Sarrigné

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Sarrigné
Sarrigné
Le centre-bourg de Sarrigné.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Angers Loire Métropole
Maire
Mandat
Sébastien Bodusseau
2020-2026
Code postal 49800
Code commune 49326
Démographie
Gentilé Sarrignéen, Sarrignéenne
Population
municipale
848 hab. (2021 en augmentation de 4,18 % par rapport à 2015)
Densité 283 hab./km2
Population
agglomération
26 175 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 47° 30′ 09″ nord, 0° 23′ 02″ ouest
Altitude 56 m
Min. 22 m
Max. 57 m
Superficie km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Loire-Authion
(banlieue)
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Angers-7
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Sarrigné
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Sarrigné
Liens
Site web http://www.sarrigne.fr/

Sarrigné est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Sarrigné est situé en limite du Baugeois, à l'est du centre d'Angers, et à 3 km du Plessis-Grammoire (ouest), à 4 km de Corné (sud-est), à 5 km de Pellouailles-les-Vignes (nord-ouest), à 5 km de Bauné (est) et à 5 km d'Andard (sud)[1].

Lieux-dits[modifier | modifier le code]

En dépendent les lieux-dits et hameaux : les Baugères, la Bédaudière, Beuzin, le Bois-Jarry, le Bourg, la Brosse, le Buron, les Cures, les Dublières, l'Étang, la Gagnerie, le Grand-Clos, les Grandes-Derries, la Monpasière, le Moulin-Neuf, les Noues, les Oulas, la Paillette, la Perchaudière, le Petit-Bois, les Renardières, le Tertre, la Tuffière, la Varenne, etc[2].

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 22 à 57 mètres et sa superficie est de près de 3 km2 (297 hectares), avec en 1996, 22 hectares en prés, 12 hectares en jardins et 37 hectares en bois[2].

Sarrigné se situe sur l'unité paysagère du Plateau du Baugeois[3]. Le terrain crétacé et le grès se montrent à l'est de la commune.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le ruisseau de l’Étang naît sur la commune[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 637 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Marcé à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 701,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La D 116 (Plessis-Grammoire / Bauné) traverse la commune dans sa partie centrale et le bourg d'ouest en est, qui s'est développé le long des principales voies de communication.

L’autoroute A11 dite l'Océane traverse la partie nord du territoire de Sarrigné.

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les bus.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sarrigné est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Loire-Authion, une agglomération intra-départementale regroupant 5 communes[13] et 2 021 en augmentation de 4,18 % par rapport à 2 015 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41 %), zones urbanisées (20,2 %), forêts (14 %), zones agricoles hétérogènes (12,8 %), prairies (11,9 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Formes anciennes du nom : Sarrigneium en 1200, Capella de Sarrigneio en 1320[2], Sarigné en 1793, et Sarrigné en 1801[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Le Dr Gruet indique la découverte d'une hache en pierre polie[20].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

La terre, appartient primitivement aux Aménard, seigneurs de Daon[20].

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

En est seigneur René de Montortier, 1525, sieur de la Verrine, avocat à Angers ; René de la Roussière, 1539-1553 ; Françoise de Montallais, veuve de Jean de Bueil, 1571 ; Anne de Bueil ; Honorat d'Acigné 1626, comte de Grandbois ; Gaspard de Daillon du Lude, baron de Briançon, évêque d'Albi, 1688 ; et les seigneurs de Briançon jusqu'à la Révolution. Le dernier seigneur de Sarrigné en est Charles-François Lefebvre, marquis de l'Aubrière[20].

Le manoir, avec maison forte et pont-levis, joignait l'église et le chemin de Corné. Cette maison dite le Château, avec jardin, cour, fossés, et terres, est mise sous séquestre national la Révolution sur Charles Lefebvre, comte de Méral, fils du marquis de Laubrière[20].

La paroisse dépend au XVIIIe siècle de l'Archidiaconé d'Angers, de l'archiprêtré d'Andard, de l’élection, des aides, du grenier à sel et du district d'Angers[20].

La Révolution[modifier | modifier le code]

L'assemblée électorale pour les États Généraux se tient le le syndic municipal[20].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

L'électrification de la commune est fait en 1925, et l'adduction d'eau potable en 1977[20].

14 habitants seront tués durant la Première Guerre mondiale[2].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1792, germinal an II Louis Thuau   Syndic de la municipalité, 1788-1789
1792, germinal an II an IV, an VI Pierre Danjou    
an IV, an VI an VI, an VIII Pierre Busson   Agent municipal
an VI, an VIII 10 messidor an VIII Pierre Hamelin   Agent municipal
10 messidor an VIII 15 avril 1820 Pierre Busson    
15 avril 1820 13 novembre 1831 Charles Alex. Bénard de Courtigis   Révoqué de ses fonctions par arrêté du ministre de l'Intérieur en date du 17 septembre 1822
13 novembre 1831 septembre 1843 Sulpice Caillault    
septembre 1843 14 février 1856 René Mahon    
14 février 1856 1868 Pierre Guépin    
1868 15 mai 1892 Pierre Colas    
15 mai 1892 19 mai 1912 Joseph Bescher    
19 mai 1912 25 mai 1925 Florent Dibon    
25 mai 1925 1935 Pierre Gautreau    
1935 1945 Georges Potier    
1945 1947 Gustave Logerais    
1947 1953 Ernest Saillant    
1953 1959 Georges Manceau    
1959 1965 Marcel Colin    
1965 1983 Marcel Grosbois    
1983 1997 Joël Travais    
1997 2008 Michel Huet DVD  
mars 2008 avril 2014 Catherine Pinon DVG Première femme maire
avril 2014 En cours
(au 24 mai 2020)
Sébastien Bodusseau[22],[23] app LR Responsable d'agence de voyages

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est intégrée à la communauté d'agglomération d'Angers Loire Métropole[24], elle-même membre du syndicat mixte Pays Loire-Angers[25].

Le P.L.U.I. est géré par la communauté d'agglomération d'Angers Loire Métropole, dont Sarrigné fait partie.

La commune adhère également au S.I.V.M. de Brain-sur-l'Authion.

Autres circonscriptions[modifier | modifier le code]

Jusqu'en 2014, Sarrigné fait partie du canton d'Angers-Trélazé et de l'arrondissement d'Angers[26]. Ce canton compte alors quatre communes et une fraction d'Angers. C'est l'un des quarante-et-un cantons que compte le département ; circonscriptions électorales servant à l'élection des conseillers généraux, membres du conseil général du département. Dans le cadre de la réforme territoriale, un nouveau découpage territorial pour le département de Maine-et-Loire est défini par le décret du . La commune est alors rattachée au canton d'Angers-7, avec une entrée en vigueur au renouvellement des assemblées départementales de 2015[27].

Population et société[modifier | modifier le code]

Population sous l'Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime la population était exprimée en « feux », c'est-à-dire en foyer de famille. Pour estimer le nombre d'habitants il faut appliquer un coefficient multiplicateur d'environ 5.

Évolution démographique
1688 1700 1713 1720 1725 1732 1764 1789
60 feux63 feux71 feux104 feux52 feux69 feux72 feux68 feux
(Source : Célestin Port[28])

Population depuis 1793[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 848 habitants[Note 3], en augmentation de 4,18 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
851250281310323352352305330
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
292300293301292262269263279
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
260246239208192181197182205
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
229232213481635743802817819
2018 2021 - - - - - - -
818848-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Vie locale[modifier | modifier le code]

Présence d'une salle communale, inaugurée en mars 1987, d'une bibliothèque, de terrains de sports dont un terrain de football, d'un jeu de boule de fort fondé en 1901[20].

À la fin du XXe siècle, la fête communale a lieu lors de la Saint-Jean[20].

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 1819, une institutrice enseigne aux jeunes filles. En 1821, la commune a une école. En 1857, les sœurs de Sainte-Marie-la-Forêt ouvrent une école de filles. En 1842, une maison avec dépendances est acquise pour servir à la tenue d'une école primaire de garçons. Plus tard, le bâtiment menaçant ruines, une école communale de garçons est aménagée dans celui de la mairie (travaux de construction adjugés en 1880, architecte Beignet)[2].

En 1952, la commune possède une école publique mixte à une classe[2].

Sports[modifier | modifier le code]

Les Foulées de Sarrigné, une course à pied de 10 km créée en 2005, est organisée tous les ans. L'événement contribue à l'animation de la commune[33],[34].

Économie[modifier | modifier le code]

Généralités[modifier | modifier le code]

Commune rurale dépourvue d'industrie, les actifs vont majoritairement travailler à l'extérieur de la commune, notamment à Angers et dans la Z.I. de Saint-Barthélémy-d'Anjou[35].

En 1993, on recense trois exploitations qui pratiquent la polyculture et l'élevage des bovins[35].

Tissu économique[modifier | modifier le code]

Sur 26 établissements présents sur la commune à fin 2010, 15 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), aucun du secteur de l'industrie, 4 % du secteur de la construction, 65 % de celui du commerce et des services et 15 % du secteur de l'administration et de la santé[36]. Fin 2015, sur les 27 établissements actifs, 7 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 7 % du secteur de la construction, 59 % de celui du commerce et des services et 19 % du secteur de l'administration et de la santé[37].

Culture et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Outre un logis seigneurial ayant servi de cure au siècle dernier, le bourg comprend plusieurs maisons du XVIIIe siècle.

L'ancien cimetière est vendu au XVIIIe pour financer l'acquisition d'un nouveau. Le monument aux morts est installé au début du siècle suivant dans le cimetière communal[2].

La mairie actuelle est bâtie dans les années 1880 sous la direction de l'architecte Beignet. Elle était précédemment installée dans un immeuble des époux Normand-Busson, acquis par la commune en 1842[2].

L'église Notre-Dame n'est qu'une simple chapelle jusqu'au XIVe. L'édifice actuel date principalement du XIXe siècle : son chœur à chevet plat est du XIIe, la nef et le clocher-porche du XIXe (architecte Beignet)[38].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : S-Z, t. 4, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376, lire en ligne), p. 288-289.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Lionel Delvarre, « Distances orthodromiques à partir de Sarrigné (49) », sur Lion1906 (version du sur Internet Archive) — Les distances affichées sont des distances orthodromiques (à vol d'oiseau).
  2. a b c d e f g h et i Célestin Port 1996, p. 288.
  3. Département de Maine-et-Loire - DIREN Pays de la Loire - DDE Maine-et-Loire, Atlas des paysages de Maine-et-Loire, Angers, Le Polygraphe Éditeur, , 205 p. (ISBN 2-909051-22-6), p. 58-71 — Données consultables sur WikiAnjou.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Sarrigné et Marcé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Marcé », sur la commune de Marcé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Marcé », sur la commune de Marcé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Loire-Authion », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. EHESS, Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui - Notice communale de Sarrigné, consultée le 3 mai 2013 — Nom de la municipalité en 1793 (an II), selon le recensement réalisé sur l’ensemble du territoire français de l’époque, et en 1801, selon les « Arrêtés de réduction des justices de paix » (actes publiés au Bulletin des lois) constituant la première nomenclature officielle des circonscriptions administratives de la France contemporaine.
  20. a b c d e f g h et i Célestin Port 1996, p. 289.
  21. Célestin Port 1996, p. 288, liste des maires jusqu'en 1995.
  22. Ouest-France, Sébastien Bodusseau, nouveau maire, et ses adjoints, article du 7 avril 2014.
  23. « Sarrigné. Sébastien Bodusseau élu maire à l’unanimité », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  24. Insee, Composition de l'EPCI d'Angers Loire Métropole (244900015), consulté le 15 novembre 2012.
  25. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté DRCL no 879 du 13 décembre 2011, RAA spécial du 21 décembre 2011.
  26. Insee, Code officiel géographique, Fiche de la commune de Sarrigné, consultée le 15 mars 2015.
  27. Légifrance, Décret no 2014-259 du 26 février 2014, portant délimitation des cantons dans le département de Maine-et-Loire.
  28. Célestin Port 1996, p. 288, population jusqu'en 1990.
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Des foulées pour avancer », sur Le Courrier de l'Ouest, .
  34. « Running. Foulées de Sarrignée : Ginoux et Herbreteau, duo gagnant à Sarrigné », sur Ouest-France, .
  35. a et b Célestin Port 1996, p. 289, activités économiques en 1995.
  36. Insee, Statistiques locales du territoire de Sarrigné (49), consultées le 26 mai 2013.
  37. « Dossier complet - Commune de Sarrigné (49326) », sur Insee, (consulté le ).
  38. Célestin Port 1996, p. 288-289.