Dours

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Dours
Dours
Place de la Mairie, salle des fêtes (gauche)
et église (fond).
Blason de Dours
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hautes-Pyrénées
Arrondissement Tarbes
Intercommunalité Communauté de communes des Coteaux du Val d'Arros
Maire
Mandat
Christophe Lassime
2020-2026
Code postal 65350
Code commune 65156
Démographie
Gentilé Doursois
Population
municipale
212 hab. (2021 en diminution de 7,83 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 17′ 48″ nord, 0° 08′ 21″ est
Altitude Min. 244 m
Max. 343 m
Superficie 4,99 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tarbes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Coteaux
Législatives Première circonscription
Localisation
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Dours
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Dours
Géolocalisation sur la carte : Hautes-Pyrénées
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Dours
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Dours

Dours (Dors en occitan[1]) est une commune française située dans le nord du département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie. C'est une commune située à environ 10 km au nord-est de Tarbes, sur les coteaux de Pouyastruc marquant la limite orientale de la vallée de Tarbes. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le canal d'Alaric, l'Aule, l'Oussette, le ruisseau de Loulès et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé d'une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Dours est une commune rurale qui compte 212 habitants en 2021. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes..

Ses habitants sont nommés les Doursois et sont au nombre de 230 d'après le recensement de 2015.

Le village existe au moins depuis le XIIIe siècle.

Géographie[modifier | modifier le code]

Vue générale du village.

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

La commune de Dours se trouve dans le département des Hautes-Pyrénées, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 9 km à vol d'oiseau de Tarbes[2], préfecture du département, et à 19 km de Trie-sur-Baïse[3], bureau centralisateur du canton des Coteaux dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Tarbes[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Sabalos (1,2 km), Chis (1,5 km), Louit (1,6 km), Collongues (2,1 km), Orleix (2,3 km), Soréac (2,5 km), Oléac-Debat (2,9 km), Castéra-Lou (3,1 km).

Sur le plan historique et culturel, Dours fait partie de l’ancien comté de Bigorre, comté historique des Pyrénées françaises et de Gascogne créé au IXe siècle puis rattaché au domaine royal en 1302, inclus ensuite au comté de Foix en 1425 puis une nouvelle fois rattaché au royaume de France en 1607. La commune est dans le pays de Tarbes et de la Haute Bigorre[5].

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Église et maisons du village au sommet du coteau, vue depuis la vallée de la rivière Loulès à l'est.

Le village central se situe en haut d'une colline issue des Pyrénées au sud. Le reste de la commune, constitué de champs et bois, se répartit dans deux vallées de part et d'autre de la colline du village.

Au nord-ouest, le bois de Dours occupe un quart du territoire communal, le reste constituant des champs d'agriculture ou de pâturage.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Vallée de la rivière Loulès à l'est du territoire communal (270 m) et maisons du village sur la colline (320 m).

À l'ouest, le canal d'Alaric coule en direction du nord et marque la limite communale avec Chis. Puis du canal part l'Aule, un affluent gauche de l'Estéous, qui délimite à l'ouest la commune avec Aurensan et Tostat dans le bois de Dours. Le canal d'Alaric lui bifurque à l'Est, arrose les terres de la commune dans la vallée de Tarbes, puis marque la limite communale au nord-est avec la commune de Castéra-Lou.

Le ruisseau ou la rivière de Loulès marque la limite orientale avec les communes de Louit, Soréac et Castéra-Lou, avant de se jeter dans le canal d'Alaric au nord au niveau du bois de Dours.

Climat[modifier | modifier le code]

Le climat est tempéré de type océanique dû à l'influence proche de l'Océan Atlantique situé à peu près 150 km plus à l'ouest. La proximité des Pyrénées fait que la commune profite d'un effet de foehn, il peut aussi y neiger en hiver, même si cela reste inhabituel.

Mois Janv. Fév. Mars Avr. Mai Juin Juil. Août Sept. Oct. Nov. Déc. Année
Températures maximales moyennes (°C) 9,9 11,0 12,9 14,8 18,3 21,7 24,5 24,0 22,6 18,6 13,4 10,4 16,8
Températures minimales moyennes (°C) 0,6 1,3 2,7 5,2 8,3 11,6 14,1 13,9 11,7 8,0 3,6 1,3 6,9
Températures moyennes (°C) 5,3 6,1 7,8 10,0 13,3 16,7 19,3 19,0 17,2 13,3 8,5 5,8 11,9
Ensoleillement (h) 108,8 118,8 155,6 157,2 181,3 191,5 215,5 196,4 194,5 164,4 124,4 104,4 1912,7
Moyennes mensuelles de précipitations (mm) 112,8 97,5 100,2 105,7 113,6 80,7 57,3 70,3 71,0 85,2 93,0 112,1 1099,6
Source : Climatologie mensuelle à Tarbes[6].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Une ZNIEFF de type 2[Note 2] est recensée sur la commune[7] : les « boisements de la plaine de l'Adour de Chis à Bazillac » (333 ha), couvrant 8 communes du département[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Dours est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[9],[I 2],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tarbes, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 153 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56,1 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (35,3 %), terres arables (28,5 %), zones agricoles hétérogènes (27,6 %), zones urbanisées (8,5 %)[11].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Cette commune est desservie par la route départementale D 119.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Dours est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée)[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le canal d'Alaric et l'Aule. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[14]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[15],[12].

Dours est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2020-2029. Le précédent couvrait la période 2007-2017. L’emploi du feu est régi par deux types de réglementations. D’abord le code forestier et l’arrêté préfectoral du , qui réglementent l’emploi du feu à moins de 200 m des espaces naturels combustibles sur l’ensemble du département. Ensuite celle établie dans le cadre de la lutte contre la pollution de l’air, qui interdit le brûlage des déchets verts des particuliers. L’écobuage est quant à lui réglementé dans le cadre de commissions locales d’écobuage (CLE)[16]

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Dours.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des tassements différentiels[17].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (44,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 105 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 105 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 75 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[12].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Dénominations historiques du village[20] :

Histoire[modifier | modifier le code]

Situation de Dours sur la Carte de Cassini (1756-1789).

Dours est un village situé dans le pays de Bigorre dont il portait encore le nom au XVIIe siècle : Dours-en-Bigorre.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Présence d'un château ou d'une motte castrale.

Période moderne[modifier | modifier le code]

La région fut dévastée durant les guerres de religion, l'église fut notamment incendiée.

Période contemporaine[modifier | modifier le code]

Lien externe : Dours : Monographie d'un village des Hautes-Pyrénées de 1789 à 1918

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie en 2022.
Le foyer rural en 2022
La salle des fêtes en 2022

Liste des maires[21][modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
         
1983 1989 Claude Sénac    
? mars 2001 Henri Dumestre    
mars 2001 2020 Yves François Bruno    
mars 2020 en cours Christophe Lassime    

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Dours appartient à la communauté de communes des Coteaux de Pouyastruc créée en janvier 2013 et qui réunit 27 communes.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Lotissement récent de maisons à caractère résidentiel.

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Après une phase de croissance (révolution agricole), la population décroît dans la deuxième moitié du XIXe siècle à cause de la crise agricole qui entraîne un exode rural. Cette tendance se poursuit durant le XXe siècle, toutefois depuis les années 1990, on assiste à un phénomène dit de rurbanisation où les citadins de l'agglomération tarbaise viennent s'établir à la campagne, mais gardent un mode de vie urbain, un travail en ville. Ce phénomène produit un « mitage » du paysage par un bâti parsemé, ou au mieux réparti en lotissements.

De plus le nombre de maisons augmente, l'habitat s'étale : si au XIXe siècle toute la famille sur plusieurs générations et degrés habitait dans une même maison, soit en moyenne 8 à 10 habitants par maison, aujourd'hui l'occupation d'une maison se réduit à la famille nucléaire (parents et enfants) soit 3 à 4 habitants par maison. Ceci explique que le nombre d'habitants reste encore plus faible qu'il y a un siècle alors que le nombre de maisons a pratiquement doublé.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

En 2021, la commune comptait 212 habitants[Note 5], en diminution de 7,83 % par rapport à 2015 (Hautes-Pyrénées : +1,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
210191157240220256272265275
1856 1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901
271250250214204200194190178
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
175153150147152146145157170
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
173141143141183217227228219
2021 - - - - - - - -
212--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29,0 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,3 % la même année, alors qu'il est de 34,2 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 112 hommes pour 107 femmes, soit un taux de 51,14 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,09 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
1,9 
3,6 
75-89 ans
5,6 
30,4 
60-74 ans
24,3 
19,6 
45-59 ans
20,6 
17,9 
30-44 ans
17,8 
12,5 
15-29 ans
15,0 
15,2 
0-14 ans
15,0 
Pyramide des âges du département des Hautes-Pyrénées en 2020 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,9 
9,7 
75-89 ans
13,1 
20,9 
60-74 ans
21,3 
20,9 
45-59 ans
20,7 
16,1 
30-44 ans
15,4 
16,1 
15-29 ans
13,1 
15,3 
0-14 ans
13,4 

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'ancienne école.
Le Groupe Scolaire Yves Bruno en 2022.

La commune dispose d'une école maternelle ainsi qu'une salle des fêtes dite « Paul Etchalus ».

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018, la commune compte 91 ménages fiscaux[Note 6], regroupant 215 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 23 240 [I 5] (20 420  dans le département[I 6]).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 4,4 % 3,4 % 8,1 %
Département[I 8] 7,7 % 9,4 % 9,8 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 135 personnes, parmi lesquelles on compte 77 % d'actifs (68,9 % ayant un emploi et 8,1 % de chômeurs) et 23 % d'inactifs[Note 7],[I 7]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Tarbes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 10]. Elle compte 15 emplois en 2018, contre 12 en 2013 et 17 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 98, soit un indicateur de concentration d'emploi de 15,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,6 %[I 11].

Sur ces 98 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 5 travaillent dans la commune, soit 5 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 93,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2 % les transports en commun, 1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 3,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'azur au loup hurlant d'or soutenu d'un annelet du même.
Commentaires : Blason officiel vérifié auprès de la mairie.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Dours » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Tarbes » (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Dours » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Dours » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans les Hautes-Pyrénées » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Dours » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Toponymie occitane des communes de Hautes-Pyrénées
  2. Stephan Georg, « Distance entre Dours et Tarbes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Dours et Trie-sur-Baïse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Dours », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 287-289.
  6. Climatologie mensuelle - Tarbes, France.
  7. « Liste des ZNIEFF de la commune de Dours », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  8. « ZNIEFF les « boisements de la plaine de l'Adour de Chis à Bazillac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Dours », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. DREAL Occitanie, « CIZI », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie (PDPFCI) 2020 – 2029 », sur hautes-pyrenees.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Les risques majeurs dans les Hautes-Pyrénées », sur gouvernement.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Dours », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. Michel Grosclaude et Jean-François Le Nail, Dictionnaire toponymique des communes des Hautes Pyrénées intégrant les travaux de Jacques Boisgontier, Conseil Général des Hautes Pyrénées, 2000.
  21. « Les maires de Dours », sur francegenweb.org MairesGenWeb - Recensement des Maires de France à travers l'Histoire (consulté le ).
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Dours (65156) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Hautes-Pyrénées (65) », (consulté le ).