Utilisateur:Breitzhel/Brouillon

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Institut du Christ-Roi
Souverain Prêtre
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Blason de l'I.C.R.S.P.

Repères historiques
Fondation 1990 (son "prototype", l'Opus Sacerdotale, fut fondée en 1964)
Fondateur(s) Gilles Wach
Philippe Mora
Fiche d'identité
Église Catholique
Courant religieux Traditionalisme
Vocation Évangélisation, liturgie, esprit salésien, romain.
Dirigeant Gilles Wach (prieur général)
Localisation Une douzaine de pays principalement localisés en Europe de l'Ouest ainsi qu'aux États-Unis et en Afrique
Site internet http://www.icrsp.org
Pages connexes http://www.institute-christ-king.org

L'Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre (en latin : Institutum Christi Regis Summi Sacerdotis), abrégé en I.C.R.S.P., est une société de vie apostolique de la mouvance traditionaliste, fondée en 1990 par deux prêtres français, Gilles Wach et Philippe Mora. D’abord communauté cléricale de droit diocésain, l’I.C.R.S.P. est devenu une société de vie apostolique de droit pontifical par un décret du Saint-Siège en date du .

Buts et orientations spirituelles, doctrinales et liturgiques[modifier | modifier le code]

Selon le décret romain Saeculorum Rex – accordant le bénéfice du droit pontifical à la communauté –, reprenant les termes des constitutions de l’I.C.R.S.P., les membres de cet institut ont pour vocation de mener une vie « en forme canoniale », en vue de « la glorification de Dieu par la sanctification des prêtres au service de l’Église et des âmes à l'exemple de la charité du Pastor bonus[Quoi ?] par une formation doctrinale et spirituelle ».

Ses membres sont missionnaires et l'Institut a pour objectif particulier « la promulgation, la diffusion, la défense, dans tous les aspects de la vie de l'Homme, du règne du Christ Notre-Seigneur ».

Dans cette perspective, les constitutions de l’I.C.R.S.P. indiquent les caractéristiques de la communauté : le soin du culte divin, expression la plus achevée de la vertu de religion[pas clair], comme le montre l’action de Saint Benoît et de ses fils au cours des siècles, une spiritualité fondée sur les prescriptions de Saint François de Sales, « docteur de l’Amour divin », et une formation intellectuelle antée dans les principes de la philosophie et de la théologie thomistes. Ainsi, Saint Benoît de Nursie, Saint François de Sales et St Thomas d'Aquin constituent le patronage de l’Institut, lui-même reconnaissant Notre-Dame, en son Immaculée-Conception, comme patronne principale.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'Opus sacerdotale[modifier | modifier le code]

En 1963, un groupe de prêtres réunis à Lourdes devant la « grotte de Massabielle » s'interroge sur la situation et le ministère des prêtres catholiques. Sous l'impulsion du chanoine Étienne Catta (✝ 1974), oblat bénédictin de l'abbaye Notre-Dame de Fontgombault et professeur à l'Université catholique d'Angers, une « Association pour le soutien du sacerdoce catholique, » également appelée Opus sacerdotale, est fondée en 1964. Sa devise est : Doctrina, Fortitudo, Pietas (à savoir doctrine, courage, piété).

Des séminaristes se tournent vers l’abbé Pierre Lourdelet (✝ 2019), afin de recevoir une formation sacerdotale conforme à l’esprit et à la lettre de la Ratio fundamentalis.[Quoi ?] Orientés vers les abbés Wach et Mora, travaillant à Rome et eux-mêmes membres de l’Opus sacerdotale, nombre de séminaristes sont incardinés dans divers diocèses répondant à leurs attentes (Gênes et Tivoli, notamment).

Le nombre des demandeurs augmentant, et sur les conseils de divers prélats romains, une maison de formation sacerdotale autonome est ouverte, en octobre 1988, soutenue par l’association. Sa direction est confiée à l'abbé Philippe Mora. Les religieux de l'Opus Mariae accueillent cette fondation dans une partie du « Cénacle de l'Immaculée Conception », un ancien carmel de Moissac où ils sont eux-mêmes installés.

Fondation : du Gabon à l’Italie[modifier | modifier le code]

La structure juridique de l’Opus sacerdotale, si elle permet de soutenir les œuvres de formation sacerdotale, ne l’autorise cependant pas à fonder de séminaire propre ou de s’agréger des clercs. Afin de pérenniser la fondation de Moissac, les abbés Wach et Mora étudient les possibilités canoniques qui s’offrent à eux. Celle de la société de vie apostolique répond à ces exigences. L’évêque de Mouila (Gabon), rencontré à Rome, Cyriaque Obamba, accepte de reconnaître cette fondation, par un décret du , approuvant les constitutions de l’œuvre naissante : l’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre. Auparavant, ce même évêque avait nommé l’abbé Wach vicaire général de son diocèse.

Le siège de la Maison-mère est alors fixé à Mouila, dans l'ancienne résidence épiscopale du Val-Marie qui prend alors le nom de « Maison Sainte-Thérèse de l'Enfant-Jésus ».

Dans le même temps, la maison de formation de Moissac se révèle rapidement trop exiguë. Avec l’aide du cardinal bénédictin Paul Augustin Mayer, alors président de la Commission pontificale Ecclesia Dei, une propriété est trouvée, sur le territoire de la commune de Sieci (it), en Toscane, dans l’archidiocèse de Florence, alors dirigé par le cardinal Silvano Piovanelli.

Cette propriété, située via di Gricigliano et nommée Villa Martelli – du nom de la famille florentine qui en fit don à l’Église –, était depuis 1975 occupée par les moines de l’abbaye de Fontgombault. Ces derniers envisageant de quitter les lieux, leur gestion est transférée à l’I.C.R.S.P., qui y installe sa Maison généralice[1] et sa maison de formation. Le passage de l’I.C.R.S.P. – à l’époque société de vie apostolique cléricale de droit diocésain – de l’autorité de l’évêque de Mouila à celle de l’archevêque de Florence est acté en 1991.

Développements récents[modifier | modifier le code]

Le , le décret Saeculorum Rex de la commission pontificale Ecclesia Dei érige l’institut en « société de vie apostolique de droit pontifical »[2].

Répondant aux demandes des évêques et des fidèles, ils assurent des ministères très variés : apostolat paroissial, direction ou aumônerie d’écoles, aumônerie de maisons religieuses, d’hôpitaux ou de prisons, offices administratifs ou judiciaires au service des diocèses (chancellerie, officialité…).

L’Institut compte aujourd’hui près de 130 prêtres.

Fondation des sœurs Adoratrices du Cœur Royal de Jésus-Christ Souverain Prêtre[modifier | modifier le code]

Couvent de Maria Engelport en Allemagne.

En 2001, plusieurs jeunes filles, désireuses de vivre de l’esprit et de la spiritualité de l’Institut se regroupent, formant un embryon de communauté religieuse ayant pour vocation particulière de prier pour la sanctification des prêtres, notamment ceux de l’Institut, et de les soutenir dans leur apostolat.

Le , par un décret particulier, le Saint-Siège érige les « Sœurs Adoratrices du Cœur Royal de Jésus Christ Souverain Prêtre » comme « association publique de fidèles », en vue de la reconnaissance comme une Société de vie apostolique.

Les Adoratrices suivent une formation – noviciat – durant plusieurs années à Naples, dans l’ancien couvent des dominicains, confié à l’Institut.

Elles y reçoivent les rudiments de la vie spirituelle, religieuse, pratique, et intellectuelle qui leur seront nécessaires pour l’accomplissement de leur vocation.

À l’issue du noviciat, les sœurs sont envoyées dans diverses maisons qui leurs sont confiées, auprès des apostolats desservis par les prêtres de l’Institut, à travers le monde. Par leur prière, le témoignage de leur vie donnée au Christ, et leur aide dans les apostolats – école, catéchisme, etc. –, elles œuvrent ainsi au rayonnement de l’Institut du Christ Roi Souverain Prêtre.

La communauté compte aujourd’hui une soixantaine de membres, et est présente dans plusieurs pays (Allemagne, Suisse, Irlande, États-Unis, Italie).

Visites apostoliques[modifier | modifier le code]

En 2014, le Saint-Siège a mandaté deux visites apostoliques[3].

Caractères propres de l'I.C.R.S.P[modifier | modifier le code]

Société de vie apostolique de droit pontifical[modifier | modifier le code]

Par le décret Saeculorum Rex du , les caractères propres de l’ I.C.R.S.P. sont confirmés – attachement à la liturgie traditionnelle, spiritualité salésienne, formation doctrinale selon les principes thomistes –, en même temps que la communauté passe de l’autorité de l’archevêque de Florence à celle du Saint-Siège, en devenant une société de vie apostolique de droit pontifical. Ce changement statutaire modifie ainsi le mode de direction de la société, son supérieur général possédant désormais de plus vastes prérogatives dans l’exercice de sa charge de gouvernement.

Vie communautaire[modifier | modifier le code]

Société cléricale avec « vie commune comme des chanoines » (vitam communem ad instar canonicorum[2]), l’I.C.R.S.P. applique le canon 731 (§ 1) du code de droit canonique – précisant que l’un des caractères des sociétés de vie apostolique est la « vie fraternelle en commun » – et, bien qu’ils ne le soient pas eux-mêmes, appelle chanoines à titre honorifique ses prêtres[4].

Au vu de l’expérience des années de fondation, il a été très tôt décidé d’appliquer ce mode de vie « en forme canoniale » dans les maisons : tout en demeurant des ecclésiastiques séculiers, les membres de l’Institut entretiennent cette vie commune, au chœur – par la célébration en commun d’une partie de l’Office divin –, à table – en partageant au moins un repas par jour, etc.

Habit de chœur[modifier | modifier le code]

L'Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre a son propre habit de chœur, reconnaissable par l'utilisation d’un bleu ciel caractéristique, symbole de la consécration de cette société cléricale à Marie et allusion à saint François de Sales, souvent représenté en bleu - le violet des évêques de l’époque tirant alors vers le bleu[5].

Devise[modifier | modifier le code]

Sa devise est tirée de Ephésiens 4,15 : Veritatem facientes in caritate (Confessant la vérité dans la charité).

Organisation[modifier | modifier le code]

Organisation générale[modifier | modifier le code]

L'Institut du Christ-Roi Souverain Prêtre étant, depuis le , une société de droit pontifical, son « Prieur Général » est l' « Ordinaire » de cette société. Depuis sa fondation en 1991, c’est Gilles Wach qui a toujours été à la tête de la communauté.

Le prieur général est élu par le chapitre général de l’Institut tous les six ans.

Pour le seconder dans sa tâche, le prieur général est aidé par un vicaire général, actuellement Rudolf Michael Schmitz.

La Maison de formation, – séminaire Saint Philippe Néri, installé dans la Villa Martelli – est dirigé par Philippe Mora, assisté d’un ou plusieurs vice-recteurs.

L’Institut lui-même est divisé en plusieurs Provinces ou pro-Provinces, confiées à des supérieurs provinciaux, qui exercent leur autorité sur les prêtres et les maisons se trouvant sur le territoire confié à leurs soins.

À la tête de chacune des maisons locales se trouve un supérieur local, lui-même assisté de prêtres remplissant la fonction de vicaires. Ils sont parfois secondés par des séminaristes en stage apostolique, ou des d’oblats.

Séminaire et formation[modifier | modifier le code]

Cette formation s’effectue dans le cadre du Séminaire Saint-Philippe-Néri, installé dans les murs de la Villa Martelli, près de Florence, en Italie.

Le cursus, conforme aux exigences de la Ratio fundamentalis s’étend, en principe sur une période de sept années : une première année dite de « spiritualité » – discernement…–, deux années consacrées aux études philosophiques, et enfin quatre années destinées aux études théologiques.

Les cours sont dispensés par des professeurs – clercs, laïcs, hommes ou femmes, membres ou non de l’ I.C.R.S.P. –, possédant les compétences académiques requises.

À ces années peuvent également s’ajouter des « stages apostoliques » dans l’une ou l’autre des maisons de l’Institut, contribuant ainsi à la formation apostolique et missionnaire des candidats.

En outre, à côté de la classique formation académique dispensée dans une maison de formation sacerdotale, des sessions de formation sur les sujets les plus variés sont également proposés : culture générale, histoire, bioéthique, apostolat, etc.

Enfin, la situation de la Villa Martelli, au milieu de la campagne toscane, et la présence de terres agricoles appartenant à l’Institut – oliviers et vignes – favorisent également la formation aux tâches manuelles des séminaristes.

Chacune des années de formation est sanctionnée par des examens portant sur la science acquise et nécessaire pour un séminariste.

Le séminaire compte actuellement[Quand ?] près de 120 candidats.

Oblats[modifier | modifier le code]

Si la majeure partie de ses membres sont clercs, l’I.C.R.S.P. accueille aussi en son sein des hommes qui, sans se destiner au sacerdoce ministériel, souhaitent néanmoins se vouer au soutien de l’exercice du ministère, en vivant, dans les apostolats desservis par l’Institut, de ses charismes et de sa spiritualité propres : les oblats.

Recevant une formation spécifique, ils sont en principe attachés à une maison de l’Institut, secondant dans les tâches matérielles les prêtres présents, facilitant ainsi leur disponibilité pour les fidèles et l’apostolat qui leur sont confiés.

Membres affiliés[modifier | modifier le code]

L’Institut compte des membres affiliés, clercs qui ne sont pas incardinés dans l'Institut mais qui vivent la spiritualité et collaborent à son apostolat.

Société du Sacré-Cœur[modifier | modifier le code]

En mars 2006, il est décidé de fonder la « Société du Sacré-Cœur », destinée à accueillir des membres laïcs, soucieux de se sanctifier[réf. nécessaire], à l’école de saint François de Sales, et des saints patrons de l’Institut. Sous leur tutelle, les membres de la Société du Sacré-Cœur s’engagent à mener une vie catholique dans l’harmonie entre nature, grâce, foi et culture, entièrement fidèle aux enseignements de l’Église catholique et du Saint Siège, avec une particulière attention apportée à la charité envers Dieu et le prochain.

Pour accomplir cette mission, les membres de la Société se placent sous la direction spirituelle des prêtres de l’Institut du Christ Roi et sont soutenus par les prières des prêtres, oblats et séminaristes de l’Institut, ainsi que par celles des sœurs Adoratrices du Cœur Royale de Jésus Christ Souverain Prêtre.

Les membres de la Société travaillent à soutenir le labeur apostolique de l’Institut du Christ Roi. Ils vivent également la spiritualité de l’Institut et peuvent participer aux retraites et rassemblements organisés localement ou au niveau national par les chapelains de la Société du Sacré-Cœur.

Provinces[modifier | modifier le code]

Province d’Italie[modifier | modifier le code]

L'institut est surtout présent en Toscane.

  • Toscane

La Maison généralice et le séminaire saint Philippe Néri sont installés depuis 1991 sur la via di Gricigliano, située dans le hameau du Sieci, écart de la commune de Pontassieve (archidiocèse de Florence), d'où se retiraient les moines de Fontgombault après quinze années de présence. L’Institut a entrepris d’importants travaux de restauration des bâtiments[6] qui comprennent une villa ancienne[7], et a tout récemment refait la moitié des toitures du séminaire[8]. Actuellement, l’ensemble des bâtiments permet de loger environ 80 personnes ; depuis 2009 l’I.C.R.S.P. indique avoir aménagé dix-sept nouvelles chambres pour loger des séminaristes[9].

À Florence, l’église des Saints-Michel-et-Gaétan est confiée à l’I.C.R.S.P. dont l’un de ses prêtres est recteur[10]. L'institut est implanté depuis 2011 dans le diocèse de Livourne[11]. Il y a une maison confiée aux Sœurs Adoratrices[12] et un prêtre de la société est vicaire de la paroisse de Saint Sébastien où sont célèbrés la messe et les offices[13]. Les diocèses de Pise et Volterra bénéficient de lieux de culte menés par les ecclésiastiques de l'institut.

Province de France[modifier | modifier le code]

En 2020, la Maison provinciale de France, Saint-Joseph, est déplacée de Roquecor à Montagny-Sainte-Félicité[14].

  • Lille
Maison de la société et école Notre-Dame-de-Fatima, à La Chapelle-d'Armentières.

Depuis leur maison de La Chapelle-d'Armentières, près de Lille, les membres de l'ICRSP exercent leur apostolat.

La chapelle Sainte-Rita[15] de Béziers.

Le Cours Notre-Dame[16]

Une maison et plusieurs apostolats dans le diocèse de Nice[17], à Nice et à Cannes.

La chapelle Saint-Jean-Baptiste[18]

La chapelle Saint-François de Rennes

La chapelle sainte Eugénie de Nîmes à Nîmes.

Une maison et plusieurs apostolats dans le diocèse de Cahors[19].

L’église Saint-Patrice à Rouen.

La basilique Notre-Dame-de-l’Espérance à Saint-Brieuc.

Une maison et un apostolat dans l’archidiocèse de Bordeaux.

L'église Sainte-Jeanne-d'Arc de Reims, dans l'archidiocèse de Reims depuis 2020[20].

  • Autres apostolats

L’I.C.R.S.P. est également présent de façon régulière dans un certain nombre d’autres villes de France[21] :

Province des États-Unis[modifier | modifier le code]

L'église Saint-François-de-Sales (Saint Louis).

Chicago le siège de la Province des États-Unis. L’I.C.R.S.P. avait entrepris la restauration de l’église du Christ-Roi qui a été entièrement détruite dans un incendie en [23],[24].

L’ancienne cathédrale de l’archidiocèse ; des ordinations se sont tenues dans cette église en 2014[25].

L’église Saint-Michel-Archange de Wausau a été entièrement restaurée par l’I.C.R.S.P.

L’I.C.R.S.P. dessert l’église Saint-Stanislas à Milwaukee

Autres pays[modifier | modifier le code]

  • Gabon

Depuis 25 ans au Gabon, où il a exercé des apostolats dans la brousse (Mayumba, autour de Mouila, Meteck-Mavi) comme dans les villes (Mouila, Libreville).

L’I.C.R.S.P. a fait construire de nombreuses chapelles et églises dans ce pays ; notamment une grand église à Libreville, non encore achevée, dont la façade a été inaugurée solennellement en en présence du chef de l’état gabonais, Ali Bongo, du cardinal Raymond Burke et de l’archevêque de Libreville, Basile Mvé.

Une église restaurée à Limerick[26] et plusieurs autres diocèses depuis la maison située dans le diocèse de Limerick[27].

  • Angleterre

Dans les diocèses de Shrewsbury et Lancaster où il dessert de grandes églises et également plusieurs autres diocèses, dont l’Archidiocèse de Liverpool.

La direction d’une école, la Brussels International Catholic School, à Bruxelles, ainsi que plusieurs apostolats à Bruxelles et Mons (Havré).

  • Île Maurice

Une église à l'île Maurice (Rose-Hill) depuis .

Plusieurs apostolats à Madrid et dans les environs.

Une maison des sœurs adoratrices située au Noirmont dans le canton du Jura depuis 2014 et un apostolat sont implantés dans le diocèse de Bâle.

  • Allemagne

Plusieurs apostolats en Allemagne, principalement en Bavière et dans l’archidiocèse de Trêves, où se trouve également un couvent des sœurs adoratrices racheté en 2014, le couvent Maria Engelport.

  • Suède

L’I.C.R.S.P. dessert plusieurs apostolats en Suède, à Stockholm et à Lund[28].

Références[modifier | modifier le code]

  1. Généralice veut dire qui concerne le généralat (Dictionnaire du CNTRL). Dans ce contexte, il faut entendre le(la) supérieur(e) général(e).
  2. a et b Décret « Saeculorum Rex » du 7 octobre 2008 d’érection pontificale de la société de vie apostolique, sur le site de la commission pontificale Ecclesia Dei : site de la commission pontificale rubrique information.
  3. Céline Hoyeau, « Deux visites canoniques à l’Institut du Christ-Roi », La Croix,‎ (lire en ligne).
  4. Dénomination honoraire selon la commission pontificale Ecclesia Dei, lettre du 22 février 2010 : Les constitutions de l’Institut le présentent comme « société cléricale de vie apostolique en forme canoniale ». Cette qualification particulière est la raison pour laquelle ses membres jouissent du privilège d’être appelés chanoines.
  5. Entretien en 2016 avec l’ordinaire de la société « Sous le soleil de Dieu : des chanoines pour l'éternité », sur hommenouveau.fr.
  6. « Résumé en images de 23 ans de travaux », sur icrsp.org.
  7. Ovidio Guaita, Le ville di Firenze, Newton Compton editori, Roma 1996.
  8. « Travaux au séminaire », sur icrsp.org.
  9. « Appel toitures », sur icrsp.org, .
  10. (it) « Firenze, il card. Betori affida la chiesa di S. Gaetano all’Istituto di Cristo Re », sur Una Voce Italia.
  11. (it) « Storia dell’Apostolato di Livorno », sur icrss.it.
  12. (it) « Casa del Sacro Cuore », sur icrss.it.
  13. (it) « La Chiesa di San Sebastiano », sur icrss.it.
  14. site de l'Institut à Port-Marly.
  15. site de l'Institut à Béziers.
  16. le Cours Notre-Dame.
  17. site de l'Institut à Nice.
  18. Site de la Chapelle Saint Jean-Baptiste.
  19. « L'Institut du Christ Roi en Quercy », sur www.icrsp-baladou.blogspot.fr (consulté le ).
  20. Apostolat à Reims.
  21. « ICRSP », sur www.icrsp.org (consulté le ).
  22. a et b « L'Institut du Christ Roi en Quercy: Diocèse de Tulle », sur L'Institut du Christ Roi en Quercy (consulté le ).
  23. (en) « Oily Rags Spontaneously Combusted, Starting Fire That Burned Down Church », sur dnainfo.com « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  24. « L'église de l'Institut du Christ Roi à Chicago en feu », sur Riposte-catholique, (consulté le ).
  25. L'Institut publie les détails de ces apostolats sur son site.
  26. « Restoration of former Jesuit church in Limerick a work in progress », sur www.limerickleader.ie (consulté le ).
  27. (en) « Home », sur Institute of Christ the King Sovereign Priest (consulté le ).
  28. Dan.com, « kristkonung.se - Nom de domaine à vendre », sur Dan.com (consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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