Alizay

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Alizay
Alizay
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Eure
Arrondissement Les Andelys
Intercommunalité Communauté d'agglomération Seine-Eure
Maire
Mandat
Arnaud Levitre
2020-2026
Code postal 27460
Code commune 27008
Démographie
Gentilé Alizéens
Population
municipale
1 592 hab. (2021 en augmentation de 6,56 % par rapport à 2015)
Densité 185 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 19′ 18″ nord, 1° 10′ 36″ est
Altitude Min. 4 m
Max. 135 m
Superficie 8,62 km2
Unité urbaine Rouen
(banlieue)
Aire d'attraction Rouen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pont-de-l'Arche
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Alizay
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Alizay
Géolocalisation sur la carte : Eure
Voir sur la carte topographique de l'Eure
Alizay
Géolocalisation sur la carte : Normandie
Voir sur la carte administrative de Normandie
Alizay

Alizay est une commune française située dans le département de l'Eure, en région Normandie.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune se trouve entre la rive droite de la Seine et une forêt qui jouxte un plateau à vocation agricole. Elle occupe un territoire de 862 hectares, de forme rectangulaire.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est riveraine de la Seine.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La ligne de chemin de fer Paris-Rouen-Le Havre traverse la commune et dessert la gare d'Alizay.

Son territoire accueille des industries, dont la présence est facilitée par la proximité de la Seine dont Alizay est riveraine et de l'autoroute A13.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant aux plaines agricoles de l’Eure, avec une pluviométrie beaucoup plus faible que dans la plaine de Caen en raison du double effet d’abri provoqué par les collines du Bocage normand et par celles qui s’étendent sur un axe du Pays d'Auge au Perche[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 758 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Boos à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 847,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Alizay est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rouen, une agglomération inter-départementale regroupant 50 communes[12] et 467 575 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rouen, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 317 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Alizay comprend 580 foyers. La commune compte plus de 30 % de logements sociaux, dépassant ainsi la moyenne nationale (18 %). Elle construit des logements à loyer modéré, dans le respect du cadre de vie et de l'environnement ; la mixité sociale est importante.

L'éco village La Croix
L'écovillage La Croix.

La rue de l'Andelle est l'axe principal de la commune. On y trouve les bâtisses les plus anciennes d'Alizay.

La commune a connu un fort essor démographique à la fin du XXe siècle. Cela s'est traduit en 1954 par la construction des premiers lotissements (rue des Forières-de-Bas). Plus récemment, le quartier du village Andelle a été inauguré. En 2010, l'écoquartier La Croix, bâti selon les principes du label HQE, a vu le jour. Ce nouveau quartier est composé de deux bâtiments baptisés Angela Davis et Rosa Parks. Trente-trois appartements à la norme BBC réalisés par la Siloge sont situés à l'étage ; au rez-de-chaussée sont dorénavant regroupés les commerces de la commune.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (41,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (50,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37 %), forêts (24 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16,5 %), zones urbanisées (7 %), mines, décharges et chantiers (5,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,3 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3 %), eaux continentales[Note 3] (2,6 %), prairies (0,8 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Aliseio en 1180[18], Alisii en 1199[Note 4], vers 1200 Albéric III de Dammartin signe une charte dans laquelle on retrouve ce toponyme, Alisiaco en 1210[18], Alisiacus en 1223[Note 5].

Deux étymologies ont été proposées pour Alisia, de langue celtique. (Xavier Delamare ,dictionnaire de la langue gauloise ,p33). Alisia serait le nom de l'Alisier qu'on pourrait rattacher au nom (indo)européen du sorbier. Ou bien alisia signifierait également "la roche", et serait à mettre en rapport avec le vieil irlandais "rocher, escarpement". Le suffixe -(i)acum "domaine" confirme cette origine gauloise .

Histoire[modifier | modifier le code]

Les premières mentions d'Alizay remontent au XIIe siècle, lorsqu'une paroisse fut créée. Les terres des Rouville devinrent le fief le plus important de la paroisse. Aussi, à compter du XIVe siècle, le titre de seigneur d'Alizay est attesté, qui appartenait à la famille de Rouville. Cette puissante famille, acculée par les dettes, dut céder le fief à Gilles Hallé en 1684. La famille Hallé construisit ce qui est aujourd'hui le château de Rouville.
La Révolution amène avec elle une lutte entre l'autorité municipale et la paroisse. C'est dans ce contexte qu'un abbé, Gilbert Soury, exerça de 1764 à 1789 auprès des comtes de Rouville. Celui-ci est plus connu pour son remède « la jouvence de l'Abbé Soury ».

Durant le XIXe siècle, en proie à des difficultés financières, les municipalités successives durent se résoudre à vendre les biens communaux. Dans ce même temps se développa l'idée d'alphabétisation. Ainsi, en 1842, le presbytère devint une école.
Durant la deuxième moitié du XIXe siècle, la commune connut un exode rural que l'accroissement naturel de la population ne permit pas de compenser. Cependant, la création en 1896 d'une gare de chemin de fer eut pour conséquence le développement rapide de la commune.
Avant même la Première Guerre mondiale, l'électricité et le téléphone firent leur première apparition dans les foyers.
Les premières usines d'Alizay virent le jour à l'aube des Trente Glorieuses. Venu inaugurer le pont reliant Pont-de-l'Arche et Igoville, Pierre Mendès France se rendit ainsi en 1955 à la Société Industrielle de Cellulose d'Alizay[19] (devenue M-Real, puis Double A). Cette tradition industrielle se perpétue aujourd'hui.
La période récente a connu l'extension résidentielle d'Alizay, ce qui a entraîné une hausse de la population. Au cours des vingt dernières années du XXe siècle, de nombreux équipements ont été créés ou rénovés (gymnase, bibliothèque, salle de spectacle, salle des fêtes, le « Garage », mairie).

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Elle fait partie du canton de Pont-de-l'Arche et de la communauté d'agglomération Seine-Eure.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1862   Requier    
1880   Billard    
1898 après 1904 Gabriel de Cairon [20]   (comte)
1926   René de la Potterie   propriétaire du château de Rouville
1931 1937 Barnabé Frétigny    
1944 mai 1953 Barnabé Frétigny    
mai 1953 mars 1971 Fernand Mathias    
mars 1971 mars 1977 Raymond Lemaire    
mars 1977 1978 René Guigueno    
1978 mars 1983 André Guerre    
13 mars 1983 Novembre 2015 Gaëtan Levitre[21] PCF Chaudronnier
Conseiller général (1998-2015)
conseiller départemental (2015-2021)
2 novembre 2015 En cours Arnaud Levitre
(fils du précédent)[22]
PCF Assistant politique,

Conseiller départemental du Canton de Pont-de-l'Arche depuis 2021

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

En 2017, la commune a été labellisée « 3 fleurs » par le Conseil national de villes et villages fleuris de France[23].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 1 592 habitants[Note 6], en augmentation de 6,56 % par rapport à 2015 (Eure : −0,5 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
530482506526536570572654606
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
608600550553553540601583562
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
518520553559608642646684859
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
8028538658551 0901 2621 3491 3741 468
2018 2021 - - - - - - -
1 5731 592-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (35,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,2 % la même année, alors qu'il est de 25,5 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 776 hommes pour 797 femmes, soit un taux de 50,67 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,26 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,1 
90 ou +
0,6 
4,9 
75-89 ans
6,4 
12,2 
60-74 ans
16,1 
16,9 
45-59 ans
18,1 
22,7 
30-44 ans
23,5 
17,8 
15-29 ans
14,3 
25,4 
0-14 ans
21,1 
Pyramide des âges du département de l'Eure en 2020 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,6 
6,2 
75-89 ans
8,6 
17 
60-74 ans
17,8 
20,8 
45-59 ans
20,1 
18,8 
30-44 ans
18,8 
16,4 
15-29 ans
14,7 
20,2 
0-14 ans
18,6 

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Exposition verres contemporains
Exposition internationale de verres contemporains.
  • Fin avril à début mai, Alizay accueille une exposition internationale de verres contemporains biennale qui réunit de nombreux artistes verriers. Cette exposition, de grande qualité, attire de plus en plus d'amateurs.
  • Le 1er mai se tient la fête du sport.
  • Fête de la Pentecôte : durant le week-end de la Pentecôte, le comité des fêtes organise des concerts, des défilés de fanfares ainsi qu'une retraite aux flambeaux qui rassemblent plusieurs milliers de visiteurs.
  • En août, une foire à tout est organisée par l'association « Loisirs et culture ».
  • En septembre, un forum des sports est organisé.

Sports[modifier | modifier le code]

Le gymnase d'Alizay
Le gymnase d'Alizay.

Le sport constitue un axe important de la politique municipale, depuis 1983, date de création de l'Office municipal des sports. La commune encourage la pratique sportive grâce à des avantages comme la « carte famille » ou la réduction pour les demandeurs d'emploi, qui permettent de maintenir un coût modique pour les activités sportives.

L'Office municipal des sports regroupe onze sections (boxe, danse de salon, hip-hop, gymnastique, judo et ju-jitsu, karaté, musculation, yoga, fitness, badminton loisir et volley loisir). Ses activités sont pratiquées au sein du gymnase municipal, comprenant une salle avec gradins, un mur d'escalade, une salle de danse et d'arts martiaux ainsi qu’une salle de fitness et de musculation.

Six associations sportives proposent également de l'athlétisme (Club Alizay Athlétisme), du cyclisme (Association Cyclisme Alizay), de l'escalade (Club d'Escalade d'Alizay), du football (Union Sportive Pont de L'Arche Canton), du handball (Club de Pont-de-l’Arche/Romilly-sur-Andelle/Alizay Handball) et du tennis de table (Alizay Tennis de Table).

Économie[modifier | modifier le code]

Mreal
La papeterie Double A.

Près de 70 entreprises (1 millier d'emplois générés) sont installées sur cinq zones industrielles ou artisanales (Les Diguets, Les Sablons, Le Clos Pré, Les Gênetais et La Rangle).

  • Usine de cellulose et papeterie : Double A (ex-SICA, ex-Modo Papers, ex-M-real) emploie 330 salariés[30].
  • Usine de fabrication de produits d'hygiène et cosmétique : Azeo (ex-Alizol) : liquidée en .
  • Usine de fabrication d'épaississant industriel : Aqualon (ex-Hercules), groupe Ashland (en).
  • Usine de fabrication de produits d'isolation : Ouest Isol.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune d'Alizay compte un édifice inscrit au titre des monuments historiques :

  • L'église Saint-Germain (XIIe, XIVe, XVIe, XVIIIe et XIXe) Logo monument historique Inscrit MH (1926)[31]. L'édifice conserve certains vestiges du XIIe siècle dans le mur sud du chœur ainsi qu'une fenêtre du XIVe siècle sur le chevet. Le bras du transept, la tour clocher et les culots sculptés datent du XVIe siècle. Enfin, la nef a fait l'objet d'une réfection au XVIIIe siècle et la façade occidentale à la fin du XIXe siècle. L'inscription de l'église au titre des monuments historiques concerne uniquement le clocher.

Par ailleurs, deux autres édifices sont inscrits à l'inventaire général du patrimoine culturel :

  • une maison du XIXe siècle située rue de l'Andelle[32] ;
  • le château de Rouville (XVIIe, XVIIIe, et XIXe)[33]. Ce château de style classique appartient au groupe M-Real. Il est fermé au public.

Est également inscrit à cet inventaire un édifice aujourd'hui détruit :

  • un château fort probablement du XIe siècle[34].

Autres lieux :

  • l'ancienne habitation de la famille de la Motte Saint-Pierre a été acquise par la municipalité en 1979 et a été transformée en mairie ;
  • la rue principale (rue de l'Andelle) compte de nombreuses fermes et hôtels particuliers du XIXe siècle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

La Bibliothèque municipale
La Bibliothèque.
  • Le chancelier allemand Heinrich Brüning y a séjourné vers 1900[35].
  • Le compositeur Franck Langolff a vécu à Alizay. Sa maison a été transformée en un centre culturel. La maison Andrée-Chedid comprend une bibliothèque municipale, ainsi que des locaux du service culturel.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pierre François Lebeurier Notice historique sur la commune d'Alizay, Évreux, 1900
  • A. Doinel, Notice historique sur Alizay, Évreux, 1880.
  • Pierre Molkhou, Alizay, le souffle de l'histoire, Pierre Molkhou, , 24 p., broché
  • Emmanuelle Real, Le Paysage industriel de la Basse-Seine : Haute-Normandie, Rouen, Connaissance du patrimoine en Haute-Normandie, , 264 p., broché (ISBN 978-2-910316-33-4 et 2-910316-33-5).

Article connexe[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Cette forme latine se retrouve dans une charte de Robert de Meulan.
  5. Dans une charte de louis VIII.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Géoportail (IGN), couche « Communes » activée ».
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Alizay et Lieuvillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Rouen-Boos » (commune de Boos) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Rouen », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b Ernest Nègre - Toponymie générale de la France - Page 492 - (ISBN 2600028838).
  19. SECA sur BnF.
  20. Société libre d'agriculture, sciences, arts et belles-lettres de l'Eure - 1904 [1]
  21. Association des maires de France, consulté le 13 février 2014
  22. Paris-Normandie - nouveau maire d'Alizay [2]
  23. Site des villes et villages fleuris, consulté le 9 février 2018.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Alizay (27008) », (consulté le ).
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Eure (27) », (consulté le ).
  30. [3], Bastamag, publié le 17 octobre 2012
  31. « Église », notice no PA00099298, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. « Maison », notice no IA00017933, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  33. « Château », notice no IA00017934, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. « Château fort », notice no IA00017935, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Daniel de Bergevin, « Pendant plusieurs années, le chancelier Brüning a passé ses vacances aux environs d'Elbeuf et de Louviers », Le Journal de Rouen,‎ , p. 3.