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Peyrehorade

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Peyrehorade
Peyrehorade
Peyrehorade, le château de Montréal.
Blason de Peyrehorade
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes Pays d'Orthe et Arrigans
(siège)
Maire
Mandat
Didier Sakellarides
2020-2026
Code postal 40300
Code commune 40224
Démographie
Gentilé Peyrehoradais(e)
Population
municipale
3 673 hab. (2021 en évolution de +1,58 % par rapport à 2015)
Densité 228 hab./km2
Population
agglomération
7 756 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 43° 32′ 45″ nord, 1° 05′ 56″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 140 m
Superficie 16,11 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Peyrehorade
(ville-centre)
Aire d'attraction Peyrehorade
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton d'Orthe et Arrigans
(bureau centralisateur)
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Peyrehorade
Géolocalisation sur la carte : France
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Peyrehorade
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Peyrehorade
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Peyrehorade
Liens
Site web http://www.peyrehorade.fr/

Peyrehorade est une commune française, située dans le département des Landes, en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Peyrehoradais[1].

Géographie

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Localisation

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Peyrehorade est située dans le pays de l'Adour landais, pays d'Orthe en Maremne, entre les Landes de Gascogne, le Pays basque et le Béarn, en Chalosse, à 18 km au sud de Dax.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Bélus, Cagnotte, Cauneille, Hastingues, Oeyregave et Orthevielle.

Communes limitrophes de Peyrehorade[2]
Bélus Cagnotte
Orthevielle Peyrehorade Cauneille
Hastingues Oeyregave

Hydrographie

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Les terres de la commune sont arrosées par le gave de Pau et le gave d'Oloron (affluent de ce dernier) qui s'y réunissent pour former les Gaves réunis.

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 13,7 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 1 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 13,5 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 312 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,5 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. La station météorologique de Météo-France installée sur la commune et en service de 1971 à 2014 permet de connaître l'évolution des indicateurs météorologiques[9]. Le tableau détaillé pour la période 1981-2010 est présenté ci-après.

Statistiques 1981-2010 et records PEYREHORADE LER (40) - alt : 5 m 43° 32′ 24″ N, 1° 06′ 06″ O
Records établis sur la période du 01-01-1971 au 31-12-2014
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,9 3,2 5,1 7,2 11,1 14,2 15,9 15,9 13,3 10,3 6,2 3,8 9,1
Température moyenne (°C) 7,3 8,2 10,7 12,5 16,3 19,3 21,3 21,4 19 15,6 10,7 8 14,2
Température maximale moyenne (°C) 11,8 13,2 16,2 17,9 21,5 24,4 26,7 26,8 24,7 20,8 15,1 12,2 19,3
Record de froid (°C)
date du record
−10,5
15.01.1985
−10
12.02.12
−8,5
01.03.05
−2,2
04.04.1996
2,5
08.05.1982
6
01.06.11
8
11.07.1972
6,9
20.08.1972
3,5
27.09.1972
−1,5
16.10.09
−7
22.11.1998
−9,5
25.12.01
−10,5
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
22,3
13.01.1993
28,2
26.02.1994
30,5
21.03.1990
32,5
30.04.05
36
28.05.01
39,5
21.06.03
40
20.07.1989
41
04.08.03
36,5
05.09.06
33,7
02.10.01
27
01.11.09
24,2
23.12.1977
41
2003
Précipitations (mm) 119,8 108,6 94,8 122 99,2 73,4 69,9 86,5 104,7 134,7 168,5 134 1 316,1
Source : « Fiche 40224002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr, édité le : 06/01/2022 dans l'état de la base


Au , Peyrehorade est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Peyrehorade[Note 4], une agglomération intra-départementale regroupant six communes, dont elle est ville-centre[Note 5],[11],[12]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Peyrehorade, dont elle est la commune-centre[Note 6],[12]. Cette aire, qui regroupe 3 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

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Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (42,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (52,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,9 %), zones agricoles hétérogènes (26,1 %), terres arables (16,5 %), zones urbanisées (15,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), eaux continentales[Note 7] (2,1 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Peyrehorade est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Gave de Pau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1988, 1990, 1993, 1999, 2009, 2013, 2014, 2018, 2019 et 2021 et au titre des inondations par remontée de nappe en 2013 et 2014[18],[16].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[19]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Peyrehorade.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 54,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 311 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 336 sont en aléa moyen ou fort, soit 26 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

Son nom occitan gascon est Pèira Horada[23] et signifie pierre trouée.

Au XIe siècle est bâti le château d'Aspremont, renforcé au XIIIe siècle d'un donjon en pierre, dont il ne reste que ruines. Il est la résidence des vicomtes d'Orthe aux XVe et XVIe siècles.

Au XIIIe siècle est bâti un autre donjon sur le bord des Gaves réunis, pour surveiller et protéger le trafic fluvial, mais aussi pour percevoir une taxe sur les passages. Il est rasé vers 1515, puis remplacé par le château de Montréal.

Début 1367 a lieu une entrevue au château d'Aspremont entre le Prince Noir, Pierre Ier de Castille et Charles le Mauvais[24]. En 1442, les troupes de Charles VII, après avoir pris la ville de Dax le , viennent s'emparer du château, qui s'était rangé au parti anglais[25]. On connaît mal les détails relatifs à cet épisode.

Au XVIe siècle, lors des guerres de Religion, le château d'Aspremont est incendié et démantelé par Montgommery[26].

En 1793, le château de Montréal est saisi puis utilisé de diverses manières jusque vers 1930, où il est restauré par un particulier. C'est aujourd'hui l'hôtel de ville du bourg.

L'église Saint-Martin fut bâtie de 1852 à 1857, à l'emplacement d'une chapelle du XIe siècle.

Quatre-vingt-neuf enfants de la municipalité sont tombés au champ d'honneur lors des deux Guerres mondiales, en Indochine et en Algérie.

En 2014, 2018 et 2019, Peyrehorade a subi de graves inondations, les eaux atteignant une hauteur de plus de cinq mètres en certains endroits.

Héraldique

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Blason Blasonnement :
Écartelé : au premier et au quatrième d’or au lion de gueules armé et lampassé de sable, au deuxième et au troisième de gueules aux trois léopards d’or armés et lampassés de sable rangés en pal[27].

Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs de Peyrehorade
Période Identité Étiquette Qualité
         
9/5/1800 11/6/1815 Clément de Siest    
12/6/1815 26/7/1815 Arnaud Vivensang    
27/7/1815 30/11/1831 Clément de Siest    
8/12/1831 16/9/1843 Arnaud Vivensang   Conseiller général du canton de Peyrehorade (1833-1843)
19/9/1843 27/8/1848 Henri de Garay    
31/8/1848 20/2/1868 Jean-Antoine Vivensang   Conseiller général du canton de Peyrehorade (1843-1871)
17/10/1870 10/2/1878 Henri de Garay    
12/2/1878 28/2/1880 Arnaud Gaston Lavielle    
12/5/1925 11/5/1929 Henry Dupaya    
12/5/1929 18/3/1934 Bernard Barbe    
19/3/1934 13/5/1935 Eugène Peyroux    
17/5/1935 2/9/1941 André Lesgourgues    
    Joseph Pinatel    
  28/03/1971 Jean Dupaya Radical Conseiller général du canton de Peyrehorade (1961-1967)
28/03/1971 12/03/1989 Paul Lartigue DVD Conseiller général du canton de Peyrehorade (1973-1979)
12/3/1989 10/6/1995 Jean Cibé    
11/6/1995 2001 Charles Pinsolle DVD  
mars 2001 2014 Alain Siberchicot PS Retraité Education nationale
Ancien maire de Saint-Lon-les-Mines (1977-2001)
Conseiller général du canton de Peyrehorade (1979-2004)
mars 2014
(réélu en mai 2020[28])
En cours Didier Sakellarides DVD Conducteur de travaux
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30]. En 2021, la commune comptait 3 673 habitants[Note 8], en évolution de +1,58 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 9401 9861 9782 1032 4532 6382 7422 6302 734
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 5792 5162 5672 5032 5072 5102 8242 6692 562
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5972 6212 5782 3372 3772 2512 2322 1812 401
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
2 5842 5912 8613 0933 0563 0173 3573 4353 467
2015 2020 2021 - - - - - -
3 6163 6373 673------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

La commune constitue l'un des deux sites français combinant la recherche et la production d'organismes génétiquement modifiés -OGM- (tournesol, maïs, colza) de la firme Monsanto, l'autre étant Saint-Amand-Longpré (Loir-et-Cher). Rendez-vous tous les mercredis matin sur le marché de Peyrehorade, tradition depuis 1358.

En , le groupe Monsanto annonce un investissement de 45 millions d’euros à Peyrehorade pour construire trois usines de séchage, trois autres de stockage et installer un nouvel égrenoir et une nouvelle effeuilleuse[33].

Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Notes de références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  5. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Peyrehorade, il y a une ville-centre et cinq communes de banlieue.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Le nom des habitants du 40 », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le ).
  9. « Fiche du Poste 40224002 » [PDF], sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Peyrehorade », sur insee.fr (consulté le ).
  12. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Peyrehorade ».
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Peyrehorade », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Peyrehorade », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Peyrehorade », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. « Toponymes occitans », sur locongres.org (consulté le ).
  24. Livre "Le château de Peyrehorade d'Aspremont d'Orthe", d'Émile Lemaître, année 1931, page 8.
  25. Site internet www.centrecultureldupaysdorth.com
  26. Site internet officiel de la municipalité www.peyrehorade.fr : "La forteresse fut la proie des coups de mains, des incendies, des pillages en 1442, 1553 et 1559".
  27. Banque du blason.
  28. « Didier Sakellarides reprend l'écharpe », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 32.
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Monsanto investit 45 millions dans les Landes », sur Agro Media, (consulté le ).
  34. Patrimoine de France
  35. Notice no IA40000354.

Articles connexes

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Liens externes

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