Laubert

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Laubert
Laubert
Vue générale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes Mont Lozère
Maire
Mandat
Gilbert Debien
2020-2026
Code postal 48170
Code commune 48082
Démographie
Gentilé Laubertois
Population
municipale
101 hab. (2021 en diminution de 0,98 % par rapport à 2015)
Densité 7,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 35′ 11″ nord, 3° 38′ 28″ est
Altitude Min. 1 186 m
Max. 1 428 m
Superficie 14,28 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mende
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grandrieu
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
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Laubert

Laubert est une commune française, située dans le centre du département de la Lozère en région Occitanie.

Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Boutaresse, le ruisseau de l'Esclancide, les Rousses, le ruisseau de la Loubière et par divers autres petits cours d'eau.

Laubert est une commune rurale qui compte 101 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 337 habitants en 1911. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Mende. Ses habitants sont appelés les Laubertois ou Laubertoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Laubert se situe sur le massif de la Margeride, le long de la RN88, à 18 km au nord de Mende et à 69 km au sud du Puy-en-Velay.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Gourgons est un des deux villages constituant la commune de Laubert. Les deux petits villages, Gourgons et Laubert, se trouvent de part et d'autre du redouté col de la Pierre Plantée (1 264 mètres), sur la RN 88. Ils en sont en quelque sorte les gardiens.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 6,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 940 mm, avec 10,4 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Châteauneuf-de-Randon à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 7,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 919,4 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[8],[9],[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Laubert est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[I 1],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Mende, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 31 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (74,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (75,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (66,4 %), zones agricoles hétérogènes (16,1 %), prairies (9,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Laubert est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Laubert est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[16]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 3],[16],[17].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Laubert.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. Aucune partie du territoire de la commune n'est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 110 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[19].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003 et 2020.

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[20].

Risque particulier[modifier | modifier le code]

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Laubert est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

XXe siècle[modifier | modifier le code]

En 1988 la commune de Laubert qui avait vu disparaître les 30 écoles du canton construit une école intercommunale toute neuve dans un style nouveau et avec un mobilier ergonomique « révolutionnaire ». Cela lui vaudra un prix délivré par l'association des maires de France.

Laubert entre dans le XXIe siècle avec le Livre Guinness des records. En effet, Morganne Toulouse devient la plus jeune dessinatrice de timbres poste à l'âge de neuf ans. C'est elle qui a réalisé le timbre de l'an 2000[22].

Les élections municipales des 9 et n'ayant pas permis de constituer un conseil municipal, en raison de la démission de nombreux élus, un nouveau scrutin est organisé les 13 et suivants. Le , Gérard Piejoujac, 65 ans, retraité, est élu par le conseil municipal à l'unanimité. Immédiatement après son élection deux conseillères municipales annoncent leur démission.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune de Laubert est membre de la communauté de communes Mont Lozère[I 4], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Mont Lozère et Goulet. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[23].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Mende, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 4].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Grandrieu pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 4], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[24].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires de Laubert
Période Identité Étiquette Qualité
1971 2001 Michel Valette DVG Maire honoraire
2001 2004 Jérôme Finiels    
2004 2005 Jérôme Bourret SE  
2005 2006 Bernard Toulouse    
2006 2008 Jérôme Finiels   Le même que de 2001 à 2004
2008 2014 Gérard Piejoujac    
2014 En cours Gilbert Debien    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1876. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[26].

En 2021, la commune comptait 101 habitants[Note 4], en diminution de 0,98 % par rapport à 2015 (Lozère : +0,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921
272308315302283327330337273
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
299272247202186160129120124
1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021 -
128134111112102102100101-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Connexion à internet[modifier | modifier le code]

La commune n'est pas reliée à l'ADSL, les deux NRA les plus proches se trouvant à Châteauneuf-de-Randon et à Badaroux, à une distance trop grande du village.

Économie[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 3,1 % 2,8 % 7,1 %
Département[I 6] 5 % 6,4 % 7,1 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 55 personnes, parmi lesquelles on compte 80,4 % d'actifs (73,2 % ayant un emploi et 7,1 % de chômeurs) et 19,6 % d'inactifs[Note 5],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Mende, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 8]. Elle compte 20 emplois en 2018, contre 24 en 2013 et 33 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 44, soit un indicateur de concentration d'emploi de 45 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 60,5 %[I 9].

Sur ces 44 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 13 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 88,9 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame-des-Sources de Laubert[modifier | modifier le code]

En 1278 est fondée une chapelle qui sera détruite en 1636, puis rebâtie en 1773. En 1825, l'église actuelle est construite à la place de cette chapelle.

Le clocher est un clocher-peigne. En 1963, le conseil municipal fit refondre la cloche principale qui était fêlée. Durant l'hiver 1974/1975, le maire, Michel VALETTE, le conseil municipal et tous les hommes valides de la commune consacrent leur temps libre à restaurer intégralement et bénévolement l'intérieur de l'église. Cette église, renfermant un mobilier remarquable, a une histoire peu banale décrite dans un petit document édité par le maire de Laubert en 1999. Une petite fontaine, coiffée d'une belle charpente Philibert, au pied de l'église rajoute au charme du village.

On trouve dans cette église :

  • un christ du XVe siècle en bois polychrome,
  • une Vierge à l'Enfant du XVIIe siècle, en bois doré,
  • un Atlante supportant la chaire (il existe trois autres Atlantes de ce type en Lozère),
  • un retable doré et peint, à colonnes torses, provenant de l'église des Capucins, située à Mende. Il est surmonté de deux urnes funéraires.

Quelques dates[modifier | modifier le code]

Monument érigé à l'emplacement du tripoint de partage des eaux entre les bassins versants de la Loire, de la Garonne et du Rhône sur les communes de Laubert et de Montbel en Lozère, près du col de la Pierre Plantée.

Extrait d'un document réalisé par le maire honoraire : Michel Valette.

  • 1278 - Par acte du reçu par Me Villaret notaire à Mende, Bertrand de Laubert fonda une chapelle sous l'invocation de saint Barnabe et de saint Barthélémy. Le chapitre de Mende, seigneur de Laubert céda alors aux chapelains, comme revenu, le tiers de la dixme des grains de Laubert mais fit payer la dixme à la onzième gerbe et non à la seizième.
  • 1636 - Le la chapelle était détruite. On n'en connaît pas la cause. Pendant les 137 ans qui suivirent on ignore si Laubert eut une chapelle ou non.
  • 1773 - La chapelle fut rebâtie et l'évêque y autorisa la messe le . Mais tous les ecclésiastiques intervenant à Laubert devront être entretenus par les habitants moyennant 100 écus par an.
  • 1780 - Les gens de Laubert ne peuvent plus payer et ne peuvent pas, non plus, se rendre à la paroisse à Allenc l'hiver, les dangers de la neige étant trop grands. Le Claude Toulouse présente une requête au nom des gens de Laubert auprès de l'évêque pour que la chapelle de Laubert soit érigée en succursale avec un vicaire résident pris en charge par l'évêché.
  • 1802 - Laubert est détaché d'Allenc et érigé en succursale le .
  • 1825 - La famille Valentin fit construire l'église actuelle.

Le château[modifier | modifier le code]

De l'ensemble moyenâgeux fortifié de Laubert ne subsiste que le corps principal du château, remanié pour la dernière fois en 1721. Le château ne se visite pas mais son histoire n'est pas inintéressante. Ce fut une propriété du roi d'Aragon, d'où son nom : le Palais du Roy. Ce nom s'est d'ailleurs étendu à l'ensemble du domaine proche de l'actuel lac de Charpal. Plus tard le chapitre épiscopal de Mende en fit sa résidence d'été. En 1999 le maire de Laubert, Michel Valette, édita un petit document de présentation du château ; il en fit de même pour l'église et pour l'école[réf. nécessaire].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Laubert » (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Laubert » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Laubert » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Laubert et Châteauneuf-de-Randon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Chateauneuf-de-randon » (commune de Châteauneuf-de-Randon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Chateauneuf-de-randon » (commune de Châteauneuf-de-Randon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Laubert », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « Liste des ZNIEFF de la commune de Laubert », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Liste des espaces protégés sur la commune de Laubert », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Les risques près de chez moi - commune de Laubert », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. a et b « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur lozere.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Laubert », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  21. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  22. référence 19990470
  23. « communauté de communes Mont Lozère - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  24. « Découpage électoral de la Lozère (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.