Samonac
Samonac | |||||
Groupe animalier du monument aux morts. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Gironde | ||||
Arrondissement | Blaye | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes de Blaye | ||||
Maire Mandat |
Marie-Lise Giovannucci 2020-2026 |
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Code postal | 33710 | ||||
Code commune | 33500 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
457 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 117 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 04′ 29″ nord, 0° 34′ 06″ ouest | ||||
Altitude | Min. 17 m Max. 88 m |
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Superficie | 3,9 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Unité urbaine | Bourg (banlieue) |
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Aire d'attraction | Bordeaux (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de l'Estuaire | ||||
Législatives | Onzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
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Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Samonac est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).
Géographie
Commune de l'aire urbaine de Bordeaux située dans l'unité urbaine de Bourg sur le vignoble des Côtes-de-Bourg.
Communes limitrophes
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Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Gervais », sur la commune de Saint-Gervais, mise en service en 1995[7] et qui se trouve à 10 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,7 °C et la hauteur de précipitations de 784,8 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bordeaux-Mérignac », sur la commune de Mérignac, mise en service en 1920 et à 26 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,3 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,8 °C pour 1981-2010[12], puis à 14,2 °C pour 1991-2020[13].
Urbanisme
Typologie
Samonac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bourg, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[17] et 5 508 habitants en 2018, dont elle est une commune de la banlieue[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (92,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (68,2 %), zones agricoles hétérogènes (15,4 %), zones urbanisées (9,1 %), forêts (7,3 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
Politique et administration
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].
En 2021, la commune comptait 457 habitants[Note 7], en évolution de +4,58 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
L'église Saint-Martin
Le chevet de l'église, sous le vocable de saint Martin, est inscrit à l'inventaire supplémentaire des monuments historiques le [27], et la chaire à prêcher en pierres taillées est classée au titre "objet" le [28].
Bien que le patronage de saint Martin de Tours suggère une paroisse fondée aux temps mérovingiens, l'église ne comporte aucune trace de construction antérieure au XVe siècle. Son plan initial comprenait une nef unique non voûtée précédée d'un clocher-porche de plan barlong et un chœur rectangulaire orienté Est/Sud-est, proportionnellement assez vaste, plus élevé que la nef, et à chevet plat. La travée du clocher et le chœur sont voûtés sur arcs ogivaux; les piliers et les colonnettes supportant les arcs ne comportent aucun chapiteau, formant un mouvement continu de la base à la clef. Le chœur est élégant, la travée du clocher montrant un art moins assuré. Le chevet comporte une large baie à arcs brisés dont le décor gothique flamboyant forme des fenêtres géminées. Un portail du même style donnant primitivement accès à l'église dans le mur sud du clocher a été muré. De puissants contreforts cantonnent le chœur et le clocher.
Une campagne de travaux à la fin du XVIIIe siècle ouvre un portail à arc surbaissé dans le mur ouest du clocher (porte datée 1787), actuellement précédé d'un porche large et rustique ouvrant au sud, et édifie deux étroits bas-côtés séparés de la nef par des arcs en plein cintre formant deux travées (). Une chaire en pierres sculptées de style baroque est édifiée en 1791 à l'angle nord-est de la nef; de forme demi-hexagonale, elle est ornée de guirlandes de feuillage, et dans son panneau central d'un bas-relief représentant le don par Saint Martin de la moitié de son manteau à un pauvre d'Amiens transi de froid; le pauvre ne se voit plus, ayant été bûché en 1794 par le prêtre constitutionnel de la paroisse converti au culte de l'Être suprême. La nef et les bas-côtés sont voûtés en berceau d'août à . L'édifice comprend également un petit baptistère pris entre les contreforts nord du clocher, et une sacristie, probablement construite en même temps que les bas-côtés, prise entre les contreforts nord du chœur. Les vitraux sont contemporains, dont une série de quatre fermant les fenêtres des bas-côté, qui traitent différents thèmes de la vie de saint Martin de Tours, sont datés de 1912. Au cours d'une campagne de rénovation survenue en 1993, un nouveau maître-autel en pierre est installé dans le chœur en conformité avec la liturgie du concile Vatican II, et l'ancien maître autel datant de 1872 est déplacé et rebâti dans le collatéral nord. Ce nouvel autel est consacré par le cardinal Pierre Eyt le .
L'église présente extérieurement un aspect austère, ayant pour seules décorations la baie flamboyante du chevet et une moulure courant sur le soubassement des constructions du XVe/XVIe siècle. Cette baie et le portail d'entrée mis à part, toutes les ouvertures sont arquées en plein cintre. Ses dimensions intérieures sont de 22,50 mètres du portail ouest au mur du chevet, dont 8 mètres pour le chœur, sur une largeur de 5,75 mètres pour les travées du chœur, de la nef et du clocher. Les dimensions de la nef sont de 10 mètres d'est en ouest, et de 12 mètres du nord au sud avec ses bas-côtés.
Ancienne croix de cimetière
Visitant l'église de Samonac le , Léo Drouyn décrit et dessine la croix du cimetière. Le cimetière a été déplacé en 1880, et la croix, encore debout la même année[29], a aussi disparu. Ce petit monument du XVIe siècle avait un riche décor de 12 niches, disposées sur un fût carré comprenant trois étages, et contenant des statues de saints, bien détériorées quand Drouyn les décrit. Le fût, cassé aux trois quarts, était terminé par une croix moderne. Il reposait sur un socle carré supporté par trois marches[30]. Le dessin réalisé par Léo Drouyn (mais non pas son eau-forte) représente en arrière-plan une partie de l'église, indiquant ainsi que cette croix était sensiblement au même endroit que le monument aux morts de la commune.
Monument aux morts
Faisant face à l'entrée du porche de l'église, le monument pour les morts de la Première Guerre mondiale est érigé en 1920. Deux marches supportent le socle, de plan rectangulaire, formé de deux étages parallélépipédiques reliés par une doucine renversée et d'une pyramide tronquée. Un bloc en forte saillie forme la corniche de la pyramide tronquée et sert de base au groupe statuaire qui couronne le tout. Le socle porte sur sa face avant l'inscription « Aux enfants de Samonac morts pour la France 1914-1919 », et sur ses faces latérales 21 noms de jeunes hommes; la face arrière porte en inscription 1939-1940 et deux noms. La base avant du socle est également inscrite d'une dédicace « Aux morts en Algérie Maroc Tunisie 1952-1962 », conflits pour lesquels la commune n'a déploré aucun mort. Le monument est surmonté d'un groupe animalier, allégorie de la victoire sur l'Empire allemand, représentant un coq terrassant un aigle; un obus fiché dans le sol en avant des deux oiseaux, et, derrière eux, un casque à pointe renversé sur le sol et un tronc de chêne mutilé reverdissant viennent appuyer l'allégorie[Note 8]. L'œuvre est signée E.Raoul, sculpteur oublié.
Personnalités liées à la commune
Héraldique
Blason | Tiercé en pairle renversé : au 1er d'or à un cep de vigne de tenné, fruité de pourpre, feuillé de sinople et tuteuré de sable, au 2e de gueules à un léopard d'or armé et lampassé d'azur, au 3e d'azur à trois fasces ondées d'argent et à une coquille d'or brochante[31]. |
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Détails | Le cep de vigne est pour l'activité viticole de la commune, le léopard est repris des armes de Guyenne, les ondes sont pour la fontaine miraculeuse de saint Justin et enfin la coquille est pour les nombreux pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle qui passaient par le village. Adopté en . |
Galerie de photos
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Le bourg et l'église vus de l'est.
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Chevet plat de l'église.
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Le clocher et son contrefort nord-ouest.
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Intérieur de l'église.
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Croisée d'ogives dans le chœur.
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Croix du cimetière.
Eau forte de Léo Drouyn (1857).
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- S'il est nécessaire d'expliquer l'allégorie, un emblème non officiel de la France est le coq gaulois, possiblement par l'effet d'un jeu de mot antique - gallus en latin signifiant gaulois et coq -, et l'aigle figure dans les armes de l'Empire allemand, comme dans celles de l'Allemagne contemporaine.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Saint-Gervais - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Samonac et Saint-Gervais », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Saint-Gervais - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Samonac et Mérignac », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Bordeaux-Mérignac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Bourg », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Notice no PA00083830, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PM33000781, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
- Journal de la paroisse de Samonac, op. cit., Samonac_BP_1840-1912_0060
- Michelle Gaborit, notice Samonac - Croix de cimetière, in Léo Drouyn et la Haute Gironde, Albums de dessin n° 12, Éditions de l'Entre-deux-Mers, 2005, (ISBN 2-913568-33-5), p. 158
- « 33500 Samonac (Gironde) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
Voir aussi
Bibliographie
- Pour l'église: Curés de Samonac, Journal de la paroisse Saint Martin, 1840-1899, archives numérisées de la commune de Samonac (SAMONAC_BP_1840-1912).
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
- Samonac sur le site de l'Insee
- Site officiel de l'Office de Tourisme de Bourg en Gironde