor of Aquitaine in Film, 2014
- Liste d'incarnations d'Eleanor d'Aquitaine à l'écran (IMDB)
- nombreuses mentions d'Aliénor à l'écran dans l'article wiki anglais
Adèle de Champagne[modifier | modifier le code]
- Jean Dufour, « Adèle de Champagne, troisième femme de Louis VII, une reine méconnue », dans Reines et princesses au Moyen Âge: Actes du cinquième colloque international de Montpellier-Université Paul-Valéry (24-), Volume 1, Les Cahiers du C.R.I.S.M.A., 2001, p. 35-41 [lire en ligne].
- Baldwin, Philippe Auguste, notamment pour tentative des Champenois de s'assurer le pouvoir fin règne Louis VII / déb Philippe Auguste contre Philippe d'Alsace
Isabelle de Hainaut[modifier | modifier le code]
- D'abord promise à Henri, héritier du comté de Champagne - son mariage : manoeuvre du jeune Philippe Auguste pour réduire l'influence du clan champenois
Ingeburge de Danemark[modifier | modifier le code]
- Frederick Pedersen, The Danes and the Marriage Break-up of Philip II of France
- Lettres d'Ingeborg sur Epistolae
- Jérôme Devard, « Des rumeurs au scandale : Étude phénoménologique de la répudiation d’Ingeburge du Danemark », Cahiers de recherches médiévales et humanistes [En ligne], 23 | 2012 (aussi Alix de Méranie)
- John Baldwin, « La vie sexuelle de Philippe Auguste », Mariage et sexualité au Moyen âge: accord ou crise? : colloque international de Conques/sous la direction de Michel Rouche avec le concours du Centre européen de culture, d'art et d'histoire médiévales. – Paris : Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, P. 217-229 (aussi Isabelle de Hainault et Alix de Méranie)
- John Baldwin, « L'entourage féminin de Philippe Auguste », Femmes de pouvoir, femmes politiques durant les derniers siècles du Moyen Âge (téléchargé) (aussi Isabelle de Hainaut, Agnès de Méranie)
- Gaudemet, Jean. "Le dossier canonique du mariage de Philippe Auguste et d'Ingeburge de Danemark (1193-1213)." Revue historique de droit français et étranger (1922-) (1984): 15-29.
- Rousseau, Constance M. "Neither Bewitched nor Beguiled: Philip Augustus's Alleged Impotence and Innocent III's Response." Speculum 89.2 (2014): 410-436.
Agnès de Méranie[modifier | modifier le code]
Agnès de Méranie (d · h · j · ↵ · ©)
- John Baldwin, « La vie sexuelle de Philippe Auguste », Mariage et sexualité au Moyen âge: accord ou crise? : colloque international de Conques/sous la direction de Michel Rouche avec le concours du Centre européen de culture, d'art et d'histoire médiévales. – Paris : Presses de l'Université de Paris-Sorbonne, P. 217-229 (aussi Isabelle de Hainault et Alix de Méranie)
- John Baldwin, « L'entourage féminin de Philippe Auguste », Femmes de pouvoir, femmes politiques durant les derniers siècles du Moyen Âge (téléchargé) (aussi Isabelle de Hainaut, Agnès de Méranie)
- dans la fiction
- beaucoup d'éléments sur la fortune du personnage sur it:Agnese di Merania, l'article italien
- Charles-Victor Prévost d'Arlincourt (romancier alors très célèbre), L'Étrangère, 2 tomes, 1825 (résumé)
- succès immense du roman, nombreuses adaptations
- traduction en italien de Gaetano Paganucci parue dès 1826
- Frédéric Dupetit-Méré et Edmond Crosnier, L’Étrangère, mélodrame en 3 actes, tiré du roman de Charles-Victor Prévost d'Arlincourt, Paris, Théâtre de la Gaîté, 26 avril 1825.
- Giovan Carlo, barone di Cosenza, La straniera, azione patetica in cinque atti del barone Gio. Carlo Cosenza, rappresentata la prima volta in Napoli, dalla Real Compagnia Tessari e soci, sul teatro Fiorentini, la sera 8 decembre 1826
- La straniera , opéra en deux actes, musique de Vincenzo Bellini, livret de Felice Romani, basé sur le roman L'Étrangère d'Arlincourt (voir le super article anglais)
- SETA, Fabrizio Della et WEIR, Mark W. From Romance to Drama and Opera:" L'Étrangère" and" La straniera". Acta Musicologica, 2011, vol. 83, no Fasc.] 2, p. 261-280. (dispo JSTOR) https://www.jstor.org/stable/23343870?seq=1#page_scan_tab_contents
- MARŠÁLEK, Marie-Anne. La réinvention du Moyen âge sur les scènes lyriques parisiennes entre 1810 et 1830: genèse, contours et circulation vers l’Italie et l’Allemagne d’un imaginaire français. 2016. Thèse de doctorat. Rennes 2. https://tel.archives-ouvertes.fr/tel-01429152/
- Agnès de Méranie, tragédie en 5 actes jamais portée à la scène d'Amédée de Césena, publiée en 1842[18]
- Agnès de Méranie, tragédie en 5 actes de François Ponsard, présentée pour la première fois au théâtre de l'Odéon à Paris le 22 décembre 1846, avec Marie Dorval dans le rôle-titre[19].
- Ernest Legouvé, Les deux reines de France: drame avec choeurs en quatre actes, en vers, avec musique de Charles Gounod (interdit par la censure en 1865, seulement représenté en 1872 ?)
Blanche de Castille[modifier | modifier le code]
- mécénat et piété
- Alexandra Gajewski, The patronage question under review: Queen Blanche of Castile (1188 - 1252) and the architecture of the Cistercian abbeys at Royaumont, Maubusson, and Le Lys.
Marguerite de Provence[modifier | modifier le code]
- Ordonnances pour l'hôtel de la reine Marguerite de Provence 1261 : Douët d’Arcq, Louis (éd.), Comptes de l’Hôtel des rois de France aux xive et xve siècles, Paris, Société de l’Histoire de France, 1865, p. v-vi.
Marie de Brabant[modifier | modifier le code]
- mécénat
- mort du fils aîné de Philippe
- thème de la marâtre empoisonneuse
- conflit avec Pierre de la Brosse
- politique et généralités
- Sergio Boffa, "Les soutiens militaires de Jean Ier, duc de Brabant, à Philippe III, roi de France, durant les expéditions ibériques (1276-1285)", in Revue du Nord, LXXVIII, 1996, pp. 7-33
- Langlois, Le règne de Philippe III le Hardi
- Pierre de La Broce
- mention Pierre de La Broce et Marie de Brabant dans Dante
- Chronique de Primat
- Franck Collard, « Recherches sur le crime de poison au Moyen Âge », Journal des savants, janvier-juin 1992, p.99-114, p. 105 et 109-110
- Franck Collard, "Grandeur et chute d'un conseiller du roi. L'affaire Pierre de la Brosse", L'Histoire, no 197 (mars 1996), p. 50-54. (photo ipad)
- Xavier Hélary, « La reine, le légat, et le chambellan. Un "péché contre nature" à la cour de Philippe III », Passions et pulsions à la cour (Moyen Âge - Temps modernes), Micrologus' Library, 68, 2015 (photographié sur ipad - dispo UL)
- Xavier Hélary, Pierre de La Broce, seigneur féodal, et le service militaire sous Philippe III. L'ost de Sauveterre (1276). In: Journal des savants, 2006, n°2. pp. 275-305.
- Xavier Hélary, Trahison et échec militaire : le cas Pierre de La Broce (1278), dans Maïté Billoré et Myriam Soria (éd.), La trahison au Moyen âge. De la monstruosité au crime politique (Ve-XVe siècle), Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2009, p. 185-195 (photocopié)
- William C. Jordan, The Struggle for Influence at the Court of Philip III: Pierre de la Broce and the French Aristocracy, French Historical Studies, Volume 24, Number 3, Summer 2001, p. 439-468 : muse
- deposition de Simon de Brie, plainte de la reine au pape, etc.
- aussi ici
- et ici
- Documents sur Pierre de la Brosse, Bulletin de la Société de l'histoire de France, 1844, 87-10
- L'affaire Pierre de la Broce dans le théâtre médiéval
- Pierre de la Broce au théâtre médiéval (3 pièces dans un même manuscrit) (dont l'un fait une allusion aux calomnies envers la reine)
- De Pierre de la Broche qui despute a Fortune par devant Reson - ARMINA (Jeu de Pierre de la Broce)
- De Pierre de la Broche - ARLIMA (ou complainte de Pierre de la Broce)
- Jean Moniot de Paris, Le dit de Fortune - ARLIMA
- Marie Bouhaïk-Gironès, Qu’est-ce qu’un texte de théâtre médiéval ? Réflexions autour du Jeu de Pierre de La Broce (XIIIe siècle)
- Marie Bouhaïk-Gironès, « Le théâtre, entre communication politique et action politique (France, XIIIe-XVIe s.) », dans Andrea Gamberini, Jean-Philippe Genet et Andrea Zorzi, dir., The Languages of Political Society : Western Europe, 14th-17th Centuries, Rome, Viella, 2011, p. 229-244.
- Schneegans, F. Ed, « Trois poèmes de la fin du XIIIe siècle sur Pierre de la Broce », Romania, 58, 1932, p. 520-550.
- Långfors, Arthur, « En marge de trois poèmes de la fin du XIIIe siècle sur Pierre de la Broce », Annales Academiae scientiarum Fennicae, series B, 30, 1934, p. 373-392 (téléchargé)
- Pierre de la Broce au théâtre médiéval (3 pièces dans un même manuscrit) (dont l'un fait une allusion aux calomnies envers la reine)
- pièce Philippe III (1838) sur l'affaire Pierre La Brosse
- Pierre de Benais, complice de Pierre de la Brosse
- poursuivi par la vindicte de Marie de Brabant qui le réclame au pape
- Richard Kay, « Martin IV and the Fugitive Bishop of Bayeux », Speculum, vol. 40, no 3 (1965), p. 460-483
- KAY, Richard. An Episcopal Petition from the Province of Rouen, 1281. Church History, 1965, vol. 34, no 3, p. 294-305. http://www.jstor.org/stable/3162804?seq=1#page_scan_tab_contents
- mystique liée à l'affaire, Elisabeth of Spalbeek
- nl:Elisabeth van Spalbeek (Isabelle ou Elisabeth de Spalbeek)
- Jesse Njus, The Politics of Mysticism: Elisabeth of Spalbeek in Context, Church History, vol. 77, no 2 (Jun., 2008), pp. 285-317
- Sylvain Piron, « La parole prophétique », Le pouvoir des mots au Moyen Âge, Brepols, 2014, p. 255-286, analyse du rôle d'Elisabeth de Spalbeek dans l'affaire Pierre de la Broce, p. 25 du pdf et suiv.
- Hanon de Louvet, Robert. « L'origine nivelloise de l'institution béguinale "La Royauté", fondation béguinale d'une Reine de France Marie de Brabant et la légende de la béguine de Nivelles » in Annales de la Société archéologique et folklorique de Nivelles et du Brabant Wallon (1952). 17 (1952): 5-77.
- NAMÈCHE, A. J. Marie de Brabant et la béguine de Nivelles. Revue catholique, 1855, vol. 12, p. 598-608.
- L’enquête, conservée dans le carton Arch. Nat. J 429, a été éditée par J. De Gaulle, « Documents historiques », Bulletin de la société de l’histoire de France, 1, 1844, p. 87–100 et L. Delisle, Cartulaire normand de Philippe-Auguste, Louis VIII, saint Louis et Philippe le Hardi, Caen, 1887, n°927. Le récit de Langlois, Le règne, p. 22-30, doit être complété par R. Kay, «Martin IV and the fugitive bishop of Bayeux», Speculum, 40, 1965, p. 460-483 et J. Njus, «The Politics of Mysticism : Elisabeth of Spalbeek in Context », Church History, 77, 2008, p. 285-317. Voir aussi W.C. Jordan, « The Struggle for Influence at the Court of Philip III: Pierre de la Broce and the French Aristocracy », French Historical Studies, 24, 2001, p. 439-468
- emprisonnement fictif de Marie
- tradition brabançonne de l'emprisonnement de Marie; son frère le duc de Brabant Jean Ier venant en France, la visite en prison; convaincu de l'innocence de sa soeur, il s'offre d'affronter pour elle en combat Pierre de la Broce, qui s'enfuit
- pas mentionné dans les sources françaises
- Louis van Velthem, écrivant vers 1315, ***
- résumé ici
- Paris Gaston. Le roman du comte de Toulouse. In: Annales du Midi : revue archéologique, historique et philologique de la France méridionale, Tome 12, N°45, 1900. pp. 5-32. (recherches sur cette tradition)
- résumé ici
- dans les « Gestes de Brabant » (Brabantsche Yeesten) de Jan van Boendale (1279-1351)
- édition de cette source : vol. 1 (la partie concernant le règne de Jean Ier semble être en brabançon)
- Jan Frans Willems, Jan van Heelu, Lodewijk van Velthem, Maria van Braband, Weduwe J. S. Schoesetters, 1828 (brève bio poétique néerlandaise-française)
- La gloire Belgique
- Les oeuvres du début XIXe s. misent sur l'article de la reine (historique ou fictif) adoptent cette version.
- par exemple ici (biographie de Marie de Brabant de 1853)
-
Imprisonment of Maria of Brabant (Jan van Boendale, Brabantsche Yeesten)
-
Maria imprisoned and her brother, John I (Jan van Boendale, Brabantsche Yeesten)
-
Coronation of Maria of Brabant as Queen of France (Jan van Boendale, Brabantsche Yeesten)
- manuscrit source des images : Brussel KB Albert I, IV 684, manuscrit illustré de Jan van Boendale, Brabantsche Yeesten (nombreuses autres enluminures relatives à l'affaire de Marie de Brabant :
- image 98 : adoubement du duc Jean et son frère Godefroy par le roi Philippe III
- 102 : emprisonnement de Marie sur ordre de Philippe (déjà une version ci-haut)
- 104 : Jean Ier de Brabant parlant à sa soeur emprisonnée (déjà une version ci-haut)
- 105 : Philippe III avec Jean et Godefroy de Brabant, peut-être avec Pierre de la Broce qui s'enfuit (?)
- 107 : exécution de Pierre de La Brosse, sous les yeux de Jean et Godefroy de Brabant - (version NB ici)
- 108 : une ville française
- 109 : Couronnement de Marie de Brabant
- Bibliothèque Royale Albert Ier, Cinq années d'acquisitions. 1969-1973. Exposition organisée à la Bibliothèque royale Albert Ier du 18 janvier au 1er mars 1975, Brussel, 1975, Bruxelles, 1975, n° 26. notice du manuscrit***
- page avec beaucoup de ces enluminures extraites en grand format
- Remco Sleiderink, « Een straf van God Elisabeth van Spalbeek en de dood van de Franse kroonprins », Madoc. Jaargang 1997 (ico tirée du manuscrit, portrait Elisabeth van Spalbeek...)
- diplomatie
- de concert avec Jeanne de Navarre, épouse de Philippe le Bel, elle négocie en 1293-1294 avec Edmond de Lancastre (représentant du roi d'Angleterre) à propos de l'Aquitaine
- Elisabeth Lalou, « Les négociations diplomatiques avec l’Angleterre sous Philippe le Bel », La "France anglaise" au Moyen Âge, Actes du 111e congrès des Sociétés savantes, Poitiers, 1986, Paris, 1987, p. 325-355.
- Travaux de Kathleen Neal
- rel. avec la cour d'Angleterre, avec Mahaut d'Artois
- De Sturler J. Les relations politiques de l'Angleterre et du Brabant sous Edouard I et Edouard II Plantagenet (1272-1326). In: Revue belge de philologie et d'histoire, tome 11, fasc. 3-4, 1932. pp. 627-650. (rel. Brabant-Angleterre, sans mention directe de la reine Marie)
- mariage de ses filles, dont Marguerite avec Edouard Ier d'Angleterre
- se voit confier la garde de la jeune Jeanne II de Navarre, fiancée à son descendant Philippe
- mode
- Pastoureau Michel. Le temps mis en couleurs : des couleurs liturgiques aux modes vestimentaires (XIIe-XIIIe siècles). In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1999, tome 157, livraison 1. pp. 111-135., ici p. 131
- Allirot, Longchamp et Lourcine, p. 35, note 68
- mécénat
- Tracy Chapman Hamilton, Pleasure, politics, and piety : the artistic patronage of Marie de Brabant, thèse, 2004 (publiée chez Brepols en 2016)
- ilvère Menegaldo, « Adenet le Roi tel qu’en ses prologues », Cahiers de recherches médiévales [En ligne], 18 | 2009
- Psautier de saint Louis, attribué à Marie de Brabant par une historienne
- mention de 2-3 manuscrits de la reine Marie dans le testament de Blanche de Navarre
- manuscrit 3142 de la Bibliothèque de l'Arsenal
- notice du manuscrit
- notice Jonas
- notice sur ARLIMA
- Azzam Wagih, Collet Olivier. Le manuscrit 3142 de la Bibliothèque de l'Arsenal. Mise en recueil et conscience littéraire au XIIIe siècle. In: Cahiers de civilisation médiévale, 44e année (n°175), Juillet-septembre 2001. pp. 207-245.
- Kathy Krause, « Via Femina: Female Patronage of Vernacular Religious Texts in Thirteenth-Century Picardy », Les femmes, la culture et les arts en Europe entre Moyen Âge et Renaissance, 2016, p. 117 et suiv. DOI 10.1484/M.TCC-EB.5.107662 [dispo UL : N 5240 F329 2016] ("Elle met au jour un réseau de circulation de ces œuvres entre Boulogne et Paris, dans le milieu littéraire très érudit de Marie de Brabant.")
- Aurélie Houdebert, « Miniatures initiales et paroles inaugurales : naissance de l’œuvre, naissance du héros dans les manuscrits du Cléomadès », Questes [En ligne], 27 | 2014 (ICO miniature représentant Marie de Brabant, Adenet, etc.) (reproduite)
- Aurélie Houdebert, Le Cheval d'ébène à la cour de France : Cléomadès et Méliacin (résumé de thèse : "Cléomadès d’Adenet le Roi et Méliacin de Girart d’Amiens (...) Nés d’un même conte oriental, ils forment deux romans distincts, exactement contemporains. (...) L’enquête sur les sources et les conditions de composition des romans nous mène à la cour de France, sous le mécénat de Marie de Brabant, et nous conduit à postuler une mise en concurrence délibérée des poètes."
- travaux d'Aurélie Houdebert
- Article résumant sa thèse
- Ó CRÓINÍN, Dáibhí et HOUDEBERT, Aurélie. A new manuscript fragment of the Old French Romance Meliacin. In : Felici curiositate. Studies in Latin Literature and Textual Criticism from Antiquity to the Twentieth Century. In Honour of Rita Beyers. Brepols Publishers, 2017. https://aran.library.nuigalway.ie/bitstream/handle/10379/6324/Me%26%23769%3Bliacin_(ARAN).pdf?sequence=1&isAllowed=y
- almanach de Guillaume de Saint-Cloud dédié à la reine
- Bréviaire de la Sainte-Chapelle à l’usage d’une reine de France [p.e. Marie de Brabant ou Jeanne de Navarre], Entre 1285 et 1297, Pierpont Morgan Library, New York, MS 1042
- MS 1042 (notice catalogue) - description - images du manuscrit, en particulier reine agenouillée au folio 8
- Geoffroy de Saint-Léger, libraire et enlumineur (?)
- "Parmi les autres libraires de la rue [rue Neuve-Notre-Dame] on a Geoffroy de Saint-Léger, attesté en 1316 et jusqu'en 1337 qui était, lui aussi, apparemment, libraire et enlumineur à la fois [...] et qui semble surtout avoir produit des textes littéraires, y compris trois manuscrits du Roman de la Rose. Parmi ses clients se trouvent deux reines de France, Clémence de Hongrie [...] et Jeanne de Bourgogne, épouse de Philippe IV"[20] [sic] (moi : quelle Jeanne de Bourgogne? celle de Philippe V ou de Philippe VI ??]
- travaux de Richard H. Rouse and Mary A. Rouse
- à voir:Richard H. Rouse and Mary A. Rouse, Manuscripts and Their Makers: Commercial Book Producers in Medieval Paris, 1200–1500, Turnhout, Belgium: Harvey Miller Publishers, 1999, vol. I, p. 173-202 (chap. 8, Geoffroy de Saint-Léger "le jeune", (active 1333–43, chapter 8)) (dispo UL : Z 310.6 P232 R863 2000 1-2 (2 vol.))
- ico
- Marie de Brabant sur Mandragore
- Marie de Brabant dans ‘Memoriën’ van Anthonio de Succa, catalogus (Brussel 1977), dl. 2, f. 68r.
- Alison Stones, https://www.mgh-bibliothek.de/dokumente/b/b045470.pdf'Some Portraits of Women in their Books, Late 13th-Early 14th c.,' in Livres et lectures de femmes en Europe entre Moyen Age et Renaissance, ed. Anne-Marie Legaré (Turnhout: Brepols), 3-27. (téléchargé)
- Philippe IV le Bel consolé par ses proches, enluminure représentant l'entourage royal à l'avènement de Philippe IV, dont les 2 reines Marie de Brabant et Jeanne de Navarre (2 enluminures pour deux manuscrits de Meliacin)
- (2) ms fr 1633
- vitrail (disparu) la représentant dans le tombeau de ses parents, église Notre-Dame des Dominicains à Louvain
- Coomans Thomas, Bergmans Anna. L’église Notre-Dame des Dominicains à Louvain (1251-1276). Le mémorial d’Henri III, duc de Brabant, et d’Alix de Bourgogne. In: Bulletin Monumental, tome 167, n°2, année 2009. pp. 99-125.
- reproduit dans memoriaux succa et un autre
- chercher avec "ROYN DE FRANCE"
- http://xv.kikirpa.be/uploads/tx_news/CONTR_07_-_MEMORIAUX_DE_SUCCA_II_-_1977.pdf inventaire memoriaux Succa
- https://dial.uclouvain.be/pr/boreal/object/boreal:152514/datastream/PDF_01/view,, avec repro vitrail couleur, p. 45
- oeuvres du "maître de Meliacin" ?
- fondation d'une chapelle dans la collégiale Notre-Dame de Nantes
- par Marie de Brabant en 1313, plus tard tetminée par Jeanne de Navarre, ép. De Philippe d'Évreux
- fondation de la chapelle dite plus tard de Navarre dans la collégiale
- présence de statues d reines fondatrices pour lesquelles de nombreuses identifications ont été proposées, dont celle de Marie de Brabant, Jeanne de Navarre, Jeanne d'Evreux, Blanche de Navarre, etc.
- Collégiale Notre-Dame de Mantes-la-Jolie
- Baron Françoise. Les statuettes de la chapelle dite «de Navarre » à Notre-Dame de Mantes. In: Bulletin de la Société Nationale des Antiquaires de France, 1997, 2001. pp. 266-274.
- dans la fiction / culture / postérité
- peintures :
- opéra
- ici, sur opera Maria di Brabante de Rossi, adapté d'Ancelot
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Jeanne Ire de Navarre (d · h · j · ↵) commons:Category:Joan I of Navarre
- sculpture de Jeanne de Navarre (?) au Bode museum ?, exposé dans le cadre de l'expo D’or et d’ivoire - Paris, Pise, Florence, Sienne, 1250 – 1320 au Louvre-Lens en 2015
- "Reine de France (Jeanne de Navarre ?), Paris, vers 1310, calcaire, Berlin, Bode Museum"
- voir ici*** (avec doc à télécharger et images) - ici
- http://www.claudinecolin.com/fr/1152-dor-et-divoire-paris-pise-florence-sienne.-1250-1320/documents/images/8-reine-de-france.jpg image de la statue en question]
- Elena Woodacre, The Queens Regnant of Navarre: Succession, Politics, and Partnership, 1274-1512, Palgrave Macmillan, 2013 (pas dispo UL)
- travaux d'Elena Woodacre, notamment en ligne :
- « ‘Most excellent and serene lady’: Representations of female authority in the documents, seals and coinage of the reigning queens of Navarre (1274-1512) », dans The Image and Perception of Monarchy in Medieval and Early Modern Europe, 2014 (téléchargé)
- « Ruling & Relationships: The Fundamental Basis of the Exercise of Power? The Impact of Marital & Family Relationships on the Reigns of the Queens Regnant of Navarre (1274-1517) », Anuario de Estudios Medievales, Vol 46, No 1 (2016), p. 167-201 aussi dispo ici (téléchargé)
- The Queen and her Consort : succession, politics and partnership in the kingdom of Navarre, 1274-1512. PhD thesis, Bath Spa University, 2012
- plusieurs articles dans : Une histoire pour un royaume, XIIe-XVe siècle : actes du colloque "Corpus Regni" organisé en hommage à Colette Beaune (liste ici), ul : DC 82 H673 2010
- Elizabeth A. R. Brown, « La mort, les testaments et les fondations de Jeanne de Navarre, reine de France (1273-1305) »
- Franck Collard et Isabelle Heullant-Donat, « Deux autres Jeanne. Figures de reines défigurées aux XIVe et XVe siècles » (Jeanne de Navarre, liée tardivement à la légende de la Tour de Nesle)
- André Finot, Comtes de Champagne, rois de Navarre. Le dernier comte roi Don Enrique el Grueso. Minorité de la reine Dona Juana. Régence de la reine Dona Blanca. Mémoires de la société académique de l'Aube, 1928 http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5745586k
- minorité
- fondation du collège de Navarre
brus de Philippe le Bel[modifier | modifier le code]
- sur les frères d'Auynay
- Laurent Nabias,[ https://hal-univ-paris3.archives-ouvertes.fr/hal-01408358/ « Les Gallois d'Aunay, un lignage francilien »], Mémoires publiés par la fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et l'Ile de France, Fédération des sociétés historiques et archéologiques de Paris et de l'Ile-de-France, 2009, 60, pp.23-51.
Marguerite de Bourgogne[modifier | modifier le code]
Marguerite de Bourgogne (1290-1315) (d · h · j · ↵)
- Anne-Hélène Allirot, « « Aiiés pité de moy » : la pénitence de quelques dames scandaleuses entre 1250 et 1350 », Cahiers de recherches médiévales et humanistes, 25 | 2013, 213-221. https://crm.revues.org/13090
- Marguerite de Bourgogne sur le forum Histoire Passion (passage Jean d'Outremeuse, etc.)
- Brown, Elizabeth A. R., « Diplomacy, adultery and domestic politics at the court of Philip the Fair: Queen Isabelle's mission to France in 1314 » . (1989) - In: Documenting the Past : Essays George Peddy Cuttino p. 53-83
- Sophie Mentzel, « Marguerite de Bourgogne, reine et criminelle en représentation au théâtre et au cinéma », Actes du colloque international Le Spectacle du crime féminin sur la scène et dans le cinéma européen, Université de Rouen 14-16 novembre 2018 (dir. Ariane Ferry, Sylvie Humbert-Mougin, Judith Le Blanc, Gwénaëlle Le Gras et Sandra Provini). À paraître aux Presses Universitaires de Rouen et du Havre (PURH).
- Jean d'Outremeuse, le seul à faire allusion aux bourses données par Isabelle de France, reine d'Angleterre
- index Louis X dans Jean d'Outremeuse - index Marguerite de Bourgogne - index Philippe V le Long - index Jeanne de Bourgogne - index Charles IV le Bel
- Marguerite de Bourgogne : vol. 6, p. 101 (mariage), 141 (fille Jeanne), 209 éprouvée par des bêtes sauvages, 197, 218 (adultère), 198, 208 (mort), faussement accusée par Enguerrand de Marigny
- Jeanne de Bourgogne, vol. 6, p. 104 (mariage), 221, 479, 480
- Blanche de Bourgogne : vol. 6, p. 109 (mariage), p. 197-198 (adultère et prison), p. 266 (divorce), 351
- Miroir des histoires de Jean d'Outremeuse, vol. 6
- Tour de Nesle et Buridan
- Roger de Beauvoir, L'Écolier de Cluny ou le sophisme. 1315, Paris, H. Fournier Jeune, 1832 (édition originale) (la reine tueuse de la tour de Nesle y est Jeanne de Bourgogne, épouse de Philippe V) (autres éditions plus tardive sur Gallica, donc une intitulée L'Écolier de Cluny ou la Tour de Nesle)
- Fryčer, Jaroslav, « La prose frénétique dans la littérature française », Études romanes de Brno, Volume 20 (1990), p. 9-22 : « [p. 13 :] L'écolier de Cluny de Roger de Beauvoir a été sept fois réédité entre 1832 et 1881. [p. 15-16 :] Roger de Beauvoir cite trois ouvrages dont il s'est servi dans l'Ecolier de Cluny, à savoir Brantôme, l'Histoire de France de Robert Gaguin et le dictionnaire de Bayle, etc. »
- Marsan, Jules. « ‘L'Écolier De Cluny’ Et ‘La Tour De Nesles’ Un Drame Inédit De Roger De Beauvoir », Revue d'Histoire littéraire de la France, vol. 24, no. 2, 1917, pp. 227–234., www.jstor.org/stable/40518014. (une version pour le théâtre de l'Écolier de Cluny, demeurée inédite)
- ici sur la diffusion du thème en 1832 (circonstances de création de la cantaille de Monpou)
- Hippolyte Monpou, La Tour de Nesle, voix et piano, paroles d'Édouard-Roger de Bully (pseudo de Roger de Beauvoir), 1832
- Alexandre Debacq, Des pêcheurs trouvant un cadavre au pied de la tour de Nesle, 1840 (peinture)
- éd. de La Tour de Nesle de Dumas, 1901, illustrée par Robida****
- La tour de Nesle de Delcourt et Le Faure
- faire rech IA
- Frédéric Gérard
- Paul de Couder, Léon Marcy, Histoire de la Tour de Nesle (aussi traduit en italien)
- Tour de Nesle à Pont à Mousson
- romans de Cordel
- rech avec Tour de Nesle, Buridan et Marguerite de Bourgogne ds plusieurs langues
- Adrien Guignery, L'amour d'une reine, Paris, Albert Méricant, éditeur, 1900 (Nouvelle Collection illustrée, no 164)
- titre en 1900 : Amours d'une reine
- ico 1
- ico 2
- Albert Méricant, d'abord associé avec Didier (Didier-Méricant, 1897-1900) publie seul de 1900 à 1928
- Geneviève De Viveiros, Albert Méricant: éditeur innovateur de la Belle Époque
- autre résumé
- commons:Category:Albert Méricant
- Histoire complète de la Tour de Nesle ... suivi des amours et aventures de Marguerite de Valois surnommée La reine Margot, 1871 (ico)
- Histoire de la Tour de Nesle (autre adaptation populaire de la pièce), 1850 (ico)
- Mystères et catastrophes sanglantes de la tour et du chateau de Nesle au XIVe siècle avec un précis archéologique et historique https://books.google.ca/books?id=ZqpJAAAAcAAJ&dq=%22Blanche+de+Bourgogne%22+nesle&hl=fr&source=gbs_navlinks_s, 1853 (ico)
-
Frédéric Peyson, Marguerite de Bourgogne écoutant Buridan
-
Peyson, Marguerite de Bourgogne assise
- article sur pièce de Dumas
- suiveurs de la pièce de Dumas
- The Tower of Nesle (dispo ici)
- Henri Demesse (1854-1908), La tour de Nesle, 1880 et Marguerite de Bourgogne
- Henri Demesse, La Tour de Nesle : grand roman inédit, tiré du célèbre drame de Frédc Gaillardet et Alexandre Dumas, Paris : J. Rouff et Cie, 1899-1901 (1re éd. 1880 ?), 2 tomes, dispo Gallica
- Henri Demesse, Marguerite de Bourgogne, Paris : J. Rouff, DL 1897, 2 vol. (dispo Gallica)
- autre version sur Internet Archive : Marguerite de Bourgogne : grand roman inédit d'amour, de cape et d'épée (d'abord paru en feuilleton) : vol. 1 - vol. 2
- rech. avec mot-clé "Marguerite de Bourgogne" sur Gallica (Amours tragiques de Marguerite de Bourgogne, Episodes de la tour de Nesle, Supplique de Marguerite de Bourgogne près de MM. les juges et avocats du barreau de Paris...)
- Gustave Flaubert, Dernière scène de la mort de Marguerite de Bourgogne
- tour de Nesle au cinéma
- Hervé Dumont, « Le scandale de la Tour de Nesle (1314) » sur Encyclopédie du film historique [en ligne], volume 2 : Moyen Âge et Renaissance, 2013 ...Alexandre Dumas se sert de cette légende pour "La Tour de Nesle", une tragédie en cinq actes et neuf tableaux coécrite avec Frédéric Gaillardet et Jules Janin (1832), qui devient carrément le prototype du mélo historique sanglant. En réalité, Dumas n’a fait que corriger et réécrire (à la demande du Théâtre de la Porte-Saint-Martin à Paris) une pièce maladroite de Gaillardet ; le public lui attribua bientôt tout le mérite de son succès retentissant, provoquant même un duel entre les deux auteurs. Le triomphe de la pièce (avec la célèbre Mademoiselle George, protégée de Bonaparte et du tsar Alexandre Ier, dans le rôle de la reine) lui évita la censure de Thiers en 1836, mais le texte fut néanmoins interdit entre 1853 et 1861. L’action est déplacée à début décembre 1314, au moment où Louis X le Hutin accède au trône : Marguerite de Bourgogne n’est alors plus princesse, mais reine de France, ce qui rend la chose plus croustillante encore !
Michel Zévaco en fera de même avec son roman "Buridan, héros de la Tour de Nesle" en 1911 (cf. film de 1923).
- http://michelzevaco.com/index.php/bibliographie-de-michel-zevaco/ (pour 1re parution)
- La Tour de Nesle (film, 1909)
- La Tour de Nesle (film, 1909)
- résumé : ici et là
- Henri Demesse a tiré de la pièce de Dumas, Gaillardet et Janin un roman de plus de 1700 pages en 1880. Notons, en outre, "La Mort de Marguerite de Bourgogne", un drame d’Éliacin Jourdain (Paris, 1845) et la parodie-vaudeville "La Tour de Nesle à Pont-à-Mousson" de Théodore Cogniard et Clainville (Paris, 1861).
- popularité de la légende la Tour de Nesle
- François Amy de la Bretèque, « Représentations du Moyen Âge dans les séries d’art françaises », 1895. Mille huit cent quatre-vingt-quinze [En ligne], 56 | 2008. (parlant du film La Tour de Nesle de 1909 et citant Amalvi)
- Christian Amalvi, Le Goût du Moyen Âge, 1996 (dispo UL, BAnQ) (grande popularité de La Tour de Nesle tournant XIXe s.-XXe s.)
- opéras
- Margherita di Borgogna
Zévaco[modifier | modifier le code]
- histoire de l'édition de Buridan, héros de la Tour de Nesle et Marguerite de Bourgogne
- Buridan, Le héros de la Tour de Nesle (1905/1911), (Les Mystères de la Tour de Nesle), [1.Les Amours de Marguerite de Bourgogne; 2.L’Élixir d’Amour], [1.Buridan; 2. Mabel, la femme en noir], [1.Marguerite de Bourgogne]
- La Reine sanglante, Marguerite de Bourgogne (1905/1911), (Les Mystères de la Tour de Nesle), [3–4. La Cour des miracles], [2. Myrtille]
- d'abord publié sous le titre Les Mystères de la Tour de Nesle en 215 feuilletons publiés dans La Petite République Socialiste, du 11 mai au 11 décembre 1905. (Roman en 2 parties : p1. La Fiancée de Buridan [feuilletons 1-120]; p2. Le Capitaine Buridan [feuilletons 121-215].) (correspond à Buridan, le Héros de la Tour de Nesle) et La Reine sanglante, Marguerite de Bourgogne
- publié ensuite en 1909 dans Le Journal des Romans Populaires Illustrés (multiples numéros).
- 1re publication en livre : 1911 – Tallandier, Le Livre national, # 82, 83. (Les romans héroïques). En 2 volumes : 1. Buridan, Le héros de la Tour de Nesle. [55 chapitres, en 486 pp.]; 2. La Reine sanglante, Marguerite de Bourgogne. [43 chapitres & un ‘Conclusion’, en 397 pp.]
- couverture de Buridan, Le héros de la Tour de Nesle de 1911
- et ici
- rech image avec buridan Journal des Romans Populaires Illustrés, zévaco + buridan
- biblio
- DUFOURNET Gabriel, « Buridan, le Héros de la Tour de Nesle, de Michel Zévaco », in Le Phare Fouilleur, 1979, n°6, pp. 7 et 8.
- diffusion
FIGUEROLA Carme, "Michel Zévaco en Espagne", Oeuvres & Critiques, 2006, vol.31, núm. 2, p. 119-141
en Espagne[modifier | modifier le code]
- Littérature de cordel, traduction de Dumas, Zévaco...
- Margarita de Borgoña, Buridan, Torre de Nesle...
- Une bibliothèque bleue espagnole? Les historias de cordel (XVIII-XXe siècles)
- Margarita de Borgoña o la Torre de Nesle (Paris, 1832, traduction de 1836) qui inspire Margarita de Borgoña, reina de Navarra y Francia. Historia de los crímenes de esta célebre cortesana por B. M. (Sucs. de Bosch)
- López de Meneses Amada. Pliegos sueltos románticos. La Torre de Nesle, Catalina Howard, El Conde de Montecristo y Lucrecia Borgia en España.. In: Bulletin Hispanique, tome 53, n°2, 1951. pp. 176-205. (traduction espagnole de Dumas, reproduction des textes de cordel)
- Margarita de Borgoña, reina de Francia : Romance histórico de los sangrientos asesinatos perpetrados por dicha Margarita (cordel)
- Margarita de Borgoña [Texto impreso :(misterios de la torre de Nesle) : novela histórica original / de Ramón R. Luna]***
- La torre de los crimenes, el suplicio de una reina, 1865, 1re version non illustrée
- Margarita de Borgoña, Carrillo, Álvaro, Publicado por Maucci (1911) (trad de Zévaco ?)
- LA TORRE DE NESLE. Novela Histórica del tiempo de la Reina Margarita de Borgoña, 1888 RARA EDICION ILUSTRADA POR JOSE ROY
Ico[modifier | modifier le code]
Clémence de Hongrie[modifier | modifier le code]
Jeanne de Bourgogne (épouse Philippe V)[modifier | modifier le code]
- Gustave Duhem, « Jeanne de Bourgogne, Comtesse de Poitiers et Reine de France », Mémoires de la société d'émulation du Jura, 12e série, vol. 1, 1928-1929, p. 139-173.
- Paul Lehugeur, Histoire de Philippe le Long, roi de France : 1316-1322, 2 tomes, dispo sur Gallica
- traité d'Evreux, 1291
- sur traité de Vincennes (1295) qui cède la Franche-Comté à la France
- administration du comté de Bourgogne par Jeanne
- Michelle Bubenicek, https://www.cairn.info/revue-du-nord-2009-2-page-259.htm « De Jean l'Aîné († 1306) à Jean II de Bourgogne († 1373) : les sires de Montaigu, des héritiers déçus ? », Revue du Nord 2/2009 (n° 380), p. 259-293 DOI : 10.3917/rdn.380.0259.
- Funck-Brentano Frantz. Philippe le Bel et la noblesse franc-comtoise I.. In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1888, tome 49. pp. 5-40.
- Funck-Brentano Frantz. Philippe le Bel et la noblesse franc-comtoise (suite et fin). Pièces justificatives.. In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1888, tome 49. pp. 238-253.
- M. Fleury-Bergier, Philippe le Bel et Othon IV, comte palatin de Bourgogne. Mouvance de la Franche-Comté envers l'empire germanique au moyen âge, 1890
- Histoire de la réunion de la Franche-Comté à la France
- La Franche-Comté et les anciens Pays-Bas, XIIe-XVIIIe siècles, t. 1 : Aspects politiques, diplomatiques, relig[i]eux et artistiques, 2010 (UL : DC 611 F815 F816 2010 1), notamment :
- Laurence DELOBETTE et Nicole BROCARD, Entre France et Empire : le mariage d’Othon IV et de Mahaut d’Artois (1285)
- et autres communications
- Provinces et Etats dans la France de l'Est : le rattachement de la Franche-Comté à la France : espaces régionaux et espaces nationaux : actes du colloque de Besançon, 3 et 4 octobre 1977, p. 207-231 extraits Google (UL : AS 162 B554 2e sér. 216 )***
- Redoutey, Jean-Pierre, La Franche-Comté sous Philippe le Bel ou Philippe le Bel et la Franche-Comté
- Michel Parisse, etc.
- Redoutey, Jean-Pierre, Le Comté de Bourgogne de 1295 à 1314. Problèmes d'administration. - In: Mémoires de la Société pour l'histoire du droit et des institutions des anciens pays bourguignons vol. 33 (1975/76) p. 7-65
- M.-T. Allemand-Gay, Le pouvoir des comtes de Bourgogne au xiiie siècle, Besançon, 1988 (Annales littéraires de l’Université de Besançon, 368) (dispo UL : AS 162 B554 2e sér. 368) (bof)
- Georges Lizerand, Clément V et Philippe IV le Bel, 1910
- études sur Mahaut d'Artois, sur Philippe le Bel
- Mahaut d'Artois : une femme de pouvoir / Christelle Balouzat-Loubet., dispo BAnQ
- Richard, Une petite-nièce de Saint Louis, Mahaut d'Artois
- Godefroy Menilglaise, « Mahaut comtesse d'Artois : accusation de sortilège et d'empoisonnement, arrêt d'absolution, confédération des nobles du Nord de la France », Mémoires de la Société des Antiquaires de France, t. 28, 1865, p. 181 et suiv. (accusation d'avoir fait préparer des philtres d'amour pour ramener l'entente entre le comte et la comtesse de Poitiers...)
- Pascal Ladner, « L’Administration royale de la Franche-Comté sous Philippe le Bel (1295-1314) », Publications du Centre Européen d'Etudes Bourguignonnes, vol. 4, 1962, p. 77-86 DOI 10.1484/J.PCEEB.3.26
- ico
- sources internet où piocher
- mécénat
- Erlande-Brandenburg Alain. Un reliquaire de Philippe V et de Jeanne de Bourgogne. In: Bulletin Monumental, tome 133, n°4, année 1975. p. 333.
- patronage Saint-Jacques-de-l'Hôpital et confrérie Saint-Jacques aux Pélerins de Paris
- Jean Pucelle
- comptes d'Artois... Mahaut d'Artois...
Épouses de Charles IV le Bel[modifier | modifier le code]
- Mollat Guillaume. Jean XXII et Charles IV le Bel (1322-1328) [Auguste Coulon et Suzanne Clémencet, Lettres secrètes et curiales de Jean XXII (Bibliothèque des Écoles françaises d'Athènes et de Rome). ]. In: Journal des savants, 1967, n°2. pp. 92-106. http://www.persee.fr/doc/jds_0021-8103_1967_num_2_1_1148
- dispense de 1322' projet de mariage avec Yolande d'Aragon, union avec Marie de Luxembourg, rel. Pape avec Jeanne d'Évreux,
Blanche de Bourgogne[modifier | modifier le code]
- Anselme (descendance, captivité)
- livre d'heures possible
- NEW YORK, Public Library, Spencer 56
- notice sur JONAS
- manuscrit numérisé
- https://digitalcollections.nypl.org/search/index?utf8=✓&keywords=Spencer+Collection+Ms.+056#
- https://digitalcollections.nypl.org/items/510d47da-ec9a-a3d9-e040-e00a18064a99
- https://digitalcollections.nypl.org/items/6ca744d0-29a3-b36c-e040-e00a18067ddd
- ico (voir Delisle pr description) : dame en prière sur nombreuses enluminures
- aurait été commandé par Mahaut d'Artois pour en faire cadeau à sa fille Blanche épouse de Charles le Bel (Brown 2007); aussi associé à Blanche de France, duchesse d'Orléans
- Elizabeth A. R. Brown, "Laver de ses pechiés une pecheresse royale : Psalm Collects in an Early Fourteenth-Century Devotional Book" , in : Cultural Performances in Medieval France: Essays in Honor of Nancy Freeman Regalado, Cambridge, Brewer, 2007 : p. 163-177.
- rel. Blanche avec sa mère après son emprisonnement
- Delisle, Les Heures de Blanche de France, duchesse d'Orléans, in : Bibliothèque de l'Ecole des Chartes, 66, 1905 : p. 489-539.
- liste des enluminures, p. 503
- Thomas de la Marche
Thomas de La Marche (d · h · j · ↵)
- Marcellin Boudet, Thomas de La Marche, bâtard de France, et ses aventures : 1318-1361, 1900 Internet Archive - Gallica
- Marcellin Boudet, « Charles le Bel et Thomas de la Marche », Le Moyen Âge, 1901
- Marcellin Boudet, « Nouveaux documents sur Thomas de la Marche, seigneur de Nonette et d'Auzon, bâtard de France », Le Moyen Âge, 1903
- Gaston Paris, [ Notice critique sur l'ouvrage de] Marcellin Boudet. Thomas de La Marche, bâtard de France et ses aventures (1318-1361), Journal des Savants, décembre 1900, pp. 694-707.
- Moranvillé Henri. De l'origine de Thomas de la Marche. In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1905, tome 66. pp. 281-286.
- ici
- ici
Marie de Luxembourg[modifier | modifier le code]
- ico
Jeanne d'Évreux[modifier | modifier le code]
- Charon Philippe. Contribution à l'histoire des principautés territoriales en France à la fin du Moyen Âge : l'exemple de la principauté d'Evreux, 1298-1378. In: Journal des savants, 1995, n°1. pp. 145-177.
- RABEL, Claudia. Des histories de famille. La dévotion aux Trois Maries en France du XIVe au XVe siècle. Textes et images. Revista de História da Arte, n. º 7 (2009), 2009, vol. 7, p. 121-136. https://run.unl.pt/bitstream/10362/16651/1/RHA_7_ART_6_CRabel.pdf (Diffusion du culte des trois Maries par Jeanne d'Evreux
- ico
- Jeanne d'Évreux sur Mandragore
- Philippe de Valois nommé régent (enluminure montrant Jeanne d'Evreux, enceinte, qui semble d'un geste confier la régence à Philippe de Valois)
- Blanche de Navarre et Jeanne d'Évreux intercède pour Charles le Mauvais
- Procession baptême Charles VI
-
Procession de baptême du futur Charles VI, porté par sa marraine Jeanne d'Évreux (Grandes chroniques de France de Charles V, (bnf fr 2813) commentaire politique de la scène
Jeanne de Bourgogne (Philippe VI)[modifier | modifier le code]
Jeanne de Bourgogne (v. 1293-1349) (d · h · j · ↵)
- voir brouillon particulier : Utilisatrice:BeatrixBelibaste/Brouillons/bac35
[modifier | modifier le code]
- Surget, M. (2010). La fratrie, un ménage de remplacement ? Les solidarités familiales privées chez les Enfants de Navarre dans la France du XIV e siècle. Revue Historique De Droit Français Et étranger (1922-), 88(4), 499-522. Retrieved from http://www.jstor.org/stable/43852592
- Surget Marie-Laure. Mariage et pouvoir : réflexion sur le rôle de l'alliance dans les relations entre les Evreux-Navarre et les Valois au XIV siècle (1325-1376) . In: Annales de Normandie, 58ᵉ année, n°1-2, 2008. pp. 25-56. http://www.persee.fr/doc/annor_0003-4134_2008_num_58_1_6192#
- Jean le Bel et Villani affirmant concurrence entre Philippe VI et Jean pour épouser Blanche (p. 44)
- Charon Philippe, « Révoltes et pardons dans les relations entre Charles II de Navarre et la dynastie des Valois (1354-1378) », dans Violences souveraines au Moyen Âge. Travaux d’une École historique. Paris, Presses Universitaires de France, « Le Noeud Gordien », 2010, p. 205-215. DOI : 10.3917/puf.sere.2010.01.0205. URL : http://www.cairn.info/violences-souveraines-au-moyen-age--9782130573630-page-205.htm (dispo UL)
- Thomas Paul. Lucas (Henry-Stephens) — The Low Countries and the Hundred Years War, 1326-1347, 1929. In: Revue du Nord, tome 17, n°67, août 1931. pp. 250-253. http://www.persee.fr/doc/rnord_0035-2624_1931_num_17_67_1555_t1_0250_0000_2
- Alliance France Brabant Flandre 1346 (mariage Louis de Male, ancien fiancé de Blanche, avec Marguerite de Brabant
- mariage avec Philippe VI
- dispense de consanguinité et source pour mariage le 19 janv 1350 dans Mollat, Clément VI et Blanche de Navarre
- ico
- groupe de donateurs royaux priant (un roi, une reine, un prince) daté de vers 1350, conservé au MET (identifiés respectivement à Philippe de Valois, Blanche de Navarre (ou Jeanne de Bourgogne, Jeanne de Boulogne, Jeanne de Bourbon) et le futur Jean II (aussi Charles V)
Jeanne de Boulogne / d'Auvergne[modifier | modifier le code]
Jeanne Ire d'Auvergne (d · h · j · ↵ · ©)
- ico
- commons:Category:Joan I of Auvergne
- vérifier les sources/exactitudes des images de la cat. commons (Roman du comte d'Artois... tombeau dans Baluze?)
- (attention à ne pas confondre avec Jeanne de Boulogne/Auvergne dans le roman du comte d'Artois)
- ico
- ico2
- couronnements et joyeuses entrées de Jean II le Bon
- entrée de Jean II à Paris par Fouquet (avec Jeanne d'Auvergne)
- Jean II, dit le Bon et Jeanne d'Auvergne, sa seconde femme (gravure du XIXe siècle), Abel Hugo, France historique et monumentale, pl. LXX et description p. 426
- héritage Bourgogne/Franche-Comté/Artois pour son fils (acquisition, résistance, gestion, régence, face aux anglais...)
- J. Richard, Les ducs de Bourgogne et la formation du duché (xie-xive s.), Paris, les Belles-Lettres, 1954
- Michelle Bubenicek, « De Jean l'Aîné († 1306) à Jean II de Bourgogne († 1373) : les sires de Montaigu, des héritiers déçus ? », Revue du Nord 2/2009 (n° 380), p. 259-293 DOI : 10.3917/rdn.380.0259.
- M. Gresset, P. Gresser et J.-M. Debard, Histoire de l’annexion de la Franche-Comté et du pays de Montbéliard, Le Coteau, 1988 (pas dispo UL)
- influence limitée de la reine Jeanne auprès du roi et de la cour de France
- lettre de Jeanne à Pierre le Cérémonieux, roi d'Aragon, qui la priait d'intervenir auprès de Charles II de Navarre pour l'inciter à épouser une princesse aragonaise, l'une des filles du roi Pierre II de Sicile : la reine lui répond en l'invitant à s'adresser plutôt à Jeanne d'Évreux et Blanche de Navarre (lettre datée de décembre 1350[21])
- Avezou Robert. Rapport à M. le Directeur des Hautes-Etudes hispaniques (suite). In: Bulletin Hispanique, tome 29, n°3, 1927. pp. 283-292, ici p. 285-286
- voir sur cette lettre, commentaire dans Autrand, Jean de Berry
- « Jeanne de Boulogne ne semble avoir joué aucun rôle politique. L’essentiel de ce que l’on connaît d’elle tient dans les « joyeuses entrées » qu’elle effectue dans les villes du royaume. Durant la captivité de son époux en Angleterre elle ne semble à aucun moment tentée par le pouvoir. Le peu que l’on sait de son itinéraire nous la montre constamment éloignée de son époux. »[22])
- Raymond Cazelles, « Jean II le Bon : Quel homme? Quel roi? », Revue Historique, T. 251, Fasc. 1 (509) (JANVIER-MARS 1974), pp. 5-26 JSTOR:40952980 [dispo sur Gallica]
- a la garde des enfants de Jean le Bon (du moins ses deux plus jeunes fils) jusqu'en 1351
- succession de Bourgogne
- B.-A. Pocquet du Haut Jussé, « La succession de Bourgogne en 1361 », Annales de Bourgogne, 1938
- Ernest Champeaux, « Charles de Navarre et la falsification des consuetudines ducatus Burgandiae », dans Mémoires de la Société pour l'histoire du droit et des institutions des anciens pays bourguignons, comtois et romands, fasc. 2, 1935, p. 186-187
- Ernest Champeaux, « La succession de Bourgogne à la mort de Philippe de Rouvres », Mémoires de la Société pour l’histoire du droit et des institutions des anciens pays bourguignons, comtois et romands, 3, 1936, p. 5-50
- Ernest Champeaux, « Un dossier inédit de la succession de Bourgogne (1361) », Mémoires de la Société pour l'histoire du droit et des institutions des anciens pays bourguignons, comtois et romands, 3, 1936, p. 83-123
- Jean Gaudemet, « Les prétentions de Charles II roi de Navarre à la succession de Philippe de Rouvres », Mémoires de la Société pour l'histoire du droit et des institutions des anciens pays bourguignons, comtois et romands, fasc. 3, 1936, p. 51-81.
- Pierre Petot, « L'accession de Philippe le Hardi au duché de Bourgogne et les actes de 1363 », Mémoires de la Société pour l'histoire du droit et des institutions des anciens pays bourguignons, comtois et romands, fasc. 2, 1935, p. 1-9
- Pierre Petot, « L'avènement de Philippe le Hardi et les lettres du 2 juin 1364 », Mémoires de la Société pour l'histoire du droit et des institutions des anciens pays bourguignons, comtois et romands, fasc. 3, 1936, p. 125-137
- Francis Salet, « Histoire et héraldique, la succession de Bourgogne de 1361 », dans Mélanges René Crozet, t. II, Poitiers, 1966, p. 1307-1316
- influence famille de Boulogne sur Jean II
- Cazelles
- Jugie Pierre. L'activité diplomatique du cardinal Gui de Boulogne en France au milieu du XIVe siècle. In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1987, tome 145, livraison 1. pp. 99-127.
- Jugie, Pierre. Les liens privilégiés de quelques cardinaux avec les duché et les comté de Bourgogne dans la seconde moitié du XIV siècle (2010) - In: L'Eglise et la vie religieuse, des pays bourguignons à l'ancien royaume d'Arles p. 41-52
- couronnement
- Desportes Françoise, Desportes Pierre, « Le sacre de Jean le Bon d'après ses comptes », Marie-Thérèse Caron, Pierre Desportes, Marie-Claude Gerbet et al., Villes et sociétés urbaines au Moyen Âge, mélanges Jacques Heers, Paris, Presses de l'université de Paris Sorbonne, 1994, p. 185-205 (UL : HT 115 V7471 1994)
- refuge en Bourgogne (1356-1360) après Poitiers
- mort et sépulture
- selon père Anselme, corps à Saint-Denis et coeur aux Célestins de Paris (idem Jean II le Bon)
- mention et indication de la sépulture de cœur de Jean II et Jeanne de Boulogne aux Célestins de Paris (fondé par le futur Charles V) (1352) :
- Louis Beurrier, Histoire du monastère et couvent des Pères célestins de Paris, 1634, p. 279-280
- résumé histoire Célestins de Paris
- abbaye de Fontenay, sépulture de Philippe de Bourgogne, comte de Boulogne (époux de Jeanne de Boulogne); de Jeanne de France, duchesse de Bourgogne et de la petite-fille de celle-ci, Jeanne de Bourgogne (fille de Jeanne de Boulogne), gravure du tombeau : File:Fontenay Johany.jpg (photocopie d'une gravure parue dans Dom Plancher, (PLANCHER (Dom U.), Histoire générale et particulière de Bourgogne…, op. cit., tome II, p. 238) (voir aussi Histoire des ducs de Petit)
- Cîteaux : Eudes IV et Philippe de Rouvre y sont inhumés
- Sainte-Chapelle de Dijon : Jeanne de Boulogne a un moment le projet d'y faire dresser le tombeau de son défunt époux, Philippe de Bourgogne
- fait travailler divers artistes à son tombeau et à celui de son premier époux, Philippe de Bourgogne :
- école franco-flamande
- [3] cite Jean de Soignolles, Guy Jobelet de Fleury, Hennequin de Bruxelles, qu'on retrouve ensuite travaillant pour Philippe le Hardi
- Kleinclausz, [Arthur: http://digi.ub.uni-heidelberg.de/diglit/gba1905_2/0036?sid=6afac74e740ae8465da055c3e9a2c858&ui_lang=eng Les prédécesseurs de Claus Sluter], Gazette des Beaux-Arts, 1905 (article en pdf)
- ico
- Jeanne d'Auvergne sur Mandragore (couronnement, joyeuse entrée)
Jeanne de Bourbon[modifier | modifier le code]
- ancienne historiographie
- Catherine Bearne, Pictures of the Old French Court; Jeanne de Bourbon, Isabeau de Bavière, Anne de Bretagne, 1900
- Frank Hamel, The Dauphines of France, 1909 / 1910 internet archive
- images sur Flickr - certaines sur Commons
Isabeau de Bavière[modifier | modifier le code]
Isabeau de Bavière (d · h · j · ↵)
- rôle dans la consommation, la mode / mécénat
- pouvoir et influence politique
- lien avec Christine de Pizan
- mauvaise réputation / historiographie
- rôle comme médiatrice /diplomatie / paix
- pouvoir et influence politique
- Rachel Gibbons, « Isabeau de Bavière : reine de France ou « lieutenant-général » du royaume ? », dans Éric Bousmar, Jonathan Dumont, Alain Marchandisse et al. (dir.), Femmes de pouvoir, femmes politiques durant les derniers siècles du Moyen Âge et au cours de la première Renaissance, Bruxelles, De Boeck, coll. « Bibliothèque du Moyen Âge » (no 28), , 656 p. (ISBN 978-2-8041-6553-6, lire en ligne), p. 101-112.
- rôle dans la consommation, la mode / mécénat
- (en) Rachel Gibbons, « The Queen as "social mannequin". Consumerism and expenditure at the Court of Isabeau of Bavaria, 1393-1422 », Journal of Medieval History, vol. 26, no 4, , p. 371-395 (ISSN 0304-4181, DOI 10.1016/S0304-4181(00)00010-5, lire en ligne). [lien alternatif pour lire en ligne]
- mauvaise réputation / historiographie
- (en) Tracy Adams, The Life and Afterlife of Isabeau of Bavaria, Baltimore, Johns Hopkins University Press,
- Tracy Adams, « Isabeau de Bavière : la création d'une reine scandaleuse », Cahiers de recherches médiévales, Ouzouer-le-Marché, CRMH, no 25 « Le droit et son écriture. La médiatisation du fait judiciaire dans la littérature médiévale », , p. 223-235 (ISSN 2273-0893, lire en ligne).
- (en) Tracy Adams et Glenn Rechtschaffen, « The Reputation of the Queen and Public Opinion : The Case of Isabeau of Bavaria », Medieval Feminist Forum. Journal of the Society for Medieval Feminist Scholarship, University of Iowa, vol. 47, no 1, , p. 5-31 (lire en ligne)
- (en) Rachel Gibbons, « Isabeau of Bavaria, Queen of France (1385-1422): The Creation of an Historical Villainess », Transactions of the Royal Historical Society, 6e série, vol. 20, , p. 51-73 (DOI 10.2307/3679229, JSTOR 3679229).
- Duong, Yen M., Materiality in the Queenship of Isabeau of Bavaria, thèse/mémoire, 2014
- « La Reine Ysabeau », Contes cruels, de Villiers de l'Isle-Adam; reine adultère, complice du meurtre de ses amants
- Sade et son Histoire secrète d’Isabelle de Bavière, reine de France
- Sade, Histoire secrète d’Isabelle de Bavière, reine de France
- Chantal Thomas, « Isabelle de Bavière : dernière héroïne de Sade », dans Michel Camus et Philippe Roger (dir.), Sade, écrire la crise, Paris, Belfond, 1983, p. 47-66.
- Chantal Thomas, « Rencontres entre Sade et l'univers des pamphlets ou le mal comme unique programme politique ». In: Littérature, n°84, 1991. Littérature et politique. pp. 14-22.
- François Mouttapa, « Isabella furiosa : le Moyen Âge des Lumières et l’héroïsation sadienne de la femme », Itinéraires, 2013-2 | 2014, 125-138.
- BORDAS, Éric. « Quand Sade récrit l’histoire de France : pouvoir de la représentation romanesque et (contre-) écriture politique dans Histoire secrète d’Isabelle de Bavière Reine de France (1813) » In : Écritures du pouvoir et pouvoirs de la littérature [en ligne]. Montpellier : Presses universitaires de la Méditerranée, 2001
- Dumas, Isabel de Bavière
- Alexandre Dumas, Chroniques de France : Isabel de Bavière, 1835
- Périnet Leclerc ou Paris en 1418, drame adapté de Dumas
- http://www.dumaspere.com/pages/dictionnaire/perinet_leclerc.html
- http://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb395044685 et http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8436362w (rôle d'Isabeau par Mlle George ds Périnet Leclerc)
- L'Amour d'une reine ou une nuit à l'hôtel St Paul (théâtre, 1837)
- Théâtre du Panthéon, 1837-09-28 notice bnf
- texte de la pièce
- ico sur Gallica
- peinture
- Convoi d’Isabeau de Bavière de Jean Truchot
- http://salons.musee-orsay.fr/index/notice/118027?offset=30
- https://fr.wikisource.org/wiki/Tableaux_poétiques/4_Le_Convoi_d’Isabeau_de_Bavière
- faire une rech. avec ce mot clé, ico existante
- sceau
- Isabeau de Bavière et son sceau, vidéo : L’institut national du patrimoine propose un entretien vidéo à propos du sceau d’Isabeau de Bavière. D’un caractère exceptionnel, le sceau d’Isabeau de Bavière tranche complètement avec les sceaux utilisés par les autres reines de France. La restauration du sceau d’Isabeau de Bavière a permis de mettre en valeur l’image remarquable de la reine.
- empreinte de sceau sur Gallica
Marie d'Anjou[modifier | modifier le code]
Marguerite d'Écosse[modifier | modifier le code]
- usage des princesses écossaises pour les politiques matrimoniales françaises ou bourguignonnes
- Fiona Downie, 'La voie quelle menace tenir': Annabella Stewart, Scotland, and the European Marriage Market, 1444-56, The Scottish Historical Review, Vol. 78, No. 206, Part 2 (Oct., 1999), pp. 170-191 dispo jstor
- Meredith Comba, Methods of Queenship in Matrimonial Diplomacy: Fifteenth Century Scottish Royal Women
- Auld Alliance
Charlotte de Savoie[modifier | modifier le code]
Charlotte de Savoie (d · h · j · ↵)
- Frizet, Yannick. “Louis XI et le partage familial de la dévotion”. Raynaud, Christiane. Familles royales : Vie publique, vie privée aux XIVe et XVe siècles. Aix-en-Provence : Presses universitaires de Provence, 2010. (pp. 145-184) (long développement sur rel. Charlotte avec Louis, usage en politique...)
- bibliophilie
- Anne-Marie Legaré, « Charlotte de Savoie (v. 1442-1483): Aimoit fort la lecture et les livres... », dans Christian Freigang and Jean-Claude Schmitt, éd. Hofkultur in Frankreich und Europa im Spätmittelalter/ La culture de cour en France et en Europe à la fin du Moyen Âge, Berlin, Akademie Verlag, 2005, p. 101-121. (dispo UL : DC 33.15 H711 2005)
- dans les arts et la fiction
- roman Charlotte de Savoie, reine de France, 1778, Nouvelles françaises, (vol. 2, no 7) de Louis d'Ussieux - en ligne, avec ico
- Tableau Louis XI à Amboise, Salon 1839, de Claudius Jacquand:
- "Chaque jour la reine donnait une leçon de lecture au dauphin, malgré la défense expresse de son royal époux... Furieux à la nouvelle de cette infraction à ses volontés, Louis XI arrive furtivement au château, et, après les plus violens emportemens, il sépare la reine de son fils. Peu de jours après, il la conduisait à Tours, laissant le jeune prince à Amboise, qui y demeura jusqu’au jour de son avènement au trône." (PH. DE COMMINES.)
- gravure
- LOUIS XI OF FRANCE SURPRISING THE QUEEN INSTRUCTING THE DAUPHIN CONTRARY TO HIS WILL sur Artnet
- Diptyque de Charlotte de Savoie
- http://test.latribunedelart.com/le-musee-savoisien-acquiert-le-diptyque-de-charlotte-de-savoie
- http://www.cornettedesaintcyr.fr/html/fiche.jsp?id=3348915&np=1&lng=fr&npp=10000&ordre=1&aff=1&r=
- https://www.persee.fr/doc/bulmo_0007-473x_2014_num_172_3_10425
- https://www.culture.gouv.fr/Regions/Drac-Auvergne-Rhone-Alpes/Actualites/Acquisition-d-une-oeuvre-historique-d-exception-le-diptyque-de-Charlotte-de-Savoie
Marguerite d'Autriche, fiancée de Charles VIII[modifier | modifier le code]
Marguerite d'Autriche (1480-1530) (d · h · j · ↵)
- Trombert, F., « Une reine de quatre ans à la cour de France: Marguerite d'Autriche, 1484-1485 », Autour de Marguerite d'Écosse, 1999, p. 123-162.
- Franck Collard, « La royauté française et le renvoi de Marguerite d'Autriche. Remarques sur la rhétorique de la paix et du rex pacificus à la fin du XVe siècle », Gisela Naegle (dir.), Frieden schaffen und sich verteidigen im Spätmittelalter / Faire la paix et se défendre à la fin du Moyen Âge, Munich : Oldenbourg, 2011, p. 343-356 (dispo UL) en ligne
- Gilles Docquier, « Convoi exceptionnel ou tournée de gala : retour et accueil de Marguerite d’Autriche, épouse répudiée, dans les Pays-Bas (1493) », dans Paul Delsalle, Gilles Docquier, Alain Marchandisse et Bertrand Schnerb (dir.), Pour la singuliere affection qu’avons a luy. Études bourguignonnes offertes à Jean-Marie Cauchies, Turnhout, Brepols, 2016 (Burgundica). (Brepols)
- ico
- portrait de la jeune Marguerite d'Autriche par Jean Hey, vers 1490, un an avant sa répudiation (avec commentaire et réf)
-
Portrait en 1483
-
Portrait par Jean Hey, vers 1490 (MET)
Marie d'Angleterre[modifier | modifier le code]
- Sadlack, Erin A. "Epistolary Negotiations: Mary the French Queen and the Politics of Letter-Writing" The Sixteenth Century Journal 41, no. 3 (2010): 691-711. . (campagne épistolaire pour faire accepter à son frère Henri VIII son remariage avec Charles Brandon)
Claude de France[modifier | modifier le code]
- Le Sacre, couronnement, triomphe et entrée de la reine et duchesse, Madame Claude de France, plusieurs exemplaires manuscrits
Éléonore d'Autriche /de Habsbourg[modifier | modifier le code]
Éléonore de Habsbourg (d · h · j · ↵)
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Ouvrages
- Michel Combet, Éléonore d'Autriche : seconde épouse de François Ier, Paris, Pygmalion, (ISBN 9782756400068, OCLC 280846991)
- Ghislaine De Boom, Éléonore d'Autriche, reine de Portugal et de France : Une sœur méconnue de Charles-Quint, Bruxelles, C. Dessart, , 237 p. (BNF 31843515) Réédition : Ghislaine De Boom, Éléonore d'Autriche : reine de Portugal et de France, Bruxelles, Le Cri Éd., , 180 p. (ISBN 9782871063254, OCLC 249146825)
- Articles
- Michel Combet, « Éléonore d'Autriche, une reine de France oubliée », dans Maurice Hamon et Ange Rovère (dir.), Être reconnu en son temps : personnalités et notables : 134e Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, Bordeaux, 2009, Éditions du CTHS, coll. « Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques (édition électronique) », (ISSN 1773-0899, lire en ligne), p. 15-25
- (en) Janet Cox-Rearick, « Power-Dressing at the Courts of Cosimo de' Medici and François I: The "moda alla spagnola" of Spanish Consorts Eléonore d'Autriche and Eleonora di Toledo », Artibus et Historiae, vol. 30, no 60, , p. 39-69 (JSTOR 25702881)
- Annemarie Jordan et Kathleen Wilson-Chevalier, « L’épreuve du mécénat : « Alienor d’Austriche », une reine de France effacée ? », dans Kathleen Wilson-Chevalier (dir.), Patronnes et mécènes en France à la Renaissance, Saint-Étienne, Publications de l’université de Saint-Étienne, coll. « L'École du genre », (ISBN 978-2-86272-443-0), p. 341-380 [lire en ligne (1)] - [lire en ligne (2)]
- Annemarie Jordan Gschwend, « Antoine Trouvéon, un portraitiste de Leonor d'Autriche récemment découvert », Revue de l'Art, no 159, , p. 11-19 (lire en ligne)
- (en) Annemarie Jordan Gschwend, « 'Ma meilleur soeur' : Leonor of Austria, Queen of Portugal and France », dans Fernando Checa (éd.), The Inventories of Charles V and the Imperial Family, vol. 3, Madrid, Fernando Villaverde Editores, (ISBN 978-2-86272-443-0), p. 2569-2592
- Chloé Pardanaud, « Plaider, convaincre, entrer en scène : Éléonore d’Autriche et la libération des Enfants de France, d’après sa correspondance inédite », Seizième Siècle, vol. 4, no 1, , p. 195-216 (lire en ligne)
- Aline Roche, « Une perle de pris : la maison de la reine Éléonore d'Autriche », sur Cour de France.fr, Paris, .
- (en) Kathleen Wilson-Chevalier, « Art patronage and women (including Habsburg) in the orbit of King Francis I », Renaissance Studies, vol. 16, no 4, , p. 475-524 (lire en ligne).
Catherine de Médicis[modifier | modifier le code]
- Catherine de Médicis (d · h · j · ↵ · BA)
- commons:Category:Caterina de' Medici
- rech. Avec italophbie, montée après 1570', travaux de jean balsamo, etc.
- ico
- représentation de Catherine de Médicis dans le tableau Le Massacre de la Saint-Barthélemy de François Dubois (XVIe s.)
- Massacre de la Saint-Barthélemy
- Nicolas Le Roux, « Le Massacre de la Saint-Barthélemy », Histoire par l'image [en ligne] : « Une silhouette sombre se découpe devant le bâtiment. Il s’agit de Catherine de Médicis, la mère du roi Charles IX. La reine mère apparaît également à deux autres endroits du tableau : sur le pont, et près de la Seine, en bas à gauche du tableau. Si Catherine de Médicis n’était pas présente lors du massacre, Dubois l’insère dans son tableau afin de lui imputer une responsabilité dans ce massacre. (...) Le tableau de Dubois attribue clairement la responsabilité des violences à la reine mère. L’œuvre participe à la construction de la légende noire de cette princesse. »
- Katharine Crawford, Catherine de Medicis and the Performance of Political Motherhood, Sixteenth Century Journal, vol. 31, no 3, november 2001,
- ico
- Troilo Orsini venant en aide à Catherine de Médicis, commandé par Marie de Médicis
- culture
- travaux de Chantal Turbide
- TURBIDE, Chantal. Les livres trouvés dans l’Hôtel de la Reine après le décès de Catherine de Médicis (1519-1589) In : Lectrices d'Ancien Régime [en ligne]. Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2003.
-
Catherine de Médicis et ses enfants
-
François Dubois, Le Massacre de la Saint-Barthélemy
-
Catherine de Médicis dans le tableau de Dubois
-
Édouard Debat-Ponsan, Un matin devant la porte du Louvre, 1880
- infertilité
- GORDETSKY, Jennifer, RABINOWITZ, Ronald, et O'BRIEN, Jeanne. The “infertility” of Catherine de Medici and its influence on 16th century France. Canadian Journal of Urology, 2009, vol. 16, no 2, p. 4585. http://canjurol.com/pdfs/DrGordetsky.pdf ***
- Susan Broomhall, Devoted Politics: Jesuits and Elite Catholic Women at the Later Sixteenth-century Valois Court, Journal of Jesuit Studies, Volume 2, Issue 4, 2015, pages 586 – 605 (rel. Catherine de Médicis avec Jésuites)
- sorcellerie, poison
- légende noire
- N. M. Sutherland, « Catherine de Medici: The Legend of the Wicked Italian Queen », The Sixteenth Century Journal, Vol. 9, No. 2, France in the Sixteenth Century (Jul., 1978), pp. 45-56
- Una McIlvenna, Scandal and Reputation at the Court of Catherine de Medici, Routledge, 2016 (dispo UL : PQ 239 M152 2016)
- McIlvenna, Una (2015) Poison, Pregnancy and Protestants: Gossip and Scandal at the Early Modern French Court. In: Kerr, Heather and Walker, Claire, eds. Fama and her Sisters: Gossip and Rumour in Early Modern Europe. Brepols, pp. 137-160.
- McIlvenna, Una (2013) ‘A Stable of Whores’? The ‘Flying Squadron’ of Catherine de Medici. In: Akkerman, Nadine and Houben, Birgit, eds. The Politics of Female Households Ladies-in-waiting across Early Modern Europe. Rulers and Elites, 4
- et autres travaux de Una McIlvenna
- Bailbé, Jacques. “La Saint-Barthélemy dans La Littérature Française” Revue d'histoire littéraire de la France, vol. 73, no. 5, 1973, pp. 771–777. www.jstor.org/stable/40525097.
- no spécial de la Revue d'histoire littéraire de la France sur le mythe de la Saint-Barthélemy http://www.jstor.org/stable/i40022952
- Katharine Crawford, Constructing Evil Foreign Queens
- William B. Robison, "Bad Girl, Bad Mother, Bad Queen: Catherine de’ Medici in Contemporary Fiction, Film, and History", Bad Girls and Transgressive Women in Popular Television, Fiction, and Film pp 159-182
- Lindsey J. Donohue, Catherine de' Medici: The Crafting of an Evil Legend, conférence de "jeunes historiens" (secondaire ?) - bon pour les sources
- Egío Garcia, J. L. (2014). "Si le lorrain, l’italien, ou quelque autre de mesme farine blesse la couronne". Black legend, patriotic construction of alternative enemies and religious persecution after the St. Bartholomew’s Day Massacre (1574-87). Bibliothèque d'Humanisme et Renaissance, 76(3), 451-469. **
- aussi xénophobie envers Italie
- mort et sépulture
- Caroline zum Kolk et Jacqueline Vons, Maladie, mort et funérailles de Catherine de Médicis ou : histoire curieuse d’une reine qui fut enterrée cinq fois (1588-1817), dans J. Cornette (dir.), La mort des rois, Saint-Denis, Presses Universitaires de Vincennes, 2016
- FOA, Jérémie. « On y sentait la mort » : Les morts de Catherine de Médicis In : La mort du prince : De l’Antiquité à nos jours [en ligne]. Aix-en-Provence : Presses universitaires de Provence, 2016
- mythe gastronomique
- Catherine de Médicis à la base de la gastronomie française
- Loïc Bienassis & Antonella Campanini, La reine à la fourchette et autres histoires. Ce que la table française emprunta à l’Italie: analyse critique d’un mythe, in La table de la Renaissance. Le mythe italien, curated by Pascal Brioist and Florent Quellier, Tours-Rennes, Presses Universitaires de Rennes / Presses Universitaires François-Rabelais de Tours, 2018 (Collection “Tables des Hommes”), pp. 29-88.***
- Loïc Bienassis, « Du brie de Charlemagne à la tarte renversée des sœurs Tatin : essai d’analyse des légendes culinaires et de leurs usages », In Situ [En ligne], 41 | 2019, mis en ligne le 10 décembre 2019, consulté le 31 mai 2020. URL : http://journals.openedition.org/insitu/25298 ; DOI : https://doi.org/10.4000/insitu.25298
- sceau
- Vilain-De Bruyne Ambre, « Le cachet de Catherine de Médicis. Une matrice réginale inédite », Revue de la BNF, 2013/1 (n° 43), p. 74-78. (type ico depuis Jeanne de Bourgogne, repris par Isabeau de Bavière, sceaux des reines de France XVIe-XVIIe s)***
- postérité
- SIMKENS, Tine et FRANS, Master. Catherine de Médicis Tyran machiavélique ou Reine-mère pacifique
- Henri III et sa cour de Dumas (Catherine en femme avide de pouvoir)
- dans la fiction
- L'éducation courtisane de Linda Sayeg, 2013 (une dame d'honneur de Catherine de Médicis)
- Florence FIX, « « Encore des barricades » ? Les États de Blois au théâtre (1810-1837) » in Le Lys recomposé. La représentation des pouvoirs sous l’Ancien Régime dans la littérature fictionnelle du XIXe siècle (1800-1850), Actes du colloque organisé à l’Université de Rouen en mars 2018, publiés par Laurent Angard, Guillaume Cousin, et Blandine Poirier. Publications numériques du CÉRÉdI, "Actes de colloques et journées d'étude (ISSN 1775-4054)", n° 22, 2019.
- passages sur la représentation de Catherine de Médicis dans diverses pièces de théâtre portant sur les États de Blois de 1588 qui se terminent par l'assassinat de Guise
- travaux d'Odile Krakovitch et Legoy pour le théâtre
- Odile Krakovitch, « Les femmes de pouvoir dans le théâtre de Dumas : de Christine à Messaline », Revue d'histoire littéraire de la France, no 4, , p. 811-829 (lire en ligne).
- Gaspard DELON et Sandra PROVINI, « Les représentations du conseil du roi à l’origine du massacre de la Saint-Barthélemy : des témoignages contemporains à La Reine Margot de Patrice Chéreau (1994) » in Dramaturgies du conseil et de la délibération, Actes du colloque organisé à l’Université de Rouen en mars 2015, publiés par Xavier Bonnier et Ariane Ferry. Publications numériques du CÉRÉdI, "Actes de colloques et journées d'étude (ISSN 1775-4054)", n° 16, 2016.
- ARTHUR, Stéphane. Guise sur scène : le jeu de l’amour et du pouvoir, ou les avatars historiques et extra-historiques d’un personnage dramatique In : Le théâtre de Dumas père, entre héritage et renouvellement [en ligne]. Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2018 (généré le 28 décembre 2019). Disponible sur Internet : <http://books.openedition.org/pur/87898>. ISBN : 9782753577497. DOI : 10.4000/books.pur.87898.
- jeux vidéo
- CIVILIZATION VI: CATHERINE DE’ MEDICI LEADS FRANCE
- Susan Broomhall, « Feelings for Powerful Women », Histories of Emotion, JULY 29, 2016
- voir aussi
- Catherine De' Medici sur Academia.edu
- https://www.academia.edu/Documents/in/Catherine_de_Medici
- https://www.academia.edu/Documents/in/Catherine_de_M%C3%A9dicis
Marie Stuart /d'Écosse[modifier | modifier le code]
Marie Stuart (d · h · j · ↵) Catégorie:Marie Stuart
- développement de la section "Reine de France"
- Marie Stuart. Le destin français d'une reine d’Ecosse, exposition, 15 octobre 2008 - 2 février 2009, Musée de la Renaissance, château d’Ecouen
- catalogue : Thierry Crépin-Leblond (dir.), Marie Stuart, Le destin français d'une reine d'Écosse, RMN, 2008
- lien vers dossier de presse
- DUROT Éric, « Le crépuscule de l'Auld Alliance : la légitimité du pouvoir en question entre Écosse, France et Angleterre (1558-1561) », Histoire, économie & société 1/2007 (26e année) , p. 3-46
- Greegrass, Mary, Dowager Queen of France, The Innes Review, Aug 2010, vo. 38, No. 38 : pp. 171-194 http://www.euppublishing.com/doi/pdfplus/10.3366/inr.1987.38.38.171
- A. Wilinson, Mary Queen of Scots and French Public Opinion, 1542-1600, 2004
- postérité / dans la culture et la fiction
fr:Catégorie:Marie Stuart dans la culture en:Cultural depictions of Mary, Queen of Scots en:Category:Cultural depictions of Mary, Queen of Scots
- travaux de Nicole Cadène sur l'historiographie de Marie Stuart
- Nicole Cadène, « Marie Stuart dans le théâtre de la Restauration: reine de France ou d’Ecosse? », dans Figures de l'histoire de France dans le théâtre au tournant les Lumières, 1760-1830, 2007 (dispo UL) résumé
- Patrick Berthier, « Une reine de théâtre: Marie Stuart », dans Le Personnage historique de théâtre de 1789 à nos jours, Classiques Garnier, (ISBN 978-2-8124-2971-2, DOI 10.15122/isbn.978-2-8124-2971-2.p.0073), p. 73–87
- ico
commons:Category:Mary, Queen of Scots
-
Sceau de François II et Marie Stuart
-
Robert Herdman, Mary Queen of Scots' farewell to France, 1867
-
Eugene Siberdt, Farewell Dear France, 15 August 1561, 1923
-
William Powell Frith, Mary Stuart returning from France, 1561, 1909 (au plus tard)
Louise de Lorraine[modifier | modifier le code]
Louise de Lorraine-Vaudémont (d · h · j · ↵)
- category commons : commons:Category:Louise of Lorraine
- Jacqueline Boucher, Deux épouses et reines à la fin du XVIe siècle: Louise de Lorraine et Marguerite de France, Université de Saint-Etienne, 1995 Google Livres) (dispo UL : DC 119.7 B753 1995; dispo BAnQ : 923.144 B7531d 1995)
- Mathieu Mercier, « Une mise en scène de la justice royale du premier Bourbon : la cérémonie du « théâtre de justice » de Mantes de 1594 pour la condamnation des meurtriers d’Henri III », Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles [Online], Articles et études, DOI : 10.4000/crcv.12404
- volonté de poursuivre les meurtriers de son mari, Henri III / image d'une reine en deuil
- deuil / douairière
- chambre "de deuil" de Louise de Lorraine à Chenonceau (ico sur commons
- serait la dernière reine de France à porter le deuil en blanc[23]
- ico
- Portraits de Louise de Lorraine
- chambre à Chenonceau (sur Commons)
Marguerite de France[modifier | modifier le code]
- Solignat, Anne-Valérie. « L'exil auvergnat de Marguerite de Valois. La cour d'Usson, 1587-1605 », Hypothèses, vol. 12, no. 1, 2009, pp. 39-49.
- http://derniersvalois.canalblog.com/archives/2007/06/02/5232122.html (ico)
- Effigie funéraire de Marguerite, etc.
Marie de Médicis[modifier | modifier le code]
- Bruno Petey-Girard, « Le roi, les lettres, les étrangers : remarques sur quelques représentations textuelles (1600-1630) », Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles [Online], | 2016
- mécénat
- Galletti Sara. Rubens et la galerie de Henri IV au palais du Luxembourg (1628-1630). In: Bulletin Monumental, tome 166, n°1, année 2008. La galerie à Paris (XIVe-XVIIe siècle) sous la direction de Monique Chatenet. pp. 43-51.
- Yann Rodier, « Marie de Médicis et le culte marial : langage et langue de l'immaculisme politique et tridentin d’une reine de France (1605-1617) », Laura Gaffuri et Paola Ventrone (dir.), Images, cultes, liturgies. Les connotations politiques du message religieux, Publications de la Sorbonne - EFR, Paris, 2014
- Yann Rodier, « Marie de Médicis et les représentations symboliques d’une reine de paix ou le faire voir, faire croire de la Régence (1600-1617) », Europa Moderna. Revue d’Histoire et d’Iconologie, n°2/janvier 2011, p. 1-28.
- Travaux de Geraldine A. Johnson sur le mécénat de Marie de Médicis, notamment
- « Marie de Médicis : mariée, mère, méduse », in K. Wilson-Chevalier & E. Viennot (dir), Royaume de Fémynie, Pouvoirs, contraintes, espaces de liberté des femmes, de la Renaissance à la Fronde, Paris, H. Champion, 1999, p.103-120. (dispo UL : HQ 1149 F815 R888 1999)
- « Pictures fit for a Queen : Peter Paul Rubens and the Marie de’ Medici Cycle », Art History, 16, 1993, p.447-469
- « Imagining Images of Powerful Women : Maria de’ Medici’s Patronage of Art and Architecture », in C. Lawrence (dir.), Women and Art in Early Modern Europe, University Park, Pennsylvania State UP, 1997, p.126-153.
- Travaux sur academia.edu
Anne d'Autriche[modifier | modifier le code]
- contexte
- Sophie Vergnes, « De la guerre civile comme vecteur d’émancipation féminine : l’exemple des aristocrates frondeuses (France, 1648-1653) », Genre & Histoire [En ligne], 6 | Printemps 2010
- mazarinades
- Fanny Mansbendel, La figure d'Anne d'Autriche à travers les Mazarinades, mémoire de Master 1, 2006 (téléchargé) notice biblio
- Sur le contenu pornographique se référant à la reine dans les Mazarinades : Jeffrey W. MERRICK, « The Cardinal and the Queen : Sexual and Political Disorders in the Mazarinades », French Historical Studies, 18,1994, p. 667-699.
- Projet Mazarinades
- mécénat / art / symbolique / propagande
- rumeurs d'adultère
- voir aussi section "mazarinades"
- Engels Jens Ivo, « Dénigrer, espérer, assumer la réalité. Le roi de France perçu par ses sujets, 1680-1750 », Revue d’histoire moderne et contemporaine, 3/2003 (no50-3), p. 96-126. (Pamphlet sur l'adultère d'Anne d'Autriche, d'où naissance de Louis XIV
- dans la fiction
- Anne d'Autriche dans Les Trois Mousquetaires d'Alexandre Dumas et autres oeuvres qui s'en inspirent
- ico
- images libres de droit du MET (gravures, médailles, images allégoriques, etc.), notamment :
Marie-Thérèse d'Espagne[modifier | modifier le code]
- Barbiche (Bernard), « La régence de Marie-Thérèse (23 avril-31 juillet 1672) », Mélanges en l'honneur d'Yves-Marie Bercé : « Pouvoirs, contestations et comportements dans l'Europe moderne », PUPS, 2005, p. 313-325. http://www.chateauversailles-recherche-ressources.fr/jlbweb/jlbWeb?html=notarticles&ref=2952
- Joëlle Chevé, Marie-Thérèse d’Autriche ou les infortunes de la vertu, 2012
- Mark de Vitis, The Queen of France and the Capital of Cultural Heritage***
[Marie-Anne de Bavière, épouse du grand dauphin][modifier | modifier le code]
Marie-Anne de Bavière (1660-1690) (d · h · j · ↵)
- Thomas Nicklas, « "Unir de cœur et d'interest" : La Bavière, la Savoie, la France et le choix des princesses au XVIIe siècle », Dix-septième siècle 2/2009 (n° 243) , p. 257-266
- Jean-Pierre Maget, Monseigneur, Louis de France, dit Le Grand Dauphin, fils de Louis XIV, thèse de doctorat, 2010, Université de Strasbourg (passages détaillés sur le mariage du Grand Dauphin)
- Bruno Cortequisse, Les Dauphines de France au temps des Bourbons, 1660-1851, Perrin, 2023, chap. 2 : Marie-Anne Christine Victoire de Bavière (1660-1690) : La Grande Dauphine. La première vraie-fausse « reine » de Versailles, dispo sur Cairn
- site Geschichte der bayerisch-franzssischen Beziehungen - Histoire des relations franco-bavaroises, 2006
- René Pillorguet, « La conquête de l’alliance bavaroise par la diplomatie française (1532-1745) », dans France Bayern : Bayern und Frankreich : Wege und Begegnungen 1000 Jahre bayerisch-französische Beziehungen : [Ausstellung, München, Bayerisches Hauptstaatarchiv, 21 02 -17. 04 2006] / France-Bavière : allers et retours 1000 ans de relations franco-bavaroises : [exposition, Paris, Centre Historique des Archives Nationales, 10 05 - 7 08 2006], 2006, (ou depuis ici)
- TRAITÉ DE 1670 ENTRE LA FRANCE ET LA BAVIÈRE
- UNE BAVAROISE, DAUPHINE DE FRANCE
- LE MARIAGE FRANCO-BAVAROIS DE 1680 (A)
- LE MARIAGE FRANCO-BAVAROIS DE 1680 (B)
- Corinne Thépaut-Cabasset, « Garde-robe de souverain et réseau international : l’exemple de la Bavière dans les années 1680 », Apparence(s) [En ligne], 6 | 2015
- ico
[Marie-Adélaïde de Savoie (1685-1712), dauphine, mère de Louis XV][modifier | modifier le code]
- épouse de Louis de France (1682-1712), petit-fils de Louis XIV; duc de Bourgogne, puis dauphin ; mère de Louis XV
Marie-Adélaïde de Savoie (d · h · j · ↵),
- Bruno Cortequisse, Les Dauphines de France au temps des Bourbons, 1660-1851, Perrin, 2023, chap. 3 : dispo sur Cairn
Marie Leszczynska[modifier | modifier le code]
- ico
- Manuel Lalanne, « L’appartement de Marie Leszczyńska (1725-1768) », Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles [En ligne], 2012 (évolution du rôle de la reine dans la monarchie vs aménagement des appartements)
- Jennifer Grant Germann. "Fecund Fathers and Missing Mothers: Louis XV, Marie Leszczinska, and The Politics of Royal Parentage in the 1720s." Studies in Eighteenth-Century Culture 1, no. 1 (2007): 105-126. https://www.academia.edu/7207768/
- travaux de Jennifer Germann
- Figuring Marie Leszczinska (1703--1768): Representing queenship... (these)
- Picturing Marie Leszczinska (1703-1768): Representing Queenship in Eighteenth-Century France
- vie de cour
- Bernard Hours, Louis XV et sa cour. Le roi, l’étiquette et le courtisan. Essai historique, Paris, PUF, 2002 (dispo UL)
- patronage musical
- David Hennebelle, Les Concerts de la Reine (1725-1768), Lyon, Symétrie, 2015.
[Marie-Thérèse d'Espagne (1726-1746), dauphine (1745-1746), ép fils de Louis XV][modifier | modifier le code]
Marie-Thérèse d'Espagne (d · h · j · ↵)
- Bruno Cortequisse, Les Dauphines de France au temps des Bourbons, 1660-1851, Perrin, 2023, chap. 4 : dispo sur Cairn
[Marie-Josèphe de Saxe (1731-1767), dauphine (1747-1765), ép. fils de Louis XV][modifier | modifier le code]
Marie-Josèphe de Saxe (1731-1767) (d · h · j · ↵)
- Bruno Cortequisse, Les Dauphines de France au temps des Bourbons, 1660-1851, Perrin, 2023, chap. 5 : dispo sur Cairn
Marie-Antoinette[modifier | modifier le code]
Marie-Antoinette d'Autriche (d · h · j · ↵ · AdQ)
- l'étrangère, la mauvaise mère, etc.
- Annie Duprat, Marie-Antoinette, une icône française ?
- http://www.photo.rmn.fr/archive/05-521407-2C6NU07H5DLG.html
- http://www.amischateaufontainebleau.org/wp-content/uploads/2011/01/D03_Marie_Antoinette1.pdf
- Marie-Antoinette : Galeries nationales du Grand Palais, Paris, 15 mars-30 juin 2008 / , catalogue d'exposition 2008 [ GB : 944.034092 M334]*** (rééd. Xavier Salmon)
- Xavier Salmon, Marie-Antoinette, images d'un destin, 2005 (portraits, dans l'art) (GB: 944.035092 M334sx)
- Annie Duprat, Marie-Antoinette, 1755-1793 Images et visages d’une reine, Paris, Autrement, 2013 [compte rendu] (GB : 923.144 M334d) (dispo en ligne BAnQ)***
- Chantal Thomas, La reine scélérate : Marie-Antoinette dans les pamphlets, Seuil, 1989 (dispo en ligne BAnQ) ***
- Thomas E. Kaiser, « Scandal in the Royal Nursery: Marie-Antoinette and the Gouvernantes des Enfants de France », Historical Reflections / Réflexions historiques, 32-2, 2006, p. 403-420
- Becquet Hélène, http://www.cairn.info/revue-dix-huitieme-siecle-2006-1-page-407.htm « La cour de France sous Louis XVI, un système en décadence ? L'exemple de la maison des enfants de France », Dix-huitième siècle, 1/2006 (n° 38), p. 407-428.
- Marie-Antoinette face à l'histoire : colloque à la Sorbonne, 30 septembre 2006 / [organisé par l'] Institut de la Maison de Bourbon. Éditeur Paris : F.-X. de Guibert, 2008. (GB : 944.035092 M334c) sommaire
- Qu'ils mangent de la brioche
- Véronique Campion-Vincent et Christine Shojaei Kawan, « Marie-Antoinette et son célèbre dire : deux scénographies et deux siècles de désordres, trois niveaux de communication et trois modes accusatoires », Annales historiques de la Révolution française, 327 | janvier-mars 2002
- influence sur la mode
- Michelle Sapori, Rose Bertin, couturière de Marie-Antoinette, Perrin, 2010 (GB : 927.4692 B544s) compte rendu
- Haru Crowston Clare, « La reine et sa “ministre des modes”. Genre, crédit et politique dans la France pré-révolutionnaire », Travail, genre et sociétés, 1/2005 (N° 13), p. 75-94.
- Gazette des atours de Marie-Antoinette
- commons:Category:Gazette des atours de Marie-Antoinette
- Caroline Weber, Queen of Fashion: What Marie Antoinette Wore to the Revolution, 2006 (dispo UL : GT 865 W373 2006)
- Kimberly Chrisman-Campbell, Fashion Victims: Dress at the Court of Louis XVI and Marie Antoinette, Yale University Press, 2015 (pas dispo [UL) (https://hal.inria.fr/halshs-01419530/document compte-rendu])
- chemise blanche de Marie-Antoinette /
- Portrait de Marie-Antoinette en gaulle ou Portrait de Marie-Antoinette en chemise
- Mary D. Sheriff, « The Portrait of the Queen : Elisabeth Vigée-Lebrun's Marie-Antoinette en chemise », dans Marie-Antoinette: Writings on the Body of a Queen
- Kelly Hall, « Impropriety, Informality, and Intimacy in Vigée Le Brun’s Marie Antoinette en Chemise »
- Elisabeth Louise Vigée Le Brun - La robe blanche de Marie-Antoinette
- The Chemise à la reine, The Fashion Historian, 2012
- postérité
- Remembering the Past in Restoration France: An Expiatory Chapel for Marie-Antoinette
- BECQUET, Hélène, « Marie-Antoinette, invention d’une héroïne royale (1793-1816) », in P. CHOPELIN et S. EDOUARD (dirs.), Le sang des princes. Cultes et mémoires des souverains suppliciés XVIe - XXIe siècle, Rennes, PUR, 2014, p. 189-198. (Naissance du culte de MA) (dispo UL : JC 345 S225 2014)
- Kim, Ju-Ae; Trout, Barbara L., « The Expressive Effects of Queen Marie Antoinette's Costumes in the Movies » (pdf librement téléchargeable)
- réputation comme mauvaise mère
- « [Discussion du portrait Marie-Antoinette et ses enfants de Vigée-Lebrun] Marie-Antoinette desperately wished to convey to her husband’s subjects that she was devoted to her children, and through them France; but the French did not see her as a mother. France’s queens had a long history of not being loved by the people; and as Katherine Crawford demonstrates, xenophobia and their proximity to the reigning monarch contributed to the historic French construction of kings’ consorts and or mothers as being “evil foreign queens,” the Austrian born Marie-Antoinette dubiously and eventually linked first in the libelous pamphlets to the notorious Catherine de’ Medici.(87) Even her maternity worked against her, starting with the questioning of Louis XVI’s paternity as far back as the couple’s first child in 1778. Anxieties pertaining to her sexuality and her reproductive capacity made her out to be an “antimother,” one who was feared and despised quite some time before the libelles transformed her into the hypersexed monster that preyed upon her own son.(88)
(87) Katherine Crawford, “Constructing Evil Foreign Queens” in Journal of Medieval and Early Modern Studies 37:2 (Spring 2007): 405-11.
(88) "See Gutwirth on the conceptualization of Marie-Antoinette as an “antimother” in Twilight of the Goddesses, 184-85. See as well Lynn Hunt’s analysis of her as a “bad mother” in both Ch. 4, “The Bad Mother” in The Family Romance of the French Revolution, 89-123; and its earlier inception, “The Many Bodies of Marie Antoinette: Political Pornography and the Problem of the Feminine in the French Revolution,” in L. Hunt, ed., Eroticism and the Politic (Baltimore; London: Johns Hopkins University Press; 1991), 108-130." [24] »
- travaux de Lynn Hunt :
- Lynn HUNT, « The Many Bodies of Marie-Antoinette: Political Pornography and the Problem of the Feminine in the French Revolution »
- Lynn Hunt, "La mauvaise mère", dans Lynn Hunt, Le roman familial de la révolution française (1995) (original anglais : “The Bad Mother” in The Family Romance of the French Revolution, 89-123
- ico
- Images domaine public du MET concernant Marie-Antoinette (meubles, caricatures, gravures...), notamment
- Caricature, 1791
- chaussures supposément portées par Marie-Antoinette (pour un développement "culte de Marie Antoinette" après 1792)
- sur Gallica (caricatures, pamphlets...)
- Images de la Révolution française
- gravure dans l'ouvrage Les crimes des reines de France, représentant Marie-Antoinette sous les traits d'une sirène, image de la tromperie
- Vivian Cameron, « Gender and power: Images of women in late 18th-century France », History of European Ideas, Volume 10, Issue 3, 1989, Pages 309-332 (interprétation de cette image)
- discussion ici
- "L'Autel Royal"
- groupe allégorique à l'avènement et au sacre de Louis XVI et à Marie-Antoinette
[Marie-Joséphine de Savoie] (Louis XVIII)[modifier | modifier le code]
- Marie-Joséphine de Savoie (1753-1810)
-
Marie-Josephine de Savoie, représentée en reine de France
[Marie-Thérèse de France][modifier | modifier le code]
Marie-Thérèse de France (1778-1851) (d · h · j · ↵)
- une "presque reine" sous la Restauration, voir les travaux de Hélène Becquet
- catégorie Commons : commons:Category:Marie Thérèse Charlotte of France, Madame Royale
- Hélène Becquet, « Royauté, royalismes et révolutions : Marie-Thérèse-Charlotte de France (1778-1851) », Revue d'histoire du XIXe siècle [En ligne], Thèses et HDR soutenues (résumé de thèse) :"Ce rôle politique est l’un des aspects abordés dans la cinquième partie qui cherche à déterminer le rôle de Marie-Thérèse-Charlotte de France au sein de la monarchie restaurée, dans laquelle elle tient lieu de reine."
- Hélène Becquet, Marie-Thérèse de France. L’orpheline du Temple. Paris, Perrin, 2012*****
- Hélène Becquet, « Une royauté sans reine : les princesses de la Restauration », dans Hélène BECQUET et Bettina FREDERKING [dir.], La dignité de roi. Regards sur la royauté au premier XIXe siècle, Rennes, Presses universitaires de Rennes, 2009, (ISBN 978-2-7535-0949-8) (dispo BAnQ)
- Becquet Hélène. La fille de Louis XVI et l'opinion en 1795 : sensibilité et politique, In: Annales historiques de la Révolution française, n°341, 2005. pp. 69-83.
- Becquet Hélène. Les filles de France à Versailles au XVIIIe siècle, entre intégration et exclusion, In: Bibliothèque de l'école des chartes. 2012, tome 170. Versailles. De la résidence au musée Espaces, usages, institutions XVIIe-XXe siècle Études et documents réunis par Fabien Oppermann, sous la direction de Fabien Oppermann. pp. 131-153.
- autres travaux de Hélène Becquet
- SCHOLZ, Natalie. « La monarchie sentimentale : un remède aux crises politiques de la Restauration ? » In : Représentation et pouvoir : La politique symbolique en France (1789-1830) [en ligne]. Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2007 (ISBN 9782753530164). DOI : 10.4000/books.pur.6456. (imp. de son rôle symbolique sous la Restauration)
- ico
-
Portrait de Marie-Thérèse en princesse souveraine (couronne fermée, etc.) par Antoine-Jean Gros, commandé par Charles X pour la chambre des députés en 1816, fait pendant à celui du roi
Joséphine de Beauharnais[modifier | modifier le code]
Joséphine de Beauharnais (d · h · j · ↵)
- catégorie Commons : commons:Category:Joséphine de Beauharnais
- rôle dans la mode / consommation
- Susan L. Siegfried, Fashion and the Reinvention of Court Costume in Portrayals of Josephine de Beauharnais (1794-1809) », Apparence(s) [Online], 6 | 2015. (rôle dans la mode / éléments sur sa représentation dans les portraits vs Ancien Régime)
- Claudette Joannis, Joséphine, impératrice de la mode: l'élégance sous l'Empire, Réunion des Musées nationaux, 2007 [catalogue d'exposition]
- Eleanor P. DeLorme, Joséphine and the Arts of the Empire, Getty Trust Publications, Getty Publications, 2005 dispo en libre téléchargement
- Philippe Séguy, Histoire des modes sous l’Empire, Paris, Tallandier, 1988
- Louis Hippolyte Leroy, marchand de mode sous le premier Empire, fournissant notamment le costume de sacre de l'impératrice
- travaux de Fiona Ffoulkes sur LeRoy et Joséphine
- ico : robes, bijoux et objets ayant appartenu à Joséphine conservés dans les collectons muséales
Marie-Amélie de Bourbon-Sicile[modifier | modifier le code]
Marie-Amélie de Bourbon-Siciles (d · h · j · ↵)
- reine des Français (1830-1848)
- rôle politique d'Adélaïde d'Orléans, soeur de Louis-Philippe
- Jo Burr Margadant, "Les représentations de la reine Marie-Amélie dans une monarchie "bourgeoise", Revue d'histoire du 19e siècle, vol. 19, n°36 (Summer 2008)
- et autres travaux de Jo Burr Margadant
- ico
- images libres du MET concernant Marie Amélie (objets lui ayant appartenu...), notamment :
- Thibaut Trétout, « Louis-Philippe et la cour », dans Hélène Becquet et Bettina Frederking (dir.), La dignité de roi : Regards sur la royauté en France au premier XIXe siècle, Rennes, Presses universitaires de Rennes, (ISBN 978-2-7535-6692-7, lire en ligne), p. 117–135 "Première caractéristique de ces rapports, la distance prise par le roi des Français vis-à-vis du fonctionnement de la cour. L’administration de la Maison du Roi et des maisons satellites se trouve en effet confiée, par ordre de son époux, aux soins de la reine. C’est à Marie-Amélie que sont d’abord adressés les rapports du trésorier de la Couronne63, puis, par son intermédiaire, à l’Intendant de la liste civile, celui-ci n’ayant que le soin de régulariser les dépenses ordonnées64. C’est la reine qui accorde les gratifications65, qui fixe le montant des secours66, et c’est sur son crédit que sont payés les aides de camp du roi67. Étendue au livre des visites68, cette prérogative de Marie-Amélie renvoie à l’exercice d’une faculté qui lui est déléguée par Louis-Philippe, selon la formule en usage dans les différents rapports : « soumis, par ordre du Roi, à l’approbation de Sa Majesté la Reine ». Ce pouvoir de Marie-Amélie décharge le roi de la gestion laborieuse des maisons, tout en lui permettant, sur leur marche quotidienne, un contrôle indirect. Montalivet, l’Intendant de la liste civile le plus longtemps en place au cours du règne, ainsi qu’Atthalin, premier et inamovible aide de camp qui assure la direction de la Maison, achèvent de dessiner les contours du dispositif institutionnel mis en place sous la Monarchie de Juillet. La délégation opérée par le roi des Français en matière d’administration des maisons royales et princières, que distingue le truchement de la reine, nous paraît moins tenir à un désintérêt de Louis-Philippe pour son intérieur qu’à une conception nouvelle du rôle de son entourage dans la mécanique des fluides parlementaires."
Hélène de Mecklembourg-Schwerin (épouse du fils héritier de Louis-Philippe[modifier | modifier le code]
Hélène de Mecklembourg-Schwerin (d · h · j · ↵)
- recherche d'une épouse plus prestigieuse pour l'héritier du trône
- raisons du choix
Eugénie de Montijo, impératrice (1853-1870)[modifier | modifier le code]
Eugénie de Montijo (d · h · j · ↵)
- fascination d'Eugénie pour Marie-Antoinette
- Almudena Delgado Larios, « Femmes et politique : une nouvelle vision du XIXème siècle », Nuevo Mundo Mundos Nuevos [En ligne], influence Eugénie
- Henri Rollet, Le féminisme de l’Impératrice Eugénie
- Jean Etèvenaux, Les trois régences de l’Impératrice Eugénie
- rôle dans la mode et les arts
- Charles Frederick Worth
- Olivier Courteaux, Charles Frederick Worth, the Empress Eugénie and the invention of Haute-Couture
- Philippe Denis, Le rôle de l'impératrice Eugénie dans le développement des arts décoratifs, mémoire de maîtrise, Montréal, 2012
- Mathieu Caron, « Les appartements de l’impératrice Eugénie aux Tuileries : le xviiie siècle retrouvé ? », Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles [En ligne], | 2015
- Alison McQueen, Empress Eugénie and the Arts: Politics and Visual Culture in the Nineteenth Century, 2011
- à l'origine de l'attribution de la légion d'honneur à Rosa Bonheur, dernier acte de sa régence (McQueen)
- ico
- Iconographie de l'impératrice Eugénie (napoleon.org)
- Eugénie sur rmn.fr
- portrait "intime" d'Eugénie "in a Second Empire adaptation of an eighteenth-century gown"
- ressources
- Fondation Napoléon (ico, articles, etc.)
-
L'impératrice Eugénie en Marie-Antoinette
-
L'impératrice Eugénie rendant visite à Rosa Bonheur dans son atelier (occasion où elle lui remet la Légion d'honneur)
Iconographie[modifier | modifier le code]
- Pourtraicts de toutes les Roynes de France depuis Argote femme de Pharamont, premier roy des François jusques à la très-auguste Royne Marie de Médicis, 1627, y compris Blanche, femme de Louis V
- Portraits des grands hommes, femmes illustres et sujets mémorables de France, gravés et imprimés en couleur., 1786-1792**
- Raymond Cazelles, « Peinture et actualité politique sous les premiers Valois », Gazette des Beaux-Arts, Paris, 1978, p. 53-65 (peintures représentant Blanche de Navarre, Jeanne d'Évreux) compte rendu
- Manuscrit des Fleurs des Chroniques fournissant de nombreuses illustrations pour les XII-XIVe s., Besançon, BM, ms. 0677, f. 001-128v
- IRHT
- base enluminure
- Sorcière avertie d'un malheur par le cri inhabituel de sa corneille, exécution de Pierre de la Broce, Supplice de Philippe et Gautier d'Aulnay, Roger de Beaufort prêchant la croisade devant Philippe VI, Présage à la naissance de Philippe d'Orléans, Jeanne de Valois et la trêve d'Esplechin (belle image de médiatrice), Exécution d'Olivier de Clisson, Exécution de nobles bretons en novembre 1343, Exécution de chevaliers normands en avril 1344, Mariage de Philippe d'Orléans et de Blanche de France, Mortalité lors de la Grande Peste, Geoffroy de Charny, blessé, prisonnier d'Edouard III, Joute entre chevaliers de l'ordre de l'Etoile, Couronnement de Charles V et de Jeanne de Bourbon, etc.
- François Eudes de Mézeray, Histoire de France, depuis Faramond jusqu’à maintenant, Paris, 1643-1646-1651, 3 vol. (historiographie par règne, avec portraits des rois et reines
- tombeaux des reines mérovingienes de Saint-Germain des Prés Frédégonde, Ultrogothe, Bilichilde, Bertrude
- Emma, femme de Lothaire; Constance, ép. de Robert II, etc.
- rois et reines de France en estampes
- Louis V, Blanche d'Aquitaine, Lothaire, Emma (et autres) et ici
- Portraits des grands hommes, femmes illustres et sujets mémorables de France, gravés et imprimés en couleur...chez Blin, 3 vol. 1786-1792 (couleur, sur gallica, nombreux portraits et épisodes historiques de reines de France)
- Figures de l'histoire de France par M. Moreau le Jeune, avec le discours de M. Garnier
À Paris, chez Ant.-Aug. Renouard, ap. 1790 (gravures de Jean Michel Moreau (1741-1814), dit Moreau le Jeune)
- nombreuses illustrations jusqu'à la fin du XIVe s,
- Bibliothèque nationale de Pologne (en ligne)
- illustrations en ligne
- descriptions ici
- couronnes, sceaux, joyaux
- hyacinthe d'Anne de Kiev
- vase d'Aliénor d'Aquitaine
- rubis d'Anne de Bretagne
- Images of Medieval Art and Architecture - France
- en:French Crown Jewels
- Regalia de la couronne
- Gaborit-Chopin Danielle. Les couronnes du sacre des rois et des reines au trésor de Saint-Denis. In: Bulletin Monumental. Tome 133 N°2, année 1975. pp. 165-174.
- Beau Sancy, diamant de Marie de Médicis
- Portrait de Marie de Médicis en majesté, avec le Beau Sancy
- Portrait de Marie-Louise, impératrice de France
-
Pendentif de Catherine de Médicis
-
Couronne de Marie Leszczynska
-
idem
-
Diadème de Marie-Louise
-
Couronne de l'impératrice Eugénie (1855)
-
Diadème de l'impératrice Eugénie (1853)
- Delpech
- oeuvres de Delpech (sur l'auteur), notamment :
- portraits de Delpech (faire rech. avec "Delpech : Paris" dans "who") (dont plusieurs reines mérovingiennes, carolingiennes, etc., fictives ou non)
- portraits
- reines de jeu d'échec
- Carolingian Figurative Queen, reine du jeu d'échec vs importance de la reine à l'époque carolingienne
- commons:Category:Chess queens
-
reine ou roi?
- reines de France de jeux de carte
-
Reine de France dans le jeu de cartes Hofämterspiel, vers 1455, représentant 10 fonctions à la cour, dans les 4 royaumes de Bohême, France, Allemagne et Hongrie
-
Dame d'honneur, France, Hofämterspiel (tous les officiers sont disponibles, roi, cuisinier, etc.)
- manuscrits
http://belgica.kbr.be/fr/coll/ms/bibliotecaCarolina_fr.html ms numèrisés de la bibliotheque royale de Belgique
- http://belgica.kbr.be/fr/coll/ms/msII1862_fr.html Memoriaux Succa (vitrail de Marie de Brabant à Louvain?), etc
- http://belgica.kbr.be/fr/coll/ms/msIV251_fr.html Froissart I
- http://belgica.kbr.be/fr/coll/ms/msII88_fr.html Froissart
Dans la fiction[modifier | modifier le code]
- Reines à la scène et à l’écran, de la fin du XIXe au XXIe s. (Rouen)
- Journée d’étude “Reines de théâtre”
- Travaux de Sophie Mentzel
- ex : Sophie Mentzel, « Rois et reines sur la scène romantique, ou la reconfiguration du pouvoir », Nineteenth-Century French Studies, vol. 47, no 3, , p. 245–261 (ISSN 1536-0172, DOI 10.1353/ncf.2019.0006) (Muse, JSTOR...)
- roman mérovingien
- Frédégonde et Brunehaut, roman de Monvel
- Frédégonde et Brunehaut de Henri Franconi, 1812
- chansons de geste, littérature, théâtre, cinéma...
- Queens in Literature
- Karen Pratt, « The image of the queen in Old French literature », Queens and Queenship in Medieval Europe, 1997
- John Carmi Parsons, « The Pregnant Queen as Counsellor and the Medieval Construction of Motherhood », dans John Carmi Parsons and Bonnie Wheeler, éd., Medieval Mothering, Garland Publishing, 1996, p. 39-61. résumé
- chansons de geste
- Berte aus grans piés d'Adenet le Roi
- Macaire, variantes : reine Sebile (Blanchefleur, wife of the aged and infirm emperor Charlemagne, having repulsed the advances of Macaire, is accused of infidelity and sentenced to perpetual exile. Ultimately her innocence is proved, she pardons her husband, and is reunited with him.)
- Geste des Lorrains (Blanchefleur de Maurienne, épouse du roi Pépin de France
- Valérie Naudet, Quand le roi frappe la reine : à partir d'une scène de la geste des Lorrains In : Le geste et les gestes au Moyen Âge [en ligne]. Aix-en-Provence : Presses universitaires de Provence, 1998
- reine Blanchefleur, soeur de Guillaume d'Orange, dans ce cycle (ex : Aliscans)
- Blandine Longhi, « Bonnes et mauvaises épouses dans la geste de Guillaume d’Orange : différentes solutions littéraires à la peur de la femme », Questes, 20 | 2011
- Sonia Marteau, « Le rôle politique des femmes dans Aliscans », paru dans Loxias, Loxias 30, mis en ligne le 09 septembre 2010
- GUIDOT, Bernard. Aliscans : structures parentales ou filiation spirituelle ? In : Les relations de parenté dans le monde médiéval [en ligne]. Aix-en-Provence : Presses universitaires de Provence, 1989
- J. Wathelet-Willem, “Le Roi et la Reine dans la Chanson de Guillaume et dans Aliscans : analyse de la scène de Laon”, Mélanges J. Lods, Paris, 1978, I, p 558-70.
- Stephanie Hathaway, The Maligned Sister of Guillaume d'Orange: Blancheflor in Aliscans and Wolfram’s Willehalm (pas dispo en ligne, seulement résumé : « "L’ambition du fameux héros Guillaume d’Orange, dans l’histoire d’Aliscans est de procurer le support militaire de la couronne affaiblie de la France, afin de libérer ses terrains de l’invasion de Saracen. Suivant les négociations à la cour à Laon, une promesse est faite par le roi Louis, mais seulement après confrontation et des menaces dans lesquelles Blancheflor, la reine de Louis et la sœur de Guillaume, joue un rôle important. Le portrait de Blancheflor symbolise la faiblesse de la monarchie sous Louis le Pieux, et les évènements suivants cela consiste de sa châtiment et la réparation suivante joue un rôle important dans l’acquisition du support royal pour Guillaume, et pour renforcer les liens entre la couronne française affaiblie et ses vassaux narbonnais. Par un contraste et comparaison des textes, en concentrant sur les scènes à Laon, ce papier enquête sur le caractère de Blancheflor dans les deux, Aliscans et la version allemande de Wolfram, Willehalm, pour révéler comment le portrait de cette reine insolente sert comme une raison distincte dans le secteur du pouvoir et des politiques dans l’histoire de la bataille en cour pour la souveraineté de Guillaume. Nous apprenons de Blancheflor que l'ampleur et les limitations de l’influence d'une reine médiévale sur les négociations de la cour, exemplifiant son rôle dans la dynamique du système féodal dans la littérature. »
- Stephanie Hathaway, Women at Montlaon: The Influential Roles of the Female Characters in Court Negotiations in Aliscans and Wolfram’s Willehalm, résumé
- Hugues Capet, chanson de geste
- reines de France dans la littérature
- Bertière, Simone, « Le personnage d'Anne d'Autriche dans la trilogie des mousquetaires d'Alexandre Dumas », Dix-neuf Vingt. Revue de littérature moderne, numéro 5, mars 1998, Dumas/ Giono, p. 67-77.
- Fanny Mansbendel, La figure d’Anne d’Autriche à travers les Mazarinades, mémoire de master, 2006
- Travaux de Nicole Cadène sur la représentation de Marie Stuart à l'époque moderne et romantique
- Marie Stuart selon le XIXe siècle français ou le dilemme d'une héroïne
- Marie Stuart dans le théâtre de la Restauration : reine de France ou d'Ecosse?, in P. Mironneau & G. Lahouati (dir.), Figures de l’histoire de France dans le théâtre au tournant des Lumières 1760-1830, Oxford, Voltaire Foundation, SVEC, 2007, p.247-256. résumé (dispo UL: PQ 2105 A2 B561 2007:07)
- « Marie Stuart trois fois martyre ? Relégitimations de la reine d’Écosse au XIXe siècle français », in P.Chopelin et S. Edouard (dir.), Le Sang des princes. Cultes et mémoires des souverains suppliciés, XVIe-XXIe siècle, Rennes, PUR, 2014, p. 199-210. (dispo UL JC 345 S225 2014)
- dans le même recueil :
- La fin de Marie Stuart et le "commencement" de sa gloire : la réception de la nouvelle de son exécution en 1587 / Sylvène Édouard
- Les princes martyrs, héros d'opéra au XIXe siècle : le cas de Marie Stuart / Stella Rollet
- dans le même recueil :
- Marie Stuart selon le XIXe siècle français ou le dilemme d'une héroïne
- Sophie Guermès, « Le personnage de Marguerite de Valois dans Les Huguenots de Meyerbeer », Figures de l’histoire de France dans le théâtre au tournant des Lumières 1760-1830, études présentées par Paul Mironneau et Gérard Lahouati, Oxford, Voltaire Foundation, 2007 (Les Huguenots, opéra
- Livre de la cité des dames et autres de Christine de Pisan
- Glynnis Cropp, "Les personnages féminins tirés de l'histoire de la France dans le "Livre de la Cité des Dames""
- Frédégonde (force); Blanche de Castille; Jeanne d'Évreux, 3e épouse de Charles IV; Blanche de France, épouse de Philippe d,Orléans, Blanche de Navarre, veuve de Philippe VI de Valois; Marie, duchesse d'Anjou
- voir aussi autres écrits de Christine de Pisan, Épitre à la reine, Livre des moeurs de Charles V...
- Anne Paupert, « L’autorité au féminin : les femmes de pouvoir dans la Cité des dames », Le Moyen Français, vol. 78-79, 2016, p. 167-185
- CLAVIER, Tatiana. Les enseignements d’Anne de France et l’héritage de Christine de Pizan In : Lectrices d'Ancien Régime [en ligne]. Rennes : Presses universitaires de Rennes, 2003
- théâtre
- C. Legoy, « La figure du souverain médiéval sur les scènes parisiennes de la Restauration », Revue Historique, T. 293, Fasc. 2 (594) (AVRIL-JUIN 1995), pp. 321-365
- LATOUR, Patrick. Un improbable héros de la scène romantique : Charles VII chez Lebrun et Dumas In : Fantasmagories du Moyen Âge : Entre médiéval et moyen-âgeux [en ligne]. Aix-en-Provence : Presses universitaires de Provence, 2010 (rien sur reine, mais éléments sur le recours à l'histoire nationale dans le théâtre au XIXe siècle et la place importante qu'y tiennent les rois)
- Isabelle Durand-Le Guern, https://crm.revues.org/13415 « Les tragédies médiévales de Népomucène Lemercier : histoire et politique », Cahiers de recherches médiévales et humanistes [En ligne], 26 | 2013, mis en ligne le 30 décembre 2016, consulté le 04 janvier 2017. URL : http://crm.revues.org/13415 ; DOI : 10.4000/crm.13415
- these sur Lemercier
- Paul Gerbod, « La scène parisienne et sa représentation de l'histoire nationale dans la première moitié du XIXe siècle », Revue Historique, vol. 266, no 1 (539) (juillet-septembre 1981), p. 3-30 [lire en ligne]
- p. 11 : "La présence des reines se trouve très limitée avec la régente Berthe (Le siège de Paris du vicomte d'Arlincourt, situé au IX- siècle et joué en 1826), Blanche d'Aquitaine ou le dernier des Carolingiens (1827, H. Bis), Marguerite d'Anjou, reine d'Angleterre, Isabeau de Bavière (in Charles VI, opéra de Casimir Delavigne, le 15 mars 1843)..."
- Odile Krakovitch , « Les femmes de pouvoir dans le théâtre de Dumas : de Christine à Messaline », Revue d'histoire littéraire de la France 4/2004 (Vol.104) , p. 811-829 (Catherine de Médicis) et autres travaux de O. Krakovitch Les femmes de pouvoir dans le théâtre de la Restauration, etc.
- Odile Krakovitch, « Les femmes de pouvoir dans le théâtre de la Restauration », Figures de l’histoire de France dans le théâtre au tournant des Lumières 1760-1830, études présentées par Paul Mironneau et Gérard Lahouati, Oxford, Voltaire Foundation, 2007, résumé (dispo UL: PQ 2105 A2 B561 2007:07)
- Odile Krakovitch, « Les femmes de pouvoir dans le théâtre romantique », dans Femmes de pouvoir : mythes et fantasmes (dir. O. Krakovitch, G. Sellier, E. Viennot), Paris, L’Harmattan, 2001, p. 97-118. (dispo UL)
- Odile Krakovitch, « Haine et peur du pouvoir des femmes. Enquête à travers le théâtre français du XIXe siècle », dans Femmes et pouvoirs (dir. Sophie Stoffel), édition du séminaire tenu en 2005 à l’Université des Femmes à Bruxelles. Bruxelles, Collection Pensées féministes, 2007, p. 243-261.
- Travaux de Barbara T. Cooper sur le théâtre français du XIXe s., notamment :
- "The Portrait of a Queen as Other in Three French Restoration Tragedies." Romance Quarterly, 34. 3 (1987): 275-283. (représentation d'Isabeau de Bavière dans 3 pièces)
- Frédégonde et Brunehaut de Lemercier
- Catherine de Médicis aux États de Bloisde Arnault
- Autrand Michel, « Sur la légende du drame romantique », Revue d'histoire littéraire de la France, 4/2008 (Vol. 108), p. 821-847. (Frédégonde et Brunehaut de Lemercier,
- Isabeau de Bavière
- Sade, Histoire secrète d’Isabelle de Bavière (article en
- François Mouttapa, « Isabella furiosa : le Moyen Âge des Lumières et l’héroïsation sadienne de la femme », Itinéraires, 2013-2 | 2014, 125-138.
- à l'écran/au cinéma
- Liste d'acteurs ayant incarné un roi ou une reine à l'écran
- film biographique ou biopic
- reines de France incarnées à l'écran : Aliénor d'Aquitaine, les reines des rois maudits, Marie Stuart, Catherine de Médicis, Marie-Antoinette
- Taryn Burgar, Marie Antoinette: innocente ou coupable? Une analyse de sa représentation filmique, The Arbutus Review, Vol 6, No 1 (2015)
- Nicole Foucher-Janin, « Marie-Antoinette, reine de l’écran », Apparence(s) [Online], 6 | 2015
- Pascal Dupuy, « Une reine au cinéma », Annales historiques de la Révolution française [En ligne], 347 | janvier-mars 2007. (Marie-Antoinette)
- Olivia Carpi, « L’art du stéréotype : la représentation des guerres de Religion dans la série Le Chevalier de Pardaillan de Josée Dayan (Antenne 2, 1988) », TV/Series [En ligne], 10 | 2016, mis en ligne le 01 décembre 2016, consulté le 14 février 2017. URL : http://tvseries.revues.org/1921 ; DOI : 10.4000/tvseries.1921
- Marie d'Angleterre, voir l'article
- Anne de Bretagne, voir l'article
- Historical movies : France
- Elizabeth Ford et Deborah C. Mitchell, Royal Portraits in Hollywood: Filming the Lives of Queens, 2009 (aperçu, Google Books)
- Ingibjörg Ágústsdóttir, « Mary Queen of Scots as Feminine and National Icon: Depictions in Film and Fiction », Études écossaises [En ligne], 15 | 2012.
)
- Moshe Sluhovsky, « History as Voyeurism: from Marguerite De Valois to La Reine Margot », Rethinking History : The Journal of Theory and Practice, Volume 4, Issue 2, 2000
- Geneviève Sellier, « La Reine Margot au cinéma : Jean Dréville (1954) et Patrice Chéreau (1994) », in Odile Krakovitch, Geneviève Sellier, Éliane Viennot (dir.), Femmes de pouvoir : mythes et fantasmes, Paris, L'Harmattan, coll. « Bibliothèque du féminisme », 2001, p. 205-218.
- opéra
- voir ca:Llista de personatges històrics d'òpera*** très exhaustif, y compris pour les personnages secondaires
- personnages pertinents nommés : Clotilde (Clotilde de Borgonya), Frédégonde (et Galswinthe) (Fredegunda), Brunehaut (Brunequilda), Berthe de Laon (Berta de Laon), Judith de Bavière (Judit de Baviera), Emma d'Italie et Adelaide d'Anjou (Emma d'Itàlia, Adelaida d'Anjou), Aliénor (Elionor d'Aquitània), Marguerite de Provence (Margarida de Provença), Maria de Brabant (Marie de Brabant), Elisabet de Baviera (Isabeau de Bavière), Anne de Bretagne (Anna de Bretanya), Marie Tudor (Maria Tudor i de York), Éléonore d'Autriche (Elionor d'Habsburg), Catherine de Médicis (Caterina de Mèdici), Marguerite de Valois (Margarida de Valois), Anne d'Autriche (Anna d'Espanya), Maria Teresa d'Àustria (Marie-Thérèse), Marie-Antoinette (Maria Antonieta d'Àustria), etc.
- Adélaide d'Anjou (Blanche d'Aquitaine), Marie de Brabant (Maria di Brabante), Agnès de Méranie... Isabeau de Bavière...
- Marie-Anne Maršálek, La réinvention du Moyen âge sur les scènes lyriques parisiennes entre 1810 et 1830 : genèse, contours et circulation vers l’Italie et l’Allemagne d’un imaginaire français, thèse, 2016
- romans
- Romans/nouvelles de Juliette Benzoni (Reines tragiques...)
- http://bibliojbenzoni.unblog.fr/2008/11/10/15/
- imagerie populaire / d'Épinal
- exposition [http://www.mylorraine.fr/article/rois-et-reines-des-histoires-de-france-epinal/13127 Les rois et reines de France dans l'imagerie populaire]
- galerie des rois et reines de France, galerie des reines de France
- saintes reines : Clotilde, Radegonde, Jeanne de France, Sainte Elisabeth en reine de France...
- ico
- http://www.mucem.org/fr/collections Collections du Musée des civilisations de l'Europe et de la Méditerranée
- reseau canope
- http://art.rmngp.fr/
- Françaises illustres
- Look and learn
-
Katharine Hepburn jouant Aliénor d'Aquitaine dans Le Lion en hiver (1968)
-
Mary MacLaren dans le rôle d'Anne d'Autriche dans le film muet américain Les Trois Mousquetaires de Fred Niblo (1921)
-
idem
-
Juno Temple incarnant Anne d'Autriche dans le film Les Trois Mousquetaires de Paul W. S. Anderson (2011)
-
Norma Shearer personnifiant la reine dans le film américain Marie-Antoinette de W. S. Van Dyke (1938)
-
idem
-
idem
-
Marie-Antoinette (Norma Shearer) et le comte Axel de Fersen (Tyrone Power) s'embrassant, dans Marie-Antoinette de W. S. Van Dyke (1938)
IMDB[modifier | modifier le code]
...
- Aliénor d'Aquitaine : original - archivé - index images archivé
- Marguerite de Bourgogne : original - archivé MEDIA???????
- Clémence de Hongrie : original - archivé
- Jeanne I de Bourgogne, ép. Philippe V : original - archivé
- Blanche de Bourgogne néant
...
- Catherine de Médicis : original - archivé - media index archivé
- Marie Stuart : original - archivé - media index p 5 archivé
- Marguerite de France : original - archivé - media index archivé
- Marie de Médicis : original - archivé
- Anne d'Autriche original - archivé - media index archivé
- Marie-Thérèse d'Espagne : original - archivé - media index archivé
- Marie Leszcynska : original - archivé
- Marie-Antoinette : original - archivé - media index : 1 - 2 - 3
- Joséphine de Beauharnais original - archivé - index image archivé
- filmographie sur it:Giuseppina di Beauharnais
- Marie-Louise d'Autriche : original - archivé
- Marie-Thérèse de France ?
- Marie-Amélie des Deux-Siciles ?
- impératrice Eugénie : original - archivé - index image archivé
- à partir de IMDb, en ordre chronologique décroissant, souveraines françaises n'ayant PAS été incarné à l'écran : (les identifiants du personnage dans IMDb sont indiqués sur Wikidata)
- prochaine à vérifier : Jeanne d'Auvergne
- Monarchie de Juillet : Marie-Thérèse de France, Marie-Amélie de Bourbon-Sicile
- Valois : ... Jeanne de Bourbon, Isabeau de Bavière (??), Marie d'Anjou, Charlotte de Savoie, Élisabeth d'Autriche, Louise de Lorraine
- Éléonore de Habsbourg (2e épouse de François Ier) n'a pas encore de fiche IMDb en sept. 2016, mais son rôle est incarné par Marina Salas dans la série Carlos, Rey Emperador (fiche du personnage à créer)
Sources[modifier | modifier le code]
- comptes de l'argenterie, journaux du trésor, ordonnances...
- L. Douët-D'Arcq, Comptes de l'argenterie des rois de France au 14e siècle, 1851
- Compte de Geoffroi de Fleuri, argentier du roi Philippe V, pour les six derniers mois de 1316, p. 1-76 (obsèques de Louis X et du petit roi Jean Ier, dépenses du sacre de Philippe V et Jeanne 1re de Bourgogne)
- Comptes d'Étienne de la Fontaine, puis de Gaucher de Vanne, argentiers de Jean II (dont dépense pour le sacre de Jean II et Jeanne de Boulogne (et dons du sacre tirés de la succession de Jeanne (II) de Bourgogne
- Inventaire du garde-meuble de l'argenterie (15 mai 1353), p. 304-330 dont nombreux objets provenant de la succession de Jeanne (II) de Bourgogne
- etc.
- L. Douët-D'Arcq, Nouveau recueil de comptes de l'argenterie des rois de France, 1874
- Inventaire après décès des biens de Clémence de Hongrie (1328), p. 37 et suiv.
- Viard, Journaux du trésor de Philippe VI de Valois...
- Lamazou-Duplan, Véronique (dir.), Goulet, Anne, Charon, Philippe [Publ.]., Le Cartulaire dit de Charles II de Navarre. El Cartulario llamado de Carlos II rey de Navarra, tome 1, 2010, Corpus documental para la historia del reino de Navarra, Bookset Part 3, 1 téléchargé ici
- Éditions de nombreux documents pertinents (avec analyses), notamment (dots, douaires, mariages Blanche de Bretagne et Philippe d'Artois, Marguerite d'Artois et Louis d'Évreux, assignations de Philippe IV à Louis d'Évreux, renonciation de Jeanne de Navarre, rel. Évreux-Navarre avec le roi :
- no 1 (1297) p89 du pdf : Philippe IV le Bel confirme à Philippe d’Artois la promesse qu’il a fait de doter sa fille aînée Marguerite
- no 2 (1300, 24 fév. Longchamp) p91 : Traité de mariage entre Louis de France, fils de Philippe IV le Bel, et Marguerite de Bourgogne, fille du duc Robert II de Bourgogne
- no 28 1317 (n. st.), février. Paris (p155) : Philippe V le Long vidime et confirme la charte de Philippe IV le Bel (Paris, avril 1313, n. st.) relative aux fondations pieuses de la reine Marie de Brabant prévues dans son testament. (assignations de rentes pour 2 chapelles à Mantes)
- no 30-31 : 1317, décembre. Vernon (p160-162) : Revenus qui seront assignés à Louis d'Évreux par le roi sur des terres alors tenues par Marie de Brabant en douaire.
- no 32 : 1318 (n. st.), 28 mars. Paris (p165) - Philippe V le Long s’accorde avec Eudes IV duc de Bourgogne sur les droits que leur nièce et pupille Jeanne de France, fille de Louis X le Hutin, détient sur les comtés de Champagne et de Brie, dont il reconnaît qu’ils devront lui revenir s’il décède sans héritier mâle.
- no 37 - 1322 (p177) (vidimus de la renonciation de Jeanne aux comtés de Champagne et de Brie
- no 38 - 1324 (p.183) Eudes IV, duc de Bourgogne, mande à ses vassaux et sujets de la terre des Blancs-Fossés, de Neuville, de Gyé-sur-Seine et de Villemoiron, et à ceux des fiefs de Vitry et d’Essoyes, de prêter hommage au comte Philippe d’Évreux au nom de sa femme Jeanne de France à qui ces terres appartiennent comme provenant de la dot de la mère de cette dernière, Marguerite de Bourgogne.
- 43 [Après 1333, décembre]. Paris (p202) - Philippe VI de Valois vidime et confirme l’accord intervenu à Paris en décembre 1333 entre les roi et reine de Navarre, Philippe et Jeanne d’Évreux, d’une part, et le duc Eudes IV de Bourgogne, d’autre part, au sujet des 3 205 livres de terre restant dues de la dot de Marguerite de Bourgogne;
- 47 - 1334, 18 décembre. Paris (p211) - Assignation d'Eudes IV, duc de Bourgogne à Philippe et Jeanne d’Évreux, roi et reine de Navarre, à cause de la dot de sa soeur Marguerite, épouse de Louis X le Hutin et mère de la reine de Navarre.
- 51 - 1335, 11 octobre. (p229) - Eudes IV, duc de Bourgogne, et Jeanne, sa femme, ratifient le traité négocié le 24 juillet 1335 entre leur représentant et celui du roi de Navarre, Philippe de Melun, concernant la dot de Marguerite de Bourgogne, mère de la reine de Navarre, non encore entièrement réglée
- 58 - 1343, octobre. Chanteloup (p248) - Philippe VI de Valois vidime l’accord intervenu en 1328 entre Jeanne d’Évreux, reine de France, veuve de Charles IV le Bel, agissant au nom de ses filles Blanche et Marie, d’une part, et Jeanne et Philippe de Navarre, d’autre part : la reine de France renonçait pour ses filles au royaume de Navarre moyennant la remise en leur faveur par Jeanne et Philippe d’Évreux d’une rente.
- no 67 - 1354, 22 février, Mantes-la-Jolie (p279) - Traité de Mantes entre Jean II et Charles le Mauvais
- no 68 - 1355, 10 septembre. Valognes (p283) - Traité de Valognes entre Charles II de Navarre et Jean II le Bon.
- no 69 - 1354 (n. st.), 4 mars. Paris (p295) - Jean II le Bon accorde rémission au roi de Navarre et à ses frères Philippe et Louis, ainsi qu’à leurs complices, coupables du meurtre de Charles d’Espagne, connétable de France. Mention de l'intercession des reines Jeanne d'Évreux et Blanche de Navarre
- no 88 - 1361 (n. st.), 2 février. Vernon (p342) - Blanche de Navarre accepte le partage de la succession de ses père et mère fait par son frère Charles qui lui donne la terre et châtellenie de Condé-sur-Noireau pour 2 500 livres de revenu annuel. Le château de Condé étant occupé par les Anglais, Charles de Navarre s’engage à les en déloger avant un mois; passé ce délai, il lui baillera le château de Tinchebray en attendant la libération effective de Condé.
- no 98-99-105-111-113 (1365) Paris (p360, 366, 377**, 386, 391) - Traité de paix entre Jean II le Bon (ratifié par Charles V) et Charles II de Navarre, négocié par Jeanne et Blanche (et implantation)
- Éditions de nombreux documents pertinents (avec analyses), notamment (dots, douaires, mariages Blanche de Bretagne et Philippe d'Artois, Marguerite d'Artois et Louis d'Évreux, assignations de Philippe IV à Louis d'Évreux, renonciation de Jeanne de Navarre, rel. Évreux-Navarre avec le roi :
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AdQ, BA, ressources wiki[modifier | modifier le code]
- AdQ : Marie-Louise d'Autriche
- AdQ et BA autres langues :
- Brunehaut : sr:Брунхилда од Аустразије
- Adélaide d'Anjou : ru:Аделаида Анжуйская
- Constance d'Arles : ru:Констанция Арльская
- Aliénor d'Aquitaine : de:Eleonore von Aquitanien - no:Eleonore av Aquitaine - sr:Елеонора од Аквитаније
- Isabeau de Bavière : en:Isabeau of Bavaria - pt:Isabel da Baviera, Rainha de França - ru:Изабелла Баварская
- Marie d'Angleterre : ru:Мария Тюдор (королева Франции)
- Claude de France : ru:Клод Французская
- Catherine de Médicis : en:Catherine de' Medici - de:Caterina de’ Medici - pt:Catarina de Médici - ja:カトリーヌ・ド・メディシス - vi:Catherine de Médicis
- Marie Stuart : en:Mary, Queen of Scots - it:Maria Stuarda - bs:Marija I, kraljica Škota
- Marguerite de France : de:Margarete von Valois
- Anne d'Autriche : et:Austria Anna
- Marie-Antoinette : it:Maria Antonietta d'Asburgo-Lorena - pt:Maria Antonieta - bs:Marija Antoaneta - sr:Марија Антоанета
- Joséphine de Beauharnais : es:Josefina de Beauharnais
Historiographie[modifier | modifier le code]
- Merovingian Queenship in Early Nineteeth-Century Historiography, 2017 https://oa.doria.fi/bitstream/handle/10024/133619/AnnalesBThesis_Aali_2017.pdf?sequence=2
- Le Recueil des dames de Brantôme (plus tard divisé en Dames illustres et Dames galantes) : Anne de Bretagne, (réhabilitation Catherine de Médicis, Marie Stuart, Marguerite de Valois (reine Margot)), Marie-Elisabeth fille de Charles IX; contestation de la loi salique
- Cocula, Anne-Marie, Singularité des biographies féminines dans "Le recueil des dames" de Brantôme, Roma : École française de Rome, 2001. (=plaidoyer pour l'exercice du pouvoir où les femmes jouerait un rôle équivalent à celui des hommes)
- François Eudes de Mézeray, Histoire de France, depuis Faramond jusqu’à maintenant, Paris, 1643-1646-1651, 3 vol. (historiographie par règne, avec portraits des rois et reines
- travaux de Christian Amalvi, Laurent Avezou
Expo L'Invention du passé[modifier | modifier le code]
- L'invention du passé. Histoires de cœur et d'épée en Europe, 1802-1850
- catalogue (même titre) dispo GB DA 709.44074 I62 v. 2
- personnages (reines de France et autres) indexés (dépouillement selon CD)
- Aliénor D’AQUITAINE (1122-1204), reine de France, puis d’Angleterre : peinture – Laurent (1819, n°787) [ou 1822 ??] ; Monvoisin (1827, n°745) ; Collin (1833, n°455)
- Jean-Antoine Laurent, salon de 1822, n°787, Entrevue d’Éléonore de Guyenne avec le sultan d’Iconie
- notice de catalogue : "Raymond, prince d’Antioche, oncle de cette reine ayant eu à se plaindre de Louis-le-Jeune, son époux, et voulant s’en venger, avait proposé à Éléonore un nouveau mariage avec le sultan d’Iconie, à condition qu’il se ferait baptiser, et qu’il contracterait un traité d’alliance avec lui. Louis, averti par de fidèles serviteurs de ce que l’on tramait contre lui, déjoua cette intrigue, et fit enlever la reine à l’instant qu’elle s’y attendait le moins."
- Raymond Auguste Monvoisin (1794-1870) (ou 1790-1870) ?), salon 1827, n°745, Rosemonde
- notice de catalogue : "Henri II, roi d’Angleterre, pour soustraire son amante à la fureur jalouse d’Eléonore de Guienne, sa femme, lui avait fait bâtir un palais où il la visitait secrètement ; la reine découvre la retraite de sa rivale et la fait mourir de sa propre main."
- Jean-Antoine Laurent, salon de 1822, n°787, Entrevue d’Éléonore de Guyenne avec le sultan d’Iconie
- Anne D’AUTRICHE (1601-1666), reine de France : peinture – Decaisne (1831, n°481) ; Mauzaisse (1831, n°1475) ; Steuben (1831, n°1956) ; Scheffer (1831, n°2612) ; Fournier (1833, n°967) ; Beaume (1835, n°92) ; Guérin (1835, n°1006) ; Decaisne (1837, n°468) ; Gué (1838, n°872) ; Lafargue (1838, n°1025) ; Delaye (1840, n°420) ; Juillerat (1845, n°909) ; Schopin (1847, n°1455) ; Barescut (1848, n°194) ; Poltoratzkty (1848, n°3747) ; sculpture – Caudron (1831, n°2188) ; Descemet (1837, n°522) ; Ramus (1847, n°2152) ; gravure – Lafosse (1833, n°3314) ; Marin-Lavigne (1833, n°3316)
- Sainte BATHILDE (vers 626-680), reine des Francs : peinture – Laurent (1814, n°578) ; sculpture – Therasse (1848, n°4908)
- Isabeau de BAVIERE (1370-1435), reine de France : peinture – Truchot (1822, n°1258) ; Dulong (1835, n°657) ; Darondeau (1838, n°389) ; Lebas (1842, n°1162)
- Marie Anne Victoire de BAVIERE (1660-1690), dauphine de France : peinture – Beaume (1834, n°88)
- Anne de France, dite Anne de BEAUJEU (1461-1522), duchesse de Bourbon : peinture – Villières (1839, n°2085) ; Gosse (1844, n°830) ; sculpture – Gatteaux (1847, n°2089)
- Berthe ou BERTRADE de Laon (vers 720-783), reine des Francs : sculpture – Oudiné (1848, n°4867)
- Sainte Adélaïde de BOURGOGNE (vers 931-999), impératrice du Saint-Empire : peinture – Lemercier (1842, n°1223)
- Marguerite de BOURGOGNE (1290-1315), reine de France : peinture – Court (1833, n°2981) ; Debacq (1842, n°496) ; Peyson (1845, n°1331)
- Marie de BRABANT (1254-1322), reine de France : peinture – Saint-Evre (1839, n°1876)
- Anne de BRETAGNE (1477-1514), duchesse de Bretagne, reine de France : sculpture – Debay (1847, n°2071)
- BRUNEHAUT (vers 547-613), reine des Francs : peinture – Niquevert (1824, n°1263) ; Serrur (1827, n°960) ; Petit (1831, n°1650) ; Latil (1831, n°2780) ; Stürler (1835, n°2001)
- Blanche de CASTILLE (1188-1252), reine de France : peinture – Richard (1808, n°495) ; Beaunier (1814, n°39) ; Le Barbier (1814, n°587) ; Richard (1814, n°786) ; Delaval (1817, n°219) ; Roehn (1817, n°659) ; van Brée (1817, n°745) ; Servières (1819, n°1030) ; Aulnette du Vautenet (1822, n°37) ; Fragonard (1824, n°673) ; Devillers (1837, n°541) ; Cornu (1838, n°338) ; Lavauden (1838, n°1096) ; Marquet (1841, n°1388) ; Tellier (1841, n°1865) ; Arquinvilliers (1842, n°31) ; Gué (1844, n°870) ; Roberti (1847, n°1384) ; sculpture – Etex (1837, n°1917)
- Odette de CHAMPDIVERS (vers 1390-1425) : peinture – Herbé (1836, n°959) ; Borrel (1838, n°157) ; Provandier (1838, n°1452) ; Biard (1839, n°165) ; Duverger (1848, n°1508) ; sculpture – Huguenin (1836, n°1946) ; Huguenin (1839, n°2225)
- Sainte CLOTILDE (474 ou 475-544), reine des Francs : peinture – Delaval (1819, n°297) ; Duvidal de Montferrier (1819, n°419) ; Laurent (1819, n°697) ; Pagès (1824, n°1286) ; Seguin (1835, n°901) ; Revest (1835, n°1826) ; Legrand de Saint-Aubin (1836, n°1194) ; l’Étang (1837, n°662) ; Devéria (1838, n°525) ; Perdrau (1839, n°1629) ; Piepape (1843, n°952) ; Ferrière (1845, n°590) ; Boursault-Mugnier (1845, n°1719) ; Trézel (1850, n°2957) ; sculpture – Feugère des Forts (1850, n°3381)
- Jean-Antoine Laurent, salon 1819 no n°697, Clotilde suppliant Clovis son époux d’embrasser le christianisme avant son départ pour la bataille de Tolbiac; (Mais.d. R.), [Fontainebleau, musée national du château, galerie de Diane]
- Ingeburge de DANEMARK (1175-1236), reine de France : peinture – Boyenval (1819, n°167) ; Lemire (1819, n°745)
- Marguerite D’ÉCOSSE (1424-1445), dauphine de France : peinture – Servières (1817, n°695) ; Servières (1819, n°1031) ; Rumeau (1822, n°1150) ; Beaume (1824, n°72) ; Frapart (1834, n°785) ; Dubouloz (1836, n°570)
- Marie-Thérèse D’ESPAGNE (1638-1683), reine de France : peinture – Devéria (1834, décor Louvre) ; Desnos (1838, n°503) ; Gué (1838, n°872) ; Crespy-Leprince (1839, n°438) ; sculpture – Desboeufs (1836, n°1903)
- Claude de FRANCE (1499-1524), reine de France : peinture – Barrigue de Fontanieu (1819, n°39) ; Boichard (1836, n°192)
- Jeanne de FRANCE (1464-1505) : peinture – Villaine (1845, n°1648)
- FREDEGONDE (vers 545-597), reine des Francs : peinture – Boguet (1819, n°106) ; Couder (1831, n°407) ; Cibot (1833, n°403) ; Fourmont (1837, n°748) ; Doutreleau (1842, n°572) ; sculpture – Bougron (1833, n°2462)
- Éléonore de HABSBOURG (1498-1558), reine du Portugal, puis de France : peinture – Révoil (1824, n°1428) ; Jacquand (1834, n°1011)
- Louise de LORRAINE-VAUDEMONT (1553-1601) : peinture – Herbé (1838, n°908)
- Catherine de MEDICIS (1519-1589), reine de France : peinture – Ancelot (1819, n°11) ; Chaponnière (1831, n°302) ; Jonnes (1831, n°1152) ; Lecomte (1831, n°3074) ; Auguste (1835, n°60) ; Johannot (1835, n°1120) ; Monvoisin (1835, n°1585) ; Johannot (1836, n°1038) ; Saint-Evre (1839, n°1874) ; Robert-Fleury (1840, n°602) ; Rimbault-Borrel (1840, n°1406) ; Detouche (1848, n°1264) ; Terral (1849, n°1883) ; Baillet (1850, n°84) ; sculpture – Fauginet (1838, n°1859)
- Jacques-Auguste Fauginet, Catherine de Médicis méditant la construction des Tuileries. Statuette en plâtre. Salon de 1838.
- Marie de MEDICIS (1575-1642), reine de France : peinture – Monsiau (1812, n°663) ; Damame-Demartrais (1814, n°231) ; Monsiau (1814, n°714) ; van Brée (1817, n°746) ; Garnier (1819, n°487) ; Mauduit-Hersent (1822, n°693) ; Boulanger (1834, n°187) ; Marquet (1835, n°1518) ; Barré (1836, n°79) ; Jacquand (1838, n°958) ; Boulanger (1839, n°222) ; Alaux (1841, n°11) ; Empis (1844, n°636) ; Cavé (1845, n°277) ; sculpture – Caillouet (1847, n°2031) ; gravure – Rollet (1840, n°1823) ; Allais (1841, n°2146)
- Agnès de MERANIE (vers 1180-1201), reine de France : peinture – Auzou (1808, n°11) ; Lemire (1819, n°745) ; Laloua (1841, n°1159)
- Alix de PROVENCE ( ?-1129), comtesse de Provence : peinture – Auzou (1817, n°19)
- Marguerite de PROVENCE (1221-1295), reine de France : peinture – Richard (1808, n°495) ; Lair de Janville (1810, n°459) ; Le Barbier (1814, n°587) ; Richard (1814, n°786) ; Delaval (1817, n°219) ; Dumas (1845, n°516) ; sculpture – Husson (1847, n°2105)
- Agnès SOREL (entre 1422 et 1426-1450) : peinture – Bouteiller (1814, n°146) ; Millin du Perreux (1814, n°380) ; Bitter (1817, n°78) ; Verdé-Delisle (1831, n°2068) ; Martin (1834, n°1344) ; Murat (1834, n°1453) ; Lecoeur (1835, n°1287) ; Geffroy (1838, n°792) ; Chavet (1848, n°854)
- Marie STUART (1542-1587), reine d’Écosse : peinture – Vermay (1808, n°616) ; Richard (1814, n°787) ; Vermay (1814, n°934) ; Garnerey (1819, n°479) ; Rumeau (1819, n°1008) ; van Brée (1819, n°1117) ; Ducis (1822, n°398) ; Ducis (1822, n°399) ; Lecomte (1822, n°825) ; Révoil (1822, n°1081) ; Servières (1822, n°1193) ; Lachassaigne (1824, n°988) ; Saint-Evre (1824, n°1519) ; Vafflard (1824, n°1646) ; Destouches (1824, n°2312) ; Devéria (1827, n°331) ; L. C. (1831, n°255) ; Deschamps (1831, n°559) ; Ancelet (1833, n°36) ; Debacq (1833, n°572) ; Hautier (1833, n°1217) ; Lavauden (1833, n°1460) ; Schmitz (1833, n°2165) ; Serrur (1833, n°2183) ; Bruyères (1833, n°2953) ; Frapart (1835, n°834) ; Breton (1836, n°239) ; Johannot (1836, n°1039) ; Mailand (1836, n°1279) ; Bagatti-Valsecchi (1837, n°44) ; Rubio (1837, n°1613) ; Mauduit (1838, n°1263) ; Valton (1838, n°1720) ; Goetz (1839, n°892) ; Raudin (1839, n°1747) ; Saint-Evre (1839, n°1874) ; Lacaze (1840, n°951) ; Rimbault-Borrel (1840, n°1406) ; Serrur (1840, n°1505) ; T… (1840, n°1532) ; Brown (1842, n°261) ; Honein (1847, n°834) ; Laugée (1849, n°1240) ; gravure – Pauquet (1822, n°1800) ; Pauquet (1824, n°2031) ; Schmit (1824, n°2150) ; Boilly (1827, n°1576) ; Desmaisons (1835, n°2474)
- THEODEGILDE, reine des Francs : peinture – Bertin (1819, n°87) ; Laurent (1819, n°698)
- Jean-Antoine Laurent, salon 1819, n°698 Chérebert, roi de France, offrant l’anneau royal à Teudegilde qu’il épousa et à laquelle il donna le titre de reine (M.I.) - [Auch, musée des Jacobins]
- Jeanne de TOULOUSE (1220-1271), comtesse de Toulouse : peinture – Demanne (1812, n°272) ; Demanne (1814, n°1357)
- Marguerite de VALOIS (1553-1615), reine de France : peinture – Monsiau (1812, n°663) ; Monsiau (1814, n°714) ; Decaisne (1827, n°1452) ; Pils (1846, n°1448) ; gravure – Noël (1831, n°2506)
- Valentine VISCONTI (1638-1408), duchesse d’Orléans : peinture - Richard (1802, n°243) ; Rabigot (1812, n°754) ; Georges (1814, n°1356) ; Bouton (1817, n°116) ; Coupin de la Couperie (1822, n°263) ; Servières (1822, n°1191) ; Triqueti (1833, n°2285) ; Loche (1835, n°1431) ; Colin (1837, n°360) ; Borrel (1838, n°157) ;
Arquinvilliers (1844, n°41)[Valentine de Milan, tête d'étude] ; Pillaul (1844, n°1448) ; sculpture – Huguenin (1846, n°2190) ; gravure – Fauchery (1831, n°2333)- Anna Borrel, salon de 1838, no 157 - Valentine de Milan et Odette de Champs-Divers
- notice de cat : "Valentine de Milan ayant appris l’amour du duc d’Orléans, son mari, pour Odette, la fit venir. « C’est donc vous, lui dit-elle, qui avez voulu me faire tort de l’amour de Monseigneur, et qui croyez, après cela, qu’il n’y a qu’à vous agenouiller pour que je vous pardonne. » Odette se releva vivement : « J’ai mis un genou en terre, Madame, parce que vous êtes une grande princesse, et non pour que vous me pardonniez, car, grâce au ciel, je n’ai aucune faute à me reprocher envers vous. »" (Alex. Dumas, Isabel de Bavière)
- File:Valentine of Milan and Odette de Champdivers.jpg, image sur commons
- Anna Borrel, salon de 1838, no 157 - Valentine de Milan et Odette de Champs-Divers
Notes[modifier | modifier le code]
- Frédérique Leferme-Falguières, Les courtisans : une société de spectacle sous l'Ancien Régime, PUF, 2007, p. 106-107
- Frédérique Leferme-Falguières, Les courtisans : une société de spectacle sous l'Ancien Régime, PUF, 2007, p. 107
- Elena Fasano Guarini, « "Gentildonna" "Borghese" "cittadina": problèmes de traduction entre la Cour de Henri IV et la Cour des Médicis » in Sociétés et idéologies des Temps modernes: Hommage à Arlette Jouanna, Université de Montpellier, 1996, p. 166.
- Chronique normande de Pierre Cochon, notaire apostolique à Rouen, publiée pour la première fois en entier par Ch. de Robillard de Beaurepaire, Rouen, Le Brument pour la Société de l'histoire de Normandie, 1870, p. 244 [lire en ligne]
- Isabelle Paresys, « Corps, apparences vestimentaires et identités en France à la Renaissance », Apparence(s) [En ligne] 4 | 2012,
- Marion Chaigne, « Comptes féminins, contes du quotidien ? Les activités des duchesses de la seconde Maison d'Anjou à la lumière de leurs finances », Questes, vol. 15, 2008.
- BUBENICEK, Michelle. « Marquer la prééminence sociale dans la noblesse française médiévale : Du rôle du bijou et du vêtement à travers deux exemples genrés, au XIVe siècle » In : Marquer la prééminence sociale [en ligne]. Paris-Rome : Publications de la Sorbonne, 2014 (généré le 07 février 2017), cité d'après J. Quicherat, Histoire du costume en France, Paris, Hachette, 1877, p. 204.
- Jacques Paviot, Bruges, 1300-1500, Autrement, 2002, p. 17.
- https://books.google.ca/books?id=qgYNRxrjnOUC&pg=PA39&dq=%22Je+croyais+%C3%AAtre+ici+la+seule+reine%22&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwiS4NWHvvPXAhWL7IMKHdt7DWMQ6AEIOTAD#v=onepage&q=%22Je%20croyais%20%C3%AAtre%20ici%20la%20seule%20reine%22&f=false
- Sarah-Grace Heller, “Anxiety, Hierarchy, and Appearance in Thirteenth-Century Sumptuary Laws and the Romance of the Rose” French Historical Studies 27.2 (spring 2004): 311-348, ici p. 336 et notes 69-70
- Jacqueline Boucher, « Le costume autour des derniers Valois : signe de pouvoir et objet de polémique », dans Paraître et se vêtir au XVIe siècle, 2006, p. 218
- notice
- Cité dans L'Invention du Passé. Histoires de cœur et d'épée en Europe, 1802-1850, t. 2, Paris, Musée des Beaux-Arts de Lyon, Hazan, 2014, CD-Rom, 4-Répertoire des peintures exposées au Salon parisien entre 1802 et 1850, p. 202-203.
- Bernard Chevallier et Arnaud Denis (collaborateur), « Le palais revisité », dans Bernard Chevallier, Aurélia Rostaing et Jean-Denis Serena (dir.), avec la collaboration d'Arnaud Denis, Saint-Cloud, le palais retrouvé, Paris, Swan Éditeur / Éditions du Patrimoine-Centre des monuments nationaux, (ISBN 978-2-9536796-2-5), p. 190
- C. Léglu, Vida of queen Fredegund, p. 12-13
- source
- Robert Favreau et Georges Pon, « Le Grand Cartulaire de Fontevraud », Jacques Dalarun, éd. Robert d'Arbrissel et la vie religieuse dans l'Ouest de la France : Actes du Colloque de Fontevraud, 13-16 décembre 2001, Turnhout, Brepols, 2004, p. 241-254. DOI 10.1484/M.DM-EB.3.1688, ici p. 244 et note 18.
- Amédée de Césena, Agnès de Méranie : tragédie en 5 actes, Paris, A. Ledoux, 1842, [lire en ligne]
- François Ponsard, Agnès de Méranie, tragédie en cinq actes et en vers, Paris, Furne, 1847 [lire en ligne]
- Christopher de Hamel (trad. de l'anglais), Une histoire des manuscrits enluminés [« A history of illuminated manuscripts »], Londres, Phaidon, (1re éd. 1994), 272 p. (ISBN 0714890375 et 9780714892832, présentation en ligne), p. 152.
- Raymond Cazelles, Societe Politique, Noblesse Et Couronne Sous Jean Le Bon Et Charles V, Librairie Droz, 1982, p. 9-10.
- Raymond Cazelles, Societe Politique, Noblesse Et Couronne Sous Jean Le Bon Et Charles V, Librairie Droz, 1982, p. 87.
- Jacqueline Boucher, Deux épouses et reines à la fin du XVIe siècle: Louise de Lorraine et Marguerite de France, Université de Saint-Etienne, 1995, p. 101.
- Maria Spencer Wendeln, Princess On The Margins: Toward A New Portrait Of Madame Élisabeth De France, 2015, p. 79
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