Lamaguère
Lamaguère | |||||
L'église Saint-Michel. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Gers | ||||
Arrondissement | Mirande | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Val de Gers | ||||
Maire Mandat |
Jean-Marc Roger 2020-2026 |
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Code postal | 32260 | ||||
Code commune | 32186 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
79 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 12 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 43° 29′ 33″ nord, 0° 40′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 191 m Max. 297 m |
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Superficie | 6,49 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Astarac-Gimone | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Gers
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Lamaguère (La Maguèra en gascon) est une commune française située dans le sud-est du département du Gers, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.
Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par l'Arrats, la Lauze et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallée et coteaux de la Lauze ») et quatre zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Lamaguère est une commune rurale qui compte 79 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 290 habitants en 1841. .
Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'église Saint-Michel, inscrite en 1974.
Géographie
[modifier | modifier le code]Localisation
[modifier | modifier le code]La commune de Lamaguère se situe dans le canton d'Astarac-Gimone et dans l'arrondissement de Mirande, dans la vallée de l'Arrats, à 11 km au sud-ouest de Saramon. Historiquement, Lamaguère fait partie du territoire de l'Astarac[1].
Communes limitrophes
[modifier | modifier le code]Les communes limitrophes sont Faget-Abbatial, Monferran-Plavès, Simorre et Tachoires.
Géologie et relief
[modifier | modifier le code]La superficie de la commune est de 649 ha. L'altitude de la commune va de 191 m à 297 m[3].
Lamaguère se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[4].
Hydrographie
[modifier | modifier le code]La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[5]. Elle est drainée par l'Arrats, la Lauze, le ruisseau de Lantan, le ruisseau de Sarraute et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[6],[Carte 1].
L'Arrats, d'une longueur totale de 162,1 km, prend sa source dans la commune de Lannemezan et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans la Garonne à Saint-Loup, après avoir traversé 66 communes[7].
La Lauze, d'une longueur totale de 22,9 km, prend sa source dans la commune d'Aussos et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans la Gimone à Saramon, après avoir traversé 11 communes[8].
-
L'Arrats à Lamaguère.
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Réseaux hydrographique et routier de Lamaguère.
Climat
[modifier | modifier le code]En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 775 mm, avec 10 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Auch à 19 km à vol d'oiseau[11], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,8 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].
Milieux naturels et biodiversité
[modifier | modifier le code]Réseau Natura 2000
[modifier | modifier le code]Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée et coteaux de la Lauze »[16], d'une superficie de 5 399 ha, des coteaux occupés par un maillage bocager plus faiblement représenté dans le fond des vallées alluviales, avec des milieux à orchidées remarquables[17].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
[modifier | modifier le code]L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Trois ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[18] :
- les « coteaux de la Lauze » (588 ha), couvrant 5 communes du département[19] ;
- les « coteaux de l'Arrats » (1 054 ha), couvrant 5 communes du département[20] ;
- l'« unité bocagère entre la Lauze et l'Arrats » (803 ha), couvrant 5 communes du département[21] ;
et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[18] : les « coteaux de la Lauze et de l'Arrats » (5 264 ha), couvrant 18 communes du département[22].
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Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
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Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
[modifier | modifier le code]Typologie
[modifier | modifier le code]Au , Lamaguère est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
[modifier | modifier le code]L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (68,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (68,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,3 %), prairies (17 %), terres arables (16 %), forêts (13,9 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Voies de communication et transports
[modifier | modifier le code]Lamaguère est traversée par la route départementale D 40, en provenance au sud de Tachoires et en direction au nord d'Héréchou, hameau de Faget-Abbatial.
Risques majeurs
[modifier | modifier le code]Le territoire de la commune de Lamaguère est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 43 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 43 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[24].
Toponymie
[modifier | modifier le code]Le nom de la commune en gascon est La Maguèra.
On trouve en 1801 le nom de la commune sous le nom de La Maguère[3].
Histoire
[modifier | modifier le code]Les archevêques d'Auch étaient propriétaires, au Moyen Âge, du château féodal de Lamaguère[1].
En 1822, Lamaguère annexe la commune de Libou[3].
Politique et administration
[modifier | modifier le code]Administration municipale
[modifier | modifier le code]Liste des maires
[modifier | modifier le code]Population et société
[modifier | modifier le code]Démographie
[modifier | modifier le code]L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30]. En 2021, la commune comptait 79 habitants[Note 4], en évolution de −1,25 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
Enseignement
[modifier | modifier le code]Manifestations culturelles et festivités
[modifier | modifier le code]Santé
[modifier | modifier le code]Sports
[modifier | modifier le code]Économie
[modifier | modifier le code]Emploi
[modifier | modifier le code]2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 5] | 4,2 % | 12,5 % | 4,3 % |
Département[I 6] | 6,1 % | 7,5 % | 8,2 % |
France entière[I 7] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 47 personnes, parmi lesquelles on compte 76,6 % d'actifs (72,3 % ayant un emploi et 4,3 % de chômeurs) et 23,4 % d'inactifs[Note 5],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 8]. Elle compte 14 emplois en 2018, contre 17 en 2013 et 16 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 36, soit un indicateur de concentration d'emploi de 38,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 57,6 %[I 9].
Sur ces 36 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 14 travaillent dans la commune, soit 39 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 80,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,8 % les transports en commun, 5,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 11,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].
Activités hors agriculture
[modifier | modifier le code]5 établissements[Note 6] sont implantés à Lamaguère au [I 12]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 20 % du nombre total d'établissements de la commune (1 sur les 5 entreprises implantées à Lamaguère), contre 12,3 % au niveau départemental[I 13].
Agriculture
[modifier | modifier le code]La commune est dans les « Coteaux du Gers », une petite région agricole occupant l'est du département du Gers[32]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est la combinaisons de granivores (porcins, volailles)[Carte 5].
1988 | 2000 | 2010 | 2020 | |
---|---|---|---|---|
Exploitations | 14 | 9 | 13 | 13 |
SAU[Note 8] (ha) | 396 | 412 | 494 | 522 |
Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 14 lors du recensement agricole de 1988[Note 9] à 9 en 2000 puis à 13 en 2010[34] et enfin à 13 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 7 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[35],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 396 ha en 1988 à 522 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 28 à 40 ha[34].
Culture locale et patrimoine
[modifier | modifier le code]Lieux et monuments
[modifier | modifier le code]- Église Saint-Michel de Lamaguère ( Inscrit MH (1974)) : église romane située à l'ouest du village.
- Chapelle et site castral de Libou.
- Ruines du château de Lamaguère, érigé au sommet du coteau qui domine la vallée de l'Arrats. Acheté en 1174 par l'archevêque d'Auch, Géraud de Labarthe, aux frères Arnaud et Guilhem de Lamaguère (cartulaire noir d'Auch, acte n° 118)[36], le château conserve aujourd'hui « d'immenses pans de vieilles murailles. Quelque méconnaissables qu'ils soient, ces débris n'en offrent pas moins un aspect imposant. Ils forment […] les ruines les plus pittoresques de l’ancien comté d’Astarac. »[37]
- Site castral de Loustau, à l'ouest de l'église Saint-Michel. L’enclos fossoyé a constitué le centre seigneurial de Lamaguère à partir de la fin du XVIIe siècle, remplaçant le château localisé sur les hauteurs[38].
-
Chapelle de Libou avec un clocher-mur
-
Chapelle de Libou. Le porche
-
Chapelle de Libou. Monument avec une croix en fer forgé
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Salle des fêtes
-
Monument avec une croix en fer forgé
-
Statue de l'Immaculée Conception. Sur le socle sont représentés : une ancre (symbole de l’espérance, l'une des trois vertus théologales), le monogramme marial composé des lettres A et M entrelacées, initiales de l’Ave Maria, et le Cœur Immaculé de Marie
-
Bar extérieur
Personnalités liées à la commune
[modifier | modifier le code]Culture populaire
[modifier | modifier le code]- Littérature
L'écrivain Jean d'Aillon y situe le fief de son héros Guilhem d'Ussel.
Voir aussi
[modifier | modifier le code]Bibliographie
[modifier | modifier le code]- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39151085)
Articles connexes
[modifier | modifier le code]Liens externes
[modifier | modifier le code]Notes et références
[modifier | modifier le code]Notes et cartes
[modifier | modifier le code]- Notes
- Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[15].
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
- L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
- Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
- Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Lamaguère » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
Références
[modifier | modifier le code]Site de l'Insee
[modifier | modifier le code]- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Lamaguère ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Lamaguère » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Lamaguère » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Lamaguère » (consulté le ).
- « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).
Autres sources
[modifier | modifier le code]- Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39151085).
- Carte IGN sous Géoportail
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Plan séisme
- « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche communale de Lamaguère », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
- Sandre, « l'Arrats »
- Sandre, « la Lauze »
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Lamaguère et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Auch » (commune d'Auch) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Auch » (commune d'Auch) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
- « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Lamaguère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « site Natura 2000 FR7300897 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Lamaguère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « coteaux de la Lauze » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « coteaux de l'Arrats » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF l'« unité bocagère entre la Lauze et l'Arrats » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF les « coteaux de la Lauze et de l'Arrats » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Lamaguère », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Lamaguère », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- Site de la préfecture - Fiche de Lamaguère
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Lamaguère - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gers » (consulté le ).
- Cyprien Lacave La Plagne Barris (éd.), Cartulaires du Chapitre de l'église métropolitaine Sainte-Marie d'Auch. Cartulaire noir, publiés pour la Société historique de Gascogne, Paris, H. Champion, 1899..
- E. Dellon, « Le château de Lamaguère », Revue de Gascogne, , p. 68..
- Nicolas Guinaudeau, Fortifications seigneuriales et résidences aristocratiques gasconnes dans l'ancien comté d'Astarac entre le Xe et le XVIe siècle, thèse d’Histoire, sous la direction de Philippe Araguas, Bordeaux, Université Michel de Montaigne - Bordeaux III, , p. 368..