Saint-Laurent-en-Grandvaux

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Saint-Laurent-en-Grandvaux
Saint-Laurent-en-Grandvaux
Mairie de Saint-Laurent-en-Grandvaux.
Blason de Saint-Laurent-en-Grandvaux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Jura
Arrondissement Saint-Claude
Intercommunalité CC la Grandvallière
Maire
Mandat
Françoise Vespa
2020-2026
Code postal 39150
Code commune 39487
Démographie
Gentilé Grandvalliers
Population
municipale
1 820 hab. (2021 en diminution de 0,6 % par rapport à 2015)
Densité 104 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 34′ 35″ nord, 5° 57′ 24″ est
Altitude Min. 824 m
Max. 1 094 m
Superficie 17,57 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Hauts de Bienne
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Laurent-en-Grandvaux
(bureau centralisateur)
Législatives 2e circonscription du Jura
Localisation
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Liens
Site web https://www.st-laurent39.fr/r/

Saint-Laurent-en-Grandvaux est une commune française située dans le département du Jura, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Saint-Laurent-en-Grandvaux est un bourg du Haut-Jura, capitale historique du Grandvaux située sur la Route nationale 5 et la Route nationale 78. La gare de Saint-Laurent-en-Grandvaux, située sur la ligne d'Andelot-en-Montagne à La Cluse, est desservie par les trains trains du réseau TER Bourgogne-Franche-Comté de la ligne (Paris) - (Dijon) - Dole - Pontarlier / Saint-Claude

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Fort-du-Plasne, La Chaumusse, Grande-Rivière, Lac-des-Rouges-Truites, Morbier, Saint-Pierre et Grande-Rivière Château.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Lemme, et le Ruisseau du Saillet sont les principaux cours d'eau traversant la commune. Les gorges de la Lemme d'une longueur de 7 km se déroulent à proximité de Saint-Laurent.

La Lemme est un affluent de la Saine, et donc un sous-affluent du Rhône par lAin.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Jura, caractérisée par une forte pluviométrie en toutes saisons (1 000 à 1 500 mm/an), des hivers rigoureux et un ensoleillement médiocre[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 7,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 818 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 10,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Cogna », sur la commune de Cogna à 15 km à vol d'oiseau[3], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 557,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39 °C, atteinte le ; la température minimale est de −18,5 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Saint-Laurent-en-Grandvaux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Hauts de Bienne, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 7 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (57,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,6 %), prairies (36,1 %), zones urbanisées (7,8 %), zones agricoles hétérogènes (3,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 1 048, alors qu'il était de 1 028 en 2013 et de 856 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 76,9 % étaient des résidences principales, 13,6 % des résidences secondaires et 9,6 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 58,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 40,8 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Laurent-en-Grandvaux en 2018 en comparaison avec celle du département du Jura et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (13,6 %) supérieure à celle du département (10,3 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 62 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (59,7 % en 2013), contre 65,8 % pour le département du Jura et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Saint-Laurent-en-Grandvaux en 2018.
Typologie Saint-Laurent-en-Grandvaux[I 1] Jura[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 76,9 79,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 13,6 10,3 9,7
Logements vacants (en %) 9,6 9,9 8,2

Toponymie[modifier | modifier le code]

Au cours de la Révolution française, la commune, alors nommée simplement Saint-Laurent porta provisoirement le nom de Main-Libre[14].
C'est en 1962 que fut ajoutée la terminaison distinctive -en-Grandvaux au nom de la commune[14].

Le Grandvaux est le nom du plateau dominé à l'est par la crête de la Joux-Devant (1 094 m), la forêt du Mont-Noir (1 276 m).

Histoire[modifier | modifier le code]

La particularité des habitants de cette région fut pendant des siècles, la pratique du transport de marchandises : le roulage, qui se transmettait de père en fils dans les familles de Grandvalliers (habitants du Grandvaux). Les rouliers de Grandvalliers étaient connus dans toute la France ; ils étaient en quelque sorte les ancêtres des routiers actuels. Ils partaient sur les routes et chemins, tous les ans, en automne par petits convois de charrettes tirées par un seul cheval. Ils emportaient les produits locaux : bois, grumes de sapins, fromages, articles produits à Saint-Claude. Les produits vendus au fil du voyage étaient remplacés par d'autres achetés dans les bourgades traversées.

Le retour au Grandvaux s'effectuait seulement au printemps et les hommes redevenant des paysans, reprenaient les travaux des champs. Les Grandvalliers étaient plus instruits que le reste des paysans de l'époque, ils savaient lire, écrire et compter. La prospérité des Grandvalliers était certaine ; ils vivaient très confortablement de leurs revenus.

Temps modernes[modifier | modifier le code]

De 1740 à 1750, les routes de Saint-Laurent à Lons-le-Saunier, Champagnole et Besançon furent construites, ce qui contribua largement au développement de l'activité des Grandvalliers.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Revers du progrès, l'apparition du chemin de fer lors de la 2e moitié du XIXe siècle entraîna rapidement la mort du métier de roulier. Un roman de Bernard Clavel, Meurtre sur le Grandvaux, met en scène un roulier grandvallier[15].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement de Saint-Claude du département du Jura

Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Saint-Laurent-en-Grandvaux[14]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Saint-Laurent-en-Grandvaux, porté de 15 à 73 communes.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription du Jura.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Saint-Laurent-en-Grandvaux est membre de la communauté de communes la Grandvallière, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 1994 et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Lors des élections municipales de 2014 dans le Jura, la liste UDI menée par la maire sortante Françoise Vespa est la seule candidate et obtient donc la totalité des 499 suffrages exprimés. La liste est donc élue en totalité et 6 de ses membres sont également conseillers communautaires.
Lors de ce scrutin, 49,43 % des électeurs se sont abstenus et 19,77 % des votants ont choisis un bulletin blanc ou nul[16].

Lors des élections municipales de 2020 dans le Jura, la liste UDI menée par la maire sortante Françoise Vespa est à nouveau la seule candidate et obtient donc la totalité des 259 suffrages exprimés. La liste est donc élue en totalité et 9 de ses membres sont également conseillers communautaires.
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 74,42 % des électeurs se sont abstenus et 15,64 % des votants ont choisis un bulletin blanc ou nul[16].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1816 1830 Claude Étienne Besson   Négociant à St-Laurent
         
mars 2001 En cours
(au 22 mars 2023)
Françoise Vespa UDI-PRV puis
MR puis
PRV
Conseillère départementale de Saint-Laurent-en-Grandvaux (2015 → )
Vice-présidente du conseil départemental du Jura (2015 → 2021)
Présidente de la CC la Grandvallière (2020 → )
Présidente du parc naturel régional du Haut-Jura (2020[17] → )
Réélue pour le mandat 2020-2026[18]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[20].

En 2021, la commune comptait 1 820 habitants[Note 4], en diminution de 0,6 % par rapport à 2015 (Jura : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0831 2181 1981 3281 3251 3491 3001 2501 228
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1831 2581 2041 0851 1661 1361 2671 1281 175
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0151 0251 0239829681 0279791 0041 005
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 3211 5231 6741 7351 7811 7671 7401 7361 832
2017 2021 - - - - - - -
1 8071 820-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[14] puis Insee à partir de 2006[21].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le village ne présente pas de monument particulièrement intéressant. Saint-Laurent, entièrement détruit par un grand incendie en 1867, a été reconstruit dans un style banal; les murs des bâtiments ont été recouverts de zinc ou de tôle galvanisée pour protéger les zones les plus exposées à la pluie. L'église elle-même est bardée de la sorte. Le bardage des maisons était autrefois en tavaillons : il nécessitait des milliers de petites lames d'épicéa refendues à la main (ce type de revêtement porte le nom de bardeaux dans d'autres régions).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Auguste Bailly, écrivain mort à Saint-Laurent en 1967.
  • Michel Bédat, patron d'industries né à Saint-Laurent en 1925.
  • Louis Eugène Bouvier, entomologiste et carcinologiste, a donné son nom au collège public de la commune
  • Antoine Lyonnet, inspecteur d'académie honoraire, résistant 1939-1945[22] a donné son nom à un groupe primaire, rue des Pessières, sur les hauts de Saint-Laurent.
  • Quentin Fillon-Maillet, biathlète, a grandi à Saint-Laurent.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Saint-Laurent-en-Grandvaux Blason
Tranché: au 1er d'azur à l'étoile de huit rais d'argent, au 2e d'or plain; au sapin arraché de sinople brochant à dextre; à la cotice d'argent brochant sur le tout.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Alphonse Rousset, Dictionnaire géographique, historique et statistique des communes de la Franche-Comté et des hameaux qui en dépendent, classés par département, 1863, (ISBN 2-87760-981-2).
  • Pierre Gresser, Claude Mercier, André Robert, Michel Vernus - Le guide du Jura - éditions la Manufacture -1990 - (ISBN 2-7377-0206-2)

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Saint-Laurent-en-Grandvaux et Cogna », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Cogna », sur la commune de Cogna - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Cogna », sur la commune de Cogna - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  15. « 金沙检测线路js69·主頁歡迎您 », sur auteurs-chapitre.com (consulté le ).
  16. a et b Résultats officiels pour la commune Saint-Laurent-en-Grandvaux
  17. Monique Henriet, « Françoise Vespa, maire de Saint-Laurent-en-Grandvaux, élue présidente du Parc Naturel Régional du Haut-Jura : Ce samedi 18 septembre 2020, Françoise Vespa a été élue pour succéder à Jean-Gabriel Nast, ancien maire de Longchaumois, qui a présidé le comité syndical pendant 22 ans », Voix du Jura,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  22. Bulletin de "l'association des amis du Grand-Vaux, 1980 : « Durant la guerre, il montra son courage face à l'occupant allemand. Il apporta son aide aux maquisards de la région … » - biographie reprise dans le dictionnaire biographique du département du Jura p.336, Max Roche et Michel Vernus, Arts et Littérature, 39 Lons Saunier, 1996