Reignac (Gironde)

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Reignac
Reignac (Gironde)
Le centre-bourg depuis la route de Montendre
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Blaye
Intercommunalité Communauté de communes de l'Estuaire
Maire
Mandat
Pierre Renou
2020-2026
Code postal 33860
Code commune 33351
Démographie
Population
municipale
1 622 hab. (2021 en augmentation de 6,36 % par rapport à 2015)
Densité 43 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 14′ 05″ nord, 0° 30′ 22″ ouest
Altitude Min. 7 m
Max. 65 m
Superficie 37,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de l'Estuaire
Législatives Onzième circonscription
Localisation
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Reignac
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Reignac
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Reignac

Reignac est une commune du Sud-Ouest de la France, dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune, située dans le Blayais (Haute-Gironde), est proche de la Charente-Maritime, dont la limite se trouve à 5 km au nord.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Saint-Savin, Campugnan, Cartelègue, Donnezac, Étauliers, Saint-Aubin-de-Blaye, Saugon, Val-de-Livenne et Marcillac.

Relief et hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est arrosée par plusieurs ruisseaux coulant d'est en ouest :

  • la Livenne (sa limite nord), affluent de la Gironde après avoir traversé le réseau des canaux du marais de Braud-et-Saint-Louis) ;
  • le ruisseau du Pas de l'Egron (ou du Pas de Légron), affluent de la Livenne ;
  • la Coulée, qui passe au nord du bourg, affluent de la Livenne ;
  • le ruisseau qui passe entre Reaud et Fraineau, affluent de la rivière des Martinettes ;
  • la rivière des Martinettes (sa limite sud), affluent de la Livenne.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 937 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Savin à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 835,2 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Reignac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (56,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (38,7 %), zones agricoles hétérogènes (28,9 %), cultures permanentes (13,5 %), prairies (11,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %), zones urbanisées (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par l'autoroute A10 (de Bordeaux à Paris, via Saintes, Niort, Poitiers, Tours, Orléans) ; la sortie 38 (vers Blaye) se trouve sur son territoire.

La route nationale 10 (de Bordeaux à Paris, via Angoulême, Poitiers, Tours, Châteaudun, Chartres) passe à une quinzaine de km à l'est de la commune (Cavignac, Montlieu-la-Garde).

La route D 137 (anciennement N 137[14], de Bordeaux à Saint-Malo, via Saintes, Rochefort, La Rochelle, Chantonnay, Nantes, Rennes), passe à Étauliers et Saint-Aubin-de-Blaye.

Reignac est relié à Blaye et à Montendre par la route D 253, à Saint-Ciers-sur-Gironde par la D 18, à Bourg-sur-Gironde (via Saugon et Saint-Christoly-de-Blaye) par la D 132.

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Reignac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1999 et 2009[17],[15].

Reignac est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[18]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[19],[20].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Reignac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 811 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 811 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2003, 2005 et 2010 et par des mouvements de terrain en 1999[15].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune étant située totalement dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire du Blayais, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 2]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 3],[24],[25].

Histoire[modifier | modifier le code]

La laiterie du Beau Jard, construite en 1935, s'organise encoopérative en 1951. Elle cesse son activité en 1980, année où elle est regroupée avec la laiterie de Baignes (Charente) dont elle dépendait[26].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Reignac faisait partie du canton de Saint-Ciers-sur-Gironde (11 communes) jusqu'à la création du canton de l'Estuaire (39 communes) en 2014.

La communauté de communes de l'Estuaire compte 14 communes : toutes celles de l'ancien canton de Saint-Ciers[27] et 4 qui n'en faisaient pas partie.

Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
1935 1965 Joseph Lacampagne
(1881-1965)
SFIO Instituteur puis professeur
1965 1977 Edmond Renou SE Agriculteur
1977 1983 Guy Mazaubert (1925-2005) SE Principal de collège
1983 1989 Paul Aurian RPR  
1989 2003 Guy Mazaubert SE Retraité ; démissionne en cours de mandat
2003 2014 Allain Gandré SE  
2014 En cours Pierre Renou SE Artisan
Les données manquantes sont à compléter.
La mairie

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 1 622 habitants[Note 4], en augmentation de 6,36 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 4001 4931 5801 4161 6861 8992 0212 0652 216
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 2702 3372 2882 2692 2562 1922 1012 1142 056
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0011 9771 9201 7361 7301 6801 6471 5051 505
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 4351 3521 2671 2061 2631 1971 3331 3321 441
2015 2020 2021 - - - - - -
1 5251 6131 622------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

L'activité agricole est importante, notamment la viticulture (450 hectares[33]) : Château Les Bertrands, Château Les Vieux Moulins, Vignobles Dubois et Fils, etc.

Dans le hameau de Reaud, est implantée la SCEA du Vieux Puit (sic), à l'origine spécialisée dans les plants de vigne.

Près de ce hameau, ont été récemment installées des serres photovoltaïques (2019), régies par la société Les Serres du Vieux Puits (filiale de l'entreprise Urbasolar).

Les prairies permanentes occupent environ 1 000 ha.

Une production caractéristique est celle de l'asperge (50 ha).

La forêt occupe une surface importante : 1600 ha (pins, bouleaux, chênes...). Il s'agit de propriétés privées.

Industrie[modifier | modifier le code]

Reignac compte deux scieries dans le hameau de Verdot (scieries Soulard et Delage).

L'entreprise girondine de béton Audoin et Fils a un établissement à Reignac, situé dans le Parc 2 de la zone industrielle Gironde Synergie proche de la sortie de l'autoroute (le Parc 1 étant situé à Saint-Aubin-de-Blaye).

Un projet de parc éolien initié par la Communauté de communes, est actuellement en litige[34].

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

La poste

Reignac héberge le Centre de formation multimétiers de Haute-Gironde « Guy Mazaubert », établissement de formation professionnelle par apprentissage régi par la communauté de communes de l'Estuaire.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • l'église paroissiale Saint-Maurice, de style néo-gothique, a un clocher-porche dont la flèche est élancée (59 m) ; elle a été construite à partir de 1869 à l'emplacement d'une église plus ancienne.
  • la Chapelle Notre-Dame-de-Tutiac, à Verdot : la construction date du XIIIe siècle.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Henry Delage, éleveur du cheval Jappeloup, habitait la commune ; le terrain de sport situé sur la route de Saint-Ciers lui est dédié.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  3. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Reignac et Saint-Savin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saint-Savin » (commune de Saint-Savin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Savin » (commune de Saint-Savin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. La dénomination D 137 est utilisée pour tous les tronçons déclassés en 2005
  15. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Reignac », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  18. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Reignac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE du Blayais. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  26. « Laiterie du Beau Jard », notice no IA00136050, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Réduites à 10 du fait de la fusion de Marcillac et de Saint-Caprais en Val-de-Livenne.
  28. Voir site de la mairie de Reignac, page Histoire de Reignac
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Cf. site de la commune, page Patrimoine
  34. Voir site de Sud-Ouest, 8 juin 2013,