Trémolat
Trémolat | |||||
Le village de Trémolat. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Dordogne | ||||
Arrondissement | Bergerac | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord | ||||
Maire Mandat |
Éric Chassagne 2020-2026 |
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Code postal | 24510 | ||||
Code commune | 24558 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
626 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 45 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 52′ 33″ nord, 0° 49′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 41 m Max. 186 m |
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Superficie | 14,03 km2 | ||||
Unité urbaine | Commune rurale | ||||
Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Périgord central | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Dordogne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Trémolat est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.
Géographie
Généralités
Au sud du département de la Dordogne, en Périgord noir, la commune de Trémolat est entièrement située en rive droite de la Dordogne qui limite la commune sur environ six kilomètres. Le large méandre constitué par la Dordogne à cet endroit porte le nom de « cingle de Trémolat ». Le barrage de Mauzac implanté en aval, entre Calès et Mauzac-et-Grand-Castang, y forme une retenue d'eau calme, propice aux sports nautiques.
L'altitude minimale, 41 mètres, se trouve au nord-ouest, là où la Dordogne quitte la commune pour servir de limite entre celles de Calès et Mauzac-et-Grand-Castang. L'altitude maximale avec 186 mètres est également localisée au nord-ouest, en limite de la commune de Pezuls, au nord du lieu-dit le Monteil.
Le village de Trémolat se situe, en distances orthodromiques, sept kilomètres au nord-ouest du Buisson-de-Cadouin et huit kilomètres au nord-est de la bastide de Lalinde. Il est établi à l'intersection des routes départementales 30 et 31.
La commune est également desservie par la ligne ferroviaire de Libourne au Buisson en gare de Trémolat.
Le chemin de grande randonnée GR 6 traverse le territoire communal au nord.
La commune est rattachée administrativement au canton de Sainte-Alvère dans l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda.
Communes limitrophes
Trémolat est limitrophe de six autres communes.
Climat
Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[1]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[2].
Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.
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Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[5] complétée par des études régionales[6] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Belves », sur la commune de Pays de Belvès, mise en service en 1988[7] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[8],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 12,9 °C et la hauteur de précipitations de 895,6 mm pour la période 1981-2010[9]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988 et à 28 km[10], la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].
Milieux naturels et biodiversité
Liées à la Dordogne, plusieurs zones naturelles du territoire communal sont protégées.
Natura 2000
Deux zones Natura 2000 sont délimitées sur le territoire de Trémolat :
- la Dordogne est un site limité aux départements de la Dordogne et de la Gironde, et qui concerne les 104 communes riveraines de la Dordogne, dont Trémolat[14],[15]. Seize espèces animales et une espèce végétale inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[16] ;
- la zone Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne[17],[18], qui s'étend au total sur 3 686 hectares, est partagée avec vingt-quatre autres communes. Deux espèces de chauves-souris inscrites à l'annexe II de la directive 92/43/CEE de l'Union européenne y ont été répertoriées[17] : le Grand rhinolophe (Rhinolophus ferrumequinum) et le Petit rhinolophe (Rhinolophus hipposideros). Sur la commune, elle s'étend sur près d'un kilomètre carré en deux sites, bordant la Dordogne en rive droite.
ZNIEFF
Trémolat fait partie des 102 communes concernées par la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type II « La Dordogne »[19],[20], dans laquelle ont été répertoriées huit espèces animales déterminantes et cinquante-sept espèces végétales déterminantes, ainsi que quarante-trois autres espèces animales et trente-neuf autres espèces végétales[21].
La commune présente deux ZNIEFF de type I :
- appelé « cingle de Trémolat », le large méandre qu'effectue la Dordogne présente en rive droite une paroi calcaire ensoleillée d'une centaine de mètres de hauteur où nichent des milans noirs et où peut s'épanouir une flore de type méditerranéen[22],[23].
- à l'est et au sud-est de la commune, le « cingle de Limeuil », un autre méandre de la Dordogne présente, toujours en rive droite, un coteau calcaire ensoleillé pouvant atteindre 80 mètres de haut où peut s'épanouir une flore de type méditerranéen[24],[25].
Protection du biotope
Comme l'ensemble des communes du département de la Dordogne baignées par la Dordogne, Trémolat est soumis à un arrêté préfectoral de protection de biotope de 1991 destiné à favoriser la migration et le frai de plusieurs espèces de poissons[26].
Sites remarquables
La Dordogne et ses « cingles » (méandres) présentent trois sites naturels protégés, aussi bien terrestres qu'aquatiques, en partie sur le territoire de Trémolat.
Le cingle de Trémolat offre deux zones qui se recouvrent en partie :
- un site inscrit depuis 1965[27], depuis la limite communale avec Mauzac-et-Grand-Castang jusqu'au pont ferroviaire de la ligne de Libourne au Buisson, limité au nord par les lieux-dits Cazal et Rocamadou et à l'est par la Cabane, le bourg de Trémolat et la Placelle[28].
- plus récemment, un site classé en 1985[29],[30], plus restreint, s'étend depuis la limite communale avec Mauzac-et-Grand-Castang jusqu'au pont de la route départementale 31.
Le cingle de Limeuil quant à lui est un site classé depuis 1985[31],[32], depuis les Bretoux et Viaunet, en limite de la commune de Limeuil, jusqu'au Rocq, en passant par les Flaments.
Urbanisme
Typologie
Trémolat est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[33],[34],[35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36],[37].
Occupation des sols
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (62,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,9 %), forêts (29,9 %), terres arables (17,9 %), eaux continentales[Note 6] (6 %), prairies (5,8 %), zones urbanisées (2,4 %), cultures permanentes (2 %)[38].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Prévention des risques
À l'intérieur du département de la Dordogne, un plan de prévention du risque inondation (PPRI) a été approuvé en 2008 pour la Dordogne centre concernant donc la zone basse du territoire de Trémolat[39],[40].
Toponymie
En occitan, la commune porte le nom de Tremolat[41].
Histoire
Préhistoire
La grotte de Lestruque est signalée par Peyrony. D'après Peyrony (1949[42]) puis plus tard Denise de Sonneville-Bordes (1960[43]), elle a fourni des industries du Solutréen, Magdalénien supérieur. Peyrony mentionne également de l'Azilien[44].
G.[44] ou Louis[45] Peyrille aurait effectué une fouille dans ce gisement. Michel Lenoir fait une étude typologique et statistique du matériel de la grotte ramassé en surface[44].
Moyen-Âge
Trémolat serait la patrie de saint Cybard (Eparchius), né au VIe siècle[46], ermite qui vivait dans une grotte au-dessus de la Charente. De ce refuge désert, naît le monastère de Saint-Cybard d'Angoulême. Au IXe siècle, les moines de ce monastère viennent fonder une dépendance à Trémolat. L'église actuelle de Trémolat, fortifiée, date du XIIe siècle. Elle a remplacé des édifices plus anciens détruits lors des invasions normandes.[réf. nécessaire]
Politique et administration
Rattachements administratifs
La commune de Trémolat a, dès 1790, été rattachée au canton de Limeuil qui dépendait du district de Belvès jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Saint-Alvère (devenu canton de Sainte-Alvère en 1972), dépendant de l'arrondissement de Bergerac[47].
Intercommunalité
Fin 2001, Trémolat intègre dès sa création la communauté de communes du Terroir de la truffe. Celle-ci est dissoute au et remplacée au par la communauté de communes du Pays vernois et du terroir de la truffe.
Au , Trémolat quitte la communauté de communes du Pays vernois et du terroir de la truffe — qui est dissoute le même jour — pour rejoindre la communauté de communes des Bastides Dordogne-Périgord[48].
Administration municipale
La population de la commune étant comprise entre 500 et 1 499 habitants au recensement de 2017, quinze conseillers municipaux ont été élus en 2020[49],[50].
Liste des maires
Juridictions
Dans le domaine judiciaire, Trémolat relève[52] :
- du tribunal judiciaire, du tribunal pour enfants, du conseil de prud'hommes, du tribunal de commerce et du tribunal paritaire des baux ruraux de Bergerac ;
- de la cour d'appel de Bordeaux.
Démographie
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[54].
En 2021, la commune comptait 626 habitants[Note 7], en évolution de −1,73 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
Emploi
En 2015[56], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 235 personnes, soit 36,9 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (34) a augmenté par rapport à 2010 (31) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 14,5 %.
Établissements
Au , la commune compte soixante-sept établissements[57], dont trente-sept au niveau des commerces, transports ou services, onze dans la construction, sept dans l'industrie, six relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, et six dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche[58].
Entreprises
Dans le secteur des services, parmi les entreprises dont le siège social est en Dordogne, « Le Vieux Logis » (restauration traditionnelle) implanté à Trémolat se classe en 39e position quant au chiffre d'affaires hors taxes en 2015-2016, avec 3 460 k€[59].
Culture locale et patrimoine
Lieux et monuments
Le cingle de Trémolat, est l'une des particularités du village. La route suit la falaise et offre aux visiteurs une vue saisissante sur la vallée et la boucle que forme la Dordogne.
La commune dispose d'un bassin nautique et attire chaque été de nombreux visiteurs venus essentiellement des Pays-Bas, d'Angleterre et d'Allemagne.
Elle possède également deux églises du XIIe siècle : l'église Saint-Hilaire, inscrite au titre des monuments historiques en 2010[60] et l'église Saint-Nicolas, classée au titre des monuments historiques depuis 1913[61],[62].
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Le plan d'eau à la base nautique. -
L'église Saint-Hilaire. -
L'église Saint-Nicolas. -
La partie au-dessus du portail de l'église Saint-Nicolas.
Personnalités liées à la commune
- Saint Cybard, ermite du VIe siècle.
- Pierre Morand du Puch aîné (1739-1819), général des armées de la République, est né et mort à Trémolat.
- Claude Chabrol, réalisateur de cinéma a tourné son film Le Boucher en 1970 à Trémolat.
Héraldique
Blason | D'azur au croissant d'or ; au chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d'or. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
Bibliographie
- * François Deshoulières, « Trémolat », dans Congrès archéologique de France. 90e session. Périgueux. 1927, Société française d'archéologie, Paris, 1928, p. 135-142 (lire en ligne)
- P. Fénelon, « Le terrier de Trémolat en Périgord en 1470 », dans Bulletin de la Société historique et archéologique du Périgord, 1960, tome 87, 3e livraison, p. 167-176 (lire en ligne)
Articles connexes
- Gare de Trémolat
- Dordogne (département)
- Périgord
- Liste des communes de la Dordogne
- Sentier de grande randonnée GR 6
- Pays des bastides et cités médiévales
Liens externes
- Trémolat sur le site de l'Institut géographique national (archive)
- Étymologie du nom Trémolat
- Site de l'Office de tourisme de Trémolat
Notes et références
Notes et cartes
- Notes
- Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[3].
- L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
- Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[4].
- La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
- 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
- Glossaire – Précipitation, Météo-France
- « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
- [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
- « Station Météo-France Belves - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Trémolat et Pays de Belvès », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France Belves - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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- Carte du site « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
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- [PDF] FR7200664 - Coteaux calcaires de la vallée de la Dordogne, INPN, SPN-MNHN, Paris, consulté le .
- Carte du site FR7200664, INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
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- Carte de la ZNIEFF « la Dordogne », INPN, consulté le . Afin de visualiser correctement la zone par rapport aux communes, cliquer en haut à droite sur la fenêtre « Couches disponibles », barrer d'abord la couche « Orthophotos » avant de cliquer sur « Fonds de cartes », puis sur la couche « Fonds Cartographique IGN ».
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- [Peyrony] Denis Peyrony, Le Périgord préhistorique, Périgueux, Publication de la Société historique et archéologique du Périgord, , 92 p.. Cité dans Lenoir 1970, p. 71.
- [Sonneville-Bordes 1960] Denise de Sonneville-Bordes, Le Paléolithique supérieur en Périgord, Bordeaux, Delmas, , 558 p.. Cité dans Lenoir 1970, p. 71.
- [Lenoir 1970] Michel Lenoir, « Le Paléolithique supérieur en surface devant la grotte de Lestruque, commune de Soulalève (Dordogne) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 67, no 3, , p. 71-78 (lire en ligne [sur persee]), p. 71.
- [Kelley 1960] Harper Kelley, « Les grandes pièces arquées du Magdalénien », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 57, nos 9-10, , p. 592-606 (lire en ligne [sur persee]), p. 592.
- Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 382.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- [PDF] « Arrêté no PREF/DDL/2016/0181 portant extension du périmètre de la communauté de communes Bastides Dordogne Périgord à la commune de Trémolat », Préfecture de la Dordogne, 15 septembre 2016, p. 275-279.
- Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 16 septembre 2020.
- Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 26 novembre 2020.
- Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 23.
- « Annuaire des juridictions d'une commune », sur le site du ministère de la Justice (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Dossier complet - Commune de Trémolat (24558) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
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- Dossier complet - Commune de Trémolat (24558) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 5 février 2019.
- « Services », Sud Ouest éco & entreprises édition Dordogne, novembre 2017, p. 39.
- « Ancienne église Saint-Hilaire », notice no PA00083029, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 8 décembre 2011.
- « Église Saint-Nicolas », notice no PA00083030, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 8 décembre 2011.
- Pierre Dubourg-Noves, Saint-Nicolas de Trémolat, pp. 112-129, dans Congrès archéologique de France. 137e session. Périgord Noir. 1979, Société Française d'Archéologie, Paris, 1982