Amblans-et-Velotte

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Amblans-et-Velotte
Amblans-et-Velotte
La mairie, maison des services, centre culturel et sportif.
Blason de Amblans-et-Velotte
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Haute-Saône
Arrondissement Lure
Intercommunalité CC du Pays de Lure
Maire
Mandat
Laurent Chêne
2020-2026
Code postal 70200
Code commune 70014
Démographie
Gentilé Ambélipontains
Population
municipale
414 hab. (2021 en augmentation de 6,43 % par rapport à 2015)
Densité 42 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 40′ 45″ nord, 6° 24′ 41″ est
Altitude Min. 287 m
Max. 406 m
Superficie 9,76 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lure
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lure-2
Législatives 2e circonscription de la Haute-Saône
Localisation
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Amblans-et-Velotte
Géolocalisation sur la carte : France
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Amblans-et-Velotte

Amblans-et-Velotte est une commune française située dans le département de la Haute-Saône, la région culturelle et historique de Franche-Comté et la région administrative Bourgogne-Franche-Comté.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Ambiance du centre du village.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bouhans-lès-Lure, Adelans-et-le-Val-de-Bithaine, Genevreuille, Magny-Vernois, Mollans et Vy-lès-Lure.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le territoire communal repose sur le bassin houiller keupérien de Haute-Saône[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte hydrographique de la commune.

La commune est drainée par le Razou, dans lequel conflue le ruisseau de Velotte et un autre ruisseau.

Le Razou est un affluent de la Reigne, et donc un sous-affluent du Rhône par la Saône et l'Ognon.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 131 mm, avec 13,6 jours de précipitations en janvier et 10,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saulx-de-Vesoul », sur la commune de Saulx à 10 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 066,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Amblans-et-Velotte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lure, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 33 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,7 %), forêts (33,7 %), prairies (26,8 %), zones urbanisées (2,8 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 182, alors qu'il était de 163 en 2015 et de 160 en 2010[I 1].

Parmi ces logements, 90,3 % étaient des résidences principales, 2,3 % des résidences secondaires et 7,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 94,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,2 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Amblans-et-Velotte en 2020 en comparaison avec celle de la Haute-Saône et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,3 %) inférieure à celle du département (6,2 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 76,5 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (78,2 % en 2015), contre 68,8 % pour la Haute-Saône et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Amblans-et-Velotte en 2020.
Typologie Amblans-et-Velotte[I 1] Haute-Saône[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 90,3 83 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,3 6,2 9,7
Logements vacants (en %) 7,4 10,7 8,2

Planification de l'aménagement[modifier | modifier le code]

L'aménagement et l'urbanisation de la commune sont organisés par le plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) de la communauté de communes du pays de Lure (CCPL), document d'urbanisme de référence pour tout le territoire de l'intercommunalité et approuvé le [15].

Ce PLUi met en œuvre le SCOT du pays des Vosges saônoises, un projet de territoire visant à mettre en cohérence l'ensemble des politiques sectorielles, notamment en matière d’habitat, de mobilité, d’aménagement commercial, d’environnement et de paysage[16].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la route nationale 19, qui la relie à Lure et Vesoul. Les habitants se plaignent de l'importance de son trafic, notamment de camions, et demandent à ce qu'elle soit aménagée et déviée pour éviter le village[17],[18].

Elle est également traversée par la ligne de Paris-Est à Mulhouse-Ville, dont la station la plus proche est la gare de Lure, desservie par des trains TER Grand Est, qui effectuent des relations entre les gares de Paris-Est et de Belfort ou de Mulhouse-Ville et des trains TER Bourgogne-Franche-Comté, sur la relation VesoulLureBelfort, et TER Grand Est, sur la relation ÉpinalLuxeuil-les-BainsBelfort.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Une cachette de l’âge de bronze a été découverte au XXe siècle[19].

Antiquité[modifier | modifier le code]

Des vestiges de riches villas gallo-romaines ont été retrouvées sur le territoire[20].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

La commune, instituée par la Révolution française sous le nom d'Amblans, absorbe entre 1790 et 1794 celle de Velotte et devient Amblans-et-Velotte[21].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

La commune était concernée par la concession des Houillères de Vy-lès-Lure exploitée de 1839 à 1944[1],[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Lure du département de la Haute-Saône.

Elle faisait partie de 1793 à 1985 du canton de Lure, année où celui-ci est scindé et la commune rattachée au canton de Lure-Nord[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Lure-2

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la deuxième circonscription de la Haute-Saône.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la petite communauté de communes des Franches-Communes (CCFC), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales, et qui comptait environ 4 200 habitants.

Dans le cadre des dispositions de la loi du de réforme des collectivités territoriales[23], qui prévoit toutefois d'achever et de rationaliser le dispositif intercommunal en France, et notamment d'intégrer la quasi-totalité des communes françaises dans des EPCI à fiscalité propre dont la population soit normalement supérieure à 5 000 habitants, le schéma départemental de coopération intercommunale de 2011 a prévu la fusion de la CCFC avec d'autres petites intercommunalités[24].

Toutefois, la commune a préalablement été détachée le de la CCFC pour rejoindre à cette date la communauté de communes du pays de Lure[25], dont elle fait désormais partie.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
mars 2001 juillet 2020[26] Frédéric Debely[27],[28] PS Cadre d'entreprise publique
Vice-président de la CC du pays de Lure (2014 → )
Vice-président du syndicat des eaux d’Amblans-Bouhans-Genevreuille ( ? → 2018)[29]
juillet 2020[30] juin 2023[31],[32] Gilles Simeon   Cadre retraité
Mort en fonction
septembre 2023[33] En cours
(au 26 janvier 2024[34])
Laurent Chêne   Artisan

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'un complexe culturel et sportif, aménagé dans un bâtiment ancien étendu et où se trouve également la mairie, et qui comprend une salle interactive, bibliothèque, salle de réunion, salle d’exposition et de spectacles qui inclut également une salle de sport[19]

Eau et déchets[modifier | modifier le code]

Le château d'eau.

La commune, ainsi que Genevreuille et Bouhans-lès-Lure, est alimentée en eau potable par le captage de Grande-Fontaine. Celui-ci s'est révélé insuffisant pour alimenter le réseau durant la sécheresse de l'été 2018 et les habitants ont dus être secourus par des livraison d'eau par camion-citerne depuis Lure[29]. L'intercommunalité, qui a succédé en 2019 à l'ancien syndicat des eaux d’Amblans-Bouhans-Genevreuille, a installé une connexion entre le réseau des trois communes et le réseau d’eau de Magny-Vernois, de manière à mailler ses réseaux et permettre aux divers réseaux de se secourir mutuellement dans le territoire communautaire[35]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune dispose d'une école et d'un centre périscolaire, géré par les géré par les Francas[36],[37].

Population et société[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont les Ambellipontains et les ambellipontaines[20]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[39].

En 2021, la commune comptait 414 habitants[Note 4], en augmentation de 6,43 % par rapport à 2015 (Haute-Saône : −1,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
450478550606603587580588573
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
501507511500483454462443444
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
438419375321307340338299270
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
279278255258281288347364378
2018 2021 - - - - - - -
400414-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Fête patronale le dimanche suivant le 17 janvier et fête communale, le 3e dimanche de mai[20].

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Trois bâtiments inscrits aux monuments historiques :
    • Le château d'Amblans[41]
    • Le puits communal[42]
    • La fontaine-lavoir de Velotte. L’ensemble puisoir, abreuvoir et lavoir couvert est inscrit à l'inventaire[43],[19].
  • L'église Saint-Antoine d'Ambans, reconstruite au XIXe siècle et qui a conservé sa façade du XVIIIe siècle. Elle possède un clocher carré à toit bulbeux[19].
  • Les fontaines, calvaires, croix, monument aux morts et sept puits communaux construits de 1836 à 1896, dont certains ont été restaurés, notamment celui de la place de la mairie[19]. Cinq d'entre eux sont l’œuvre de l'architecte Mougenot[20]
  • Un circuit découverte vélo-route traverse Amblans et Velotte[20].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

[[|Amblans-et-Velotte]]
Blason de Amblans-et-Velotte Blason
D'azur à trois épis de blé empoignés tigés d'or mouvants de la pointe de l'écu accostés de deux molettes d'éperon à six pointes aussi d'or, à une foi d'argent mouvant des flancs de l'écu et brochant en pointe sur les tiges
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]


Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en , en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Édouard Thirria, Manuel à l'usage de l'habitant du département de la Haute-Saône, (lire en ligne), p. 184-185, sur Google Livres.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Amblans-et-Velotte et Saulx », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Saulx-de-Vesoul », sur la commune de Saulx - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Saulx-de-Vesoul », sur la commune de Saulx - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lure », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. « Plan Local d'Urbanisme Intercommunal », Communauté de communes du pays de Lure, (consulté le ).
  16. « SCOT du pays des Vosges saônoises » [PDF], sur haute-saone.gouv.fr (consulté le ).
  17. Patricia Louis, « Une motion pour la poursuite de la RN 19 : Le conseil municipal de Lure a voté à l’unanimité en faveur de la poursuite du chantier de la RN 19 », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  18. S. L., « Route de la mort » : les riverains de la RN19 repartent au combat pour obtenir la déviation », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. a b c d et e « Amblans et Velotte », Communes, sur https://www.pays-de-lure.fr/ (consulté le ).
  20. a b c d et e « Amblans-et-Velotte », Les communes, sur https://www.la-haute-saone.com (consulté le ).
  21. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. « Ancienne concession de houille de Vy-les-Lure (70) : État des lieux » [PDF], Bureau de recherches géologiques et minières, (consulté le ).
  23. Loi n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance.
  24. « Arrêté préfectoral du 23 décembre 2011, portant définition du schéma départemental de coopération intercommunale du département de la Haute-Saône » [PDF], Préfecture de la Haute-Saône (consulté le ), p. 5.
  25. « Présentation du projet de SDCI révisé » [PDF], Intercommunalité, Préfecture de la Haute-Saône, (consulté le ).
  26. A.R., « Frédéric Debely, battu mais pas effondré : Le maire sortant d’Amblans-et-Velotte a été battu dimanche au second tour des municipales par Florian Burghardt, jeune couvreur de 18 ans de la liste « Nouvelle dynamique ». Frédéric Debely n’est « pas effondré » mais « inquiet » », L'Est Républicain,‎ 29/6/2020 mis à jour le 20/6/2020 (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  27. Réélu pour le mandat 2008-2014 : Préfecture de Haute-Saône, Liste des communes de Haute-Saône, consultée le 18 juillet 2013
  28. Réélu pour le mandat 2014-2020 : Ch.L., « Amblans crée une plateforme internet de partage, d’échanges et de services », L'Est républicain, édition de Vesoul,‎ (lire en ligne).
  29. a et b P. L., « Eau : alimentation par camions-citernes : La source est tarie ou presque et il n’y a plus de pression au robinet. Le syndicat des eaux d’Amblans-Bouhans-Genevreuille fait appel à Veolia pour que les trois communes ne soient pas au régime sec », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Gilles Simeon élu maire », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  31. Guillaume Minaux, « Le maire d'Amblans, Gilles Siméon, s’est éteint : Il s’est éteint lundi soir à l’hôpital Jean-Minjoz de Besançon. Il y avait été héliporté en urgence mercredi dernier, suite à un malaise cardiaque », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il s’était présenté aux élections municipales pour la première fois en 2020, face au maire sortant. Les onze candidats de son équipe avaient été élus ».
  32. S.L., « Gilles Siméon, maire de la commune nous a quittés », L'Est Républicain,‎ 28/6/2023 mis à jour le 29/6/2023 (lire en ligne, consulté le ).
  33. Guillaume Minaux, « Laurent Chêne élu maire d'Amblans : une succession dans la continuité : La disparition de Gilles Siméon en juin dernier a nécessité une réorganisation à la tête de la commune d’Amblans. Son ancien premier adjoint, Laurent Chêne, âgé de 50 ans, lui succède au poste de maire », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  34. « De nombreux travaux programmés cette année », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  35. Guillaume Minaux, « Pénurie d’eau : les frontières entre communes s’estompent dans le pays de Lure : Dans le pays de Lure, lors des derniers épisodes de sécheresse, plusieurs villages ont été confrontés à des problèmes d’alimentation en eau potable. Des interconnexions avec les réseaux des communes voisines ont été créées afin de diversifier les sources d’approvisionnement », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. Guillaume Minaux, « L’ancien adjoint fait don de ses indemnités à l’école : Entre mars et juin, l’ancien maire d’Amblans avait suspendu le versement des indemnités de Didier Siméon, son premier adjoint. La préfecture a estimé qu’elles lui étaient dues. Avec l’argent récupéré, Didier Siméon a acheté trois ordinateurs pour l’école d’Amblans », L'Est Républicain,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Des enfants du centre périscolaire au concours Ecoloustic : Ils sont cinq enfants de 8 à 11 ans du centre périscolaire d’Amblans-et-Velotte, à participer au concours « Ecoloustics » organisé par le Sied 70. Cette année, il vise à favoriser la découverte de la transition énergétique, en leur proposant de définir les énergies de demain dans leur commune », L'Est Républicain,‎ 15/3/2022 mis à jour le 4/5/2022 (lire en ligne Accès limité, consulté le ).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. « Maison dite château d' Amblans », notice no PA70000113, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  42. « Puits communal d'Amblans », notice no PA00102108, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  43. « Puits communal de Velotte », notice no PA00102109, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.