Hastingues

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Hastingues
Hastingues
La porte de la ville de Hastingues.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Landes
Arrondissement Dax
Intercommunalité Communauté de communes du Pays d'Orthe et Arrigans
Maire
Mandat
Corine de Passos
2020-2026
Code postal 40300
Code commune 40120
Démographie
Gentilé Hastinguot
Population
municipale
601 hab. (2021 en augmentation de 5,25 % par rapport à 2015)
Densité 41 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 32′ 07″ nord, 1° 08′ 52″ ouest
Altitude Min. 0 m
Max. 84 m
Superficie 14,54 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Peyrehorade
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Orthe et Arrigans
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Hastingues
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Hastingues

Hastingues est une commune française, située dans le département des Landes en région Nouvelle-Aquitaine.

Le gentilé est Hastinguot[1].

La bastide de Hastingues est un site naturel inscrit par l'arrêté ministériel du , pour une superficie de 6,5 ha[2].

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La ville haute, installée sur un promontoire, domine la plaine du Pays d'Orthe, que traversent les gaves réunis, au sud du département des Landes et en limite de celui des Pyrénées-Atlantiques.

Deux barthes (prairies basses, plaines alluviales recouvertes par les eaux en période de crue) encadrent le site.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Oeyregave, Orthevielle, Peyrehorade, Bardos, Bidache, Came, Guiche et Sames.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un micro climat océanique basque[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hiver très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 338 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bidache à 6 km à vol d'oiseau[7], est de 14,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 455,6 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Hastingues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Peyrehorade, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 3 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (72,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,6 %), forêts (21,4 %), zones agricoles hétérogènes (11,1 %), zones urbanisées (3,1 %), eaux continentales[Note 3] (2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune d'Hastingues est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Gave de Pau et la Bidouze. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1988, 1990, 1999, 2009, 2013, 2014, 2018, 2019 et 2021[19],[17].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Hastingues.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 48,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (19,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 285 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 226 sont en aléa moyen ou fort, soit 79 %, à comparer aux 17 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Hastynggues en 1370 ; Fastingues en 1461[23].

Il s'agit d'une formation toponymique tardive en hommage à John Hastings, sénéchal de Gascogne, constructeur de la bastide à cet endroit en 1304[23],[24]. Ce dernier tire lui même son nom du lieu éponyme Hastings (Angleterre, Sussex de l'Est) aux environs duquel Guillaume le Conquérant vainquit l'armée anglo-saxonne commandée par Harold Godwinson. Hastings en Angleterre est mentionné pour la première fois sous la forme Hastingas au VIIIe siècle et une variante possible du toponyme est mentionnée Hæstingaceaster (chronique anglo-saxonne). Il s'agit d'un nom de tribu ou du moins de famille élargie, les Hæstingas « les gens, les fidèles d'Hæsta », attesté dans Hestingorum gens en 771 (Siméon de Durham)[25],[26].

Remarque : la forme relevée en 1461 résulte d'une francisation fallacieuse, en effet, le F- / f- initial s'amuït en gascon, comme en castillan (ex. : hilha « fille »). Ce nom n'a aucun rapport avec le nom de personne norrois rendu par Hasting dans les écrits historiques tardifs sur la base de la latinisation Hastingus de l'anthroponyme vieux norrois Hástæinn / Hásteinn[27].

Son nom occitan gascon est Hastings[28].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le , l'abbaye d'Arthous, protectrice du chemin de Compostelle, cède par un contrat de paréage une partie de son territoire au roi Édouard Ier d'Angleterre, duc d’Aquitaine, permettant à ce dernier d'édifier une ville nouvelle fortifiée ou bastide, destinée à conforter la position anglaise dans le sud de l'Aquitaine[29].

Dans ce secteur des marches de son duché, le monarque est en conflit constant avec les Basques, les Béarnais et les Capétiens du royaume de France. Par l'établissement de cette ville fortifiée, il veut tout à la fois affermir son pouvoir et renforcer la sécurité de ses sujets[30].

Le traité est donc signé au nom d'Édouard Ier par John Hastings, sénéchal de Gascogne, avec les moines de l'abbaye d'Arthous. Il prévoit la fondation d'une bastide sur l'emplacement d'un ancien oppidum romain. Une muraille en pierre, commencée dès 1289, n'est jamais finalisée et subira de nombreux dommages. Les premiers travaux d'aménagement de la cité ont lieu entre 1303 et 1306. En 1304 débutent les travaux de construction de l'église Saint-Sauveur. Cette même année, 44 familles se voient attribuer un emplacement de 74 × 12 m. Elles doivent y construire dans les deux ans qui suivent une maison de 30 × 12 m avec pignon sur rue et y aménager un four et un jardin. Entre chaque maison, un espace appelé « androne » facilite la construction, permet la récupération des eaux de pluie et limite la propagation des incendies. Hors des murs, chaque homme dispose de six « journades » à défricher et cultiver (une « journade » correspondant à la surface labourable par un homme en une journée, soit 40 ares). La porte de la ville est érigée dans les années 1307-1310[30].

Alors que le système féodal a cours à l'époque de la fondation de la ville, les habitants de Hastingues, comme ceux des autres bastides du sud-ouest de la France, ont le statut d'hommes libres, administrés par six jurats placés sous l'autorité d'un bailli, qui se réunissent à partir du XVe siècle dans la maison des Jurats. En 1321, les privilèges de la cité sont confirmés par le souverain Édouard II d'Angleterre. Elle jouit alors d'un marché hebdomadaire et de deux foires annuelles. On y bat monnaie sous contrôle des jurats pendant l'occupation anglaise. Les biens, la sécurité, la justice et l'organisation du commerce sont régis pas une charte de 1326. En 1342, le roi-duc donne l'autorisation d'exploiter un port fluvial sur les Gaves réunis[30].

En raison de sa situation et du commerce actif de son port, la bastide de Hastingues est convoitée et subit pillages, incendies, destructions partielles par la cité voisine de Bayonne. À l'issue de la guerre de Cent Ans, le remplacement des Anglais par les ducs de Gramont n'y change rien : la ville est brûlée en 1523 par les troupes espagnoles du prince d'Orange. Les maisons sont alors reconstruites en pierre. Plus tard, la ville est à nouveau incendiée, par les troupes huguenotes de Montgommery[31], qui auraient détruit une partie de l'enceinte. De 1600 à la révocation de l'édit de Nantes en 1685, un temple protestant côtoie l'église catholique (le premier lieu du culte réformé est sans doute la maison Magendie). Les derniers privilèges de la cité disparaissent au moment de la Révolution française[30].

De l'époque de sa fondation, le site a conservé son plan général, un vestige de fossé, ses fortifications, sa porte sud-ouest inscrite dans une grosse tour rectangulaire qui donne accès à la rue principale, bordée par de grandes maisons de caractère : cette porte en moyen appareil jusqu'aux archères, en moellons au deuxième niveau couronné par des consoles à triple ressaut en quart de rond, est marquée par un passage voûté en berceau brisé[30].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[réf. nécessaire]
Période Identité Étiquette Qualité
1977 1989 Jacques de Goislard de Monsabert    
1989 2008 Rémy Lacroix   Retraité SNCF
mai 2008 2020 Pierre Ducarre PS Agriculteur retraité
Président de la communauté de communes du Pays d'Orthe
2020 En cours Corine de Passos    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33]. En 2021, la commune comptait 601 habitants[Note 4], en augmentation de 5,25 % par rapport à 2015 (Landes : +4,9 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
900846850850901915942910914
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
828850865800780755728716704
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
690709656541509444442441445
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
417401408447472447478510583
2014 2019 2021 - - - - - -
575592601------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Economie[modifier | modifier le code]

L'activité économique est centrée sur l'agriculture : production de maïs et de kiwis de l'Adour, élevage de bovins et de palmipèdes. La pêche traditionnelle dans les Gaves réunis concerne la pibale, le saumon et l'anguille.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Galerie[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Événements[modifier | modifier le code]

  • Depuis 1999, tous les , festival de la Parade des 5 sens. Depuis 2015, la parade a lieu les 13 et .
  • Lors des Journées européennes du Patrimoine, en septembre, les habitants bénévoles proposent une découverte historique et patrimoniale de la bastide, dans le cadre de saynètes théâtrales et en costume d'époque, appelée La Déambulation

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Le nom des habitants du 40 », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. Fiche sur le site de la DREAL
  3. Carte IGN sous Géoportail
  4. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Orthodromie entre Hastingues et Bidache », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Bidache » (commune de Bidache) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Bidache » (commune de Bidache) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Hastingues », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs des Landes », sur landes.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, p. 1728, n° 30449 (lire en ligne) [1]
  24. « Hastingues » sur l'Encyclopédie Larousse [2]
  25. Eilert Ekwall, The Oxford Dictionary of English Place Names, Oxford University Press, 1936.
  26. Mills, A. D. & Room, Adrian (en) (2002) « A Dictionary of British Place-names », in: Patrick Hanks et al, The Oxford Names Companion, Oxford University Press, 2002. (ISBN 0-19-860561-7), pp. 895-1264; p. 1061
  27. Site de Nordic Name : étymologie de Hásteinn
  28. « Toponymes occitans », sur locongres.org (consulté le ).
  29. http://www.larousse.fr
  30. a b c d et e Panneau de présentation de la bastide de Hastingues, consulté sur site le 23 décembre 2018
  31. Voir : Guerres de Religion dans les Landes.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. « Classement de l'abbaye d'Arthous », notice no IA40000082, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Notice de la base Mérimée », notice no PA00083953, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 10 février 2014
  38. « Inscription de la maison du Rey », notice no PA40000075, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture. Consulté le 10 février 2014
  39. « Arrêté d'inscription de la maison du Sénéchal ou du Gouverneur de Hastingues », notice no IA40000072, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.