Blassac

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Blassac
Blassac
L'église Saint-Roch, juchée sur son promontoire volcanique vue de l'Allier en crue en novembre 2008.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Loire
Arrondissement Brioude
Intercommunalité Communauté de communes des Rives du Haut Allier
Maire
Mandat
Didier Hansmetzger
2020-2026
Code postal 43380
Code commune 43031
Démographie
Population
municipale
131 hab. (2021 en diminution de 7,09 % par rapport à 2015)
Densité 10 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 10′ 16″ nord, 3° 24′ 02″ est
Altitude Min. 441 m
Max. 953 m
Superficie 12,56 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Pays de Lafayette
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Blassac
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Blassac
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Blassac
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Blassac
Liens
Site web http://www.blassac.com/

Blassac est une commune française située dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

La commune est située sur un promontoire volcanique dominant le Val d'Allier en contrebas de Lavoûte-Chilhac.

Le petit ruisseau qui coule le long du village a laissé un témoignage sous la forme de petites orgues basaltiques (point de rencontre de la lave et de la rivière). Autre vestige de ce volcan, une ancienne carrière de pouzzolane rouge brique se trouve au-dessus du bourg.

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Carte de la commune avec localisation de la mairie.

La commune de Blassac se trouve dans le département de la Haute-Loire, en région Auvergne-Rhône-Alpes[I 1].

Elle se situe à 55 km par la route[Note 1] du Puy-en-Velay[1], préfecture du département, à 21 km de Brioude[2], sous-préfecture, et à 21 km de Mazeyrat-d'Allier[3], bureau centralisateur du canton du Pays de Lafayette dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1].

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Lavoûte-Chilhac (2,5 km), Saint-Cirgues (2,9 km), Saint-Ilpize (3,0 km), Villeneuve-d'Allier (3,3 km), Chilhac (3,3 km), Saint-Privat-du-Dragon (4,2 km), Aubazat (4,6 km), Saint-Austremoine (6,0 km).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Nord-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 800 à 1 200 mm, bien répartie dans l’année[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 672 mm, avec 7,8 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Fontannes », sur la commune de Fontannes à 13 km à vol d'oiseau[7], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 611,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Blassac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[11],[I 2],[12]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (55,6 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (70,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,6 %), zones agricoles hétérogènes (33,1 %), prairies (11,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 135, alors qu'il était de 134 en 2013 et de 122 en 2008[I 5].

Parmi ces logements, 51,4 % étaient des résidences principales, 34,8 % des résidences secondaires et 13,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,7 % des appartements[I 6].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Blassac en 2018 en comparaison avec celle de la Haute-Loire et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (34,8 %) supérieure à celle du département (16,1 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80 % en 2013), contre 70 % pour la Haute-Loire et 57,5 pour la France entière[I 7].

Le logement à Blassac en 2018.
Typologie Blassac[I 5] Haute-Loire[I 8] France entière[I 9]
Résidences principales (en %) 51,4 71,5 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 34,8 16,1 9,7
Logements vacants (en %) 13,8 12,4 8,2

Topologie[modifier | modifier le code]

Le nom de Blassac pourrait provenir du terme gaulois blaca signifiant le chêne blanc (d'où les toponymes « Blache »).[réf. nécessaire] Une autre étymologie le fait descendre du gaulois *bledios, loup : *blediacon, « lieu infesté de loups » > *blasiacon[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Plusieurs sites préhistoriques sont cités pour la commune : les Blanches (brèche de maar)[15] (1 km au sud-est de Blassac), la Girondie[16] (650 m au nord-nord-ouest de Blassac), les Battants[17]. Le site communément appelé « site de Blassac » est une ligne continue d’escarpements rocheux hauts de plus de 30 m. avec, d’amont en aval, espacés de 30 à 50 m, les locus de Blassac 1, 2, 4 et 5[18].

L'abri sous roche de Blassac 1[18] est en contrebas du village, dans la vallée du ruisseau du Mas, proche du débouché de cette vallée sur la rive gauche de l'Allier[19],[20]. Il est sous une coulée basaltique datée à environ 2 Ma[21]. Il s'est formé (comme beaucoup d'autres abris sous roche du Velay) par le dégagement plus rapide de la partie prismée de la coulée basaltique, pendant les climats périglaciaires (Bout[22], 1973[23])[24].

Découvert vers 1903-1904 par O. Costérisant (de Brioude)[19], il a livré une industrie de la fin du Magdalénien dans son remplissage le plus récent ; et du Moustérien dans les couches les plus anciennes (Alaux, 1972[25])[24],[26]. En 1989 un collectif a réexaminé une partie de la plus abondante série découverte en stratigraphie à cette date[21].

À proximité se trouvent plusieurs sites similaires, comme l'abri du Rond à Saint-Arcons-d'Allier (à 26 km en amont, 17 km au sud-est à vol d'oiseau ; son voisin le site de Tatevin sur Chanteuges, à 1 km en aval de l'abri du Rond, inclut plusieurs grottes et cavités rocheuses en rive droite de l'Allier et a livré du matériel de la fin du Magdalénien, dont de l'outillage microlithique (Virmont, Guérin, Daugas et al., 1972[27])[24].

Temps modernes[modifier | modifier le code]

Une partie de la vie économique du village a reposé sur la viticulture[réf. nécessaire], richesse oubliée depuis près d'un siècle aujourd'hui.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Blassac est membre de la communauté de communes des Rives du Haut Allier[I 10], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Langeac. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[28].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Brioude, au département de la Haute-Loire, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Auvergne-Rhône-Alpes[I 10].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton du Pays de Lafayette pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 10], et de la deuxième circonscription de la Haute-Loire pour les élections législatives, depuis le redécoupage électoral de 1986[29].

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Élections de 2020[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal de Blassac, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[30] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[31]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. Sur les vingt-deux candidats en lice[32], onze sont élus dès le premier tour, le , correspondant à la totalité des sièges à pourvoir, avec un taux de participation de 48,05 %[33]. Didier Hansmetzger est élu nouveau maire de la commune le [34].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[35]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes des Rives du Haut Allier[36].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2020 Francis Rome[37] DVG  
2020 En cours Didier Hansmetzger[38]    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

En 2021, la commune comptait 131 habitants[Note 4], en diminution de 7,09 % par rapport à 2015 (Haute-Loire : +0,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
641558760706708678691654635
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
625569558519588600591575598
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
562504506377340321289237192
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
190174146143130121137141152
2015 2020 2021 - - - - - -
141134131------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 17,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (31 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 47 % la même année, alors qu'il est de 31,1 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 62 hommes pour 73 femmes, soit un taux de 54,07 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (50,87 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 11]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,4 
12,9 
75-89 ans
8,3 
38,7 
60-74 ans
33,3 
24,2 
45-59 ans
20,8 
9,7 
30-44 ans
16,7 
4,8 
15-29 ans
4,2 
9,7 
0-14 ans
15,3 
Pyramide des âges du département de la Haute-Loire en 2020 en pourcentage[I 12]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,4 
8,2 
75-89 ans
11,6 
20,2 
60-74 ans
20,2 
21,4 
45-59 ans
20,4 
16,9 
30-44 ans
16,3 
15,2 
15-29 ans
13,3 
17,2 
0-14 ans
15,9 

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 13] 8,5 % 9,7 % 9,5 %
Département[I 14] 6,3 % 7,7 % 7,7 %
France entière[I 15] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 75 personnes, parmi lesquelles on compte 70,3 % d'actifs (60,8 % ayant un emploi et 9,5 % de chômeurs) et 29,7 % d'inactifs[Note 5],[I 13]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était supérieur à celui de la France en 2008.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 16]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 24 en 2013 et 21 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 48, soit un indicateur de concentration d'emploi de 41,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 47 %[I 17].

Sur ces 48 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 18 travaillent dans la commune, soit 38 % des habitants[I 18]. Pour se rendre au travail, 70,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % les transports en commun, 6,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 20,8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 19].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Roch de Blassac est considérée[Par qui ?] comme un véritable joyau. Le thème principal est la description des moments clés de la vie de la Vierge. D'où son autre nom : église de l'Assomption.

Odilon de Mercœur est très probablement[réf. nécessaire] à l'origine de la venue dans le Val d'Allier et le Val de Sénouire d'artistes d'Europe centrale qui ont orné les murs de fresques. La présence voisine de l'abbaye clunisienne Lavoûte Chillac est à inscrire dans ce même élan. Odilon est très vraisemblablement[réf. nécessaire] l'un des personnages représentés sur l'une des fresques à droite du chœur.

Quelques fresques :

À gauche du chœur :

  • Marie en dormition sous une couverture royale

Au fond du chœur :

  • Les « âmes sœurs » Marie et Élisabeth de la visitation avec une imbrication symbolique étonnante du blanc et du rouge des deux manteaux. Élisabeth qui a en fait 80 ans est représentée ici comme une jeune fille. Une très belle icône de la tendresse.
  • La Résurrection des morts heureux de sortir de leurs cercueils.
  • Saint Michel terrassant le dragon dont la perversité est indiquée par sa queue qui fait un nœud.

Au droite du chœur :

  • Le couronnement de la Vierge dans un somptueux manteau de velours, entourée d'anges musiciens dont un « cornemuseux », un joueur de luth, un organiste et un joueur de triangle.
  • Saint Thomas recevant la ceinture de la Vierge pour ne plus douter de sa montée au Ciel.
  • Saint Georges terrassant le serpent faisant écho à saint Michel (chacun sera ainsi mis à l'épreuve dans sa lutte contre le Mal en fonction des talents qui lui auront été donnés).

Sur la voûte :

  • Dieu en gloire avec le tétramorphe des quatre évangélistes.
  • Superposition du Christ crucifié sur le Golgotha avec une autre fresque.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason à dessiner Blason
Parti: au 1er de sinople à la grappe de raisin de pourpre, tigée et feuillée d'or, au 2e d'azur au poisson contourné d'argent et courbé en barre; le tout sommé d'un chef de gueules chargé d'une coquille d'argent accostée de deux feuilles de chêne du même posées, celle de dextre en bande et celle de senestre en barre.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Métadonnées de la commune de Blassac » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Blassac » (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Blassac - Section LOG T2 » (consulté le ).
  7. « Chiffres clés - Logement en 2018 à Blassac - Section LOG T7 » (consulté le ).
  8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  9. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Blassac » (consulté le ).
  11. « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Blassac (43031) », (consulté le ).
  12. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Haute-Loire (43) », (consulté le ).
  13. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Blassac » (consulté le ).
  14. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Loire » (consulté le ).
  15. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  17. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Blassac » (consulté le ).
  18. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  19. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Stephan Georg, « Distance entre Blassac et Le Puy-en-Velay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Blassac et Brioude », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Blassac et Mazeyrat-d'Allier », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Blassac », sur villorama.com (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Blassac et Fontannes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Fontannes », sur la commune de Fontannes - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Fontannes », sur la commune de Fontannes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France (quel volume ?), 2049-57 ; repris par Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise, éd. Errance, 2001, p. 68.
  15. Raynal & Magoga 2000, p. 6, 7, 14.
  16. Raynal & Magoga 2000, p. 13.
  17. Raynal & Magoga 2000, p. 10, 13, 14.
  18. a et b [Franklin & Surmely 2012] Jay Franklin et Frédéric Surmely, « Le site magdalénien de Blassac (Haute-Loire, France), bilan des recherches anciennes et récentes », Bulletin Préhistoire du Sud-Ouest « 20 »,‎ , p. 115-123 (lire en ligne [sur academia.edu], consulté en ), p. 117.
  19. a et b [Bout 1955] Pierre Bout, « L'abri sous roche de Blassac (Haute-Loire) », Bulletin de la Société préhistorique française, vol. 52, nos 5-6,‎ , p. 316-322 (lire en ligne [sur persee]).
  20. « Blassac, carte IGN interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques » et « Hydrographie » activées. Vous pouvez bouger la carte (cliquer et maintenir, bouger), zoomer (molette de souris ou échelle de l'écran), moduler la transparence, désactiver ou supprimer les couches (= cartes) avec leurs échelles d'intensité dans l'onglet de "sélection de couches" en haut à droite, et en ajouter depuis l'onglet "Cartes" en haut à gauche. Les distances et surfaces se mesurent avec les outils dans l'onglet "Accéder aux outils cartographiques" (petite clé à molette) sous l'onglet "sélection de couches".
  21. a et b [Raynal & Magoga 2000] Jean-Paul Raynal et Lionel Magoga, « Quand la nature mystifie le Préhistorien : Géofacts et téphrofacts dans le Massif Central », Revue d’Auvergne, Association des amis des universités de Clermont-Ferrand, t. 114, nos 1/2,‎ , p. 16-34 (1-24 (lire en ligne [PDF] sur halshs.archives-ouvertes.fr, consulté en ), p. 5.
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