François de Créquy

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 François de Créquy
Marquis de Marines
François de Créquy
Gravure représentant le maréchal de Créquy, seconde moitié du XVIIe siècle.

Surnom Maréchal de Créquy
Naissance
Décès (à 62 ans)
à Paris
Origine Français
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Arme Infanterie
Dignité d'État Maréchal de France
Conflits Guerre de Trente Ans
Guerre de Hollande
Famille Famille de Créquy

Emblème

François de Blanchefort de Créquy de Bonne[1], marquis de Marines, dit le « Maréchal de Créquy », maréchal de France, possédant le château de Marines (né en 1625 - mort le à Paris), est un homme de guerre du règne de Louis XIV.

Il s'illustre dans les nombreuses campagnes militaires qui jalonnent le XVIIe siècle à partir de la guerre de Trente Ans. Il fut célébré de son vivant comme le digne successeur de Turenne, et comme l'un des chefs militaires les plus importants de son temps.

Il était le petit frère de Charles III de Créquy, avec qui il ne faut pas le confondre puisqu'ils sont morts tous deux en février 1687 à quelques jours d'intervalle.

Biographie[modifier | modifier le code]

Origines et famille[modifier | modifier le code]

Signature de François de Créquy

Né dans la famille de Blanchefort, substituée à la famille de Créquy, une famille de la noblesse remontant au Xe siècle pour la branche Créquy et au XIIIe siècle pour la branche Blanchefort, héritière d'une grande tradition militaire, François de Créquy est le plus jeune fils de Charles de Blanchefort, (mort en 1630), en son vivant sire de Créquy et de Canaples, et d'Anne Grimoard du Roure.

Il est aussi le petit-fils de Charles Ier de (Blanchefort) Créquy (1573-1638), gendre de Lesdiguières[2]. Son frère aîné, Charles III de (Blanchefort) Créquy (1624-1687), duc de Poix, était ami de Louis XIV et son ambassadeur. Son autre frère, Alphonse de (Blanchefort) Créquy, comte de Canaples, succéda au titre de duc de Lesdiguières et pair de France.

Carrière militaire[modifier | modifier le code]

François de (Blanchefort) Créquy se fait remarquer, très jeune, lors de la guerre de Trente Ans qu'à l'âge d'à peine vingt-six ans, il est nommé maréchal de camp, et qu'il devient lieutenant-général avant d'avoir atteint trente ans.

1648-1653 : un militaire fidèle au roi pendant la Fronde[modifier | modifier le code]

Créquy est considéré comme l'un des plus brillants jeunes officiers, et il gagna les faveurs du roi Louis XIV par sa fidélité envers la Cour lors de la seconde Fronde (1652-1653). Il faut rappeler a contrario la trahison de Turenne pendant cette même période, ce que Créquy ne lui pardonnera jamais, et d'où naîtront les dissensions entre les deux grands militaires.

1657 : son mariage avec Catherine du Plessis-Bellière, fille de la marquise du même nom[modifier | modifier le code]

Le 21 janvier 1657 le marquis de Créquy épouse Catherine de Rougé (1641-1713), alors âgée de seulement 16 ans, fille du marquis (alors décédé) et de la marquise du Plessis-Bellière. Il avait alors 28 ans. L'épouse apporte 60 000 livres de dot. Avec les 149 000 livres mentionnés au contrat comme lui revenant en propre, on arrive au total de 200 000 livres qui auraient été, dit-on, réglés par le surintendant Fouquet. Il est évident que les Rougé n’avaient pas de tels moyens. L'époux était d'une illustre famille, celle des Créquy, mais il n'avait pas le train de vie de ses frères aînés. Créquy était alors membre du clan Fouquet. Ce mariage est une consécration pour Mme du Plessis-Bellière, mère de Catherine, Suzanne étant la plus active des conseillères de Nicolas Fouquet. A ce titre, le marquis de Créquy est un proche du cercle de Saint-Mandé et du Surintendant dans les années 1653-1661. En épousant Catherine du Plessis-Bellière, il épouse également le mythe glorieux de son père, Jacques de Rougé du Plessis-Bellière, qui était l'un des fidèles et des plus importants militaires du roi pendant la Fronde, et qui mourut en 1654 près de Naples.

1659 : l'achat de la seigneurie du château de Marines[modifier | modifier le code]

En 1659, il achète la seigneurie et le château de Marines (Val-d'Oise).

Eté 1661 : la prestigieuse charge de Général des Galères de France[modifier | modifier le code]

Maquette de l'intérieur de La Réale

En juillet 1661, grâce au soutien de Fouquet, dont il est du premier cercle, il acquiert la charge prestigieuse de Général des Galères, moyennant la somme colossale de 700.000 livres, de la famille du cardinal de Richelieu, charge qui appartenait en effet au petit-neveu de Richelieu, le duc de Richelieu, né Armand-Jean de Vignerot du Plessis.

1661-1666 : disgrâce du marquis de Créquy suite à l'arrestation de Fouquet[modifier | modifier le code]

Mais à l'arrestation de Nicolas Fouquet, manigencée par Colbert depuis plusieurs années, Créquy est disgrâcié, car trop proche du Surintendant. En effet, son épouse Catherine n'est autre que la fille de la meilleure amie et principale conseillère de Nicolas Fouquet.

Le maréchal de Créquy fut relevé de ses fonctions dès le 24 septembre 1661, il reçut l'ordre se rendre à Langres, puis s'exila dans son château de Marines (Val d'Oise), et il ne retrouva un poste militaire qu’en 1667.

1667 : victoires contre le comte de Marsin et le prince de Ligne[modifier | modifier le code]

Il poursuit sa carrière dans les guerres de Flandres et de Catalogne, et se fait à nouveau remarquer par ses victoires contre le comte de Marsin (1667) et contre le prince de Ligne.

1668 : Créquy, maréchal de France[modifier | modifier le code]

François de Blanchefort de Créquy (1629-1687)

Le 8 juillet 1668, le marquis de Créquy est élevé à la dignité de maréchal de France. La même année, il dirige les troupes françaises lors du siège de Dole, alors la capitale de la Franche-Comté. L’église est incendiée.

Le 11 mars 1669, le maréchal de Créquy accepte de s'arranger avec le duc de Vivonne, frère aîné de Mme de Montespan alors en pleine faveur, pour céder à ce dernier, contre 500.000 livres, la prestigieuse charge de capitaine général des galères de France. La marquise du Plessis-Bellière avait fait acquérir cette charge à son gendre en juillet 1661, juste avant l'arrestation de Fouquet.

Cette même année 1669, son épouse donne naissance à un deuxième fils, prénommé Nicolas Charles de Blanchefort Créquy.

automne 1670 - printemps 1672 : Créquy, Gouverneur de la Lorraine[modifier | modifier le code]

Intérieur de la façade du Palais ducal de Nancy, vu côté jardin.

Le , le maréchal de Créquy entre dans Nancy, s'emparant de la Lorraine de Charles IV, et dirigeant sur place une armée de 26.000 hommes. De l'automne 1670 au printemps 1672, le maréchal de Créquy déploya la plus grande activité, comme gouverneur de la Lorraine. Il exécuta les ordres rigoureux de Louis XIV et Louvois, et essaya d'en atténuer la dureté sur place, depuis Nancy où il résidait. Après la mort du maréchal de Rochefort, à Nancy, le 23 mai 1676, Créquy repris le gouvernement de la Lorraine qu'il devait garder jusqu'à sa mort.

Le 26 février 1671, Créquy écrit à Colbert pour lui recommander Mme du Plessis-Bellière, dont le ministre avait pourtant provoqué la chute dix ans plus tôt :

"Quoique mes sollicitations se fassent un peu de loin en loin, j'ose espérer... que vous aurez la bonté de vous ressouvenir que je vous ai parlé pour les intérêts de Mme du Plessis-Bellière, qui recherche d'avoir une entrevue de vous pour vous informer de ses raisons, qui sont telles qu'elles méritent quelque considération..."[3]

On ne sait pas ce que la marquise souhaitait demander à Colbert directement. Est-ce pour atténuer la dureté de la captivité de Nicolas Fouquet à Pignerol ?

1672 : nouvelle disgrâce de Créquy, qui ne veut pas être inféodé à Turenne[modifier | modifier le code]

Le maréchal de Turenne, par Charles Le Brun, musée de Versailles

Comme Créquy ne veut pas servir sous les ordres de Turenne - qui venait d'être nommé par Louis XIV capitaine général - à l'instar des maréchaux de Bellefonds et d'Humières, il est disgracié de nouveau. Mme de Sévigné écrit à sa fille, Mme de Grignan, une lettre le 29 avril 1672, ainsi qu'il suit :

"Mme du Plessis-Bellière m'a conté la conversation du roi et du maréchal de Créquy: elle est longue, forte, raisonnable et touchante. [...] Le maréchal de Créquy parut désespéré et dit au roi : Sire, ôtez-moi le bâton: n'êtes-vous pas le maître ? [...] Le roi fut touché de l'état où il le voyait, et comme il sortit du cabinet tout transporté, ne connaissant personne, le roi dit au maréchal de Villeroy : Suivez le marquis de Créquy, il est hors de lui ! Le maréchal de Créquy est allé à Marines chez lui, près Pontoise, avec sa femme et ses enfants. [...] Voilà ma bonne, de quoi il a été question depuis quatre jours".

1675 : la défaite de Consarbrück : Créquy prisonnier dans Trèves (Allemagne)[modifier | modifier le code]

Vue de Trèves

En 1675, après la mort de Turenne et le retrait de Condé, le maréchal de Créquy revient au service comme commandant de l'armée du Rhin (guerre de Hollande). En , il est battu par Charles de Lorraine à Consarbrück et à Philippsbourg. Il s'agirait de la première défaite véritablement importante de Louis XIV depuis sa prise de pouvoir en 1661.

Turenne meurt le 27 juillet 1675 près de Sasbach. Le maréchal de Créquy ne lui a jamais pardonné sa trahison envers la Couronne durant la Fronde.

En , il se laisse enfermer dans Trèves, où il doit faire face à une mutinerie[4], et où il est fait prisonnier par le colonel lorrain Jean de Croonders[5].

1677 : la magnifique campagne du maréchal de Créquy, digne successeur de Turenne[modifier | modifier le code]

La prise de Fribourg en 1677 par le maréchal de Créquy, Van der Meulen, collection du musée du Louvre

A l'automne 1676, le maréchal de Créquy fit venir à Nancy sa femme Catherine et ses enfants, et s'installa au palais ducal pour y passer l'hiver.

En 1677, le maréchal de Créquy prend sa revanche contre le duc de Lorraine à la bataille de Kokersberg (), avant de s'emparer de Fribourg (). En somme, après avoir tenu la puissante armée impériale en échec sur la Seille, la Moselle et la Meuse, il la refoule sur le Palatinat, puis franchit le Rhin par surprise au mois de novembre et s'empare de Fribourg.

"Il était considéré, dit La Fare, comme le seul qui pût, en quelque façon, remplacer Turenne".

Créquy écrit le 10 octobre 1677 à Louvois :

"Je n'oserais insister pour aller à Paris si une nécessité pressante et indispensable ne m'obligeait de chercher ma guérison ; d'ailleurs mes affaires domestiques sont en très méchant état et je trouve l'expédient de me ruiner avec le gouvernement de Lorraine" [6]

Eté 1678 : Créquy met fin à la troisième guerre de Hollande[modifier | modifier le code]

En il est envoyé sécuriser l'Alsace et bat l'électeur de Brandebourg, Frédéric-Guillaume Ier le Grand, ce qui met fin à la troisième guerre de Hollande (1672-1678)[7].

1679 : l'occupation de l'Allemagne[modifier | modifier le code]

En 1679, le maréchal de Créquy pénètre en Allemagne, force à Minden le passage du Weser, occupe l'Oldenbourg et soumet le Branderbourg et le Danemark.

1683 : Un mariage prestigieux pour le fils du maréchal de Créquy, avec la nièce de Louvois[modifier | modifier le code]

Descendance de la marquise du Plessis-Bellière, belle-mère du maréchal de Créquy

En 1683, il célèbre le mariage de son fils François Joseph de (Blanchefort) Créquy, marquis de Créquy, colonel du régiment Royal en 1680. Il épouse Anne Charlotte d'Aumont, fille de Louis Marie, duc d'Aumont, pair de France, et de Madeleine Le Tellier de Louvois. La mère de la mariée n'est autre que la fille de Michel Le Tellier, et soeur de Louvois et de son frère l'Archevêque de Rheims. Le mariage arrange les deux familles, comme à l'accoutumée : Les Le Tellier sont nouvellement riches et s'allient avec une lignée aristocratique prestigieuse, tandis que l'inverse s'applique à la famille du maréchal de Créquy.

1684 : le siège de Luxembourg, apothéose de la carrière du maréchal de Créquy[modifier | modifier le code]

Les Actions Heroiques de Louis le Grand en l année MDCLXXXIV La Prise de Luxembourg par l'Armée du Roy, Commandée par Mr. le Maréchal de Créqui le 4 juin 1684

En 1684, le maréchal de Créquy dirige le siège de Luxembourg, secondé par Vauban, puis prend la ville le , permettant à Louis XIV de l'annexer temporairement et de s'y rendre avec sa nouvelle épouse, la marquise de Maintenon. Le maréchal de Créquy est au sommet de sa gloire militaire, mais n'obtient pas la charge de maréchal de camp général qu'il convoitait. Le 20 juillet 1684, il fut autorisé à se rendre aux eaux de Barèges, dont il avait déjà éprouvé l'efficacité et qui, cette fois encore, calmèrent ses douleurs. Sa femme Catherine et sa belle-fille l'y accompagnèrent.

1685 : l'ascension du jeune marquis de Créquy (François Joseph) à la Cour, et sa participation au Carrousel des Maures à Versailles[modifier | modifier le code]

Costume de chevalier de la quadrille du Dauphin, Carrousel des Maures, Versailles, 1685. Ce costume a été porté par le jeune marquis de Créquy, François Joseph, fils du maréchal de Créquy

Les 4 et 5 juin 1685, le fils du maréchal, François Joseph de Créquy - dit le "beau Créquy" et désormais le "marquis de Créquy" puisque son père était dénommé alors le maréchal de Créquy - prit part dans le quadrille de Monseigneur, au carrousel "des galans maures de Grenade"[8] donné dans la carrière de la grande écurie du château de Versailles, en présence de Louis XIV.

Il était en effet l'un des proches compagnons de Monseigneur le Dauphin, et depuis 1683, de la famille de Louvois et d'Aumont, par son récent mariage. Au Carrousel, il était l'un des dix chevaliers Abencérages, du quadrille du Dauphin. Sa devise était un aigle volant, et pour âme : urget juventus et patrius vigor, qu'on traduit par "Son âge et ses aïeux, tout l'oblige à la gloire"[9]. On disait de lui qu'il "était très agréable de sa personne ; il avait beaucoup d'esprit et de valeur, mais il était médiocrement adroit, et il aimait trop ses plaisirs"[10].

Au printemps 1686, le fils du maréchal de Créquy, François Joseph de Créquy, et son épouse, Anne-Charlotte, nièce de Maurice Le Tellier, s'installèrent dans l'hôtel de Longueville, voisin de l'hôtel de Créquy, loué par l'archevêque de Reims pour y offrir l'hospitalité au jeune ménage[11]. Le maréchal de Créquy habitait l'hôtel voisin de Créquy.

Février 1687 : son décès et celui de son frère, le duc de Créquy[modifier | modifier le code]

François de blanchefort de Crequy, buste du XIXe siècle, château de Versailles

Décédé en son hôtel de la rue Saint-Nicaise, à Paris, le , il fut inhumé dans l'église des Jacobins-Saint-Honoré, dans une chapelle édifiée par sa veuve, où fut placé son mausolée, conçu et dessiné par Charles Le Brun ; réalisé par Antoine Coysevox, Jean Joly, et Nicolas Coustou.

Antoine Coysevox réalisa la statue du maréchal, figuré priant et accoudé. Jean Joly et Nicolas Coustou réalisèrent le reste de la statuaire, notamment les statues allégoriques de la Religion et de la Valeur, représentées assises et en proie à la douleur. Cette composition surmontait un bas relief figurant la bataille de Kochersberg, où le maréchal avait été victorieux. Elle était couronnée par deux anges, portant le blason de la Maison de Créquy.

Le maréchal de Créquy a offert le banc d'œuvre de l'église Saint-Germain l'Auxerrois, réalisé par François Mercier sur un dessin de Charles Le Brun.

Lorsque l'église des Jacobins Saint Honoré fut occupée en 1791 par le Club des jacobins, avant d'être détruite, ce beau mausolée, dont l'aspect n'est plus connu que par des gravures, fut démonté (avec celui du peintre Pierre Mignard[12]).

Après un dépôt au Musée des monuments français, seul le buste du maréchal de Créquy fut remonté en 1819 dans l'église Saint-Roch[13], dans la chapelle des sculptures, où il est toujours visible[14], avec une partie du mausolée de son frère, le duc de Créquy (exécuté par Simon Hurtrelle et Pierre Mazeline), provenant de la chapelle du couvent des Capucines de la place Vendôme[15].

Mariage et descendance[modifier | modifier le code]

Franque - François de Créquy, XIXe siècle - MV 7405

François de (Blanchefort) Créquy épouse en 1657 Catherine de Rougé, fille de Jacques de Rougé, marquis du Plessis-Bellière, lieutenant général des armées du Roi, et de Suzanne de Bruc. Elle mourut le 5 avril 1713, après ses fils et ses petites-filles. Comme elle survivait à toute sa descendance, elle hérita de son époux la seigneurie de Moreuil, qu'elle laissa à son petit-neveu Louis de Rougé, marquis du Plessis-Bellière. Après sa mort, la seigneurie de Marines fut vendue en 1714.

De l'union entre François de (Blanchefort) Créquy et Catherine de Rougé, sont issus deux enfants :

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. Également écrit Créqui
  2. « Les Créquy-Blanchefort », sur René Lesage
  3. Archives de la Bastille, cité par Lanouvelle, Créquy, p. 154.
  4. Le Dictionnaire populaire illustré de Décembre-Alonnier, tome 1, p.792 (à l'article DÉCIMATION), indique qu'il pratiqua une décimation sur les soldats de la garnison de Trèves qui s'étaient révoltés.
  5. Pascal Flaus, « Jean de Croonders (1609-1677), une vie au service de la Lorraine et de ses ducs », Le Cahier du Pays Naborien, no 34,‎ , p. 33-55
  6. AG 541 Créquy à Louvois, 10 octobre 1677.
  7. « Portrait du Maréchal de Créquy », sur René Lesage
  8. « Carrousel des galans Maures de Grenade entrepris par monseigneur le Dauphin à Versailles, 1685 », sur inha.fr (consulté le ).
  9. Voir Sourches, à la description du Carrousel, 4 et 5 juin 1685
  10. Sourches idem
  11. Dangeau, 26 mai 1686.
  12. « Photographies HD du monument Pierre Mignard, à l'intérieur de l'église Saint-Roch », sur eutouring.com (consulté le )
  13. Alexandre Maral & Valérie Carpentier-Vanhaverbeke, Antoine Coysevox Le sculpteur du Grand Siècle, Paris, Arthena, , 579 p. (ISBN 978-2-903239-66-4), p. 231-233 & 494
  14. « Photographies HD du buste de François de Créquy, à l'intérieur de l'église Saint-Roch », sur eutouring.com (consulté le )
  15. « Photographies HD du monument à Charles, duc de Créquy, à l'intérieur de l'église Saint-Roch », sur eutouring.com (consulté le )

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sources et bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Louis François Carlet, marquis de la Rozière, Campagne de M. le marechal de Crequy en Lorraine et en Alsace en 1677, Paris, . lire en ligne=Internet Archive
  • E. de Lanouvelle, Le Maréchal de Créquy, marquis de Marines, 1931, Paris, éditions Jules Taillandier, 326 pages ;
  • Thomas Delvaux, Le souci dynastique chez les Créquy : l'importance des alliances mises en avant au XVIIe siècle, Ivry-sur-Seine (no 1), (lire en ligne).

Articles connexes[modifier | modifier le code]