Un grand homme de province à Paris
Illusions perdues | ||||||||
Illustration d'Adrien Moreau. | ||||||||
Auteur | Honoré de Balzac | |||||||
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Pays | France | |||||||
Genre | Étude de mœurs | |||||||
Éditeur | Werdet (tome 1) Hyppolite Souverain (tome 2) Furne (tome 3) |
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Collection | Scènes de la vie parisienne | |||||||
Date de parution | entre 1836 et 1843 | |||||||
Chronologie | ||||||||
Série | La Comédie humaine | |||||||
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Un grand homme de province à Paris est la deuxième partie, publiée en 1839, des Illusions perdues[1], roman d’Honoré de Balzac paru en trois parties entre 1836 et 1843 et désormais édité en un seul volume.
Description
[modifier | modifier le code]Paris étant un milieu de perte d'illusions en ce qui concerne l'amour des deux amants venant d'Angoulême, ceux-ci se laissent emporter par le courant de la vie parisienne lors d'une soirée à l'Opéra. Lucien de Rubempré se détache de madame de Bargeton et se remet à retravailler ses manuscrits. Il se fait des amis, Daniel d'Arthez et Étienne Lousteau, qui sont l'un écrivain, l'autre journaliste. N'ayant pas de succès pour son travail de poète, il se lance dans le journalisme où il connaît un réel succès. Plus tard, il devient l'amant d'une actrice du nom de Coralie, il mène ainsi quelque temps une existence brillante et luxueuse, mais se fait des ennemis. Il subit la vengeance de Louise, et, après la mort de Coralie, la femme qu'il aimait, il décide de retourner à Angoulême.
Illusions perdues et Splendeurs et misères des courtisanes sont les deux œuvres monumentales de La Comédie humaine.
Notes et références
[modifier | modifier le code]- Voir notice et résumé de ce titre dans la section « Principales œuvres ».
Bibliographie
[modifier | modifier le code]- André Lacaux, « Le premier état d’Un grand homme de province à Paris », L’Année balzacienne, 1969, p. 187-210.