Autorité

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Ceci est une version archivée de cette page, en date du 21 octobre 2014 à 09:56 et modifiée en dernier par Herodiad30 (discuter | contributions). Elle peut contenir des erreurs, des inexactitudes ou des contenus vandalisés non présents dans la version actuelle.

L'autorité correspond au droit de pouvoir commander, d'être obéi[1]. Elle implique les notions de légitimité, de pouvoir (sans pour autant être confondue avec celui-ci), de commandement et d'obéissance, et ne doit pas être confondue avec l'autoritarisme. La forme de sa légitimité peut varier, et elle peut enfin s'exprimer selon un rapport de force ou un rapport de compétence...

Notion

Autoritarisme

Au point de vue démarche, l'autoritarisme correspond à l'attitude de la personne qui contraint physiquement et/ou psychiquement les personnes qu'elle commande.

L'autorité, en ce qu'elle nécessite la légitimité, ne peut lui être associée. Ce distinguo permet de situer l'autorité au niveau de la valeur ; valeur reconnue par un groupe à une personne, une organisation, une institution, des mœurs ou des croyances.

Légitimité

L'autorité ne correspond pas à une qualité intrinsèque, mais à une attribution ou une conférence qui légitime le pouvoir de commander et d'être obéi. En dehors des domaines psychologiques et sociologiques, trois sources de légitimation de l'autorité sont distingués : les règlements, les structures et les capacités. Ces sources peuvent se cumuler ou être différenciées.

  • L'autorité d'un magistrat tient de la Loi, ainsi que de sa fonction au sein de la justice (règlement, structure). Mais il peut être reconnu compétent ou non (capacité).
  • L'autorité d'un parent tient de sa fonction au sein de la famille (structure). La Loi encadre sa fonction, mais ne la définit pas (règlement), et il peut être reconnu « bon » ou « mauvais » (capacité).
  • Dans un groupe informel, l'autorité d'une personne tient de la reconnaissance de ses attitudes, connaissances et compétences (capacité) et de rien d'autre (ni règlement, ni structure explicite).

Pouvoir

L'acception du pouvoir qui intéresse la notion d'autorité, relève de la puissance et des moyens, ce qui évoque l'adage selon lequel « la fin justifie les moyens ».

L'autorité correspond à une valeur reconnue et attribuée ou conférée ; elle diffère donc du pouvoir. Toutefois, une autorité sans pouvoir ne présente d'intérêt que consultatif (c'est le cas du Parlement européen face au Conseil Européen, en 2009). Les Nations amérindiennes du Nord établissent nettement ce distinguo, en n'accordant d'autorité qu'aux personnes reconnues sages (autorité morale) et aux hommes-médecine (autorité spirituelle), et de pouvoir qu'aux guerriers (pas ou peu d'autorité)[2]. À l'inverse, les Nations euro-américaines identifient spontanément autorité et pouvoir, ce qui n'est pas sans poser des problèmes de compréhension de ces notions, qui occasionnent de nombreuses polémiques en philosophie politique et définitions en sciences humaines.

Commandement et obéissance

Le commandement est l'action et l'objet de la personne qui commande, c'est-à-dire qui donne un ordre. Dans le cadre de l'autorité, le commandement est nécessairement légitime ; tant que les personnes reconnaissent le bien-fondé des ordres reçus (exécutions, planifications, préparations, etc.) elles donnent leur assentiment et obéissent.

Ce bien-fondé est évalué selon les désirs individuels et les jugements personnels d'ordre public. De leur concordance, et de l'assentiment ou de la résignation de chacun — tacites ou explicites — le groupe obéit, conteste ou réattribue l'autorité. Les phénomènes de volonté, d'influence, de charisme, de stratégie politique, de révolution, de parti, d'idéologie, etc. entrent en compte à mesure que le groupe prend de l'ampleur (de la famille au Peuple, en passant par le groupe d'amis, l'association, l'entreprise, l'institution ou la Nation).

Là, l'obéissance entre pleinement en compte ; elle correspond à l'attitude de la personne qui se soumet à l'autorité. Cette soumission peut être vécue comme dégradante ou saine, selon le tempérament de la personne, selon l'estime qu'elle a pour ce/celui qui fait autorité, et notamment selon la démarche de ce/celui qui fait autorité (par exemple, s'il ne glisse pas vers l'autoritarisme, s'il est respectueux, etc). Ce sont donc les différences de tempérament, ainsi que les possibilités et les facultés de juger clairement du bien-fondé des ordres, qui permettent aux personnes de se situer par rapport à l'autorité (acceptation, résignation, refus, exécution irréfléchie, etc).

Rapport de force ou de compétence

L'autorité peut se situer dans un rapport de force ou un rapport de compétence, à l'égard des personnes à qui elle s'adresse.

  • Le policier qui interpelle un malfaiteur violent est nécessairement dans un rapport de force.
  • L'entrepreneur qui sollicite ses ouvriers et employés pour décider de l'avenir de l'entreprise est dans un rapport de compétence (discussion) sauf à imposer des vues.
  • Le professeur qui tance un élève peut être dans un rapport de force, s'il use d'insistance (contrainte psychique) ou un rapport de compétence, si ses remarques sont fondées et ses relations avec l'élève satisfaisantes (prise en compte de la situation et de la personne). Si l'autorité professorale est parfois remise en question, elle demeure un phénomène socio-éducatif essentiel qui vise à rendre les élèves autonomes et responsables. C'est "en évitant les écueils de l’autoritarisme et de la permissivité que les professeurs peuvent construire une véritable autorité éducative qui donne du sens à la transmission des savoirs"[3].
  • Un animateur de vacances qui s'énerve auprès des enfants est dans un rapport de force ; s'il fait preuve de maîtrise, il est dans un rapport de compétence.

Sources

Elles ont déjà été citées, il s'agit de les clarifier.

Autorité de pouvoir

Elle provient des règlements (lois, etc.). Elle concerne la justice, la police, l'État...

Autorité de fonction

Elle provient des structurations (hiérarchies, etc.). Elle concerne l'entreprise, la famille, l'association...

Autorité de compétence

Elle provient des savoirs, savoir-faire et savoir-être d'une personne ou d'un organisme. Elle peut être reconnue à quiconque se situe dans une démarche personnelle et positive d'amélioration aux points de vue attitudes, connaissances et compétences, ainsi qu'à quelque organisme ayant fait preuve de prise en compte des besoins de la situation et des personnes. On la qualifie parfois « d'autorité naturelle » ou « charismatique », bien qu'elle tienne des éléments cités.

Aspects

Étymologie

Le mot autorité vient du latin auctoritas. Le Professeur Michel Humbert[4] donne des informations très intéressantes au sujet de ce dernier mot. Seulement quelques fragments sont retranscrits ci-après.

« La notion d’auctoritas, essentielle en droit privé et en droit public romains, se rattache, par sa racine, au même groupe que augere (augmenter), augure (celui qui accroît l’autorité d’un acte par l’examen favorable des oiseaux), augustus (celui qui renforce par son charisme [...celui qui est porteur de l'auctoritas]). L’auctoritas exprime à son tour l'idée d'augmenter l'efficacité d'un acte juridique ou d'un droit.[...] De même le Sénat, grâce à son incomparable prestige, a la vertu d'augmenter la portée de tout acte pour lequel il a donné son accord (son auctoritas).[...] Aucune de ces décisions ne sera prise directement par le Sénat (il n'en a pas le pouvoir). Mais tous ces projets, enrichis de l’auctoritas du Sénat, sont assurés du succès.[...] Aucun acte politiquement significatif n'est mis à exécution par un magistrat sans l'accord (et la délibération) du Sénat. Au point que tout se passe comme si l'inspirateur de la décision était le Sénat, et l'exécutant, le magistrat. Telle est la force de l’auctoritas : sans elle, pas d'action ; devant elle, pas d'inaction. »

La notion d'autorité vient d'être définie dans un sens plutôt juridique et social. C'est son caractère nécessaire, voire indispensable à la structure de toute société qui la rend légitime pour le plus grand nombre et qui permet de l'opposer erga omnes (à condition bien sûr, qu'elle soit régulière juridiquement). On ne doit pas oublier, non plus, ce qu'on appelle l’autorité naturelle pouvant se dégager d'une personne (et là encore l'aspect bénéfique est sous-jacent). Sur le plan professionnel, par exemple, on attribuera à une personne une autorité certaine si elle inspire, de par sa compétence et sa moralité, la confiance qui permettra d'obtenir le meilleur de chacun et la bonne entente entre les différents individus du groupe.

La philosophe et psychologue Ariane Bilheran, dans son ouvrage L'autorité[5], explicite encore davantage l'étymologie du mot : "« augere » consiste avant tout à poser un acte créateur, fondateur, voire mythique, qui fait apparaître une chose pour la première fois. Bien évidemment, dans la même racine étymologique, l’auteur (auctor) est celui qui fonde une parole et s’en donne le garant. Ce terme était particulièrement employé pour les historiens, l’auteur étant la personne d’où émerge une crédibilité de parole concernant l’héritage et le passé". Elle définit alors l'autorité selon trois fonctions : la fonction d'engendrement (être à l'origine de, être l'ascendant de), la fonction de conservation (se porter garant de l'identité, au travers de la transmission, de la mémoire, du lien passé/présent) et la fonction de différenciation (projet). Elle souligne que l'autorité s'inscrit dans un rapport au temps, à l'héritage, et qu'elle est vouée, dans son exercice, à disparaître : contrairement au pouvoir, à la domination, à la contrainte, l'autorité vise l'autonomie progressive de celui qui en bénéficie.

Les autorités

Au pluriel, l'autorité désigne l'ensemble des pouvoirs publics.

Psychologie et psychanalyse

L'autorité est étudiée en psychologie, en ce qu'elle met en jeu des phénomènes de co-influences interpersonnelles. Les notions d'ascendance et de conférence y sont essentiels, à savoir que :

En psychanalyse, on en revient toujours à cet élément initial, que la personne était d'abord un petit enfant encadré par ses parents, en quoi le complexe d'Œdipe a un rôle important dans la formation du comportement inconscient à l'égard de l'autorité, qui ressouviendrait toujours l'autorité parentale.

Précisions psychanalytiques

Elles se cristallisent autour du complexe d'Œdipe. Le petit enfant expérimente une relation fusionnelle avec sa mère. Dans ce binôme, il revient à la mère d'accorder une place intéressante pour le père — ou du moins sa « figure », s'il est absent ; ce père même, peut être autre que le géniteur ; dans tous les cas, cependant, l'intérêt de la place accordée au père est fondamentale pour le développement psychoaffectif et cognitif de l'enfant[6]. En effet, c'est le père, ou sa « figure », qui joue un rôle tiers dans le binôme fusionnel mère-enfant. Ce tiers correspond ni plus ni moins, à la possibilité pour l'enfant (garçon comme fille) de « couper le cordon » sur un plan symbolique (complexe de castration) : il rencontre un Autre sécurisant, ce qui lui permet ultérieurement de reconnaître la valeur de la Loi ; car la Loi est tierce par rapport à toute relation humaine.

Au courant de l'adolescence, le complexe d'Œdipe est plusieurs fois réactivé dans l'esprit du jeune, pour lui permettre d'intégrer la valeur du tiers (autorité). Dans ce processus, les parents — ou du moins la mère, qui doit accorder une place à la « figure » paternelle pour l'épanouissement de son enfant — ont un rôle déterminant. C'est en assurant la place du tiers dans leur discours, que les parents permettent au jeune de s'épanouir socialement (un père peut apporter ses qualités, connaissances et compétences, ainsi qu'évoquer des valeurs politiques ou morales, des croyances spirituelles, et tout simplement la législation nationale ; une mère de même, en plus de légitimer la position du père aux yeux des enfants, etc. tandis qu'un père doit marquer son amour pour la mère, et la seconder dans ses responsabilités)[7].

NB: nombre de polémiques en faveur ou non de l'homoparentalité (sans rapport aucun avec le mariage ou ne serait-ce que l'union civile) viennent d'interrogations autour de la possibilité, pour un couple homosexuel, d'assurer l'émancipation et la maturation psychique des jeunes, sans référent primordial de sexe opposé. En l'absence d'études claires à ce sujet auprès des couples homoparentaux (légaux ou illégaux, selon que le pays dans lequel ils vivent continue d'interdire ou a déjà légalisé la filiation homoparentale) il est impossible de se prononcer, et les débats restent idéologiques, non-scientifiques.

Sociologie

Le problème de l'autorité est au centre de la philosophie politique et de la sociologie. Si, depuis Platon, tous les écrits philosophiques contiennent des discussions de l'autorité, on peut citer comme auteurs contemporains Max Weber (qui a formulé une célèbre définition de l'autorité charismatique), Alexandre Kojève qui s'inspirait librement d'Hegel, Carl Schmitt et enfin Giorgio Agamben, qui dénonce l'autorité comme « mythologème » de la philosophie politique. Et Theodor W. Adorno analysait sur la personnalité autoritaire anti-démocratique et intolerant à la minorité et la vulnérabilité sociale.

Dans la dynamique des groupes, on distingue deux éléments essentiels : les phénomènes de leadership et les phénomènes d'autorité. À savoir que le leadership, notion en vogue dans le management contemporain (années 2000), fait appel à des compétences telles que la séduction et le sens de la mise en scène, de sorte à provoquer des effets de motivation au sein d'une équipe. Le leadership trouve donc sa place dans le cadre d'une structure normée aux objectifs prédéfinis. L'autorité, quant à elle, est bien à situer au niveau de sa valeur reconnue, attribuée et conférée par le groupe, de sorte que des personnes sont reconnues mieux à même de faire autorité que d'autres. Cela n'est pas sans poser des contradictions, des querelles et des volontés de pouvoir, notamment lorsque la structure du groupe est informelle. Formelle, la structure garantit une certaine stabilité à l'autorité, qui n'en est pas moins sujette à contestation, si elle est jugée contre-productive pour le groupe. En effet, toute société humaine ne saurait s'organiser qu'autour de l'autorité (personnelle, morale, politique ou spirituelle), car l'autorité est une valeur-référence et une valeur-repère pour la communauté.

Les buts de l'autorité sont la sauvegarde du groupe et la conduite du groupe vers des objectifs collectifs consentis.

Religion

Christianisme

Selon un des dix commandements, « honore ton père et ta mère (Deutéronome 5.16 ; Marc 7.8) ». Dieu a voulu qu’après lui, nous honorions nos parents et ceux qu’il a, pour notre bien, revêtus d’autorité. « Le bien humain et chrétien de la personne et de la société est étroitement lié à la bonne santé de la communauté conjugale et familiale (GS 47, § 1) »[8].

Les enfants doivent à leurs parents respect, gratitude, juste obéissance et aide. Les parents sont les premiers responsables de l’éducation de leurs enfants à la foi, à la prière et à toutes les vertus ; ils ont le devoir de pourvoir dans toute la mesure du possible aux besoins physiques et spirituels de leurs enfants. Les parents doivent respecter et favoriser la vocation de leurs enfants ; ils se rappelleront et enseigneront que le premier appel du chrétien, c’est de suivre Jésus. Le respect filial favorise l’harmonie de toute la vie familiale[8]. Le devoir des citoyens est de travailler avec les pouvoirs civils à l’édification de la société dans un esprit de vérité, de justice, de solidarité et de liberté. L’autorité publique est tenue de respecter les droits fondamentaux de la personne humaine et les conditions d’exercice de sa liberté. Le citoyen est obligé en conscience de ne pas suivre les prescriptions des autorités civiles quand ces préceptes sont contraires aux exigences de l’ordre moral. « Il faut obéir à Dieu plutôt qu’aux hommes (Actes des apôtres 5.29)». Toute société réfère ses jugements et sa conduite à une vision de l’homme et de sa destinée ; hors des lumières de l’Evangile sur Dieu et sur l’homme, les sociétés deviennent aisément totalitaires[8].

Crise et mépris

Emblématiques de ces expressions, les émeutes urbaines, les difficultés de l'éducation (parentale, nationale, populaire, etc), les contestations politiques, internationales et/ou idéologiques (le socialisme au XIXe siècle, le communisme, les altermondialismes, les réseaux alternatifs de solidarité, etc.) signalent que l'autorité est actuellement galvaudée. Il faut situer ces éléments au niveau des crises de la légitimité à plusieurs niveaux (démocratiques, marchands, entrepreneuriaux, professoraux, parentaux, etc.) qui affaiblissent le droit de pouvoir commander, d'être obéi. Cette crise de la légitimité place donc l'ensemble des problèmes d'autorité au niveau de la reconnaissance de sa valeur par le groupe.

L'année 1968[9] est charnière au plan de l'autorité et, de toute évidence, les historiens ne sont pas au clair avec ces événements[10]. À savoir qu'elle fait suite à la guerre d'Algérie et d'Indochine, qu'elle réagit à la guerre du Viêt Nam et au gaullisme (avec lesquels les historiens ne sont pas au clair non plus), ainsi qu'au fonctionnement magistral et autoritaire de l'université d'alors.

Trois éléments essentiels orientent les débats publics de Mai :

  • la question des rapports d'autorité (contestation des rapports de force) ;
  • la question des tabous sociaux et moraux (conformisme) ;
  • la question des tabous en matière de sexualité (silences, questions de la contraception nouvelle et de l'IVG).

Ces débats et ces contestations s'adressent clairement à l'ensemble de la société, et ne sont pas marginaux. Néanmoins, des incompréhensions, des surenchères ou des dérives marginales très visibles, placent Mai 68 dans le sillage de la Beat Generation et des hippies, et donc dans les problématiques de l'abus, de la violence et de l'hédonisme. Ainsi, Mai 68 est aussi connoté de pornographie et de consumérisme-roi, tandis qu'initialement la question des rapports d'autorité seule est au cœur des débats, et donc la question des rapports des Hommes en société.

Polémique entre secteur privé et public

Cette polémique touche essentiellement à la conférence de l'autorité au secteur privé, par rapport au secteur public qui se voit accorder toujours moins de prérogatives, au sein des tendances néolibérales, ou libérales-capitalistes. Le débat fait notamment rage en France, où près de 22 % de la population est fonctionnaire : les politiques de rigueur y apparaissent réellement comme la « casse » d'un secteur public dont la dimension est socioculturelle depuis la IIIe République. En France, donc, le secteur public appartient aussi au domaine des valeurs.

Toutefois, la polémique éclate dans plusieurs régions du monde (Amérique Latine, Europe continentale, Asie du Sud), où la privatisation croissante des activités interpelle les populations sur la capacité des acteurs privés à assurer le bien public. La question de l'autorité (légitimité à décider pour le groupe) est bien au cœur de cette problématique, puisqu'il s'agit d'évaluer la pertinence de l'action à but lucratif, dans un domaine concernant la cohésion et la cohérence des institutions, des sociétés, des nations et des peuples.

Notes et références

  1. Dictionnaire Larousse 2002
  2. James Wilson, La Terre pleurera.
  3. Sylvain Lemajeur, Splendeurs et misères de l'autorité : Un défi de taille pour les enseignants, Editions Universitaires Européennes, , 108 p. (ISBN 978-3841783264)
  4. Michel Humbert, Institutions politiques et sociales de l’antiquité
  5. Bilheran, A. L'autorité, Armand Colin, 2009.
  6. Françoise Dolto, La Cause des enfants.
  7. Françoise Dolto, La Cause des adolescents.
  8. a b et c Catéchisme du Vatican, quatrième commandement : En bref.
  9. Vincent Cespedes, Mai 68, la philosophie est dans la rue.
  10. à considérer le paysage éditorial et documentaire du quarantième anniversaire de Mai en 2008

Annexes

Articles connexes