Abbaye Notre-Dame d'Acey

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Abbaye Notre-Dame d'Acey
image de l'abbaye
Chœur de l'abbatiale
Diocèse Diocèse de Saint-Claude
Numéro d'ordre (selon Janauschek) XCVI (96)[1]
Fondation 1136
Dissolution 1791-1872
Abbaye-mère Cherlieu (1136-1791)
Aiguebelle (depuis 1872)
Abbayes-filles Avant 1791 :
Pilis (1184-1526)
Depuis1872 :
Igny
Géronde
Congrégation Ordre cistercien
Période ou style Art roman / Art gothique
Protection Logo monument historique Inscrit MH (1952)
Logo monument historique Classé MH (1971)
Coordonnées 47° 15′ 42″ N, 5° 39′ 25″ E[2]
Pays Drapeau de la France France
Province Comté de Bourgogne
Région Franche-Comté
Département Jura
Commune Vitreux
Site Abbaye Notre Dame d Acey – Moines cisterciens dans le Jura
Géolocalisation sur la carte : Jura
(Voir situation sur carte : Jura)
Abbaye Notre-Dame d'Acey
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Abbaye Notre-Dame d'Acey
Géolocalisation sur la carte : Franche-Comté
(Voir situation sur carte : Franche-Comté)
Abbaye Notre-Dame d'Acey
Abbaye d'Acey - Façade du cloître
Abbaye d'Acey – nef latérale de l'église du XIIe siècle
Abbaye d'Acey - Hostellerie monastique

L'abbaye Notre-Dame d'Acey, fondée en 1136, est une abbaye cistercienne située dans la vallée de l'Ognon, sur la commune de Vitreux, au nord du département du Jura, en Franche-Comté, à la limite de la Haute-Saône et du Doubs, entre Dole et Besançon. Elle est actuellement habitée par des moines cisterciens-trappistes, c'est le seul monastère cistercien encore occupé par une communauté monastique en Franche-Comté.

Abbaye importante au Moyen Âge, située en terre d'Empire, à la limite des duché et comté de Bourgogne, elle a eu une histoire marquée par les destructions des guerres mais aussi par la dégradation liée au régime de la commende. Vendue comme bien national en 1791, l'abbaye est redevenue un lieu monastique dans la deuxième moitié du XIXe siècle et ses bâtiments du XVIIIe siècle ont été relevés comme l'église du XIIe siècle.

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant l'abbaye[modifier | modifier le code]

La vallée de l'Ognon avait accueilli dès l'époque carolingienne à l'initiative du monastère de Condat (abbaye de Saint-Claude) et de saint Lupicin, un ermitage qui reçut plusieurs donations des seigneurs voisins avant de disparaître dans la période troublée des invasions normandes. À la fin du XIe siècle, l'abbaye de Baume-les-Messieurs s'en fit attribuer la possession qui fut confirmée par le pape Urbain II en 1090 et par l'archevêque de Besançon en 1111.

Fondation[modifier | modifier le code]

Un peu plus tard deux ermites, Constantin et Robert (un prêtre et son frère), s'installèrent dans les murs du premier prieuré et attirèrent peu à peu une communauté qui construisit une basilique consacrée par l'archevêque Anséric le . Le prélat confirma les donations et exemptions concernant cette implantation monastique puis donna en 1134 la mission à la proche abbaye de Cherlieu (aujourd'hui en Haute-Saône) d'y établir un monastère de l'ordre de Cîteaux alors que l'abbaye de Saint-Claude renonçait à ses droits. On retient 1136 comme année de la fondation de l'abbaye que Renaud III de Bourgogne, comte de Bourgogne, et d'autres seigneurs dotèrent richement en champs, prés, vignes, forêts et pêcheries sur l'Ognon : les moines édifièrent ainsi plusieurs fermes et granges sur un large territoire[3].

Le schisme qui opposa à partir de 1160 l'empereur Frédéric Barberousse (maître du comté de Bourgogne, actuelle Franche-Comté) et le pape Alexandre III eut des conséquences sur l'abbaye d'Acey comme tous les établissements clunisiens et cisterciens de la région, terre d'Empire, mais dont les ordres restaient fidèles au pape : les moines furent dispersés comme les biens de l'abbaye[4]. Il fallut procès et longues années avant que la situation ne se rétablisse : une bulle papale de 1182 confirma les possessions et droits particuliers de l'abbaye d'Acey et la réputation de l'abbaye devint grande : en témoigne la décision du pape Grégoire VII d'envoyer en 1186 un groupe de moines d'Acey entreprendre la restauration morale de l'abbaye de Pilis, en Hongrie.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Prospère mais mal gérée, l'abbaye dut se plier plusieurs fois, en 1316 et 1320, aux contrôles des commissaires du pape Jean XXII. Ce furent ensuite les guerres et les pillages qui ponctuèrent le XIVe siècle avec le conflit entre le duc de Bourgogne et les barons francs-comtois (le mot de « Franche-Comté » apparaît pour la première fois en 1366) comme Jean II de Chalon-Arlay, ou avec les exactions des Grandes compagnies et les épisodes de la guerre de Cent Ans. La paix se réinstalle avec la fusion du duché et du comté de Bourgogne (en 1384, par l'héritage de sa femme Marguerite III de Flandre, Philippe le Hardi devient duc-comte de Bourgogne) et la prospérité revient mais dès le XVe siècle l'abbaye d'Acey tombe en commende[5]. Les conflits reprennent à partir de 1469 sous le règne de Charles le Téméraire et en , les troupes du roi de France Louis XI ravagent la vallée de l'Ognon, rançonnent l'abbé et pillent l'abbaye. La précarité s'installe alors pour longtemps malgré les protections des puissants comme l'archiduchesse Marguerite en 1530 ou Charles Quint en 1545.

Commende et déclin[modifier | modifier le code]

À la fin du siècle, en 1595, dans le contexte de la guerre contre l'Espagne, ce sont les armées d'Henri IV qui dévastent la région[6] et s'en prennent particulièrement aux églises et aux monastères catholiques : Acey n'échappe pas aux destructions et se remet à peine quand survient la Guerre de dix ans (1634-1644) : selon Rousset et son Dictionnaire des communes du Jura, l'abbaye ne comptait plus que six moines « qui s'enfuirent ou moururent de la peste ». La conquête de la Franche-Comté en 1668 paracheva la ruine de l'abbaye qui subit de plus un incendie en 1683 et vécut au ralenti dans la désolation.

Les malheurs du temps n'ont donc pas épargné Acey, mais l'incurie des abbés commendataires[7] a aussi une grande part dans la dégradation des bâtiments.qui conduisit à l'effondrement du clocher et de la voûte de l'église sur une longueur de 30 mètres en 1650, bien avant l'incendie semble-t-il accidentel de 1683.

Au XVIIIe siècle d'importantes ventes de bois permettent d'entreprendre la réparation partielle des bâtiments avec en particulier la reconstruction tronquée de la nef de l'église sur les plans de l'architecte Antoine-Louis Attiret dressés en 1756, et, vers 1720, la construction du quartier abbatial (dont le cloître) achevée en 1768.

Révolution et refondation[modifier | modifier le code]

Ce patrimoine amoindri qui conservait peu de chose de la période médiévale a été vendu comme bien national en 1791 puis acheté en 1829 par l'abbé Bardenet pour y installer un pensionnat de jeunes filles tenu par les Marianistes qui déménagea à Lons-le-Saunier en 1853. C'est la communauté bénédictine de Solesme qui acquiert alors l'abbaye et tente une implantation bénédictine qui échoue (on comptait « cinq religieux de chœur et six frères convers » en 1854, selon Rousset). Les trappistes lui succèdent en 1860 sans mieux réussir dans un premier temps : en 1863 les lieux sont de nouveau inoccupés[4].

La persévérance de l'évêque de Saint-Claude (Mgr Nogret, 1862-1880) qui souhaite, semble-t-il, rechristianiser la partie la moins religieuse de son diocèse[8] porte finalement ses fruits : un groupe venu de Notre-Dame des Dombes s’installe en , rejoint en 1873 par d'autres moines venus de l’abbaye Notre-Dame d'Aiguebelle. La restauration commence avec une petite communauté de moins de 30 religieux qui, dans le contexte de la IIIe République, refonde l'abbaye dans un esprit de combat, voulant retrouver la sainteté monastique des origines contre la modernité qui a abaissé l’Église et conduit à la Révolution[9]. Le monastère est remis en état sans chercher les racines médiévales trop dénaturées par l'histoire sauf pour l'église qui est refaite en 1909-1910 dans sa sobriété cistercienne et ouverte au culte en 1910. Le monastère retrouve son titre d'abbaye en 1938 et les réaménagements poursuivent comme avec la création de l'hostellerie monastique ou le remplacement, en 1994, des verrières de l'église par des œuvres de créateurs régionaux, le peintre Jean Ricardon et le maître verrier Pierre-Alain Parot.

En 2010, l'abbaye Notre-Dame d'Acey compte 24 moines cisterciens-trappistes[10] et reçoit des personnes désireuses d'accomplir une retraite religieuse[11]. L'église est seule ouverte au public qui peut assister aux offices. L'institution tire ses revenus de la location de ses terres agricoles (65 ha) dont l'exploitation directe a été abandonnée par les moines en 1990, et depuis 1962 (après des débuts tâtonnants en 1954) d'une usine de traitement des métaux par électrolyse qui emploie une quinzaine de salariés (en plus de cinq moines) et fait un chiffre d'affaires de 4 millions d'euros en 2011[12].

En 2023, le nombre de moines est tombé à treize, lors du décès accidentel de l'abbé Godefroy Raguenet de Saint Albin[4].

Repères historiques[modifier | modifier le code]

Statut actuel[modifier | modifier le code]

Architecture et description[modifier | modifier le code]

L'abbaye occupe un petit coteau à proximité de la rivière Ognon (rive gauche) dans un cadre de prés, de champs et de forêts. Les moines ont creusé un petit canal de dérivation qui alimentait l'abbaye, il comportait une écluse et alimentait un moulin et une huilerie, aujourd'hui disparus. Ils avaient également établi une tuilerie à proximité immédiate comme il y a aujourd'hui un atelier réputé d'électrolyse industrielle.

L'église abbatiale initiale « avait 209 pieds de longueur et 60 pieds de hauteur sous la clef de la voûte, et se composait d'une nef principale et de deux nefs collatérales, d'un transept carré au centre, renfermant dans chacun de ses bras deux chapelles, de deux chœurs pour les religieux, dits chœur d'été et chœur d'hiver, d'un sanctuaire, d'une sacristie renfermant le trésor et d'une autre renfermant les archives et -servant de salle des comptes » et contenait les tombeaux de nombreux seigneurs et donateurs (Rousset, Dict. des communes du Jura). La reconstruction au XVIIIe siècle a réduit les dimensions de l'édifice et l'église restaurée au début du XXe siècle a été classée monument historique par arrêté du [13]. La nef compte aujourd'hui huit travées avec collatéraux, chœur à chevet plat, croisillons ouvrant vers l'Est sur deux chapelles alignées à fond plat avec une Vierge à l'enfant à l'entrée du chœur et un pavement restauré.

L'ensemble de la construction est imposant avec des façades et des toitures à longs pans du XVIIIe siècle (inscription aux Monuments historiques par arrêté du )[13]. Elle comporte également le cloître et son jardin, la bibliothèque, la maison abbatiale, l’hôtellerie, mais aussi des bâtiments agricoles et industriels, ces derniers à l'aspect de hangar échappant à tout critère esthétique.

Filiation et dépendances[modifier | modifier le code]

Notre-Dame d'Acey est fille des abbayes de Cherlieu puis d'Aiguebelle

Liste des abbés[modifier | modifier le code]

Abbaye d'Acey - Porche d'entrée
Acey – vierge à l'enfant
Acey - transept de l'église du XIIe s.
Acey – pavement de sol du XVIIIe siècle

Abbés[modifier | modifier le code]

  • 1136-1144 : Philippe I
  • 1144-1156 : Lucas
  • 1156-1168 : Guy I
  • 1168-1171 : Pierre I
  • 1171-1188 : Eudes
  • 1188-1195 : Guy II
  • 1195-1212 : Servius
  • 1212-1219 : Gauthier I
  • 1219-1220 : Gauthier II
  • 1220-1256 : Pierre II
  • 1256-1258 : Louis I
  • 1258-1268 : Jean I
  • 1269-1280 : Hugues
  • 1280-1293 : Gérard
  • 1293-1303 : Jean II
  • 1303-1304 : Vernier (1)
  • 1304-1305 : Aimé I de Rochefort (1)
  • 1305-1306 : Vernier (2)
  • 1306-1313 : Aimé I de Rochefort (2)
  • 1313-1316 : Étienne I de Besançon
  • 1317-1320 : Jacques I
  • 1320-1326 : Humbert de Sermanges
  • 1326-1329 : Renaud
  • 1329-1363 : Nicolas de Sermanges
  • 1363-1372 : Aimé II
  • 1373-1400 : Aimé III de Rochefort
  • 1400-1411 : Étienne II de Salins
  • 1412-1422 : Jean III de Rouvres
  • 1422-1423 : Jean IV de Machefoing
  • 1423-1456 : Pierre III de Salins
  • 1456-1477 : Jacques II Albert
  • 1478-1497 : François I Vincent de Vers
  • 1498-1505 : Jacques III de Balerne
  • 1506-1522 : Pierre IV de Louhans
  • 1522-1545 : Laurent I de Rancé
  • 1545-1550 : Louis II de Rye de Balançon
  • 1550-1559 : Philibert de Rye de Balançon
  • 1560-1593 : Claude I de Bauffremont
  • 1594-1637 : François II de Rye de Balançon [14]
  • 1638-1649 : Pierre V François-Ernest de Mercy
  • 1649-1650 : Pierre VI Cornette
  • 1650-1672 : Laurent II Outhenin
  • 1672-1725 : Jean V François de Croÿ-Solre
  • 1725-1766 : Philippe II de Saint-André de Vercel
  • 1767-1779 : Claude II de Chaylard du Bartas
  • 1779-1790 : Claude III Gaspard de Lezay-Marnésia
  • 1790-1873 : Vacance
Vitrail de Ricardon et Parot

Supérieurs[modifier | modifier le code]

  • 1873-1888 : Benoît Chambon
  • 1888-1898 : Jean Grandjacquot

Prieurs[modifier | modifier le code]

  • 1898-1901 : Émile Lorne
  • 1901-1903 : Dominique Rouby
  • 1903-1904 : Raymond Brevet
  • 1904-1921 : Hermann Finiels
  • 1921-1924 : Paulin Faucon
  • 1924-1928 : Joachim Delaigne
  • 1928-1930 : Léon Alloix
  • 1930-1934 : Henri Brun
  • 1934-1937 : Amédée Gaillard de La Roche
  • 1937-1938 : Eugène Court (1)

Abbés[modifier | modifier le code]

  • 1938-1946 : Eugène Court (2)
  • 1946-1947 : Paul Vuillemin
  • 1947-1958 : Robert Pierre
  • 1958-1967 : Albéric Macle
  • 1967-1970 : Vacance
  • 1970-1977 : Nivard Bader
  • 1977-1984 : Sébastien Delacommune
  • 1984-2002 : Hervé Briand
  • 2003-2020 : Jean-Marc Thévenet
  • 2020-2023 : Godefroy Raguenet de Saint-Albin[15]

Source : Gallia Christiana

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. (la) Leopold Janauschek, Originum Cisterciensium : in quo, praemissis congregationum domiciliis adjectisque tabulis chronologico-genealogicis, veterum abbatiarum a monachis habitatarum fundationes ad fidem antiquissimorum fontium primus descripsit, t. I, Vienne, Puthod, , 491 p. (lire en ligne), p. 133.
  2. « Acey »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur cistercensi.info, Ordre cistercien (consulté le ).
  3. « Rainaud III avait donné à deux anachorètes nommés Constantin et Robert un lieu appelé le Val Saint-Jean. L’archevêque Anséric approuva cet établissement en 1130, l'augmenta en 1133 de donations. […] En 1136 le comte Rainaud III et l'archevêque Anséric y établirent des Religieux de l'Ordre de Cîteaux. C'est ce que nous appelons l'Abbaye d'Acey » François Ignace Dunod de Charnage - 1750 - Histoire de l'église, ville et diocèse de Besançon page 149 (Google Books)
  4. a b et c (en) Cécile Mérieux, « Décès accidentel de l’abbé d’Acey : quelle est cette abbaye cistercienne du Jura ? », La Croix,‎ (ISSN 0242-6056, lire en ligne, consulté le ).
  5. »Jusqu'au XVe siècle, l'abbé fut élu par les religieux et confirmé par l'abbé de Cîteaux. Dès cette époque, ce bénéfice a été donné en commende, soit parles papes, soit par les souverains de Bourgogne », Rousset
  6. http://art-et-histoire.com/index4o.php?segreap.php?cb=Fraisans
  7. abbé Pierre Lacroix, La Semaine religieuse n° 20, p. 319-320,1962 cité par Le silence des moines: les trappistes au XIXe siècle : France, Algérie, Syrie, par Bernard Delpal, Google Books
  8. Le silence des moines, Bernard Delpal, page 267
  9. « Ce milieu de luttes continuelles, de réformes impuissantes, de divisions, de relâchements suscités par l’orgueil et l'immortification qui ont affligé l’Église et démoli l’œuvre de saint Étienne et de saint Bernard », Père Salsac, lettre circulaire de 1882, citée in Le silence des moines page 264 [1]
  10. « l'effectif est stabilisé entre 22 et 25 moines depuis une quarantaine d'années » - Pays dolois (mai 2011) pages 6 et 7 [2]
  11. « acey.eglisejura.com/?p=15 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  12. Abbaye d’Acey, Racines comtoises, 2007, Bernard Girard [3] et [www.electrolyse-acey.com/] Pays dolois (mai 2011) pages 6 et 7 [4].
  13. a et b Notice no PA00102056, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  14. Le grand dictionnaire historique ou Le mélange curieux de l'Histoire sacrée et profane par Louis Moréri, dernière édition de 1759
  15. « Bénédiction abbatiale de Dom Godefroy – Abbaye Notre Dame d Acey » (consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Collectif d'auteurs, L'abbaye Notre-Dame d'Acey, Editions de l'Est, (ASIN B009X855LE)
  • P. Gresser, L'Abbaye Notre-Dame d'Acey, Cetre F., coll. « Divers », , ... (ISBN 978-2-901040-56-9)
  • Gilles-Marie Moreau (Illustrations) et Odile et Richard Moreau (Collaborateur), Moine Comtois a Pied Vers Notre Dame des Ermites Einsiedeln Suisse, Paris, Editions L'Harmattan, , 118 p. (ISBN 978-2-343-01332-9)
  • Dossiers d'Archéologie N° 2 341 998 Cîteaux 64 sites
  • Alphonse Rousset, Frédéric Moreau (architecte). Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de la Franche-Comté[5]
  • Pays dolois () pages 6 et 7 [6]
  • Bernard Delpal, Le Silence des moines : les trappistes au XIXe siècle : France, Algérie, Syrie, éditeur : Beauchesne () [7]
  • René Locatelli, L'Implantation cistercienne dans le comté de Bourgogne jusqu'au milieu du XIIe siècle [8]
  • François Ignace Dunod de Charnage - 1750 - Histoire de l’église, ville et diocèse de Besançon, page 149 [9]
  • Inventaire général du patrimoine culturel - [10]
  • Clémentine Jullien, L'Église abbatiale cistercienne Notre-Dame d'Acey : étude historique, architecturale et archéologique (thèse pour le diplôme d'archiviste paléographe), Paris, École nationale des chartes, (présentation en ligne).

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]