Milhac

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Milhac
Milhac
Le château de Milhac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Quercy-Bouriane
Maire
Mandat
Claude Vigié
2020-2026
Code postal 46300
Code commune 46194
Démographie
Population
municipale
193 hab. (2021 en augmentation de 2,66 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 47′ 57″ nord, 1° 20′ 54″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 200 m
Superficie 5,42 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Sarlat-la-Canéda
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gourdon
Législatives Première circonscription
Localisation
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Milhac
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Milhac

Milhac est une commune française, située dans le département du Lot en région Occitanie.

Géographie

Commune située dans la Bouriane sur la Melve.

Communes limitrophes

Milhac est limitrophe de sept autres communes, dont trois dans le département de la Dordogne. Milhac est limitrophe de deux d'entre elles par des quadripoints : Groléjac au nord-ouest et Sainte-Mondane au nord-est.

Carte de Milhac et des communes avoisinantes.

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[2]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Ce type de climat, Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[3].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[4]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[2]

  • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 9,1 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,4 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 925 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 11 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 6,8 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gourdon », sur la commune de Gourdon, mise en service en 1961[7]et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[8],[Note 2], où la température moyenne annuelle évolue de 12,4 °C pour la période 1971-2000[9], à 12,7 °C pour 1981-2010[10], puis à 13,1 °C pour 1991-2020[11].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12],[13].

La commune fait partie de la zone de transition du bassin de la Dordogne, un territoire d'une superficie de 1 880 258 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[14],[15].


Urbanisme

Typologie

Milhac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[16],[17],[18].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarlat-la-Canéda, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 47 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62,9 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (51,7 %), forêts (37 %), terres arables (6,7 %), prairies (4,5 %)[21].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

Le toponyme Milhac, d'origine gallo-romaine, est basé sur un anthroponyme Aemilius réduit à Milius. La terminaison -ac est issue du suffixe gaulois -acon (lui-même du celtique commun *-āko-), souvent latinisé en -acum dans les textes[22].

Ce territoire s'appelait Velanova avant de devenir une bastide, vella était une variante de villa[22].

Histoire

Milhac est un village historique oublié par l'Histoire, il était sur une route jadis importante entre Gourdon et la vallée de la Dordogne et vers le passage sur la rive droite de la rivière par le bac de Calviac ou par Grolejac, évitant ainsi les mauvais génies du marécage de la Germaine.

La construction des ponts de Grolejac et de Saint-Julien-de-Lampon, il y a bientôt un siècle, développèrent d'autres voies de communication. Le château de Villeneuve de Milhac fut construit après que « le château Vieux » fut rasé par une offensive anglaise au cours de la guerre de Cent Ans.

Le baron de la Bouriane décide au début du XVe siècle la construction d'une puissante forteresse dotée de dix tours, de quarante pièces sur trois niveaux en à pic sur la vallée de la Relinquière. En avant du château se tenait une cour vaste et carrée. De là, on pénétrait par un pont-levis dans une autre cour entourée d'un fossé qui avait 18 mètres de large et 6 mètres de profondeur. Ses murs avaient jusqu'à trois mètres d'épaisseur. Les portes étaient décorées de pilastres aux chapiteaux de style dorique et de nombreuses sculptures et peintures[23].

Il fut modifié aux XVIe et XVIIe siècles. Ce chef-lieu de commune appartenait au marquis de Thémines de la famille de Cardaillac. Le comte de Thémines en termina la construction à la fin du XVIIe siècle. Il fut démoli par les habitants du pays lors des débuts de la Révolution. Au XIXe siècle, il était en ruines[23].

Comme autour de tous les mythes féodaux et selon la légende, il y aurait des passages secrets vers les châteaux de Gourdon, de Rocanadel, Masclat et Fénelon.

La maison de Pierre de Jacques est construite comme un rempart de la place forte de cette bastide. Certaines maisons furent enjolivées à partir du démembrement et de l'incendie dont le château, comme beaucoup d'autres par ici firent les frais. La maison de Pierre de Jacques est ne nouveau modifiée autour d'anciennes tours épargnées et qui portent le nom de leur nouveau propriétaire.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1802 1821 Jean Chassaing    
1821 1835 Jean Baptiste Delcamp    
1835 1843 Hugues Étienne Vialle    
1844 1870 Pierre Courderie    
1870 1872 François Courderie    
1873 1878 Jean Baptiste Planchon    
1878 1884 Gabriel Bourdet    
1884 1886 Jean Baptiste Planchon    
1886 1900 Jean Montet    
         
1975 2001 Gilbert Vigié DVG  
2001
(réélu en mai 2020)
En cours Claude Vigié DVC  

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].

En 2021, la commune comptait 193 habitants[Note 5], en augmentation de 2,66 % par rapport à 2015 (Lot : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
329335939704774775831821826
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
820790759411424400410400380
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
361337313290280270260224164
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
156139151160183195195195185
2021 - - - - - - - -
193--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Lieux et monuments

  • Le château de Milhac est le monument le plus remarquable de la commune. Il est situé au bord d'une grande falaise. Milhac a appartenu à la famille de Gourdon. Guillaume de Gourdon, coseigneur de Gourdon, possédait la seigneurie de Salviac. Il avait eu deux filles. La première, Marie, s'était mariée avec le Limousin Aymeric de Malemort. Elle hérita de la seigneurie de Salviac. La seconde, Hélène de Gourdon, s'était mariée avec le Quercinois Gisbert de Thémines. Elle hérita de la baronnie de la Bouriane. La seigneurie passa alors dans la famille de Thémines, au XIIIe siècle. Cet héritage avait amputé du territoire donné aux cisterciens en 1242 pour construire l'abbaye Sainte-Marie de Gourdon, ou abbaye Nouvelle. Le château vieux protégeant Villeneuve, village neuf du XIIIe siècle, a été détruit par les Anglais pendant la guerre de Cent Ans. Guillaume de Thémines décida de la construction du château de Milhac après cette guerre, à la fin du XVe siècle. Le nom du château s'est imposé sur celui de Villeneuve. La nouvelle forteresse comprenait 10 tours et un logis de 40 pièces sur trois niveaux au sommet de la falaise dominant la vallée de la Relinquière. Devant le logis, une cour protégée par une enceinte entourée de fossés à laquelle on accédait par un pont-levis. Une autre cour, à l'avant du pont-levis était protégée par une enceinte. Malgré un incendie provoqué par la foudre en juin 2006, les anciennes tours sont restées intactes ; seule la partie reconstruite au XXe siècle a été détruite. Le château a été réhabilité et transformé en gîte[28],[29],[30],[31].
  • L'église paroissiale Notre-Dame domine la vallée. En 1523, le seigneur de Milhac, Louis de Thémines, donna le terrain pour construire l'église et le presbytère. La construction de l'église et son mobilier restaient à la charge des habitants. Elle est citée en 1540. En 1647, l'église présentait des fissurations importantes faisant craindre pour sa solidité. Elle est reconstruite grâce à l'aide de Catherine de Lauzières qui y fit placer ses armoiries. Il se peut que certaines parties de l'église du XVIe siècle aient été conservées. C'est probablement à la Révolution que ces armoiries sont martelées. L'église a été restaurée à la fin du XIXe siècle ou au début du XXe siècle. De nouvelles armoiries, celles de Pons de Lauzières-Thémines, ont été placées au-dessus du portail[32]. L'édifice est référencé dans la base Mérimée et à l'Inventaire général de la région Occitanie[33]. Plusieurs objets sont référencés dans la base Palissy[33].

Personnalités liées la commune

Voir aussi

Bibliographie

  • Christophe Loiseleur des Longchamps, Les fortifications médiévales dans le canton de Gourdon, Mémoire de Maîtrise. Université de Toulouse - Le Mirail, 1994.
  • Colette Chantraine, La Bouriane, p. 59-60, Les éditions du Laquet, Martel, 1996 (ISBN 2-910333-17-5)

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  4. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
  5. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  6. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  7. « Station météofrance Gourdon - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Milhac et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  10. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  11. « Station météorologique de Gourdon - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Les différents espaces protégés. », sur http://www.observatoire-biodiversite-centre.fr/ (consulté le )
  13. « Liste des espace protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
  14. « Réserve de biosphère du bassin de la Dordogne », sur mab-france.org (consulté le )
  15. « Bassin de la Dordogne - zone de transition - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  18. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  22. a et b Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 117.
  23. a et b Jacques-Antoine Delpon, Statistique du département du Lot, t. 1, Cahors, Bachelier, (réimpr. 1979), 554 p. (ISBN 2-902422-00-8), « Du Château de Milhac, canton de Gourdon », p. 473-476.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Château de Milhac : historique
  29. Château de France : château de Milhac
  30. Jean Lartigut, Entre deux courtines de châteaux. Une frontière entre Périgord et Quercy ..., dans Château et territoire : limites et mouvances, p. 56-57, Annales littéraires de l'université de Besançon, no 595, 1995 (ISBN 2-251-60595-9).
  31. Jacques-Antoine Delpon, Statistique du département du Lot, tome 1, p. 473-476, chez Bachelier, Paris, 1831 (lire en ligne)
  32. Patrimoines Midi-Pyrénées : église paroissiale Notre-Dame
  33. a et b « Église paroissiale Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )