Discussion:Marguerite d'Autriche (1480-1530)
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Jeanne la Beltraneja et Jeanne la Folle[modifier le code]
Le lien avec Jeanne de Castille est erroné : il s'agit en effet de Juana, Jeanne, fille de Ferdinand et Isabelle, rois Catholiques, qu'on surnommera La Loca, car elle devient folle de douleur à la mort de son époux, Philippe le Beau, frère de Marguerite d'Autriche.
Jeanne de Castille dite la Beltraneja, auquel renvoie, le lien est donc la cousine de Marguerite et non sa belle-soeur.
[Non signé, non daté]
Portrait de Marguerite d'Autriche[modifier le code]
Il y a dans Commons un très beau tableau de Marguerite d'Autriche. Malgré qu'elle soit nettement identifiable, il est sur le site identifié à Jeanne de Castille sur le motif que les couleurs de Castille bordent son voile noir. !!! ??? Je ne doute pas que ce portrait ait déjà fait l'objet d'études par les historiens, si vous en avez des références, n'hésitez pas à les faire connaître. Sinon, rdv sur le site de la royale collection qui comprend une copie de ce tableau et qui est identifié lui à Marguerite : Portrait de Marguerite dans la Royale collection Châtillon (d) 21 décembre 2009 à 00:17 (CET)
- J'ai remis l'image de Maguerite. Sinon, pour info, il existe un portrait de Maguerite d'Autriche à la National Gallery et la ressemblance entre ce dernier et celui mis en cause dans cete discussion ne laisse planer aucun doute sur l'identification du modèle : Maguerite d'Autriche à la National Gallery.--
Châtillon (d) 19 juin 2010 à 20:49 (CEST)
Sur un tableau du maître de Moulins[modifier le code]
Dans la série des identifications erronées, je signale que le portrait du Maître de Moulins présenté ici (et souvent ailleurs) comme un portrait de Marguerite représente en fait Suzanne de Bourbon, future femme du Connétable du Bourbon. La ressemblance de Suzanne avec sa mère Anne de Beaujeu y est d'ailleurs frappante. Le Maître de Moulins était, comme on sait, peintre attitré de la famille de Bourbon...
[Non signé, non daté]
Deux livres a discuter?[modifier le code]
Le livre de basse danse (Bib. Roy.Brxls, MS 9085) et le Livre des Heures a Vien l'apparteaient, tres beaux tous les deux, et importants comme epreuves de son activite culturelle, son intelligence et sa foi. Je ne peux pas les ecrire mais cela vaudra la peine a qq'un, peut-etre.
Dellaroux (d) 22 septembre 2010 à 19:12 (CEST)
Iconographie[modifier le code]
Intérêt du tableau récent (horrible) ????
[Non signé, non daté]
"L'intrigant Louis fait main basse" ?[modifier le code]
Bonjour, cela fait un peu roman de gare, cette façon de présenter un évènement politique important, non ? Bonne journée,
ManiacParisien (discuter) 12 mai 2014 à 12:07 (CEST)
Rénover l'article[modifier le code]
Il faudrait augmenter cette article mais surtout le rénover, en finir avec la figure de veuve maudite qui colle à son histoire de Marguerite, à tort, comme l'a bien montré Dagmar Eichberger dans ces différents livres. Ce qui m'énerve le plus ce sont les formules du style "elle est connue pour être la tante de Charles Quint", ou le titre "l'éternelle douairière" qui donne toujours cette même impression qu'elle est la "femme de", alors que Marguerite d'Autriche est l'une des plus belles figures de femmes souveraines et cultivées de la fin du Moyen Âge. Elle gouverne sur tous les Pays-Bas bourguignon, la Franche-Comté, le Nord de la Savoie, domaine fondamental car c'est tout un arc qui se trouve au contact du royaume de France en pleine guerre Habsbourg-Valois, et au contact de l'Allemagne en pleine Réforme ; elle tient d'une main ferme la région jusqu'à sa mort malgré ces deux grands périls. Elle fait aussi tomber la Savoie, traditionnellement plutôt pro-française, dans l'alliance Habsbourg, réalisant le rêve de chemin de Ronde Habsbourg ceignant le royaume de France. A côté de ça elle a constitué sans doute la plus belle collection de livres de la première moitié du XVIe siècle (c'est elle qui tient les Très Riches Heures de Jean de Berry notamment), autour d'elle on trouve van Orley, Jean Colombe, elle crée un foyer d'art de premier plan à Brou. Tout ça elle ne l'a pas fait en tant que tante de Charles Quint, ou sous ses ordres, mais en tant que Marguerite d'Autriche. Je pense qu'on peut mieux mettre en valeur tous ces aspects.
Bagpiper (discuter) 23 février 2017 à 10:11 (CET)
- Le fait est qu'elle n'est pas connue en général, même par les gens (pas si nombreux en France) qui connaissent Charles Quint.
- Dire dans le RI qu'elle est la tante de Charles Quint n'est donc pas une tentative de la rabaisser, mais de la situer comme une proche d'une des plus importantes personnalités du XVI° siècle. Le reste de l'article est là pour montrer ce qu'elle a pu faire de bien.
- Ce qui serait ridicule, c'est de ne pas dire qu'elle est la tante de Charles Quint, alors qu'elle l'a élevée jusqu'en 1516. Elle est aussi la fille de Maximilien d'Autriche, veuf de la duchesse Marie de Bourgogne (morte en 1482) et reconnu alors comme régent jusqu'à la majorité de Philippe le Beau, frère de Marguerite. Maximilien, qui devient empereur en 1493 et donc "suzerain" des fiefs bourguignons relevant de l'Empire (la plus grande partie).
- En ce qui concerne son rôle politique : dans les années entre 1482 (mort de Marie de Bourgogne) et 1496 (avènement de Philippe le Beau), le chef du gouvernement est Maximilien d'Autriche ; à partir de 1496, c'est Philippe le Beau (assez cadré par son père tout de même).
- Après la mort de Philippe le Beau en 1506, c'est Maximilien qui décide de confier à sa fille Marguerite la régence des fiefs bourguignons, ainsi que l'éducation de Charles de Gand (futur Charles Quint). Que dans cette fonction, elle ait eu un rôle notable est tout à son honneur, mais ses liens de parenté n'en sont pas moins importants. Jcqrcd44 (discuter) 1 septembre 2023 à 21:36 (CEST)
Enfant non-viable avec Philibert de Savoie ?[modifier le code]
Bonjour, j'ai eu à chercher la véracité de cette information, mais je n'ai rien trouvé. Doit-on l'enlever ?
Lyokoï (discuter) 15 mars 2018 à 12:04 (CET)
Médaille belge la représentant[modifier le code]
Une médaille belge à son effigie existe fin XIXe ou début XXe (sans date) avec le texte "Marguerite d'Autriche, tante de Charles-Quint"