Bruère-Allichamps

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Bruère-Allichamps
Bruère-Allichamps
Borne milliaire.
Blason de Bruère-Allichamps
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Saint-Amand-Montrond
Intercommunalité Communauté de communes du Cœur de France
Maire
Mandat
Roger Dagher
2020-2026
Code postal 18200
Code commune 18038
Démographie
Population
municipale
566 hab. (2021 en stagnation par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 46′ 06″ nord, 2° 25′ 57″ est
Altitude Min. 137 m
Max. 217 m
Superficie 13,9 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Amand-Montrond
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Amand-Montrond
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Bruère-Allichamps

Bruère-Allichamps est une commune française située dans le département du Cher, en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Bruère-Allichamps est située à 7 kilomètres au nord de Saint-Amand-Montrond sur la RD 2144 (ex-RN 144) qui est l’axe reliant Bourges (à 44 kilomètres au nord) à Montluçon (à 56 kilomètres au sud).

La commune est l'une des sept communes revendiquant le titre de centre de la France, et, historiquement, la première.

Selon les calculs du géographe français Adolphe Joanne (1813-1881) qui écrit dans son dictionnaire Géographique « Le centre géométrique de la France, autant qu'on peut en déterminer un, se trouve dans la partie sud du département du Cher, au village de Bruère-Allichamps, à 7 km au nord-ouest de Saint-Amand-Montrond. »

Détails des calculs de Joanne :

« Le Centre de la France est compris entre les deux latitudes et les deux longitudes entre lesquelles pourrait s'inscrire la plus petite figure semblable à la France. Ce point est entre 46° 51 32 et 46° 40 02 de latitude et 0° et 0° 10 33 de longitude orientale. Si l'on suppose un quadrilatère construit avec quatre points et dans lequel tient la France, le centre sera l'intersection des deux médianes. L'une de ces médianes se confond avec le méridien passant par 0° 05 15 de longitude est, et l'autre avec le parallèle situé à 46° 45 47 de latitude. Ce point, situé à égale distance du nord et du sud de la France, de l'est et de l'ouest de la France, est situé à Bruère-Allichamps. »

Ces calculs ont été effectués entre 1860 et 1870, quand l'Alsace et la Lorraine étaient françaises, ainsi que Nice et la Savoie, mais sans prendre en compte les territoires cédés par l'Italie à la France par le Traité de Paris de 1947 (Tende et La Brigue). Les points géodésiques à l'époque avaient pour référence le méridien de Paris situé à +2° 20 14 de celui de Greenwich. La borne milliaire placée au centre de la France est classée parmi les Monuments historiques par arrêté du 26 août 1909.

La commune fait partie du canton de Saint-Amand-Montrond même après 2015[1],[2].

Localisation[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 736 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Orval à 6 km à vol d'oiseau[5], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 757,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bruère-Allichamps est une commune rurale[Note 1],[9]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Amand-Montrond, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 36 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (40,6 %), prairies (39,9 %), forêts (13,8 %), zones urbanisées (2,3 %), eaux continentales[Note 3] (1,9 %), zones agricoles hétérogènes (1,5 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Bruère-Allichamps est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[17],[15].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bruère-Allichamps.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[18]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 390 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 332 sont en aléa moyen ou fort, soit 85 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2011 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].

La commune est en outre située en aval du barrage de Rochebut, de classe A[Note 4] et faisant l'objet d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[22].

Histoire[modifier | modifier le code]

La borne dans les années 1920.

La commune de Bruère-Allichamps fut créée en 1884 par la fusion de Bruère et d'Allichamps.

Un important haras consacré à la production de chevaux destinés à la remonte de l’armée française (remplaçant ceux blessés ou tués au combat) a existé à Bruère-Allichamps, au lieu-dit Châteaufer. Il est fermé après la Première Guerre mondiale.

Pendant la guerre civile espagnole, il fait partie des camps d'internement destinés à l’assignation à résidence des réfugiés espagnols. Ils sont seulement 55 début janvier 1939. Mais c’est surtout au moment de l'effondrement de la république espagnole, qui provoque la Retirada, que les arrivées de réfugiés sont importantes. Entre le 30 janvier et le 9 février 1939, 3 002 réfugiés espagnols fuyant devant les troupes de Franco, arrivent dans le Cher[23],[24]. Ils sont acheminés en quatre convois à la gare de Bourges[25].

L’hébergement n’est pas très confortable : les dortoirs sont aménagés dans les écuries, dont certaines sont dépourvues de portes[26]. Les réfugiés sont essentiellement des femmes et des enfants, les hommes sont retenus dans les camps du Midi[27]. Ils sont soumis à une quarantaine stricte, du fait des risques d’épidémie. Un hôpital de fortune est aménagé avec 40 lits à Châteaufer[28]. Le courrier est limité, le ravitaillement, s'il est peu varié et cuisiné à la française, est cependant assuré[29]. Au printemps et à l'été, le camp de Châteaufer devient le centre de regroupement départemental pour les réfugiés hébergés dans des centres ruraux créés dans les petites communes[30]. Malgré les facilités offertes à ceux qui veulent rentrer en Espagne (et les incitations), ils sont encore 912 en décembre 1939[31] et 600 en février 1940[32]. Certains enfants sont déplacés à la Maison familiale pour enfants de Bourges[32].

La mémoire de ce camp d’internement de réfugiés espagnols se transmet : à l’abbaye de Noirlac, une table ronde sur le sujet a eu lieu en novembre 2012, et des rencontres annuelles commémorent ces évènements depuis 2010 à Châteaufer et Noirlac[33].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1971 1979 Laurent Bilbeau PCF Instituteur
1979 1983 René Larguinat PCF  
mars 2008 2014 Didier Vandeporta    
avril 2014 juillet 2020 Patrick Ciajolo[34]   Fonctionnaire de catégorie A
juillet 2020 en cours Roger Dagher[34],[35]   Profession intermédiaire administrative de la fonction publique

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

En 2021, la commune comptait 566 habitants[Note 5], en stagnation par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
237312338118301335327354361
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3583773843964404081 0231 0851 061
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0731 0931 053889987835751798735
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
735669649631609573580576629
2015 2020 2021 - - - - - -
566567566------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Prieuré Saint-Étienne d'Allichamps XIIe siècle[43].. L’ancienne église Saint-Étienne d’Allichamps est inscrite sur l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques : arrêté du 19 février 1926. L'église est classée parmi les monuments historiques : arrêté du 9 août 2007, qui annule l’inscription du 19 février 1926[44].
  • Le château de Châteaufer (1670). Le corps de logis en totalité, la chapelle située à l'extrémité sud du bâtiment de communs est en totalité, les façades et les toitures des deux bâtiments de communs situés dans l'avant-cour, à l'exception de la chapelle inscrite en totalité, le portail d'entrée et le mur de clôture de l'avant-cour, les fossés, l'avant-cour, la cour et le jardin sont inscrits sur l’Inventaire Supplémentaire des Monuments Historiques : arrêté du 12 septembre 2002[45].
  • La colonne (borne milliaire trivium romain), extraite des carrières de La Celle, érigée par l’empereur romain Caracalla (au début du IIIe siècle), cette borne milliaire indiquait les 3 directions de la voie romaine : Avaricum – Aquae Neris – Mediolanum Castrum (Bourges – Néris les Bains – Châteaumeillant). Avant d’arriver à son implantation actuelle, elle a bien voyagé : à la chute de l’Empire romain, les Wisigoths l’emmenèrent dans le cimetière romain d’Allichamps où elle fut transformée en sarcophage. Elle fut découverte par le prieur Pajonnet au milieu du XVIIIe siècle et, après bien des péripéties, elle fut installée à son emplacement actuel (sur la RD 2144), c’est-à-dire à 200 m de son emplacement initial. La borne milliaire est classée monument historique en 1909[46].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bruère-Allichamps Blason
Parti : au 1er d'azur au pont d'une arche et deux demies d'argent, mouvant des flancs, maçonné de sable et posé sur une champagne ondée d'or, au chef cousu de gueules, bastillé de deux pièces et chargé d'une fasce alésée cousue d'azur surchargée de trois fleurs de lis d'or, au 2e de sinople à la colonne d'or.
Détails
Adopté en mai 2017.

Cinéma[modifier | modifier le code]

La scène d'ouverture du film L'Argent de poche de François Truffaut a été tournée en 1976 à Bruère-Allichamps : une fillette envoie une carte postale depuis le « centre de la France » à son cousin. Après le générique, la carte se retrouve dans les mains de son cousin qui la montre à l'instituteur (Jean-François Stévenin). Celui-ci disserte sur la commune et dessine une carte de France en indiquant le Centre de la France.

Centre géographique de la France[modifier | modifier le code]

Sept communes, situées entre le Cher et l’Allier, revendiquent, le titre honorifique de centre de la France: Bruère-Allichamps, est historiquement la première, mais sur la base de calculs anciens du géographe Adolphe-Laurent Joanne (1813-1881) qui ne tenaient pas compte de la Corse.

  • Chazemais.
  • Farges-Allichamps.
  • Huriel.
  • Nassigny.
  • Saulzais-le-Potier.
  • Vesdun en tenant compte des îles côtières.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[21].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. Liste des maires du Cher et appartenance des communes aux cantons sur le site de la préfecture (consulté le 26 septembre 2014).
  2. Décret no 2014-206 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Cher
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Bruère-Allichamps et Orval », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Orval » (commune d'Orval) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Orval » (commune d'Orval) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Bruère-Allichamps », sur Géorisques (consulté le )
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  17. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  20. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  21. Article R214-112 du code de l’environnement
  22. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  23. Jeanine Sodigné-Loustau, « L'accueil des réfugiés civils espagnols de 1936 à 1940. Un exemple : la région Centre », Matériaux pour l'histoire de notre temps, no 44,‎ , p. 43 (lire en ligne).
  24. Didier Arnold, « Les réfugiés de la Guerre d'Espagne dans le Cher. 1936-1946, documents disponibles aux Archives départementales du Cher », Archives départementales du Cher, (consulté le ).
  25. Alain Gardant, « L'enfance pendant les deux conflits mondiaux », dans L'enfance dans le Cher (1830-1945) (lire en ligne), p. 3 (consulté le 25 mars 2013).
  26. Geneviève Dreyfus-Armand, « Les enfants, ces oubliés de la diaspora républicaine espagnole », dans Rose Duroux, Exils, passages et transitions : Chemins d'une recherche sur les marges, Presses universitaires Blaise Pascal, , p. 39.
  27. Dreyfus-Armand, op. cit., p. 35.
  28. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 44.
  29. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 43-44.
  30. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 46.
  31. Jeanine Sodigné-Loustau, op. cit., p. 47.
  32. a et b Gardant, op. cit., p. 4.
  33. Anne-Lise Dupays, « Noirlac honore ses réfugiés espagnols de 1939 », L'Écho du Berry,‎ (lire en ligne) (consulté le 25 mars 2013)
  34. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  35. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Notice no PA00096746, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. « Berry Roman: en Berry: ma campagne a du style, Berry province.com », p. 14
  42. Collectif - DIREN (Direction Régionale de l'Environnement), « L'Abbaye de Noirlac (Fiche 6) : Allée principale, pré, cour, jardins. », dans Direction Régionale de l'Environnement, Atlas des sites du département du Cher., Centre du développement durable, , 110 p. (lire en ligne [PDF]), pages 41 à 43.
  43. « Berry Roman: en Berry: ma campagne a du style, Berry province.com », p. 12
  44. Notice no PA00096748, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. Notice no PA18000020, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. Notice no PA00096747, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Alain Ferdière et Yannick Rialland, « La prospection archéologique systématique sur le tracé de l'autoroute A 71 (section Bourges-sud du Cher). 1e partie /Systematic archaeological survey along the route of the a 71 motorway (section from Bourges to the Southern limit of the department of the Cher) (Part one). », Revue archéologique du Centre de la France,, t. 33,‎ , pages 42 à 81 (DOI 10.3406/racf.1994.2709, lire en ligne, consulté le ).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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