Hameau de la Manière

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Hameau de la Manière
Hameau de la Manière
Une maison du hameau.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Béziers
Canton Saint-Pons-de-Thomières
Commune Puisserguier
Code postal 34620
Géographie
Coordonnées 43° 23′ 31″ nord, 3° 00′ 26″ est
Altitude Min. 140 m
Max. 160 m
Divers
Date de Fondation début du XVIIIe siècle
Localisation
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Hameau de la Manière

Le hameau de la Manière est un hameau situé sur le territoire de la commune française de Puisserguier, dans le département de l'Hérault en région Occitanie.

Situé à l'ouest de la région naturelle du Biterrois, sur un plateau principalement couvert de vignes et de garrigues, il connaît un développement modeste mais manifeste au cours des dernières décennies du XXe siècle à la suite de la construction de nombreuses maisons individuelles de type villa. Relativement isolé et dépourvu de tout commerce, le hameau se trouve dans l'aire d'appellation viticole de Saint-Chinian.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Quelques oliviers cultivés devant une pinède.
Une oliveraie au bord de la route menant au hameau.

Situé sur un plateau calcaire de la région naturelle du Biterrois, le hameau de la Manière se trouve à environ 4 km au nord-ouest de la commune de Puisserguier, dans le département français de l'Hérault[1]. Établi en limite administrative de la commune voisine de Cébazan[2], à 18 km à l'ouest de Béziers, le hameau se trouve à proximité des bourgs de Cébazan, 3 km à l'ouest, Cazedarnes, 4 km au nord et Creissan, 2 km au sud[3], tous trois en dehors du plateau sur lequel est construit le lieu-dit.

Climat[modifier | modifier le code]

Le hameau de la Manière possède un climat méditerranéen (climat Csa à Csb selon la classification de Köppen[4]), marqué par des étés secs et chauds[5]. Le déficit hydrique s'étend du au environ ; les périodes de pluie se retrouvent au printemps et surtout à l'automne. Le nombre de jours de pluie, liée pour partie au marin, vent de secteur sud-est, est relativement faible (environ 80 jours par an)[6]. La température moyenne annuelle s'établit aux environs de 15 °C[7].

La station météorologique[Note 1], ouverte le et fermée le , était située sur le territoire de la commune voisine de Cazouls-lès-Béziers, au lieu-dit les trois angles, à 97 m d'altitude[8].

Relevé météorologique[Note 2]
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 3,3 3,3 5,7 7 11,6 14,8 17,2 17 14 11,2 6,7 3,9 9,7
Température moyenne (°C) 7,4 7,9 10,7 12,9 16,9 20,7 23,5 23,1 19,7 15,8 10,8 8 14,8
Température maximale moyenne (°C) 11,6 12,6 15,7 18 22,2 26,6 29,8 29,3 25,4 20,4 14,9 12 19,9
Record de froid (°C) −15 −9,2 −7,6 −1 2,8 6,5 9 8 5,2 −2,7 −7 −9,3 −15
Record de chaleur (°C) 21,8 23 29,5 31 37,3 38,7 41 40,2 36,4 33,5 24,2 23,5 41
Précipitations (mm) 60 70,5 42,3 58,3 48,5 35 22,7 41,1 71,8 100,6 78,4 62,5 691,7
Source : Normales et records pour la période 1981-2010 à Cazouls-lès-Béziers[7]


Géologie[modifier | modifier le code]

Paysage de vignes en automne.
Vignes au bord de la route menant au hameau.

Le sous-sol du hameau est constitué de formations plissées calcaires et de marnes, au sein de la structure géologique de « l'arc de Saint-Chinian »[9],[10].

Topographie[modifier | modifier le code]

Le hameau se trouve sur un plateau calcaire et rocailleux couvert de garrigues, de pins d'Alep et planté de vignes, culminant à 208 mètres d'altitude au lieu-dit Les Trois-Tables (43° 24′ 15″ N, 3° 01′ 48″ E). Le hameau lui-même se trouve au sud-ouest du plateau, à une altitude comprise entre 140 et 160 mètres ; au centre, l'altitude est de 155 mètres[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le plateau est traversé par plusieurs ruisseaux qui forment des fossés (en occitan : valat[11]), débordant lors des pluies automnales (ruisseaux de Pech Rascas, des Galosses, des Bordes, de Fichoux, de la Baume, etc.)[1]. Ceux s'écoulant en direction du sud se déversent dans le ruisseau de Fichoux, lui-même se jetant dans le Lirou, affluent de l'Orb, au pied du plateau. Le Lirou délimite d'ailleurs le versant sud du plateau entre les communes de Creissan et de Cébazan[2]. Le cadastre de 1953 mentionne l'existence du ruisseau de la Manière, à l'est du hameau[12] renommé ultérieurement ruisseau de Fichoux[2].

À quelques kilomètres à l'est, en contrebas de la route conduisant au hameau, se rencontre le gourg de Fichoux. Il s'agit d'un ensemble de trois trous d'eau (gourg signifiant gouffre en occitan[13]). Situés au pied d'une crête rocheuse, le lieu est accessible par un petit escalier de 120 marches à flanc de paroi. L'escarpement et la couleur de la roche associés aux cascades que forme le ruisseau en dehors de la saison sèche en font la notoriété locale[14].

Voies de communications[modifier | modifier le code]

Un plan de hameau.
Plan du hameau.

Le hameau est desservi par la route départementale 37E3 qui parcourt le sud du plateau depuis un carrefour situé à l'embranchement de la routedépartementale 612 et de la route de Creissan, via le gourg de Fichoux. La RD 612 passe également en contrebas du hameau, une petite route pentue permettant de le rejoindre directement. Ancienne route nationale 112, la RD 612 est une voie structurante du réseau départemental reliant Béziers à Saint-Pons-de-Thomières, et au-delà, Albi à Montpellier via Agde. Cet axe connait ainsi un trafic soutenu, notamment de poids-lourds[15].

Quatre voies traversent le hameau : la traverse des magnans, voie principale, n'est autre que le prolongement de la RD 37E3, qui s'achève en chemins non revêtus dès la sortie du lieu-dit ; les chemins des garennes, des oliviers et des lavandes, tous trois en impasse et desservant uniquement des habitations[2].

Deux chemins et un sentier quittent le hameau : la traverse des magnans se scinde en deux chemins non revêtus, l'un vers l'ouest en direction de Cébazan, l'autre vers le nord, dit chemin de Saint-Bauléry[12]. Quant au sentier, il s'agit du chemin des lavandes qui traverse la garrigue en direction de l'est[2].

Histoire[modifier | modifier le code]

La modestie du lieu ne permet pas de connaître précisément son histoire. Dès le début du XVIIIe siècle est néanmoins mentionnée la « métairie de La Moinère », alors prise en affermage par Françoise de Guibal, fille de l'ancien bailli de Ginestas et descendante d'une famille de robe de Béziers[16].

La carte de Cassini, réalisée au début des années 1770[Note 3], ne fait pas mention du hameau ou de la métairie mais montre que la route de Castres à Béziers emprunte le tracé actuel de la petite route départementale 37E3 : elle grimpe au plateau en suivant le cours du ruisseau de Fichoux, en léger amont de sa confluence avec le Lirou, et longe le bord sud du plateau jusqu'à Cébazan[19].

La « métairie de la Manière » réapparait sur le cadastre de 1809 où le lieu-dit n'est composé que d'un seul corps de bâtiments, au droit sud de l'actuel chemin des lavandes[20],[21].

Dès 1836 puis tout au long du XIXe siècle, le lieu-dit n'est plus désigné que sous le terme de hameau de la Manière ; aucune mention de ferme ou métairie n'étant plus faite, ce qui atteste de la relative importance du lieu et d'un habitat collectif[22],[23]. Les cartes d'état-major du XIXe siècle mentionnent le lieu-dit (sous le nom de « La Mainière ») qui apparait composé de deux corps de bâtiments de part et d'autre de la route de Castres[2]. Le lieu-dit aurait donc vu depuis 1809 de nouvelles constructions s'élever sur le côté opposé de la route.

On sait peu de choses de le développement « urbanistique » du hameau. Tout au plus qu'une citerne d'eau est construite au début du XXe siècle, ce qui n'empêche pas le lieu de ne voir la construction d'une conduite d'eau potable qu'en 1967 et l'eau courante mise en service qu'entre 1978 et 1982[24]. Le hameau est raccordé au réseau électrique plus précocement, en 1941, par le biais de la régie municipale de la commune voisine de Cazouls-lès-Béziers[25] qui continue d'en assurer la distribution[26].

L'actuelle route départementale 612, en contrebas du plateau le long du cours du Lirou, apparaît sur les cartes du début des années1950, l'ancienne voie n'étant plus représentée que comme un simple chemin départemental[12].

Le développement récent du hameau, avec la construction de nombreuses maisons individuelles de type villa, a considérablement étendu l'emprise foncière de celui-ci qui compte à la fin des années 2010 une cinquantaine de logements.

Le , un important incendie se déclare sur les hauteurs de Cébazan, à proximité du hameau, mobilisant quelque 450 pompiers appuyés par 15 avions bombardiers d'eau dont quatre à sept Canadair et un dash. Attisé par le vent et la chaleur, l'incendie provoque l'évacuation préventive d'une partie du hameau et est maîtrisé après avoir brûlé une centaine d'hectares[27],[28],[29].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le hameau est mentionné au début du XVIIIe siècle comme métairie de La Moinère[16] tandis qu'au XIXe siècle apparaît sur les cartes d'État-major la Mainière[2], semble-t-il abusivement puisque la totalité des registres communaux de recensement de la période 1836-1936 renvoient au hameau de la Manière[23]. Lors du recensement de 1881, le lieu est nommé hameau de la garrigue[23].

Le mot manière renvoie peut-être à l'activité séricicole, l'occitan languedocien connaissant le terme manhanièra signifiant magnanerie, lieu où l'on élève les vers à soie[30], le mot magnan signifiant « ver à soie » (voir en ce sens l'appellation de traverse des magnans)[31].

Il pourrait également renvoyer à manh, « grand » en occitan, comme dans le toponyme Villemagne-l'Argentière[30]. Cependant, la modestie historique du lieu et l'appellation de traverse des magnans semble favoriser la première hypothèse.

Population et société[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

Au cours de la première moitié du XIXe siècle, le hameau ne compte qu'un peu plus d'une vingtaine d'habitants. La population augmente légèrement à partir du milieu du siècle avant de stagner autour d'une quarantaine d'habitants pour ne retomber qu'à 28 en 1936, date du dernier recensement connu. La population se compose quasi-exclusivement d'agriculteurs (cultivateurs ou propriétaires), à l'exception par exemple d'un berger en 1841 ou encore d'un menuisier, fils d'une famille du hameau[23].

Avec la construction de nombreuses maisons individuelles de type villa à partir des dernières décennies du XXe siècle, le hameau de la Manière a vu sa population fortement augmenter : avec une cinquantaine de logements à la fin des années 2010, le hameau compte une centaine d'habitants.

Évolution démographique de la Manière - 1836-1936[Note 4]
1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876 1881
22252430354645382748
1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936
43374036323847423928
(Sources : Archives départementales de l'Hérault[23])

Administration et équipements publics[modifier | modifier le code]

Une rue d'un hameau, avec un vieux pick-up jaune stationné devant une grange.
Vue de la traverse des magnans.

La localité appartient à la commune de Puisserguier et fait donc partie de l'arrondissement de Béziers, du canton de Saint-Pons-de-Thomières et de la communauté de communes Sud-Hérault[33].

Elle possède une boîte aux lettres relevée quotidiennement[34].

Le réseau électrique est géré et distribué par la régie municipale de Cazouls-lès-Béziers[26].

Forage d'exploitation[modifier | modifier le code]

Le village de Puisserguier était alimenté historiquement par la station de pompage de la Manière, située au nord du hameau[35] à une altitude de 154 m et puisant l'eau potable à une profondeur de 133 m[36], suppléé ultérieurement par le forage de Fichoux[37]. Ce captage, d'un débit de 600 m3 par jour, est progressivement abandonné compte tenu de sa trop faible importance et de sa pollution aux pesticides qui va en s'aggravant depuis 1996[38], abandon effectif en ce qui concerne le bourg de Puisserguier à compter de 2018, à la suite du raccordement du village au réseau des communes du syndicat intercommunal à vocation multiple d'Ensérune[39].

Bassin de stockage anti-incendie[modifier | modifier le code]

Un bassin de stockage d'eau, ouvrage de prévention et de lutte contre les feux de forêt, a été installé sur le territoire du hameau au niveau du chemin des oliviers à la suite des incendies de l'été 2016[40].

Économie[modifier | modifier le code]

Le hameau ne compte aucun commerce. L'activité économique repose sur le tourisme avec la location de logements durant l'été et la viticulture. En effet, le hameau, qui compte encore quelques vignes, est situé dans l'aire d'appellation Saint-Chinian et de nombreuses vignes couvrent les alentours[41].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Il existe un petit musée automobile dans le hameau : le « musée-récit de la motocyclette Terrot ».

Créé par Joël Roure, ce « musée-récit » évoque principalement la marque de motocyclettes Terrot (avec 25 modèles anciens) mais possède également une collection de voitures de collection, le tout accompagné de reconstitutions de magasin de cycles, d'ateliers, etc. Le musée se visite gratuitement sur rendez-vous[42],[43].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les coordonnées de la station météorologique sont : 43° 14′ N, 3° 03′ E.
  2. Les normales annuelles ont été mises à jour le 12 mai 2019.
  3. La feuille de la carte de Cassini correspondant à la Manière est la feuille numérotée 112 (Lodève)[17], dont les levées auraient été effectuées en 1771 et 1772[18].
  4. Les archives des recensements n'ont pas toujours été conservées et une circulaire du Ministère de l'Instruction publique de 1887 avait explicitement désigné les listes nominatives comme étant des papiers inutiles pouvant être détruits. Une étude faite en 1963 sur un échantillon représentatif de 827 communes avait constaté que pour chaque recensement antérieur à 1836, les listes nominatives n'avaient été conservées aux archives départementales que pour moins de 8 % des communes, tandis qu'à partir de 1836, la proportion était de l'ordre de 50 % ou plus[32].

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Claudine Riva, « Puisserguier », sur Gîte du Four à chaux, (consulté le ).
  2. a b c d e f g et h « Géoportail », sur le site remonter le temps de l'institut géographique national (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Calculez la distance entre deux villes », sur le site distance.to (consulté le ).
  4. (en) Peel, M. C. and Finlayson, B. L. and McMahon, T. A., « Updated world map of the Köppen-Geiger climate classification », Hydrol. Earth Syst. Sci., (consulté le ).
  5. Isabelle Veltz, « Les climats du globe — Eduterre », sur eduterre.ens-lyon.fr, un site de l’École normale supérieure de Lyon, (consulté le ).
  6. « Sols et Climats de l'AOC Saint-Chinian », sur le site de l'appellation Saint-Chinian (consulté le ).
  7. a et b « Normales et records pour la période 1981-2010 à Cazouls-lès-Béziers », sur le site infoclimat.fr (consulté le ).
  8. « Fiche du Poste 49020001 », sur le site de Météo-France (consulté le ).
  9. « L'eau dans la commune : Puisserguier (34) », sur le site du Système d'Information sur l'Eau (SIE) du bassin Rhône-Méditerranée (consulté le ).
  10. A. Labouvette, F. Arthaud, A. Bambier, P. Freytet, H. Paloc, « Notice explicative de la feuille Saint-Chinian à 1/50 000e », Bureau de recherches géologiques et minières,‎ , p. 16 (lire en ligne [PDF]).
  11. Robert Geuljans, « Vallat, valat | Etymologie-occitane », sur le site étymologie occitane, (consulté le ).
  12. a b et c « 2073 W 563 - Section L Feuille 3 », extrait du cadastre de 1953, sur le site des archives départementales de l'Hérault (consulté le ).
  13. Robert Geuljans, « Gour, gourg | Etymologie-occitane », sur le site étymologie occitane, (consulté le ).
  14. « Gourgues du Fichoux - Puisserguier », sur le site de l'office du tourisme de l'Hérault (consulté le ).
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  16. a et b Jacques Gérard, « Un cas d'usurpation de noblesse en Languedoc : les Rouch de Ginestas », Bulletin de la Société archéologique, scientifique et littéraire de Béziers, neuvième, vol. II,‎ , p. 69 (BNF 34410186, lire en ligne, consulté le ).
  17. « Carte de France », sur le site Historical Map Collection de David Rumsey (consulté le ).
  18. « Carte de Cassini, liste des 181 feuilles », sur le site CDIP.com (consulté le ).
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'EHESS.
  20. « 3 P 3418 Section M de La Garrigue », Cadastre de 1809, sur le site des archives départementales de l'Hérault (consulté le ).
  21. « 3 P 3418 Section L1 des Moulins », Cadastre de 1809, sur le site des archives départementales de l'Hérault (consulté le ).
  22. Eugène Thomas, Dictionnaire topographique du département de l'Hérault : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXI-278 p., in-4° (BNF 37326793, présentation en ligne, lire en ligne), p. 104.
  23. a b c d et e « Recensement de population », sur le site des archives départementales de l'Hérault (consulté le ).
  24. « La guerre de l'eau », sur le site de l'écomusée de Puisserguier (consulté le ).
  25. « Histoire de la Régie », sur le site de la Régie Municipale de Cazouls lès Béziers (consulté le ).
  26. a et b « Électricité », sur le site de la Régie Municipale de Cazouls-lès-Béziers (consulté le ).
  27. Élisabeth Badinier, « Environ 450 pompiers envoyés sur un incendie dans le Biterrois », sur le site de la radio France Bleu, (consulté le ).
  28. Fabrice Dubault, « Incendie à Cébazan : le feu qui a détruit moins de 100 hectares est fixé », sur le site de France 3 Occitanie, (consulté le ).
  29. « Cébazan : un important incendie détruit 100 hectares », sur le site du quotidien Midi Libre, (consulté le ).
  30. a et b Frank Hamlin et Abbé Cabrol, Études héraultaises, Toponymie de l'Hérault : Dictionnaire topographique et étymologique, Millau, Éditions du beffroi, (lire en ligne).
  31. Robert Geuljans, « Magnan, magnanerie | Etymologie-occitane », sur le site étymologie occitane, (consulté le ).
  32. Jean-Noël Biraben, Inventaire des listes nominatives de recensement en France in Population, Année 1963, vol. 18, no 2, p. 305-328.
  33. « Commune de Puisserguier (34225) », sur le site de l'INSEE (consulté le ).
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  35. « Infoterre Fiche Données - Dossier du sous-sol - BSS002HZYH », sur le site infoterre du Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM) (consulté le ).
  36. « Point d'eau 10146X0012/MANIER - Site public - ADES », sur ades.eaufrance.fr (consulté le ).
  37. Viviane Ferri, Rapport d'enquête publique : Travaux de dérivation des eaux souterraines en vue de l’alimentation en eau potable de la commune de Puisserguier à partir du captage de Fichoux, (lire en ligne).
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  41. « Carte des terroirs de saint-Chinian », sur le site de l'appellation Saint-Chinian (consulté le ).
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  43. « Jomoto », sur le blog Jomoto (consulté le ).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Lien externe[modifier | modifier le code]