Suzanne Valadon
musée des Beaux-Arts de Houston.
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Décès |
(à 72 ans) 16e arrondissement de Paris |
Sépulture | |
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- |
Nom de naissance |
Marie Clémentine Valadon |
Pseudonymes |
Suzanne Moussis, Suzanne Utter |
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André Utter (de à ) |
Enfant |
Suzanne Valadon, née Marie Clémentine Valadon le à Bessines-sur-Gartempe et morte le à Paris, est une artiste peintre et graveuse française.
Ses œuvres sont conservées dans de nombreux musées dont le musée national d'Art moderne à Paris, le Metropolitan Museum of Art à New York, le musée de Grenoble, le musée des Beaux-Arts de Lyon. Une exposition permanente lui est dédiée dans sa ville natale.
Biographie
[modifier | modifier le code]Marie-Clémentine Valadon[1] naît le à Bessines-sur-Gartempe, en Haute-Vienne[2].
Marie-Clémentine Valadon et sa mère, Madeleine Valadon, blanchisseuse, vivent à Montmartre. Marie-Clémentine Valadon devient acrobate de cirque en 1880 jusqu’à ce qu'une chute mette fin prématurément à cette activité[3]. C'est alors qu'elle se rapproche de la sphère artistique et devient modèle pour les artistes sous le prénom de Maria. Elle les observe en posant et apprend ainsi leurs techniques[4]. C’est à cette occasion qu'elle fait la connaissance du peintre Pierre Puvis de Chavannes. Elle pose également pour Auguste Renoir, qui devient aussi son amant. Elle est modèle pour Théophile Alexandre Steinlen, Jean-Jacques Henner et Federico Zandomeneghi. C'est Henri de Toulouse-Lautrec qui lui donne le nom de Suzanne Valadon en référence à l'épisode biblique de Suzanne et les Vieillards[3]. Elle a également plusieurs admirateurs dont Miquel Utrillo, un ingénieur catalan[5], promoteur des arts[5], peintre[5], homme de lettres et critique d'art (journaliste)[6].
À 18 ans, elle attend un fils, Maurice, qui naît le et dont elle dit ne pas connaître le père. C'est à ce moment qu'elle réalise sa première œuvre signée Suzanne Valadon : un autoportrait au pastel[3]. À cette époque, elle fait des dessins, surtout des portraits, à la mine de plomb, au fusain et à la sanguine. Cela devient son activité principale jusqu'en 1909.
Miquel Utrillo, qui s'intéresse à l'enfant, vient régulièrement en visite chez les Valadon. En 1886, Marie-Clémentine et sa mère déménagent rue Tourlaque, dans la maison où Henri de Toulouse-Lautrec loue un atelier. Très vite, ils font connaissance. Elle devient son modèle ainsi que sa maîtresse. Il fera d'elle le portrait intitulé Gueule de bois. Elle l'accompagne partout pendant ses escapades nocturnes. Après avoir découvert par hasard quelques dessins faits par elle, il lui conseille de les montrer à Edgar Degas. Celui-ci est enthousiaste, et Suzanne Valadon devient son élève et sa protégée.
Son fils, appelé à sa naissance Maurice Valadon, prend en 1891 le nom de Maurice Utrillo, nom de famille de Miquel Utrillo, son père putatif, lorsque celui-ci le reconnaît.
Il faut attendre 1892 pour que Suzanne Valadon commence à pratiquer la peinture à l'huile[7]. Elle peint des natures mortes, des bouquets et des paysages marqués par la force de leur composition et leurs couleurs vibrantes. Elle s'inspire aussi de son entourage, ainsi elle brosse les portraits de son fils et de sa mère. Elle peint également des nus.
Elle a une relation avec Erik Satie en 1893. Il lui aurait proposé le mariage au matin de leur première nuit. Seule relation intime connue du musicien, elle le laisse, comme il dira, avec « rien, à part une froide solitude qui remplit la tête avec du vide et le cœur avec de la peine »[8].
Suzanne Valadon expose pour la première fois à la galerie Le Barc de Boutteville en 1893 et 1894. Puis toujours en 1894 au Salon de la Société nationale des beaux-arts (avec cinq dessins)[9].
Elle devient la maîtresse de Paul Mousis, agent de change et ami d'Erik Satie, qu'elle épouse en 1896. Le couple s'installe alors au 12, rue Cortot, en haut de la butte Montmartre. Ce mariage lui donne une stabilité financière qui lui permet de se consacrer à sa peinture et à l'éducation de son fils[7].
Son mariage prend fin en 1909, année où elle expose au Salon d'Automne à Paris (dont elle deviendra Sociétaire jusqu'en 1933). Elle se met en ménage avec l'ami de son fils, le peintre André Utter (1886-1948), qu’elle épouse en 1914[10]. Cette union, houleuse, durera près de trente ans. André Utter en Adam et elle-même en Ève figurent sur l'une de ses toiles les plus connues Adam et Ève (Paris, musée national d'Art moderne). Il s'agit d'une époque où elle oriente ses œuvres vers un plus grand naturalisme comme on le remarque dans La petite fille au miroir (collection particulière) ou La tireuse de cartes (Les amis du Petit Palais, Genève)[7].
Edgar Degas — pour qui elle n'a jamais posé, malgré ce que l'on dit souvent — remarquant les lignes vives de ses esquisses et de ses peintures, encourage ses efforts en lui achetant et collectionnant ses premiers dessins. Elle connaît de son vivant le succès et réussit à se mettre à l'abri des difficultés financières de sa jeunesse, pourvoyant aux besoins de son fils.
Berthe Weill la soutiendra efficacement en lui permettant de participer, dans ses galeries successives, à 15 expositions de groupe et en lui offrant 3 expositions personnelles (1915, 1927 et 1928)[11].
En 1923, Suzanne Valadon achète avec Utter le château de Saint-Bernard, au nord de Lyon, pour tenter d'entraver l'alcoolisme de son fils. Maurice Utrillo peint le château ainsi que l’église ou encore le restaurant du village[12].
À la fin de sa vie, Suzanne Valadon se lie d'amitié avec le peintre Gazi-Igna Ghirei, dit Gazi le Tatar (1900-1975)[13] et, poussée par cette rencontre, se remet à peindre[14]. Elle participe alors aux expositions de groupe organisées par la Société des femmes artistes modernes (FAM), créée en 1931.
Elle meurt le à Paris[15], entourée de ses amis peintres André Derain, Pablo Picasso, Georges Braque et Georges Kars, lequel dessine son ultime portrait ce jour-là[16]. Elle est inhumée, le , au cimetière parisien de Saint-Ouen[17].
Œuvres dans les collections publiques
[modifier | modifier le code]Algérie
[modifier | modifier le code]- Alger, musée national des Beaux-Arts : La Rue Cortot.
Australie
[modifier | modifier le code]- Melbourne, musée national du Victoria : Nu à la draperie, 1921, huile sur toile, 73 × 54 cm[18].
France
[modifier | modifier le code]- Limoges, Musée des Beaux-Arts :
- La Couturière, vers 1914, huile sur toile, 81 × 65,2 cm.
- La Chambre bleue, 1923, huile sur toile[19].
- Lyon, musée des Beaux-Arts : Portrait de Marie Coca et sa fille , 1913, huile sur toile, 161 × 130 cm.
- Montpellier, musée Fabre : Route dans la forêt de Compiègne, 1914, huile sur toile, 73 × 54,8 cm.
- Nancy, musée des Beaux-Arts : Le Lancement du filet, 1914, huile sur toile, 201 × 301 cm.
- Nantes, musée d'Arts : Les Baigneuses, 1923, huile sur toile, 116,4 × 89 cm.
- Paris :
- musée d'Art moderne de Paris : Nu à la couverture rayée, 1922.
- musée de Montmartre : Autoportrait, 1894, plume sur papier, 26 × 30 cm.
- Sannois, musée Utrillo-Valadon (fermé depuis 2014) : Portrait de la mère de Bernard Lemaire, 1894, huile sur panneau, 52 × 40 cm, déposé au musée de Montmartre.
- Villefranche-sur-Saône, musée Paul-Dini : Nu à la draperie blanche, 1914, huile sur toile, 96 × 73 cm.
Suisse
[modifier | modifier le code]- Genève, Petit Palais :
- La Femme à la contrebasse, vers 1914-1915, huile sur toile, 100 × 65 cm ;
- Nu au canapé rouge, 1920[20].
-
Louise nue sur le canapé (1895), eau-forte, Albi, musée Toulouse-Lautrec.
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Femmes dans la salle de bain (1895), Crayon sur carton, Signé, Collection Privée.
-
Avant le bain (1908), pierre noire et pastel, New York, Metropolitan Museum of Art.
-
Après le bain (1908), pierre noire et pastel, Genève, Petit Palais.
-
L'avenir révélé ou la diseuse de bonne aventure (1912) Genève, Petit Palais.
-
Marie Coca et sa fille (1913), huile sur toile, musée des Beaux-Arts de Lyon.
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Le Lancement du filet (1914), huile sur toile, musée des Beaux-Arts de Nancy.
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Nu en robe blanche (1914), huile sur toile, Musée Paul-Dini de Villefranche-sur-Saône.
-
Portrait de Mauricia Coquiot, (1915), huile sur toile, musée national d'Art moderne.
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Nus (1919), huile sur toile, musée d'art de São Paulo.
-
La Vénus noire (1919), huile sur toile, Paris, musée national d'Art moderne.
-
Nu assis (1920), Fusain et pastel sur papier, Collection de David E. Weisman et Jacqueline E. Michel musée de Montmartre.
-
Les Baigneuses (1923), huile sur toile, musée d'Arts de Nantes.
-
La Femme aux bas blancs (1924) Musée des Beaux-Arts de Nancy
-
Nu couché (1928), huile sur toile, New York, Metropolitan Museum of Art.
-
Nature morte au lapin et à la perdrix (1930), huile sur toile, Lausanne, Fondation de l'Hermitage.
-
Autoportrait aux seins nus (1931) Collection particulière - Suisse
Modèle
[modifier | modifier le code]Suzanne Valadon a posé comme modèle pour des peintres comme Auguste Renoir (Jeune femme aux seins nus, La danse à Bougival, Danse à la ville), Pierre Puvis de Chavannes, Henri de Toulouse-Lautrec (Gueule de bois), André Utter (Portrait de Suzanne Valadon), Jean-Eugène Clary (Suzanne Valadon à vingt ans, vers 1887, huile sur toile, Paris, musée d'Orsay).
-
Théophile Alexandre Steinlen, Portrait de Suzanne Valadon (vers 1880), Vernon, musée Alphonse-Georges-Poulain.
Expositions monographiques
[modifier | modifier le code]- 1967 : Suzanne Valadon, Paris, musée national d'Art moderne.
- 1996 : Suzanne Valadon, Martigny, Fondation Gianadda.
- 2009 : Valadon, Utrillo. Au tournant du siècle à Montmartre. de l'Impressionnisme à l'École de Paris, Pinacothèque de Paris[22].
- 2015-2016 : Valadon, Utrillo et Utter, Paris, musée de Montmartre[23].
- 2020-2021 : Suzanne Valadon et ses contemporaines : l'art moderne au féminin, musée des Beaux-Arts de Limoges, du au , puis à Bourg-en-Bresse, prévu du au [24] puis reporté du 19 mai au 5 septembre 2021[25].
- 2023 : Suzanne Valadon. Un monde à soi , Centre Pompidou-Metz[26].Dates :15.04.23 > 11.09.23
- 2023-24 : Suzanne Valadon. Un monde à soi - Musée d'Arts de Nantes Dates :27.10.23 au 11.02.24
Hommages
[modifier | modifier le code]- Un lycée de Limoges porte son nom[27].
- Une place de Paris, la place Suzanne-Valadon, est nommée en son honneur.
- Une station du tramway de Tours et du tramway T5 à Pierrefitte-sur-Seine[28] portent son nom depuis 2013.
- Un cratère vénusien, Valadon, est aussi nommé en son honneur[29], ainsi qu'un astéroïde de la ceinture principale, (6937) Valadon[30].
- Espace scénographique Suzanne Valadon à Bessines-sur-Gartempe[31],[32], ville natale de l'artiste
- Pièce de théâtre Suzanne Valadon, sa vie avec…, créée par Françoise Taillandier (compagnie Le MatouKiTouss) au théâtre Le Guichet Montparnasse à Paris.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Notice d'autorité de la Bibliothèque nationale de France.
- « Archives numérisées d'état civil de la Haute-Vienne, commune de Bessines, 1865, acte de naissance n° 34, vue 37/122 » (consulté le ).
- « Centre Pompidou-Metz - Exposition Suzanne Valadon. Un monde à soi », sur Centre Pompidou Metz (consulté le ).
- Philippe Dagen, « Suzanne Valadon, une vie de peintre après le modèle », Le Monde, (lire en ligne ).
- Miquel Utrillo i Morlius (en catalan), Enciclopèdia Catalana. [Accédé le 30-01-2023].
- Miquel Utrillo i Morlius (en catalan), Diccionari d'historiadors de l'art català, valencià i balear. [accédé le 30-01-2023].
- Camille Viéville, « VALADON MARIE-CLÉMENTINE dite SUZANNE - (1865-1938) », Encyclopedia Universalis, consulté le 18 juillet 2023 (lire en ligne).
- Patrice Delbourg, Les Jongleurs de Mots : De François Villon à Raymond Devos, Ecritures, , 600 p. (lire en ligne).
- Il est parfois dit qu'elle fut la 1re femme à y exposer. Or, dès le 1er Salon de la SNBA de 1890, plus de 60 femmes y exposèrent. Et au Salon de 1894, on en dénombarait près de 80. Se référer aux Catalogues de ce Salon (édités sous la direction de Pierre Sanchez).
- Selon son acte de mariage daté du à Paris 18e, visible sur le site en ligne des archives départementales de Paris, cote 18M459, acte 2409. Les témoins à son mariage sont Germain Delonorié, Joseph Desonnay, Alexandre Gagneu et Marthe Gex.
- Marianne Le Morvan, Berthe Weill 1865-1951 La petite galeriste des grands artistes, L'écarlate, collection « L'art au féminin », 2011, p. 212.
- chateau-de-saint-bernard.fr.
- Biographie de Gazi le Tatar sur le site roussard.com.
- Martine et Bertrand Willot, Gazi le Tatar, fils imaginaire et ami véritable de Suzanne Valadon, Vie D'artiste Awd, 2007 (ISBN 2-913639-07-0).
- « Archives numérisées d'état civil de Paris, 1938, 16e arr., acte de décès n° 685, vue 9/31 » (consulté le ).
- Georges Kars, Suzanne Valadon sur son lit de mort, Paris, musée national d'Art moderne.
- « cimetière parisien de Saint-Ouen, inhumation classée à Utter », sur Le site des archives de Paris (consulté le ), p. 13.
- (en) « Nude with drapery (Nu à la draperie) », sur National Gallery of Victoria (consulté le ).
- Reproduction sur csupomona.edu.
- Nu au canapé rouge..
- Notice du Centre Pompidou.
- Site de l'exposition sur pinacotheque.com.
- « Suzanne Valadon, Maurice Utrillo, André Utter au 12, rue Cortot (1912-1924) », sur Musée de Montmartre (consulté le ).
- [PDF] « Évènement « Valadon et ses contemporaines. Peintres et sculptrices, 1880-1940 », 7 novembre 2020 - 14 février 2021 ».
- « L'agora des arts - Expo à Paris - Valadon et ses contemporaines, peintres et sculptrices, 1880-1940 », sur lagoradesarts.fr (consulté le ).
- « Suzanne Valadon, une vie de peintre après le modèle », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- « Qui était Suzanne Valadon ? », sur le site du Lycée Suzanne Valadon, (consulté le ).
- « RATP : un nouveau tramway entre Saint-Denis et Garges-Sarcelles », metronews.fr, (consulté le ).
- « Planetary Names: Crater, craters: Valadon on Venus », sur planetarynames.wr.usgs.gov (consulté le ).
- (en) « (6937) Valadon », dans Dictionary of Minor Planet Names, Springer, (ISBN 978-3-540-29925-7, DOI 10.1007/978-3-540-29925-7_6195, lire en ligne), p. 566–566.
- tourisme-hautevienne.com.
- « Espace scénographique Suzanne Valadon », sur bessines-sur-gartempe-87.fr.
Annexes
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Jeanne Champion, Suzanne Valadon ou la Recherche de la vérité, 1984.
- Jeanne Champion, Suzanne Valadon, Paris, éditions Fayard, coll. « Biographies Diverses », , 384 p. (ISBN 978-2-213-64714-2, lire en ligne).
- Collectif, Suzanne Valadon, Musée national d'art moderne, préface de Bernard Dorival, Paris, Réunion des musées nationaux, 1967.
- Thérèse Diamand-Rosinsky, Suzanne Valadon, Éditions Flammarion, 2005 (ISBN 2080684655).
- Bernard Dorival, L’École de Paris au Musée National d'Art Moderne, Paris, Éditions Aimery Somogy, 1961, p. 308.
- Daniel Marchesseau et Fondation Pierre Gianadda, Suzanne Valadon, Martigny, 1996.
- Paul Pétridès, L'Œuvre complet de Suzanne Valadon (catalogue raisonné), Paris, Compagnie française des arts graphiques, (OCLC 715323423).
- Michel Peyramaure, Suzanne Valadon, 2 tomes, éditions Robert Laffont, collection « Pocket », 1998.
- Marc Restellini, Jean Fabris, Jacqueline Munck, Jean-Pierre Valeix, Sophie Krebs, Valadon, Utrillo. Au tournant du siècle à Montmartre. De l'Impressionnisme à l'École de Paris, [catalogue d'exposition], Éd. Pinacothèque de Paris, 2009 (ISBN 9782358670012).
- Robert Rey, Suzanne Valadon, Paris, NRF, coll. « Les Peintres français nouveaux », 1922.
- Le Salon d'Automne à travers ses affiches de 1903 à nos jours, Paris, Éditions Lelivredart, 2019 (ISBN 978-2-35532-334-8).
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
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- Ressources relatives aux beaux-arts :
- AGORHA
- Art Institute of Chicago
- Art UK
- Artists of the World Online
- Bénézit
- Bridgeman Art Library
- British Museum
- Delarge
- Grove Art Online
- Kunstindeks Danmark
- MNBAQ
- Musée d'art Nelson-Atkins
- Musée d'Orsay
- Musée des beaux-arts du Canada
- Museo Nacional de Artes Visuales
- Museum of Modern Art
- MutualArt
- National Gallery of Art
- RKDartists
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- Ressource relative à plusieurs domaines :
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- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
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