Larroque (Hautes-Pyrénées)

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Larroque
Larroque (Hautes-Pyrénées)
Paysage dans les environs du village de Larroque
Blason de Larroque
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac
Maire
Mandat
Chaabane Zaïter
2020-2026
Code postal 65230
Code commune 65263
Démographie
Gentilé Larroquais
Population
municipale
94 hab. (2021 en diminution de 11,32 % par rapport à 2015)
Densité 14 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 18′ 41″ nord, 0° 29′ 29″ est
Altitude Min. 250 m
Max. 392 m
Superficie 6,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton des Coteaux
Législatives Première circonscription
Localisation
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Larroque
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Larroque
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Larroque

Larroque est une commune française située dans le nord-est du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par, la Gèze, la Sole et par divers autres petits cours d'eau.

Larroque est une commune rurale qui compte 94 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 410 habitants en 1851. Ses habitants sont appelés les Larroquais ou Larroquaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Larroque se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 35 km à vol d'oiseau de Tarbes[1], préfecture du département, et à 10 km de Trie-sur-Baïse[2], bureau centralisateur du canton des Coteaux dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Boulogne-sur-Gesse[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Peyret-Saint-André (1,7 km), Puntous (1,9 km), Castelnau-Magnoac (2,2 km), Barthe (3,6 km), Guizerix (3,8 km), Hachan (3,9 km), Organ (4,0 km), Sariac-Magnoac (4,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Larroque fait partie de la région gasconne de Magnoac, située sur le plateau de Lannemezan, qui reprend une partie de l’ancien Nébouzan, qui possédait plusieurs enclaves au cœur de la province de Comminges et a évolué dans ses frontières jusqu’à plus ou moins disparaitre[4].

Les communes limitrophes sont Monlaur-Bernet, Ponsan-Soubiran, Barthe, Castelnau-Magnoac, Guizerix, Peyret-Saint-André et Puntous.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Sole, affluent de rive droite de la Petite Baïse, arrose la commune du sud au nord et forme une partie de la limite ouest avec la commune de Puntous.
Les ruisseaux le Paquet et Bacarieux, affluents de rive droite de la Sole prennent leurs sources sur la commune et coulent sur celle-ci.
Le Ruisseau de la Gèze, affluent de rive gauche du Gers, forme une petite partie de la limite sud-est avec la commune de Castelnau-Magnoac.
Le Cartet, ruisseau affluent de rive gauche du La Gèze, prend sa source sur la commune.
Un canal d'irrigation provenant du Canal de la Neste traverse la commune en direction du Gers au nord.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat est tempéré de type océanique dû à l'influence proche de l'Océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

Données climatiques à Larroque.
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8 3,6 1,3 6,9
Température moyenne (°C) 5,3 6,1 7,8 10 13,3 16,7 19,3 19 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
Température maximale moyenne (°C) 9,9 11 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1 912,8
Précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71 85,2 93 112,1 1 099,4
Source : Climatologie mensuelle à la station départementale d'Ossun de 1961-1990[6].


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[7],[8],[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Larroque est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[10],[I 2],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (66,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (28,2 %), terres arables (25 %), zones agricoles hétérogènes (19,8 %), prairies (16,1 %), eaux continentales[Note 3] (5,8 %), zones urbanisées (5,1 %)[12].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2012, le nombre total de logements dans la commune est de 67[I 5].
Parmi ces logements, 70,3 % sont des résidences principales, 13,5 % des résidences secondaires et 16,2 % des logements vacants.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Cette commune est desservie par la route départementale D 632 et par la route départementale D 9.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Larroque est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Gèze et la Sole. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[15]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[16],[13].

Larroque est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[17]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Larroque.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[18].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 71 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 71 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[13].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Extrait de la carte de Cassini (entre 1756 et 1789) situant Larroque à l'ouest de Castelnau-Magnoac

On trouvera les principales informations dans le Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées de Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail[21] qui rapporte les dénominations historiques du village :

Dénominations historiques :

  • Arnault Bernardus de Laroca, latin (entre 1148 et 1153, cartulaire de Berdoues) ;
  • in borda Carbonelli de Roqua apud Roquam Maioaci, latin (1255, cartulaire de Berdoues) ;
  • de Larroqua, latin (1257, ibid.) ;
  • de Ruppe, latin (1383-1384, procuration Auch ; 1405, décime Auch ; XVe siècle, taxes Auch) ;
  • de Rupe Manhoaci, latin (1510, Monlezun) ;
  • Laroque-Magnoac, (1746, Brugèles) ;
  • Larroque-Magnoac, (1737, registres paroissiaux) ;
  • Larroque, (fin XVIIIe siècle, carte de Cassini).

Étymologie : du gascon arròca : roche, château-fort.

Nom occitan : L’Arròca.

Histoire[modifier | modifier le code]

Cadastre napoléonien de Larroque[modifier | modifier le code]

Le plan cadastral napoléonien de Larroque est consultable sur le site des archives départementales des Hautes-Pyrénées[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie en 2020.
Le foyer rural en 2020

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 mars 2014 Gilles Correger    
mars 2014 en cours Chaabane Zaïter    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Historique administratif[modifier | modifier le code]

Pays des Quatre-Vallées, vallée de Magnoac, baronnie de Larroque, canton de Castelnau-Magnoac (depuis 1790)[23].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Larroque appartient à la communauté de communes du Pays de Trie et du Magnoac créée en et qui réunit 50 communes.

La commune est également membre du SIVOM de Saint-Gaudens Montréjeau Aspet Magnoac.

Services publics[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[26]. En 2021, la commune comptait 94 habitants[Note 4], en diminution de 11,32 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
285100198319342360324370410
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
409396389366337343346337322
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
303295270222236217207182176
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
129128120111991029289100
2018 2021 - - - - - - -
9694-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dépend de l'académie de Toulouse. Elle ne dispose plus d'école en 2016[29].

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 6,4 % 11,8 % 7,1 %
Département[I 7] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 56 personnes, parmi lesquelles on compte 71,4 % d'actifs (64,3 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 28,6 % d'inactifs[Note 5],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 9]. Elle compte 6 emplois en 2018, contre 5 en 2013 et 3 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 37, soit un indicateur de concentration d'emploi de 16,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 48,3 %[I 10].

Sur ces 37 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 6 travaillent dans la commune, soit 16 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 97,3 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 2,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église de l'Assomption en 2015.
L'église en 2022.
Une croix.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'argent au chapeau de cardinal de gueules avec ses 30 houppes, au chef d'azur chargé d'une mitre, adextrée d'une croix archiépiscopale tréflée à longue hampe posée en barre et senestrée d'une crosse épiscopale posée en bande, le tout d'or.
Commentaires : Blason officiel vérifié auprès de la mairie.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Larroque » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. Insee : Rapport statistique communal pour la ville de Larroque
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Larroque » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Larroque » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Larroque et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Larroque et Trie-sur-Baïse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Larroque », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 341-342.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. « Climatologie mensuelle à Tarbes », sur le site de l'association InfoClimat (consulté le ).
  7. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Larroque », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  8. « Liste des ZNIEFF de la commune de Larroque », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune de Larroque », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Larroque », sur Géorisques (consulté le ).
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  15. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  17. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Larroque », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
  22. Archives départementales des Hautes-Pyrénées : Plan cadastral de Larroque
  23. Archives départementales des Hautes-Pyrénées
  24. « Liste des juridictions compétentes pour Larroque (Hautes-Pyrénées) », sur le site du ministère de la Justice (consulté le )
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Annuaire : Résultats de recherche »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site du ministère de l'Éducation nationale (consulté le ).