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Musée Louis de Funès

Musée de Louis
Informations générales
Ouverture
Fermeture
Surface
190 m2
Visiteurs par an
26 000 (2014)
19 000 (2015)
Site web
Collections
Collections
Demeure de Louis de Funès, mobilier, accessoires de cinéma, souvenirs…
Époque
Bâtiment
Article dédié
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Localisation
Pays
France
Division administrative
Commune
Coordonnées
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http://nimotozor99.free.fr/duringer-roselyne.htm

Le musée de Louis est un musée consacré à l'acteur français Louis de Funès.

Situé dans le village du Cellier, le musée est établi dans une dépendance du château de Clermont, propriété de l'acteur de 1967 à 1983. Il est géré par l'association « Musée de Louis », administrée notamment par ses fils Patrick et Olivier. Michel Galabru est le parrain du musée. Son inauguration a lieu le , jour du centième anniversaire de la naissance de Louis de Funès. Ouvert de 2014 à 2016, le musée attire au total plus de 68 000 visiteurs, témoignant ainsi de la popularité de l'acteur et fonctionnant grâce au bénévolat, sans solliciter de subvention. L'association se renomme « Musée Louis de Funès » en 2016.

Le musée expose des objets, accessoires, affiches et photographies relatifs à la filmographie de Louis de Funès mais aussi des objets plus intimes, issus de sa vie privée, donnés principalement par sa famille.

Malgré son succès, le musée ferme en octobre 2016, l'association n'ayant pu acquérir les locaux qu'elle louait. Un projet d'un second musée situé à Nantes est à l'étude en 2017. L'avancée du projet repose notamment sur le succès de l'exposition Louis de Funès, du jazz au jardin, réalisée avec une partie des collections du musée.

Collections[modifier | modifier le code]

Le musée présente de nombreuses pièces de collection relatives à Louis de Funès, sur sa carrière théâtrale et cinématographie mais surtout sur sa vie privée. Depuis les débuts du musée qui ne possédait qu'une dizaine de pièces, la collection s'est enrichit considérablement, réunissant ainsi quelques milliers de pièces[1]. Dès la création, des collectionneurs apportent leur contribution aux collections du musée, en faisant don ou en prêtant de très nombreuses pièces[1].

César d'honneur décerné à Gérard Oury en 1993, offert à Jeanne de Funès en hommage à son époux.

Sur sa carrière d'acteur, le musée expose de nombreux accessoires de cinéma, des affiches françaises et étrangères[n 1], des articles de presse et de nombreuses photographies de tournage ou matériel promotionnel de ses films[2],[3],[4]. On retrouve par exemple un uniforme de gendarme similaire à celui du Gendarme de Saint-Tropez ou encore la barbe postiche appliquée sur Louis de Funès pour le tournage des Aventures de Rabbi Jacob[2], que le musée a reçu a décembre 2014[5]. Son piano, rappelant la longue période où il fut pianiste de bar, est visible à l'entrée du musée[3].

Sur sa vie privée et sa personnalité, le musée réunit des objets plus intimes, ayant parfois appartenu à l'acteur, comme des cannes à pêche, des paires de lunettes, des médailles comme sa médaille vermeil de la ville de Paris et celle de chevalier de la Légion d'honneur[2],[3]. La famille de l'acteur (son épouse Jeanne et ses fils Patrick et Olivier) a confié au musée beaucoup d'archives et objets personnels[6]. Ainsi, Jeanne de Funès a notamment fait don du César d'honneur de Gérard Oury, que le réalisateur lui avait offert en hommage à Louis de Funès. Une quantité importante de lettres écrites par l'acteur figurent parmi les collections du musée, qu'elles soient adressées à des proches ou à des amis célèbres tels que Maurice Chevalier[4],[3]. D'ailleurs, une canne de Maurice Chevalier offerte à Louis de Funès est exposé au musée.

Les collections sont réparties dans quatre salles, la dernière étant une salle de projection[2],[3]. Cette salle de projection diffuse un documentaire présentant notamment des extraits de films, des archives familiales (provenant par exemple de la caméra amateur de l'acteur lui-même)[3] ou des témoignages d'habitants du Cellier qui ont côtoyé Louis de Funès[6]. Les visiteurs finissent leur visite en dédicaçant le livre d'or du musée, appelé le « Monsignor », en référence à La Folie des Grandeurs[2].


https://www.midilibre.fr/2014/04/30/le-musee-louis-de-funes-ouvre-ses-portes-dans-l-ancien-chateau-de-l-acteur,855400.php

Histoire[modifier | modifier le code]

Un premier musée dans un local exigu[modifier | modifier le code]

Le parrain du musée, Michel Galabru, lors du tournage du cinquième Gendarme en 1978.

Louis de Funès est l'un des acteurs comiques les plus célèbres et populaires du cinéma français de la seconde moitié du XXe siècle et ses films figurent parmi les meilleurs résultats du cinéma français, des années 1960 jusqu'au début des années 1980[1]. L'idée d'un musée consacré à lui dans le village du Cellier provient de Charles Duringer, à la suite d'une rencontre avec Pierre Brohan, fils de la patronne de l'auberge Beau Rivage proche du château de Clermont, qui s'était liée d'amitié avec Louis de Funès[3]. Charles Duringer commence donc à enregistrer les témoignages des gens du village qui ont côtoyé l'acteur[3]

En janvier 2013 est crée l'association « Musée de Louis » destinée à mettre à place un musée consacré à Louis de Funès[1]. Différents objets sont confiés à l'association par des personnes l'ayant connu ou par des collectionneurs. Le projet de musée reçoit le soutien de Jeanne de Funès, épouse de l'acteur, et de leurs fils Patrick et Olivier, qui deviennent administrateurs de l'association[1],[4],[7]. L'acteur Michel Galabru, partenaire régulier de Louis de Funès, est parrain du musée[n 2],[6]. Charles et Roselyne Duringer, tous deux à l'origine du projet, sont les directeurs du musée[8].

Patrick et Olivier de Funès déclarent avoir refusé de très nombreux projets de musée consacré à leur père auparavant.

Le musée ouvre d'abord en juillet 2013 dans un petit local de 36 m2, de deux pièces[2], ancien cabinet dentaire[3], prêté provisoirement par la commune du Cellier[1],[6],[9]. L'année 2013 coïncide avec les trente ans de la mort de l'acteur, en 1983[9]. Le musée est inauguré le [2]. Jusqu'en décembre 2013, il accueille — malgré son étroitesse — environ 5 000 visiteurs[6]. Toutefois, de nombreuses personnes n'ont pu y accéder. L'association se décide alors de changer d'emplacement pour le musée[1],[5].

Le nouveau musée, au château de Clermont[modifier | modifier le code]

Le château de Clermont, ancienne propriété de l'acteur, serait l'endroit idéal pour le musée[5]. Le château était depuis très longtemps dans la famille de Jeanne de Funès, née Barthélémy[3]. En 1967, Louis de Funès avait acheté aux enchères le château, principalement grâce à son cachet de La Grande Vadrouille[3], pour rendre à son épouse le confort qu'elle avait perdue en se mariant à lui. L'acteur y réside jusqu'à sa mort, survenue en 1983, et sa famille le détient jusqu'en 1986, année où elle le vend, ne pouvant entretenir un tel bâtiment[3],[4]. Depuis 2008, le château et une partie de la ferme sont devenues des appartements d'habitation avec une copropriété de quarantes logements, avec la maison du jardinier, la roseraie et le potager[3],[3],[4]. Le château et le parc sont donc une propriété privée, qui ne se visite pas.

Une casque allemand et un clap de tournage de La Grande Vadrouille, exposés au musée.

L'orangerie du château est en revanche disponible, après avoir été exploitée en tant que restaurant[6],[4]. L'endroit est accessible aux PMR et possède un parking[1],[9]. L'association « Musée de Louis » devient donc locataire du lieu[1],[3]. Grâce à un financement participatif, du mécénat d'entreprise et un emprunt bancaire de 30 000 euros, l'association remet les locaux en état et y aménage le nouveau musée[1],[2].

Le musée de Louis ouvre de nouveau au printemps 2014[1]. Son inauguration a lieu en présence d'Olivier de Funès, son épouse et ses deux fils, le , date du centième anniversaire de la naissance de Louis de Funès[10],[6].

à peine 200 m2[5]

Lors d’une journée du mois d’août 2015, pas moins de 507 billets ont été vendus.[5]

Le musée accueille même des visiteurs étrangers, du Canada, de Sibérie, de République tchèque, de Slovaquie, de Thaïlande, de Nouvelle-Zélande, d'Allemagne, de Turquie, d'Algérie, des Pays-Bas ou encore de Belgique[1].

En 2016, l'association se renomme « Musée Louis de Funès ».

Projet d'agrandissement[modifier | modifier le code]

  • Trop petit

Malgré le déplacement dans l'orangerie du château de Clermont, le musée manque rapidement de place

Hélas, avec ses 190 m² le nouveau musée est trop petit.[9]

Des horaires spéciaux sont créés pour les groupes, mais leur accueil reste difficile, les salles étant trop exigües ; de nombreuses demandes doivent être refusées, faute de disponibilité ou de place, et cela nuit à l'image du musée surtout chez les voyagistes professionnels. Toujours faute de place, la boutique ne peut proposer que quelques souvenirs, et déçoit de nombreux visiteurs.

Le musée n'a pas l'espace pour accueillir des expositions temporaires, ni pour recevoir des invités, alors que des évènements de ce type sont vitaux pour un musée[9]

Faute de place, une grande partie des collections ne peut être exposée et les pièces présentées sont « entassées » Aussi, la boutique ne peut proposer que quelques souvenirs, toujours faute de place.


  • Idées

prévu sur 600 m2

L’acquisition nous permettra d’agrandir le musée, qui arrive à saturation, et surtout, la reconstitution de la roseraie, réclamée par de nombreux visiteurs. Ainsi que la petite ferme, et le rucher, car Louis était aussi apiculteur. [3]

  • Bail

Le dernier propriétaire, la SARL Bravehart, a décidé de vendre. Pour pérenniser le musée, nous devons acheter les lieux. L’expertise a évalué le lot du bâtiment de l’orangerie et du parc, à 930 000 €. Nous devons rassembler un tiers de la somme, soit 300 000 €, pour que le banquier nous reçoive. [3]


Lancement des travaux après la conclusion de l'acquisition en janvier 2017.

Fermeture[modifier | modifier le code]

Le bail de la location des locaux du musée prenant fin en avril 2017, l'association tente dès 2015 de rassembler la somme lui permettant d'acquérir les lieux, soit plus d'un million et demi d'euros[1]. Avec la totalité des locaux à sa disposition, le musée pourrait s'agrandir et présenter plus de pièces, la collection du musée commençant à être très conséquente[1].

L'acquisition des locaux par l'association devient la condition primordiale pour la réouverture du musée en 2017, après la fin du contrat de bail[1], lorsque le propriétaire, la SARL Bravehart, annonce son désir de vendre « un dernier lot du domaine, comprenant bâtiments et parcs sur une superficie de 50 hectares »[2].

Mais la fin du bail approche et le propriétaire veut vendre.

"Ce n'est pas une surprise, car nous avions découvert au moment de la signature du bail qu'il ne serait pas reconduit et nous l'avions annoncé", explique Roselyne Duringer, directrice du musée, à l'origine du projet avec son mari.

"Pour pouvoir continuer à exister et pour s'agrandir, le musée doit absolument devenir propriétaire de ses murs", souligne-t-elle. A l'étroit dans 190 m2, le lieu peine notamment selon elle à recevoir les groupes et ne peut accueillir d'exposition temporaire. Alors que des centaines d'objets attendent d'être exposés, l'extension envisagée prévoit plus de 500 m2 de surface d'exposition.


sénat : https://www.senat.fr/questions/base/2016/qSEQ161123835.html


[8]

Un appel au don par financement participatif est alors lancé et une demande de subvention est faite en septembre 2015 auprès de la communauté de communes du pays d'Ancenis. Le , la communauté de communes annonce un accompagne du musée[1]. La commune du Cellier, quant à elle, n'a pas les moyens d'aider financièrement le musée[1]. Finalement, le , la communauté de communes refuse d'apporter de l'aide à l'association, alors que le musée est depuis 2014 le site le plus visité du département à l'est de Nantes et qu'il bénéficie d'une renommée nationale, voire internationale[1],[4].

La situation devient de plus en plus urgente à l'approche du , date de la fermeture annuelle du musée. Si l'association ne peut acquérir les locaux, une réouverture pour la saison 2017 serait impossible[1],[4]. Le coût de l'acquisition des locaux est de 1 500 000 euros[1],[11]. L'association participe avec 15 000 euros de trésorerie, un emprunt de 15 000 euros et 30 000 euros provenant des dons de 500 donateurs[11]. Pour compléter, 765 000 euros de subventions seraient nécessaires[1].

En 2015, l'association crée en 2015 le fonds de dotation « Fonds Louis de Funès » pour collecter des dons[8],[3]. Une pétition est lancée pour alerter le public du risque de fermeture et diffuser l'appel aux dons[1],[8]. Les médias relaient rapidement la mauvaise situation du musée[11], avec, par exemple, un sujet sur le musée en septembre 2016 dans l'émission Visites privées de Stéphane Bern sur France 2[12],[1]. La pétition, organisée sur Change.org, obtient au final 21 487 soutiens[13].

Des personnalités célèbres dont l'admiration pour Louis de Funès est connue sont contactées pour apporter leur soutien au musée, sans succès[1]. Les éditeurs de ses films sont sollicités, sans plus de réussite : seul l'un d'eux fournit six Blu-ray de films à donner en contrepartie à des donateurs[1]. Des courriers sont également envoyés à François Hollande, président de la République, au président du département Philippe Grosvalet, à Bruno Retailleau, président de la région Pays de la Loire et à Audrey Azoulay, ministre de la Culture. Dans sa réponse, le chef du cabinet du président fait part de son intérêt et déclare confier le dossier à la ministre de la Culture, sans suite[1].

Le , le vice-président de la région, en charge du tourisme, rend visite au musée et fait part de son vif intérêt pour son maintien. Une réunion initiée par une élue départementale et communautaire se tient le pour déterminer les possibilités de subventions : le département ne peut apporter d'aide financière mais la région annonce sa décision de contribuer au projet. La région Pays de la Loire associée aux collectivités locales ne peut finalement rassembler qu'un montant de 400 000 euros, très en deçà des 765 000 euros de subventions nécessaires[1]. L'association « Musée de Louis » se réunit en conseil d'administration le et décide donc la fermeture définitive du musée à la fin de la saison, le [11],[14]. Les 30 000 euros de dons récoltés par le « Fonds Louis de Funès » sont rendus à leurs donateurs[1].

Les derniers jours avant sa fermeture, le musée bénéficie d'une très forte affluence de visiteurs, avant une file d'attente durant plus d'une heure[15],[16].

http://www.lefigaro.fr/cinema/2016/10/21/03002-20161021ARTFIG00178-le-musee-de-louis-de-funes-ferme-le-30-octobre-mais-doit-renaitre.php

Prolongements[modifier | modifier le code]

Éléments du costume de Louis de Funès dans Les Aventures de Rabbi Jacob, exposés au musée puis lors de l'exposition à Nantes.

Après la fermeture brutale du musée, la ville de Nantes, où Louis de Funès est mort, s'intéresse à un projet de musée. Une exposition intitulée Louis de Funès, du jazz au jardin est organisée dans le centre-ville, 7 quai Henri-Barbusse, du 1er juillet au 26 août 2017, avec une partie des collections de l'ancien musée[1],[7] : des pièces déjà présentées mais aussi « une bonne proportion de pièces jamais exposées »[17]. Le succès de l'exposition conditionne l'avenir du projet d'un musée Louis de Funès à Nantes[7],[16], les organisateurs espérant accueillir 20 000 à 25 000 visiteurs sur les deux mois d'exposition[18],[17],[19].

L'exposition tente de dévoiler au public des côtés peu connus de l'acteur : sa carrière musicale, en tant que pianiste de bar durant sa jeunesse (« du jazz »), et son engagement pour la défense de la nature, influencé par sa passion pour le jardinage (« … au jardin »)[17]. Ce prolongement du musée permet notamment de présenter au public une découverte réalisée en 2017 par un enseignant de l'université de Nantes : la participation de Louis de Funès dans une pièce de théâtre au sein d'une troupe en 1948. Pour promouvoir l'exposition, Olivier de Funès y dédicace la biographie Louis de Funès : Ne parlez pas trop de moi, les enfants !, co-écrite avec son frère Patrick[7].

« Le musée de Louis de Funès va revivre à Nantes » (consulté le ).

« Riche, drôle et émouvante, l’exposition De Funès à Nantes » (consulté le ).

« Deux mois pour revoir Louis de Funès », sur www.presseocean.fr, Presse-Océan (consulté le ).

« Louis de Funès revit dans une exposition cet été à Nantes » (consulté le ).


Modèle {{Lien web}} : paramètres « url » et « titre » manquants.  (consulté le ). http://culturebox.francetvinfo.fr/cinema/l-esprit-de-louis-de-funes-reprend-vie-dans-une-exposition-a-nantes-259311

Fréquentation[modifier | modifier le code]

  • saison 2013 (premier musée) : 5 000 visiteurs[1]
  • total 2014-2016 (second musée) : 63 000 entrées soit environ 68 000 visiteurs[1]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. À l'ouverture du second musée à Clermont, la collection comporte près de 1 200 affiches.
  2. Michel Galabru a joué aux côtés de Louis de Funès dans Nous irons à Deauville, les six films du Gendarme de Saint-Tropez, Le Petit Baigneur, Jo et L'Avare.

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z aa ab ac ad et ae « À propos du musée de Louis », sur www.museedefunes.org, association « Musée de Louis », .
  2. a b c d e f g h et i Sophie Rahal, « Le musée Louis de Funès sous l'épée de Damoclès », sur www.telerama.fr, Télérama, .
  3. a b c d e f g h i j k l m n o p q et r Anita Buttez, « Sauvons le musée Louis de Funès ! », sur www.francedimanche.fr, France Dimanche, .
  4. a b c d e f g et h (de) Martin Zips, « Brust oder Keule », sur /www.sueddeutsche.de, Süddeutsche Zeitung, .
  5. a b c d et e Julie Urbach, « Loire-Atlantique : Face au succès, le musée dédié à Louis de Funès rêve déjà de s'agrandir », sur www.20minutes.fr, 20 minutes, .
  6. a b c d e f et g Roberte Jourdon, « Louis de Funès : sa popularité mesurée dans un musée », sur www.ouest-france.f, Ouest-France, .
  7. a b c et d [vidéo] Musée Louis de Funès, à Nantes sur Vimeo
  8. a b c et d « Le musée Louis de Funès lance un appel aux dons pour éviter la fermeture », sur www.lexpress.fr, L'Express, .
  9. a b c d et e Newsletter du 20 décembre 2016, musée de Louis, www.museedefunes.org.
  10. [vidéo] Inauguration du musée de Louis avec Olivier de Funès sur YouTube.
  11. a b c et d Emmanuel Ammar, « Clap de fin pour le musée Louis de Funès », sur www.lepoint.fr, Le Point, .
  12. [vidéo] Il faut sauver le Musée Louis de Funès - Reportage - Visites Privées sur YouTube.
  13. Pétition « Louis de Funès : sauvons son musée ! », adressée à Philippe Grosvalet, président du Conseil départemental de la Loire-Atlantique, sur Change.org.
  14. Jean-Francois Lixon, « Le musée Louis de Funès, c'est fini ! », sur culturebox.francetvinfo.fr, Culturebox, .
  15. « Musée Louis de Funès : affluence de visiteurs avant la fermeture de demain », sur www.francetvinfo.fr, France 3, 12/13, (consulté le ).
  16. a et b « Louis de Funès : une exposition temporaire cet été, et ensuite ? », sur www.presseocean.fr, Presse-Océan, (consulté le ).
  17. a b et c Julie Urbach, « Nantes : Une grande expo Louis de Funès cet été avant, peut-être, un nouveau musée », sur http://www.20minutes.fr, 20 minutes, .
  18. Jérémy Armand, Daniel Le Floch et Stéphane Hérel, « À Nantes, une exposition révèle un Louis de Funès méconnu, passionné de jazz et de nature », sur france3-regions.francetvinfo.fr, France 3 Pays de la Loire, (consulté le ).
  19. Fanny Lépine, « Louis de Funès au musée », sur info.arte.tv, Arte, .

Annexes[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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