Saint-Jean-de-Thouars

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Saint-Jean-de-Thouars
Saint-Jean-de-Thouars
L'église de Saint-Jean-de-Thouars.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Bressuire
Intercommunalité Communauté de communes du Thouarsais
Maire
Mandat
Frédéric Richard
2022-2026
Code postal 79100
Code commune 79259
Démographie
Gentilé Saint-Jeantais
Population
municipale
1 339 hab. (2021 en diminution de 0,22 % par rapport à 2015)
Densité 270 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 57′ 54″ nord, 0° 12′ 38″ ouest
Altitude Min. 48 m
Max. 111 m
Superficie 4,96 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Thouars
(banlieue)
Aire d'attraction Thouars
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Thouars
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Saint-Jean-de-Thouars

Saint-Jean-de-Thouars est une commune du Centre-Ouest de la France située dans le département des Deux-Sèvres en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Saint-Jeantais.

Géographie[modifier | modifier le code]

Saint-Jean-de-Thouars est localisée au nord du département des Deux-Sèvres. C'est une commune résidentielle baignée par la rivière le Thouet qui la sépare de Thouars.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Saint-Jacques-de-Thouars Thouars Rose des vents
N Missé
O    Saint-Jean de Thouars    E
S
Mauzé-Thouarsais Luzay

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 676 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Thouars à 1,23 km à vol d'oiseau[4], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 575,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Jean-de-Thouars est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Thouars, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[11] et 17 181 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Thouars, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (78,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (41,6 %), zones agricoles hétérogènes (24 %), zones urbanisées (23,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,2 %), prairies (4 %), forêts (1,6 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Saint-Jean-de-Thouars est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Thouet. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1995, 1999, 2001 et 2010[19],[17]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « Vallée du Thouet », approuvé le , dont le périmètre regroupe 22 communes[20].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Jean-de-Thouars.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de terrains, notamment des tassements différentiels[21]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[22]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[23].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1996, 2003, 2004, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[17].

Risque technologique[modifier | modifier le code]

La commune est en outre située en aval du barrage du Puy Terrier, un ouvrage de classe A[Note 4] mis en service en 1982 sur le territoire des communes de Saint-Loup-Lamairé, Louin et Gourgé, sur le cours d’eau le Cébron, affluent du Thouet. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[25].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Jean-de-Thouars est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[26].

Histoire[modifier | modifier le code]

Possiblement fondée au IXe siècle[27], l'abbaye de Saint-Jean de Bonneval-lès-Thouars a bénéficié d'importants domaines accordés par le roi Lothaire en 973[28]. C'est tout naturellement autour de cette abbaye que le bourg de la commune s'est développé.

Sur la carte de Cassini, représentant la France entre 1756 et 1789, le village est identifié sous le nom de Saint-Jean-de-Bonneval.

Du latin Bonæ vallis[29], le nom « de Bonneval » vient du fait que l'abbaye était située en haut d'une vallée fertile arrosée par un ruisseau[27] ; la commune a été rebaptisée Saint-Jean-de-Thouars en 1910.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Les différents maires qui se sont succédé à Saint-Jean-de-Bonneval puis à Saint-Jean-de-Thouars sont les suivants[30] :

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? 20 brumaire de l'an III Ambroise Joubert -  
12 frimaire de l'an III 11 brumaire de l'an IV Pierre Gorry -  
21 frimaire de l'an IV 2 floréal de l'an V Jacques Raineau -  
12 prairial de l'an V 3 germinal de l'an VII Jean Blatteau -  
17 floréal de l'an VII 3 prairial de l'an VIII Guillaume Bertault -  
11 prairial de l'an VIII 27 octobre 1829 Jérôme Genty -  
27 octobre 1829 31 décembre 1853 Pierre Rouger -  
27 février 1854 21 septembre 1865 Auguste Cotilleau -  
24 novembre 1865 18 avril 1871 Maxime Gallot -  
14 mai 1871 9 mars 1874 Louis Hacault -  
11 mars 1874 14 septembre 1876 Henri Deboeuf - Cultivateur
8 octobre 1876 31 décembre 1877 Louis Hacault -  
21 janvier 1878 13 mai 1884 Pierre Grolleau -  
18 mai 1884 14 mai 1889 Henri Deboeuf -  
15 septembre 1889 12 février 1910 Auguste Marcheteau -  
10 mars 1910 13 mai 1912 Baptiste Foucher -  
15 mai 1912 15 mai 1920 René Berthonneau -  
16 mai 1920 15 septembre 1937 Paul Gallot -  
16 septembre 1937 28 octobre 1944 Léon Jussiaume -  
29 octobre 1944 6 mai 1953 Abel Clochard -  
7 mai 1953 26 mars 1977 Abel Bremand -  
27 mars 1977 mars 2001 Jean Bernis - Professeur
mars 2001 18 février 2022 André Beville PS Directeur d'école
8 mai 2022 En cours Frédéric Richard   Cadre du fabricant de peinture en poudre Inver France

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune de Saint-Jean-de-Thouars fait partie de la communauté de communes du Thouarsais et du syndicat du Pays Thouarsais.

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[31].

Économie[modifier | modifier le code]

La zone d'activités économiques Saint-Jean-Missé est l'une des 19 ZAE implantées sur le territoire de la communauté de communes du Thouarsais[32]. Elle s'étend sur 222 849 m². Parmi la cinquantaine d'entreprises ou de professionnels installés sur le territoire de la commune, plus d'une trentaine sont présents au sein de cette ZAE[33].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 1 339 habitants[Note 5], en diminution de 0,22 % par rapport à 2015 (Deux-Sèvres : +0,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
328269325311306324383366345
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
337380435444428517555544545
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
519547543512583660626613699
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
6506061 0821 2571 3681 3171 3641 3361 353
2021 - - - - - - - -
1 339--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'instruction a commencé à être donnée dans la commune dès 1828[38]. En 2007, la municipalité a inauguré un nouveau groupe scolaire, l'école primaire Bonneval, doté d'un restaurant scolaire[39].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

À chaque fin du mois d'août, se déroule la traditionnelle Fête des battages à l'ancienne mise en place en 2002. Plusieurs animations ponctuent cette fête : vide-greniers, marché des producteurs locaux, manèges, expositions de maquettes, tombola, etc.[40].

Sports[modifier | modifier le code]

La commune dispose de plusieurs installations sportives : terrain de football, halle des sports, courts de tennis, terrain de beach volley et mur d'escalade. Six clubs sportifs sont recensés sur la commune : le Football-Club Saint-Jean-Missé, le Basket-Ball Saint-Jeantais, le Tennis club Saint-Jeantais, le Volley Loisirs Saint-Jeantais, la Gymnastique volontaire et l'Association Saint-Jeantaise de patinage de loisirs.

À noter que le F.C. Saint-Jean-Missé est le club de football des communes de Saint-Jean-de-Thouars et de Missé. En 2019, ce club comprend 70 licenciés seniors répartis en 3 équipes (une en 3e division et deux en 5e division)[41].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Hugues Imbert, Histoire de Thouars, Niort, L. Clouzot, , 415 p. (lire en ligne), pages 377 à 383 Document utilisé pour la rédaction de l’article : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Jean-de-Thouars et Thouars », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Thouars-Stna » (commune de Thouars) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Thouars-Stna » (commune de Thouars) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Thouars », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Thouars », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Jean-de-Thouars », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. « PPRI Vallée du Thouet », sur le site de la préfecture des Deux-Sèvres (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  24. Article R214-112 du code de l’environnement
  25. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  26. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  27. a et b Pierre-Victor-Jean Berthre de Bourniseaux, Histoire de la ville de Thouars : depuis l'an 759 jusqu'en 1815, Niort, A.-P. Morisset, , 318 p. (lire en ligne), pages 89 à 94.
  28. Selon une charte du roi Lothaire datée du 17 juin 973 à Poitiers.
  29. Henri Beauchet-Filleau, Pouillé du diocèse de Poitiers, L. Clouzot (Niort) et H. Oudin (Poitiers), (lire en ligne), page 180.
  30. « Liste des maires », sur stjeandethouars.free.fr (consulté le ).
  31. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  32. « Zones d'activités économiques du Thouarsais », sur thouars-communaute.fr (consulté le ).
  33. « Espace économique de la commune de Saint-Jean-de-Thouars », sur stjeandethouars.free.fr (consulté le ).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Victor Chudreau, « Monographie des écoles pour la commune de Saint-Jean-de-Thouars », sur archives-deux-sevres-vienne.fr, (consulté le ).
  39. « Inauguration de l'Ecole primaire de Bonneval », sur stjeandethouars.free.fr, (consulté le ).
  40. « La Fête des battages, 18e édition », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  41. « Le FC Saint-Jean-Missé veut mieux faire », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. Alain Choubard, « Les monuments aux morts - Saint-Jean-de-Thouars », sur monumentsmorts.univ-lille.fr, (consulté le ).
  43. Georges Germond, Inventaire des mégalithes de la France : 6 - Deux-Sèvres, Paris, CNRS Éditions, , 290 p. (ISBN 2-222-02469-2, lire en ligne), p. 130
  44. Dominique Hérault, « A Thouars, la pleine nature à portée du centre-ville », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le )
  45. Hugues Imbert, Histoire de Thouars, Niort, L. Clouzot, , 415 p., p. 382 et 383
  46. *HHugues Imbert, Histoire de Thouars, Niort, L. Clouzot, , 415 p. (lire en ligne), page 382.
  47. Christian Bonnin, « Rugby : L'US THouars applaudit à la réussite de Thomas Lavault », La Nouvelle République du Centre-Ouest,‎ (lire en ligne, consulté le ).