Aller au contenu

Maison d'Albert de Luynes

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
(Redirigé depuis Maison d'Albert d'Ailly)

Maison d'Albert de Luynes
Image illustrative de l’article Maison d'Albert de Luynes
Maison d'Albert de Luynes, armes modernes.

Blasonnement Ecartelé [1],[2], [3] :
- aux 1 et 4, d'azur à 4 chaînes d'argent, posées en sautoir, mouvantes d'un annelet d'argent en abîme, et aboutissantes dans les angles du quartier (qui est d'Alberti de Calenaia[2]) ;
- aux 2 et 3, d'or au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (qui est d'Albert au comté de Nice[2]) ;
- sur le tout, d'or au pal de gueules, chargé de trois chevrons d'argent (alias brochants) (qui est de Neuchâtel).
Période XVe au XXIe siècle
Pays ou province d’origine Drapeau du comtat Venaissin Comtat Venaissin
Allégeance Drapeau du royaume de France Royaume de France
Drapeau de la France France
Fiefs tenus Duché de Luynes (1619)
Albert
Demeures Château de Dampierre
Château de Luynes
Château d'Esclimont
Château de Poncher
Hôtel de Luynes
Charges Connétable de France
Pair de France
Député
Conseiller général
Fonctions militaires Maréchal de France
Général
Fonctions ecclésiastiques Cardinal
archevêque de Sens
Récompenses civiles Ordre national de la Légion d'honneur
Preuves de noblesse
Autres ANF-1948

La maison d'Albert puis d'Albert de Luynes, anciennement Albert, est une famille subsistante de la noblesse française, originaire du Comtat Venaissin.

Elevée au rang ducal en 1619, elle compte parmi ses membres un connétable de France, deux maréchaux de France, un mémorialiste, des gouverneurs, des prélats, un député et trois généraux.

L'origine de la maison d'Albert est difficile à démêler et elle est l'objet de controverses[2].

Elle paraît, par son blason, d'or au lion couronné de gueules, se rattacher à une famille Albert, de noblesse chevaleresque du comté de Nice, qui portait au Moyen Âge ces mêmes armoiries, et qui parait s'être éteinte au cours du siècle suivant[2].

La plupart des généalogistes ont rattaché la maison d'Albert à une famille Alberti, éteinte en 1837, qui appartenait à la noblesse florentine[2]. En 1397 un décret d'exil chassa de Florence la famille Alberti. Un document de 1409 constate qu'à cette dernière date un de ses membres, Thomas, était fixé à Avignon. D'autre part quand, le connétable de Luynes fut reçu chevalier des ordres du roi, il prouva sa noblesse depuis un Thomas Alberti qui fut nommé le aux fonctions, du reste assez modestes, de viguier royal de la petite ville de Pont-Saint-Esprit, près d'Avignon. D'après les généalogistes de la maison d'Albert de Luynes, ces deux Thomas Alberti n'auraient fait qu'un seul et même personnage dont cette famille serait issue[2].

André Steyert dans l'Armorial du Lyonnais, Forez et Beaujolais écrit : « aucun acte ne prouve cette filiation et qu'il y manque un degré pour qu'elle soit vraisemblable. En dehors de ces deux actes (celui de 1397 et celui de 1415), il n'est plus question de Thomas Alberti en France. Il est à croire qu'il rentra à Florence lorsque l'édit d'exil contre sa famille fut rapporté en 1428. »[2].

La filiation prouvée de la famille d'Albert de Luynes remonte à Thomas Albert, nommé viguier de Pont-Saint-Esprit en 1415, viguier royal de Bagnols-sur-Cèze en 1420, qui acquit en 1434 la seigneurie de Boussargues. Il fut pourvu en 1447 de la charge de bailli d'épée du Vivarais et du Valentinois et mourut le [2]. Ces preuves classent cette famille dans la noblesse dite d'ancienne extraction.

Subsistants

[modifier | modifier le code]
  • duc de Luxembourg en 1620 éteint en 1697, passé dans la maison de Montmorency[4]
  • duc de Chaulnes et de Picquigny en 1621, éteint en 1698, nouvelle érection en 1744 et éteint à nouveau en 1792[5],[2],[4], relevé depuis comme titre de courtoisie. Par contrat privé du 18 juin 1732, la branche des duc de Luynes et de Chevreuse et la branche d'Ailly des ducs de Chaulnes déclarent qu'en cas d'extinction de l'une ou l'autre branche, le fils aîné de la branche subsistante hériterait des duchés de Luynes et de Chevreuse et le fils cadet du duché de Chaulnes[6]. Ces conditions étant incompatibles avec les lois existantes, une dérogation fut soumise à l'approbation du Roi. Des lettres patentes de mars 1733, enregistrées au Parlement les 25 et 27 avril 1733, approuvent simplement les termes du contrat et prévoient que le duché et la pairie de Luynes, le duché de Chevreuse et le comté de Montfort (domaine des Luynes) et le duché et la pairie de Chaulnes, la baronnie de Picquigny avec les seigneuries de Vignacourt et de Flixecourt (alors domaine des Chaulnes), doivent être concernés comme le précise le contrat[6].
En 1869, Paul d'Albert de Luynes (d'une branche non issue des ducs de Chaulnes) relève le titre de duc de de Chaulnes[7], se référant aux lettres patentes de mars 1733. Depuis, des branches subsistantes de la famille d'Albert de Luynes portent le titre de duc de Chaulnes.
Les auteurs du Dictionnaire de la noblesse française (1975) écrivent « Le titre de duc de Chaulnes et de Picquigny fut relevé en 1869 par Paul d’Albert de Luynes en vertu des lettres patentes de Louis XV de mars 1733, mais il n’y eut pas de confirmation et ce titre n’est donc pas régulier. »[4].
Philippe du Puy de Clinchamps (Charondas) dans À quel titre? indique que le titre de duc de Chaulnes et de Picquigny est « emprunté par une branche cadette »[8].

Régis Valette dans son Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle (2007) ne fait figurer que les titres de duc de Luynes (1619) et duc de Chevreuse (1668) pour la famille d'Albert de Luynes[9].

Personnalités

[modifier | modifier le code]

Les principales alliances de la famille d'Albert de Luynes sont : de Ségur (1525), de Luxembourg, Colbert, de Montmorency-Luxembourg (1686), de Rohan-Guéméné (1617), de Savoie, d'Ailly, d'Aligre, Brûlart, Séguier (1641), de Courcillon, de Bourbon-Soissons (1710), de Montmorency-Laval, de Narbonne-Pelet (1802), de Contades (1843), de Sabran-Pontevès, de La Rochefoucauld (1867), Galitzine, de Crussol d'Uzès (1889 & 1894), du Bourg de Bozas Chaix d'Est-Ange (1922), Lannes de Montebello (1923), de Noailles, Le Gras du Luart de Montsaulnin (1962), Ubald-Bocquet (1999), etc.

Honoré d'Albert (†1592)[10]

x Anne de Rodulf, fille d'Honoré de Rodulf, seigneur de Limans
 │
 ├──> François d'Albert (mort jeune)
 │
 ├──> Charles (1578-1621), 1er duc de Luynes
 │    x Marie de Rohan-Guéméné (1600-1679)
 │    │
 │    └──> Louis Charles (1620-1690), 2e duc de Luynes
 │         x (1) Louise Marie Séguier (1624-1651), marquise d'O
 │         │  │
 │         │  └──> Charles Honoré (1646-1712), duc de Chevreuse (1663), 3e duc de Luynes
 │         │       x Jeanne Marie Colbert (†1732)
 │         │       │
 │         │       ├──> Charles Jean Baptiste (1667-1672)
 │         │       │
 │         │       ├──> Honoré Charles (1669-1704), duc de Chevreuse (1688)
 │         │       │    x Marie Anne Jeanne de Courcillon (†1718)
 │         │       │    │
 │         │       │    ├──> Charles Philippe (1695-1758), duc de Chevreuse (1704), 4e duc de Luynes 
 │         │       │    │    x (1710) Louise Léontine de Bourbon (†1721), princesse de Neufchâtel
 │         │       │    │    │
 │         │       │    │    └──> Marie Charles Louis (1717-1771), 5e duc de Luynes 
 │         │       │    │         │
 │         │       │    │         └──> ducs de Luynes et de Chevreuse jusqu'à aujourd'hui
 │         │       │    │
 │         │       │    └──> Paul(1703-1788), archevêque de Sens
 │         │       │
 │         │       └──> Louis Auguste (1676-1744), 4e duc de Chaulnes
 │         │            x Marie Anne Romaine de Beaumanoir de Lavardin 
 │         │            │
 │         │            ├──> Louis Marie (1705-1724), vidame d'Amiens
 │         │            │
 │         │            ├──> Charles François (1707-1731), 5e duc de Chaulnes
 │         │            │    x Marie Sophie de Courcillon (†1756)
 │         │            │
 │         │            ├──> Michel Ferdinand (1714-1769), 6e duc de Chaulnes
 │         │            │    x Anne Josèphe Bonnier de La Mosson 
 │         │            │    │
 │         │            │    └──> Marie Joseph Louis (1741-1792)), 7e duc de Chaulnes
 │         │            │         x Marie Paule Angélique d'Albert de Luynes
 │         │            │
 │         │            ├──> Marie-Thérèse (1709-ap. 1732)
 │         │            │    x Louis de Rougé (1706-1732), marquis de Plessis-Bellière
 │         │            │
 │         │            └──> Marie Françoise (1710-1765)
 │         │
 │         x (2) Anne de Rohan (1644-1684)
 │            │
 │            ├──> Jeanne-Baptiste (1670-1736), comtesse de Verrue
 │            │
 │            ├──> Louis Joseph (1672-1758), comte d'Albert, prince de Grimberghe
 │            │    x Honorine Charlotte de Berghes de Montigny
 │            │    │
 │            │    └──> Thérèse Pélagie (†1736) 
 │            │
 │            └──> Charles Hercule (1674-1734), chevalier de Luynes
 │
 ├──> Honoré (1581-1649), 1er duc de Chaulnes
 │    x (1620) Claire Charlotte Eugénie d'Ailly (†1681)
 │    │
 │    ├──> Henri Louis (1620-1653), 2e duc de Chaulnes
 │    │
 │    ├──> Charles d'Albert (1625-1698), 3e duc de Chaulnes
 │    │
 │    └──> Armand (1635-1656)
 │
 ├──> Léon (1582-1630), duc de Piney
 │    x Marie Charlotte de Luxembourg, duchesse de Piney
 │    │
 │    └──> Henri Léon (1630-1697), duc de Piney
 │
 ├──> Marie (†1686)
 │    x Claude de Grimoard de Beauvoir du Roure
 │
 ├──> Antoinnette (†1644)
 │    x 1605 Barthélemy, seigneur du Vernet
 │    x 1628 Henri-Robert de la Marck, seigneur du Bouillon, fils de Charles-Robert (1541-1622), comte de Maulévrier
 │
 ├──> Louise (†1619)
 │    x Antoine de Villeneuve (1574-1682, à 108 ans), seigneur de Mons, baron de Baux
 │
 └──> Anne, religieuse ursuline
Figure Nom et blasonnement

Famille d'Alberti (Florence)[11]

D'azur à 4 chaînes d'argent, posées en sautoir, mouvantes d'un annelet d'argent en abîme, et aboutissantes dans les angles du quartier.

Famille d'Albert (au comté de Nice[2])

D'or, au lion couronné et lampassé de gueules[12].

ou :

D'or, au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur[1],[2],[3].

Armes de Thomas d'Albert[13], mort en 1455.

D'azur à 4 chaînes d'argent, posées en sautoir, mouvantes d'un annelet d'argent en abîme, et aboutissantes dans les angles du quartier ; sur le tout, d'or au lion couronné et lampassé de gueules[13].

Maison d'Albert de Luynes (armes anciennes, XVIIe siècle[14])

Ecartelé :

  • aux 1 et 4, d'or au lion couronné et lampassé de gueules (qui est d'Albert au comté de Nice[2]) ;
  • aux 2 et 3, de gueules à neuf mâcles d'or (qui est de Rohan)[1],[2],[3].

ou :

Ecartelé :

  • aux 1 et 4, d'or au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (qui est d'Albert au comté de Nice[2]) ;
  • aux 2 et 3, de gueules à neuf mâcles d'or (qui est de Rohan)[1],[2],[3].

Maison d'Albert de Luynes (armes modernes, à partir du XVIIIe siècle[11])

Ecartelé :

  • aux 1 et 4, d'azur à 4 chaînes d'argent, posées en sautoir, mouvantes d'un annelet d'argent en abîme, et aboutissantes dans les angles du quartier (qui est d'Alberti de Calenaia[2]) ;
  • aux 2 et 3, d'or au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (qui est d'Albert au comté de Nice[2]) ;
  • sur le tout, d'or au pal de gueules, chargé de trois chevrons d'argent (alias brochants[3]) (qui est de Neuchâtel)[1],[2],[3].
Figure Nom et blasonnement

Charles d'Albert (1578-1621), premier duc de Luynes (1619)
(favori de Louis XIII, pair de France (1619), maréchal de France, connétable de France, grand fauconnier de France, chevalier du Saint-Esprit).

Ecartelé : aux 1 et 4, d'or au lion de gueules (qui est d'Albert au comté de Nice[2]) ; aux 2 et 3, de gueules à neuf mâcles d'or (qui est de Rohan)[15],[2],[3].

ou :

Écartelé : I et IV, d'or, au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (d'Albert) ; II et III, d'azur à deux loups rampant d'argent affrontés (de Ségur) ; sur-le-tout, de gueules à une masse d'armes d'or garnie de sable et posée en pal, au chef d'argent chargé d'un gonfanon de gueules (de Sarrats)[1].

Honoré d'Albert d'Ailly (1581-1649), 1er duc de Chaulnes (1621)
(seigneur de Cadenet, qui épousa Claire Charlotte Eugénie d'Ailly, comtesse de Chaulnes, en )

Écartelé : I et IV, d'or, au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (d'Albert) ; II et III, d'azur à deux loups rampant d'argent affrontés (de Ségur) ; sur-le-tout, de gueules à une masse d'armes d'or garnie de sable et posée en pal, au chef d'argent chargé d'un gonfanon de gueules (de Sarrats) ; à la bordure engrêlée et écartelée d'azur et d'or[1].

Puis :

Écartelé : aux I et IV, d'or au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (qui est d'Albert) ; aux II et III, de gueules au chef échiqueté d'azur et d'argent (qui est d'Ailly ancien)[16].

Léon d'Albert, duc de Piney-Luxembourg (en 1620)
(seigneur de Brantes, il devint duc de Piney-Luxembourg par son mariage en avec Marguerite Charlotte de Luxembourg, duchesse de Piney).

Écartelé : I et IV, d'or, au lion de gueules, armé, lampassé et couronné d'azur (d'Albert) ; II et III, d'azur à deux loups rampant d'argent affrontés (de Ségur) ; sur-le-tout, de gueules à une masse d'armes d'or garnie de sable et posée en pal, au chef d'argent chargé d'un gonfanon de gueules (de Sarrats) ; à la bordure écartelée de gueules et d'or[1].

Puis :

D'argent au lion de gueules à la queue fourchue passée en sautoir, armé, lampassé et couronné d'or[1].

Louis Auguste d'Albert d'Ailly (1676-1744), 4e duc de Chaulnes
(fils de Charles Honoré d'Albert de Luynes, duc de Luynes).

De gueules, à deux branches d'alisier d'argent, passées en double sautoir, au chef échiqueté d'azur et d'argent (qui est d'Ailly moderne) ; sur le tout, d'or au lion de gueules (qui est d'Albert)[17] alias pendant du chef[1].

Paul d'Albert de Luynes (1703-1788), cardinal-archevêque de Sens

Évêque de Bayeux (1729-1753), puis archevêque de Sens (1753-1788), et créé cardinal le . Il est le fils cadet de Charles Honoré d'Albert de Luynes (1669-1704), duc de Chevreuse, et de Marie Anne Jeanne de Courcillon († 1718), et le petit-fils de Charles Honoré d'Albert (1646-1712), 3e duc de Luynes.

D'or, au lion couronné et lampassé de gueules (qui est d'Albert)[18].

Écartelé : aux 1 et 4, d'Albert; aux 2 et 3, contre-écartelé : a) et d) de Bourbon-Soissons, b) et c) de Montmorency, sur le tout des quartiers 2 et 3, de Neufchâtel[1].

Postérité

[modifier | modifier le code]

Pour approfondir

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t.Ier. A-Att., t. 10, Évreux, impr. de C. Hérissey, (lire en ligne), p. 90-93, « Albert de Luynes, de Chevreuse, de Chaulnes (d') ».
  • Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, tome 1, page 138.
  • Pierre Paul Dubuisson, Armorial des principales maisons et familles du royaume, de Paris et de l'Île de France, Milan, Edizioni Orsini de Marco, (réimpr. 2007) (ISBN 978-88-7531-088-2).
  • Régis Valette, Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle.
  • Hubert Cuny & Nicole Dreneau, Le Gotha français, 1989, Paris, Intermédiaire des Chercheurs et des Curieux, 286 p., p. 152-155 (ISBN 2 262 00546 X).

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. a b c d e f g h i j et k Johannes Baptist Rietstap, Armorial général : contenant la description des armoiries des familles nobles et patriciennes de l'Europe : précédé d'un dictionnaire des termes du blason, G.B. van Goor, , 1171 p. (lire en ligne), et ses Compléments sur www.euraldic.com
  2. a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t et u Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t.Ier. A-Att., t. 10, Évreux, impr. de C. Hérissey, (lire en ligne), p. 90.
  3. a b c d e f et g Henri Jougla de Morenas, Grand armorial de France, t. 1, , p. 138.
  4. a b c d et e E. de Séréville, F. de Saint-Simon, Dictionnaire de la noblesse française, 1975, page 102.
  5. cardinal de Bausset, Histoire de Fénelon, tome IV, 1817, page 195.
  6. a et b « Secundogéniture Chaulnes (portail heraldica.org) »
  7. Gustave Chaix d’Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle. T. I, Imprimerie de Charles Herrisey, Evreux, 1903, page 93.
  8. Charondas, A quel titre?, Les cahiers nobles, 1970, page 14.
  9. Régis Valette, Catalogue de la noblesse française au XXIe siècle Ed, Robert Laffont, 2007, page 28.
  10. Histoire généalogique et chronologique de la maison royale de France Par Anselme de Sainte-Marie, Honoré Caille du Fourny, 3e éd., vol. 4, 1728. (p. 266)
  11. a et b François-Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse, vol. 1, Schlesinger frères, .
  12. Armorial Dubuisson, p. 26 (tome 1).
  13. a et b François-Alexandre Aubert de La Chesnaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse, vol. 1, Schlesinger frères, , p. 230.
  14. portraits de l'époque
  15. sur un portrait de l'époque
  16. blason sur portrait de l'époque Portrait de l'époque avec armes
  17. ex-libris et gravure de l'époque, voir page : Duc de Chaulnes
  18. armes sur portrait de l'époque