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Durfort (Ariège)

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Durfort
Durfort (Ariège)
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Ariège
Arrondissement Saint-Girons
Intercommunalité Communauté de communes Arize Lèze
Maire
Mandat
Roger Buffa
2020-2026
Code postal 09130
Code commune 09109
Démographie
Gentilé Durfortains
Population
municipale
184 hab. (2021 en évolution de +26,03 % par rapport à 2015)
Densité 17 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 12′ 26″ nord, 1° 27′ 28″ est
Altitude Min. 245 m
Max. 372 m
Superficie 10,98 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Arize-Lèze
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Durfort
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Durfort
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Durfort
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Durfort

Durfort est une commune française, située dans le département de l'Ariège en région Occitanie.

Ses habitants sont appelés les Durfortains.

Géographie

Localisation

Carte

La commune de Durfort se trouve dans le département de l'Ariège, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 29 km à vol d'oiseau de Foix[1], préfecture du département, à 35 km de Saint-Girons[2], sous-préfecture, et à 12 km de Lézat-sur-Lèze[3], bureau centralisateur du canton d'Arize-Lèze dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Saverdun[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Villeneuve-du-Latou (1,9 km), Marliac (2,8 km), Justiniac (2,9 km), Esplas (4,0 km), Brie (5,0 km), Saint-Martin-d'Oydes (5,1 km), Le Fossat (5,3 km), Gaillac-Toulza (5,5 km).

Sur le plan historique et culturel, Durfort fait partie du Pédaguès, ou Podaguès, ancienne appellation remplacée au XXIe siècle par la dénomination géographique de Terrefort ariégeois[5], constitué des terreforts de Pamiers et de Saverdun, sur la rive gauche de l'Ariège[6].

Durfort est limitrophe de huit autres communes dont une dans le département de la Haute-Garonne.

Carte de la commune de Durfort et de ses proches communes.

C'est une commune située dans le Piémont pyrénéen entre les vallées de la Lèze et de l’Ariège, limitrophe avec le département de la Haute-Garonne.

Géologie et relief

La superficie de la commune est de 1 098 hectares ; son altitude varie de 245 à 372 mètres[8].

Hydrographie

Carte en couleur présentant les réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier de Durfort.

La commune est dans le bassin versant de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[9]. Elle est drainée par la Jade, le Latou, Rougeal et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 12 km de longueur totale[10],[11].

La Jade, d'une longueur totale de 15,2 km, prend sa source dans la commune de Justiniac et s'écoule du sud vers le nord. Elle traverse la commune et se jette dans l'Ariège à Cintegabelle, après avoir traversé 9 communes[12].

Le Latou, d'une longueur totale de 17,2 km, prend sa source dans la commune de Saint-Michel et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans la Lèze à Saint-Ybars, après avoir traversé 7 communes[13].

Climat

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[14]. En 2020, la commune ressort du type « climat de montagne » dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Pour ce type de climat, la température décroît rapidement en fonction de l'altitude. On observe une nébulosité minimale en hiver et maximale en été. Les vents et les précipitations varient notablement selon le lieu[15]. À l'ouest du département, le climat océanique, avec ses entrées d’air atlantique, apporte des perturbations qui arrosent les reliefs[16].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent aux données mensuelles sur la normale 1971-2000[Note 2]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré suivant[14].

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000

  • Moyenne annuelle de température : 12,6 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 2,3 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 8,6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 3] : 15,7 °C
  • Cumuls annuels de précipitation : 811 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 9,7 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 5,7 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[18] complétée par des études régionales[19],[20] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Ybars », sur la commune de Saint-Ybars, mise en service en 1987[21] et qui se trouve à 7 km à vol d'oiseau[22],[Note 4], où la température moyenne annuelle est de 13,5 °C et la hauteur de précipitations de 790,3 mm pour la période 1981-2010[23]. Sur la station météorologique historique la plus proche, « Saint-Girons », sur la commune de Lorp-Sentaraille, mise en service en 1949 et à 35 km[24], la température moyenne annuelle évolue de 12,2 °C pour la période 1971-2000[25], à 12,3 °C pour 1981-2010[26], puis à 12,7 °C pour 1991-2020[27].

Milieux naturels et biodiversité

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[28],[29],[30].

Urbanisme

Typologie

Durfort est une commune rurale[Note 5],[31]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[I 2],[32]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (97,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,3 %), prairies (45,6 %), forêts (2,1 %)[33].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 91, alors qu'il était de 84 en 2013 et de 89 en 2008[I 5].

Parmi ces logements, 81,6 % étaient des résidences principales, 16,1 % des résidences secondaires et 2,3 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 64,9 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 5,7 % des appartements[I 5].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Durfort en 2018 en comparaison avec celle de l'Ariège et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (16,1 %) inférieure à celle du département (24,6 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 62,8 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (71,9 % en 2013), contre 66,3 % pour l'Ariège et 57,5 % pour la France entière[I 6].

Le logement à Durfort en 2018.
Typologie Durfort[I 5] Ariège[I 7] France entière[I 8]
Résidences principales (en %) 81,6 65,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 16,1 24,6 9,7
Logements vacants (en %) 2,3 9,7 8,2

Voies de communication et transports

Toponymie

Histoire

La baronnie appartenait à la famille des Durfort, seigneurs de Verniolle et co-seigneurs de Bonnac, qui était une branche installée au Pays de Foix de la famille languedocienne des Durfort-Deymes, elle-même détachée du tronc quercinois de la grande famille de Durfort qui a donné plusieurs branches ducales, les Duras, les Lorges, les Rauzan.

Le château eut à souffrir des guerres de religion, après quoi il passa en diverses mains dont les Campa, capitouls de Toulouse.

La famille de Cazals l'acheta en 1748 et l'habita jusqu'à la Révolution.

Au XIXe siècle, la ruine du château commença. Quelques paysans y logèrent encore au début du siècle. Finalement, un maquignon de Pamiers l'acquit pour récupérer les bois et les tuiles avec lesquels il réparait ses maisons[34].

Villeneuve-Durfort (nom de la commune depuis la Révolution) devient Durfort (ordonnance du ) ; reprend le nom de Villeneuve-Durfort par ordonnance du .

L’arrêté préfectoral du scinde la commune en deux : Durfort et Villeneuve-du-Latou[35].

Politique et administration

Découpage territorial

La commune de Durfort est membre de la communauté de communes Arize Lèze[I 9], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Le Fossat. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[36].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Saint-Girons, au département de l'Ariège, en tant que circonscription administrative de l'État, et à la région Occitanie[I 9].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton d'Arize-Lèze pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 9], et de la deuxième circonscription de l'Ariège pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[37].

Administration municipale

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[38],[39].

Tendances politiques et résultats

Liste des maires

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 En cours Roger Buffa DVG Agriculteur retraité
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1931. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].

En 2021, la commune comptait 184 habitants[Note 6], en évolution de +26,03 % par rapport à 2015 (Ariège : +1,38 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
240244235206177167116120111
1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021 - -
126163169163146184184--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[44] 1975[44] 1982[44] 1990[44] 1999[44] 2006[45] 2009[46] 2013[47]
Rang de la commune dans le département 179 202 202 183 173 158 162 177
Nombre de communes du département 340 328 330 332 332 332 332 332

Enseignement

Durfort fait partie de l'académie de Toulouse.

Culture et festivités

Un foyer rural est actif.

Activités sportives

Pétanque, randonnée pédestre.

Écologie et recyclage

Économie

Revenus

En 2018, la commune compte 58 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 132 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 250 [I 10] (19 820  dans le département[I 11]).

Emploi

Taux de chômage
Division 2008 2013 2018
Commune[I 12] 13,6 % 7,4 % 10,1 %
Département[I 13] 8,9 % 11,1 % 11,2 %
France entière[I 14] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 103 personnes, parmi lesquelles on compte 68,1 % d'actifs (58 % ayant un emploi et 10,1 % de chômeurs) et 31,9 % d'inactifs[Note 8],[I 12]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département.

La commune est hors attraction des villes[Carte 2],[I 15]. Elle compte 21 emplois en 2018, contre 26 en 2013 et 28 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 60, soit un indicateur de concentration d'emploi de 35,2 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,2 %[I 16].

Sur ces 60 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 17 travaillent dans la commune, soit 29 % des habitants[I 17]. Pour se rendre au travail, 81,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues et 18,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 18].

Activités hors agriculture

7 établissements[Note 9] sont implantés à Durfort au [I 19]. Le secteur de l'administration publique, l'enseignement, la santé humaine et l'action sociale est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,6 % du nombre total d'établissements de la commune (2 sur les 7 entreprises implantées à Durfort), contre 14,4 % au niveau départemental[I 20].

Agriculture

La commune fait partie de la petite région agricole dénommée « Coteaux de l'Ariège »[48]. En 2010, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est l'élevage d'ovins et de caprins[49].

1988 2000 2010
Exploitations 23 20 14
Superficie agricole utilisée (ha) 895 1013 992

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 23 lors du recensement agricole[Note 11] de 1988 à 20 en 2000 puis à 14 en 2010[49], soit une baisse de 39 % en 22 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 48 % de ses exploitations[51]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 895 ha en 1988 à 992 ha en 2010. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 39 à 71 ha[49].

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

  • Église Saint-Martin de Durfort à clocher-mur[52].
  • Ancien château féodal en ruine (propriété privée), ancienne propriété imposante de la famille de Campa (noblesse parlementaire toulousaine).

Personnalités liées à la commune

Pour approfondir

Bibliographie

Articles connexes

Liens externes

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Notes et références

Notes et cartes

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les normales servent à représenter le climat dans lequel nous vivons. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[17].
  3. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  9. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[50].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le )
  2. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).

Références

Site de l'Insee

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Durfort » (consulté le ).
  2. « Commune urbaine-définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a b et c « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Durfort - Section LOG T2 » (consulté le ).
  6. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Durfort - Section LOG T7 » (consulté le ).
  7. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Ariège - Section LOG T2 » (consulté le ).
  8. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière - Section LOG T2 » (consulté le ).
  9. a b et c « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Durfort » (consulté le ).
  10. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Durfort » (consulté le ).
  11. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 en Ariège » (consulté le ).
  12. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Durfort » (consulté le ).
  13. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 en Ariège » (consulté le ).
  14. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  16. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Durfort » (consulté le ).
  17. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  18. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  19. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Durfort » (consulté le ).
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Autres sources

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Durfort et Saint-Girons », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Durfort et Lézat-sur-Lèze », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Durfort », sur www.villorama.com (consulté le ).
  5. Conseil général de l'Ariège, « Atlas des paysages d'Ariège-Pyrénées », sur calameo.com, (consulté le ).
  6. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 350-351.
  7. Carte IGN sous Géoportail
  8. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  9. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le )
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  11. « Carte hydrographique de Durfort » sur Géoportail (consulté le 29 octobre 2021).
  12. Sandre, « la Jade »
  13. Sandre, « le Latou »
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
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  17. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
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