Pouilly-sur-Loire

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pouilly-sur-Loire
Pouilly-sur-Loire
Le village vu depuis la rive gauche de la Loire.
Blason de Pouilly-sur-Loire
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Nièvre
Arrondissement Cosne-Cours-sur-Loire
Intercommunalité Communauté de communes Cœur de Loire
Maire
Mandat
Pascal Knopp
2020-2026
Code postal 58150
Code commune 58215
Démographie
Population
municipale
1 607 hab. (2021 en diminution de 4,29 % par rapport à 2015)
Densité 79 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 17′ 01″ nord, 2° 57′ 30″ est
Altitude Min. 143 m
Max. 244 m
Superficie 20,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Cosne-Cours-sur-Loire
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pouilly-sur-Loire
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Pouilly-sur-Loire
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Pouilly-sur-Loire
Géolocalisation sur la carte : Nièvre
Voir sur la carte topographique de la Nièvre
Pouilly-sur-Loire
Géolocalisation sur la carte : Bourgogne-Franche-Comté
Voir sur la carte administrative de Bourgogne-Franche-Comté
Pouilly-sur-Loire

Pouilly-sur-Loire est une commune française, située dans le département de la Nièvre en région Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune de Pouilly est située en Bourgogne-Franche-Comté. Sa superficie est de 2 028 hectares ; son altitude varie entre 143 et 244 mètres[1].

La commune est implantée au nord-ouest de la Nièvre, à 40 km au nord de Nevers (par la route), à 18 km à l’ouest de Donzy et à 12 km au sud de Cosne-Cours-sur-Loire, son chef-lieu d'arrondissement.

La voie de communication principale qui permet d'y accéder est la A77.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune se situe sur la rive droite de la Loire, à égale distance de l'embouchure et de la source du fleuve[2]. Le Mazou parcourt la commune.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 759 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Etrechy », sur la commune d'Étréchy à 22 km à vol d'oiseau[5], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 794,9 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15 °C, atteinte le [Note 1],[6],[7].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[8]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Pouilly-sur-Loire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cosne-Cours-sur-Loire, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (33,5 %), forêts (24,7 %), cultures permanentes (21,2 %), zones urbanisées (9,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,1 %), eaux continentales[Note 4] (3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (2,6 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la commune proviendrait du nom d’homme latin Paulius, auquel se serait ajouté le suffixe acum[16].

La première mention connue de Pouilly remonte au Ve siècle : Pauliacum super fluvium Ligerim. On relève également les formes Pauliacus vers 680, Villa de Poliaco en 1184 et Poilly en 1507[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1848 Jean Charles Garilland   notaire
avant 1876 1880 Henry Désiré Pilleboue    
1880 1881 Simon Polycarpe Ballery    
1881 1896 François Joseph Basset    
1896 1903 Louis Eugène Gautier    
1903 après 1906 Henri Chabanne    
Les données manquantes sont à compléter.
1989 2020 Jean-Jacques Lété LR Masseur-kinésithérapeute
2020 En cours Pascal Knopp    

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[18]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[19].

En 2021, la commune comptait 1 607 habitants[Note 5], en diminution de 4,29 % par rapport à 2015 (Nièvre : −4,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 3352 3042 5682 5513 0713 2023 1693 2513 169
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 1683 5503 3303 2383 1392 9863 1003 0002 840
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5992 5962 4342 1182 0121 9321 9581 9051 880
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 8041 8501 7901 7231 7081 7181 7461 7671 742
2014 2019 2021 - - - - - -
1 6971 6061 607------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Viticulture[modifier | modifier le code]

C'est dans ce milieu naturel façonné par la Loire qu'ont été implantées les premières vignes, probablement au VIIIe siècle.

Pouilly-sur-Loire, bien que faisant partie administrativement de la région Bourgogne, est une commune viticole classée dans le vignoble du Val de Loire et rattachée aux vignobles du Centre. Elle est située sur les aires géographiques de l'AOC pouilly-sur-loire et de l'AOC pouilly-fumé[22].

La confrérie de Saint-Vincent a été créée par l'évêque d'Auxerre André Colbert le . Elle fête Saint Vincent chaque année à la fin du mois de Janvier. La confrérie des Baillis de Pouilly-sur-Loire a été créée en 1949 pour associer les amateurs de l'appellation.

Entreprises[modifier | modifier le code]

Commerce et artisanat[modifier | modifier le code]

Vie locale[modifier | modifier le code]

Éducation[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Équipements[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Associations[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoie[modifier | modifier le code]

Carte postale du château du Nozet vers 1920.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • La voie carrossable

Proche de la Loire, une voie, identifiable à son chemin pavé, descend droit sur Pouilly au cœur du vignoble et traverse la cité. C'est l'ancienne route royale de Paris à Lyon.

  • Les murs de la ville

Au Moyen Âge, Pouilly possédait une enceinte de forme rectangulaire, à l'intérieur de laquelle s'est développé le bourg. De forme rectangulaire, l'enceinte était marquée à ses angles nord-est et sud-est par des tourelles et défendue par le château seigneurial. Le bourg de Pouilly garde d'ailleurs le souvenir de l'organisation logique et orthogonale des rues. Le clos des Chaumiennes est le seul clos qui subsiste.

  • Le clos des Chaumiennes

Le clos indique une propriété vigneronne entourée de murs, par opposition à un climat, qui est un champ ouvert.

  • Le vignoble de Pouilly est, en effet, un vignoble ouvert : les vignes n'y sont pas closes, chaque propriétaire disposant de plusieurs parcelles dans des « climats » différents. Sauf à l'intérieur de la ville, où sur le coteau dominant la Loire, se suivaient plusieurs clos.
  • Le Vieux Château

Près de l’église, au bout d’une petite rue longue et étroite montant depuis les bords de Loire jusqu'au centre-ville, se trouve un castel construit en 1651, selon les uns, au début du XVIIe siècle selon les autres. On l’appelle le Vieux Château. Il se situe à l’emplacement de l'ancienne forteresse médiévale qui faisait partie des défenses de la ville sur la Loire. L'origine du château primitif remonterait à l'époque carolingienne. À la fin du XIe siècle, il constitue la propriété des Bénédictins de La Charité-sur-Loire, devenus seigneurs temporels de Pouilly par suite du don que leur a fait Humbault le Blanc avant de partir en croisade. Le château a beaucoup souffert de la guerre de Cent Ans et des luttes opposant catholiques et protestants. Ruiné et rebâti à plusieurs reprises, il est réédifié une dernière fois en 1651. En 1750, il appartient aux seigneurs d’Arbourse, qui le vendent au fermier de la châtellenie de Pouilly pour la somme de 11 500 livres[23]. À la Révolution, le château devient un bien national. Il est acquis, au début du XIXe siècle par la famille Lafond, qui a pris possession quelques années auparavant du château du Nozet. Dans les années 1870, il abrite une école dirigée par les frères de la Doctrine chrétienne[24].

  • L'hôtel-Dieu

Hôtel-Dieu édifié pendant la campagne de maintien de l'ordre de Louis XIV visant à enfermer les pauvres, nécessiteux et désœuvrés afin de les faire travailler, par décision de l'évêque d'Auxerre André Colbert, et financé par son cousin le prieur de La Charité, seigneur de Pouilly, archevêque de Rouen Jacques-Nicolas Colbert, fils du ministre. Taques de cheminée aux armes des Colbert. 1713 est la date inscrite au-dessus de la porte d'entrée. En 1735, l'hôtel-Dieu est transformé en collège, puis vendu comme bien national en 1792 à un marchand de fer. Son origine est alors peu à peu oubliée. Dominant la Loire, cette construction strictement cubique (12 × 12 × 12 m), coiffée d'un toit pyramidal à la Mansart, est orientée selon le lever du soleil au solstice d'été et selon le coucher du soleil au solstice d'hiver ; sa disposition intérieure est délimitée par une croix latine. Les salles hospitalières sont situées en rez-de-jardin, l'appartement de l'évêque est à l'étage en rez-de-chaussée. Deux balcons ornent les façades, dont la ferronnerie porte le C des Colbert. Cet édifice a retrouvé sa fonction hospitalière en l'an 2000 en abritant un cabinet d'ostéopathie. Sources : Archives départementales de l'Yonne

Blason des Colbert.
  • L'église Saint-Pierre

Consacrée en 1120, l'église Saint-Pierre est reconstruite au début du XIIIe siècle. Puis, comme le château voisin, elle est endommagée pendant les guerres de Religion et rebâtie à plusieurs reprises. L'église est en grande partie reconstruite à la fin du XIXe siècle et inaugurée en 1889. Il demeure toutefois quelques éléments des édifices précédents, comme la tour-clocher datant de la première moitié du XVIe siècle (inscrite aux monuments historiques en 1971).

L’église Saint-Pierre.
  • La chapelle de Lorette

Construite hors les murs de la ville, la chapelle Notre-Dame-de-Lorette a progressivement été entourée par les sépultures du cimetière, et ce depuis 1750. Ce bâtiment, rare édifice de ce genre dans la Nièvre, est remarquable par sa façade de style Louis XIII. Le portail classique en plein cintre est logé entre deux pilastres supportant un fronton triangulaire sur lequel on lit : « Si l'amour de Marie en ton cœur est gravé en passant ne t'oublie de luy dire un Ave ».

  • Les quais et le pont de Loire

Pour faciliter le commerce du vin avant l'arrivée du train, les habitants de Pouilly ont entrepris des travaux dans le lit de la Loire pour empêcher qu'elle ne s'éloigne trop des murs de la ville. Ainsi, le XIXe siècle est marqué par la réalisation d'un port avec quais maçonnés et gare d'eau. Puis, à partir de 1899, la construction du pont métallique fut entreprise. Il fut détruit pendant la Seconde Guerre mondiale et reconstruit en 1946.

  • Le village des Loges

Le hameau des Loges possède encore quelques maisons vigneronnes datant du XIXe siècle. Elles sont reconnaissables par la présence d'un escalier enjambant la cave et permettant d'accéder au rez-de-chaussée. Dans cette région viticole, une grande importance était en effet accordée à la cave : celle-ci était bâtie en premier, et l'habitat surélevé en fonction des contraintes de cette dernière. Ainsi, la cave semi-enterrée permettait une bonne conservation du vin.

  • Les Plaques Rouges - Message dans l'Univers

Des plaques rouges parsemées dans le village et les alentours témoignent de la volonté d'anonymes, poussés à créer par l'artiste Arsèn Éca. Chaque plaque est gravée d'un message créé par une personne. Celui-ci est diffusé dans l'Univers par onde radio. La Plaque Rouge marque le point d'émission.

  • Le pavillon et les sentiers du Milieu de Loire

Le Pavillon du Milieu de Loire est situé à Pouilly-sur-Loire (58). C'est un centre d'interprétation offrant les clés pour mieux comprendre cette mosaïque de milieux naturels recelant une faune et une flore diversifiée, et les particularités du vignoble de Pouilly. Pour s'y rendre, rien de plus simple ! une fois arrivé(e) à Pouilly-sur-Loire, suivre les panneaux « Pavillon du Milieu de Loire ».

Au départ de Pouilly-sur-Loire, trois sentiers de petite randonnée vous permettent de découvrir les paysages des bords de Loire :

  • le sentier de l'Île vous conduit au cœur de la Réserve naturelle du Val de Loire, d'abord sur une grande plage de graviers, le long du fleuve, puis sur une ancienne île, gagnée maintenant par la forêt alluviale ;
  • le sentier des Loges vous permet de suivre un petit vallon consacré à la vigne dès le XIIIe siècle par les moines chartreux ;
  • le sentier de la Butte emprunte la voie romaine puis la voie royale sur les traces de l'histoire de Pouilly.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pouilly dans les arts[modifier | modifier le code]

Au cinéma[modifier | modifier le code]

La commune de Pouilly-sur-Loire apparaît dans un film de Roy Boulting, Une fille dans ma soupe (1970), dans lequel le personnage interprété par Peter Sellers va y goûter des vins lors de la Foire aux vins.

Dans la peinture[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
« D'azur aux trois bourses d'or accompagnées en chef d'une fleur de lys du même. »

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Institut national de l'information géographique et forestière, Répertoire géographique des communes, [lire en ligne].
  2. Site de l'office de tourisme
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre Pouilly-sur-Loire et Étréchy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Etrechy », sur la commune d'Étréchy - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Etrechy », sur la commune d'Étréchy - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cosne-Cours-sur-Loire », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Corine Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Librairie Guénégaud, 1989.
  17. Georges de Soultrait, Dictionnaire topographique de la Nièvre, 1865.
  18. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  19. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  20. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Placido Llorca, « La commune viticole de Pouilly-sur-Loire », sur Vin Vigne, (consulté le ).
  23. « Acte de vente d’un grand corps de logis (1750) », Cahiers du val de Bargis, 29 août 2020.
  24. Georges de Soultrait, Répertoire archéologique du département de la Nièvre, 1875.
  25. « La plage à Pouilly-sur-Loire », Plateforme ouverte du patrimoine (POP), Ministère de la Culture.

Annexes[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Charles Gardette, À propos des rues de Pouilly, Bulletin municipal de Pouilly, 1993, 1994, 1995, 1996.
  • Le château du Nozet et l’histoire de la famille Lafond, Journal du Centre, .

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :