Appilly
Appilly | |||||
La mairie. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Oise | ||||
Arrondissement | Compiègne | ||||
Intercommunalité | CC du Pays Noyonnais | ||||
Maire Mandat |
Michel Leger 2020-2026 |
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Code postal | 60400 | ||||
Code commune | 60021 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
517 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 113 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 35′ 02″ nord, 3° 06′ 59″ est | ||||
Altitude | Min. 36 m Max. 59 m |
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Superficie | 4,57 km2 | ||||
Type | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Noyon (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Noyon | ||||
Législatives | 6e circonscription de l'Oise | ||||
Localisation | |||||
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Appilly est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France.
Géographie
Appilly est un village rural de la vallée de l'Oise (rivière) situé à mi-disance de Noyon et de Chauny, dans l'Oise (département) mais limitrophe de l'Aisne, à 29 km au nord-est de Soissons, à 37 km à l'ouest de Laon et à 32 km au sud-ouest de Saint-Quentin. Il est limité au nord par le gracé initial de l'ancienne route nationale 32 (actuelle RD 1032).
La Trans'Oise ou Scandibérique, une voie verte pour les piétons et les cyclistes, a été construite fin 2011, et est incluse dans la véloroute transeuropéenne EuroVelo 3.
La gare d'Appilly, qui n'est plus qu'un point d'arrêt non géré (PANG) et peu fréquenté sur la ligne de Creil à Jeumont, est desservie par des trains TER Hauts-de-France (ligne Compiègne – Saint-Quentin).
Communes limitrophes
Mondescourt | ||||
Babœuf | N | Marest-Dampcourt Aisne | ||
O Appilly E | ||||
S | ||||
Brétigny | Quierzy Aisne |
Hydrographie
Appilly est traversée par le canal latéral à l'Oise. L'écluse double no 1 de Saint-Hubert se trouve à la limite ouest de la commune.
La limite sud de la commune est constituée par le lit de l'Oise (rivière), l'un des principaux affluents en rive droite de la Seine. Le Grand Ru, le Ru d'Héronval et le Ru Verglaux, qui drainent le territoire communal, y confluent.
Le village, qui est fréquemment inondé, l'a été à trois reprises durant l'hiver 2020/21[1],[2].
L'Entente Oise-Aisne préconise en 2021 des aménagements et des buttes pour limiter ce risque d'inondation[3].
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du type « climat océanique altéré » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chauny », sur la commune de Chauny, mise en service en 1988[10] et qui se trouve à 8 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 11 °C et la hauteur de précipitations de 724,4 mm pour la période 1981-2010[12]. Sur la station météorologique historique la plus proche[Note 5], « Saint-Quentin », sur la commune de Fontaine-lès-Clercs, dans le département de l'Aisne, mise en service en 1933 et à 26 km[13], la température moyenne annuelle évolue de 10 °C pour la période 1971-2000[14] à 10,3 °C pour 1981-2010[15], puis à 10,8 °C pour 1991-2020[16].
Urbanisme
Typologie
Appilly est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 6],[17],[18],[19].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Noyon dont elle est une commune de la couronne[Note 7]. Cette aire, qui regroupe 38 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[20],[21].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (63 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37 %), forêts (23,6 %), prairies (20,2 %), zones urbanisées (8,4 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %)[22].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[23].
Lieux-dits, hameaux et écarts
Au nord de la commune, sur la RD 1032 se trouve le hameau de la Bretelle, partagé avec Mondescourt.
Habitat et logement
En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 226, alors qu'il était de 228 en 2013 et de 194 en 2008[I 1].
Parmi ces logements, 87,6 % étaient des résidences principales, 3,6 % des résidences secondaires et 8,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 95,6 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 4 % des appartements[I 2].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Appilly en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,6 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 86,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84,3 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].
Typologie | Appilly[I 1] | Oise[I 4] | France entière[I 5] |
---|---|---|---|
Résidences principales (en %) | 87,6 | 90,4 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 3,6 | 2,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 8,9 | 7,1 | 8,2 |
Toponymie
Appilly était dénommée Appilly, Apilly, Appelli en 1114, Apeill en 1262, Appelly en 1313, Appilli, Appeilly en 1596 (Apiliacum, Appiliacum, Apeillacum en 1179, Appelliacum en 1200)[24]
Histoire
Au lieu dit : la Couture d'Estay a été découvert au XIXe siècle un tombeau romain contenant des restes d'armures, des agrafes, une sonnette, un sceau d'ivoire, une grande amphore, plusieurs vases en terre, de couleur rouge et noire ; quelques médailles et quantité d'autres objets. On y recueillit, contenu dans un cadre d'ivoire, un magnifique médaillon de bronze d'Antonin, présentant, au revers, un char attelé de quatre lions. Enfin on trouva un vexillum ou étendard de cavalerie[25].
La terre d'Appilly a été donnée vers 980 à Abbaye de Saint-Éloi-Fontaine par l'évêque Linduiphe[24].
Au milieu du XIXe siècle, la commune comptait un moulin à eau, et, au lieu-dit Estay, une raffinerie de sucre[24]
Un accident ferroviaire y a lieu le . Sur la ligne de Paris à Jeumont, entre Noyon et Chauny, vers 14 heures, une machine de manœuvre coupe les voies principales pour remiser quatre wagons de marchandises alors qu'arrive à pleine vitesse le rapide 115 Paris-Bruxelles-Cologne. L'accident fait 5 morts, dont le chef de gare qui dirigeait la manœuvre, et une vingtaine de blessés graves[26].
Politique et administration
Rattachements administratifs et électoraux
Rattachements administratifs
La commune se trouve dans l'arrondissement de Compiègne du département de l'Oise.
Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Noyon[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Noyon
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la sixième circonscription de l'Oise.
Intercommunalité
Appilly est membre de la communauté de communes du Pays Noyonnais, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2005 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales. Cette intercommunalité succédait au district de la haute vallée de l’Oise créé en 1994 et qui remplaçais lui-même un SIVOM institué en 1970.
Liste des maires
Équipements et services publics
Population et société
Démographie
Évolution démographique
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].
En 2021, la commune comptait 517 habitants[Note 8], en évolution de −4,08 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,3 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 274 hommes pour 270 femmes, soit un taux de 50,37 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,89 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
La commune a perdu son dernier commerce en 2021, une épicerie/restaurant, frappé par les inondations et la pandémie de Covid-19 en France[39]
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
- L'église a été reconstruite à l'identique après les destructions de la Première Guerre mondiale. Auparavant, l'église datait, pour ses parties les plus anciennes, du XVIe siècle.
La façade a été construite en style néoclassique de 1839 à 1842 par l’architecte Maintenay, de Compiègne.
Le mobilier (lambris, bancs, stalles, confessionnal, fonts baptismaux) date principalement du XIXe siècle et les trois autels sont de style art-déco[40].
- Le monument aux morts est en forme de triptyque, en bas-relief composé bas-relief d'une veuve et d'une orpheline. À côté de celles-ci, un casque sur une tombe. Il fut inauguré le et est en calcaire, pour un coût de construction de 8 250 francs. Son architecte est Michel-Baron, habitant de Paris mais son sculpteur est Léon-Marius Cladel, né à Sèvres et habitant de Paris. Ce dernier signa la sculpture contrairement à l'architecte[41].
- La pierre de Saint-Hubert, située en rive droite de l'Oise à l'entrée du village, est un imposant bloc de grès supposé être un monument druidique[25].
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La fontaine du village.
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La pierre de Saint Hubert.
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L'ancienne gare.
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La façade de l'église
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Intérieur de l'église.
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Le monument aux morts.
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Détail de la mère épleurée du monument aux morts
Personnalités liées à la commune
- Jacques Damerval est seigneur d'Appilly en 1625 ; il sert comme enseigne dans une compagnie du régiment du duc de Chaulnes[25].
- Charles de Brancas, marquis d'Appilly et de Maubec, appelé le comte de Brancas, est chevalier d'honneur de la reine Anne d'Autriche, et meurt à Paris, le 8 janvier 1681[25].
- Louis-Antoine de Brancas, fils de Louis, duc de Villars, pair de France, baron d'Oise et marquis d'Appilly, est chevalier des ordres du roi, aide-de-camp du duc de Bourgogne. Il épouse Marie-Angélique Frémyn de Moras, dont il eut Louis de Brancas, né le 5 mai 1714 et qui fut aussi marquis d'Appilly[25].
Voir aussi
Bibliographie
- A. Ponthieux, « Notes historiques sur Appilly », Comptes rendus et mémoires lus aux séances / Comité archéologique de Noyon, t. XX, , p. 1-41 (lire en ligne, consulté le ).
- Isabelle Barbedor, Michel Hérold, Alain Nafilyan, « Le canton de Noyon : le territoire de la commune d'Appilly : Dossier IA60000318 réalisé en 1986 », Inventaire général, sur https://inventaire.hautsdefrance.fr (consulté le ).
Articles connexes
Liens externes
- « Dossier complet : Commune d'Appilly (60021) », Recensement général de la population de 2018, INSEE, (consulté le ).
- « Appilly », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Appilly » sur Géoportail.
Notes et références
Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Par station météorologique historique, il convient d'entendre la station météorologique qui a été mise en service avant 1970 et qui est la plus proche de la commune. Les données s'étendent ainsi au minimum sur trois périodes de trente ans (1971-2000, 1981-2010 et 1991-2020).
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Références
Site de l'Insee
- « Chiffres clés - Logement en 2018 à Appilly » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Appilly - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Appilly - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
- Noémie Dambrin et Éléa N’Guyen Van-ky, « Dans l’Oise, on guette avec inquiétude la montée des eaux : Des crues soudaines prennent de court les agriculteurs et les habitants du département, qui sont appelés à la vigilance. L’Oise devrait atteindre 4,26 m de haut ce samedi 24 juillet à Sempigny. Soit trois fois sa hauteur habituelle », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Nicolas Aubouin, « Appilly : après les inondations, les questions : Dans l'Oise, la commune d'Appilly connaît plusieurs inondations consécutives. Ce dimanche 17 janvier, une réunion réunissait les acteurs locaux pour tenter de trouver une solution », Actu Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- S.L.B, « Un batardeau et un muret préconisés à Appilly pour empêcher les inondations : 650 000 euros sont nécessaires pour protéger le village des inondations, selon l’Entente Oise-Aisne », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - », sur www.observatoireclimat-hautsdefrance.org (consulté le )
- « Station Météo-France Chauny - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Appilly et Chauny », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Chauny - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Appilly et Fontaine-lès-Clercs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Station météorologique de Saint-Quentin - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
- « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Noyon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
- Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Noyon, arrondissement de Compiègne (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 232 p. (lire en ligne), p. 52-54.
- Émile Coët, Notice historique et statistique sur les communes de l'arrondissement de Compiègne, Compiègne, A. Mennecier, , 462 p. (lire en ligne), p. 231-233, sur Gallica.
- Le Petit Journal du 11 septembre 1894, p. 1.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- L.G., « Le maire est décédé », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- L. G., « Conseil exceptionnel après le décès du maire », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne) « Ces élections faisaient suite au récent décès du maire, Michel de Planta, et à la démission antérieure d'un autre conseiller municipal ».
- Pierre-Louis Vasselle, « Cimetière d’Appilly (Oise) - Le caveau des châtelains d'Estaÿ. », sur http://memchau.free.fr/grenier.htm (consulté le ).
- « Jean-François Turgy et Francis Dantas nouveaux conseillers », Le Parisien, édition de l'Oise, (lire en ligne, consulté le ).
- « Jean-François Turgy repart », Le Courrier picard, édition de Noyon, (lire en ligne).
- « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur https://www.data.gouv.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Appilly (60021) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
- Stephane Lebarber, « L’épicerie d’Appilly a fermé, victime du Covid », Le Courrier picard, (lire en ligne, consulté le ).
- Dominique Vermand, « Appilly, église Saint-Médard : Diocèse : Noyon », sur Eglises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).
- « Monument aux morts d'Appilly (Oise) », sur monumentsauxmorts.fr (consulté le ).