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[[File:013 L'atelier de broderie de Marc Le Berre à Plonéour-Lanvern vers 1900.JPG|thumb|L'atelier de broderie de Marc Le Berre à Plonéour-Lanvern vers 1900]]
[[File:013 L'atelier de broderie de Marc Le Berre à Plonéour-Lanvern vers 1900.JPG|thumb|L'atelier de broderie de Marc Le Berre à Plonéour-Lanvern vers 1900.]]
Le journal [[La Croix]] du {{date|3|janvier|1904}} annonce la fermeture de l'école congréganiste de Plonéour-Lanvern, qui était tenue antérieurement par les [[Filles de Jésus (de Kermaria)|Filles de Jésus]], sur décision du gouvernement d'[[Émile Combes]]<ref>Journal [[La Croix]] n° 6360 du 3 janvier 1904, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k220217g/f3.image.r=Clohars%20Fouesnant.langFR</ref>.
Le journal [[La Croix]] du {{date|3|janvier|1904}} annonce la fermeture de l'école congréganiste de Plonéour-Lanvern, qui était tenue antérieurement par les [[Filles de Jésus (de Kermaria)|Filles de Jésus]], sur décision du gouvernement d'[[Émile Combes]]<ref>Journal [[La Croix]] n° 6360 du 3 janvier 1904, consultable http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k220217g/f3.image.r=Clohars%20Fouesnant.langFR</ref>.


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=== Chapelle Notre-Dame de Languivoa ===
=== Chapelle Notre-Dame de Languivoa ===
La chapelle fut construite à la fin du {{s|XIII|e}} sur la commune de Plonéour-Lanvern en France. L'architecture est un mélange des [[style roman|styles roman]] et [[style gothique|gothique]] avec des influences locales ([[École de Pont-Croix]]). La chapelle subit dès le {{s|XIV|e}} des dommages liés aux guerres de successions du duché de [[Bretagne]]. Elle fut agrandie et réaménagée, avec des influences de [[style classique]], au {{s|XVII|e}} par le recteur L'Honoré de Plonéour. Elle fait partie des six églises et chapelles à avoir subi la décapitation de leur clocher pendant la répression du [[Charles d'Albert d'Ailly|duc de Chaulnes]], gouverneur de Bretagne, contre les [[Révolte des bonnets Rouges|Bonnets rouges]]<ref>[http://www.villard.de/cb/29/Ploneour1.htm Article sur la chapelle de Languivoa]</ref>. Elle abrite l'une des statues les plus anciennes de [[Cornouaille]], datant de la fin du {{s|XIII|e}}, en [[albâtre]] [[polychrome]], qui représente Notre-Dame de Languivoa.
{{Article détaillé|Chapelle Notre-Dame de Languivoa}}
{{Article détaillé|Chapelle Notre-Dame de Languivoa}}
La chapelle fut construite à la fin du {{s|XIII|e}} sur la commune de Plonéour-Lanvern en France. L'architecture est un mélange des [[style roman|styles roman]] et [[style gothique|gothique]] avec des influences locales ([[École de Pont-Croix]]). La chapelle subit dès le {{s|XIV|e}} des dommages liés aux guerres de successions du duché de [[Bretagne]]. Elle fut agrandie et réaménagée, avec des influences de [[style classique]], au {{s|XVII|e}} par le recteur L'Honoré de Plonéour. Elle fait partie des six églises et chapelles à avoir subi la décapitation de leur clocher pendant la répression du [[Charles d'Albert d'Ailly|duc de Chaulnes]], gouverneur de Bretagne, contre les [[Révolte des bonnets Rouges|Bonnets rouges]]<ref>[http://www.villard.de/cb/29/Ploneour1.htm Article sur la chapelle de Languivoa]</ref>. Elle abrite l'une des statues les plus anciennes de [[Cornouaille]], datant de la fin du {{s|XIII|e}}, en [[albâtre]] [[polychrome]], qui représente Notre-Dame de Languivoa.

Denis Ménardeau, un professeur de Nantes, a commencé à s'y intéresser pendant l'été 1967 puis, avec ses élèves durant les vacances d'été, année après année, il va sauver le monument de la ruine. Le prix ''[[Chefs-d'œuvre en péril]]'' lui est décerné deux fois. Le Président de la République, [[Georges Pompidou]], vient personnellement en visite à Languivoa et fait un don conséquent. En 1983, le [[conseil général du Finistère]] et la commune de Plonéour-Lanvern décident de la restauration totale de la chapelle, charpente, couverture, menuiseries et vitraux, et en confient la maîtrise d’œuvre à Rémi Le Berre, architecte DPLG à Douarnenez. Jean-François Malthête, maître-charpentier à Douarnenez débute les travaux de charpente en février 1983 ; ils dureront 11 mois et 1/2<ref>[http://picasaweb.google.fr/charpentour93/Languivoa1983# photos du chantier de la chapelle de Languivoa]</ref>. Il réalisera également les menuiseries. Son travail lui vaudra la « une » de ''Ouest-France'' du 3 mai 1983.
Denis Ménardeau, un professeur de Nantes, a commencé à s'y intéresser pendant l'été 1967 puis, avec ses élèves durant les vacances d'été, année après année, il va sauver le monument de la ruine. Le prix ''[[Chefs-d'œuvre en péril]]'' lui est décerné deux fois. Le Président de la République, [[Georges Pompidou]], vient personnellement en visite à Languivoa et fait un don conséquent. En 1983, le [[conseil général du Finistère]] et la commune de Plonéour-Lanvern décident de la restauration totale de la chapelle, charpente, couverture, menuiseries et vitraux, et en confient la maîtrise d’œuvre à Rémi Le Berre, architecte DPLG à Douarnenez. Jean-François Malthête, maître-charpentier à Douarnenez débute les travaux de charpente en février 1983 ; ils dureront 11 mois et 1/2<ref>[http://picasaweb.google.fr/charpentour93/Languivoa1983# photos du chantier de la chapelle de Languivoa]</ref>. Il réalisera également les menuiseries. Son travail lui vaudra la « une » de ''Ouest-France'' du 3 mai 1983.


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;Les pardons
;Les pardons
* Pardon de la [[Sainte Vierge]], le premier dimanche de Mai.
* Pardon de la [[Sainte Vierge]], le premier dimanche de mai.
* Pardon de [[Saint Vincent]], le dimanche qui suit le 19 juillet.
* Pardon de [[Saint Vincent]], le dimanche qui suit le 19 juillet.
* Pardon de Saint Enéour, le dimanche qui suit le 9 septembre.
* Pardon de Saint Enéour, le dimanche qui suit le 9 septembre.
* Pardon de [[Notre-Dame de Lourdes]], le 8 décembre.
* Pardon de [[Notre-Dame de Lourdes]], le 8 décembre.
* Pardon de l'Assomption, Sainte Marie, le 15 aout, [[Chapelle de Languivoa]].
* Pardon de l'Assomption, Sainte Marie, le 15 aout, c[[Chapelle de Languivoa|hapelle de Languivoa]].


== Éducation ==
== Éducation ==
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* ''Manoirs et châteaux du Finistère'', Serge Duigou, photos de Yannick Le Gall, Palantines, 2008. [sur le manoir de Trévilit]
* ''Manoirs et châteaux du Finistère'', Serge Duigou, photos de Yannick Le Gall, Palantines, 2008. [sur le manoir de Trévilit]


[[Image:Panorama Plonéour Lanvern 2011.JPG|thumb|750px|center|<center>Vue panoramique de Plonéour-Lanvern depuis la route de "Tréogat"</center>]]
[[Image:Panorama Plonéour Lanvern 2011.JPG|thumb|750px|center|<center>Vue panoramique de Plonéour-Lanvern depuis la route de "Tréogat".</center>]]


== Notes et références ==
== Notes et références ==

Version du 29 septembre 2014 à 19:38

Plonéour-Lanvern
Plonéour-Lanvern
Centre de la commune.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Finistère
Arrondissement Quimper
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Pays Bigouden
Maire
Mandat
Michel Canévet
2014-2020
Code postal 29720
Code commune 29174
Démographie
Gentilé Plonéouriste
Population
municipale
6 046 hab. (2014)
Densité 124 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 54′ nord, 4° 17′ ouest
Superficie 48,91 km2
Élections
Départementales Plogastel-Saint-Germain
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Plonéour-Lanvern
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Plonéour-Lanvern
Géolocalisation sur la carte : Finistère
Voir sur la carte topographique du Finistère
Plonéour-Lanvern
Géolocalisation sur la carte : Finistère
Voir sur la carte administrative du Finistère
Plonéour-Lanvern
Liens
Site web Site de la mairie

Plonéour-Lanvern (prononcé [ploneuʁ lɑ̃vɛʁn]) est une commune du département du Finistère, dans la région Bretagne, en France. C'est la commune la plus étendue du pays Bigouden.

Géographie

Toponymie

Le nom breton de la commune est Ploneour-Lanwern.

Histoire

Étymologie et origines

Moyen Âge

Époque moderne

Cette commune est connue pour des faits liés à la révolte des Bonnets rouges en 1675.

Le XIXe siècle

Marie Tanguy et sa sœur Marie-Jeanne accusées d’avoir tué le Jean-Marie Clorennec, mari de la première citée, un ivrogne qui ne travaillait pas, après l’avoir enivré au moulin du Fao, sur le chemin conduisant à leur domicile. Le , Marie-Jeanne Tanguy , qui reconnut avoir étranglé son beau-frère, fut condamnée aux travaux forcés à perpétuité ; Marie Tanguy, qui nia avoir participé au crime, fut acquittée par la Cour d’assises du Finistère[1].

En 1899, Plonéour-Lanvern fait partie des dix-huit seules communes du département du Finistère à déjà posséder une société d'assurance mutuelle, forte de 72 adhérents, contre la mortalité des animaux de ferme, qui assure les chevaux et les bêtes à cornes[2].

Le XXe siècle

L'atelier de broderie de Marc Le Berre à Plonéour-Lanvern vers 1900.

Le journal La Croix du annonce la fermeture de l'école congréganiste de Plonéour-Lanvern, qui était tenue antérieurement par les Filles de Jésus, sur décision du gouvernement d'Émile Combes[3].

Héraldique

Blason de Plonéour-Lanvern Blason
Coupé : au premier d'or aux deux têtes de lion arrachées de gueules, lampassées d'azur, rangées en fasce, au second de gueules à la gerbe de blé d'or, liée d'hermine.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Politique et administration

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1953 1959 Louis Diquélou nc  
1959 1965 Louis Canévet nc  
1965 1977 Alfred Jolivet Socialiste  
1977 1992 Armand Pavec Centre  
1992 en cours Michel Canévet MoDem, AC puis UDI  

Monuments

Chapelle Saint-Philibert.
Chapelle de Languivoa.
L'église paroissiale Saint-Énéour

Chapelle Saint-Philibert de Lanvern

La chapelle de Lanvern, aussi appelée Saint-Philibert fut construite au XIe siècle par des moines de l'abbaye de Landévennec. Cette paroisse est dédiée à saint Philibert. Lors de la révolte des Bonnets rouges en 1675 le clocher de la chapelle fut décapité sur ordre du duc de Chaulnes, alors gouverneur de la Bretagne[4]. L'édifice avait été restauré en 1658, quelques années avant que le clocher ne soit démonté à la suite de la révolte.

La toiture s'est effondrée il y a de nombreuses années. Les statues, sauf celle de Saint Guénolé (à Landévennec), ont été déposées au presbytère et à l'église paroissiale, ainsi que le retable du maître-autel.

Chapelle Notre-Dame de Languivoa

La chapelle fut construite à la fin du XIIIe siècle sur la commune de Plonéour-Lanvern en France. L'architecture est un mélange des styles roman et gothique avec des influences locales (École de Pont-Croix). La chapelle subit dès le XIVe siècle des dommages liés aux guerres de successions du duché de Bretagne. Elle fut agrandie et réaménagée, avec des influences de style classique, au XVIIe siècle par le recteur L'Honoré de Plonéour. Elle fait partie des six églises et chapelles à avoir subi la décapitation de leur clocher pendant la répression du duc de Chaulnes, gouverneur de Bretagne, contre les Bonnets rouges[5]. Elle abrite l'une des statues les plus anciennes de Cornouaille, datant de la fin du XIIIe siècle, en albâtre polychrome, qui représente Notre-Dame de Languivoa.

Denis Ménardeau, un professeur de Nantes, a commencé à s'y intéresser pendant l'été 1967 puis, avec ses élèves durant les vacances d'été, année après année, il va sauver le monument de la ruine. Le prix Chefs-d'œuvre en péril lui est décerné deux fois. Le Président de la République, Georges Pompidou, vient personnellement en visite à Languivoa et fait un don conséquent. En 1983, le conseil général du Finistère et la commune de Plonéour-Lanvern décident de la restauration totale de la chapelle, charpente, couverture, menuiseries et vitraux, et en confient la maîtrise d’œuvre à Rémi Le Berre, architecte DPLG à Douarnenez. Jean-François Malthête, maître-charpentier à Douarnenez débute les travaux de charpente en février 1983 ; ils dureront 11 mois et 1/2[6]. Il réalisera également les menuiseries. Son travail lui vaudra la « une » de Ouest-France du 3 mai 1983.

Église paroissiale Saint-Enéour

L'église est consacrée à saint Enéour ; la bénédiction de la première pierre a eu lieu le , la consécration de l'édifice le , tandis que le clocher à trois galeries de cloches ne fut achevé qu'en 1877.

Événements

Fête
  • Fête de la Crêpe, une fois par an, à la "Halle Raphalen"
Les pardons

Éducation

La commune de Plonéour-Lanvern dispose de deux écoles. L'école Publique Élémentaire et Maternelle puis l'école Notre-dame-de-bon-secours. Au-delà de ce niveau élémentaire, il faut se rendre à Pont l'Abbé, à 6 kilomètres du centre du bourg, Pouldreuzic ou Quimper pour trouver collèges et lycées.

Langue bretonne

À la rentrée 2013, 56 élèves étaient scolarisés dans la filière bilingue catholique (soit 9,9% des enfants de la commune inscrits dans le primaire) [7].

Naissances et décès

Année 1988 1989 1990 1991 1992 1993 1994 1995 1996 1997 1998 1999 2000 2001 2002 2003 2004 2005 2006
Nombre de naissances 58 51 41 44 47 38 37 39 37 47 50 43 51 50 50 61 56 59 59
Nombre de Décès 41 46 64 56 65 67 -- 71 62 76 -- -- -- -- -- 78 67 55 69
Nombres retenus à partir de 1988. Source : Bulletins d'informations municipaux

Démographie

Évolution démographique

D’après le recensement Insee de 2010, Plonéour-Lanvern compte 5 825 habitants (soit une augmentation de 21 % par rapport à 1999). La commune occupe le 1 786e rang au niveau national, alors qu'elle était au 1 950e en 1999, et le 30e au niveau départemental sur 283 communes.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués à Plonéour-Lanvern depuis 1793. Le maximum de la population a été atteint 2010 avec 5 825 habitants.

           Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8971 9682 0092 0542 8923 0253 1933 2003 033
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 1013 2383 3083 1473 3603 4203 7173 7803 860
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 7703 9254 1034 2474 5364 3754 2814 1304 040
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2010 2014
4 2084 0874 3644 5084 6194 8005 2655 8256 046
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[8] puis Insee à partir de 2006[9].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

La population de la commune est relativement âgée. Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (26,8 %) est en effet supérieur au taux national (21,6 %) et au taux départemental (24,5 %). À l'instar des répartitions nationale et départementale, la population féminine de la commune est supérieure à la population masculine. Le taux (51 %) est du même ordre de grandeur que le taux national (51,6 %).

La répartition de la population de la commune par tranches d'âge est, en 2007, la suivante :

  • 49 % d’hommes (0 à 14 ans = 19,9 %, 15 à 29 ans = 13,7 %, 30 à 44 ans = 23,1 %, 45 à 59 ans = 20,4 %, plus de 60 ans = 22,8 %) ;
  • 51 % de femmes (0 à 14 ans = 17,1 %, 15 à 29 ans = 13,5 %, 30 à 44 ans = 21 %, 45 à 59 ans = 17,9 %, plus de 60 ans = 30,5 %).
Pyramide des âges à Plonéour-Lanvern en 2007 en pourcentage[10]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90  ans ou +
1,3 
7,2 
75 à 89 ans
11,8 
15,2 
60 à 74 ans
17,4 
20,4 
45 à 59 ans
17,9 
23,1 
30 à 44 ans
21,0 
13,7 
15 à 29 ans
13,5 
19,9 
0 à 14 ans
17,1 
Pyramide des âges du département du Finistère en 2007 en pourcentage[11]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90  ans ou +
1,2 
6,7 
75 à 89 ans
11,6 
13,6 
60 à 74 ans
15,3 
21,4 
45 à 59 ans
20,2 
20,8 
30 à 44 ans
18,9 
18,4 
15 à 29 ans
16,1 
18,7 
0 à 14 ans
16,7 

Personnalités liées à la commune

Liens externes

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • À la découverte du pays Bigouden, Marcellin Caillon, Pont-l'Abbé, 1980. [sur le patrimoine de la commune]
  • Quand s'essoufflait le train carottes, Serge Duigou, Ressac, 1984. [historique de la petite ligne à voie étroite qui desservait Plonéour-Lanvern entre 1912 et 1935]
  • La Révolte des Bonnets rouges en pays Bigouden, Serge Duigou, Ressac, 1989. [sur les clochers décapités de Languivoa et Lanvern]
  • Châteaux et manoirs en pays Bigouden, Serge Duigou, Ressac, 1988.[sur Trévilit et Kerneizan, deux manoirs de la commune]
  • Au pays du Cheval d'orgueil, Pierre-Jakez Hélias, Editions Palantines, Paru en 2004. [Livre sur les communes du pays Bigouden avec de nombreuses photos de qualité.]
  • Manoirs et châteaux du Finistère, Serge Duigou, photos de Yannick Le Gall, Palantines, 2008. [sur le manoir de Trévilit]
Vue panoramique de Plonéour-Lanvern depuis la route de "Tréogat".

Notes et références