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Références[modifier | modifier le code]

à voir - UL
  • Élèves & maîtresses. Apprendre et transmettre l’art (1849-1928), sous la direction de Marion Lagrange et Adriana Sotropa, Bordeaux, Presses universitaires de Bordeaux, 2023 sommaire - UL en catalogage
  • Aimer en France, 1760-1860 : Actes du Colloque international de Clermont-ferrand, 2 vol, dispo UL
    • rech avec Servières ext Google et ici
    • duchesse de Berry posséda la version de 1822 due à Mme Servières et exposée avec le su- jet d'un autre veuvage célèbre , celui de Marie Stuart quittant le France . L'allu- sion à l'actualité n'est pas l'aspect le moins curieux de cette


  • emprunts sur Internet Archive



  • Catalogue d'une collection unique de dessins, gravures et eaux-fortes composés on exécutés par des femmes, 1884 ici


Blog Elles, artistes disparues[modifier | modifier le code]

Galerie Magdeleine / Peintresses d’histoire[modifier | modifier le code]

Exposition salle Lebrun, 1789 (ancienne expo de la jeunesse place dauphine)[modifier | modifier le code]

  • compte rendu Mercure français
  • 18-21 juin 1789, salle Lebrun, rue de Cléry
  • dont Nanine Vallain, Mlle Sarrazin, Mlle Giraud, Mlle de la Ville cadette (une Vestale), M. Quévanne

Adèle et Aglaé Auguié[modifier | modifier le code]

Expo de la Jeunesse, Salon de la Correspondance...[modifier | modifier le code]

Marguerite Gérard[modifier | modifier le code]


Marie-Geneviève Gaudart de Laverdine par Nattier[modifier | modifier le code]

Angelica Kauffmann[modifier | modifier le code]

  • reproduit plusieurs fois le vase Médicis dans ses peintures dont ici et ici (à télécharger)
    • portrait de Thomas Noel-Hill, 2nd Baron Berwick of Attingham (Attingham Park, Shropshire, National Trust, inv. no. NT608952)
  • Painting for Profit and Pleasure: Angelica Kauffman and the Art Business in Rome

Autoportrait d'une artiste aux triples talents[modifier | modifier le code]

Ico[modifier | modifier le code]


  • Paintings of women artists at the Salon were very rare: two notable exceptions were Gilles Allou's portraits at the Salon of 1737 of his wife Anne Raguenet, “dessinant une figure optique” (engraving by Michel Dossier on Gallica http://gallica.bnf.fr/ark:/12148/btv1b8530052v. Accessed 12 June, 2015); and another of Marie-Maximillienne de Silvestre (daughter of Louis de Silvestre) holding a palette at the Salon 1739 (untraced).

Peintres femmes, 1780-1830. Naissance d’un combat (et expo "féministes")[modifier | modifier le code]

À récupérer


Exposition des femmes peintres du XVIIIe siècle (1826)
  • catalogue non illustré : Explication des peintures, gravures, miniatures et autres ouvrages de femmes peintres du XVIIIe siècle : exposés au profit de l'Appui Maternel (Hôpital Tarnier), du 14 mai au 6 juin en l'Hôtel des Négociants en objets d'art, tableaux et curiosités en ligne
  • images de certaines oeuvres en noir et blanc sur Frick
Exposition rétrospective féminine, Lyceum,1908

Gauffier[modifier | modifier le code]

bio Pauline Gauffier
  • Anne Pauline Chatillon - née à Rome en 1772[1],[2]
oeuvres de Pauline Gauffier
  • A family in the courtyard of a villa encouraging a spaniel to dance, huile sur toile, Londres, Christie's, 20/04/1989 artprice
Correspondance des directeurs de l'Académie de France à Rome
  • mariage de Gauffier, avec mention du talent de l'épousée, p. 403-404 ici
Getty Provenance Index
  • plusieurs tableaux de Pauline Gauffier
  • Le tableau Jeanne d'Arc voue ses armes à la Vierge, de Mme de Châtillon, identifiée à P. Gauffier, est en fait Laure de Châtillon. L'oeuvre est au musée Vivenel de Compiègne ico ici


expo Gauffier du musée Fabre

Jean-Claude Rumeau[modifier | modifier le code]

Salon de 1783 (Vigée, Labille, Vallayer[modifier | modifier le code]

Aurore de Lafond de Fénion[modifier | modifier le code]


  • Elle figure encore comme peintre dans l’Almanach du commerce de Paris de 1833 [habite encore 16, Marais-Saint-Germain][5]. En 1837, elle n'y figure plus[6].

Elle figure dans l’Annuaire des artistes français de 1832 (16, marais-saint-germain)[7], mais plus dans celui de 1833[8]

hyp Leprevost
  • plus douteux : A. Le Prevost, peintre maritime au Havre, 1860-1868 ref
autres
    • figure encore dans le Manuel de l'amateur des arts dans Paris, 1825, p. 229 au 15, rue Guénégaud
  • dans l’Almanach des 25000 adresses des principaux habitans de Paris pour l'année 1832, p. 320, au 16, rue des Marais-Saint-Germain (future rue Visconti (même adresse dans Gabet)
  • voir Les métiers d'autrefois rue Visconti avec la liste des occupants pour chaque édifice et l'histoire du 16 rue Visconti. Lafond n'est pas nommée, mais plusieurs artistes y résident dans les années 1820 et 1830.
  • idem, Annuaire des artistes français, 1832


réception critique


Expositions[modifier | modifier le code]

  • Salon de Paris, 1812 (Mlle Delafond de Fenion - place Dauphine, n° 26)[9]
    • La Fidélité (no 255)
  • Salon de Paris, 1814 (Mlle Delafond de Fenion - rue Guénégaud, n° 15)[10]
    • Portrait en pied d’un garde d’honneur (no 264)
  • Salon de Paris, 1817 (Mlle Aurore De Lafond - rue Guénégaud, n° 16 [sans doute une erreur de saisie pour 15, vérifier sur l'original])[11]
    • Une Scène maternelle (no 214)
    • Un portrait de femme (no 215)
  • Salon de Paris, 1819 (Mlle Aurore De Lafond - rue Guénégaud, n° 15)[12]
  • Salon de Lille, 1822 (Mlle Aurore De La Fond - rue Guenegaud, n° 15, à Paris[15]
    • Une Scène maternelle (no 169)
  • Salon de Paris, 1824 (Mlle Aurore de Lafond - rue Guénégaud, n°15)[16]
    • Fleurette et Henri à la fontaine de la Garenne (no 991)
    • La veuve du Vendéen (no 992)
  • Salon de Lille, 1825 (Mlle Aurore Lafond - rue Guénégaud, n° 15, Paris)[17]
    • Fleurette et Henri à la fontaine de la Garenne (no 359)
  • Exposition d'objets d'arts et d'industrie, 1826 (Mlle Aurore Delafond)[19]
    • Une jeune mère et son enfant (Première section - Peinture à l’huile, no 19) (propriété M. Dargis)

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Irma Martin - compléments[modifier | modifier le code]

Aulnette du Vautenet[modifier | modifier le code]

Oeuvres
Publications

Aimée Brune-Pagès[modifier | modifier le code]

ico oeuvres
notices biographiques
  • Grand dictionnaire universel du XIXe siècle de Pierre Larousse
  • Nouvelle biographie universelle, 1843
  • "Biographie universelle, ancienne et moderne, ou Histoire, par ordre alphabétique, de la vie publique et privée de tous les hommes qui se sont fait remarquer par leurs écrits, leurs actions, leurs talents, leurs vertus ou leurs crimes: Ouvrage entièrement neuf, Volume 57" selon ici
  • Nécrologie La chronique (politique) des arts et de la curiosité
  • Revue des peintres, texte seulement, mention des graveurs ailleurs dans le volume
    • Portrait de femme, lithographié par M. Régnier d'après une peinture de "Madame Pagès-Brune", Revue des peintres, 1837, 28e livraison, planche 136
  • Dictionnaire des dictionnaires


oeuvres
  • "1832, juillet : Reçu d'Aimée Brune pour le portrait de Marguerite de Valois qu'elle a reçu pour copie. [1 p.]" réf
  • Portrait au crayon de François-Eugène Bardy (1823-1880), maire de la ville d'Auzon et haut fonctionnaire[20]


  • Portrait de Bentham durant son séjour à Paris (s.d. utilisé par Pagès pour soigner sa popularité, ensuite gravé)
    • Jeremy Bentham - Iconography sur NPG et sur Château de Versailles
    • Revue encyclopédique (Pagès demande à Bentham de poser, litho...)
    • commentaire de Biographie universelle, Michaud "ce portrait a longtemps attiré le public à l'atelier du peintre"
    • encore dans l'atelier du peintre en 1828 (adresse : rue de l'Abbaye, no 3)
    • Emmanuelle De Champs, « Le « moment utilitaire » ? L’utilitarisme en France sous la Restauration », Cahiers d’histoire. Revue d’histoire critique, 123 | 2014, 73-89.
    • ico : litho de ce portrait, 1829 (NPG)
    • aussi sur Images d'art
    • "(lettre du 1er novembre adressée par Bentham à Dumont) « One bust by David pupil of the celebrated painter and one portrait by Mademoiselle Pagès I have sat to at the entreating of these several friends under the notion of serving them. Both are pronounced striking likeness. A Lithograph of the portrait you will have ere long, I am assured. The painting is to be exhibited one year in Paris, the next in London and then lapse to me : i.e. to my Ex.ors etc.’ Correspondence (CW), vol. XII, 178. David exposa le buste de Bentham au Salon de Paris en 1827 et le visita à Londres l’année suivante. (Emmanuelle de Champs, Enlightenment and Utility : Bentham in French, Bentham in France, Cambridge University Press, 2015, (ISBN 110709867X et 9781107098671), p. 174, note 41)
    • Lettre de Felix Bodin à Bentham, fin oct. 1825,  : "Le portrait que vous avez vu faire est déjà lithographié; (3) il va être publié incessament; on aura bientôt aussi des exemplaires du buste.(4)" (Luke O'Sullivan, The late Catherine Fuller, Philip Schofield, The Correspondence of Jeremy Bentham: Volume 12: July 1824 to June 1828, Clarendon Press, 2006, 0191515493, 9780191515491, lettre no 3225, p. 175-176 (ici p. 176))
      • (3) The current location of the portrait by Aimée Pagès is unknown, but a copy of a lithograph taken from it, signed and dated A. Pagès, 1825, is in the National Portrait Gallery, London (NPG D804). [brève bio Aimée Brune, née Pagès]
      • (4) Pierre Jean David commenced work on Bentham's bust during the latter's visit to Paris. He sent the completed marble bust to Bentham in mid-1828, and a bronze copy to Dumont in September 1828. The bust is inscribed 'A Jeremie Bentham. 1828. P.J. David. Plurimorum maxima felicitas.' It was exhibited at the Royal Academy in 1829 and is now displayed in the University of London Library, Senate House. See Letters 3213 n. 13, 3227 n. 8. The 'exemplaires' to which Bodin refers have not been identified.
    • Portrait vendu chez Christie's, 26 June 1914, lot 41 catalogue
    • 1825 : Painting [of Bentham] by Aimée Pagès, half length. Private collection (from Christie’s, 26 June 1914, lot 41). Anon. lithograph 1825 (Jéremie Bentham). Bentham, who had been made an honorary French citizen in 1792, was in Paris September-October 1825 and on 1 November he wrote that the portrait ‘is to be exhibited one year in Paris, the next in London and then lapse to me’ (C. Fuller ed., The Old Radical: Representations of Jeremy Bentham, 1998, p 38). source



  • Portraits de la famille Pringy de Goncourt par A. Brune-Pagès (portrait du père, de la mère et de leurs 2 fils aînés, 1864-1866)
    • source : C[écile] de G[oncourt], "Les Portraits de famille des Jacobé de Pringy de Goncourt et de leurs diverses branches", Revue de Champagne et de Brie, 22e année, 2e sér., t. 10, juillet-août 1898, p. 507 et suiv.
      • Portrait de Louis Jacobé de Pringy de Goncourt (1830-1875), 1864, oval, redingote et cravate noire (p. 513-514 haut)
      • Portrait de Marie-Cécile Becquey (1840-1929) (mariée en 1859 au précédent), 1864 : "Robe blanche décolletée, drapée dans une vaporeuse écharpe de tulle blanc ; devant le corsage, noeud Pompadour bleu ciel avec rose ; roses dans les cheveux blonds foncés relevés sur les tempes. La tête, penchée, est appuyée sur une main ; de l'autre, elle soutient un long collier de perles passé dans son cou." (p. 514)
      • Portrait de Marie-Jean-Baptiste-Émile Jacobé de Pringy de Goncourt (1860-1866, fils des précédents), peint à l'âge de 4 ans, en 1864  : "Très longue chevelure bouclée, châtain clair, retombant sur les épaules nues ; chemise très basse" (p. 514)
      • Portrait de Louis-Marie-Joseph Jacobé de Pringy de Goncourt (1863-1916, frère du précédent), peint à l'âge de 3 ans, en 1866 : "Tête blonde toute frisée, petite chemise blanche" (p. 514)
      • ***prouve qu'elle a continué de peindre jusqu'à la fin de sa vie.***
réception critique
gravures
  • ImofFr no. 15394. Bibliog. de la Fr., 18 juin 1825, no. 401 -- Ali Pacha, lithog., par {Aimé Pagès}. A Paris, chez {Motte}. 1 item.
  • ImofFr no. 15701. Bibliog. de la Fr., 5 novembre 1825, no. 695 -- Jérémie Bentham, par {A. Pagès}, 1825. -- Effet de brouillard. A Paris, chez {Ch. Motte}. 2 items.
  • ImofFr no. 18184. Bibliog. de la Fr., 2 février 1828, no. 94 -- Le printems, l'été, l'automne, l'hiver, dessinés et lithographiés par {Mlle Aimé Pagès}. Prix de chaque en noir ... 1-50. En couleur ... 2-0. A Paris, chez {Rittner}, boulevart Montmartre, n. 12. 4 items.

ImofFr no. 18326. Bibliog. de la Fr., 22 mars 1828, no. 236 -- La jeune bonne, lithographie, par {Mlle Pagès}. -- La petite fille, idem. A Paris, chez {Feillet}. 2 items.

ImofFr no. 19432. Bibliog. de la Fr., 9 mai 1829, no. 333 -- Bathilde. -- Hermangarde. -- Cunegonde, 3 planches, par {Mlle Pagès}, 9 pouces sur 7. Imp. de {Frey}. -- L'heureux age, par {Midy}, d'après {Beaume}, 11 pouces sur 9. Impr. de {Frey}. A Paris, chez {Rittner}, boulevart Montmartre, n. 12. 4 items.

ImofFr no. 19575. Bibliog. de la Fr., 11 juillet 1829, no. 477 -- La romance. -- La marguerite. -- La lettre. -- La pensée, 4 planches, gravées au burin, d'après {Drouin}, {Mlle Pagès}, etc, 8 pouces sur 8. Prix de chaque ... 2-0. A Paris, chez {Rittner}, boulevart Montmartre, n. 12. 4 items. ImofFr no. 21691. Bibliog. de la Fr., 23 avril 1831, no. 343 -- Le Sommeil et le Réveil, faisant suite aux Souvenirs et Regrets, de même dimension, gravés en manière noire par {Sixdeniers}, d'après {Pagès}. Prix. 24 -- 0. A Paris, chez {Schroth}, rue Saint-Honoré, n. 353 bis. 2 items. -- Cf. Dépôt légal des Estampes, AnF, *F/18(VI) 12, 12 avril 1831, 220.

ImofFr no. 22579. Bibliog. de la Fr., 7 avril 1832, no. 241 -- Le Roman. -- L'Attente, aqua-tinta, d'après {A. Pagès}, par {Sixdeniers}. A. Paris, chez {Schroth}, rue St.-Honoré, n. 353 bis. ImofFr no. 23296. Bibliog. de la Fr., 19 janvier 1833, no. 64 -- Justine de Levis écrivant des vers pour Louis de Puytandre. -- Milton dictant son Paradis perdu à ses filles, d'après {E. Pagès}, par {E. Desmaisons}. Impr. lith. de {Villain}, à Paris. A Paris, chez {Desmaisons}, quai Voltaire, n. 13 ; chez {Jeannin}, rue du Croissant, n. 20.

ImofFr no. 23333. Bibliog. de la Fr., 9 février 1833, no. 101 -- Le Roman. -- L'Attente, d'après {Pagès}. -- Viens donc ! -- Je ne veux pas. -- L'Hésitation. -- La Sortie du bain, d'après {Rioult} ; gravures à l'aqua-tinta, par {Sixdeniers}. -- German lady. -- English lady, aqua-tinta, d'après {Thomas Lawrence}. A Paris, chez {Schroth}, rue St-Honoré, n. 353 bis. ImofFr no. 23803. Bibliog. de la Fr., 14 septembre 1833, no. 569 -- Edouard en Ecosse, gravure à l'aqua-tinta, d'après {P. Delaroche}, par {Reynolds}, terminé par {Sixdeniers}. -- Réflexions, d'après {Colin}. -- Satisfaction, d'après {Pagès}. -- Garde à vous ! d'après {Devéria}. -- Ne regardez pas, par idem. Aqua-tinta, par {Sixdeniers}. A Paris, chez {Schroth}, rue St-Honoré, n. 353 bis.

ImofFr no. 24503. Bibliog. de la Fr., 12 juillet 1834, no. 450 -- La Lecture. -- La Prédiction, d'après {Brun Pagès}, par {Desmaisons}. Impr. lith. de {Lemercier}, à Paris. A Paris, chez {Dauty}, rue Vivienne, n. 2 bis.

ImofFr no. 24738. Bibliog. de la Fr., 18 octobre 1834, no. 685 -- Le Départ. -- Le Retour, gravures à l'aqua-tinta, d'après {A. Pagès}, par {Sixdeniers}. A Paris, chez {Scroth}, rue Traversière-St-Honoré, n. 25. description

ImofFr no. 24742. Bibliog. de la Fr., 18 octobre 1834, no. 689 -- Le Sommeil. -- Le Réveil, d'après {A. Pagès}, gravure à l'aquatinta, par {Sixdeniers}. A Paris, chez {Scroth}, rue Traversière-Saint-Honoré, n. 25.

  • "Portrait de M. Bosc [Louis-Augustin-Guillaume Bosc], membre de l'Institut, peint par Mademoiselle Pagès. Lithographie de Langlumé. Grand in-4, sous verre." source


généalogie
autres


enseignement / élèves / ateliers
  • "Mme BRUNE-PAGÈS, l'auteur du "Moïse sauvé des eaux" et de tant d'autres belles pages dans lesquelles la part du cœur n'est pas moindre que celle du talent, a consenti, à la prière de plusieurs familles du faubourg Saint-Germain, à ouvrir, un atelier de Jeunes Personnes pour la peinture à l'huile, le pastel et l'aquarelle. / Indépendamment des leçons données par MME BRUNE, MME LE SUEUR, artiste elle-même, tient l'atelier de manière à justifier la confiance dont elle a été honorée; c'est l'enseignement stimulé par l'émulation, tel que les mères le demandaient depuis long temps; c'est l'Ecole des Arts dans un salon de bonne compagnie. / Le mois d'études y est ainsi divisé : 1re semaine : Copie d'après des dessins de maître. / 2e sem. : Copie d'après la bosse / 3e sem : Copie d'après nature / 4e sem. : Compositions et esquisses peintes / Nos lectrices nous sauront gré de leur avoir appris cette bonne nouvelle." (L'Europe artiste, 6 février 1853, p. 4
commerce
  • Société des amis des arts 1835 : "Mme Brune-Pagès, honorablement connue par de charmantes productions de genre, toujours bien senties et bien rendues, a exposé une scène touchante : Une jeune Femme venant d'apprendre la mort de son mari ; costumes du seizième siècle" ("Société des amis des arts. Exposition de 1835 (2e article)", Journal des artistes, 9e année, 1er vol., no 8, 22 février 1835, p. 113-114)
Alphonse de Saint-Martin
  • Enfants surpris par un orage, tableau offert à la vente ou à la location chez le marchand Alphonse de Saint-Martin, à la Palette de Rubens, en 1835 (Journal des artistes, 22 février 1835, p. 144
  • Têtes d'étude chez Saint-Martin
  • Catalogue 1828 Aimée Pagès y figure (selon Pascal Labreuche, « Marques, étiquettes, inscriptions au revers du tableau : un passeport fiable ? Questions de méthodologie », dans Bénédicte Trémolières (dir.), Peindre au temps des impressionnistes : L'apport de l'étude matérielle des toiles, Presses universitaires de Rouen et du Havre, , p. 92).
  • Rêverie, tableau de Brune-Pagès, envoyé par le marchand Durand-Ruel à l'exposition de la Société artistique de Bayonne en 1863 no 68 du catalogue


  • Moïse sauvé des eaux, détruit lors de l'incendie du musée de Bordeaux, a été gravé par Narcisse-Edmond-Joseph Desmadryl en 1843 : Bibliog. de la Fr., 2 décembre 1843, no. 1715 -- "Moïse sauvé des eaux, gravé par Desmadryl, d'après Mme Brune Pagès : la fille du roi d'Egypte venant pour se baigner, accompagnée de ses femmes, trouvant un enfant dans une corbeille au milieu des roseaux, etc. A Paris, chez Schroth."

Jenny Berger, née Désoras / Jenny Berger-Désoras / Jenny Désoras-Berger[modifier | modifier le code]

d:Q97477673

  • aussi rech. avec Desora, Désora, Désoras...


  • En 1817, Ni l'un ni l'autre et Oui, c'en est fait je me marie se trouvaient dans la collection du musée de la ville de Lille[21]
  • Ni l'un, ni l'autre, gravé en 1808 par Jean-Pierre Simon (la peintre est nommée Jenny Desora), imprimé par Joubert fils et Charles Bance. Pendanr avec Ah, c'en est fait... gravé en 1810
  • Ah ! c'en est fait je me marie (le frère et la soeur et les bijoux de la future mariée), gravé par Jean-François-Gabriel Delegorgue-Cordier (1781-1856), chez Joubert fils et Ch. Bance, 1810[22]
    • mofFr no. 2041. Dépôt légal des estampes, 8 février 1810, no. 17 -- Deux épreuves d'une planche portant pour titre : Ah ! c'en est fait je me marie, dessinée [peint] par {Mlle Desora} [sic pour {Desoria}] et gravée par {Delgorgue} : deux épreuves d'une Vénus conduite par l'amour à Cythère, dessiné par {Blairot}, gravée par {Ruotte}. [Déposant] {Vilquin}. 2 items. Bibliothèque nationale de France, Est., Rés. Ye-79 pet. in-fol. Image of France
    • commentaire du Journal des dames et des modes - Aussi sur Internet Archive


  • Suite de quatre gravures, d'après Désora : Ni l'un, ni l'autre - L'une ou l'autre - Mon choix est fait - Ah! c'en est fait, je me marie ref
    • ImofFr no. 3203. Bibliog. de la Fr., 19 mars 1813, no. 96 -- L'Une ou l'Autre, ou Anacréon entre deux femmes, peint par {Breton}, gravé par {Dissard}. [A Paris, chez {Elia}] 1 item.
    • ImofFr no. 3204. Bibliog. de la Fr., 19 mars 1813, no. 97 -- Mon Choix est Fait, peint par idem [{Breton}], gravé par idem [{Dissard}]. [A Paris, chez {Elia}] 1 item.
  • Gravures La Douceur et La Malice, de Madame Lebel, 1812

Liste d'oeuvres[modifier | modifier le code]

  • La Leçon de musique, 1815, Boulogne-Billancourt, bibliothèque Marmottan[26]
    • "...parmi les trois personnages figurés une mention ancienne, étiquetant le verso du tableau, nous invite à reconnaître Mme de Saluces (Jenny Millo) assise dans un fauteuil tendu de gourgouran rayé, un livre entr'ouvert sur les genoux; une jeune personne à droite pince de la harpe, tandis qu'au centre un homme debout, en frac et bottes noires, accorde un violon. (Paul Fleuriot de Langle, La Paolina : soeur de Napoléon, E. Pigelet, 1946, p. 140, note 1
  • Portrait du duc de Reichstadt, 1820, huile sur toile, 44 x 38 cm, collection particulière, présenté à l'exposition La Pourpre et l'exil : L'Aiglon et le Prince Impérial, château de Compiègne, 2005 (Dossier de presse de l'exposition archivé, p. 22, no 106) et catalogue de l'exposition, p. 196 (reproduction) et 263 ref]
    • "p. 263 : "Ce portrait de l'enfant âgé de six à huit ans le représente en pied en uniforme de hussard pointant du doigt un jeu de cavaliers et a été réalisé par Jenny Berger, née Desoras, peintre qui présenta aux Salons des années 1806-1824."
  • Portrait présumé de Lady Charlotte Webster et ses fils Arthur, Frederick et Augustus, 1826 ou 1828, huile sur toile, 71.7 × 90.8 cm (London, Christie's, June 23, 1978, no. 109; Monaco, Sotheby's, June 25, 1984, no. 3391) (Margaret A. Oppenheimer, Women Artists in Paris, reproduit no 91)


  • Paris, 1812
    • Sargines, élève de l’Amour (no 305) - L’instant représenté est celui où la jeune Sophie d’Apremont lit ce passage du jeune banneret. C’est que vous ayme d’amour à mourir. Sargines redit plusieurs fois ces mots, d’une voix tremblante, en regardant Sophie. (oeuvre à identifier)
  • Lille 1822
    • La vigilance en défaut (no 30)
    • La coquetterie punie, ou le miroir cassé (no 31)
    • La malice sous la forme d'une petite fille tenant un chat (no 32)
    • Allégorie : Honneur à la modestie (no 33)
    • Allégorie : Point de carresses à l'amour avant l'hymen (no 34)

Notices bio[modifier | modifier le code]

Autres[modifier | modifier le code]

  • La complaisance maternelle gravure de Mme Lebel
    • annonce - ici aussi
    • "ImofFr no. 1834. Dépôt légal des estampes, 7 novembre 1808, no. 166 -- Deux épreuves de la complaisance maternelle, ou le chou miraculeux, dessiné par {Lebel} et gravé par {madame Lebel} et {Delgorgue}. [Déposant] {Lebel}. 1 item. Bibliothèque nationale de France, Est., Rés. Ye-79 pet. in-fol." Image of France
  • son pendant, regret maternel - Meisterdrucke***
    • ImofFr no. 1783. Dépôt légal des estampes, 18 juillet 1808, no. 107 -- 2 épr. d'une estampe intitulée Le Regret maternel, peint par Le Bel, élève de David, et gravé par Delegorgue. [Déposant] {Delegorgue}. 1 item. Bibliothèque nationale de France, Est., Rés. Ye-79 pet. in-fol.
    • annonce
    • repro ici

Eliza Emilie Lemire, née Navarre[modifier | modifier le code]

https://www.millon.com/lot/92901/9323894

+ http://salons.musee-orsay.fr/index/exposant/22416

Sophie Guillemard[modifier | modifier le code]

d:Q96807506 - commons

notices bio
  • dans l'Annuaire des artistes français en 1832 et 1833
oeuvres
  • Portrait of a young Gentleman, small half-length, in a blue jacket and a cravat, seated at a draped table, holding a book, a classical statue of Venus behind, signed and dated 's. Guillemard 1808' vente Christie's, 1997 (sans image)
Sur les Guillemard

Soeurs Lemoine[modifier | modifier le code]

  • Marie-Victoire Lemoine - Marie-Élisabeth Gabiou - Marie-Denise Villers - cousine Jeanne-Élisabeth Chaudet, née Gabiou
  • à surveiller : Exposition « Je déclare vivre de mon art », 1789 - Dans l'atelier des soeurs Lemoine & Chaudet, Commissaire de l’exposition: Carole Blumenfeld, Du 10 juin au 8 octobre 2023, Musée Jean-Honoré Fragonard, rue Jean Ossola, Grasse
    • Carole Blumenfeld, Dans l'atelier des soeurs Lemoine, juin 2023, EAN 9782353403875 (ISBN 2353403875) / 978-2-35340-387-5 ici
    • Quatre sœurs et une cousine au musée Fragonard de Grasse, Actu-juridique.fr archivé
    • Des femmes énigmatiques, brillantes et secrètes à l'honneur au musée Fragonard à Grasse, Var matin archivé
    • images expo***
    • "autre révélation majeure encore: celle de Marie-Geneviève Lemoine en tant que nouvelle femme artiste du XVIIIe siècle, dont l’œuvre avait jusqu’alors été confondue avec celle de sa sœur. Or, la découverte d’une inscription ancienne à l’encre noire, sur le châssis d’un portrait, a résolu ce mystère et fait renaître une nouvelle femme artiste…"
    • 32 tableaux exposés
      • Jeune femme gravant une inscription sur un arbre de M. V. Lemoine
      • Jeune fille tenant le sabre de son père de Chaudet
      • Portrait de Marie-Thérèse-Louise de Savoie-Carignan, princesse de Lamballe, Banque de France, de M. V. Lemoine
      • Portrait de la duchesse d’Orléans [Louise-Marie-Adélaïde de Bourbon (1753-1821), ép. de Philippe-Égalité] "tableau inédit provenant des collections nationales et « oublié » sous papier Japon depuis 1992, dans les réserves du musée de Saint-Brieuc"
      • Allégorie de la peinture de Marie-Victoire Lemoine, du musée d’Orléans ("Avec l’appui de la restauratrice Isabelle Leegenhoek, (...) cette œuvre a livré sa date, 1777, cachée derrière des repeints, qui avait été lue de façon erronée. Cela en fait l’œuvre la plus précoce de l’artiste connue à ce jour.")
      • Jeune fille donnant à manger à des poulets, Jeanne-Élisabeth Chaudet du Napoleon museum à Arenenberg
      • Un enfant endormi sous la garde d’un chien courageux, exposé par Jeanne-Élisabeth Chaudet au Salon de 1801 et aujourd’hui conservé au musée de Rochefort-sur-Mer


  • Joseph Baillio, « Vie et œuvre de Marie Victoire Lemoine (1754-1820 », Gazette des beaux-arts, vol. 127,‎ avril 1996, p. 125-164
  • Joseph Baillio, « Oeuvre de Marie Elisabeth Lemoine, Mme Gabiou - essai de catalogue », Gazette des beaux-arts, vol. 127,‎ avril 1996, p. 161-164.
  • Anne Huguonnet, Through a Louvre Window (sur le tableau de Marie-Denise Villers du MET)
  • "-1875, 8 octobre : Legs par M. Michel Maximilien Villers du tableau exécuté par Mme Villiers représentant « Mme Soustras sous la figure et les emblèmes d'une des déesses de la fable ; Extrait du testament ;1839, 9 janvier-1876, 18 février.[11p.]" source
  • Charlotte du Val d'Ognes : French Paintings in The Metropolitan Museum of Art from the Early Eighteenth Century through the Revolution ici
  • Jeune fille tenant un chien (ico vente Curelno 29, att David, voir French paintings..., pour l'att à Villers, voir aussi Oppenheimer, Nisa Villers...
  • Un enfant dans son berceau, entraîné par les eaux de l’inondation du mois de nivôse an X de Marie-Denise Villers (image), + critiques
  • Villers, 1810: Un enfant dans son berceau, entraîné par les eaux de l'inondation du mois de nivôse an X. Painting. Reduction of the 1802 Salon painting. Russia, Arkhangelskoyé Museum-Estate.
Geohistoricaldata


portrait de Villers par Marie-Victoire (autrefois considéré comme Madame Leclerc, nee Pauline Bonaparte) (réattribué par Oppenheimer), vendu à la National Gallery of Victoria, Melbourne







Maria Cosway, sur M-D Villers
  • "4Puis est venu Gérard, avec qui je suis allée chez Mme Villers, qui a une belle demeure et qui est elle-même une belle femme. Je la considère comme la meilleure peintre, bien que l’on dise que David a beaucoup travaillé sur son tableau." (Journal, 17 octobre 1802) ds source
confusion avec Jacques-Antoine-Marie Lemoine
  • à voir : Neil Jeffares, "Jacques-Antoine-Marie Lemoine (1751–1824)," Gazette des Beaux-Arts ser. 6, 133 (1999) 61–136
    • attribue notamment le portrait d'un noir / Zamore du Cummer Museum à JAM Lemoine plutôt qu'à Marie-Victoire
    • voir ici : "Quite apart from connoisseurship, there is the evidence of the signature: the hand is JAML’s, with Lemoine solid, while MVL always has a space: Le moine); there is no initial (MVL always has MV or MVre Le moine, perhaps because of other family members, JAML never); "
The Interior of an Atelier of a Woman Painter (MET)
Autoportrait Elisabeth/Victoire en robe verte
  • serait représenté non pas une boîte d'aquarelle, mais un pincelier en métal, spécifiquement conçu pour protéger les pinceaux à peinture à l'huile et limiter leur dessication (NDLR, durcissement de l'huile)[28]
vente 2010

Chaudet[modifier | modifier le code]

Salon de la Correspondance




  • copie portrait Oscar Bernadotte
    • portrait Oscar à redresser*** source
      • "Oscar 1er, enfant (réplique d’après Jeanne Elisabeth Chaudet- Huile sur toile – 1805 - collections de S.M. le Roi de Suède) / Le peintre a représenté le jeune fils de Bernadotte tenant un papier sur lequel est écrit : « Oscar offrant sa première écriture à son père le jour de sa fête », commandée par Désirée pour témoigner à son époux, qui n’avait pas revu sa famille depuis 1804 des progrès de son fils. / Fabian Wrede reçut l’original en cadeau pour le remercier du rôle qu’il joua dans l’accession au trône de Bernadotte. Charles XIV Jean se contenta d’une copie qui était accrochée dans sa chambre à coucher au palais royal de Stockholm."



Dibutade



Femme à sa toilette (Mme Gérard)
  • Portrait en pied d’une femme à sa toilette (Mme Gérard, épouse de François Gérard) - son premier succès au Salon - les critiques identifient Mme Gérard et font encore allusion au tableau des années plus tard
    • exposé au Salon de 1798 (no 88)
    • prix de 4e classe, salon de 1798] (femme â sa toilette, portrait de mme Gérard) Annonce Mercure de France
    • éloge de La Revue philosophique
    • exposé de nouveau au Salon de 1802 : pas indiqué au livret du Salon, mais figure au registre des ouvrages et mentionné par un journaliste (St. L... T..., "Peinture. Considérations sur cet art cultivé par les femmes", Le Petit Magasin des Dames, I, an XI-1803, p. 169
      • source : Margaret A. Oppenheimer, « Nisa Villers, née Lemoine, 1774-1821 », Gazette des Beaux-Arts, vol. 127, no 1527,‎ , p. 167-180 (ici p. 171 et p. 179 note 54
    • Petite fille apprenant à lire à son chien + Portrait de Mme Gérard, présentés de nouveau au Salon de 1802


estampes
  • ImofFr no. 23154. Bibliog. de la Fr., 8 décembre 1832, no. 789 -- L'Aveugle et le tilbury, d'après {Roëhn}, par {Mlle Hubert}. -- Innocence et fidélité, d'après {Mme Chaudet}, par {Mlle Hubert}. -- Une laitière des environs de Paris, d'après {Olagnon}. -- Le petit Marchand et les voleurs, d'après {Schaal}. -- L'Ane portant des reliques, d'après {Leprince}. -- Le petit Savoyard ruiné, d'après {Nanteuil}, par {Mlle Hubert} Impr. lith. de {Villain}, à Paris. A Paris, chez {Chaillou}, rue St-Honoré, n. 140.

Louise Bouteiller / Louise de Bouteiller (1783-1828)[modifier | modifier le code]

  • critique Salon 1824 (Jal)
    • description détaillée d'un portrait de femme au chapeau, comparé au Portrait de Madame S. M. par Horace Vernet (même Salon)


  • "Marie-Louise-Eléonore Bouteiller, tante de l'enfant (1783-1828), peintre, domiciliée 4 rue Bergère", tante de Guillaume Bouteiller (1787- (Guillaume-Louis-Marie Bouteiller), compositeur, prix de Rome******
    • Prix de Rome 1803-1809****** (bio de Guillaume Boutiller) - lien archivé
      • identifiation de la famille, mention Larive (dont Louise Bouteiller fera un portrait présenté au salon de 1827).....
      • Louise, fille de "Guillaume Bouteiller, (...) (1713-1802), juge-consul des marchands, marié à Eléonore Browne, exerçait en 1749 la charge anoblissante de Secrétaire du Roi, maison et couronne de France, l'autorisant à porter le titre de noblesse d'écuyer. Il passait sous Louis XVI pour être le plus riche négociant de Nantes. Aussi, certains de ses descendants ajoutèrent plus tard la particule « de » avec le titre d'écuyer."
      • frère de Louise : "Charles de Bouteiller (1760-1845), oncle du musicien, qui fut député de la Loire-Inférieure de 1810 à 1815"
      • frère de Louise : "Guillaume-Jacques (de) Bouteiller (1756-1820), écuyer, négociant nantais installé à Paris, rue Poissonnière puis 6 rue Beauregard, et de Marie-Louise-Thérèse Drouin"
      • "Sophie Bouteiller [fille de Guillaume musicologue], sous le nom « Henriette Browne » (patronyme de sa grand-mère paternelle d'origine irlandaise), fut une artiste peintre renommée"
    • trouver lien avec Saint-Domingue
    • note : qqn née en 1783 ne pourrait être peintre en 1787... (confusion dans la notice)
  • ou Marie Louise Eleonore Debouteiller / De Bouteiller



  • "Vous savez que Mlle Bouteiller est à Nantes et qu ' elle fait le portrait de Mlle de Lauriston . Je serais bien curieuse de la voir , Mlle Bouteiller n ' a que bien peu de temps pour le faire . Elle avait un congé très court et a été plusieurs fois malade par dessus le marché . Elle est très aimable et on la dit remplie d ' esprit . (Bulletin de la Société d'histoire et d'archéologie de Nantes et de Loire-Atlantique, Volume 113, 1974, p. 55
portrait Castella

The Knotel print is apparently based on a portrait of him (possibly the black and white one on page 17 of the Osprey Napoleon's Swiss Troops). It shows him in a red uniform with gold laced sky blue cuffs, collar and lapels (the latter mainly folded over his chest, leaving just the top flap of the sky blue facing colour showing. His turnbacks are also sky blue. He is wearing a standard French General de Brigade sash, of sky blue and gold diagonal stripes. He is mounted in the Knotel print (the Osprey portrait shows him standing). He is wearing pale blue (possibly blue/grey) baggy trousers and an oriental style scimitar (the black and white Osprey portrait also shows the baggy trousers and oriental scimitar). He has gold epaulettes on both shoulders. He is wearing a black bicorne with gold lace and black feathers on its crest, plus a standard French gold laced tricoleur cockade on the right. His horse furniture is red with wide gold lace.

Oddly the 2nd Swiss wore dark blue facings, so whether this is a colour error in the Knotel print, or Castella wore sky blue facings as a link to his General de Brigade rank, I cannot say (I suspect the former). I would guess this is a totally unique uniform, only worn by one man.

I have recently painted up one battalion each of 2nd, 3rd & 4th Swiss plus the Neuchatel Battalion and also a model of Castella de Berlens, exactly as above, but I went for blue (ie 2nd Swiss), as opposed to sky blue, facings source


  • exposé Les Grandes heures de l'amitié franco-suisse, 1967
    • catalogue dispo ul (à la demande, réserver à l'avance) lien
portrait Frotté
  • contexte Galerie de portraits des généraux vendéens - voir Une esquisse du portrait d’Henri de La Rochejaquelein
  • Josette Bottineau, « Les Portraits des généraux vendéens, commande et critique, diffusion et destin », Gazette des Beaux-Arts, 6e série, t. 85, mai-juin 1975, p. 175-192
    • p. 185 (chique aperçu Google) : "Cependant plusieurs démarches auprès de Louis XVIII, puis de Charles X, déterminaient la commande de nouveaux portraits "vendéens" pour la collection royale: ce fut d'abord celui du général de Frotté (fig. 9), fusillé lors d'opérations en Normandie, en 18oo; Louise de Bouteiller, choisie par la famille, fit le portrait, au printemps de 1821, pour 4ooo francs; présenté au Salon de 1822 (no 158), il fut brièvement loué par la Quotidienne, le 3 juillet."
    • p. 187 : "Le 21 août 1823, le portrait de Frotté rejoignait la collection."
  • Louis de Frotté et les insurrections normandes, 1793-1832, 1889, Volumes 2 à 3, p. 605-606, etc.
    • (miniature ayant inspiré Bouteiller, reproductions, iconographie, etc.) vol. 2, ici
  • "Exposition au Louvre des productions des artistes modernes" (11e article - Portraits), Annales de la littérature et des arts; Journal des la Société des Bonnes-Lettres, Volume 8, 1822, 92e livraison p. 1 et suiv.,
    • ici p. 8 (critique positive) "Mademoiselle de Bouteiller occupe un rang distingué parmi nos peintres de portraits : M. le général Frotté, peint par cette demoiselle, est un des bons ouvrages du Salon. Si la peinture tombait un jour en quenouille, nous serions heureux si toutes nos artistes avaient le talent de quelques personnes du sexe qui se font admirer au Salon, et parmi lesquelles on range mademoiselle de Bouteiller."
    • « Dans ce genre [le portrait] il / faut placer au premier rang Mlle Bouteiller. La manière dont elle peint le portrait fait voir qu'elle aurait pu aisément s'élever jusqu'au genre historique. Son portrait du général Frosté [Frotté] est une œuvre remarquable, et que ne désavoueraient pas nos meilleurs artistes. Il fait partie de la collection des généraux vendéens qui vont être placés dans la salle de MM. les gardes-du-corps : et certes ce ne sera pas un des moins bons. » (M. J. [Mely-Janin (1777-1827)], "Salon - Exposition de 1822 (Septième article)", dans Lettres champenoises, ou Correspondance politique, morale et littéraire, adressée à Mme de ***, à Arcis-sur-Aube, Paris, Pillet, 1822, t. 9, no 73, p. 134-145, ici p. 137-138
directrice du dessin et de la peinture, maison d'éducation de la légion d'honneur de Saint-Denis
  • 1824-1828 (Bellier et Auvray, Sofio, etc)
copie portrait Bossuet par Mignard, mairie de Meaux
gravures / litho
  • S. A. R. la duchesse d'Angoulême, lith tirée de son portrait de la duchesse d'Angoulême (par C. de Lasteyrie) ref ici, no 203
  • Dominique Vivant Denon, Monuments des arts du dessin chez les peuples tant anciens que modernes, 1829
    • 36 planches réalisées par Louise Bouteiller, d'après le British Museum



portrait Louis XVIII (Castelsarrazin)


autres


mort
  • acte de décès l'état civil reconstitué (p. 139), sur Ancestrysearch, série "Reconstitution chronologique des actes de décès" (série V.2E), 1630-1859 (accès gratuit avec inscription) - pas de mention de filiation ou de frère dans l'acte de décès, seulement son âge et lieu de naissance (âgée de 45 ans, née à Paris)
  • fichier de l'état-civil reconstitué - décès (vue 13/51), rechercher avec "Debouteiller")
    • Marie, Louise, Éléonore, de Bouteiller - morte 23 juin 1828, 2e arrondissement
  • Marie Louise Éléonore de Bouteiller apparaît dans les relevés d'inhumation sur Geneanet et Filae (réservés aux membres Premium)
    • relevé Geneanet premium, vue 19 nov 2021
      • Lieu : Paris
      • Bureau : 8e
      • Arrondissements (anciens) : Ier et IIe
      • Patronyme : DEBOUTEILLER/de BOUTEILLER
      • Prénom : Marie Louise Eléonore
      • Qualité, veuf, métier : Peintre, célibataire
      • Adresse :[Rue] Bergère, n° 4
      • Date du décès : 23/06/1828
      • âge : 45 ans
      • Détail des biens immeubles : Achat d'un terrain, 03/07/1828, mobilier suivant état 605
      • Héritiers, témoins : DE BOUTEILLER Guillaume Louis Marie, son frère
      • Relevé effectué par : La France généalogique (CEGF) / Tables de successions (DQ8)












  • Marie Louise Eleonore de Bouteiller sur Geneanet, morte en 1828, fille de Guillaume Jacques de Bouteiller et de Marie-Louise Drouin de Champmorin, soeur de Guillaume Louis Marie de Bouteiller, mais mention d'une union avec un X de Saux (confusion avec sa nièce Henriette Browne ?)
    • source à trouver... acte de décès ?
  • Marie-Louise-Eléonore Bouteiller, figure aussi dans l'acte de baptême de son frère (dossier de l'Ordre de la Légion d'honneur)
famille

Julie Volpelière[modifier | modifier le code]

Biographie

Née à Marseille en 1783, Louise-Pauline-Julie Volpelière étudie la peinture à Paris dans les années 1800 auprès de Gioacchino Serangeli, élève de Jacques-Louis David d'origine italienne qui tient un atelier depuis 1805[29].

Bibliographie
  • (en) Margaret A. Oppenheimer, Women Artists in Paris: 1791-1814 (thèse de doctorat en histoire de l'art), New York, New York University, Institute of Fine Arts, (présentation en ligne).


enseignement

Bio[modifier | modifier le code]

  • rech. Mlle, mme, melle, mademoiselle Volpelière
  • Baptisée dans une commune des Bouches-du-Rhône en 1780 (repéré sur Filae, à consulter)
  • la naissance à Marseille en 1783 est déduite de son acte de décès
  • Acte de décès, vue 17/51 - morte le 7 novembre 1842 à son domicile du no 13, rue de la Grange-Batelière (ancien 2e arr.), artiste peintre, célibataire, dite née à Marseille et morte à l'âge de 59 ans. L'un des témoins de l'acte de décès : l'artiste peintre Jean Étienne Franklin Dubois (1796-1854), habitant no 15, rue de Berlin, ancien élève de JB Regnault, plusieurs fois candidat au prix de Rome
  • gabet et bellier parle salons de 1808 et 1810, rien trouvé ds base Salon... mais gagne un prix en 1810... à élucider

Notices bio[modifier | modifier le code]

  • Volpelière (Mlle. L.-P.-Julie) - Peintre d’histoire et de portraits, 12 rue Buffaut ; son atelier, 13 rue Grange-Batelière, née à Marseille, élève de Serangeli. Parmi les tabl. de cet artiste, qui ont figuré à toutes les exp. depuis 1808, nous citerons ; Un St. Martin, pour une église de Perpignan, Une annonciation ; Une Psyché ; Un Amour endormi, vendu à M. Égana, représentant du Chili à Londres ; enfin plusieurs autres qui ont été, pour la plupart ; vendus à l’étrangers ; quelques copies pour le Musée, commandées par le Gouv. Nous citerons en outre un grand nombre de portraits exposés au M. R., de 1808 à 1831, et les ouvrages suivants : En 1812, Une baigneuse. En 1814, Deux jeunes Calédoniennes arrêtées près du tombeau d’un guerrier. En 1819, Tête d’étude d’une jeune mendiante ; Virgile composant suisse. En 1824, Une jeune princesse de la Souabe donne le sein à l’enfant d’une mendiante qui allait périr. EN 1827, Un jeune berger. EN 1831, Une odalisque ; Deux jeunes filles, etc. Mlle. Volpelière a obtenu une méd. d’or à l’exposition de 1810. Elle tient un atelier de peinture à l’usage des demoiselles. (Dictionnaire des artistes de l’école française au XIX°siècle de Charles Gabet, 1834) via ici

Peintures[modifier | modifier le code]

copies
  • 20144790/95 ref - ref
    • 1841, 9 août : Attribution à l'église de Rumigny : Le père éternel et l'Esprist saint contemplant l'enfant Jésus,par Laynaud d'après Murillo. Attribution à la chapelle du collège royal d'Angers : La Vierge au chapelet, Mme Guichard d'après Murillo. Attribution à l'église de St Servan : Sainte Marguerite, Mlle Marcol d'après Raphaël. Attribution à l'église de Guise : La Ste famille, Mlle Volpelière d'après Raphaël. Attribution à l'église de Villers Cotterets : La Vierge au chapelet, Mlle Amic d'après Murillo. Attribution à l'église de Thoré : La Vierge au chapelet, Mlle Blesinska d'après Murillo. Attribution au monastère des Carmélites à Paris : La Vierge à la grappe, Mlle Sillans d'après Mignard. Attribution à la congrégation des filles de St Joseph au Vans : Le sauveur, Mme de Lernay d'après Murillo. Attribution à l'église de Chantelle : La Vierge au chapelet, Mlle Asselineau d'après Murillo. Attribution à l'église de Braisne : La Conception, Aubery d'après Murillo. 18 novembre 1839 - 23 août 1841. [13 p.]
    • 1843, 21 septembre : Attribution à l'église de Sénarpont d'une copie du tableau de Murillo représentant la Vierge au chapelet par Mlle Volpelière. 28 août - 21 septembre 1843. [5 p.]


clients
  • "enfin plusieurs autres [tableaux] qui ont été, pour la plupart ; vendus à l’étrangers" (Gabet)
    • Chili - J. Volpelière citée en 1889 parmi les artistes français présents dans des collections chiliennes[30]
      • Una aldeana Luisa [Une villageoise Louise ?], se trouvait dans la collection de l'écrivain et homme politique Carlos Bello (1815-1854), fils d'Andrés Bello, au moment de sa mort - acquis de sa succession en 1857 par Marcial González Ibieta (1819-1887), avocat et homme politique chilien[31]
      • Un Amour endormi, Mariano Egaña (1793–1846), alors représentant du Chili à Londres (Gabet)
  • Portrait de femme (es : Rto de señora), huile sur toile, 1,06 m x 0,89 m, signé et daté au milieu à gauche : J. Volpelière - 1829, collection de l'avocat, orfèvre et homme politique argentin Aristóbulo del Valle (1845-1896) (no 6199)[32]


Gravures / reproductions[modifier | modifier le code]

  • La Prière, d'après Mlle Volpelière, lithographie de Hippolyte-Louis Garnier (Guyot de la Fère, Annuaire des artistes français, 1834, p. 101 (notice sur Garnier)
  • La Toilette (Une Vénitienne) / Une Vénitienne à sa toilette ?, mezzotinto d'Hippolyte Garnier, 1838 - image
  • La Vénitienne et La Française par Hippolyte Garnier, 1836
  • Hippolyte Garnier dans Inventaire du fonds français après 1800 (graveur), avec les trois gravures de Garnier d'après Volpelière
  • ImofFr no. 22404. Bibliog. de la Fr., 28 janvier 1832, no. 66 -- Mélancolie, par {Auguste Bouquet}. -- La Prière, d'après {mademoiselle Volpelière}, par {H. Garnier}. Impr. lith. de {Delaunois}, à Paris. A Paris, chez {Ostervald aîné}, quai des Augustins, n. 37.
  • ImofFr no. 26111. Bibliog. de la Fr., 6 février 1836, no. 157 -- Une Française. -- Une Vénitienne : gravures en manière noire. A Paris, chez {Garnier}, quai Napoléon, n. 11.

Antoinette Béfort[modifier | modifier le code]

d:Q98686842 - commons

Antoinette Béfort, dite Mlle Béfort, est une artiste-peintre française active à Paris de 1810 à 1840. Spécialiste de la peinture d'histoire, elle expose au Salon de 1810 à 1819.

Biographie[modifier | modifier le code]

géné
autre
  • fait d'abord peinture d'histoire, genre le plus prestigieux, avant de se tourner plus tard vers le portrait, plus lucratif
  • médaille 2e classe, salon 1810
  • "Mle A. Saudelier de Befort désire copier de Poussin (3 septembre 1821). les Bergers d'Arcadie" ref
  • compte rendu du Salon de 1814 par Landon (Salon de 1814: recueil de pièces choisies parmi les ouvrages de peinture..., p. 98), mentionnant que deux des toiles de Béfort, Thésée et Thébaine, avaient déjà été présentés au Salon
  • copie 1821
  • refusé, 1837 et 1840
  • rech dans annuaires commerciaux
  • annonce de "Miss Beford" dans le Galignani's Messenger en 1824 ref
musique
adresses
Bandelier de Befort /Baudelier de Befort
  • BANDELIER-BÉFORT Antoine Pierre. 42 ans en l’an III, né à Paris (Seine). courtier de commerce à Paris. candidat comme agent de change à Paris, en l’an III. F/12/974 (n° 220) ref
  • MARRIED. Sept. 2, at-Paris, Alex Strachan, Esq; Assistant-Commissary-Generai, British Army, to Touine Hortense Frederic Marie Bandelier de Beford, youngest daughter of Antoine Pierre Bandelier de Befort, Esq. merchant, Paris. (London St James Chronicle And Evening Post (Newspaper Archives), September 14, 1815 Page 3) ref
  • faillite de Antoine Pierre Bandelier-Béfort en 1805*** (ERGERON, Louis. Banquiers, négociants et manufacturiers parisiens du Directoire à l’Empire, 1999) ref;
  • "En Allemagne, Jean Baptiste Olry succède, dans les fonctions de munitionnaire général, à la Cie Charpentier, société de négociants strasbourgeois auxquels il avait dès l’an VI commencé à se substituer29. Olry, installé à Paris depuis le Directoire, était aussi, depuis l’an VII, sous-traitant d’Ouvrard pour l’approvisionnement de la Marine30. Olry devait faire une longue carrière de fournisseur : en l’an X, associé à Joseph Bourdon et à Geoffroy Guyon (ce dernier ancien agent général des subsistances aux armées) il prendra l’entreprise des convois militaires, avec pour fondé de pouvoir le Parisien Bandelier-Béfort, négociant et gros propriétaire de biens nationaux31. L’entreprise fut prorogée en l’an XI, en 1806, 1808, 1810, 1811 — pour ce que l’on sait — en s’ouvrant à des commanditaires ; le capital était, à la fin de l’Empire, de 600 000 F32."[BERGERON, Louis. Banquiers, négociants et manufacturiers parisiens du Directoire à l’Empire, 1999) ref
  • "Jomard obtient la permission de se rendre à Londres du 1er mars à la fin avril 1815 pour exécuter des copies de manuscrits et des moulages des monuments égyptiens confisqués par les Anglais dont la célèbre pierre de Rosette. Il en profite pour rencontrer les savants qui s’occupent du déchiffrement des hiéroglyphes en Angleterre, ainsi que les libraires associés, Payne et Foss, qui essaient de placer les exemplaires de la première livraison provenant du négociant français à Londres Antoine-Pierre Bandelier de Befort qui a passé contrat en 1812 pour 30 exemplaires à placer dans ce pays et qui est en faillite" (ref
  • Mentionné ds Dictionnaire biographique des financiers en France au XVIIIe siècle, Volume 1 Google
  • Vente d'usines à Chantilly avec leur matériel, situées à la chute des Grandes écluses par Nicolas Marc, manufacturier, à Marie Louise Élisabeth Gauvain, épouse d'Antoine Pierre Baudelier-Befort, négociant. ref
  • Rachat de l'ancien hôtel de Villeroy, 1797, revente à Eugène de Beauharnais 1803 (hotel de Beauharnais) ref

Oeuvres[modifier | modifier le code]

  • 1814 (Salon, no 44) : Adieux d’Hector et d’Andromaque
  • 1817 (Salon, no 29) : Les Adieux d’Hector et d’Andromaque, sans doute déjà présenté en 1814
    • "Hector va prendre Astyanax dans ses bras ; mais l’enfant, effrayé de l’éclat des armes et du panache qui flotte sur le casque de son père, se rejète (sic) sur le sein de sa nourrice." (description du livret du Salon)
  • 1821 : copie de Les bergers d’Arcadie de Poussin (Sofio)
  • 1837 : portrait refusé
  • 1840 : portraits refusés
  • s.d. dessin, maison de Chateaubriand
  • s.d. Portrait du général Kensinger, secrétaire de S. M. le roi Charles X [personnage non identifié], huile sur toile, 27 x 21 cm, Nantes, musée Dobrée[34],[35]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Charles Gabet, « Béfort (Mlle) », dans Dictionnaire des artistes de l'École française au XIXe siècle, Paris, Madame Vergne, (lire en ligne), p. 39.


  • Séverine Sofio, L’art ne s’apprend pas aux dépens des mœurs ! : Construction du champ de l’art, genre et professionnalisation des artistes, 1789-1848 (thèse de doctorat en sociologie), Paris, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS), (lire en ligne).
  • (en) Margaret A. Oppenheimer, « Four « Davids », a « Regnault », and a « Girodet » Reattributed : Female Artists at the Paris Salons », Apollo, vol. 145, no 424,‎ , p. 38-44 (ISSN 0003-6536, résumé).
  • (en) « Béfort, Mlle », sur Database of Salon Artists (consulté le ).

Cesarine Davin-Mirvault[modifier | modifier le code]

  • Portrait de Bruni, Salon de 1804
    • "Après lui [Robert Lefèvre], vient Madame Davin-Mirvault. Le portrait de Bruni est d’une fermeté et d’une vigueur d’expression qui ressemblent plus à la touche d’un peintre d’histoire qu’à la grâce délicate d’un pinceau féminin." (Vivant Denon, "Notes sur le Salon de l’an XIII" adressées à Napoléon lire en ligne (Correspondance Vivant Denon, Editions de la Réunion des musées nationaux, Paris, 1999, Lettre n°AN24, fin septembre - octobre 1804, Archives nationales AF IV 1050 dr 1 n° 38, Denon)

Augustine Cochet (de Saint-Omer)[modifier | modifier le code]

  • d:Q21459178
  • * Annonce des scellés apposés le 20 avril 1811 "après le décès du sieur Cochet-Dehenne, md de Masques", rue St-Denis, no 97, 4e arrond. (Journal de Paris, 23 avril 1811, no 113, dernière page
  • Annonce dans L'Artiste, p. 80 (mars 1833 ? à confirmer) Sur Gallica
    • "Une dame artiste, Mlle Saint-Omer, dont plusieurs ouvrages sont exposés au Salon, est morte le mois dernier, laissant pour toute fortune à ses vieu parens malades ces ouvrages, dont l'un, quoique commandé, n'a cependant pas encore été payé. Nous appelons l'intérêt de toutes les personnes amies des arts sur la famille de Mlle Saint-Omer ; elles trouveront chez M. Cochet-Deherme, rue Furstemberg, no 8 bis, tous les renseignements propres à éclairer leurs intentions bienfaisantes."
  • annonce mort, Journal des artistes, fév 1833, p. 109 - ouverture du salon de 1833 - 1er mars ?
  • Recherches sur les peintres de la ville de Saint-Omer, p. 63 et suiv.
  • Gabet, Benezit
  • Intermédiaire des chercheurs et curieux
  • adresse en nov 1826 : rue du Carême-Prenant, no 18 (source : L. V., « Exposition de tableaux au profit des Grecs », Le Globe : journal littéraire, vol. 4, no 44,‎ 23 novembre 1826, p. 232)
  • Almanach 1820 (annoncée comme Augustine Cochet)
  • voir quand le changement de nom se produit ds les almanachs / annuaires
Mlle F…, artiste du théâtre de…, effrayée d'une balle entrée chez elle, Salon 1831
  • tableau ridiculisé par Jal, qui lui consacre un chapitre "Portrait d'une actrice anonyme" y revient p. 190 (aussi commentaire sur colonel Beauvais Poque et Fournier Pescay)
  • retiré du Salon par l'artiste (Landon) - commentaire sur la réputation de portraitiste bien établie de Mlle de Saint-Omer (comtesse Foy, dentiste Lemaire, général Quiroga, Fournier-Pescay)


  • Beauvais Poque (mort en 1873), Légion d'honneur bio
  • Gaubert, publié dans Les classiques de la table, 1843
Portrait des trois fils du Général Foy
Cérès, Salon de 1819
Clot Bey
famille

var Cochet de Henne



  • Maitron : COCHET Auguste, dit COCHET fils : Né vers 1810 à Paris, fabricant de meubles et de jouets d’enfants, demeurant 66, rue du Faubourg-Saint-Martin (Ve arr., maintenant IIIe). Auguste Cochet était membre de la Société des Droits de l’Homme (un Cochet fut commissaire de la SDH, mais dans le VIIe). Membre de la Société des Familles, inculpé d’association illicite et de fabrication de poudre, il comparut devant le tribunal de 1re instance et fut condamné le 11 avril 1836 à 15 jours de prison. Au mois d’août il comparut également au procès des poudres où il fut également condamné à 15 jours de prison le 13 août 1836. Il fut incarcéré à Sainte-Pélagie du 4 au 19 octobre 1836.



critiques
  • Salon 1827
    • Journal des artistes, 1er juillet 1827, p. 815 ici (no 170-171)
  • Alexandre Lenoir, "Des différens [sic] genres dans l'art de peindre (suite) : peintres d'histoire qui ont peint le portrait", Journal des artistes, 14 février 1830, p. 129-134 (ici p. 133) : "Mad. Saint-Omer", aux côtés d'Angélique Mongez et de Louise Hersent, est placée parmi les "femmes peintres" "qui ont traité le genre historique avec succès" et "ont produit des portraits qui sont dignes d'être mentionnés".
  • Salon de 1831
    • Leaves de Conches (pseud. de Félix-Sébastien Feuillet de Conches, "Lettres sur le Salon de 1831 - Deuxième lette à M. David Wilkie", L'Artiste, 28 mai 1831, 1re série, tome 1, p. 213-217, ici p. 216 : "Deux dames se sont présentées aussi comme peintres habiles de portraits, mademoiselle Saint-Omer, dont la touche est naturelle et simple, et madame Haudebourt-Lescot, dont le pinceau, devenu en quelque sorte caressant et tendre, pour nous rendre les traits de l'une des plus belles personnes de la capitale, est, malgré son talent, restée si loin de son modèle."

X

Mme G. Busset / Brusset-Dubruste / C. Dubrusle[modifier | modifier le code]

Mme G. Busset
  • d:Q95657764
  • miniaturiste, morte en 1819
  • https://www.ader-paris.fr/lot/77369/6341748?npp=20&
  • aussi auteure de modèle de gravures
  • Deux épreuves des planches suivantes La Tricoteuse, la bordeuse, la Graveuse et la Coeffeuse, les deux premières dessinées par {Mme. Busset}, gravées par {Duthé}, les deux autres dessinées par la même, gravées par {Parf. Angrand}. [Déposant] {Tessari}, 1810 ref
Mme G. Brusset-Dubruste / Busset Dubruste
C. Dubrusle

Aimée Duvivier[modifier | modifier le code]

Aimée Duvivier, filiation à corriger

Bio[modifier | modifier le code]

  • Annuaire des lettre, 1846-1847 ici
  • Expo sur les femmes peintres, mention Vivier et mémoire ds la famille (L'Art et les artistes)


géné alternative - La Rochelle
  • extrait cat musée Nancy : L'attribution traditionnelle de cette copie à Aimée Duvivier est donnée par l'inscription au verso. La donation de Carcy comporte deux autres oeuvres de cette artiste. Fille d'un officier de La Rochelle et élève ...
  • cousine de Louis Elie Vivier 1742-..., lié à Lavoisier
  • Mlle Charlotte - Aimée du Vivier , née à Saint - Domingue , fille de Joseph du Vivier , capitaine d ' artillerie à Plaisance ici
  • Secours aux colons et réfugiés de Saint-Domingueici
    • "DUVIVIER (Joseph Gayétan) né vers 1737 ; décédé en juin 1808. colon réfugié de Saint-Domingue."
    • "DUVIVIER (Catherine Charlotte) née le 1er mars 1766, à Saint- Domingue. colon réfugié de Saint-Domingue. F/12/2792. "
    • DUVIVIER (Pierre Louis Joseph) né vers 1750. colon réfugié de Saint-Domingue. F/12/2792
    • Dossiers : Catherine Charlotte, Joseph Gayétan, Pierre Louis Joseph
  • Acte de décès du 7 avril 1854 de Catherine-Charlotte Duvivier, rentière, âgée de 88 ans, célibataire, née à Saint-Domingue (Haïti), décédée à Paris en son domicile rue de la Ferme des Mathurins, 22, hier à 3h et demie du soir [i.e. morte 6 avril 1854]. Acte de décès dressé le 7 avril 1854, 1er arr. Acte de décès reconstitué, vue 41/51
    • tiré d'un acte de notoriété du 19 avril 1854 du notaire Guyon, (prédécesseur du notaire Octave-François Trousselle (étude XXII) [Guyon, Louis; dates :27/11/1839-15/02/1862] - mention dans son répertoire, 1854, vue 10
Base Repairs
Réparations, compensations et indemnités au titre de l'esclavage
  • fiche Denis-César-Gaëtan-Joseph DUVIVIER - Denis-César-Gaëtan-Joseph DUVIVIER est déclaré.e comme « ancien propriétaire » dans la source « État détaillé des liquidations » de l’indemnité de Saint Domingue.
  • fiche Catherine-Charlotte-Aimée DUVIVIER - Catherine-Charlotte-Aimée DUVIVIER aurait reçu 5850.00F en tant que seule héritière de(s) l'ancien(s) propriétaire(s).
  • Titre 51913 : N° ordre d'état de paiement : 7363; N° ordre général d'enregistrement de la réclamation : 2667 ; Valeur du titre : 5850; Date des décisions : 14/11/1830; Date d'envoi des états de paiement : 01/12/1831; (Registre : V; Localisation : Haïti Saint-Domingue; Page recueil : 184; Numéro de paroisse : 18; Nom de paroisse : Plaisance et Pilate; type de bien : Caféterie, Plaisance et Pilate;
    • Catherine-Charlotte-Aimée DUVIVIER, seule héritière de son père, Denis-César-Gaëtan-Joseph DUVIVIER, ancien propriétaire. indemnité : 5850 F
    • source
sur son père, Denis - César - Gaëtan - Joseph Vivier dit Du Vivier
  • No Héraldique et Genealogie établissant la filiation : Geneanet Premium, à copier
    • p. 320 arrière-grand-père (Daniel Vivier, dit Du Vivier (1654-1691), avocat au présidial de Saintes) et grand-père (Daniel Vivier, officier d'infanterie actif en 1746),
    • 331, père, mère, etc
    • 358 filiation arrière-grand-père
  • "Daniel et Gédéon Vivier, officiers d'infanterie, fils et héritiers de Jeanne Bion, leur mère, reprenant l' instance par" source (filiation grand-père)
  • arrière-grand-père

Expositions / oeuvres[modifier | modifier le code]

  • 1786 - expo de la Jeunesse
  • 1787 - expo de la Jeunesse
  • 1791, Exposition chez Lebrun (Mademoiselle DU VIVIER)[36].
    • Portrait de Madame de R*** ; de 4 pieds 2 pouces de haut, sur 3 pieds de large. (no 20)
    • Étude d’une figure de femme vue par le dos : de 2 pieds, 3 pouces de haut, sur 1 pied 2 pouces de large. (no 21)
    • Étude d’une figure de femme vue de face, de 2 pieds 3 pouces de haut, sur # pied 2 pouces de large. (no 21 bis)
    • Portrait de M. B***; ovale de 1 pied 9 pouces sur 1 pied et demi. (no 22)



  • [
  • Le Courrier de La Rochelle, délibérations municipales de La Rochelle de 1800 et 1820 à propos de Mlle Duvivier et de tableaux - père alternatif proposé

Iconographie[modifier | modifier le code]

  • Ricourt, sculpteur (habitant rue Poissonnière) Portrait de Mademoiselle Duvivier, Peintre, bas-relief en cire, de 6 pouces de diamètre, exposé à l'exposition chez Lebrun, 1791 (no 115)[37].

Soeurs Guéret[modifier | modifier le code]

Camille Eude(s)[modifier | modifier le code]

Expo
  • Salon Valenciennes, 1838 : Lucas et Sylvie (no 250, sous le nom Camille Eude) Lucas, derrière un épais feuillage admire Sylvie qui en l'attendant lui fait un bouquet
  • Paris, Salon, 1838, Femme d'Alger
  • Cambrai, 1838, Le Bon ménage (no 71) (ref Les élèves d'Ingres : Montauban, Musée Ingres, 8 octobre 1999-2 janvier 2000, Besançon, Musée des beaux-arts et d'archéologie, 29 janvier-8 mai 2000 [expo], Montauban : Musée Ingres, 1999, isbn 290140538X, p. 93) ici
  • Orléans, 1839 (voir repro gravure plus haut), commentaire
    • Le Malade imaginaire (rep)
    • Le Repas en commun
  • Amiens, 1839 source
    • Un Condamné
    • [Un Ermite]
autres
  • tombe pere-Lachaise ici
  • vérifier état-civil reconstitué
  • Acte de décès : Mort de Madeleine Victoire Camille Eudes, 17 mai 1840, ancien 10e arr Décès, V3E/D 535, fiche 28/51 - acte de décès 31/50
  • naissance à Caen
  • Mme Vve Eudes propose pour le musée du Louvre un tableau de sa belle-sœur Camille Eudes, élève de M. Steuben, représentant une femme algérienne, exposé au Salon de 1838 ; 1883, 11 octobre-1884, 28 août.[5p.] (15 octobre 1883) ref
  • Almanach-botton du commerce de Paris ici
  • Notice des tableaux composant le musée de Caen (Camilles Eudes, née à Caen, morte récemment)
  • mort annoncée
    • Le Haro : national normand, 28 mai 1840, p. 2 ici, trouver le passage
      • « Mlle Camille Eudes, artiste peintre de notre ville, vient de mourir à Paris, à l'âge de 30 ans. Une maladie qui n'a pas duré plus de trois jours, vient d'enlever aux arts un talent de plus. Mlle Eudes a laissé de bons ouvrages. Nous ne doutons pas que nos administrateurs ne fassent tous leurs efforts pour se procurer quelques-unes des productions d'une enfant du pays, dont le mérite était bien reconnu dans le monde artistique. »


    • Journal des artistes, 24 mai 1840, passage à trouver ici
suicide
  • de:Jules Holzapffel, autre artiste s'étant suicidé après refus au Salon en 1866 - Zola écrit sur cette mort (rech avec Jules Holtzapfel)

Romany[modifier | modifier le code]



  • portraits de famille vendus chez Christie's (Amélie-Justine Pontois et cie]



  • Doyle 2003 (Portrait d'une jeune personne tenant une corbeille de fleurs, salon 1802, selon siefar)
Zoé Prévost
  • Portrait de Mlle Prévost, de l'Opéra Comique, dans le rôle de Léona, de «Masaniello ou le Pêcheur napolitain» au Magnin, d'après Siefar
portraits comédiens
plusieurs copies du portrait de Vestris
1er portrait Duchesnois à Valenciennes


  • image Portrait de femme en buste - Adèle Romany - huile sur toile, 76 x 62 cm, vers 1794-1797 - Musée Jacquemart-André (Paris)


Illustratrice
  • p. 461 : [Après la mort de Jean-Baptiste Pierre Le Brun, le 7 août 1812,] Étienne Vigée [qui logeait chez son beau-frère à l'hôtel Le Brun] s'installe au 27, rue du Mont-Blanc, "tout près de la demeure du peintre Adèle de Romany, qui illustre certains de ses ouvrages(66)".
    • p. 614 note 66 : "Au 42, rue du Mont-Blanc. La Tendresse filiale et Mes Conventions sont ornées de gravures d'après cette artiste. [Elle] a réalisé un portrait d'Étienne (1800, collection Oetker, ex-Colnaghi)" [et aussi de l'épouse de ce dernier]
      • source : Geneviève Haroche-Bouzinac, Louise Élisabeth Vigée Le Brun : Histoire d'un regard, Flammarion, 2011, p. 461 et 614, note 66.
  • Frontispice gravé par Delvaux d'après Romany, Mes Conventions, 1800-1801

Mme Desperrières / Desperiers, etc[modifier | modifier le code]

  • d:Q99205557
  • "Bruneau [ Mathurin Bruneau, prétendant Louis XVII] compte parmi ses adhérents [...] Mme Desperrières, peintre, dont le portrait le plus connu est précisément celui de la duchesse d'Angoulême." (Hélène Becquet, Louis XVII, chap 6 - Les faux Louis XVII, section "Des fidèles royalistes et catholiques")
    • énumération de royalistes parmi partisans des faux Louis XVII

Angélique-Louise Verrier-Maillard[modifier | modifier le code]


  • Margaret Oppenheimer, Séverine Sofio



Mlle Verrier


  • "On est donc en présence d ' un véritable spectacle , presque d ' une fête publique , avec l ' importance soulignée par tous les journalistes de la présence du sexe faible parmi les exposants . Ainsi , Le Mercure , en 1780 , cite neuf femmes , Mlle Verrier , Mlle Alexandre , Mlle Rosemond , élèves de Mme Guyard , Mlle Bernard..." ref, Peindre à Paris au XVIIIe siècle, 1991, p. 153 (vérifier source)

Salon de la Correspondance, 1785

Salons


oeuvres

Julie Ribault[modifier | modifier le code]

Julie Ribault
Biographie
Naissance
Décès
Voir et modifier les données sur Wikidata (à 96 ans)
ParisVoir et modifier les données sur Wikidata
Sépulture
Nom de naissance
Marie Julie RibaultVoir et modifier les données sur Wikidata
Nationalité
Activités
Période d'activité
à partir de Voir et modifier les données sur Wikidata
Autres informations
Date de baptême
Maître

Julie Ribault, née à Fresnay-sur-Sarthe en 1789 et morte après 1851, est une peintre, graveuse et illustratrice française de la première moitié du XIXe siècle.

  • rech aussi Julie Ribaut (ex Oeuvres de Mme de Souza)
  • illustrations des Oeuvres complètes de Mme de Souza, 1821-1822 notice Bnf, une gravure par tome
  • élève de Louis Lafitte
  • Son nom de famille et ses liens subséquents avec Louis Lafitte suggère un possible lien de famille avec Jean-François Ribault
  • victime d'une tentative de meurtre en 1850
    • récit confrontation avec meurtrier
    • récit procès Gazette des Tribunaux
    • couverture de l'affaire par Le Constitutionnel : résumé 2 janvier 1851 - procès avec témoignage mlle Ribault - suite du procès : verdict - mot-clé Lafourcade, année 1851 - idem Ribault
    • Graveur Charles-Victor Normand, né 1814, témoin au procès
    • Julie Ribault travaille pour le Courrier des Dames depuis 1820-21
    • rech "Madame Ribault" pour les compte-rendu ds la presse anglophone
    • sommaire de la veuve Guillotine :
      • Jean-Pierre Lafourcade - Verdict 9 avril 1851 - Guillotiné le 15 mai 1851 - 44 ans, porteur de journaux. Bat violemment à coups de pied et de poing le 31 décembre 1850 au 1, rue Bourbon-le-Château, Mlle Ribault, artiste dessinateur, 64 ans, et sa demoiselle de compagnie, Mlle Lebel, 72 ans, cette dernière, étranglée, ne survivant pas à l'agression. Lafourcade venait tous les deux mois livrer les émoluments de Mlle Ribault qui fournissait des dessins de mode aux rédactions des journaux pour lesquels il travaillait : en mars 1850, il avait falsifié les reçus pour détourner l'argent, et fin décembre, allait se retrouver inévitablement démasqué. Reprenant brièvement conscience après l'agression, Mlle Ribault écrit avec son sang sur le mur : "L'assassin, c'est le comis (sic) de M. Thierry." Devait être jugé le 31 mars, mais son avocat étant absent pour cause de maladie, le procès est repoussé. -
  • Gabet
  • gravures - Journal des Demoiselles
  • images des planches de mode du Journal des Demoiselles sur Polona via OCLC


  • "Frenchwoman Julie Ribault ( born 1789 ) who engraved pages for the Journaux des modes , the Petit courier des dames and the Mercure des salons , in other words , a forerunner of the modern fashion designer ." (Edith Krull, Women in Art, p. 52 ref


Salons
  • 1810 : Offrande à Esculape (no 673) - rue de l’Abbaye, n° 1, faubourg Saint-Germain ref


Piron
  • Chefs-d'oeuvre de peinture des musées d'Italie, de Flandre, de Hollande, de France et d'Angleterre [Texte imprimé] : recueil de gravures au burin avec notices (trouver gravure dans recueil sur Gallica notice BnF
Charles Normand
  • ImofFr no. 23577. Bibliog. de la Fr., 8 juin 1833, no. 345 -- Arrivée du conseil municipal de la ville de Paris au palais de la Bourse, le 4 novembre 1826, pour l'inauguration de ce palais ; gravure sur acier, d'après Julie Ribault, par Normand fils. Planche pour l'ouvrage intitulé : Guide du négociant, de l'artiste, etc., dans le palais de la Bourse, par A. Grégoire. A Paris, chez l'auteur, faubourg St-Martin, n. 41.
Racine dans son ménage
Quête au bal
La Religion descend sur la terre


Salon 1835
  • critique Landon ("Mlle RIBAULT , dont les dessins et la gravure . des costumes insérés dans le Petit Courrier des Dames absorbent tous les loisirs , a trouvé le tems cependant d'exécuter deux jolis tableaux de chevalet" (dont une mère malade)
Courrier des dames

Jenny Legrand[modifier | modifier le code]

Amable (Aimable) Lebot / Le Bot / Mme Lazaras[modifier | modifier le code]

  • Gabrielle Aimée Lebot, née en 1797 ds une commune de La Manche (pas Saint-Lô) filae
  • mère Anne Dubos, née à Saint-Lô, fille de feu Philippe Dubos et Marie Dufour, morte 5 fév 1813 à 45 ans, inhumée à Saint-Lô acte inhumation FamilySearch : Registres paroissiaux de Notre-Dame (St-Lô, Manche)
  • Aimée Le Bot envoie Paroles d'une croyante à divers personnalités, Mme Récamier, Lamartine et Balzac
    • Balzac (Honoré de Balzac (éditeurs : Roger Pierrot et Hervé Yon), Correspondance, vol. I : 1809-1835, Gallimard, Bibliothèque de la Pléiade (n° 528), 2006, p. 1033 (lettre 34-142 - lettre de remerciement de Balzac à Le Bot)
    • Paroles d'un croyant de Lamennais paraît le 30 avril 1834. Paroles d'une croyante est liste dans la Bibliographie de la France du 5 juillet 1834 (23e année - 37e de la collection), no 27, item 3706 ici - paraît chez Gaume Frères et chez Dentu.




Numéro de Matricule 4 Nom LEBOT Prénoms Gabriel Prénoms père Antoine Prénoms mère Françoise Nom mère DUBOSQUE Lieu de naissance Saint-Lo Département de naissance Manche Date de naissance 25 décembre 1790 Cote / Source SDH/GR 20 YC 140 Note 1er régiment d'éclaireurs, attaché au régiment de grenadiers à cheval, 27 décembre 1813-27 mai 1814 (matricules : 1 à 506). Numéro de page 5



mort


  • Sofio, base Salon



litho
  • portrait du général Colettis ref
  • L'anxiété maternelle ref - image Lithographie en couleur par E. de Barescut après Lebot..
  • Le petit espiègle - La petite espiègle, 1833 ref s.d. d'après peintures présentées au Salon de 1831
  • Portrait de David, d'après [File:Jérôme-Martin Langlois - Portrait of Jacques-Louis David - WGA12462.jpg Jérôme-Martin Langlois], 1827


peinture
demande de commande d'État en février 1828
  • Sofio
  • avec Aimée Pagès, avec qui elle partageait le même atelier
  • copies des échanges A. Le Bot et Pagès, Aimée
écrits
Bio
  • Lazaras, Relation d'un voyage médical en Suisse et en Italie ; par M. le Docteur Lazaras, 1836 ici - ici
  • ici
  • rech Lazaras ici
  • [Lettre datée de Livourne, 2 sept. 1835] "M. le docteur Lazaras, connu en France par ses écrits scientifiques et une mission qu’il a honorablement remplie dans la Bourgogne, lorsqu'il y fut envoyé par le gouvernement lors du choléra en 1832, est parti de Florence, où il était de passage avec sa femme, pour aller donner ses soins aux malheureux abandonnés par la crainte de la contagion." ("Nouvelles du choléra-morbus", Gazette des hôpitaux civils et militaires (Lancette française), tome IX, 15 sept 1835, p. 440)

Estelle-Félicité-Marie de Barescut[modifier | modifier le code]

Estelle de Barescut, morte après 1851, est une peintre et une lithographe française.


  • expose des litho au Salon sous le nom E. de B... ou Mlle de B... avant d'exposer des tableaux sous son vrai nom



Jenny Thorel (Legué-Larivière) (1800-1885)[modifier | modifier le code]

Soeurs Colin[modifier | modifier le code]

Caroline Delestre, Delestres, Delaitre[modifier | modifier le code]

Portrait de femme jouant de la harpe[38]

d:Q98915403 - commons:Category:Caroline Delestres

  • Oppenheimer*** (morte après 1822 - Delaitre)
  • Sofio



  • Portrait de la citoyenne B*** et de ses deux enfans, Salon de 1796 (no 117) - Citoyenne Delestres (Caroline) - cour du Louvre, au rez-de-chaussée
    • critique Salon 1796 (Mercure français) : "Celui [Le portrait] de la citoyenne Delêstre est blanc, trop blanc : les deux enfans ne sont pas d'une belle nature, et les draperies de la mere sentent trop le manequin"
  • Un tableau de famille, Salon 1800 (Supplément, 709) - Delestres (Caroline) - maison d’Angiviliers, rue de l’Oratoire


notices
autres
  • Procès-verbaux du Comité d'instruction publique de la Convention nationale, séance du 4 novembre 1794, p. 202-203
    • "La citoyenne Delestre, artiste, logée au Louvre, a été délogée; le motif de cette opération est le placement de papiers de divers dépôts. Cette disposition est abusive, en ce qu'elle contrarierait la première destination du Louvre, bien plus grande, bien autrement digne de la représentation nationale. Le Louvre doit être le dépôt des chefs-d'œuvre des arts et offrir des logements aux grands artistes. Ces considérations déterminent le Comité à charger le citoyen Lakanal de se concerter avec le Comité des décrets, pour présenter à la Convention les avantages d'une telle disposition, et pour lui proposer un projet de décret qui la maintienne. La réclamation de la citoyenne Delestre sera jugée par ce projet de décret."
  • DELESTRE (Caroline), peintre, auparavant logée maison de Nesle à loger à la maison d'Angiviller: 13 ventôse an VII index
  • Inventaire sommaire des Archives de la Seine: Partie municipale. Période révolutionnaire (1789 - an VIII) Fonds de l'administration générale de la Commune et de ses subdivisions territoriales, p. 207
    • "la citoyenne Delestre, artiste, volée par ses élèves (2e décade de mess, an VII)." [déb juillet 1799]
identifications rejetées

Angélique ou Julie Papavoine[modifier | modifier le code]

  • graveuse française du 18e s - prénom variant selon sources, Angélique ou Julie
  • d:Q105336085


ico à récupérer en urgence


oeuvres

Maria Schalcken[modifier | modifier le code]

d:Q15133172 - commons:Category:Maria Schalcken - de:Maria Schalcken (seul article wiki avec contenu original)

Louise Adélaïde Desnos[modifier | modifier le code]

  • à étoffer


à importer sur Commons
Le Denier de la veuve, salon 1840



  • Bibliothèque-musée de l'Opéra
    • Marie Battu, 1860, huile sur toile, 73 x 59,5 cm, MUSEE-648 notice BNF
    • Signé et daté au milieu à gauche : "Louise Desnos // à ses bons amis Battu // souvenir du 12 janvier // 1860". - Portrait en buste, légèrement de trois quarts, le visage de face. La chanteuse est représentée avec une guirlande de fleurs dans les cheveux et tenant un bouquet de violettes dans les mains
    • Marie Battu, 1877, huile sur toile, 81 x 54,5 cm, MUSEE-568 notice BNF
reproductions, gravures, etc.
  • Espérance et regrets, deux tableaux exposés au Salon de 1836, no 534
    • avant ses deux tableaux, Desnos n'avait présenté que des portraits aux précédents Salon (source Revue des peintres, 1837, 29e livraison, p. 18
    • Desnos reçoit une médaille au Salon de 1835 (source Revue des peintres, 1837, 29e livraison, p. 18
    • Espoir, lithographié par M. Lion d'après un tableau de "Madame L. Desnos, Revue des peintres, 1837, 29e livraison, planche 141
      • description : Le fond du tableau représente un salon. A gauche, une grande porte-fenêtre s’ouvre sur une terrasse; à droite, est un piano et plus en avant une chiffonnière sur laquelle est posée une robe d’enfant. Deux jeunes époux sont assis l’un près de l’autre dans une causeuse. La jeune femme tient sur sa main un petit bonnet destiné à l’enfant dont tous les deux attendent la naissance prochaine. Le mari, un bras passé sur l’épaule de sa femme, contemple avec intérêt ce qui sera la première parure de son premier enfant p. 17) (description seulement).
    • Regrets, lithographié par M. Lion d'après un tableau de "Madame L. Desnos, Revue des peintres, 1837, 29e livraison, planche 141
      • description : La scène se passe le matin, dans une chambre a coucher. Au fond, à droite, un guéridon sur lequel se trouve une lampe qui brûle encore ; plus loin, un lit resté inoccupé depuis plusieurs jours ; à gauche, au fond, un berceau vide ; plus en avant et du même côté, une cheminée, et dessus, quelques vases dans lesquels étaient contenus d’impuissans et inutiles remèdes. Les deux époux sont encore assis l'un près de l'autre, la femme appuyée sur l'épaule de son mari qui tient dans la main le moule en plâtre d'un enfant nouveau né. Tous deux ont leurs regards tristement attachés sur ce dernier souvenir de l'enfant qu'ils ont perdu. p. 17-18) (description seulement)


élèves

Eugénie Hautier[modifier | modifier le code]

Élisabeth-Sophie Chéron[modifier | modifier le code]

  • Elena Taddia, [https://journals.openedition.org/crcv/13864 « Une teste de cire anatomique : Un sculpteur à la cour : Gaetano Giulio Zumbo, céroplaste, de la Sicile à Paris (1701) », Bulletin du Centre de recherche du château de Versailles, 2016

Eugénie Servières[modifier | modifier le code]

  • Giuseppe Primoli, Une nièce de l'Empereur : Charlotte Bonaparte fille de Lucien, Napoléon. Revue des Etudes Napoléoniennes", marzo-aprile 1925, p. 97-132. [Correspondance de "Lolotte" avec ses Parens. Mars-Mai 1810) Gallica (voir si mention du portrait d'Alexandrine et Anna)


  • dame de compagnie de l'épouse de Lucien Bonaparte
  • "Hagar in the Desert. Madame Servieres is Sister to the celebrated La Thiere, and the Figure in this Picture is her Portrait" - vente du prince de Canino, 1816 : Getty Provenance Index
  • Malek Adel, Salon de 1812; version datée 1822 et Salon 1822, France, collect. part. p. 1461 (Vivant Denon, directeur des musées sous le Consulat et l'Empire - correspondance, 1802-1815 · Volume 2)
  • 3e tableau sur Mathilde de Cottin : "Après la mort de Malek-Adhel, Mathilde se retira dans un couvent du mont Carmel, où étaient déposés les restes de son époux, et y prit le voile. Un jour, d’une terrasse du monastère, elle apperçut dans la vaste mer un vaisseau qui partait pour l’Europe, emportant ses parents, ses amis : elle restait seule dans l’Orient, sans famille, sans liens. Le coeur de la vierge s'oppressa, et il s'en échappa un regret ; mais ses yeux s'élevèrent vers le ciel, retombèrent sur les cendres de son époux, et ce regret fut le dernier." (Peut-être le tableau Prayer for sailors passé en vente dans les années 1990 ?)


portraits d'elle et son mari par Wicar, musée Napoléon de Rome
  • Joseph Servière, 1810, MN 7668 43
  • Joseph Servière, 1799-1800, MN 6674 5 bis
  • Joseph Servière, 1810, MN 7668 31
  • Eugénie-Marguente-Honorée Charen MN 7668 32 - détails
    • "La peintre amateur Eugénie-Marguente-Honorée Charen Lethière, élève de Guillaume Guillon-Lethière (ami de Wicar et directeur de la Villa Médicis entre 1807 et 1816), est née à Paris en 1786. Elle épousa Joseph Servière en 1806, Corte dei conti , avec qui il eut un fils en 1817 (nous en avons un portrait dans l'album, inv. MN 7668/31). La famille faisait partie de l'entourage de Luciano a Canino, à partir de 1809. La Servière, peintre de portraits, de genres, de paysages, d'histoire, exposé au Salon entre 1808 et 1817. G. Gorgone (voir bibliographie) il se souvient d'un portrait de Le père Maurizio; à l'époque, il était situé dans une salle du château de Musignano à côté de l'un des Ingres du Dr Defrance. Le peintre a ensuite peint, en 1810, un portrait d'Alexandrine avec Anna, qui a été apporté de Campi à Paris par Lolotte. Selon Beaucamp (voir bibliographie), les portraits du couple Serviére étaient dus à l'amitié entre Wicar et Guillon-Lethière, puisque la femme avait pratiquement été adoptée par lui." (avec bio)
  • Luciano Bonaparte con i familiari a bordo della fregata inglese "Le Président" (11 dicembre 1810)


Bio



  • Agar, possible autoportrait d'Eugénie, coll de Lucien Bonaparte
    • catalogue à Londres 1816 et ici
    • "HISTORIQUE Servieres.- Hagar in the Desert » , non vendu ; 1816 , 14-16 mai , Londres , vente Lucien Bonaparte , no 17 : « SERVIERES . Hagar in the Desert . Madame Servieres is Sister to the celebrated La Thiere , and the Figure in this picture is her Portrait , on canvass , 4 feet" ref
    • [181 ) Eugène Marguerite Honorée Servières Lethière Hagar nel deserto tela , cm 139 , 78 X 188 , 08 ubicazione sconosciuta La pittrice fu allieva di Lethière , ed espose ai Salons del 1808 e 1824 . Il dipinto è noto solo grazie ai due cataloghi ref
  • "de son regretté docteur Defrance ; elle avait suspendu cette peinture près de la cheminée , en pendant à la toile où sa dama di corte , Mme Servières ( 2 ) avait représenté le Barde , reconnaissable à son fameux nez et à son habit monacal" ref
  • Portraits by Ingres famille Lethières, mariage 1799, etc
  • https://gw.geneanet.org/janssenmartine?lang=en&pz=robert+gilles+raymond&nz=janssen&p=guillaume+guillon&n=guillon+lethiere
  • autre portrait de Mme Lethieres par Ingres, Fogg museum
  • [
bio
oeuvres
  • Olivier Bonfait « Images pour le Grand Tour : motifs pittoresques ou représentations ? Le peuple romain au temps des Lumières », dans Emilie Beck-Saeillo et Jean-Noël Bret (éd.), Le grand Tour et l’Académie de France à Rome , Paris, 2018, p. 213-233, 2018 en ligne : p. 227 : vue romaine présentée au Salon de 1812 après son séjour en Italie
  • Malek Adhel, Salon 1812, no 845, acheté par l'impératrice pour 2000 francs ici, p. 404
  • Mathilde aux pieds du Christ, romance inspirée de son tableau; paroles de Joseph Servières reproduit ds les Almanachs, mélodie de Victor Charles Paul Dourlen source
expo
critique


Portrait Caroline Paillet, Salon 1833
Portrait de Mme Lethière


ico potentielle

Rosalie Grossard[modifier | modifier le code]

  • ici V3E/D 686, 2 sur 51, Anne Rosalie Grossard, morte 1844 (est-ce elle ?) (aussi une Rosalie Grossart morte en 1846)
  • Inventaire après décès de Marie-Josèphe-Rosalie Grossard, épouse de Pierre-Antoine-Théodore Nattier, rue de Turgot, n° 21. - 3 décembre 1846 ici
  • touche des secours en 1841
  • "recommandation en faveur de Melle Rosalie Grossard, peintre" , 1826 ref

Julie Forestier[modifier | modifier le code]

  • "offre d'un tableau d'autel par Julie Forestier" (au gouv.) ref
  • "offre d'acquisition d'une étude de Nattier pour le portrait de Marie Lessinaka proposée par Melle Julie Forestier ;" (même source)
  • "offre d'une copie d'un Raphaël ("Sainte Famille") par Melle Forestier ;" (idem)
  • "3440. Vierge avec l'Enfant Jésus, toile de 80 sur 100 cent., copie inachevée de la Vierge de Tolino de Raphaël, exécutée par Ingres pendant son premier séjour à Rome après obtention du grand prix. Expédiée, peu de temps après son arrivée, à mademoiselle Forestier, peintre, morte à Choisy-le-Roi, et qu'Ingres courtisait alors, cette copie a été vendue après v la mort de mademoiselle Forestier, qui n'avait jamais voulu se dessaisir d'un souvenir auquel elle attachait un très-grand prix." source
  • "1853, 3 août : Legs de deux tableaux par Mlle Forestier une copie de « La Sainte Famille » de Raphaël par elle-même et le « portrait de Mme Sallé » sa grand-mère par M. Boizot ; 1853, 16 juillet-3 août.[4p.]" source


  • Minerve déesse de la sagesse et des Beaux-Arts, unissant leurs divers attributs, les enlace d’une guirlande de lauriers dont elle serre le nœud, Salon de 1804, serait un autoportrait source
  • Sofio, Oppenheimer, Davidiennes ?
  • Les élèves d'Ingres: Montauban, Musée Ingres, 8 octobre 1999-2 janvier 2000, Besançon, Musée des beaux-arts et d'archéologie, 29 janvier-8 mai 2000, p. 101
  • sa mère, fille de Jacques-Antoine Sallé (1712-1778) avocat et jurisconsulte ref
  • elle compose en 1814 la musique d'une romance, sur des paroles de C. Debusnes, "premier commis à la direction générale des Musées de France", destinée à célébrée le retour de la duchesse d'Angoulême et est dédiée à cette dernière (lien à établir avec la gravure de la duchesse d'Angoulême par Forestier, publiée la même année ?
ico à télécharger

Henriette Lorimier[modifier | modifier le code]

  • "1853, 19 juillet : Mlle Henriette de Lorimier offre le « Portrait de M. Pouqueville » pour le musée du Luxembourg, et propose à l'acquisition un tableau représentant « La reconnaissance de la mère et de l'enfant envers la nourrice » pendant de celui acheté par la Princesse Murat, Reine de Naples « La chèvre nourrice d'un enfant » ; Acceptation du « Portrait de Pouqueville » pour les Galeries de Versailles et refus du second tableau ; Mlle de Lorimier accuse réception de la réponse de M. de Nieuwerkerke ; 1853, 19 juillet- 1854, 4 août.[5p.]" source
  • La famille Boulard de Pouqueville, histoire de la famille de Pouqueville, place et rôle d'Henriette Lorimier (dot des nièces et du neveu...) - lien archivé
  • Pouqueville jeune


  • Chèvre nourrice : acheté par Caroline Murat
    • Paysages, vedute et tableaux troubadour dans les collections de Caroline Murat, reine de Naples (1808-1815) (sur le sort de cette collection de façon générale] (pas mention Lorimier ou Lescot)
    • Lorimier passe à Léopold de Bourbon, prince de Salerne
    • "Jeune femme faisant allaiter son enfant par une chèvre. Charmante composition par Mlle Lorimier, n° 310. / Ce tableau est parfait pour l’expression, pour l’harmonie et pour l’originalité que l’artiste y a déployées. Si Mademoiselle Lorimier conserve ces précieuses qualités et qu’elle prenne un peu de hardiesse, si la première fois qu’elle exposera au Salon elle y apporte un ou deux ouvrages qui tien nent ce que promet celui-ci, elle sera comptée au nombre des artistes qui feront honneur à l’école." (Vivant Denon, "Notes sur le Salon de l’an XIII" adressées à Napoléon lire en ligne (Correspondance Vivant Denon, Editions de la Réunion des musées nationaux, Paris, 1999, Lettre n°AN24, fin septembre - octobre 1804, Archives nationales AF IV 1050 dr 1 n° 38, Denon)
    • Catalogue de la tres belle et tres celébre galerie de tableaux et de la collection d'antiquités de feu S.A.R. le Prince de Salerne : dont la vente aura lieu à Naples, au Palais des Etudes, le lundi 19 avril 1852, et jours suivants, Naples: Impr. Trani, 1852 notice - en ligne
      • p. 27, no 133 : [Lorimier (M.lle) Une mere qui manquant de lait donne à son enfant une chèvre pour nourrice. Toile. Haut. 7-5/10 (7 pieds 5/10) larg. 6-3/10 (6 pieds 3/10) notice Worldcat
Étienne-François, chevalier de Lorimier

Hortense Haudebourt-Lescot[modifier | modifier le code]




  • représentée ds La course des Barbieri d'Horace Vernet ref
  • Jean-Philippe Garric, "Faire école ou la réalité d'un maître", introduction à *L'Ecole de Percier*, Jean-Philippe Garric et Marie-Laure Crosnier Leconte, Paris, Mare Martin, 2017, p. 11-46
    • "Dans le même ordre d’idée, le cas de Louis Pierre Haudebourt illustre une carrière parisienne presque dépourvue de réalisa- tion remarquable. S’il avait échoué à se hisser jusqu’au degré ultime du Prix de Rome, il n’était pourtant pas le premier venu, ayant manifesté des ambitions théo- riques ou culturelles en publiant en 1818 avec Suÿs une monographie consacrée aux palais Massimi37, ouvrage qui s’inscrit dans la continuité directe des recueils d’Italie de Percier et Fontaine, puis en 1838 un livre personnel proposant une restitution de la villa de Pline.38 [Fig. 11] Son œuvre bâti comprend peu d’édi- fices publics, mais il put concevoir le théâtre de Montmartre [Fig. 12-13] qui représente bien cette catégorie d’édifices moyens, ni monument de premier plan, ni construction vraiment courante, qui exprime à la fois la qualité d’une culture classique et une retenue dans l’expression motivée aussi bien par des raisons d’éco- nomie que par un souci de convenance ; un théâtre à Montmartre ne pouvant prétendre au décorum que le même programme aurait nécessité dans une situation urbaine plus centrale. Le plan de cet édifice est un simple rectangle de dix-sept mètres par trente-trois. Extérieurement, c’est une boîte avec pour toute recherche architecturale un corps central en saillie sur la façade principale, couronné d’un fronton et percé au premier étage d’une triple arcature, loin des réflexions et des références sophistiquées que l’architecte mobilise et développe pour imaginer et restituer graphiquement la maison de campagne du Laurentin." (p. 24-25) pdf source


  • L'atelier d'un peintre de Marceline Desbordes-Valmore
élèves
clients, collectionneurs, etc.
nécro et notices bio
  • épitaphe, Bulletin de la Société de l'histoire de l'art français, 1877,
oeuvres
  • Le journal Gilblas (1829-1831) bnf utilise comme logo la reproduction de l'une de ses peintures de Gil Blas / Gilblas ici
iconographie

Charles X distribuant des récompenses...[modifier | modifier le code]

commons

  • video explicative avec identification des femmes, expo Peintres femmes ici
  • croquis préparatoires Carnavalet

Category:Jacques François Delyen[modifier | modifier le code]

commons:Category:Jacques François Delyen

No 22 - p42

Jacques françois deLyen Gand 1684 – Paris 1761 Autoportrait Self Portrait Huile sur toile. Trace de signature sur le rebord de pierre. Oil on canvas. Traces of a signature on the stone edge. 46 x 37,3 cm. Encadré. 18 1/8 x 14 11/16 in. Framed. Jacques-François Delyen, artiste originaire de Gand et reçu à l’Académie royale de peinture et de sculpture comme peintre de portrait en 1725, semble avoir réalisé son effigie à de nombreuses reprises. Parmi les nombreux exemples, les plus proches sont celui de la galerie Michel Descours de Lyon, dans lequel le peintre désigne une de ses peintures allégoriques représentant la Paix et l’Abondance ainsi que celui passé en vente chez Sotheby’s le 26 juin 2014 dans lequel l’artiste pointe du doigt un portrait, comme dans le nôtre. Ces œuvres dans lesquelles il se présente avec humour et bonhommie furent probablement conçues comme un moyen d’autopromotion. Malheureusement, alors qu’il avait été collectionné et soutenu par de grandes personnalités du monde de l’art, parmi lesquelles Lalive de Jully, Vien et Cochin, Delyen ne connut pas le succès et mourut pauvre. Jacques-François Deylen was born in Gand and received into the Académie Royale de Peinture et de Sculpture as a portrait painter in 1725. He seems to have painted his likeness many times. Amongst numerous examples, the closest to the present work are the one in the Galerie Michel Descours, in Lyon in which the painter points at one of his allegorical pictures showing Peace and Abundance, and another one, appeared in a Sotheby’s sale on 26 June 2014, in which the artist points his finger at a portrait, like here. These works in which he represented himself with a great sense of humour probably were conceived as a kind of works for self- promotion. Unfortunately, although his works were collected and he enjoyed the support of some important figures of the art world (Lalive de Jully, Vien, Cochin), Delyen did not achieve success and died poor.

J. F. Delyen, Autoportrait, galerie Michel Descours, Lyon. J. F. Delyen, Autoportrait, Sotheby’s, Paris, 26 juin 2014, lot 56


Pauline Auzou[modifier | modifier le code]

bio
  • Mercure de France, Salon de 1796 (Philis présentée au père de Daphnis, Alcibiade), critique femmes artistes, Auzou, Bouliar, Benoist, Fanny Ferrey, Caroline Delestres, Nanine Vallain (Pietre)
  • Portrait du général et baron Vasserot, Salon de 1814 ici, identifié dans la nécro d'Auzou
gravures à récupérer vite
  • contexte des lithos de 1817 - dëbut de la litho en France
    • "À partir de 1816-1817 paraissent les premières lithographies artistiques sortant des ateliers Engelmann et Lasteyrie qui deviennent, dès les années suivantes, très célèbres et marquent les débuts effectifs de cet art en France et en Europe." source
  • contexte : se consacre à son atelier
  • Engelmann déposant 4 gravures en 1817

source



gravures
  • Inventaire du fonds français
  • J. J. Avril, Graveur d'Histoire, 1810, d'apr. Mme Auzou.
  • Augrand : 1, Daphnis présente Philis à son Père; — 2, Daphnis chez la Mère de Philis; — 3, Daphnis trouve Philis auprès de la Fontaine; — 4, Reproches de Daphnis et de Philis, 4 pl. chez Tessari, 1817, d'apr. Mme Auzou.
  • Elle s'est intéressée, comme tant d'autres, aux débuts de la lithographie. D'où, la suite de têtes ci-dessous cataloguée.
    • La Colombe, impr. Engelmann, vers 1817. AA 3.
    • Même suite : Erigone; — Philis; — Iris; — L'Amour; — La Tristesse; — La Candeur; — La Livonienne. S. n. r.
critiques
liste d'oeuvres
  • Alcibiade et Timandra, huile sur toile, Hauteur, 38 pouces ; largeur, 30 (Salon 1796), puis collection de Marie-Antoine Didot, dit Didot de Saint Marc (sa vente Paris, 1796 Dec 27, item no 1 : Alcibiade vainqueur aux jeux olympiques, chante ses victoires à la courtisanne Tymandra, qui, ivre d'amour, le couronne de myrte.)
  • Bains de Luxeuil, acquis par la Société des amis des arts source
  • Portrait du jeune comte Byerzynski polonais, Portrait de la soeur du comte Byerzynski (Salon de 1810) peut-être Stanislas Bierzynski, mentionné dans l'Almanach 1810 source - en lien avec le portrait d'un musicien du Currier museum, daté 1809 ?
historiographie
atelier/élèves
  • a un atelier depuis une vingtaine d'années (Gabet, 1831)
  • Têtes d'études de 1817 pour ses élèves
famille
  • "The business in the premises at the rue d’Anjou passed at veuve Mitoire’s death in 1781 to a certain “La Chapelle”, and in 1794 adopted the name La Chapelle et Auzou (Grand-Carteret 1913, who however offers no biographical information on the new proprietors). We here identify the new owner as Antoine-François Chapelle or Lachapelle, papetier. On 6.x.1790, in Paris, Saint-Jean-en-Grève, he married (as his second wife) a Jeanne-Marie-Victoire Desmarquest. They adopted and brought up her cousin Jeanne-Marie-Catherine Desmarquest (1775–1835); on 9.xii.1793 she married the papetier Charles-Marie Auzou and became known as the painter Pauline Auzou" Jeffares
  • Carteret avec ico et ici (Auzou)
  • ico - cartes d'adresse : veuve Mitoire - La Chapelle 1 - La Chapelle 2 (La Chapelle, dit successeur et beau-frère de la veuve Mitoire)
  • "Adresse illustrée d'un médaillon figurant une colombe, et description de l'activité de La Chapelle, marchand papetier privilégié de la cour A l'ordre du ... marchande papetier A l'ordre du Saint-Esprit, rue d'Anjou" - résultats indexation Paris Musées

+ mariage des parents

nus masculins / formation

Constance Charpentier[modifier | modifier le code]

  • [ballstate.dom5183.com:8080/objects-1/info/11552?query=keywordPath%20%3D%20%22XJ%22%20and%20Period%20%3D%20%22Neoclassical%22&sort=0&page=2 buste par Joseph Chinard] - Christie's
  • Académie d'homme acquise par Stockholm

Catherine Duchemin[modifier | modifier le code]

Catherine Girardon / Duchemin

ico à télécharger

Catherine Perrot[modifier | modifier le code]

2e édition du traité

  • 1re édition sur Gallica


Sophie Regnault, née Meyer[modifier | modifier le code]

  • J.-B. Chaussard: ‘Notice historique sur Regnault, peintre d’histoire’, Le Pausanias français (1806) ici; repr. in Revue universelle, A. (1862), pp. 196–207, ici p. 206 ici : "Leur mère est artiste et peint le portrait à l'huile ; elle reçoit dans son atelier de jeunes demoiselles, dont quelques-unes sont déjà aussi célèbres que les élèves de M. Regnault : il suffira de citer mesdemoiselles Lorimier, madame Auzou, madame Romany."
  • "It is interesting that the many female pupils of Jean-Baptiste Regnault were almost never accused of aping their master's manner. He had the knack of drawing out his students' individuality, nurturing the talents of artists as various in style as Adele de Romance, Pauline Auzou, and Elisabeth-Henriette-Marthe Lorimier. Regnault had a studio for women pupils supervised by his wife Sophie, where thirty to forty women from fourteen to twenty-five years old were studying at the period of the Revolution.27 Sophie-Clemence Delacazette saved up enough money to enroll there by teaching drawing and music at a school for girls.28 A girl who frequented Regnault's atelier at the period reported that the students attended daily, for seven to eight hours.29 Several other women's studios were in operation by the first years of the Restoration, each supervised by a woman who served as chaperone to the students so that their mothers did not need to stay with them.(Oppenheimer, p. 40-41)
    • 27 : The extent of Regnault's activity as a teacher is suggested by the fact that nineteen of his women students exhibited at the Salons of 1791 to 1814, against ten women students of Augustin, seven of David, and five of Suvee.
    • 28 Mme Delville-Cordier, "Notice biographique sur Sophie Clemence Lacazette. 11 unpublished manuscript, n.p.
    • 29 : 29Albertine Clement-Hemery, Souvenirs de 1793 et 1794 (Cambrai: Les Presses de Lesne-Daloin, 1832), 4.
    • 30 : Francois-Louis Bruel, "Girodet et les dames Robert," Bulletin de la Societe de l'Histoire de l'Art Francais (1912), 82.
  • Elle devient membre le de la Commune générale des arts, organisation qui remplace l'Académie royale de peinture, aux côtés de Jacques Antoine Vallin et de nombreuses autres femmes artistes, dont Sophie et Félicité Laborey, Louise Weyler[41] et Marie-Sophie Coutouly[42],[43].
  • Le portrait de ma femme qui est chez moi et qui fait pendant au mien [i.e. fig. 6] je le donne à mon fils aîné ( i.e. Antoine-Louis ) , J'ai déjà donné à Francesco (i.e. Jean-François) un petit portrait de ma femme, le portrait qui est dans mon atellier appartiendra à mon fils Charles. ... Mes fils s'arrangeront pour ne vendre ni le portrait de ma femme peint par elle-même, ni celui d'elle peint par Mlle Laurimier... (extrait testament JB Regnault, cité par Sells, A portrait of Jean-Baptiste Regnault)

Marie-Maximilienne de Silvestre[modifier | modifier le code]

d:Q33954524 - commons - en:Marie-Maximilienne de Silvestre

  • Fürstenbildnisse in der Residenz in München résumé) : Dans le Cabinet Puille et les Chambres de porcelaine de la Résidence de Munich se trouvent dix-huit portraits au pastel, dans des médaillons ovales, dont les problèmes d'attribution n'ont pas été, jusqu'à présent, clarifiés. Cinq portraits de princesses de Braunschweig-Lüneburg, Braunschweig-Wolfenbüttel, de Modène et de Pfalz-Zweibrücken sont de la main de Rosalba, Carriera et ont été exécutés entre 1723 et 1731. Les treize autres, figurant des membres de la cour de Saxe, dont de nombreux enfants, sont des oeuvres de Marie Catherine de Silvestre, femme du peintre de cour Louis de Silvestre, et de sa fille Marie Maximilienne de Silvestre, entre 1740 et 1742 (portraits attribués à Maximilienne par l'auteur ds Jeffares)
  • "une demoiselle Silvestre, maîtresse à dessiner de Mme la Dauphine, venue de Dresde après cette princesse et qui passe pour la gouverner" (marquis d'Argenson, Mémoires, note du 3 août 1752) cité ici
biblio
  • "Les Femmes Artistes, Suzanne de Silvestre et Marie de Silvestre", L'Artiste, juillet 1870, p. 12-41 ref
  • Marillier, H. C. (1932). Marie de Silvestre. The Burlington Magazine for Connoisseurs, 61(352), 45-46. jstor
oeuvres

voir aussi les oeuvres attribuées à ses parents

  • Copie de L'entrevue de Neuhaus de Louis de Silvestre, collection particulière, présenté à l'exposition Sur les traces de Xavier de Saxe. (1730-1806). Un prince européen en Champagne, Bibliothèque universitaire Robert de Sorbon, Reims, 31 mars - 14 juin 2010[44]

https://www.univ-reims.fr/site/gallery_files/site/1/1697/20119/20141/20146/20147.pdf

iconographie
généalogies

Marie-Adelaide Landragin (Durieux / Duvieux)[modifier | modifier le code]

  • d:Q104197260
  • sans doute ici Marie Eléonore Adélaïde Landragin, fille Jean Louis Landragin et Marie Françoise Deschamps ép Paris 27 Février 1794 (9 ventose an 2) Julien Louis Duvieux
  • relevés : ici; ici - ici - ici
parente de Louis-Pierre Landragin

ici

Louise-Adéone Drölling[modifier | modifier le code]

Marie-Amélie Cogniet[modifier | modifier le code]


Atala Stamaty / Varcollier[modifier | modifier le code]

  • Kergall Atala : Atala Stamaty, filleule de Chateaubriand et élève d'Ingres, bulletin de la Société Chateaubriand, n°I (années 1955-1957), p. 27-28
  • Plessier Ghislaine : Atala Stamaty, filleule de Chateaubriand et élève d'Ingres, bulletin de la Société Chateaubriand, XXXVI (année 1993), p. 51-58 :
    • Premier enfant de Constantin Stamaty (1761-1817), consul de France à Civita Vecchia, Atala naquit à Rome le 11 août 1803 et fut baptisée en l’église San Lorenzo in Lucina ; elle eut pour marraine Pauline de Beaumont et pour parrain Chateaubriand (alors premier secrétaire de légation auprès du cardinal Fesch), pour lequel son père éprouvait une grande admiration : c’est en hommage à l’écrivain que la petite fille reçut le prénom d’Atala. Elle passa toute sa jeunesse à Rome, où elle apprit le dessin et la peinture avec Ingres. En 1819, elle épousa Michel-Augustin Varcollier, qui occupera la charge de Directeur des Beaux-Arts de la Ville de Paris entre 1831 et 1853.En 1820, elle suivit son mari en France. Elle débuta à Paris une carrière de portraitiste qu’elle cessa à la mort de son fils aîné, Oscar, en 1846. Elle mourut le 5 septembre 1885

Marie Victoire Jaquotot[modifier | modifier le code]

Marie-Anne Pierrette Paulze / Lavoisier[modifier | modifier le code]

Marie-Anne Pierrette Paulze

images à importer sur Commons
analyse MET portrait Lavoisier

X

Marie-Éléonore Godefroid[modifier | modifier le code]

  • Une erreur d'attribution, portrait de Tommaso Sgricci par Godefroid, attribué à François Gérard depuis le début du 20e s.
    • Expliqué par Sofio ici : Jean-Marie Guillouët, Caroline A. Jones, Pierre-Michel Menger et Séverine Sofio, « Enquête sur l’atelier : histoire, fonctions, transformations », Perspective. Actualité en histoire de l’art, no 1,‎ , p. 27–42 (ISSN 1777-7852, DOI 10.4000/perspective.4314, lire en ligne, consulté le ) : "Les binômes d’artistes (je préfère « binôme », plus neutre que le mot « couple ») qui ont travaillé longtemps côte à côte constituent à cet égard un sujet d’étude passionnant, dont l’un des résultats concrets peut être la réattribution de tableaux, dans la mesure où, sans surprise, de nombreuses œuvres sont aujourd’hui faussement attribuées au plus célèbre des deux membres du binôme. Dans celui que formaient Marie-Éléonore Godefroid et François Pascal Simon Gérard dit le baron Gérard, par exemple, on peut supposer sans risque de se tromper que plusieurs toiles de Godefroid passent aujourd’hui pour des Gérard, à l’instar du Portrait de Tommaso Sgricci peint et exposé par Godefroid au Salon de 1824, qui est actuellement attribué à Gérard (1824, Modène, Museo civico di storia e arte medievale et moderna)." (la version pdf a aussi une photo)
    • base Salons - Salon de 1824, no 784
    • nombreuses lettres Gérard-Sgricci laissant clairement comprendre que ce portrait est de Godefroid
    • le portrait sur Commons avec l'attribution à Gérard, aussi sur sites commerciaux
    • le musée, Museo civico di storia e arte medievale et moderna, Modena, ne semble plus exister (ou être très obscur...)
    • serait plutôt Arezzo - Museo Nazionale d'Arte Medievale e Moderna ici ici ref ici
  • dès 1838
  • Eudora Roland, fille de Mme Roland, est confiée par Bosc à Mme Godefroid (mère d'Éléonore), devenue maîtresse de pension après la mort de son mari en 1788. Eléonore demeurera la meilleure amie d'Eudora toute sa vie et fera plusieurs portraits de sa famille. Voir Les maîtresses de pension à l’époque de George Sand : tradition, identité, expériences pour le contexte


  • défense de la mémoire de Gérard
  • Between the Public and Private: Women's Networks and the Politics of Portraiture at Napoleon's Court these *** nouvelles attributions
Joseph Ferdinand François Godefroy de Veaux
gravures
  • Bibliog. de la Fr., 5 janvier 1822, no. 3 -- Camille Jordan, membre de la chambre des députés, mort le 19 mai 1821 ; gravé au burin d'après Mlle Godefroi. A Paris, chez H. Ch. Muller, rue du Cloître-Saint-Benoît, n. 1.
  • Bibliog. de la Fr., 1 février 1840, no. 172 -- Mme Barbier Walbonne, élève de Garat, par J. Godefroy (grav. au pointillé). A Paris, chez Mlle Godefroy, rue Royale, n. 4.
  • Bibliog. de la Fr., 6 août 1853, no. 1327 -- Oeuvre de François Gérard : Joseph reconnu par ses frères, grav. au trait par Ed. Rosotte. -- Bajazet (acte II), idem par Mme Godefroid. -- Hylas et la nymphe. -- Galathée. -- Achille (mort de Patrocle), idem par Ch. Bazin. Imp. lithog. de Drouard, à Paris. ETUDES
  • Bibliog. de la Fr., 29 juillet 1854, no. 2780 -- La bataille d'Austerlitz, eau-forte, par E. Rosotte, d'ap. un dessin de Mlle Godefroid sur le tableau de Gérard. Imp. lithog. de Drouart, éditeur à Paris. SUJETS HISTORIQUES
  • Bibliog. de la Fr., 7 juin 1856, no. 1208 -- Paillet (Alphonse-Gabriel-Victor), bâtonnier de l'ordre des avocats de Paris, gravé par C. V. Normand, d'après Mlle Godefroy. Imp. lith. de Drouart, à Paris. PORTRAITS
    • Publié entre autres dans Paillet, Plaidoyers et discours, Partie 1, 1881 ici - dispo sur Commons
  • Bibliog. de la Fr., 20 juin 1857, no. 1257 -- Gérard (le baron François), gravé par C. V. Normand, d'après Mlle Godefroid. Paris, imp. en taille-douce {Drouard}. PORTRAITS
erreur d'attribution

Bitter, peintre[modifier | modifier le code]

  • T. B. Bitter
  • Acte de décès de Pierre-Louis Bitter, Condé-Sainte-Libiaire, 21 juin 1832, apparaît comme propriétaire
    • Archives départementales de Seine-et-Marne, Condé-Sainte-Libiaire, Naissances, mariages, décès, 1831-1840, 5MI2901, acte de décès du 21 juin 1832, no 29, vue 31/151
  • mentionné comme peintre dans l'acte de mariage de sa fille avec Hugues Bouffé
  • Acte de décès de sa fille, Alphonsine Marie Bitter, 20 janvier 1892, Paris, 16e arrondissement, acte no 120; morte le 19 janvier 1892
  • plusieurs peintures achetées par la Société des amis des arts (faire rech. avec ce terme + Bitter)


cartes provenant de sa vente après-décès

Truchot, peintre[modifier | modifier le code]

  • L'album, annonce voyage en Angleterre et mort
  • Société des Trente (voir Miroir des spectacles, 9 mai 1821)
Atelier de Truchot
  • peinture de Jules Alexandre Monthelier exp au Salon de 1822 (1re partic. Au Salon de l'auteur - du vivant de Truchot, puis au Salon de 1824 : Sur le chevalet est placé le tableau non achevé représentant le mont St-Michel, dernière production de ce jeune artiste. (aussi exposé àce Salon Gabet pour expo aux 2 salons
  • description cat duc d'Orléans (Vatout - desc - Henri Truchot - Isabeau
  • peinture acquise par duc d'Orléans


Isabeau
Galerie lithographiée du duc d'Orléans
  • sur Hathi Trust
  • Atelier de Truchot ico + notice bio (même que celle de la duchesse de Berry)
Schroth, Giroux
Société des amis des arts


dépouillement
  • Galerie lithographiée de son altesse royale monseigneur le duc d'Orléans, dédiée a son altesse royale madame la duchesse d'Orléans, 1824
    • aussi dispo sur Hathi Trust (meilleures images pour l'ico ?)
    • liste des planches (fin du vol. 1)
    • vol. 1 (commence par le portrait de la duchesse d'Orléans)
    • vol. 2 (commence par le portrait du duc d'Orléans)
      • Atelier de Truchot +Notice biographique de Truchot par Monthelier (ressemble à celle de Bonnemaison dans la galerie de la duchesse de Berry] "C'est an moment de ce succès que Truchot, atteint, depuis plus d'une armée, d une maladie de poitrine, qui s'était déclarée à l'issue d'un voyage en Angleterre, fut enlevé, dans la fleur de son âge, a ses nombreux amis et aux admirateurs de son grand talent. Il est mort le 18 août 1822 à son atelier, rue de Bellefond, à Paris."****
        • description de la litho, variant du tableau qui montrait le mont saint-Michel (exposé au Salon de 1824 avec la vue de l'atelier (voir livret salon 1824) : "On y voit ce peintre occupé à peindre le Convoi d'Isabeau de Bavière, son dernier et son plus beau tableau."
  • autres productions sur la Galerie du duc d'Orléans

Marie-Guillemine Benoist[modifier | modifier le code]


  • Mme Benoist graveur
  • signe pétition 1791 p. 106, Opoenheimer, p. 14
  • membre commune des arts (oppenheimer)
  • notice d7 Dictionnaire universel de Michaud
  • rech.avec Madame ou Mme Benoit + peintre ou Larrey
  • File:Madame Philippe Panon Desbassayns de Richemont (Jeanne Eglé Mourgue, 1778–1855) and Her Son, Eugène (1800–1859) MET DT1995.jpg, notice Oursel - autres versions
  • At least two copies of this portrait are presently with descendents of the sitter. One, which has a pendant representing the husband and does not include the child, is with Comte Yorick de Beauregard, château du Deffend, Montravers (France). The other is with the Comtesse d'Hauteville, château de la Brosse, Saint-Laurent en Gâtine (France). A third portrait, also without the child, was with the Comtesse de Cheyron de Pavillon, née Madeleine Desbassayns de Richemont, in 1982 (see color photograph in Paintings Department archives); it is attributed by family tradition to Mme Benoist. A fourth copy is in the Imperial Suite of the Hôtel Ritz, Paris. Two other copies do include the child: one was reproduced hanging in a private house in Lorraine [see Ref. Longnon and Huard, French Provincial Furniture, 1927]; the other, apparently by a later hand, was in the possession of Hazlitt, Gooden & Fox, London, in 1978 (photo in Paintings Department archives). source
    • chercher "Madame de Richemont et sa fille" + David pour ico du début du siècle - dont L’Illustration, 1923 n°4213 (1er décembre) Hors-texte remmargés [avec Vestris de Romany en couverture]
  • Notice ds Biographie bretonne - on la dit née à Nantes
  • portrait de Mme Maret : Marie Madeleine Maret, née Lejéas, épouse de Hugues-Bernard Maret, futur duc de Bessano (Lévy p. 116-117)
  • "Donné par son Altesse Impériale Madame la Grande Duchesse de Toscane à Madame Benoist" - Duchesse de Toscane a Madame Benoist - voir ici


  • "L.A., 29 septembre [1824], Lettre de MGB à son fils Denis Benoist, chez M. Brierre à sa terre d'Azy près Nevers; 3 pages in-8, adresse (portrait gravé joint). Belle lettre sur l'entrée à Paris du nouveau Roi Charles X. [Mme Benoist est l'auteur du magnifique Portrait d'une négresse (Salon de 1810) du Musée du Louvre.] Rare. Elle lui reproche de ne pas lui écrire suffisamment: «Méchant Denis [...] vous ne me dites rien de mon Paul, du chéri petit garçon qui me manque, et que je cherche partout, vous ne me parlés pas du tout car vous ne m'écrivés pas une ligne? Je suis très en colère?»... Elle donne des nouvelles familiales, parle de démarches auprès de M. de Rivière. Elle raconte l'entrée de Charles X à Paris, sous la pluie: «le roi a été adorable et ce qui nous affligeait a été fort bien pris celui là ne craint pas la pluie les cris ont été à rendre sourd et le roi répétait on en fait trop je sui trop ému». Elle a vu cette entrée avec Amy Brown, «amie» du duc de Berry: «elle était là avec ses filles elle a du être charmante». Elle a consulté son médecin le Dr Double qui l'a trouvée mieux... Etc" - pas d'image - source Vente Paris, Drouot (Daguerre , Thierry Desbenoit), 27 Février 2014, lot 1


rel. avec David d'Angers
  • Patrick Le Nouëne, "Pierre-Vincent Benoist et son épouse, Marie-Guillemine Laville-Leroulx, protecteurs de Pierre-Jean David (dit David d’Angers)" ref
  • lettre
  • ici
portraits de Napoléon / usage pour attaquer le mari
  • Brest
    • "M. le Dr Lagriffe communique un imprimé relatant l'installation à Brest , en 1807. d'un portrait de l'Empereur commandé par la municipalité à une artiste de Paris , Mme Benoist . La cérémonie fut splendide et l'enthousiasme populaire ne laissa rien à désirer." ici ici
    • Vers du Mercure de France
  • Gand ici
  • Angers inauguration - idem
  • BENOIST (Marie Guilhelmine), Portrait de Bonaparte en habit de consul, vers 1800. Médaillon en grisaille grandeur nature. B. Institut. Fonds Larrey. Objet 163. Au mur dans la salle de lecture, à droite en entrant ref***
    • portrait en grisaille de Napoléon par Benoist offert par Larrey en 1861 ici - ici - ici
  • "Enfin, un don tout particulièrement illustre l’intrication matrimoniale des milieux artistique et médical au XIXe siècle. L’impressionnante Épidémie d’Espagne, due à José Aparicio, est donnée à l’Académie par l’intermédiaire d’Hippolyte Larrey, au nom de sa cousine Marie Félicité vicomtesse de Manneville. Cette dernière est la petite-fille de la célèbre peintre Marie-Guillemine Benoist de qui elle tient le tableau quand son cousin Hippolyte est le fils de Marie-Élisabeth Laville-Leroux, sœur de Marie-Guillemine, et de Dominique-Jean Larrey." (Académie de médecine) source


  • Bélisaire et l'enfant à mi-corps
    • "Ce Bélisaire et l'enfant renvoie aux études préparatoires pour la composition définitive. David lui-même mentionne qu'il a réalisé à Rome Bélisaire et l'enfant demandant l'aumône, vus à mi-corps, étude préparatoire. Deux versions en sont actuellement connues : une rapportée à Paris par David en 1780 et aujourd'hui à l'étranger (Sotheby's,Londres, 21 juin 1983, n°19, repr., 64 x 77 cm) et celle, datée de 1779, qui a été récemment exposée au Musée Jacquemart-André, à Paris (cf. Jacques-Louis David (1748-1825) , cat. n°17, p. 64, 43 x 55 cm)." un autre ici
portraits de Marie-Guillemine Benoist


  • rel avec Natalie Kourakine
  • commons:Category:Natalia Ivanovna Kurakina (Golovina)
  • amie de Elisabeth Vigée-Lebrun
  • nombreux passages significatifs sur les Benoist dans son journal
  • Marie-Guillemine grave en 1818 le portrait de Natalie fait par Vigée-Lebrun
  • "16. PRINCESS NATALIA IVANOVNA KOURAKINE, née Princess Golovine (1768-1831) . Painting.
    • Wife of Prince Alexey Kourakin (Cat. 51). Talented musician and singer. Had a salon in Paris in 1815 and left an interesting diary. Close friend and correspondent of Mme Vigée-Lebrun. Listed as "Princesse Alexey Kurakin and her husband" (who was portrayed separately). No descriptions or reproductions to trace, but in her Diary, written in French and published by Prince Th. A. Kourakin in 1903, the Princess states that her portrait by Mme Vigée-Lebrun had been engraved by the artist's pupil Emilie Benoist (1767-1826) in 1818." source (Gazette des Beaux Arts 1967, p. 105)
  • Devi︠a︡tnadt︠s︡atyĭ vi︠e︡k: Souvenirs des voyages de la princesse Natalie Kourakine; Paris, Vienne, Carlsbad, etc., 1816-1830 ( rech avec Benoist)***


portrait du dauphin*****
Bellamy
  • MGB a-t-elle illustré d'autres oeuvres de son époux ?
    • Maria, ou le malheur d'être femme
  • voir ici - ici - Bellot - Célestin Port
Exposition des femmes peintres du XVIIIe siècle (1926)
de M. de Briche] et Mme de Briche (ces deux derniers seraient Alexis Janvier de La Live de La Briche 1735-1785 et Adélaïde Edmée Prévost 1755-1844, selon Reuter p. 264 (à voir) (les 2 autres oeuvres exposées sont L'Innocence entre le vice et la vertu et Portrait d'une femme noire)


  • Benoist étudiant le nu ?
    • "He made his comments in the course of reviewing history paintings by Marie-Guihelmine Laville de Laroulx (later Mme Benoist), a student of David, and portraits by Rose Ducreux, pupil of her portraitist-father Joseph Ducreux.32 The implication is that the two women were among those attending the anatomy sessions." Oppenheimer
  • prix / récompenses
    • In September 1795, Adélaïde Labille-Guiard and Marie-Guillelmine Benoist received two of the encouragements for artists offered by the National Convention, winning prizes of 3000 and 1500 livres, respectively. (Source : Mercure de France, September 1795, 336) Oppenheimer
    • "In the 1790s alone, four women artists obtained state-supported lodgings at the Louvre, a highly desirable benefit." (Adélaïde Labille-Guiard (by 1795), Marie-Guillelmine Benoist (by 1795), Caroline Delestre (by 1794), and Marie-Geneviève Bouliar (by 1797). Oppenheimer


  • La Revue hebdomadaire, images d'oeuvres NB de MGB, pour la plupart identiques à Ballot, sauf un croquis d'Ariane (ico) - accompagne Souvenirs d'une arrière-grand-mère de Cochin
logement et atelier au Louvre
  • "Nous apprenons d'une part qu'il [l'Institut] va être mis en possession de la vaste salle de la Marine, emplacement où il pourra, s'il le juge à propos, placer convenablement sa bibliothèque. Nous avons de même su que vous veniez de lui faire céder une partie du logement dont jouissait la citoyenne Benoist, que vous prêtez provisoirement à cette citoyenne l'attelier du citoyen Hacquin, lequel jouira aussi provisoirement de celui du citoyen Girault, peintre absent." (source : Alexandre Lenoir : son journal et le Musée des monuments français, p. XLI



  • Salon 1812, no 45 - Plusieurs portraits, même numéro
    • Selon le registres des ouvrages du Salon de 1812, no 430, image 43/62 ici, deux portraits deux femmes, dont l'un coiffé d'un turban
    • "Mad. Benoist a encore au Salon (...) deux portraits en buste dignes de la réputation qu’elle s’est acquise depuis long-temps, particulièrement dans le genre du portrait." (M. B. [Boutard, Baron Jean-Baptiste]: "BEAUX-ARTS, Salon de 1812, No. XIII, Mad. Benoist, MM. Ducis, Peyron, de l’Ecluse, Delaval, Monnanteuil", in: Journal de l’Empire, 4 janvier 1813, p. 1–4, ici p. 1–2:
    • l'un d'eux serait un portrait de Mme de Vins, d'après une lettre de l'artiste (Reuter, p. 300, no 75)

Marie-Élisabeth Laville-Leroux[modifier | modifier le code]

oeuvre localisée
  • Salon de 1791
    • Artemise (no 94 - Entrée de la Galerie, à droite) réf
      • critique des Lettres analitiques, critiques et philosophiques, sur les tableaux du Sallon (Philippe Chéry), p. 44 (404) : "94. Une tête d'Artémise qui fut exposée à la place Dauphine en l'année 1787. Qu'alors on dit être faite par M. David & retouchée par Mlle. Laville, cette personne passe pour être jolie, j'aime fort les jolies femmes, ainsi que vous savez, mais lorsqu'elles s'occupent plutôt à laver leurs chausses, qu'à faire de la peinture."

Rosalie Caron[modifier | modifier le code]

Lucile Foullon-Vachot[modifier | modifier le code]

  • div en 1798-1799 (filae)
  • mort d'un Martin Vachot, 19 juin 1845, Paris (acte reconstitué, vérifier si le bon)
  • Martin Vachot x Marie Foulon - publication de bans, Tulle, 1793, archives de Corrèze (filae)


relevé coll Geneanet premium Lieu : Paris Bureau : 8e Arrondissements (anciens) : Ier et IIe Patronyme : FOULLON/FOUILLON Prénom : Marie Lucile Eugénie Qualité, veuf, métier : Epouse divorcée de VACHOT Martin Adresse : Rue Saint Honoré, n° 28 Date du décès : 04/06/1827 âge : 55 ans Détail des biens immeubles : Inventaire 25/06/1827 POTRON, mobilier 16123 Héritiers, témoins : FOUILLON/FOULLON Louise Aimée, sa fille, même demeure Transcribed By : La France généalogique (CEGF) Tables de successions (DQ8)

relevé coll Geneanet premium Type of record : Baptism Last Name : VACHOT First Name : Marie Louise Aimée Gender : F Place of Birth : Tulle, Lozère, France Date of Birth : 07/17/1794 Place of baptism : Saint Eustache, Paris, Seine, France Other place name spelling : Paris, Seine, France Date of Baptism : 05/04/1807 Father's name : VACHOT Father's First Name : Martin Mother's Last Name : FOULLON Mother's First Name : Marie Lucille Eugénie Transcribed By : Familysearch Parish and civil index. Source Familysearch.org

À faire : trouver extrait de baptême à St-Eustache pour voir si correspond aux adresses de Lucile dans les livrets en 1806-1808 La mlle Foullon qui expose des miniatures Au Salon pourrait-elle être sa fille ?

--

  • madame v. foulon, miniaturiste, expose à Londres en 1837 - ici
  • Caroline Foullon, élève d'Augustin (Database of Salon Artists)
    • celle qui expose au Salon 1835 se nomme Caroline Foullon - ico*** tempo
    • Wilnitsky "Mlle Caroline (until today she is known only with initial "C" of her first name) Foullon (also Foulon) was born in the last quarter of the 18th century in Douai, Northern France. She visitied the Parisian studio of Jean-Baptiste Jacques Augustin and lived in the early 1800s on "rue Ste. croix n°956 près Capucins". She is first mentioned in Paris in 1802. In 1835 she was still alive (in that year she exhibited miniatures at Salon de Paris)." - active between 1802-1835 in Paris - signature Caroline Foullon


  • Aimée Vachot, auteur d'un portrait de la marquise d'Aligre
  • Vincent Amand Picard, époux d'Aimée Vachot, administrateur de la succession d'Aligre ref


portrait de René Gastellier

Angélique Mongez[modifier | modifier le code]


  • Portrait de femme de Mongez, exposé David et ses élèves, 1913 car
  • David de Richard Cantinelli
Archives nationales
  • source
  • Proposition d'acquisition d'un tableau représentant « Saint Martin partageant son manteau avec un pauvre » peint par Mme Mongez, élève de David.[1p.]
  • Mme Mongez demande que le prix de son tableau représentant « Saint Martin » soit augmenté, elle souhaite obtenir des copies à réaliser pour Versailles ; Description de tableaux : « La mort d'Astyanax », « Alexandre pleurant la mort de la femme de Darius », « La mort d'Adonis », « Mars et Vénus » , « Les sept chefs devant Thèbes » et « Les derniers moments de Darius » ;, 24 juillet 1841 .[2p.].
  • Mme Mongez se recommande à M. de Montalivet, elle souhaite qu'un de ses tableaux soit acquis ; 3 juillet 1841.[1p.].
  • M. Borel de Bretizel, secrétaire des commandements de la Reine informe M. de Montalivet de l'envoi de la demande de Mme Mongez ; 11 juin 1841 .[1p.].
  • Mme Vve Mongez demande secours auprès de la Reine, l'abbé Hanicle, curé de St Séverin la recommande à la Reine ; juin 1841.[1p.] (31 juillet 1841).
  • 1855, 20 août : M. Paul Duval-Vaucluse, avocat et exécuteur testamentaire de Mme Mongez née Levol, informe M. de Nieuwerkerke du legs par cette dernière du tableau la représentant avec son mari peint par David ; 1855, 2 avril-20 août.[6p.] source
oeuvres
  • Astyanax arraché à sa mère, Salon 1802 (no 207), gravure publiée dans C. Landon, Annales du musée, vol. 4, 1803, pl. 36.
  • Alexandre pleurant la mort de la femme de Darius, Salon 1804 (no 324), Contre-épreuve d'un croquis du tableau par Monsaldy conservé à la Bibliothèque nationale de France (BNF)[45]
    • « Celui d’Alexandre chez Statira, par Mme Mongez, n° 324, est d’une force et d’une fermeté très étranges à rencontrer dans la touche d’une femme. Il y règne en général un mélange de beautés et de défauts, de l’embarras dans la composition et des mouvemens sans sensibilité; mais on ne peut refuser de l’admiration pour le talent de celle qui a rendu aussi bien dans la figure de la fille de Darius les différens mouvemens intérieurs de la pudeur, de la douleur et de l’embarras. Sysigambis est noble et peinte admirablement bien. Le fils de Darius, qui joue avec le diadème et se l’arrache en riant de dessus la tête, fait de cet enfant une figure épisodique qui explique le sujet d’une manière aussi délicate qu’ingénieuse. » (Vivant Denon, "Notes sur le Salon de l’an XIII" adressées à Napoléon lire en ligne (Correspondance Vivant Denon, Editions de la Réunion des musées nationaux, Paris, 1999, Lettre n°AN24, fin septembre - octobre 1804, Archives nationales AF IV 1050 dr 1 n° 38, Denon)
    • "1867, 7 août M. Mettetal, chef de la première division de la préfecture de police signale que trois grandes toiles peintes ont été déposées à la préfecture, elles représentent « Alexandre pleurant la mort de la femme de Darius » de Mme Mongez portant le numéro 324 qui est celui du Salon de l'An XII où il a figuré, « La mort d'Adonis »de l'École de l'Empire et « Une scène de l'insurrection polonaise » ayant été peint à Paris vers 1840 ; 1867, 7-14 août.[2p.]" source



d'après Gabet

  • Portrait de Napoléon pour la ville d'Avignon
  • Portrait de Louis XVIII pour Toulouse
  • Le Christ en croix Non-localisé; commandé pour l'église de Saint Pierre à Charenton. siefar - Inventaire (note : A. Mongez était native de Charenton)
  • Portrait de Louis XVIII, 1815, Tours


  • Charité de saint Martin, Grosrouvre : "Tableau réalisé vers 1841. Il s'agit d'une réplique autographe du tableau exposé au Salon de 1819 et envoyé en 1820 pour orner l'église de Cotignac (Var). Ce tableau a été commandé à Angélique Mongez, élève de David et Regnault, en 1841 pour le Musée Royal pour la somme de 3000 F, puis porté sur les inventaires du Louvre (Inv. 6722). Il fut déposé en 1850 dans l'église de Richebourg, puis placé avant 1906 dans l'église de Grosrouvre, d'après Agnès Barruol." (Palissy) PM78002062

Mme Quévanne, née Chézy[modifier | modifier le code]

  • 2 juin [1834] – Décès à Chartres d’Albert Quévannes, ingénieur en chef des Ponts et Chaussées à qui on doit un Mémoire sur la navigation sur l’Eure (1801). Une curiosité à son sujet : avoir imaginé et travaillé sur un projet de  » Jardin à l’anglaise  » sur la Butte des Charbonniers. ref
  • Mme Desmaisons, aquafortiste : Une pl. dans l'Athenaeum..., chez Baltard, 1806 : Vue du pont de Neuilly, d'apr. Mme Quévanne. Ya 1 2, 8° ref - autre
  • gravures, voir aussi ici et ici
Elisabeth Quévanne, sa fille


  • Margaret Fields Denton, “A Woman’s Place: The Gendering of Genres in Post-Revolutionary French Painting,” Art History 21, no. 2 (June 1998), pp. 219 – 46 - tableau de mme Quévanne au Salon de 1802 exposé en arrière-plan d'une allégorie parodiant Mongez, p. 228 et note 58***

Zelia de Roquesante[modifier | modifier le code]

  • expose ses peintures sur porcelaine à plusieurs salons de façon anonyme et rmporte même une médaille (Sofio, p. 494)
  • fille de Michel Étienne de Raphélis, général comte de Roquesante
  • portrait père
  • Un Vauclusien oublié. Le Comte de Roquesante, général de la République française, 1756-1822 ici

Thérèse de Manne[modifier | modifier le code]

Domenica Monvoisin[modifier | modifier le code]

Pauline Augustin[modifier | modifier le code]

Sarah Biffin[modifier | modifier le code]

Katherine Read / Catherine Read[modifier | modifier le code]

Nanine Vallain[modifier | modifier le code]

Louise Hersent[modifier | modifier le code]

  • Portraits of Fantasy, Portraits of Fashion
    • "Mme Hersent, qui a ouvert elle-même un atelier pour enseigner aux dames la peinture, en a confié la direction à Mme Dénos, une de ses meilleures élèves, et M. Galimard y succède à Mme Dénos"
    • portrait Arachequesne
  • Portrait de Louise Hersent par Desnos, signé Desnos 1835, maintenant à Versailles
  • Portrait de femme, 1806, dit à tort Portrait de Pauline Bonaparte, l'une des premières oeuvres de l'artistes ref

Fanny Robert[modifier | modifier le code]

  • Yann Cantin, Sur les traces de Fanny Robert (1795-1872), Art'Pi!, n°7, de mai-août 2013 - gratuit avec inscription : ici et ici

Sophie Rude[modifier | modifier le code]

Frère de Montizon[modifier | modifier le code]

Marie Turben, épouse Frère de Montizon
    • élève de Restout ici
    • fondatrice de l'école gratuite de dessin pour les jeunes demoiselles (ou jeunes personnes) [École spéciale et gratuite de dessin pour les jeunes personnes] en 1802, ouverte en 1803, financée par l'État à compter de 1810 - voir École nationale supérieure des arts décoratifs
  • procès contre le ministère de l'Intérieur après sa démission à propos de la propriété de l'école, 1831
  • démission en 1829
  • école reprise par ses filles Thérèse-Justine et Augustine-Flore Frère de Montizon (1829-1849); Rose Bonheur leur succédera en 1849
  • Ce n’est qu’en 1803 que l’école est finalement ouverte, rue de Touraine (actuelle rue Dupuytren) dans le 6ème arrondissement de Paris.
  • En 1807, Mme Frère de Montizon envoie au Ministre de l’Intérieur des billets pour se rendre à la distribution des prix de l’école ico
  • nécro sur Augustine-Flore, 1871 - mise à la retraite forcée avec sa soeur en 1848 - refus d'aller enseigner en Russie - exhumation Vaugirard - caveau de famille à Issy
  • rech aussi mme de Montizon, madame de Montizon, Flore de Montizon, Frère de Montison, etc


ico

Eugénie Gautier[modifier | modifier le code]

Anne Nicole Voullemier[modifier | modifier le code]



gravures/litho
  • BELLIARD : 103. Six portr. impr. Bry, 1847 : Mme de Saint Surin, d'apr. Anne Voullemier ; — Ibrahim Pacha, d'apr. Lizinka de Mirbel ; — Le Général Comte du Moncel, Pair de France ; — Louis Gabriel, marquis de Conflans ; d'apr. Ch. Gomien (S. 1841) ; — Marquise de Conflans ; — L'Abbé Dufriche des Genettes, Curé de N. D. des Victoires, d'apr. J. D. Court. source
  • ImofFr no. 20115. Bibliog. de la Fr., 27 mars 1830, no. 177 -- L'abbé Colin, par {Voullemier}, 8 pouces sur 6. Imp. de {Lemercier}, à Paris. A Paris, chez {Rittner}, boulevart Montmartre, n. 12. -- Les deux amis. -- Une Bernoise, 12 p. sur 8. Prix de chaque. 1-50. -- La fontaine. -- Le ruisseau, 4 planches, par {V. de Villeneuve}. Prix de chacune des deux dernières planches ... 2-0. -- Façade de St.-Etienne. -- Porte du Midi de St.-Etienne, 2 planches, par {Hazé}, 12 pouces sur 10. -- La bienfaisance, par {L. Noël}, 10 p. sur 14. Imp. de {Lemercier}, à Paris. Prix de cette dernière planche ... 7-0. A Paris, chez {Rittner}, boulevart Montmartre, n. 12. 8 items.
  • ImofFr no. 43037. Bibliog. de la Fr., 11 décembre 1847, no. 1459 -- Buste de l'abbé Desgenettes, par {Belliard}. -- Portrait en buste de Mme de Saint-Surin, par idem, d'après {Mlle Voullemier}. -- Paris et ses environs, 13 à 16, par {M. Muller} : le Jardin des fleurs, le Bal Mabille, le Petit Trianon (4 pl.) . -- Le Vendômois, 31 et 32 : vue du château de Vendôme au dix-septième siècle, 4 vues à la feuille (2 pl.) . A Paris, chez {Aug. Bry}.
portrait d'Agathe de Pontigny / Augustine de Pontigny


mlle Huin / Marie Cunégonde Huin[modifier | modifier le code]

  • "il y sera le père de Cunégonde HUIN, née en 1767, peintre et miniaturiste, élève de DAVID, dont le Musée des Beaux-Arts de Strasbourg conserve un beau portrait du médecin Nicolas-François COLIGNY." Encyclopédie de l'Alsace, vol. 7, 1984, p. 4005 source
    • en fait un portrait de Nicolas François Coliny (1710-1776), médecin à Strasbourg. Strasbourg, 1773, par Charles-Alexis Huin (1735-1796), Palais Rohan (Strasbourg). Cabinet de l'hôtel Oesinger. voir ici
portrait par son père


  • élève de David et Benoist - ses deux frères aussi élèves de David
  • Oppenheimer
  • Grove Art Online, madame Huin, marchande de tableaux, sa mère ? (Non, madame Hulin)
  • Lemoine-Bouchard
  • R. Peyre, « Quelques lettres inédites de Louis David et de Mme David », La chronique des arts et de la curiosité, n°11, 1900), p. 97-98; 109-111.
  • correspondance David-Huin
  • ses deux frères, aussi élèves de David


mort

XPierre-Antoine Clerc

  • Harsany, Zoltan-Étienne, « L’émigration polonaise de 1832 à Metz », Mémoires de l’Académie nationale de Metz, 1957-1959, pp. 167-171. (pour le contexte - les 3 époux de ses filles sont des réfugiés polonais à Metz)
frères Huin, élèves de David

Alexandre Vigneux[modifier | modifier le code]

  • Annonce de la pub. du second portrait de Napoléon - Journal typographique et bibliographique, 1810, p. 102 en ligne
    • "L'exécution de cette gravure est parfaite , et la resemblance du portrait est très-grande."
  • Annonce de la pub. du second portrait de Napoléon, Journal de Paris, 1810, très élogieux***


Elisabeth Vigée-Lebrun / peinture d'histoire[modifier | modifier le code]

  • 3 tableaux d'histoire au Salon de 1783
    • Junon venant emprunter la ceinture de Vénus image
    • La Paix ramenant l’Abondance (Louvre) commons
    • Vénus liant les ailes de l’Amour, pastel, comte de Vaudreuil
      • aussi gravure ici

Académie nationale de médecine[modifier | modifier le code]

Adèle Clerget-Melling[modifier | modifier le code]

  • Vue prise dans les Pyrénées, lithographie de Isidore Laurent Deroy d'après Adèle Clerget, Galerie de S. A. R. Madame la Dauphine ref

Aglaé Quenedey[modifier | modifier le code]

Louise Eudes de Guimard[modifier | modifier le code]

Amanda Fougère[modifier | modifier le code]

Expo Amour, guerre et beauté : des ducs de Bourgogne aux Habsbourg[modifier | modifier le code]

Julie Philipault[modifier | modifier le code]

Joséphine de Gallemant[modifier | modifier le code]

  • mention de Mme de Gallemant dans la correspondance entre Robert Lefèvre et son élève Fanny Defermon voir ici
  • Gallemant copie en 1822 un portrait de Louis XVIII de Lefevre pour Saint-Cyr

Christine de Pisan[modifier | modifier le code]

Coupin de Couperie

Henriette-Caroline Mennechet de Barival[modifier | modifier le code]

  • Nécrologie, Revue et gazette musicale de Paris, 20 janvier 1861, p. 21 Internet Archive
  • Nécrologie, L'Univers musical, 24 janvier 1861, p. 26-27 Gallica

Eugénie Latil, née Henry[modifier | modifier le code]

  • peintre et sculptrice
  • ép. François-Vincent-Mathieu Latil
oeuvres
  • nombreux tableaux et sculptures de M. et Mme Latil au musée de Tarbes, une salle est même nommée un temps "musée Latil" ou "salle Latil"
  • Jean Julien Sacaley ( 1800-1875 ) , Sous - chef du Cabinet de l'Empereur Napoléon III . Portrait peint vers 1864 , par Eugénie Latil ( 1808-1879 ) . ( Saint - Mandé . Collection Julien Mallet ) ref
  • Sacaley
  • « Études napoléoniennes » (Revue historique de la Société de sauvegarde du château impérial de Pont-de-Briques) n° 39 Tome IV décembre 2000 : « Napoléon III et l’Impératrice Eugénie à Boulogne, aux Camps du Nord de 1854, d’après les lettres de J.J. Sacaley, du Cabinet de l’Empereur », présentées par Fernand Beaucour
reproductions d'oeuvres
  • Bibliog. de la Fr., 29 décembre 1849, no. 654 -- La Nourrice, d'après Mme Latil, par Weber. Impr. lith. de Thierry, à Paris. VARIETES


  • Le Soldat compatissant, gravé par Sixdeniers d'après Latil, est de François-Vincent Latil et non d'elle (Salon 1840)
François Vincent Latil

Louise Bourdon Weyler Kugler[modifier | modifier le code]


  • Paul Marmottan, « Sur Mme L. Kugler et François Soiron peintres en email », Bulletin de la Société de l'Histoire de l'Art Français, 1915-1917, p. 97-107 lire en ligne, lettre de Louise Kugler au comte Daru, 12 décembre 1809, réclamant le titre de "peintre en émail du cabinet de Sa Majesté pour la collection des hommes célèbres".
    • commenté dans Séverine Sofio. « Les jeunes filles, des élèves peintres comme les autres? La formation au coeur des transformations du monde de l’art », dans Peintres femmes 1780-1830. Naissance d'un combat, 2021, p. 31-61, ici p. 60 lire en ligne, manuscrit d'auteur avec pagination différente
      • p. 60 : "Mais avant cela, c’est l’argument des hautes exigences de la formation suivie et du degré de maîtrise dont elles peuvent désormais se prévaloir qui est mis en avant dans la correspondance avec l’administration des beaux-arts, par exemple. On trouve ainsi dans les archives nationales maints courriers d’artistes femmes tenant ce discours du Consulat à la Restauration : parce qu’elles sont d’excellentes et d’honnêtes artistes, elles ont évidemment droit à la protection et au soutien des puissants. [chang. paragraphe] Un exemple parmi tant d’autres, Louise Kugler, née dans une famille riche, proche de la Cour sous l’Ancien Régime, portraitiste active dès la fin des années 1780 puis spécialisée dans le portrait à l’émail, écrit à l’intendant général de la Couronne en 1809. Elle, dont le parcours est si typique de celui de nombre d’artistes femmes de son époque, demande que lui soit octroyé le titre de « peintre en émail du cabinet Sa Majesté pour la collection des hommes célèbres ». Ce titre était celui de feu son mari, dont elle a pris la suite avec un certain succès, explique-t-elle. Au nom de cela et de « [s]es longues et pénibles études », elle réclame la protection officielle de l’Empereur. Et surtout, conclue-t-elle fièrement, comme pour parler au nom de ses centaines de consoeurs en cette période qui leur est si singulièrement favorable : « Française, femme et artiste, il me faut un peu de gloire »25 !"

Herminie Déhérain[modifier | modifier le code]

gravures
  • Colette d'après un tableau de Mme Déhérain, Revue des peintres, 12 livraison, avril 1835, planche 57 source


sources
  • Louis Batissier, « Mme Dehérain », L'Artiste, 5 mai 1839, p. 72
  • Royalists to Romantics: Women Artists from the Louvre, Versailles, and Other French National Collections
  • bio, Les hommes utiles de l'arrondissement d'Abbeville

Clarisse Amic[modifier | modifier le code]

  • élève d'Hortense Haudebourt-Lescot
  • mention d'un registre des élèves de l'école de dessin de Clarisse Amic aux Archives nationales : Renaud d’Enfert, «  Une institution ‘éminemment utile et moralisatrice’ : les écoles de dessin pour femmes et jeunes filles (Paris, 1800 - années 1860) », in Carole Christen et Laurent Besse [dir.], Histoire de l’éducation populaire, 1815-1945, Perspectives françaises et internationales, Villeneuve d’Ascq, Presses universitaires du Septentrion, 2017, p. 171-184 (dispo UL)

Constance Mayer[modifier | modifier le code]

Salon 1804
  • "Le Mépris des richesses, par Mlle Mayer, n° 319. / Cet autre artiste féminin, quoiqu’elle ait fait un charmant tableau, tient encore trop de son maître pour qu’on puisse savoir si elle a un talent à elle." ((Vivant Denon, "Notes sur le Salon de l’an XIII" adressées à Napoléon lire en ligne (Correspondance Vivant Denon, Editions de la Réunion des musées nationaux, Paris, 1999, Lettre n°AN24, fin septembre - octobre 1804, Archives nationales AF IV 1050 dr 1 n° 38, Denon)

Charles Meynier[modifier | modifier le code]


Girodet - portrait de Belley[modifier | modifier le code]

  • Helen Weston
  • (en) Helen D. Weston, « Representing the Right to Represent: The "Portrait of Citizen Belley, Ex-Representative of the Colonies" by A.-L. Girodet », Res: Anthropology and Aesthetics, vol. 26,‎ , p. 83–99 (ISSN 0277-1322, DOI 10.1086/RESv26n1ms20166906, lire en ligne, consulté le )
  • Helen D. Weston, "Portrait du citoyen Belley, ex-représentant des colonies," in Olivier Bonfait and Brigitte Marin, eds., Les portraits du pouvoir (Paris: Somogy Editions, 2003), p. 126-133.
  • Sylvia Musto, "Portraiture, Revolutionary Identity and Subjugation: Anne-Louis Girodet's Citizen Belley," RACAR 20, nos. 1-2 (1993): pp. 60-71;
  • Viktoria Schmidt-Linsenhoff, "Male Alterity in the French Revolution—Two Paintings by Anne-Louis Girodet at the Salon of 1798," in Ida Blom, Karen Hagemann, and Catherine Hall, eds., Gendered Nations: Nationalisms and Gender Order in the Long Nineteenth Century (Oxford and New York: Berg, 2000), pp. 81-105.

Élise Bruyère et son père, Le Barbier[modifier | modifier le code]

  • Paweł Ignaczak, « Nie tylko Élisabeth Vigée Le Brun. Élise Bruyère jako portrecistka Polaków na początku XIX wieku », dans Élisabeth Vigée Le Brun i jej czasy. Kobieta – artystka – Europejka, Muzeum w Nieborowie i Arkadii, 2017 (ISBN 978-83-941957-2-4) - sur plusieurs portraits de nobles polonais réalisés par E. Bruyère entre 1801 et 1806, dont ceui-ci en ligne - lien avec les portraits réalisés par son père - mise en lumière de so activité de portraitiste, avant qu'elle ne devienne surtout connue pour ses fleurs.
  • Paweł Ignaczak, « Portret Mikołaja Gorgoniusza Mielżyńskiego autorstwa Jean-Jacques’a François Le Barbiera (1738–1826) w Muzeum Narodowym w Kielcach. Identyfikacja i historia obrazu », Rocznik Muzeum Narodowego w Kielcach, vol. 35, 2020 - 2 portraits de comtes polonais réalisés par Le Barbier et exposés au Salon de 1804 : lui et lui - lien avec ceux réalisés par sa fille

Mme de Courtagnon[modifier | modifier le code]

  • Courtagnon
  • Marie Catherine Le Franc de Courtagnon (1697-1778), propriétaire d'un cabinet de curiosités
  • rech. avec "cabinet de Courtagnon"

Sarazin de Belmont[modifier | modifier le code]

Soyer Jones[modifier | modifier le code]

Elise Journet[modifier | modifier le code]

iconographie - portraits
iconographie - reproduction d'oeuvres
  • Lesueur chez les Chartreux ; d'après Mlle Elise Journet, litho de Soulange-Louis-Emmanuel Tessier Salon 1841
  • Treize sujets et paysages gravés sur bois d'après les dessins de MM. Louis Leroy, Thénot, Frère et Mlle Elise Journet ; même numéro, gravures sur bous d'Alphonse Rose Salon 1846
  • Bergers d'Arcadie de E. Journet, reproduit dans L'Artiste source
  • Lesueur chez les chartreux

Louise Rang-Babut (Vaucorbeil)[modifier | modifier le code]

d:Q55672870 - commons:Category:Louise Rang-Babut

  • André Joubin, "Deux amies de Delacroix; Madame Elisabeth Boulanger-Cavé et Madame Rang-Babut", Revue de l'Art ancien et moderne, 57 (January 1930), pp. 58–75;
  • Hillairet Aurore. Les bourgeois rochelais peints par Louise Rang-Babut et André Brossard. In: Le portrait : formes, catégories et fonction d’un genre. Actes du 132e Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, « Images et imagerie », Arles, 2007. Paris : Editions du CTHS, 2010. pp. 7-25. (Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques, 132-6) https://www.persee.fr/doc/acths_1764-7355_2010_act_132_6_1773#acths_1764-7355_2010_act_132_6_T2_0024_0000
  • Charles Dangibeaud, L'Oeuvre de Mme Babut, veuve Rang, 1912
  • ROMIEUX William, Une époque d'art autour d'un talent, Mme Th. Babut, veuve Rang, 1805-1884,. La Rochelle, A. Foucher, 1908



X

Prix de dessin remporté par cinq femmes élèves de l'Académie de peinture [de Toulouse ?] en 1779[modifier | modifier le code]

Nuance : sans doute Académie royale de peinture, sculpture et architecture de Toulouse, puisque figure dans une rubrique "Toulouse, ce 30 août" Pahin de la Blancherie, Nouvelles de la république des lettres et des arts, 30 novembre 1779, p. 15

« L'Académie Royale de Peinture, Sculpture & Architecture, distribue tous les ans onze Médailles d'or ou d'argent, à ceux de ses Elèves, qui durant le cours de l'année académique se font distingués par leurs talents & par leur assiduité aux écoles ; & lorsqu'il se trouve une plus grande quantité d'Ouvrages qu'il n'y a de récompenses, elle y supplée en y donnant des prix d'émulation & d'encouragement. Ils consistent pour les Elèves de la classe de Géométrie-Pratique relativement au Dessin & à l'Architecture, en une médaille d'argent. Pour le grand prix d'Architecture une médaille d'or de 300 liv. Celui de Peinture & celui de Sculpture , id. Pour les deux prix de la figure d'après l'estampe, deux médailles d'argent. Celui du dessin d'Anatomie, une d'argent. Ceux de perspective de la Ronde-bossee, d'une Académie d'après le modèle vivant ; des ornements, dessin de la Carte & du Païsage au lavis ; pour les Elèves de la classe d'Anatomie , idem.

Cinq prix ont été remportes cette année par cinq Dames, qui se font déclarées les Auteurs des Ouvrages auxquels ils avoient été adjugés : le premier destiné à un dessin d'après l'estampe , a été donné dans la séance du 11 Juillet, à Madame la Marquise de Gabaret , qui joint à toutes les vertus & à toutes les graces de son sexe , l'application , la force d'imagination du nôtre. Mademoiselle d'Aosson, Angloise, a remporté un prix de dessin d'après la même Estampe ; celui de dessin de Ronde-bosse d'après un buste de Lemoine , a été adjugé à Mademoiselle Rigaud ; un second prix pareil d'après le même buste, à Mademoiselle Barbet ; & un prix de Peinture en miniature à Mademoiselle Cammus.

Ces Dames, au sortir de la séance , se rendirent à la Comédie , où elles parurent avec leurs médailles , & furent généralement applaudies du public. »

Almanach des dames et cie[modifier | modifier le code]

La Guirlande des Dames[modifier | modifier le code]

Liste des gravures
  • 2e année [1816] ; 1 des gravures : Edwin et Elgiva (ou Edwy et Elgiva) d'Elizabeth Harvey (mlle Hervey) image aussi dans les Annales de Landon,
  • 3e année [1817] ;
  • 4e année [1818] en ligne, IA (mauvaise qualité) ; gravures : Louis XIII et Mlle de La Fayette, d'Eugénie Servières ; Mathilde et Malek-Adhel, d'après Rosalie Caron ; La Diseuse de Bonne Aventure, [d'après Mlle Lescot] ; Novès et Alix de Provence, d'après Pauline Auzou ; Les Filles de Minée, d'après Sophie Chéradame ; Boucicaut et mademoiselle de Beaufort de Pauline Auzou commentaire
  • 5e année [1819] - gravures : Didon écoutant le récit des aventures d'Énée, d'après Guérin ; le Tasse lisant ses vers à la princesse Léonore, d'après Ducis ; une Jeune fille, en costume italien, dictant une lettre à un écrivain public, d'après Mlle Lescot ; un Joueur de gobelets autour duquel se groupent plusieurs curieux, en costume italien, d'après Mlle Lescot ; l'Education d'Henri IV, d'après Mallet ; une Famille italienne prosternée devant la Madone, au moment où le tonnerre gronde, d'après Mlle Lescot[46].
  • 6e année [1820] ;
  • 7e année [1821] - gravures : Ulysse sous la forme d'un mendiant, d'après M. de Boisfremont ; Ingeburge, reine de France, adoptant les enfants d'Agnès de Méranie, d'après Sophie Lemire ; Jeanne de Navarre, conduisant son fils au tombeau qu'elle a fait élever à la mémoire de Jean V, duc de Bretagne, son époux, d'après Henriette Lorimier ; Malvina, pleurant Oscar, d'après Élizabeth Harvey ; un enfant endormi dans son berceau, d'après Jeanne-Elisabeth Chaudet ; le Rêve du bonheur, d'après Constance Mayer[47].
  • 8e année [1822] - gravures : Cléobis et Biton, d'après Le Sueur ; Psyché prosternée devant Cérès, d'après Raphaël; Les Inconvéniens du Jeu, d'après Van-Ostade ; le Maréchal Ferrant, d'après Wouwermans ; Vénus donnant des ordres à Psyché, d'après Raphaël ; Minerve, Louis XIV et Mazarin, d'après Le Sueur[48].
    • contenu et gravures republiées dans Les Muses et les Graces, Paris, Marcilly, 1823[49]
  • 9e année [1823] en ligne - gravures : Marie Stuart, d'Eugénie Servières ; Piron, [de Julie Ribault, non mentionné] ; Le Compte avec l'hôte, d'Hortense Haudebourt-Lescot ; Alexis, d'Alexandrine Delaval ; Deux jeunes filles lisant un billet doux, d'Hortense Haudebourt-Lescot ; Valentine de Milan, d'Eugénie Servières
  • 10e année [1824] ;
  • 11e année [1825] - gravures : la Famille suisse, d'après Creudemberg ; le Testament d'Eudamidas, d'après Le Poussin ; la Ferme, d'après Vander Noël ; un Paysage, d'après Le Lorrain ; un Chasseur demandant l'hospitalité, d'après Horace Vernet ; la Bergère des Alpes, d'après Aubry[50].

L'Hommage aux dames[modifier | modifier le code]

  • Hommage aux dames. Paris: (Richomme for) Louis Janet [1820 pour l'année 1821]
  • 1821 : l'une des 6 gravures représente : La Jeune Frascatane en prière, d'après Mlle Lescot[51].
    • Une Frascatane en prière devant une Madone de Lescot, gravé par François Janet (Salon 1817, no 532)

Petit almanach des dames[modifier | modifier le code]

  • Le Petit Almanach des dames, 6e année, Rosa, 1816 en ligne (bibliothèque de l'État de Bavière)
    • gravures : Les Amours funestes de Françoise de Rimini (Coupin de la Couperie) ; Lancelot du Lac et Genièvre visitant les tombeaux d'Yseult et de Tristan (Eugénie Servières) ; Le Tasse lisant à la princesse Léonore (Ducis) ; L'Aveugle Frélon (Mongin)

Almanach des dames[modifier | modifier le code]

Autres[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. (it) Sandra Pinto (éditrice), Palazzo Pitti, Cultura neoclassica e romantica nella Toscana Granducale : Collezioni lorenesi, acquisizioni posteriori, depositi. Firenze, Palazzo Pitti, dall'8 luglio 1972 (catalogue d'exposition), Florence, Centro Di, , p. 112.
  2. (it) Autoritratti dagli Uffizi : da Andrea del Sarto a Chagall (catalogue d'exposition), Florence, Galleria degli Uffizi, , p. 34.
  3. Almanach du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde - 1827, Paris, Bureau de l'Almanach du commerce, (lire en ligne), p. CLXXVIII.
  4. Almanach du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde - 1829, Paris, Bureau de l'Almanach du commerce, (lire en ligne), p. 222.
  5. Almanach du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde - 1833, Paris, Bureau de l'Almanach du commerce, (lire en ligne), p. CLXXXV
  6. Almanach du commerce de Paris, des départemens de la France et des principales villes du monde - 1837, Paris, Bureau de l'Almanach du commerce, (lire en ligne), p. 261
  7. François-Fortuné Guyot de Fère, Annuaire des artistes français, Paris, (lire en ligne), p. 95
  8. François-Fortuné Guyot de Fère, Annuaire des artistes français, Paris, (lire en ligne), p. 115.
  9. « Delafond de Fenion, Mlle [Salon de Paris de 1812] », notice d'exposant, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
  10. « Delafond de Fenion, Mlle [Salon de Paris de 1814] », notice d'exposant, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
  11. « De Lafond, Aurore [Salon de Paris de 1817] », notice d'exposant, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
  12. « De Lafond, Aurore [Salon de Paris de 1819] », notice d'exposant, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
  13. « Lafond, Aurore de [Salon de Douai de 1821] », notice d'exposant, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
  14. « Lafond, Aurore de [Salon de Paris de 1822] », notice d'exposant, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
  15. « De La Fond, Aurore [Salon de Lille de 1822] », notice d'exposant, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
  16. « Lafond, Aurore de [Salon de Paris de 1824] », notice d'exposant, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
  17. « Lafond, Aurore [Salon de Lille de 1825] », notice d'exposant, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
  18. « Lafond, Aurore [Salon de Douai de 1825] », notice d'exposant, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
  19. « Delafond, Aurore [Exposition d'objets d'arts et d'industrie d'Arras de 1826] », notice d'exposant, sur Salons et expositions de groupes, 1673-1914, Musée d’Orsay / Institut national d’histoire de l’art (consulté le ).
  20. Ambroise Tardieu, Dictionnaire iconographique de l'ancienne Auvergne, Clermont-Ferrand, P. Raclot, (lire en ligne), p. 30.
  21. Notice des tableaux des écoles italienne, flamande et française qui composent le musée de la ville de Lille, Lille, Jacqué, (lire en ligne), p. 12, no 129-130.
  22. Jean Adhémar et Jacques Lethève, Inventaire du fonds français après 1800 / Bibliothèque nationale, Département des estampes, vol. 6 : Daumont-Dorange, Paris, Bibliothèque nationale, (lire en ligne), p. 192.
  23. https://catalogue.bnf.fr/ark:/12148/cb44446501q
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  38. Caroline Delestres. Portrait de femme jouant de la harpe Huile sur toile, signé «C.Delestres pinx Thd (thermidor) an 9» 72 x 58 cm. Portrait de femme jouant une sonate pour harpe du célèbre compositeur de cet instrument, Jean-Baptiste Krumpholtz. La partition positionnée sur la table à droite nous donne cette information. La scène se passe certainement dans un grand appartement parisien, où différents meubles sont disposés en arrière-plan. La harpe de cette jeune fille est richement décorée de feuillages et de fleurs, avec deux tons de couleurs. Caroline Delestres, est une portraitiste qui exposa au Salon de 1795 à 1802. L'on sait peu de choses sur elle, à part quelques citations dans les ouvrages et catalogues de l'époque. Nous savons par exemple qu'elle fait une demande de logement d'artiste au Louvre en 1795, qu'elle n'obtient pas, contrairement à sa consoeur plus célèbre, Adelaïde Labille-Guiard. Oil on canvas, signed «C.Delestre pinx Thd an 9»; 28,3 x 23,2 in source
  39. Charlotte Foucher Zarmanian, « Le Louvre des femmes. Sur quelques présupposés à l’égard des femmes dans les musées en France au xixe siècle », Romantisme, no 173 (2016/3),‎ , p. 56-67 (DOI 10.3917/rom.173.0056, lire en ligne).
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  49. Bulletin du bibliophile et du bibliothécaire, 15 janvier 1905, p. 410.
  50. Journal des dames et des modes, 29e année, volume 23, no 1, 5 janvier 1825, p. 4-5
  51. Journal des dames et des modes, 24e année, volume 18, no 70, 20 décembre 1820, p. 568-569 Aussi Gallica