Saint-Hilaire-d'Estissac

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Saint-Hilaire-d'Estissac
Saint-Hilaire-d'Estissac
Fontaines et parc devant l'église de Saint-Hilaire-d'Estissac.
Blason de Saint-Hilaire-d'Estissac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Périgueux
Intercommunalité Communauté de communes Isle et Crempse en Périgord
Maire
Mandat
Jean-Claude Dareau
2020-2026
Code postal 24140
Code commune 24422
Démographie
Gentilé Saint-Hilairois
Population
municipale
122 hab. (2021 en augmentation de 12,96 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 00′ 47″ nord, 0° 30′ 25″ est
Altitude Min. 77 m
Max. 186 m
Superficie 6,14 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Périgord central
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Saint-Hilaire-d'Estissac
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Saint-Hilaire-d'Estissac
Liens
Site web saint-hilaire-destissac.fr

Saint-Hilaire-d'Estissac est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie

Généralités

La Crempse au sud du lieu-dit Goiran, en limites de Saint-Hilaire-d'Estissac (à gauche) et Beleymas (en rive opposée).

La commune, traversée par le 45e parallèle nord, est de ce fait située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

Dans le quart sud-ouest du département de la Dordogne, dans la partie orientale du Landais, la commune rurale de Saint-Hilaire-d'Estissac s'étend sur 6,14 km2. Elle est arrosée par la Crempse et deux de ses affluents, le Roy et l'Estissac.

L'altitude minimale, 77 mètres, se trouve à l'ouest, là où la Crempse quitte la commune et entre sur celle d'Issac. L'altitude maximale avec 186 mètres est localisée au nord-est, au lieu-dit au Renardou, en limite de la commune de Villamblard[1]. Au point de vue géologique, le territoire communal est essentiellement composé de calcaires du Crétacé et de sables, argiles ou graviers tertiaires, hormis la vallée de la Crempse où se sont déposées des alluvions holocènes[2].

Le village de Saint-Hilaire-d'Estissac, à moins d'un kilomètre au nord de la route départementale 38, se situe, en distances orthodromiques dix kilomètres au sud de Neuvic et douze kilomètres à l'est de Mussidan.

Communes limitrophes

Carte de Saint-Hilaire-d'Estissac et des communes avoisinantes.

Saint-Hilaire-d'Estissac est limitrophe de quatre autres communes. Au sud-est, son territoire est distant d'environ 500 mètres de celui de Montagnac-la-Crempse.

Communes limitrophes de Saint-Hilaire-d'Estissac
Saint-Jean-d'Estissac
Issac Saint-Hilaire-d'Estissac Villamblard
Beleymas

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[3]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[4].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[3]

  • Moyenne annuelle de température : 12,4 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,6 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 7,3 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15,1 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 914 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 12,3 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[7] complétée par des études régionales[8] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Bergerac », sur la commune de Bergerac, mise en service en 1988[9] et qui se trouve à 18 km à vol d'oiseau[10],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 13,2 °C pour la période 1971-2000[11], à 13,1 °C pour 1981-2010[12], puis à 13,3 °C pour 1991-2020[13].

Urbanisme

Typologie

Saint-Hilaire-d'Estissac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[14],[15],[16]. La commune est en outre hors attraction des villes[17],[18].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (47,7 %), forêts (40,8 %), terres arables (9,9 %), prairies (1,6 %)[19].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Villages, hameaux et lieux-dits

Outre le bourg de Saint-Hilaire-d'Estissac proprement dit, le territoire se compose d'autres villages ou hameaux, ainsi que de lieux-dits[20] :

  • Campagnac
  • la Contie
  • la Forge
  • la Génie
  • Goiran
  • les Granges
  • Jambriaud
  • Japhet
  • Lauvergnac
  • Lavaure
  • Leybardie
  • la Lorie
  • Lozeille
  • au Renardou
  • la Rigaudie
  • Salignac
  • la Sautonie
  • les Vergnes.

Toponymie

Le nom de la commune fait référence à saint Hilaire, évêque de Poitiers au IVe siècle[21]. Estissac correspond au nom d'un personnage gallo-roman, Statius, auquel a été ajouté le suffixe -acum, définissant le « domaine de Statius »[22]. C'est également le nom d'un affluent en rive droite de la Crempse qui sert partiellement de limite naturelle entre les communes de Saint-Hilaire-d'Estissac et Saint-Jean-d'Estissac.

En occitan, la commune se nomme Sent Alari d'Estiçac[23].

Histoire

L'église de Saint-Hilaire-d'Estissac est datée de la fin du XIe siècle, et fut fortifiée autour de son clocher au XIVe siècle. Son nom est relaté en 1317 dans un pouillé sous la forme « Eccl. Sti. Ylarii »[24], puis l'année suivante sous la forme Sanctus Hilarius d'Estissaco[22].

La bastide de Saint-Barthélémy-de-Goyran fut fondée en 1316 pour le roi d'Angleterre Édouard II[25]. Elle ne se développa pas et disparut à la fin du XVe siècle[26]. Bâtie à proximité de la confluence du Roy avec la Crempse, différents auteurs la situent à Beleymas, Saint-Hilaire-d'Estissac, ou encore Villamblard[25].

Au XIVe siècle, le repaire noble[27] (ou château[28]) d'Estissac est le siège d'une châtellenie à laquelle sont rattachées trois paroisses : Saint Hilaire, Saint Jean et Saint Séverin[28]. Son emplacement précis n'est pas connu, et selon différents historiens, pourrait se situer soit au nord d'Issac, soit entre Saint-Jean-d'Estissac et Villamblard en forêt de Barreyrenc[28], soit sur l'actuelle commune de Villamblard[27], ou encore à Campagnac, lieu-dit de l'actuelle commune de Saint-Hilaire-d'Estissac[29], un kilomètre au sud-est du bourg.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Dès 1790, la commune de Saint-Hilaire-d'Estissac est rattachée au canton des Leches qui dépend du district de Montpon, renommé en district de Mussidan, jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Montagnac dépendant de l'arrondissement de Bergerac[30]. Le canton de Montagnac est ensuite renommé en canton de Villamblard l'année suivante, à la suite du transfert du chef-lieu de canton depuis Montagnac vers Villamblard[30].

Dans le cadre de la réforme de 2014 définie par le décret du , ce canton disparaît aux élections départementales de mars 2015[31]. La commune est alors rattachée électoralement au canton du Périgord central.

En 2017, Saint-Hilaire-d'Estissac est rattachée à l'arrondissement de Périgueux[32],[33].

Intercommunalité

Fin 2001, Saint-Hilaire-d'Estissac intègre dès sa création la communauté de communes du Pays de Villamblard. Celle-ci disparaît au , remplacée au par la communauté de communes Isle et Crempse en Périgord.

Administration municipale

La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[34],[35].

Liste des maires

La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1985 mars 2014 Michèle Jeammet SE[36] Retraitée
mars 2014[37]
(réélu en mai 2020)
En cours Jean-Claude Dareau    

Juridictions

Dans le domaine judiciaire, Saint-Hilaire-d'Estissac relève[38] :

Démographie

Les habitants de Saint-Hilaire-d'Estissac se nomment les Saint-Hilairois[39].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

En 2021, la commune comptait 122 habitants[Note 6], en augmentation de 12,96 % par rapport à 2015 (Dordogne : −0,41 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
392327343365422405403423384
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
384365349321321294288266269
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
209218191144155144120116108
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1271118987110114112112111
2018 2021 - - - - - - -
114122-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

Emploi

En 2015[43], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent quarante-quatre personnes, soit 40,7 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (trois) a diminué par rapport à 2010 (sept) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 6,7 %.

Établissements

Au , la commune compte douze établissements[44], dont six au niveau des commerces, transports ou services, quatre dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, un dans l'industrie, et un relatif au secteur administratif[45].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Personnalités liées à la commune

Héraldique

Blason de Saint-Hilaire-d'Estissac Blason
De sinople à saint Hilaire d'or mitré et crossé, accompagné en pointe de deux serpents volants adossés d'argent, au franc-canton palé d'argent et d'azur (qui est d'Estissac).
Détails
officiel, présent sur la page de la commune sur le site du Pays du Grand Bergeracois[48] et sur le site Visites en Aquitaine[49].

Voir aussi

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[5].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[6].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références

  1. « 186 » sur Géoportail (consulté le 26 septembre 2013)..
  2. Patrick Ranoux, préface de René Pijassou, Atlas de la Dordogne-Périgord, Ouvrage publié à compte d'auteur, Speed impression, 1996, (ISBN 978-2-9501476-1-5), p. 19.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  5. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  6. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  7. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  8. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (oracle) Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  9. « Station météofrance Bergerac - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Saint-Hilaire-d'Estissac et Bergerac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  12. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Bergerac - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  16. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. « St-Hilaire-d'Estissac » sur Géoportail (consulté le 23 juillet 2016)..
  21. Abbé Carles, Dictionnaire des paroisses du Périgord, éditions du Roc de Bourzac, Bayac, 2004, (réédition à l'identique de celle de 1884 : Les titulaires et patrons du diocèse de Périgueux et de Sarlat), (ISBN 2-87624-125-0), p. 207-208.
  22. a et b Chantal Tanet et Tristan Hordé, Dictionnaire des noms de lieux du Périgord, Éditions Fanlac, 2000, (ISBN 2-86577-215-2), p. 328.
  23. Le nom occitan des communes du Périgord - Sent Alari d'Estiçac sur le site du Conseil général de la Dordogne, consulté le .
  24. Historique sommaire de Luc Joudinaud, architecte du Patrimoine, maître d'œuvre des travaux de restauration de 2005 à 2009, affiché dans l'église, vu le 15 septembre 2013.
  25. a et b Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 253.
  26. Jean-Luc Aubarbier, Michel Binet, Guy Mandon, Nouveau guide du Périgord-Quercy, Ouest-France, 1987, (ISBN 2-85882-842-3), p. 391-392.
  27. a et b Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article ESTISSAC, 1873, sur guyenne;fr, consulté le 25 juillet 2016.
  28. a b et c Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 102-103.
  29. Vicomte Alexis de Gourgues, Dictionnaire topographique du département de la Dordogne comprenant les noms de lieu anciens et modernes (A-K), article CAMPAGNAC, 1873, sur guyenne;fr, consulté le 25 juillet 2016.
  30. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Légifrance, « Décret no 2014-218 du 21 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de la Dordogne », sur http://www.legifrance.gouv.fr/ (consulté le ).
  32. [PDF] « Arrêté portant modification des limites territoriales des arrondissements de Bergerac, Nontron, Périgueux et Sarlat-la-Canéda du département de la Dordogne », Préfecture de la Dordogne, 30 décembre 2016.
  33. [PDF] Anciens et nouveaux arrondissements au 1er janvier 2017, Préfecture de la Dordogne, 4 janvier 2017.
  34. Article L2121-2 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance, consulté le 11 septembre 2020.
  35. Résultats des élections municipales et communautaires 2020 sur le site du ministère de l'Intérieur, consulté le 18 novembre 2020.
  36. Voici vos 557 maires, supplément à Sud Ouest édition Dordogne du 3 avril 2008, p. 32.
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  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. Dossier complet - Commune de Saint-Hilaire-d'Estissac (24422) - Activités, emploi et chômage - tableaux EMP T2 et EMP T4 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
  44. « Établissement - Définition », sur Insee (consulté le ).
  45. Dossier complet - Commune de Saint-Hilaire-d'Estissac (24422) - Établissements actifs par secteur d'activité - tableau CEN T1 sur le site de l'Insee, consulté le 8 janvier 2019.
  46. Guy Penaud, Dictionnaire des châteaux du Périgord, éditions Sud Ouest, 1996, (ISBN 2-87901-221-X), p. 238.
  47. « Église », notice no PA00082842, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consultée le 26 septembre 2013.
  48. Page de la commune sur le site du Pays du Grand Bergeracois, consulté le 6 février 2015.
  49. Saint-Hilaire-d'Estissac sur le site « Visites en Aquitaine - Région Aquitaine » (CC-BY-SA), consulté le 6 février 2015.