Michel de Castelnau Mauvissière

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Michel de Castelnau Mauvissière
Gravure de Jaspar Isaac représentant Michel de Castelnau Mauvissière
Fonction
Ambassadeur
Biographie
Naissance
Décès
Activités
Conjoint
Marie Bochetel (d)Voir et modifier les données sur Wikidata
Enfant
Marie de Castelnau, Dame de La Lande et de Briou (d)Voir et modifier les données sur Wikidata

Michel de Castelnau (1517 - ), seigneur de La Mauvissière, est un homme de guerre et un diplomate français du XVIe siècle. Il a successivement servi les rois de France François Ier, Henri II, François II, Charles IX, Henri III et enfin Henri IV.

Enfance et adolescence[modifier | modifier le code]

Michel de Castelnau est né à La Mauvissière, en Touraine vers 1517. Il est le second d'une fratrie de neuf enfants. Sa famille est de souche béarnaise, du comté de Bigorre[1]. Il est le fils de Jean Castelnau, deuxième du nom, et Jeanne Dumesnil.

Enfant déjà, il possède une prodigieuse mémoire des paroles et de l'événement que le temps qui passe n'altère pas. C'est aussi un brillant orateur précis et concis. Enfin, il possède un jugement mesuré et juste. Ces aptitudes font de lui un témoin fiable et objectif de son époque. Ces qualités remarquables induisent ses parents à soigner son éducation et son instruction en lettres et en sciences, disciplines où il excelle.

Parallèlement à ces enseignements de l'esprit, il reçoit ceux des exercices physiques du maniement des armes et de l'équitation que se doivent de maîtriser tous nobles soldats. Ces savoirs vont être perfectionnés lors de ses nombreux voyages en Italie, à Milan, à Naples et à Rome puis à Chypre où il étudie la civilisation ottomane[2].

Une allée lui est dédiée dans sa paroisse natale.

Carrière militaire[modifier | modifier le code]

Vers 1547, au début du règne d'Henri II[3], il fait partie d'une compagnie de chevau-légers que commande le comte de Brissac, qui le remarque vite pour son courage et son intelligence. Il le recommande alors à François de Lorraine, grand prieur de l'ordre de Malte en France, qui le prend sous sa protection. De retour en France, Michel de Castelnau est présenté à la Cour par son protecteur qui, en 1557, était devenu général des galères royales de l'ordre. François de Lorraine propose tout naturellement à Castelnau de prendre le commandement de l'une d'elles, ce qu'il accepte de bon cœur, malgré le peu d'attrait qu'exerce à cette époque la marine royale sur les gentilshommes. Il profite de ce commandement pour rédiger quelques notes sur la modernisation de la marine de combat[4].

C'est donc à Malte, port d'attache de sa galère, qu'il apprend la désastreuse défaite que les Français subirent le , lors de la bataille de Saint-Quentin contre les Espagnols[5]. Avec des chevaliers qui lui sont proches, il constitue alors une petite flotte et met le cap sur l'Atlantique afin de combattre aux côtés des troupes françaises en lutte contre celles de Charles Quint. En 1558, François de Lorraine, qui mène alors les affaires en l'absence du duc de Guise son frère, lui confie la mission d'assurer la liaison entre le roi Henri II et le duc de Nevers qui se trouve à Laon avec les restes de l'armée royale, et qui parvient ainsi à neutraliser les effets du succès militaire espagnol. Lorsque l'année suivante, en 1559, s'ouvre la négociation des deux traités de Cateau-Cambrésis des , 2 et [6], Michel de Castelnau accompagne les négociateurs et assure la liaison entre les plénipotentiaires et le roi Henri II afin de prendre ses ordres.

Carrière diplomatique[modifier | modifier le code]

À la demande de Henri II, Michel de Castelnau quitte le métier des armes pour devenir ambassadeur et diplomate. Il est envoyé d'abord en Écosse auprès de la reine Marie de Guise, mère de Marie Stuart. Puis il rejoint l'Angleterre pour une ambassade auprès de la jeune reine Élisabeth Ire[7], dont il sut se faire écouter et apprécier au point de devenir son ami. Ainsi il obtient d'elle le renoncement à la capitulation de Calais.

Alors qu'il se trouve en ambassade en Allemagne auprès de plusieurs princes pour en faire des alliés, il apprend la mort du roi Henri II de France le , des suites d'une grave blessure au visage lors d'un tournoi, qui eut lieu à Paris près de l'actuelle Place des Vosges en l'honneur du mariage de sa fille Élisabeth avec Philippe II d'Espagne[8]. Délaissant la poursuite de sa mission aux Pays-Bas, il rentre précipitamment en France où les Guise qui contrôlent le jeune nouveau roi François II lui renouvellent leur confiance, et lui confient une mission auprès du duc de Savoie, qui passait pour être le meilleur soldat de l'époque. Après cela, il fut envoyé à Rome où il aida à l'élection du pape Pie IV.

De retour en France, les Guise, qui envisageaient une guerre contre la reine Élisabeth d'Angleterre, l'envoyèrent à Malte afin de faire passer les galères royales de la Méditerranée en Atlantique. Lorsqu'il arrive à Nantes avec la flotte, après un pénible voyage, il apprend que les Guise ont renoncé à leur projet de guerre. C'est dans cette même ville de Nantes qu'il apprend l'existence d'une conjuration qui sera appelée conjuration d'Amboise, formée par des gentilshommes protestants dans le but d'enlever le jeune roi François II et de le soustraire ainsi à l'influence des Guise. Il est alors chargé de suivre l'évolution de cette secrète rébellion contre la royauté qui sera impitoyablement réprimée par l'écartèlement de Jean du Barry et l'exécution par pendaison aux balcons du château d'Amboise ou noyades dans la Loire. Cette répression coûta la vie à près de 1 300 personnes[9].

Pour tous ses services, il obtient le titre de gouverneur de Saint-Dizier.

Le roi François II meurt le et son épouse Marie Stuart[10] doit renoncer au titre de reine de France et retrouver son royaume d'Écosse. C'est Michel de Castelnau qui, en 1561, est chargé par Catherine de Médicis[11] de l'accompagner lors de son voyage vers l'Écosse, et de rester près d'elle comme ambassadeur de France et conseiller. Cette mission l'amena souvent à jouer l'intermédiaire entre Marie Stuart la catholique et Élisabeth Tudor la protestante, dont les relations étaient pour le moins tendues.

Après son ambassade à la Cour d'Écosse, il est envoyé à celle d'Angleterre où il reste près d'un an.

Pendant les guerres de religion[modifier | modifier le code]

De 1562 à 1563[modifier | modifier le code]

Ce sont les premiers troubles de 1562, prémices aux guerres de religion, entre catholiques et huguenots qui poussent Michel de Castelnau à envisager son retour en France. Fait prisonnier par les huguenots que soutient l’Angleterre et qui demandent rançon, Michel de Castelnau est racheté par le roi Charles IX de France[12] lui-même.

La première guerre éclate lorsque les protestants français livrent le Havre aux Anglais. Michel de Castelnau est alors chargé de rassembler les forces catholiques de Bretagne et de marcher sur le Havre. Ceci fait, sur la route, il est attaqué par le baron de la Colombière, fait prisonnier et conduit au Havre où sa notoriété auprès des gentilshommes anglais lui permet de jouir d’une certaine liberté dans les murs de la ville. Il va alors mettre à profit ses facultés d’observation des lieux et d’écoute des indiscrétions des soldats anglais, en les mémorisant fidèlement, en vue de les utiliser plus tard au profit de son roi.

Échangé, il rejoint l’armée catholique avec laquelle il prend part au siège de Rouen, puis à la bataille de Dreux. Le duc Henri de Guise lui confie le commandement d’un corps de lansquenets avec lequel, en se faisant passer pour l’avant-garde de l’armée catholique, il se fait ouvrir sans coup de feu les portes de la ville de Tancarville dont les magasins sont gorgés de vivres et de munitions. Les renseignements militaires et politiques qu’il avait mémorisés lors de sa captivité au Havre, ajoutés à la mise à disposition des vivres et armements gagnés à Tancarville, ne furent pas étrangers à la reprise du port du Havre. L’assassinat du duc de Guise à Saint-Mesmin, près d’Orléans, précipita la signature du traité de la Paix d'Amboise[13] le .

De 1563 à 1567[modifier | modifier le code]

Après ces glorieux faits d’armes, Michel de Castelnau reprend son bâton de diplomate et part une nouvelle fois pour l’Angleterre, chargé par Catherine de Médicis de demander la main de la reine Élisabeth, qui est âgée de trente ans, pour le jeune roi de France Charles IX qui lui n’a que quatorze ans. Castelnau sait que cette demande est irréaliste, mais il sait aussi qu’Élisabeth d’Angleterre en sera très flattée et que, de par cette considération, il lui sera plus facile de négocier avec la reine un rapprochement entre l’Angleterre et l’Écosse. Il échoue dans cette mission de rapprochement mais il parvient à atténuer les tensions, et à retarder ainsi les confrontations belliqueuses entre les deux royaumes.

De 1567 à 1568[modifier | modifier le code]

Les agitations que causent les affrontements entre protestants et catholiques le font revenir en France. De nouveau, la guerre se profile à l’horizon. Il est alors envoyé en Allemagne et aux Pays-Bas pour y recruter des mercenaires lansquenets et cavaliers (reîtres), puis à Bruxelles pour connaître les intentions du nouveau gouverneur à porter secours à la France, dans le cas où la guerre civile se raviverait. C’est lors de cette ambassade, en , qu’il découvre un complot qui projette d’enlever le roi Charles et sa mère Catherine par les protestants du prince de Condé. Il alerte la cour de France, faisant ainsi, malgré les réticences ministérielles, échouer cette conspiration le . Ce complot est connu sous le nom de « surprise de Meaux »[14] et sa répression nîmoise sous celui des « Michelade ». C’est à cette même date, et de par cet événement, qu’éclate la deuxième guerre de religion. Catherine de Médicis envoie alors Michel de Castelnau à Bruxelles, avec la mission d’obtenir des troupes de secours. Il revient en France avec deux mille cavaliers flamands qui traînent les pieds pour ne pas être engagés à la bataille de Saint-Denis le »[14]. Peu de temps après, il est envoyé par la reine mère Catherine auprès de Jeanne III de Navarre aussi connue sous le nom de « Jeanne d'Albret », pour négocier le mariage de son fils Henri prince de Navarre (futur roi Henri IV) avec Marguerite de France[15] sœur du roi, la célèbre « reine Margot ».

Devant la menace, pour les catholiques, de l’avancée de l’armée du duc Casimir, Castelnau part en Allemagne pour revenir avec une troupe de secours de six mille cavaliers, qui eux aussi arriveront après la signature de la paix de Longjumeau le [16] qui met fin à cette deuxième guerre de religion.

De 1568 à 1570[modifier | modifier le code]

En juillet de la même année, la guerre sévit pour la troisième fois et comme toujours, Michel de Castelnau en est, et c’est lui qui annonce au roi le succès de son frère le duc d’Anjou sur les troupes protestantes lors de la bataille de Jarnac à laquelle il a participé le , avant de retourner en découdre à la bataille de Moncontour le . Ce conflit s’achève le par l’édit de paix de Saint-Germain-en-Laye[17].

De 1572 à 1573[modifier | modifier le code]

Michel de Castelnau se trouve en ambassade à Londres pour proposer à la reine Élisabeth d'Angleterre un mariage avec le duc d’Anjou, frère du roi, lorsque le massacre de la Saint-Barthélemy[18] dans la nuit du 23 au déclenche la quatrième guerre de religion. Il rentre à Paris et informe la reine Catherine de Médicis du grand courroux et de l’indignation que ce massacre a provoqué chez la reine d’Angleterre, avec le risque de voir une implication directe des troupes anglaises dans la guerre civile qui déchire le royaume de France. La reine Catherine connaît l’estime, voire l’amitié que porte la reine d’Angleterre à Michel de Castelnau, elle le renvoie donc à Londres avec la mission d’apaiser Élisabeth. Il y parvient en jouant encore de flatterie, en demandant à la reine d’être marraine de la première fille de Charles IX qui fut nommée Marie Élisabeth. Par contre, il échoue dans sa demande de libération de la reine d’Écosse Marie Stuart, qui depuis quatre ans est enfermée dans une geôle anglaise.

En 1573, Catherine de Médicis demande à Michel de Castelnau d’accompagner son fils le duc d’Anjou en Pologne dont il doit occuper le trône[19]. Durant le voyage, le duc d’Anjou (futur Henri III de France) convainc Michel de Castelnau de retourner en France et de servir sa cause, en étant ses yeux et ses oreilles à la cour de France.

De 1574 à 1576[modifier | modifier le code]

Lorsque Charles IX meurt le , c’est Michel de Castelnau, sur les ordres de Catherine de Médicis, qui recrute six mille cavaliers afin de protéger la légitimité du duc d’Anjou au trône de France. L’avènement du roi catholique Henri III de France[20], le , cause une forte agitation chez les protestants et à la cour d’Angleterre.

Michel de Castelnau Mauvissière épouse le Marie Bochetel, dame de Breuilhamenon des terres de Plou, fille de Jacques Bochetel et de Marie de Morogues.

Cette même année, le roi Henri III, qui connaît ses qualités, nomme Michel de Castelnau ambassadeur permanent de la France auprès de la reine Élisabeth d’Angleterre.

De 1576 à 1585[modifier | modifier le code]

Michel de Castelnau occupera le poste d’ambassadeur de France auprès d’Élisabeth d’Angleterre pendant dix ans, jusqu’en 1585. Ses talents reconnus et la confiance que lui accordait la reine Élisabeth permirent de déjouer toutes les intrigues d'alliance que pouvaient élaborer les protestants français lors des sixième et septième guerres de religion, soit de 1576 à 1580. Son désespoir fut celui de ne pas avoir pu influer sur le sort tragique que cette même reine d’Angleterre destinait à Marie Stuart, reine d’Écosse (elle fut exécutée le ), avec laquelle il avait maintenu une correspondance secrète entre les années 1578-1584[21].

Michel de Castelnau revient en France en 1585 alors qu’éclatait la huitième guerre de religion. Il est presque ruiné, ses traitements et frais ne lui ont été que sporadiquement versés, et sa subsistance ne dépend bien souvent que de ses avoirs personnels.

De 1585 à 1598[modifier | modifier le code]

À son retour en France, Michel de Castelnau prend alors le parti du roi Henri III contre la Ligue, se mettant à dos la maison de Guise, ses anciens protecteurs. Ces derniers lui retirent sa charge de gouverneur de Saint-Dizier et les revenus des terres qui lui sont attachées. Sa seigneurie de Beaumont le Roger est ravagée et pillée par les ligueurs; seul lui reste son domaine de Joinville.

Le roi Henri III de France est assassiné par Jacques Clément le , mais avant de mourir, il désigne comme son successeur son beau-frère et cousin Henri de Navarre. Michel de Castelnau est appelé auprès du nouveau roi Henri IV de France[22] qui le tient en grande considération. Celui-ci lui confie alors une succession de missions importantes et souvent périlleuses, en lui faisant la promesse de lui restituer ses titres et biens perdus dès que la Ligue[23] sera soumise. Le roi lui permet, en 1592, de se retirer de la diplomatie et de son service afin d’aller vivre et se reposer en son château et sur ses terres de Joinville. Il y meurt le à l’âge de 74 ans.

Conclusion[modifier | modifier le code]

Michel de Castelnau était un homme qui servit six rois de France, de 1547 à 1592. Il a influé sur bon nombre de situations importantes de l’histoire de la France, de d’Angleterre et de l’Écosse. Jamais son nom n'apparaît en pleine lumière dans les événements relatés sur cette période. C’était donc un homme qui permettait aux princes et aux rois de s’attribuer des succès politiques qui ne pouvaient que les grandir. Ses mémoires, qu'il destinait à son fils Jacques de Castelnau, seigneur de Breuilhamenon des terres de Plou, relatent les faits les plus importants de cette époque troublée des guerres de religion. Les récits contenus dans ses mémoires sont précis et modérés et rendent compte de façon objective d’événements vécus de l’intérieur dans l’ombre de la magnificence des grands.

Œuvres[modifier | modifier le code]

  • « Mémoires de messire de Michel de Castelnau, seigneur de Mauvissière et de Concressaut, baron de Joinville, Comte de Beaumont le Roger, Chevalier de l’ordre du Roy, Conseiller en ses conseils, capitaine de cinquante hommes d’armes et de ses ordonnances, gouverneur de la ville de Sainct Dizier, et ambassadeur de sa Majesté en Angleterre ». Parues pour la première fois en 1621 en un volume in-quarto à Paris chez Claude Chappelet et Samuel Thiboust. Éditées par son fils Jacques de Castelnau de Bochetel seigneur de Breuilhamenon des terres de Plou, en 1659. La dernière édition sous le titre « Mémoires de messire Michel de Castelnau, seigneur de Mauvissière et de Concressaut, baron de Joinville, comte de Beaumont le Roger, Chevalier de l’ordre du Roy. 1520–1592 ». Éditions Foucault, Paris, 1823, 504 pages.

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Livre de la paroisse de Neuvy.
  2. « Notice sur Castelnau et sur ses mémoires », éditions Foucault, Paris, 1823, 504 pages, pages 3 et 4.
  3. « Henri II : roi gentilhomme », Georges Bordonove, édition Pygmalion – Gerard Watelet, Paris, 1987. 291 pages.
  4. « Notice sur Castelnau et sur ses mémoires », éditions Foucault, Paris, 1823, 504 pages, pages 4, 5 et 6.
  5. « La bataille de Saint Quentin et les prisonniers français », Henri Stein, éditions Poette, Paris, 1889.
  6. « Le traité de Cateau-Cambrésis des 2 et 3 avril 1559 », Alphonse Ruble, édition Champion-Honoré, Paris, 1989.
  7. « Élisabeth Ire », Jacques Chastenet, éditions Fayard, Paris, 1953.
  8. « Philippe II », Orestes Ferrera, Francis de Miomande, André Daniel Toledano, édition Albin Michel, Paris, 1961, 447 pages.
  9. « La conjuration d'Amboise, l'aurore sanglante de la liberté de conscience, le règne et la mort de François II », Lucien Romier, éditions Perrin, Paris, 1923, 290 pages.
  10. « La Reine Maudite », Jean Claude Pascal, éditions Le Rochet, Paris, 1988. 992 pages.
  11. « Catherine de Médicis (1519-1589) », Jacques Thomas de Castelnau, Jacques Castelnau, éditions Hachette, Paris, 1954, 223 pages.
  12. « Charles IX ». Michel Simonin. Français. Éditions Fayard. Paris. 1995. 510 pages
  13. « La faveur de roi mignons et courtisans au temps des derniers Valois [vers 1547- vers 1589] Époques : Mignons et courtisans au temps des derniers Valois » Nicolas Leroux. Français. Édition Champ Vallon. Paris 2001. 805 pages.
  14. a et b « Commentaires sur la guerre civile de France/ de la surprise de Meaux à la bataille de Saint Denis ». Étienne Vitelli, Anne Lombard Jourdan, Marc H. Smith, André Thevet. École des chartes. Paris 2005. 142 pages
  15. « Marguerite de Valois ». Janine Garrisson. Française. Éditions Fayard. Paris. 1994. 373 pages.
  16. « La réforme en France jusqu’à l’Édit de Nantes » Auguste Bailly. Français. Paris 1960. 552 pages
  17. « Édits des guerres de religions : Textes présentés et commentés ». André Stegman. Français. Éditions J. Vrin. Paris 1979. 266 pages.
  18. « Le massacre de la Saint Barthélemy, 24 août 1579 : 24 août 1579 » Philippe Erlanger. Français. Éditions Gallimard. Paris 1960. 322 pages.
  19. « Henri III, roi de Pologne » Pierre Champion. Français. Éditions Bernard Grasset. Paris 1943. 314 pages.
  20. « Henri III » Philippe Erlanger. Français. Éditions Gallimard. Paris 1948. 314 pages.
  21. « Deciphering Mary Stuart’s lost letters from 1578-1584 » George Lasry, Norbert Biermann, Satoshi Tomokiyo. Cryptologia. 2023 [1]
  22. « Henri IV » Jean Pierre Babelon. Français. Éditions Fayard. Paris 1982. 1103 pages.
  23. « La Ligue ». Jean Marie Constant. Français. Éditions Fayard. Paris 1996. 520 pages.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Notice sur Castelnau et sur ses mémoires, Éditions Foucault, Paris, 1823, 504 pages, pages 3–4.
  • Georges Bordonove, Henri II : roi gentilhomme, Éditions Pygmalion – Gérard Watelet, Paris, 1987, 291 pages.
  • Henri Stein, La bataille de Saint Quentin et les prisonniers français, Éditions Poette, Paris, 1889.
  • Alphonse Ruble, Le traité de Cateau-Cambrésis (2 et ), Éditions Honoré Champion, Paris, 1989.
  • Jacques Chastenet, Élisabeth 1re, Éditions Fayard, Paris, 1953.
  • De Orestes Ferrera, Francis de Miomande, André Daniel Toledano, Philippe II, Éditions Albin Michel, Paris, 1961, 447 pages.
  • Lucien Romier, La conjuration d’Amboise, l’aurore sanglante de la liberté de conscience, le règne et la mort de François II, Éditions Perrin, Paris, 1923, 290 pages.
  • Jean Claude Pascal, La Reine Maudite, Éditions Le Rochet, Paris, 1988.
  • Jacques Thomas de Castelnau, Catherine de Médicis (1519-1589), Éditions Hachette, Paris, 1954, 223 pages.
  • Michel Simonin, Charles IX, Éditions Fayard, Paris, 1995, 510 pages.
  • Nicolas Leroux, La faveur de roi : Mignons et courtisans au temps des derniers Valois [vers 1547- vers 1589], Éditions Champ Vallon, Paris, 2001, 805 pages.
  • Étienne Vitelli, Anne Lombard Jourdan, Marc H. Smith, André Thevet, Commentaires sur la guerre civile de France/ de la surprise de Meaux à la bataille de Saint Denis, École des chartes, Paris, 2005, 142 pages.
  • Janine Garrisson, Marguerite de Valois, Éditions Fayard, Paris, 1994, 373 pages.
  • Auguste Bailly, La Réforme en France jusqu’à l’Édit de Nantes, Paris 1960, 552 pages.
  • André Stegman, Édits des guerres de religions : Textes présentés et commentés, Éditions J. Vrin, Paris, 1979, 266 pages.
  • Philippe Erlanger, Le Massacre de la Saint Barthélemy, , Éditions Gallimard, Paris, 1960, 322 pages.
  • Pierre Champion, Henri III, roi de Pologne, Éditions Bernard Grasset, Paris, 1943, 314 pages.
  • Philippe Erlanger, Henri III, Éditions Gallimard, Paris, 1948, 314 pages.
  • Jean Pierre Babelon, Henri IV, Éditions Fayard, Paris, 1982, 1103 pages.
  • Jean Marie Constant, La Ligue, Éditions Fayard, Paris, 1996, 520 pages.
  • William Dewaël, "L'ambassade de Michel de Castelnau de Mauvissière en Angleterre (1575-1585) : d' à d'après le registre de ses dépêches", Mémoire de maîtrise, Université de Lille Charles-de-Gaulle, 1998, 221 pages.
  • Les mémoires de Messire Michel de Castelnau seigneur de Mauvissière & de Concressault, baron de Ionville, chevalier de l'Ordre du Roy, conseiller en son conseil privé et d'estat, capitaine de cinquante hommes d'armes de ses ordonnances, gouverneur de la ville et chasteau de Saint Dizier & ambassadeur pour Sa Majesté en Angleterre, à Paris chez Sébastien Chapellet, rue S. Iacques à l'Olivier, M.DC.XXI avec privilège du Roy.

Liens externes[modifier | modifier le code]