Canéjan

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Canéjan
Canéjan
Église Saint-Jean-Baptiste.
Blason Canejan 33
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Bordeaux
Intercommunalité Communauté de communes Jalle-Eau-Bourde
Maire
Mandat
Bernard Garrigou
2020-2026
Code postal 33610
Code commune 33090
Démographie
Gentilé Canéjanais, Canéjanaise[1]
Population
municipale
5 916 hab. (2021 en augmentation de 9,21 % par rapport à 2015)
Densité 493 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 45′ 50″ nord, 0° 39′ 13″ ouest
Altitude Min. 23 m
Max. 56 m
Superficie 12 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bordeaux
(banlieue)
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Pessac-1
Législatives Septième circonscription
Localisation
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Canéjan
Géolocalisation sur la carte : France
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Canéjan
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Canéjan
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Canéjan
Liens
Site web www.canejan.fr

Canéjan (Canejan — sans accent — en gascon) (Écouter) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune de l'aire d'attraction de Bordeaux située dans son unité urbaine à 11,4 km au sud-ouest de Bordeaux.

Le territoire de la commune de Canéjan est aujourd'hui traversé par l'autoroute A63 et la route nationale 10. Canéjan est irriguée par l'Eau Bourde.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Gradignan au nord-est, Léognan au sud-est, Cestas au sud-ouest et Pessac au nord.

Communes limitrophes de Canéjan[2]
Pessac
Cestas Canéjan[2] Gradignan
Cestas Cestas Léognan

Les voies principales de la commune conservent leurs noms originaux de chemins : chemin de Barbicadge, chemin du Courneau, chemin du 20-Août-1949, chemin des Peyrères, chemin Salvador Allende, chemin de la House et chemin de Camparian.

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 963 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Villenave-d'Ornon à 7,17 km à vol d'oiseau[6], est de 14,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 904,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Canéjan est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bordeaux, une agglomération intra-départementale regroupant 73 communes[13] et 1 008 509 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Bordeaux est la sixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française) et Toulouse[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (50,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (55,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (47,7 %), zones urbanisées (25,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (10,8 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,3 %), cultures permanentes (1,9 %), prairies (0,2 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Canéjan est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1999, 2009 et 2013[21],[19].

Canéjan est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[22]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[23],[24].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[25].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Canéjan.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 961 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 961 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1995, 2002, 2003, 2005, 2009, 2011, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Des vestiges gallo-romains découverts sur le territoire de la commune attestent d'un présence humaine aux alentours de la fin du Ier siècle ou du début du IIe siècle.

Sous le parvis de l'église actuelle, sont conservés des sarcophages mérovingiens. Le cimetière paroissial entourait l'église jusqu'à son déplacement dans les années 1890.

Au Moyen Âge, le site de Camparian, entre les bourgs de Cestas et de Canéjan, recèle un prieuré et un hôpital. Le dernier prieur meurt à Camparian peu avant la Révolution. Le prieuré de Camparian est vendu comme Bien National et devient une propriété agricole jusque dans les années 1960. Aujourd'hui, le site est communal. Une campagne de fouilles archéologiques a été conduite par la DRAC-Aquitaine. La chapelle et sa sacristie ont été découvertes. Un bâtiment, appelé monastère, a fait également l'objet de fouilles mais les vestiges de l'époque médiévale sont rares.

Jusqu'en 1789, la paroisse de Canéjan appartient au comté d'Ornon, sous la juridiction de la jurade de Bordeaux. Les jurats de Bordeaux avaient un banc réservé dans l'église de Canéjan. En 1791, ces insignes disparaissent des bancs par décision du conseil municipal de Bordeaux, la jurade ayant disparu.

La commune de Canéjan est créée en . Elle appartient au canton de Bordeaux extra-muros puis au canton de Pessac.

Le 20 août 1949, 29 hommes de Canéjan meurent au Puch (commune de Cestas) en luttant contre le feu qui fit 82 victimes et ravagea 28 000 hectares[28],[29]. En , le général de Gaulle vient à Canéjan pour se recueillir sur les tombes des 29 disparus de la commune. À cette époque, Canéjan est un village comptant moins de 500 habitants, et Sud Ouest Dimanche titre le "DANS CANÉJAN-LA-DÉSOLÉE le village des veuves et des orphelins...".

Après avoir été orthographié indifféremment Canéjean ou Canéjan, le nom de la commune a définitivement été fixé à Canéjan en .

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Canéjan Blason
D’azur au huchet contourné d’or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Depuis 2010 la commune de Canéjan était récompensée par le label « Ville Internet @@@ ». En 2014 elle obtient le niveau de « Ville Internet @@@@ »[30].

Liste des maires successifs (Source : CANÉJAN d'une rive à l'autre[31])
Date d'élection Identité Parti Qualité
Depuis mars 2001 Bernard Garrigou[32] PS Directeur de l'INSUP, conseiller départemental depuis 2021
Janvier 1976 Jean-Francis Saint-Marc DVG Inspecteur central des PTT
Mai 1953 Paul Pascual - Fabricant de meubles et exploitant agricole
Août 1924 Jean Pommié - Propriétaire de château
Novembre 1919 Bernard Ballion - Propriétaire cultivateur et marchand de bois
Mai 1884 Léonard Elies - Marchand de vins et épicier
Mai 1880 Jean Chrysostome Laborie - Propriétaire d'usine
Janvier 1876 Michel Janvier - Ancien avoué
Octobre 1869 Bernard Chefnourry - Artisan tonnelier
Avril 1856 Nelson Dupoy - Négociant parfumeur
Avril 1852 Jean Morin - Propriétaire cultivateur
Octobre 1848 Arnaud Audebert - Propriétaire cultivateur
Juin 1838 Jean-Baptiste Battanchon - Avoué puis juge de paix
Août 1829 Jean-Charles Balaresque - Négociant
Janvier 1826 Philippe Servan - Négociant
1816 Jean Cameleyre - Maréchal-ferrant
1798 Fabien Basile Marginier - Juge de paix
1797 Jean Dupied - Marchand
1795 Fabien Basile Marginier - Juge de paix
Décembre 1792 Antoine Bournazeau - Curé
Février 1790 Jean Cauderès - Vicaire puis curé

Politique de développement durable[modifier | modifier le code]

La commune a engagé une politique de développement durable en lançant une démarche d'Agenda 21 en 2010[33].

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 5 916 habitants[Note 3], en augmentation de 9,21 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
312275274355324334417403362
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
416416477413475465581506484
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
511478470534449453408382462
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
5105943 2573 3804 9765 1145 1155 1575 520
2021 - - - - - - - -
5 916--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[38] 1975[38] 1982[38] 1990[38] 1999[38] 2006[39] 2009[40] 2013[41]
Rang de la commune dans le département 225 44 43 39 40 48 49 50
Nombre de communes du département 548 543 543 542 542 542 542 542

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Camparian, lieu-dit de la commune, abrite les ruines d'un ancien prieuré. Des documents attestent l'existence à Camparian d'un hôpital situé sur la route de Saint-Jacques-de-Compostelle dès le début du XIIe siècle. Des fouilles ont été réalisées entre 1966 et 1970, puis en 2010.

L'église Saint-Jean-Baptiste a été édifiée au XIVe siècle. En 1986, lors d'une restauration, une fresque datant du Moyen Âge est mise au jour derrière le maître-autel. Elle est actuellement légèrement masquée par une fine pellicule blanche et le maître-autel qui a repris sa place. La fresque représente le Christ en majesté avec deux personnages en position de prière. À l'extérieur de l'église, on peut voir deux sarcophages vides datant de l'époque moyenâgeuse. Une veyrine était percée dans un mur de l'église et a été condamnée. La paroisse de Canéjan est maintenant rattachée à celle de Cestas.

L'ancienne mairie et l'école à laquelle elle fut adossée, datant de 1872-1873 et jugée trop petite, devient l'Espace Mosaïque situé au centre du Bourg. Un hôtel de ville est construit non loin de là en 1988. Le parc de l'Hôtel-de-Ville est installé sur l'ancien terrain de football de la commune. L'excavation dans laquelle est aménagé ce parc rappelle les bords du terrain dont les rives remontant vers le niveau de la route étaient utilisées comme gradins.

La base de loisirs du Lac Vert est inaugurée le sur le site d'une carrière de grave désaffectée située au lieu-dit Le Camp. Le plan d'eau d'une superficie de 12 hectares est un lieu de pêche à vocation sportive ainsi qu'un site apprécié par les promeneurs et les joggeurs.

Les habitants de Canéjan se concentrent sur deux lieux de vie principaux, le quartier de La House sur la RN 10, et le Bourg proche de l'A63 où se situent l'église Saint-Jean-Baptiste et l'hôtel de ville.

Vie locale[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

L'école originelle de Canéjan était jointe à la mairie réceptionnée en 1872-1873. L'explosion démographique au début des années 1970 bouleverse le paysage scolaire de la commune.

Deux écoles maternelles accueillent les enfants de Canéjan : Maurice-Carême à La House et Marc-Rebeyrol au Bourg. Elles sont respectivement complétées par deux écoles élémentaires : Jacques-Brel à La House et Le Cassiot au Bourg. Les collégiens et les lycéens vont respectivement au collège Alfred-Mauguin et au Lycée des Graves situés tous deux à Gradignan.

Culture[modifier | modifier le code]

Le centre socio-culturel Simone-Signoret est inauguré le par Catherine Lalumière, secrétaire d'État aux Affaires européennes. Il dispose de 400 places permettant d'accueillir diverses manifestations (cinéma, théâtre, bal).

Pour les jeunes[modifier | modifier le code]

Le Conseil Municipal des Jeunes de Canéjan[modifier | modifier le code]

Le Conseil Municipal des Jeunes de Canéjan est composé d'élus de 10 à 17 ans pendant 2 ans[42]

Le S.P.O.T.[modifier | modifier le code]

Le Super Point Ouvert à Tous (S.P.O.T.) est l'équivalent d'un centre de loisirs pour les jeunes ouvert pour les jeunes de 11 ans et plus.

Le City Park[modifier | modifier le code]

Le City Park est un espace gratuit avec un Skate Park, un terrain de Football et de Basket-Ball.

Économie[modifier | modifier le code]

Viticulture[modifier | modifier le code]

Deux Châteaux de l'appellation AOC Pessac-Léognan sont situés sur le territoire de Canéjan.

Le Château de Rouillac[modifier | modifier le code]

Ancienne résidence du Baron Haussmann.

Le château Seguin[modifier | modifier le code]

Industrie[modifier | modifier le code]

Dans les années 1970, IBM installe sur le territoire de Canéjan une usine de production de cartes électroniques. Solectron, sous-traitant électronique américain, rachète l’usine IBM de Bordeaux-Canéjan au début des années 1990. En 2007, à la suite du rachat de Solectron par le sous-traitant électronique Flextronics, la fermeture définitive de l’usine est annoncée[43],[44].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Le baron Haussmann (1809-1891) achète le domaine de Rouillac en 1864 et fait réaliser de nombreux travaux dans la chartreuse du XVIIe siècle.
  • Marc Rebeyrol (1905-1949), instituteur et secrétaire de mairie. Il fait partie des 82 victimes de l'incendie du centré sur Cestas, et a laissé son nom à l'école maternelle du Bourg.
  • Étienne Damoran (1920-1994), prêtre ouvrier, curé de la paroisse et fondateur de la maison de repos l'Ajoncière.
  • Pierre Pascal (1928-1998), surnommé le « Pape de la BD », est l'un des fondateurs du festival international de la bande dessinée d'Angoulême. Il ouvre le café-restaurant « Chez Pascal » à Canéjan en 1979.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Nom des habitants de Canéjan sur habitants.fr, consulté le 8 avril 2014.
  2. [1] sur Géoportail, consulté le 7 février 2019.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Canéjan et Villenave-d'Ornon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Villenave d'ornon-Inra » (commune de Villenave-d'Ornon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Villenave d'ornon-Inra » (commune de Villenave-d'Ornon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Bordeaux », sur insee.fr (consulté le ).
  14. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
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  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Canéjan », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  22. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  25. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  26. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  27. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Canéjan », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  28. 20 août 1949, la forêt s'embrase autour de Bordeaux. [2] sudouest.fr, consulté le 23 août 2012
  29. Robert Chevrou, Pourquoi les incendies de forêt sont-ils si meurtriers ?, p. 52, (ISBN 2-86883-798-0).
  30. Canéjan ville Internet @@@@ sur villes-internet.net. Consulté le 8 avril 2014
  31. Association Histoire et Mémoire de Canéjan, CANÉJAN d'une rive à l'autre, 2004, (ISBN 978-2-9521678-0-2).
  32. Commune de Canéjan sur le site de l'AMF, Association des Maires de France, consulté le 19 décembre 2011.
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  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
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