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« Il n’y a pas actuellement de pays sous-développés ; il y a des pays sous-analysés »


Jacques Berque, Revue Tiers Monde, vol. 9-10, 1962, p.3



Institut d'étude du développement économique et social
Histoire
Fondation
Statut
Type
Régime linguistique
Français
Fondateur
Président
Marie-Hélène Aubert, conseillère environnementale du président de la République François Hollande
Directeur
Membre de
Site web
Chiffres-clés
Étudiants
250
Budget
470 000 € en 2014[1]
Localisation
Pays
Campus
Campus de la mondialisation et du développement durable du Jardin tropical de Paris
Ville


L'Institut d’étude du développement économique et social (IEDES), fondé en 1957 par le gouvernement français, est une entité de l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.

L'IEDES forme pour des terrains africain, asiatique, sud-américain et européen, des professionnels et des docteurs en développement. Ces professionnels sont appelés à diriger, voire à élaborer des projets techniques dans des contextes parfois extrêmes. L'IEDES mène à des carrières internationales, variées et évolutives dans[2] :

Histoire[modifier | modifier le code]

Trajectoire[modifier | modifier le code]

Créé en 1957 lors de la vague des indépendances africaines et asiatiques, l'IEDES est avec la Queen Elizabeth House de l’Université d'Oxford, le plus ancien institut d’études du développement[3]. L'IEDES a adapté avec le temps ses missions de recherches et de formations sur les mondes en développement[4].

Dans les années 1960, l’IEDES a contribué à la diffusion du keynésianisme dans les pays du Tiers Monde[5]. Dans les années 1970, face au courant réformiste keynésien émerge à l'IEDES le courant « dépendantiste » axé sur les luttes sociales en Amérique latine. L'IEDES forme alors des cadres pour des politiques de substitution aux importations[6]. Dans les années 1980, dans un contexte de déclin du bloc de l’Est, de crises d’endettement en Amérique latine et en Afrique, l’IEDES forme des cadres pour l’ajustement structurel[7].

Depuis les années 1990, le processus de mondialisation s'est accéléré, le monde est entré dans l'ère numérique. L’IEDES forme toujours des cadres prêts à opérer pour des Etats, institutions internationales ou décentralisées, structures non gouvernementales (secteurs associatif et privé) entreprenant des projets visant à réduire la pauvreté, à satisfaire les besoins essentiels, à protéger l’environnement et les écosystèmes[8].

Personnalités de l'IEDES[modifier | modifier le code]

Directeurs[modifier | modifier le code]

Présidents du conseil d'administration[modifier | modifier le code]

Anciens enseignants[modifier | modifier le code]

De nombreux universitaires renommés ont enseigné à l'IEDES[9].

  • Economie
Charles Bettelheim, analyste des économies capitalistes et socialistes, conseiller de différents gouvernements dans le domaine de la planification du développement ;
Marc Chervel, spécialiste des démarches alternatives aux remèdes libéraux préconisés par les organisations internationales dominantes ;
Ignacy Sachs, pionnier de l'écodéveloppement et du développement durable ;
Celso Furtado, économiste du développement. Ministre au Brésil en charge de la Planification (1961-1964) puis de la Culture (1985-1990) ;
Gérard Destanne de Bernis, inventeur du concept d'« industrie industrialisante », conseiller du dirigeant algérien Houari Boumédiène ;
Moises Ikonicoff, économiste du développement. Ministre de la Planification en Argentine sous le premier mandat de Carlos Menem ;
Philippe Hugon, économiste du développement spécialiste de l'Afrique ;
Guy Caire, économiste du travail ;
Arghiri Emmanuel, spécialiste de l'échange inégal.
  • Sociologie
Pierre Cot, politiste, ministre du Commerce et de l'Air sous la IIIe République ;
Georges Balandier, inventeur avec Alfred Sauvy du concept de Tiers monde ;
Manuel Castells, spécialiste des communications, technologies et société ;
Bernard Kayser, spécialiste du monde rural ;
Albert Meister, spécialiste du développement et des organisations associatives ;
Yves Goussault, spécialiste des questions agraires, cofondateur avec l'Abbé Pierre de l'IRAM ;
Alain Touraine, spécialiste de l'action sociale et des nouveaux mouvements sociaux ;
Rodolfo Stavenhagen, spécialiste des conflits ethniques ;
Fernando Henrique Cardoso, spécialiste des processus de changement social, de développement et dépendance. Président du Brésil de 1995 à 2003.
  • Géographie
Yves Lacoste, père de l'école française de géopolitique ;
Michel Rochefort, spécialiste du monde urbain ;
Milton Santos, spécialiste du monde urbain.
  • Agronomie
René Dumont, premier candidat « écologiste » à une élection présidentielle française en 1974 ;
Louis Malassis, directeur général de l'enseignement et de la recherche au ministère de l'Agriculture ;
Marcel Mazoyer, président du Comité des programmes de la FAO de 1984 à 1993 ;
Michel Griffon, concepteur de l'agriculture écologiquement intensive.

Anciens élèves[modifier | modifier le code]

De nombreux ministres et hauts fonctionnaires dans des domaines très variés sont diplômés de l'IEDES.

  • Chefs de gouvernement
Moustapha Niasse, Premier ministre du Sénégal en 1983 et 2000-2001, président de l'Assemblée nationale sénégalaise depuis 2012 ;
Abel Goumba, Premier ministre de la République centrafricaine en 1959 et en 2003 ;
Mouhammad Saïd Al-Attar, Premier ministre du Yémen en 1994 ;
Gérard Latortue, Premier ministre d'Haïti de 2004 à 2006.
  • Ministres
en Finances et en Économie :
Edmond Ky en Haute-Volta de 1980 à 1982 ;
Jean-Pierre Lemboumba au Gabon de 1980 à 1990 ;
Ghazi Hidouci en Algérie de 1989 à 1991 ;
Henri Bazin en Haïti de 2004 à 2006.
en Affaires étrangères
Frédéric Affo au Bénin de 1984 à 1987.
du Commerce
Talata Kafando au Burkina en 1994.
du Travail et des Affaires sociales
Maamar Benguerba en Algérie de 1992 à 1993.
de la Fonction publique
Jorge Esteban Roulet en Argentine de 1983 à 1986.
des Infrastructures
Chérif Chako au Niger de 1996 à 1999.
des Affaires générales et de la Gouvernance
Mohamed Louafa au Maroc depuis 2013.
  • Gouverneurs de banque
Mohamed Salah Bouaziz directeur général de la Banque centrale de Tunisie ;
Pascal Ndjave directeur général de la Banque internationale pour le Commerce et l'Industrie du Gabon ;
Justin Agbodjinou directeur de la Banque béninoise pour le développement.

L'IEDES compte également parmi ses anciens élèves d'illustres figures féminines : l'intellectuelle et militante féministe iranienne Iran Teymourtash, l'architecte et vice-gouverneur de Buenos Aires (1983-1987) Elva Roulet, la cofondatrice et responsable de 1973 à 1999 de France terre d'asile Sylviane Abou.

Formation[modifier | modifier le code]

Cursus II° cycle : Master pro Etudes du développement[modifier | modifier le code]

Le Master Etudes du développement est délivré à la fois par l'IEDES et par Paris 1. Il forme des cadres internationaux maîtrisant plus particulièrement :

  • l'analyse et le diagnostic ;
  • les ressources humaines  ;
  • les responsabilités comptable, administrative, juridique ;
  • des connaissances pratiques en agronomie, en statistiques, en santé, en éducation, en communication.

En 2011, il était estimé que[10] :

  • 80 % des étudiants IEDES trouvent un emploi dans l’année qui suit l’obtention du diplôme ;
  • 60 % occupent des postes de cadres ;
  • 45 % travaillent hors de France.

Cursus III° cycle : Doctorat - UMR Développement et sociétés[modifier | modifier le code]

Depuis 2008, le centre pluridisciplinaire de recherche de l’IEDES pilote avec l’Institut de recherche pour le développement (IRD) l’Unité Mixte de Recherche Développement et sociétés (UMR D&S). L'UMR D&S est la plus importante unité de recherche française travaillant sur les questions économiques et sociales des pays du Sud[11].

L’UMR D&S forme sur le site du Jardin tropical de Paris une cinquantaine[11] de doctorants en développement dans des disciplines aussi bien économiques que sociales. L’UMR D&S délivre des diplômes de[12] , [13] :

  • l'École doctorale de géographie de Paris pour des thèses en géographie, sociologie, démographie ou anthropologie ;
  • l'École doctorale d'économie de l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne ;
  • l'École doctorale de sciences politiques de l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne ;
  • l'École doctorale de droit comparé de l'Université Paris 1 Panthéon Sorbonne.


Grâce à l’IRD, le laboratoire de l’IEDES dispose d’un appui conséquent à la recherche : affectations à l’étranger, missions de longue durée, accueils d’enseignants-chercheurs, bourses doctorales et postdoctorales[14].

Organisation[modifier | modifier le code]

Institut interne de l'Université Panthéon-Sorbonne Paris1[modifier | modifier le code]

L’IEDES est une unité de formation et de recherche de l’Université Panthéon-Sorbonne. Les diplômes délivrés par l’IEDES sont de fait des diplômes délivrés par Paris1. À ce titre, l’IEDES est placé sous la triple autorité du conseil d’administration, du conseil scientifique et du conseil des études et de la vie universitaire de Paris1[14].

L’Institut dispose néanmoins d’une large autonomie de par ses statuts[14].

Le pilotage du master Etudes du développement et du doctorat se fait au niveau de plusieurs instances[15] :

  • La direction de l’IEDES
Le directeur et son équipe assurent la cohérence d'ensemble des différents parcours du master, nomment les responsables des spécialités.
Depuis novembre 2013, la direction de l'IEDES est assurée par la sociologue Anne Le Naëlou[16].
  • Le conseil de l’enseignement et de la recherche (CER) commun à l'IEDES et à l'UMR D&S
Le CER présidé par le directeur de l'IEDES, est convoqué plusieurs fois par an, les étudiants élus y participent. Le CER est chargé de donner son avis sur le programme pédagogique et celui de recherche. Il prépare les délibérations du conseil d’administration de l'IEDES, et celles du conseil de laboratoire de l'UMR D&S.
  • Le conseil d’administration (CA) de l’IEDES
Le CA complète et entérine les résolutions discutées par le CER concernant le master. Le CA se compose du CER et de quatre personnalités extérieures, dont son président.
Depuis novembre 2013, la présidence du CA de l'IEDES est assurée par Marie-Hélène Aubert[17], actuelle conseillère pour les négociations internationales climat et environnement du président de la République François Hollande.
  • Le conseil de laboratoire de l'UMR D&S
Le conseil de laboratoire adopte les résolutions du CER concernant le doctorat. Ses membres sont élus, à l’exception de son directeur lequel est nommé après concertation par les présidents de l’Université Paris 1 et de l’IRD[14].
Depuis juillet 2013, le directeur nommé de l'UMR D&S est le géographe Pierre Janin.
  • Le comité d’orientation stratégique (COS) de l’IEDES
Créé en 2011 le COS est un organe consultatif de l'IEDES regroupant des personnalités issues du développement et aidant l'IEDES à élaborer son programme stratégique.
Depuis 2011, la présidence du COS est assurée par Emmanuel Faber[18], directeur général de Danone.

Frais d'inscription[modifier | modifier le code]

Partant du principe républicain qu'une université avec des enseignements de qualité doit être accessible à tous, le gouvernement français aide l'Université Panthéon-Sorbonne et ipso facto l'IEDES à maintenir des frais d'inscription peu élevés. Pour une formation initiale, les frais d'inscription (hors cotisation pour la Sécurité Sociale) arrêtés par l'Université Paris1 ont été pour l'année universitaire 2014/2015 d'environ 260€ pour le master, de 400€ pour le doctorat[19]. L'entrée est sélective, seules 10% environ des candidatures au master sont retenues[20].

Cette grille de tarifs ne s'applique pas dans le cadre d'une formation continue, les frais étant acquittés par une entreprise, l'inscription s'établit autour de 7 500€.

Réputation académique[modifier | modifier le code]

Tiers-Monde revue scientifique[modifier | modifier le code]

De nombreux enseignants-chercheurs de l'IEDES et personnalités de renom ont publié dans la revue : le Nobel d'économie néerlandais Jan Tinbergen, l'économiste argentin Raúl Prebisch, le socio-économiste hétérodoxe Albert Hirschman, le Nobel d'économie suédois Gunnar Myrdal, l'économiste américain Paul Sweezy ... [21].

Tiers-Monde est une revue francophone internationale, interdisciplinaire et trimestrielle créée par l’IEDES en 1960. Le directeur de la publication est de droit le directeur de l'IEDES. Actuellement il s'agit d'Anne Le Naëlou.

Le fondateur de la revue, Henri Laugier, souhaitait pour Tiers-Monde une « publication ouverte à toutes les doctrines, à toutes les conceptions, aux idées les plus diverses, les plus non conformistes, les plus hétérodoxes »[21]. Aujourd'hui Tiers-Monde continue de faire dialoguer utopies idéologiques et réalités socio-économiques en considérant dans leur diversité et complexité : les institutions et conventions, les conflits, les compromis, les sociétés civiles, les modes de gouvernance du local au global, etc...[22]

Les numéros édités par les Presses Universitaires de France de 1960 à 2006 sont en libre accès gratuit sur www.persee.fr. Les numéros édités aux éditions Armand Colin depuis 2006 sont consultables sur www.cairn.info[23]. Les proposition d'articles sont à adresser au comité de rédaction de Tiers-Monde et sont examinées de manière anonyme[24].

Erasmus et échanges internationaux en 2014/2015[modifier | modifier le code]

En études du développement[modifier | modifier le code]

Réseau mobilité de l'Université Paris1[modifier | modifier le code]

Vie étudiante[modifier | modifier le code]

Campus de la mondialisation et du développement durable[modifier | modifier le code]

Initialement installé dans un hôtel boulevard Arago dans le 13e arrondissement de Paris, l'IEDES est depuis 1998 installé sur le Campus de la mondialisation et du développement durable créé à l'initiative de Michel Griffon[25].

L'IEDES bénéficie d'espaces. Ce campus se situe sur le site du Jardin tropical de Paris à l'est du bois de Vincennes, à la lisière de Nogent-sur-Marne, quasiment au point le plus oriental de Paris. Le Jardin mesure 8 hectares, les locaux 1500 m²[26]. Les 250 étudiants (80 M1, 120 M2, 50 doctorants)[26] évoluent aux abords des vestiges des pavillons coloniaux érigés pour l'exposition coloniale de 1907. Sur le campus, les étudiants sont associés à un ensemble de structures spécialisées dans le développement[25].


L'IEDES-UMR D&S partage le campus avec deux cellules de recherche


L'IEDES partage le campus avec des organisations professionnelles du développement


Association des études et du développement (AED)[modifier | modifier le code]

L'Association des études et du développement (AED) fédère depuis 1995, toutes les associations de l'IEDES. L'AED est dirigée par un bureau des étudiants et est présidée par un bureau des enseignants.

L'AED est une plateforme de :

  • rencontres entre étudiants, anciens étudiants et amis de l'Institut[27] ;
  • projets IEDES relatifs au développement et à la solidarité entre pays du nord et du sud[28].

Quelques projets menés par l'AED depuis 2008 :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Compte-rendu du conseil d’administration de l’IEDES réuni le 29 novembre 2013, p.5 », sur https://www.univ-paris1.fr/
  2. IEDES 2011, p. 18
  3. IEDES 2011, p. 9
  4. IEDES 2011, p. 11
  5. Hugon 2007, p. 721-722
  6. Hugon 2007, p. 723-725
  7. Hugon 2007, p. 725-728
  8. Hugon 2007, p. 728-731
  9. Guichaoua 2007, p. 650
  10. IEDES 2011, p. 20
  11. a et b IEDES 2011, p. 12
  12. IEDES 2011, p. 22
  13. « « Admissions en doctorat » dans la rubrique Recherche et valorisation », sur http://www.univ-paris1.fr/ufr/iedes/
  14. a b c et d IEDES 2011, p. 45
  15. AERES 2013, p. 2
  16. « Compte-rendu du conseil d’administration de l’IEDES réuni le 29 novembre 2013, p.2 », sur https://www.univ-paris1.fr/
  17. « Compte-rendu du conseil d’administration de l’IEDES réuni le 29 novembre 2013, p.1 », sur https://www.univ-paris1.fr/
  18. « Compte-rendu du conseil d’administration de l’IEDES réuni le 29 novembre 2013, p.4 », sur https://www.univ-paris1.fr/
  19. « Montants des droits universitaires et cotisation sécurité sociale de l’Université Paris1 », sur https://www.univ-paris1.fr/
  20. AERES 2013, p. 4
  21. a et b Caire 2007, p. 670
  22. Hugon 2007, p. 718
  23. IEDES 2011, p. 41
  24. « « La Revue » dans Revue Tiers-Monde », sur http://www.univ-paris1.fr/ufr/iedes/
  25. a et b IEDES 2011, p. 36
  26. a et b IEDES 2011, p. 17
  27. « « Présentation » dans la rubrique Association Etudes et Développement (AED) », sur http://www.univ-paris1.fr/ufr/iedes/
  28. « « Les projets en cours » dans la rubrique Association Etudes et Développement (AED) », sur http://www.univ-paris1.fr/ufr/iedes/

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sources et bibliographie[modifier | modifier le code]

Sources primaires[modifier | modifier le code]

  • IEDES, Institut d’étude du développement économique et social, Paris, Université Panthéon-Sorbonne Paris1, coll. « brochure de présentation », , 50 p.
  • Mohamed-Ali Marouani et Mario Lanzarotti, Expertise économique en politiques et projets de développement, Paris, IEDES, coll. « brochure de présentation », , 9 p.
  • Mohammed-Ali Marouani et Alexandre Kolev, Expertise en économie du travail et développement, Paris, IEDES, coll. « brochure de présentation », , 4 p.
  • Charlotte Guénard, Développement agricole et politiques économiques, Paris, IEDES, coll. « brochure de présentation », , 15 p.
  • Sylvie Capitant, Développement local : acteurs, mobilisations et territoires, Paris, IEDES, coll. « brochure de présentation », , 5 p.
  • Anne Le Naëlou, Crises, interventions d’urgence et actions de développement, Paris, IEDES, coll. « brochure de présentation », , 16 p.
  • Tania Angeloff et Karine Marazyan, Développement social et économique : travail, formation, santé, Paris, IEDES, coll. « brochure de présentation », , 15 p.
  • Roser Cusso et Sylvie Capitant, Master 2 Recherche : sociétés en développement, Paris, IEDES, coll. « brochure de présentation », , 5 p.

Sources secondaires[modifier | modifier le code]

  • AERES, Rapport d’évaluation du master Etudes du développement, Paris, AERES, coll. « Vague D – 2014-2018 Campagne d’évaluation 2012-2013 », , 15 p.
  • Guy Caire, « L'IEDES a 50 ans. Des travaux et des jours d'un vert quinquagénaire », Revue Tiers Monde, Paris, Armand Colin, vol. 191 « Itinéraires de chercheurs et parcours d'une institution : l'IEDES a 50 ans »,‎ , p.661-697
  • André Guichaoua, « Au terme de cinq décennies du développement », Revue Tiers Monde, Paris, Armand Colin, vol. 191 « Itinéraires de chercheurs et parcours d'une institution : l'IEDES a 50 ans »,‎ , p.647-659
  • Philippe Hugon, « Retour sur une cinquantaine d'années d'économie du développement dans la Revie Tiers Monde », Revue Tiers Monde, Paris, Armand Colin, vol. 191 « Itinéraires de chercheurs et parcours d'une institution : l'IEDES a 50 ans »,‎ , p.717-741

Articles connexes[modifier | modifier le code]