Le May-sur-Èvre

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Le May-sur-Èvre
Le May-sur-Èvre
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Cholet
Intercommunalité Agglomération du Choletais
Maire
Mandat
Alain Picard
2020-2026
Code postal 49122
Code commune 49193
Démographie
Gentilé Maytais
Population
municipale
3 839 hab. (2021 en diminution de 0,16 % par rapport à 2015)
Densité 121 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 08′ 11″ nord, 0° 53′ 28″ ouest
Altitude Min. 72 m
Max. 128 m
Superficie 31,85 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le May-sur-Èvre
(ville isolée)
Aire d'attraction Cholet
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sèvremoine
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web Site du May-sur-Èvre

Le May-sur-Èvre est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.

La commune offre un double visage : celui d'une petite ville industrielle et celui d'un village où l'agriculture reste aujourd'hui l'une des principales activités.

Géographie[modifier | modifier le code]

Cette commune angevine se situe dans le sud-ouest du Maine-et-Loire, dans la région des Mauges, à 7 km au nord de Cholet et à 100 km à l'est des plages de l'Atlantique.

Aspects géologiques : plateau de roches primaires (altitude de 70 à 110 m) coupé par la vallée de l'Èvre.

Localisation[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 772 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Cholet à 8 km à vol d'oiseau[3], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 772,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le May-sur-Èvre est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[7],[8],[9]. Elle appartient à l'unité urbaine du May-sur-Èvre, une unité urbaine monocommunale[10] de 3 839 habitants en 2021, constituant une ville isolée[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cholet, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,4 %), prairies (20,7 %), zones agricoles hétérogènes (13,1 %), zones urbanisées (4,7 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Du latin Ulmetum (Ormeraie) avec différentes variantes au cours des siècles (Ulmerium ; Ecclesia del Ulmeto : Parrochia d'Oulmay : Ecclesia Sancti Michaelis Olmai. Le nom actuel date de 1881 : on installe à cette date le service des postes et du télégraphe. On devait distinguer la commune d'un autre May situé en Normandie, on ajoutera alors le nom de la rivière qui coule sur le territoire communal à celui de la commune.

Nom des habitants : Maytais, Maytaise.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le territoire était habité dès les temps préhistoriques puisqu'on a retrouvé de nombreux outils en pierre taillée (coups de poing et pointes de flèches). Un splendide menhir (situé sur la commune de Trémentines, mais à la limite du May) vient confirmer cette certitude.

Les vestiges d'une voie romaine (route de la Séguinière) et le nom « Ulmetum » attestent d'une présence romaine aux premiers siècles de l'ère chrétienne. Lors des invasions barbares du Ve siècle, le May est christianisé et dépend de Poitiers. Le seigneur de Chemillé est alors le protecteur temporel de la paroisse qui lui verse les impôts féodaux.

Au XIIe siècle, ce sont les moines de Saint-Michel-en-l'Herm qui dominent la paroisse qui sera rattachée au diocèse de La Rochelle jusqu'à la Révolution.

Au XIVe siècle, la construction de l'église actuelle est entreprise.

Aux XVe et XVIe siècles s'affirme l'emprise des seigneurs du Cazeau. La culture du lin est introduite dans les campagnes. Les guerres de Religion sont néfastes : l'église est incendiée et l'abbaye de Bellefontaine est en partie détruite.

Aux XVIIe et XVIIIe siècles, on trouve au May des tisserands et des tanneries. Les toiles transitent par Cholet et sont dirigées sur les ports voisins de Nantes, de La Rochelle ou de Bordeaux.

Le May est converti en profondeur par les missions de Louis-Marie Grignion de Montfort dont une croix reste encore à côté du collège.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[16]
Période Identité Étiquette Qualité
1789 1790 François-Charles Tharreau   Syndic
1790 1791 M. Lebreton    
1791 1800 Gabriel-Jacques Fizeau    
1800 1803 Luc-Louis Tharreau-Mouraire    
juin 1803 juin 1814 Gabriel-Jacques Fizeau    
juin 1814 septembre 1830 François Barreau de la Possardière    
25 septembre 1830 30 septembre 1830 Pierre-François Brion-Sachet    
octobre 1830 janvier 1832 Jean Guilbault    
janvier 1832 octobre 1837 René-François Triolet    
janvier 1838 octobre 1848 Pierre-François Brion-Sachet    
novembre 1848 janvier 1878 Jean Raimbault-Courtais    
janvier 1878 mai 1892 François Chupin-Brevet    
mai 1892 novembre 1918 Honoré Neveu    
novembre 1918 septembre 1920 Joseph Aveneau    
septembre 1920 mai 1945 Georges Lefort    
mai 1945 octobre 1947 Madeleine Bureau[17]   Infirmière et assistante sociale
octobre 1947 mars 1959 Georges Lefort    
mars 1959 décembre 1960
(démission)
Joseph Chupin    
décembre 1960 avril 1968
(décès)
Marcel Taupin   Industriel
mai 1968 mars 1977 Marcel Rousseau    
mars 1977 mars 1989 Auguste Senghor[18] DVD Vétérinaire
mars 1989 juin 1995 Pierre Chalopin DVG Professeur d'allemand
juin 1995 mars 2008 Auguste Senghor DVD Vétérinaire
Maire de Saint-Briac-sur-Mer (2008 → 2014)
mars 2008 En cours
(au 26 mai 2020)
Alain Picard[19],[20] MoDem
puis DVD
Inspecteur pédagogique
Vice-président de l'Agglomération du Choletais

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est membre de l'Agglomération du Choletais[21].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 3 839 habitants[Note 3], en diminution de 0,16 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
3 4422 2712 6682 9553 3153 2153 2963 4582 691
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 6682 6062 1032 0802 1392 0512 0121 9722 008
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 9762 0691 9861 8221 9362 0562 0642 2322 622
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
3 0913 3833 5513 8063 9143 8913 8483 7903 970
2015 2020 2021 - - - - - -
3 8453 8273 839------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,7 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 888 hommes pour 1 924 femmes, soit un taux de 50,47 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[26]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
1,6 
6,7 
75-89 ans
10,2 
17,8 
60-74 ans
18,2 
20,7 
45-59 ans
20,0 
18,8 
30-44 ans
16,1 
16,1 
15-29 ans
15,5 
18,8 
0-14 ans
18,6 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2020 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
6,9 
75-89 ans
9,4 
16 
60-74 ans
16,8 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,3 
30-44 ans
17,5 
18,7 
15-29 ans
17,6 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Vie locale[modifier | modifier le code]

La commune a obtenu une fleur au Concours des villes et villages fleuris (palmarès 2007) et une deuxième en 2009.

La flamme postale de la commune des années 1980 développait sur trois lignes horizontales en lettres majuscules les devises suivantes : Labeur et ténacité ; Une vitalité industrielle ; Un certain art de vivre.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Depuis , l'espace culturel Léopold-Sédar-Senghor, ou Espace Senghor, est un lieu qui intègre un théâtre, un espace cabaret et un hall d'exposition, permettant des actions culturelles de proximité sur la commune. La salle de spectacle accueille des artistes au sein de saisons culturelles[28],[29]. Ce lieu contribue aux actions culturelles du territoire de l'agglomération choletaise. Des activités y sont organisées tout au long de l'année comme des stages, des ateliers, des lectures, etc. Elles sont organisées en partenariat avec les associations ou les établissements scolaires[30],[31].

En est inauguré l'Exéko, nouveau bâtiment intergénérationnel comprenant le service animation de la commune, l'école de musique et des équipements mis à disposition des associations[32].

Le centre socio-ludique, nommé centre Jean-Ferrat, est composé de plusieurs salles, d'un centre aéré, d'une halte-garderie et d'une salle des fêtes. Il s'y trouve également les locaux de la bibliothèque May'livres, rénovée en 2019[33].

Sports[modifier | modifier le code]

Présence d'un groupement sportif, composé de deux salles multi-sports, dont une salle ayant deux terrains, et d'une salle de gymnastique et de judo.

L'espace Le cercle, créé par l'association L'Énergie, se compose d'un bar, de deux salles de réunion et de la salle de sport Michel Beignon à disposition du club de tennis de table et ayant un mur d'escalade[34].

Le dernier weekend d'août est organisé sur la commune le tournoi national Carisport, en association avec douze autres communes[35],[36].

Manifestations[modifier | modifier le code]

Le premier weekend de juin, se déroule le May en fête, pendant lequel une multitude d'activités sont proposés au public plus ou moins jeune. Ces activités sont sportives, culturelles, etc.

Chaque premier dimanche d'octobre se déroule la fête de la Fressure. Les chaudrons de fressure sont alors placés sur la place de la commune où ce plat, à base de cochon entier, est vendu à tous et dégusté. Une fête foraine accompagne les festivités. 2014 en a été la 34e édition[37].

S'y déroule aussi le Festival de la BD engagée, dont en a été la 11e édition[38].

Économie[modifier | modifier le code]

Sur 229 établissements présents sur la commune à fin 2010, 28 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 7 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 42 % de celui du commerce et des services et 14 % du secteur de l'administration et de la santé[39]. En 2015, sur les 248 établissements, cette répartition s'établissait à 22 % de l'agriculture (pour une moyenne de 11 % sur le département), 7 % de l'industrie, 6 % de la construction, 50 % du commerce et des services et 15 % de l'administration et de la santé[40].

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Michel, des XVe et XVIe siècles, appelée le Géant des Mauges[41].
  • La chapelle Saint-Tibère, du XXe siècle[42].
  • La chapelle Notre-Dame-de-Miséricorde, construite pour le Jubilé de 1875, par Jean Hervé, et bénie par le curé du May, Mgr Bretaudeau, le .
  • Le château du Cazeau.
  • La maison dite la Bastille, des XVIe siècle, XVIIIe et XIXe siècles[43].
  • L'ancienne voie gallo-romaine.
  • Le monument aux morts, situé devant l'église Saint-Michel. Le piédestal est érigé en 1922. La statue La Victoire en chantant, réalisée par Charles Édouard Richefeu, n'est installée dessus qu'en 1931, faute de financement.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Célestin Port (édition révisée par Jacques Levron, Pierre d'Herbécourt, Robert Favreau et Cécile Souchon), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : D-M, t. 2, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1876) (BNF 34649310, lire en ligne), p. 428-429.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Le May-sur-Èvre et Cholet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Cholet », sur la commune de Cholet - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Cholet », sur la commune de Cholet - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 du Le May-sur-Èvre », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Historique des maires, sur lemaysurevre.com
  17. « Le May-sur-Evre. Une rue portera le nom de Madeleine Bureau, maire de la commune en 1945 », sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le )
  18. Neveu de Léopold Sédar Senghor.
  19. Ouest-France, Alain Picard élu pour un second mandat de maire, article du 31 mars 2014.
  20. « Maire depuis 2008, Alain Picard a été réélu pour un troisième round. », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  21. Insee, Composition de l'EPCI du Choletais (244900700), consulté le 28 septembre 2013.
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune du May-sur-Èvre (49193) », (consulté le ).
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  28. Sophie Delafontaine, « La May-sur-Èvre. Espace Senghor : le défi culturel en milieu rural », sur Ouest-France, (consulté le ).
  29. Brice Bacquet, « Le May-sur-Èvre. L’espace Senghor change d’attaché culturel », sur Ouest-France, (consulté le ).
  30. « Espace culturel Leopold Sedar Senghor », sur Espace Senghor (Le May-sur-Èvre) (consulté le ).
  31. « La May-sur-Èvre. Espace Senghor : le défi culturel en milieu rural », sur Ouest-France, .
  32. Vincent Cotinat, « Près de Cholet. L’Exéko ouvre ses portes au public », sur Ouest-France, (consulté le ).
  33. « Le May-sur-Èvre. La nouvelle bibliothèque Maylivres ouvre samedi », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  34. Article Ouest-France, 9 février 2010.
  35. Carisport, consulté le 28 février 2008.
  36. « La May-sur-Èvre « S'il n'y a pas de bénévoles, il n'y a pas Carisport » », sur Le Courrier de l'Ouest, .
  37. « La 34e fête de la Fressure sera somptueuse », sur Ouest-France, .
  38. « Le May-sur-Èvre Des pavés dans la bulle au Festival de la BD engagée », sur Le Courrier de l'Ouest, .
  39. Insee, Statistiques locales du territoire du May-sur-Èvre (49), consultées le 21 avril 2013.
  40. « Commune du May-sur-Èvre (49193) », sur Insee, .
  41. « Eglise », notice no PA00109178, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Chapelle Saint-Tibère », notice no IA49004359, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Maison dite la Bastille », notice no IA49004357, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Alphonse Bossard », sur geneanet, (consulté le ).
  45. Mickael Leclerc, « Cholet. Guy Chouteau, le médecin républicain au service des pauvres », sur ouest-france.fr, Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  46. « Henri Coutet 1909–1999 », sur imdb.com (consulté le ).
  47. « François Charles Tharreau », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).