Bouzon-Gellenave

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Bouzon-Gellenave
Bouzon-Gellenave
La motte féodale d’Esparsac
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Armagnac Adour
Maire
Mandat
Nicole Duclos
2020-2026
Code postal 32290
Code commune 32063
Démographie
Gentilé Bouzonnais - Bouzonnaise
Population
municipale
163 hab. (2021 en diminution de 15,1 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 41′ 19″ nord, 0° 01′ 50″ est
Altitude 150 m
Min. 101 m
Max. 200 m
Superficie 10,29 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de l'Adour-Gersoise
Législatives Première circonscription
Localisation
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Bouzon-Gellenave
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Bouzon-Gellenave

Bouzon-Gellenave (Boson e Gelanava en gascon) est une commune française située dans le département du Gers, en région Occitanie.

Géographie

Localisation

Bouzon-Gellenave est une commune de Gascogne située dans l'Armagnac entre Aignan et Termes-d'Armagnac. Le village s'étire sur les derniers coteaux qui précèdent la plaine des Landes de Gascogne. Par beau temps, on peut apercevoir la chaîne des Pyrénées.

Communes limitrophes

Communes limitrophes de Bouzon-Gellenave[1]
Sorbets Bétous Sabazan
Fustérouau Bouzon-Gellenave Aignan
Termes-d'Armagnac Pouydraguin

Géologie et relief

Bouzon-Gellenave se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[2].

Hydrographie

Le Midour et le Petit Midour, affluents en rive gauche de la Midouze dans le bassin versant de l'Adour, traversent le territoire de la commune.

Voies de communication et transports

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique et les climats de montagne et semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[5]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 13,2 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,2 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,2 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 1] : 15,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 940 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 10,8 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,1 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[6] complétée par des études régionales[7] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lupiac », sur la commune de Lupiac, mise en service en 1984[8] et qui se trouve à 12 km à vol d'oiseau[9],[Note 2], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 852,9 mm pour la période 1981-2010[10]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Auch », sur la commune d'Auch, mise en service en 1985 et à 45 km[11], la température moyenne annuelle évolue de 13,1 °C pour 1981-2010[12] à 13,5 °C pour 1991-2020[13].

Urbanisme

Typologie

Bouzon-Gellenave est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,3 %), terres arables (36,4 %), cultures permanentes (14,4 %), forêts (5,9 %)[19].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie

Histoire

C'est une commune formée de quatre paroisses ayant fusionné au XIXe siècle, à savoir Bouzon, Gellenave, Mimort et Saint-Go.

Durant la Seconde Guerre mondiale, le domaine de Saint-Go, berceau du Bataillon de l'Armagnac fut un haut-lieu de la Résistance. En 1941, Maurice Parisot, haut fonctionnaire révoqué par Vichy en tant que résistant, prend la gérance du domaine agricole de Saint-Go et s’y installe avec toute sa famille ; outre Saint-Go, il gère une dizaine d’autres propriétés dans le Sud-Ouest ce qui lui permet d’obtenir toutes les autorisations nécessaires pour circuler librement.

Capitaine de réserve d’infanterie il décide, dès son arrivée à Saint-Go, d’utiliser l’expérience acquise à la toute fin de la Première Guerre mondiale pour constituer dans la clandestinité une unité militaire et la mener au combat contre l’occupant : ce sera le Bataillon de l’Armagnac.

Maurice Parisot étudie d’abord son environnement encore largement favorable à Vichy ; il observe, écoute, scrute son entourage. Il prend contact avec des réfugiés lorrains et alsaciens et des militaires opposés au régime de Vichy qui souhaitent continuer la lutte, tel Maurice Moreau. Il prend aussi contact avec les gens du lieu, dont Abel Sempé d’Aignan, futur sénateur du Gers, Jean Laborde, futur député-maire d’Auch, Jean Ducos, maire de Bouzon-Gellenave, etc.

C’est au château de Saint-Go que se prépare et s’organise dès 1942, dans la clandestinité, le Bataillon de l’Armagnac, qui va devenir une grande unité équipée, armée, instruite, prête au combat pour chasser l’occupant. Il y a beaucoup de mouvements, d’allées et venues, de contacts, de rencontres décisives mais l’organisation et la confiance mutuelle permettent de garder le secret. Le Bataillon de l’Armagnac est né à Saint-Go sur « cette colline enchantée », comme l’appellera le sénateur Abel Sempé dans ses mémoires.

Maurice Parisot est en liaison avec le mouvement [[Combat (Résistance)]], l’Organisation de résistance de l'Armée (ORA) et l’Armée Secrète (AS) mais il tient à son indépendance. Affilié au commandement territorial de l’AS, puis aux Forces Françaises de l’Intérieur (FFI), commandées en 1944 à Toulouse par Serge Ravanel, il leur sera toujours parfaitement loyal.

Dès 1943, un parachutage est réalisé par le BCRA sur le domaine de Saint-Go ; les armes sont aussitôt emportées et cachées à proximité dans la chapelle romane du Bouzonnet. En 1944, les parachutages se multiplient grâce au Special Operations Executive (SOE) britannique ; cette organisation est dirigée localement par le colonel George Starr, dit « Hilaire » fondateur du réseau Weelright, qui trouvera refuge auprès du Bataillon de l’Armagnac à Avéron-Bergelle après l’attaque de son PC à Castelnau-sur-l’Auvignon le .

Le , des camions partent de Saint-Go et rejoignent Panjas où le curé de la paroisse, l’abbé Talès, farouche anti-Nazi, a préparé l’accueil de plus de 500 maquisards venus de toutes parts sous l’autorité du capitaine Parisot. Jeanne son épouse, restée à Saint-Go, passe trois jours émouvants à inscrire des volontaires qui rejoignent ceux qui sont déjà formés. Ils seront plus de 1000 en quelques jours.

Le , une voiture d’officiers allemands et deux camions pénètrent dans la propriété de Saint-Go en début d’après-midi. Ils mettent le personnel en joue devant un mur, mais n’exécutent personne ; seul un ouvrier en congé ce jour-là sera tué à Termes-d’Armagnac. Josepha, jeune Polonaise courageuse, a juste le temps d’aider Serge Taesch, blessé au combat, à se cacher dans le foin au-dessus de l’écurie. Les Allemands vident la maison, chargent les camions et boivent beaucoup d’armagnac… Ils s’en vont après avoir mis le feu au château et s’être assurés que le bâtiment était totalement détruit. Heureusement, Maurice Parisot était à son PC d’Avéron-Bergelle, Jeanne Parisot à Auch et Françoise, leur fille, chez des amis. À l’annonce de la destruction du château, la réaction spontanée de Maurice Parisot sera seulement de dire : "Cela simplifiera (les choses) pour le prochain déménagement".

Le , après de nombreux engagements toujours victorieux à Estang et Aire-sur-l’Adour par exemple, et après le mémorable combat de L’Isle-Jourdain qui anéantit la colonne des Allemands quittant le Gers, le lieutenant-colonel Parisot est tué près de Toulouse, sur le terrain d’atterrissage de fortune de Francazal, par l’hélice d’un avion en provenance d’Afrique du Nord ; il avait 44 ans.

Des obsèques grandioses sont célébrées dans la cathédrale d’Auch ; après les remises de décorations et le défilé de troupes devant la mairie, le convoi funèbre rejoint le cimetière de Saint-Go où le lieutenant-colonel Parisot est inhumé.

Le lieutenant-colonel Monnet, son adjoint, lui succède à la tête du Bataillon devenu demi-brigade de l’Armagnac, puis Régiment Parisot ; il continuera le combat sur le front de l’Atlantique.

" … par le serment d’une cinquantaine d’hommes et de femmes venus de partout, Saint-Go fût le cœur, l’âme, le fer des audaces qui font les héros. Il n’est pas une ferme autour de cette colline enchantée qui ne connût autre chose que l’amour du combat et la foi en la Résistance". (Abel Sempé, "La colline enchantée" in Au service de l’économie et de la liberté en Gascogne, 1980.)

Un Espace Parisot a été inauguré par la Coopérative de Plaimonnt, actuelle propriétaire du domaine viticole, dans l’ancienne métairie, appelée Lartigolle. Celle-ci avait abrité en 1936-1937 de jeunes juifs en provenance d’Allemagne et d’Europe centrale qui fuyaient le nazisme et se préparaient à émigrer en Palestine. "L’esprit de résistance" régnait déjà à Saint-Go.

Politique et administration

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
? 1941
(révoqué)
Jean Ducos ? Révoqué par le Gouvernement de Vichy[20]
2001 2014 Nicole Duclos[21] SE  
2014 9 mai 2016
(décès)
Jean-Pierre Tison DVD Retraité de l'enseignement
2016 En cours Nicole Duclos SE  
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 163 habitants[Note 4], en diminution de 15,1 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
151146172222588562539538524
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
523516504471518505546511457
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
422341301306285263246236213
1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015
190175181176167181186192192
2020 2021 - - - - - - -
165163-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

Manifestations culturelles et festivités

  • Fête : 1er dimanche de juillet[26].

Économie

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Le grand tumulus à Saint-Go.
  • L'église Saint-Martin de Bouzon, de style roman et datant du XIIe siècle. Elle a été très remaniée. Son chevet circulaire est éclairé par trois fenêtres primitives en plein cintre et très étroites. Sa voûte en cul-de-four a été refaite au XIXe siècle.
  • Église Saint-Fris de Saint-Go.
  • L'église Saint-Pierre de Gellenave, de style roman. Elle est située près du Midour, sur un verdoyant coteau. Elle possède un chrisme et abrite un mobilier classique.

La chapelle de Bouzonnet

Elle a été sauvée récemment des ruines. C'est une petite église de campagne du XIIe siècle. Elle est construite en grand appareil de pierre. Son chevet est semi-circulaire. Il est éclairé par une fenêtre axiale avec archivolte à damiers reposant sur des modillons sculptés. À l'intérieur, l'abside a conservé sa voûte en cul-de-four de pierre. La chapelle est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis 1975[27].

Personnalités liées à la commune

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  2. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Plan séisme
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  5. « Définition d’une normale climatologique », sur http://www.meteofrance.fr/ (consulté le )
  6. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  7. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Occitanie », sur occitanie.chambre-agriculture.fr, (consulté le )
  8. « Station Météo-France Lupiac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Orthodromie entre Bouzon-Gellenave et Lupiac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France Lupiac - fiche climatologique - statistiques 1981-2010 et records », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Orthodromie entre Bouzon-Gellenave et Auch », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique d'Auch - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k9619550z/f9.item.r=canton.zoom
  21. Site de la préfecture - fiche de Bouzon-Gellenave
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Michel de La Torre, Gers : Le guide complet de ses 462 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5032-2, BNF 35576310).
  27. « Ancienne chapelle du Bouzonnet », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).