Louis Guillaume Fulconis

Biographie
Naissance	15 février 1818 Avignon
Décès	11 mai 1873 (à 55 ans) 7e arrondissement de Paris
Nationalité	française
Activité	Sculpteur
Enfant	Victor Fulconis

Louis Guillaume Fulconis né à Avignon le 15 février 1818 et mort à Paris (7ème) le 11 mai 1873^[1]^,^[2] est un sculpteur français.

Il est l'auteur de statues en plâtre, en marbre, en bronze comme La Fortune. Ses statues en pierre ornent de nombreuses églises. Il a réalisé la Coupo Santo, symbole de la Provence mistralienne^[3]. Il est le père du peintre et sculpteur Victor Fulconis.

Biographie[modifier | modifier le code]

Louis Guillaume Fulconis est le fils de Pierre-Louis Fulconis, originaire de Saint-Étienne-de-Tinée^[4]. Pierre-Louis quitte son village du Haut Pays niçois pour travailler à Marseille où il se marie. En 1812, le couple rejoint Avignon, six ans plus tard naît Louis Guillaume.

Ses parents meurent en 1829, ce qui le contraint à travailler tout en suivant des cours à l'école des beaux-arts d'Avignon. Après avoir travaillé comme marbrier et ornemaniste à Avignon puis à Marseille, il est attiré par les nouvelles possibilités offertes par l'Algérie en 1835. Devenu entrepreneur sculpteur, il noue des amitiés chez les francs-maçons de la loge Bélisaire du Grand Orient de France^[5] Le peintre Hippolyte Lazerges le retrouve dans ses ateliers d'Alger, puis en Normandie et à Paris^[6]^,^[7].

Les œuvres de Fulconis, statues et bustes, ornent des bâtiments officiels, palais, églises, mosquées, et sont réputées jusqu'en métropole. Au début de la dégradation économique de l'Algérie, il part pour Paris en 1851 avec sa femme Éloïse Marché et son fils Victor^[8]. Il restaure des églises^[9] et expose à Paris au Salon de 1857 à 1872^[10].

Œuvres[modifier | modifier le code]

Œuvres dans les collections publiques[modifier | modifier le code]

*La Coupo Santo* (1867), Arles, Museon Arlaten.

Algérie[modifier | modifier le code]

Alger^[7]^,^[11] :
- Dar Aziza ;
- Dar Hassan Pacha ;
- Grande mosquée d'Alger ;
- Mosquée Ketchaoua.
Hippone : Monument à saint Augustin^[12].

France[modifier | modifier le code]

Bonsecours, basilique Notre-Dame :
- Le Calvaire^[13] ;
- Saint François d'Assise^[14] ;
- La Mer de bronze, Moïse et Aaron, groupe en terre cuite polychrome, 1,65 cm, côté sud du chœur^[15].
Douvres-la-Délivrande, basilique Notre-Dame-de-la-Délivrande^[16].
Fontainebleau, château de Fontainebleau : Actéon, 1861, statue en marbre, provient du palais du Louvre^[17].
Gray, musée Baron-Martin : Ouled Naïlet bayadère de pharaon, céramique polychrome, 40 × 44 × 25 cm.
Mont-Saint-Aignan, église Saint-Thomas-de-Cantorbéry^[18].
Paris :
- cimetière de Montmartre : M. et M^me Meyer^[19].
- cimetière du Montparnasse : Camille Raspail, buste en bronze.
- église Saint-Laurent : Saint Barthélemy et Saint Jacques^[20].
Rouen :
- abbaye Saint-Ouen :
  - autel pour la chapelle de la Vierge^[21] ;
  - Saint-Joseph^[22].
- cathédrale Notre-Dame^[23] :
  - Histoire de la Sainte-Vierge^[24]^,^[25] ;
  - Crucifixion et martyre de saint Étienne, 1872, haut-relief en pierre, retable de la chapelle Saint-Étienne-la-Grande-Église dans la tour de Beurre ;
  - Gisant du cardinal prince de Croy, 1856, chapelle de la Vierge.
Versailles, château de Versailles : Buste du comte Eugène Guyot, 1864, marbre^[26].

Œuvres non localisées[modifier | modifier le code]

Canéphore algérienne^[27].
Céres et la Fortune^[28].
Jiaccobi^[29].
Jouvenet, buste en plâtre^[30].

Sculpture d'édition[modifier | modifier le code]

Le Prince impérial, 1859, biscuit^[31].

Salons[modifier | modifier le code]

1859 : Camille Raspail^[29].
1861 : Retour du Marché^[32].
1863 : Les Cerises^[33].
1868 : La Princesse Clémence^[34].
1869 : Mauresque d'Alger^[35] ; Juive d'Alger^[36].
1870 : Juif d'Alger essayeur de métaux ; Femme kabyle filant^[37].

Galerie[modifier | modifier le code]

Œuvres de Louis Guillaume Fulconis
Gisant du cardinal prince de Croy (1856), cathédrale Notre-Dame de Rouen.
Tympan, basilique Notre-Dame-de-la-Délivrande, Douvres-la-Délivrande.
Camille Raspail, buste en bronze, Paris, cimetière du Montparnasse.

Notes et références[modifier | modifier le code]

↑ La Revue du Louvre et des musées de France, Conseil des musées nationaux, 1^er janvier 2001 (présentation en ligne), p. 93 :
« Louis Guillaume Fulconis, ayant suivi les cours de l'école des Beaux-arts d'Avignon, exerce d'abord son art en Algérie. De retour en France après 1851, il collabore sous le Second Empire au grand chantier du Louvre… »
↑ Son acte de décès (n°398) dans les registres de décès du 7ème arrondissement de Paris pour l'année 1873
↑ Gérard Monnier, L'Art et ses institutions en France, Editions Gallimard, 2014, 464 p. (ISBN 978-2-07-253440-9, lire en ligne).
↑ « La Coupo Santo à Saint-Etienne de Tinée - Felibrige », sur www.felibrige.org (consulté le 15 décembre 2015) : « Inauguration du chemin Louis Guillaume Fulconis pour honorer ses ascendants stéphanois. »
↑ « Louis Guillaume Fulconis », sur www.fulconis.com (consulté le 27 février 2016) : « Premier sculpteur français de l’histoire de l’Algérie, premier statuaire du « gothique retrouvé » normand et premier sculpteur élu par Roumanille et Mistral pour le Félibrige des Primadiés, Louis Guillaume Fulconis s’est montré pionnier en sculpture ethnographique comme en sculpture néogothique. »
↑ Seine-Maritime (France) Commission départementale des antiquités de la Seine-Maritime, Bulletin de la Commission départementale des antiquités de la Seine-Maritime, Commission départementale des antiquités de la Seine-Maritime, 1^er janvier 1978 (lire en ligne).
↑ ^{a et b} André Pierre Fulconis, Louis Guillaume Fulconis, Imprimerie Nationale, A. P. Fulconis, 2005, 685 p. (ISBN 2-9523511-0-4), p. 42 :
« Les quatre grands chantiers connus à ce jour de Louis Guillaume, la Djemâa el Kébir, la Dar Hassan Pacha faisant face à la Ketchaoua jouxtant celle-ci, ont tous les quatre été classés monuments historiques par l'État algérien... »
↑ La Revue du Louvre et des musées de France, Conseil des musées nationaux, 1^er janvier 2001 (lire en ligne).
↑ « La Chronique des arts et de la curiosité : supplément à la Gazette des beaux-arts », sur Gallica, 18 novembre 1866 (consulté le 5 décembre 2015).
↑ Frédéric Mistral, Lis Isclo d'Or : Les Îles D'or, Didier, 1^er janvier 1970 (lire en ligne).
↑ « Atena Sculpture en bronze patiné l'Allégorie de la Fortune d'après Jean de Bologne, signé Fulconis », sur www.google.com (consulté le 12 décembre 2015).
↑ Gérard Monnier, L'Art et ses institutions en France, Editions Gallimard, 2014, 464 p. (ISBN 978-2-07-253440-9, lire en ligne).
↑ Alexandre Fromentin, Notre-Dame de Bon Secours : pèlerinage artistique et religieux, E. Cagniard, 1^er janvier 1863 (lire en ligne).
↑ Inventaire général des œuvres d'art appartenant à la ville de Paris, Chaix, 1^er janvier 1886 (lire en ligne).
↑ « La Mer de bronze, Moïse et Aaron », notice n^o PM76002157, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.
↑ Fête du couronnement de Notre-Dame de la Délivrande : notice par les PR. PP. Missionnaires du diocèse de Bayeux, Chénel, Libraire de Mgr. L'Évêque de Bayeux et Lisieux, 1^er janvier 1872 (lire en ligne).
↑ La Chronique des arts et de la curiosité : supplément à la Gazette des beaux-arts, Bureaux de la Gazette des beaux-arts., 1^er janvier 1863 (lire en ligne).
↑ Gilbert Houlet, Normandie, Hachette, 1^er janvier 1965 (lire en ligne).
↑ « Archives de l'art français », sur www.archive.org (consulté le 6 décembre 2015), p. 260.
↑ Revue du XIX^e siècle : les lettres, les arts, la philosophie, romans et voyages, 1^er janvier 1867 (lire en ligne).
↑ Revue du XIX^e siècle : les lettres, les arts, la philosophie, romans et voyages, 1^er janvier 1867 (lire en ligne), p. 456.
↑ L'abbaye Saint-Ouen de Rouen : des origines à nos jours, Société de l'histoire de Normandie, 1^er janvier 2009, 224 p. (ISBN 978-2-85351-014-1, lire en ligne).
↑ Bulletin de la Commission des antiquités de la Seine-Inférieure, H. Boissel, 1^er janvier 1874 (lire en ligne).
↑ Théodore Licquet, Rouen, son histoire, ses monuments et ses environs : guide nécessaire aux voyageurs pour bien connaître cette capitale de la Normandie, et les localités voisines les plus intéressantes, A. le Brument, 1^er janvier 1872 (lire en ligne).
↑ Paul Joanne, Normandie ..., Hachette, 1^er janvier 1895 (lire en ligne).
↑ « Buste du comte Eugène Guyot (1808-1868) », notice sur photo.rmn.fr.
↑ Stéphane Richemond, Les Orientalistes : dictionnaire des sculpteurs, XIX^e-XX^e siècles, Paris, Les Éditions de l'Amateur, 1^er janvier 2008, 222 p. (ISBN 978-2-85917-484-2, lire en ligne).
↑ (en) Pierre Kjellberg, Bronzes of the 19th Century : Dictionary of Sculptors, Schiffer Pub., 1^er janvier 1994, 684 p. (ISBN 978-0-88740-629-4, lire en ligne).
↑ ^{a et b} Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure, dessins, modeles, Veuve Hérissany, 1^er janvier 1859 (lire en ligne).
↑ Valérie Rousseau-Lagarde, Roger-Louis Chavanon, Jean Esselinck et Centre culturel français de Turin, Marianne, image féminine de la République : Centre culturel français … Turin, 29 avril-26 mai 1989 : exposition, Le Centre, 1^er janvier 1989 (lire en ligne).
↑ Serge Grandjean, Françoise de Franclieu et Réunion des musées nationaux (France), Souvenirs de la famille impériale : de Napoléon I^er à Napoléon III, 1^er janvier 1968 (lire en ligne), p. 117 :
« Le buste du prince impérial a été exécuté en 1865 en même temps que la statue, le représentant en pied avec son chien Néro. Il servit d'étude pour la statue. […] Signé en creux, sur le socle : « Fulconis 1859 ». Cachet d'atelier : « Fulconis ». »
↑ François Guillaume Dumas et Ludovic Baschet, Catalogue illustré Salon ..., 1^er janvier 1861 (lire en ligne).
↑ Société des artistes français Salon, Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure, et lithographie des artistes vivants exposés au Palais des Champs-Elysées ..., Charles de Mourgues frères, 1^er janvier 1863 (lire en ligne).
↑ Société des artistes français Salon, Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure, et lithographie des artistes vivants exposés au Palais des Champs-Elysées ..., Charles de Mourgues frères, 1^er janvier 1868 (lire en ligne).
↑ Société des artistes français pour l'exposition des Beaux Arts, Explication des ouvrages de peinture sculpture, architecture, gravure et lithographie des artistes vivants exposés..., Société des artistes français, 1^er janvier 1869 (lire en ligne).
↑ Œuvres d'art : groupe I, classes l à 5, E. Dentu, 1^er janvier 1867 (lire en ligne).
↑ Société des artistes français Salon, Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure, et lithographie des artistes vivants exposés au Grand palais des Champs-Élysées, Charles de Mourgues frères, 1^er janvier 1870 (lire en ligne).

Annexes[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

André Pierre Fulconis, Louis Guillaume Fulconis (1818-1873) Statuaire (Provence, Algérie, Normandie, Paris), Paris, Fulconis (auto-édition), 2005, 685 p. (ISBN 978-2-9523511-0-2).
Patrick Daum, Vie et œuvre des sculpteurs Guillaume Fulconis (1818-1873) et Victor Fulconis (1851-1913), Marseille, 1986, 640 p. (lire en ligne).

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notices d'autorité :
- VIAF
- ISNI
- BnF (données)
- IdRef
- GND
- WorldCat
Ressources relatives aux beaux-arts :
Site consacré à l'artiste sur fulconis.com.

[1] La Revue du Louvre et des musées de France, Conseil des musées nationaux, 1^er janvier 2001 (présentation en ligne), p. 93 :
« Louis Guillaume Fulconis, ayant suivi les cours de l'école des Beaux-arts d'Avignon, exerce d'abord son art en Algérie. De retour en France après 1851, il collabore sous le Second Empire au grand chantier du Louvre… »

[2] Son acte de décès (n°398) dans les registres de décès du 7ème arrondissement de Paris pour l'année 1873

[3] Gérard Monnier, L'Art et ses institutions en France, Editions Gallimard, 2014, 464 p. (ISBN 978-2-07-253440-9, lire en ligne).

[4] « La Coupo Santo à Saint-Etienne de Tinée - Felibrige », sur www.felibrige.org (consulté le 15 décembre 2015) : « Inauguration du chemin Louis Guillaume Fulconis pour honorer ses ascendants stéphanois. »

[5] « Louis Guillaume Fulconis », sur www.fulconis.com (consulté le 27 février 2016) : « Premier sculpteur français de l’histoire de l’Algérie, premier statuaire du « gothique retrouvé » normand et premier sculpteur élu par Roumanille et Mistral pour le Félibrige des Primadiés, Louis Guillaume Fulconis s’est montré pionnier en sculpture ethnographique comme en sculpture néogothique. »

[6] Seine-Maritime (France) Commission départementale des antiquités de la Seine-Maritime, Bulletin de la Commission départementale des antiquités de la Seine-Maritime, Commission départementale des antiquités de la Seine-Maritime, 1^er janvier 1978 (lire en ligne).

[:2-7] {a et b} André Pierre Fulconis, Louis Guillaume Fulconis, Imprimerie Nationale, A. P. Fulconis, 2005, 685 p. (ISBN 2-9523511-0-4), p. 42 :
« Les quatre grands chantiers connus à ce jour de Louis Guillaume, la Djemâa el Kébir, la Dar Hassan Pacha faisant face à la Ketchaoua jouxtant celle-ci, ont tous les quatre été classés monuments historiques par l'État algérien... »

[8] La Revue du Louvre et des musées de France, Conseil des musées nationaux, 1^er janvier 2001 (lire en ligne).

[9] « La Chronique des arts et de la curiosité : supplément à la Gazette des beaux-arts », sur Gallica, 18 novembre 1866 (consulté le 5 décembre 2015).

[10] Frédéric Mistral, Lis Isclo d'Or : Les Îles D'or, Didier, 1^er janvier 1970 (lire en ligne).

[11] « Atena Sculpture en bronze patiné l'Allégorie de la Fortune d'après Jean de Bologne, signé Fulconis », sur www.google.com (consulté le 12 décembre 2015).

[12] Gérard Monnier, L'Art et ses institutions en France, Editions Gallimard, 2014, 464 p. (ISBN 978-2-07-253440-9, lire en ligne).

[13] Alexandre Fromentin, Notre-Dame de Bon Secours : pèlerinage artistique et religieux, E. Cagniard, 1^er janvier 1863 (lire en ligne).

[14] Inventaire général des œuvres d'art appartenant à la ville de Paris, Chaix, 1^er janvier 1886 (lire en ligne).

[15] « La Mer de bronze, Moïse et Aaron », notice n^o PM76002157, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Joconde, ministère français de la Culture.

[16] Fête du couronnement de Notre-Dame de la Délivrande : notice par les PR. PP. Missionnaires du diocèse de Bayeux, Chénel, Libraire de Mgr. L'Évêque de Bayeux et Lisieux, 1^er janvier 1872 (lire en ligne).

[17] La Chronique des arts et de la curiosité : supplément à la Gazette des beaux-arts, Bureaux de la Gazette des beaux-arts., 1^er janvier 1863 (lire en ligne).

[18] Gilbert Houlet, Normandie, Hachette, 1^er janvier 1965 (lire en ligne).

[19] « Archives de l'art français », sur www.archive.org (consulté le 6 décembre 2015), p. 260.

[20] Revue du XIX^e siècle : les lettres, les arts, la philosophie, romans et voyages, 1^er janvier 1867 (lire en ligne).

[21] Revue du XIX^e siècle : les lettres, les arts, la philosophie, romans et voyages, 1^er janvier 1867 (lire en ligne), p. 456.

[22] L'abbaye Saint-Ouen de Rouen : des origines à nos jours, Société de l'histoire de Normandie, 1^er janvier 2009, 224 p. (ISBN 978-2-85351-014-1, lire en ligne).

[23] Bulletin de la Commission des antiquités de la Seine-Inférieure, H. Boissel, 1^er janvier 1874 (lire en ligne).

[24] Théodore Licquet, Rouen, son histoire, ses monuments et ses environs : guide nécessaire aux voyageurs pour bien connaître cette capitale de la Normandie, et les localités voisines les plus intéressantes, A. le Brument, 1^er janvier 1872 (lire en ligne).

[:0-25] Paul Joanne, Normandie ..., Hachette, 1^er janvier 1895 (lire en ligne).

[26] « Buste du comte Eugène Guyot (1808-1868) », notice sur photo.rmn.fr.

[27] Stéphane Richemond, Les Orientalistes : dictionnaire des sculpteurs, XIX^e-XX^e siècles, Paris, Les Éditions de l'Amateur, 1^er janvier 2008, 222 p. (ISBN 978-2-85917-484-2, lire en ligne).

[28] (en) Pierre Kjellberg, Bronzes of the 19th Century : Dictionary of Sculptors, Schiffer Pub., 1^er janvier 1994, 684 p. (ISBN 978-0-88740-629-4, lire en ligne).

[:1-29] {a et b} Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure, dessins, modeles, Veuve Hérissany, 1^er janvier 1859 (lire en ligne).

[30] Valérie Rousseau-Lagarde, Roger-Louis Chavanon, Jean Esselinck et Centre culturel français de Turin, Marianne, image féminine de la République : Centre culturel français … Turin, 29 avril-26 mai 1989 : exposition, Le Centre, 1^er janvier 1989 (lire en ligne).

[31] Serge Grandjean, Françoise de Franclieu et Réunion des musées nationaux (France), Souvenirs de la famille impériale : de Napoléon I^er à Napoléon III, 1^er janvier 1968 (lire en ligne), p. 117 :
« Le buste du prince impérial a été exécuté en 1865 en même temps que la statue, le représentant en pied avec son chien Néro. Il servit d'étude pour la statue. […] Signé en creux, sur le socle : « Fulconis 1859 ». Cachet d'atelier : « Fulconis ». »

[32] François Guillaume Dumas et Ludovic Baschet, Catalogue illustré Salon ..., 1^er janvier 1861 (lire en ligne).

[33] Société des artistes français Salon, Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure, et lithographie des artistes vivants exposés au Palais des Champs-Elysées ..., Charles de Mourgues frères, 1^er janvier 1863 (lire en ligne).

[34] Société des artistes français Salon, Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure, et lithographie des artistes vivants exposés au Palais des Champs-Elysées ..., Charles de Mourgues frères, 1^er janvier 1868 (lire en ligne).

[35] Société des artistes français pour l'exposition des Beaux Arts, Explication des ouvrages de peinture sculpture, architecture, gravure et lithographie des artistes vivants exposés..., Société des artistes français, 1^er janvier 1869 (lire en ligne).

[36] Œuvres d'art : groupe I, classes l à 5, E. Dentu, 1^er janvier 1867 (lire en ligne).

[37] Société des artistes français Salon, Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture, gravure, et lithographie des artistes vivants exposés au Grand palais des Champs-Élysées, Charles de Mourgues frères, 1^er janvier 1870 (lire en ligne).

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