Châteauneuf-sur-Cher

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Châteauneuf-sur-Cher
Châteauneuf-sur-Cher
Blason de Châteauneuf-sur-Cher
Blason
Châteauneuf-sur-Cher
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Cher
Arrondissement Saint-Amand-Montrond
Intercommunalité Communauté de communes Arnon Boischaut Cher
(siège)
Maire
Mandat
William Pelletier
2020-2026
Code postal 18190
Code commune 18058
Démographie
Population
municipale
1 394 hab. (2021 en diminution de 4,65 % par rapport à 2015)
Densité 63 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 51′ 30″ nord, 2° 19′ 02″ est
Altitude Min. 132 m
Max. 174 m
Superficie 21,97 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Bourges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Trouy
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web chateauneufsurcher.fr
Le Cher

Châteauneuf-sur-Cher est une commune française située dans le département du Cher en région Centre-Val de Loire.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Rose des vents Corquoy Sainte-Lunaise Serruelles Rose des vents
N Chavannes
O    Châteauneuf-sur-Cher    E
S
Venesmes Saint-Loup-des-Chaumes

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Centre et contreforts nord du Massif Central » et « Ouest et nord-ouest du Massif Central »[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 728 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,3 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lignières à 16 km à vol d'oiseau[3], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 774,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Châteauneuf-sur-Cher est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bourges, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,8 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (78,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,9 %), forêts (14,3 %), prairies (10,5 %), zones agricoles hétérogènes (6,4 %), zones urbanisées (6,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,6 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Châteauneuf-sur-Cher est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel et la rupture d'un barrage[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Cher. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993 et 1999[15],[13].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Châteauneuf-sur-Cher.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[16]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 92,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 937 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 847 sont en aléa moyen ou fort, soit 90 %, à comparer aux 83 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[13].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[18].

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[19].

La commune est en outre située en aval du barrage de Rochebut, de classe A[Note 3] et faisant l'objet d'un PPI. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ancienne église de Châteauneuf-sur-Cher

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Une forteresse est édifiée vers l'an mil en ce lieu qui était à la limite de la vicomté de Bourges et de la seigneurie de Déols, et donc à la frontière de la partie du Berry tournée vers l'Aquitaine et de la partie qui était sous l'influence de la maison de Blois-Champagne[22].

Le , le seigneur de Déols-Châteauroux,Eudes Ier de Déols, vainc une armée conduite par l’archevêque de Bourges Aymon de Bourbon, qui voulait ainsi faire respecter par la force la paix de Dieu[23]. À la suite de cette victoire, Châteauneuf devint possession de la famille de Déols-Châteauroux[22].

Le , le chef de mercenaires Raymond Brun meurt à Châteauneuf-sur-Cher[24].

Aux XIIIe – XVIe siècles, les Culan en sont les seigneurs.

Période moderne[modifier | modifier le code]

En 1569, de violents combats opposent les catholiques et les protestants. L'ancienne église de Châteauneuf est incendiée. Une nouvelle église dédiée à Saint-Pierre sera construite et consacrée le par Monseigneur Renaud de Beaune, archevêque de Bourges. Le maître-autel contient des reliques de saint Clément, saint Jacques le Majeur et saint Symphorien[25].

Aux XVIe et XVIIe siècles, la famille de L'Aubespine fut titrée baron puis marquis de Châteauneuf (le ministre Claude, son fils cadet Guillaume, et le fils cadet de ce dernier, Charles). Aux XVIIe et XVIIIe siècles, Colbert puis Pontchartrain en furent barons.

La paroisse était située à l’origine à Marigny, jusqu’à la construction du château à Châteauneuf. Le château a créé un pôle d’attraction, et le village s’est petit à petit presque entièrement déplacé, jusqu’à ce que le village d’origine ne soit qu’un simple hameau[26].

Pendant la Révolution, la commune est rebaptisée Montagne-sur-Cher.

Économie[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
? 1986 Daniel Perrot PCF Conseiller général du Canton de Chateauneuf-sur-Cher
(1964-1988)
1986 juin 1995 Jean Vigneron PCF Conseiller général du Canton de Chateauneuf-sur-Cher
(1988-1994)
juin 1995 août 1998 Louis Begassat    
août 1998 en cours William Pelletier[27],[28]   Ancienne profession intermédiaire

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Dans son palmarès 2016, le Conseil National des Villes et Villages Fleuris de France a attribué une fleur à la commune au Concours des villes et villages fleuris[29].

Démographie[modifier | modifier le code]

La communauté de Châteauneuf est en crise démographique au début du XVIIIe siècle, puisqu’elle passe de 203 feux en 1709 à 147 en 1726[30]. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)[31]. L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 1 394 habitants[Note 4], en diminution de 4,65 % par rapport à 2015 (Cher : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5561 6081 7321 7002 0192 2482 2192 3812 699
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 7083 0052 9932 6832 6652 7282 7822 6142 527
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 3892 4002 3582 0302 0152 0071 9402 0101 880
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 8651 7831 7221 6571 6451 6141 5351 4831 456
2021 - - - - - - - -
1 394--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Étienne Bouzique (1801-1877), maire de Bourges et député du Cher, né et mort à Châteauneuf-sur-Cher.
  • François Ernest Mallard (1833 - 1894), cristallographe et minéralogiste français, né à Châteauneuf-sur-Cher.
  • Paul de Garros (1867-1923), romancier français, auteur de romans populaires, né à Châteauneuf-sur-Cher.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Châteauneuf-sur-Cher

La commune de Châteauneuf-sur-Cher porte :
Écartelé : au premier et au quatrième de gueules aux trois fleurs d'aubépine d'argent, au deuxième et au troisième d'azur au heaume d'argent taré de profil[40].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[20].
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Châteauneuf-sur-Cher et Lignières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Lignières » (commune de Lignières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Lignières » (commune de Lignières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le )
  13. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Châteauneuf-sur-Cher », sur Géorisques (consulté le )
  14. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  15. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  16. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  18. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque industriel.
  19. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  20. Article R214-112 du code de l’environnement
  21. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Cher », sur www.cher.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  22. a et b Guy Devailly, Le Berry du Xe siècle au milieu du XIIIe : étude politique, religieuse, sociale et économique, Walter de Gruyter, 2017, 636 p. (ISBN 9783111631066). Voir p. 147 (en ligne).
  23. Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 10.
  24. Histoire du Berry: Volume 2 - 1844 - Louis Reinal - page 64-72
  25. E.-G. HERVET, Notre-Dame des Enfants, histoire de l'église de Châteauneuf-sur-Cher et de l'archiconfrérie de Notre-Dame des Enfants, Paris, Pierre Téqui, 1896, p. 9-13
  26. Berry médiéval, op. cit., p. 54
  27. « Résultats des élections municipales 2020 - Maire sortant », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  28. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  29. Site des villes et villages fleuris, consulté le 23 décembre 2016.
  30. Olivier Zeller, « Changement agraire et récession démographique : la première enquête Orry (1730). L'exemple de l'élection d'Issoudun », Annales de démographie historique 2/2007 (n° 114), p. 168
  31. Zeller, op. cit., p. 145 et 153
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Notice no PA00096767, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. Notice no PA00096768, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Notice no PA00096769, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. [1]
  40. Le blason de Châteauneuf-sur-Cher sur le site de la commune. Consultation : février 2009.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]