Utilisateur:Groupir !/Les Grandes Vacances

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Les Grandes Vacances (film)[modifier | modifier le code]

https://archive.org/details/louisdefunesgrim0000dica/page/336/mode/2up?q=%22Grandes+vacances%22

mésaventures de Charles Bosquier

Boîte à bac

L'atelier du forgeron de Gretna Green, en Écosse, où les jeunes gens peuvent exceptionnellement se marier sans le consentement des parents.


Résumé[modifier | modifier le code]

https://commons.m.wikimedia.org/wiki/File:Gretna_Green.jpg?uselang=fr

http://nimotozor99.free.fr/les-grandes-vacances1967.htm : bon résumé

Production[modifier | modifier le code]

Louis de Funès et Jean Girault en 1970, faisant la promotion en Suisse du Gendarme en balade.

Genèse et développement[modifier | modifier le code]

Les Grandes Vacances est le premier projet de Louis de Funès lancé après la sortie de La Grande Vadrouille (1966), triomphe commercial surpassant ses précédents succès[1]. L'acteur retrouve le réalisateur Jean Girault et son complice scénariste Jacques Vilfrid, artisans de son ascension en tant que vedette comique et champion du box-office avec Pouic-Pouic et Faites sauter la banque en 1963, Le Gendarme de Saint-Tropez en 1964 et Le Gendarme à New York en 1965[2].


Le film est produit par Maurice Jacquin et sa société Les Films Copernic, associé avec la compagnie italienne Fida Cinematografica.

Comme à l'accoutumée chez Girault, les décors sont de Sydney Bettex et la musique de Raymond Lefebvre[2].

Daoud Boughezala, « Maurice Risch, César du nanar », sur causeur.fr, Causeur, (consulté le ). : l'Ecosse tournée au "mont d’Or" (ou Mont-Dore en Auvergne ?)



http://www.leparisien.fr/yvelines-78/yvelines-une-terre-privilegiee-pour-les-realisateurs-15-01-2020-8236554.php

Les Grandes Vacances (film)

Attribution des rôles[modifier | modifier le code]

Louis de Funès et son fils Olivier lors du tournage de L'Homme orchestre en 1970.

Jean-Pierre Bertrand[a]

« Bernard Le Coq nous parle de : Louis de Funès », sur Allociné, (consulté le ).

name="Erreurs" « Les Grandes Vacances (1967), toutes les erreurs », sur erreursdefilms.com, (consulté le ).

https://www.erreursdefilms.com/com/voir-toutes-les-erreurs-film-Grandes-vacances,-Les-GVAC-p1.html : golf de la Boulie / Il subsiste des plans de cette version dans le montage final, notamment un d'Olivier de Funès doublé en français, lorsqu'il décrit le voilier de Philippe à son père.

https://lehavreregards.com/cinema-au-havre-tournage.php?film=les-grandes-vacances

https://www.hisse-et-oh.com/tavern/voilier-dans-le-film-les-grandes-vacances

https://www.lieuxtournage.fr/4618-Les-grandes-vacances?de=16&compter=8&trierpar=9&trier=0

http://www.defunes.free.fr/html/rubrique-p/cine-p/pages/t-connus/grandes-vacances/lieux-vac-01.htm

Tournage[modifier | modifier le code]

  • durée
  • décors principaux (le pensionnat, situé dans l'intrigue près de Versailles)
  • ambiance, tournage en anglais
  • décors le long de la Seine
  • décor écossais/auvergnat

Le tournage des Grandes Vacances s'étend du au , occupant d'abord les studios de Boulogne puis, à partir de juillet, les studios d'Épinay, ainsi que de nombreux extérieurs[3],[4]. La scène du générique — le prétendu départ de Philippe pour l'Angleterre — est tournée à l'aéroport d'Orly-Sud[5],[6]. Malgré l'histoire, les prises de vues ont entièrement lieu en France[4], à l'instar de Fantomas contre Scotland Yard tourné peu avant. Le stratagème est d'ailleurs trahi dans la scène de la fête de Gretna Green par la présence de multiples véhicules au volant à gauche et conduisant à droite, omettant la particularité britannique[7]. Les scènes censées se dérouler en Écosse sont filmées en Auvergne[5],[4]. Le manoir de MacFarrell est en réalité le club-house de style anglo-normand du golf de La Boulie, à Versailles[7].



Vernon (Eure), château des Tourelles, base de loisirs nautiques du quartier de Vernonnet



France : Aéroport de Paris-Orly France : Château de Gillevoisin, Janville-sur-Juine (Essonne) France : Château des Tourelles, Vernon (Eure) France : Le Havre (Seine-Maritime) France : Le Mont-Dore (Puy-de-Dôme) France : Les Mureaux (Yvelines) France : Studio : Studios de Boulogne-Billancourt / SFP, Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine) France : Studio : Studios Eclair, Epinay-sur-Seine (Seine-Saint-Denis) France : Versailles (Yvelines)


Note : Ce phénomène de double tournage en français et en anglais concerne, au tournant des années 1970, plusieurs superproductions françaises parfois financées par des capitaux américains, dont Le Clan des Siciliens et Le Cerveau en 1968, Le Casse en 1971, Le Cercle rouge en 1970 et Un flic en 1972[9]. Le public américain rejetant le doublage, les distributeurs bénéficient ainsi d'une version directement dans la langue ou, au moins, d'images où le mouvement des lèvres des comédiens permet de réaliser plus discrètement une postsynchronisation en anglais[10].

https://www.association-patrimoines.fr/IMG/pdf/films_tournes_dans_l_eure.pdf : AMFREVILLE-SOUS LES-MONTS, POSES (aux écluses), Vernon (https://www.facebook.com/watch/?v=1282149088567820) + Saint-André-de-l'Eure pour Fantomas

https://actu.fr/normandie/vernon_27681/quand-louis-de-funes-etait-de-passage-a-vernon-pour-le-tournage-dun-film_57055536.html

La scène finale, du mariage, requiert un authentique pipe band écossais et la présence d'une large figuration.

Du 24 mai aux premiers jours de septembre, l’équipe alterne le studio (à Boulogne au début, à Epinay en juillet) et de longs exté¬ rieurs sur le plan d’eau des Mureaux, à Rouen, au Havre et en Auvergne. Car l’Ecosse du film est aux alentours du mont Dore et du puy de Sancy. C’est là qu’est tournée la fin du film, le banquet de mariage avec la réconciliation générale, une danse « écossaise » et l’ultime « allez vous coucher » signifié d’une mimique impérieuse à Christiane Muller par Louis de Funès. Or une autre fin a été écrite, pour laquelle avait été construit un monstre aquatique. En effet, le scénario original prévoit que MacFarrell et Bosquier, flottant chacun sur une cuve vide à la surface du whisky qui se déverse des citernes de la distillerie, sont emportés comme des fétus de paille lorsque les portes cèdent, au milieu de leur dispute. Ils partent à la dérive sur la rivière, qui se jette dans le célèbre Loch Ness. Voici ce que prévoit le scénario :

Accident[modifier | modifier le code]

Jean Falloux meurt le 2 septembre 1967 dans un accident d'avion sur le tournage du film Les Grandes Vacances de Jean Girault[11].

Le cascadeur s'était déjà illustré en posant un avion sur le toit d'une 4L l'année précédente[12].

Anne-Marie Peysson : le cascadeur Jean Falloux, ancien pilote de chasse devenu photographe et cascadeur, qui meurt le dans un accident d'avion lors d'un entraînement[13] sur le tournage du film Les Grandes Vacances de Jean Girault[14].

photo de l'avion écrasé dans un parc : https://www.amazon.fr/Vintage-Falloux-Stuntmanstunt-utilis%C3%A9-acteur/dp/B01GHQXKHU

Bande originale[modifier | modifier le code]

Accueil[modifier | modifier le code]

Box-office[modifier | modifier le code]

http://archives-box-office.eklablog.com/cote-officielle-1967-a180090644 : 5 185 685 entrées au bout d'un an

Accueil critique[modifier | modifier le code]

Un tableau listant plusieurs films. En face, de chaque titre, les évaluations de chacun des critiques. Ils peuvent noter « inutile de se déranger », « à voir à la rigueur », « à voir », « à voir absolument » ou « chef-d'œuvre ».
Les Grandes Vacances parmi les cotations du « Conseil des dix » des Cahiers du cinéma, tous affirmant qu'il est « inutile de se déranger ».

Les Grandes Vacances reçoit des critiques contrastées, bien que l'efficacité comique du film soit unanimement reconnue[15]. Le Figaro relève « les fâcheuses faiblesses du scénario »[15]. France-Soir évoque un « film gai et français (…) Peut-être pas de très grandes vacances, mais certainement une bonne petite détente »[15]. Dans Télérama, Claude-Jean Philippe note les manques du film et s'attarde sur la qualité du jeu de l'acteur principal, rejoignant sans le savoir les envies secrètes de l'intéressé : « Au fond, c'est un Molière qu'il lui faudrait. De Funès serait merveilleux en Harpagon, en Sganarelle et, pourquoi pas, en Alceste moderne »[15]. À l'instar de nombreux critiques de l'époque, Philippe s'attache à déceler la modernité du comique funésien : « D'une certaine manière, ces Grandes Vacances sont très révélatrices. Ce qui fait rire aujourd'hui, c’est le surmenage, la fuite en avant, le feu au derrière. Il faut voir de Funès s'agiter, sauter au volant de sa DS noire, régenter sa famille, son collège et sa domesticité (…) Il a découvert les immenses ressources comiques de la nervosité. Il s'arrête tous les quarts d'heure pour se faire masser le front par son épouse. Au fond, c'est drôle, on est venu se détendre pour voir un acteur se crisper à votre place »[16].

Très virulent envers chaque film de Louis de Funès, Jean-Louis Bory livre dans Le Nouvel Observateur une diatribe contre l'acteur et l'industrie du cinéma comique français en général, accusé d'être « commercial » et au service de l'ordre établi, en couplant sa critique avec celle du film Le Fou du labo 4 de Jacques Besnard avec Jean Lefebvre, jugé du même acabit : « Que « Le Fou du labo » soit de Jacques Besnard, Les Grandes Vacances de Jean Girault, vous pensez si tout le monde s'en moque. À commencer par Besnard et Girault. Ils sont là pour faire mousser deux produits : Lefebvre et de Funès (…) Films dont on dit qu'ils sont hilarants. Comme les gaz. Et qu'on projette, comme il est naturel, dans des chambres à gaz camouflées en salles de cinéma : les gens n'y voient que du feu et s'y précipitent, les malheureux. L'honnêteté oblige à reconnaître qu'ils en sortent. Mais dans quel état ! Anesthésies. Très exactement : tranquillisés — jusqu'à la prochaine séance, et voilà une bonne chose de faite. (…) Non au rêve. Oui à la grimace. Le comique tranquillisant, c'est ça et seulement ça. Une modification épidermique affectant les traits d'un certain visage, les déformant vers une immobilité expressive ou la surexpressivité. Le demeuré ou l'épileptique. La gelée de veau ou le fulminate. Lefebvre ou de Funès »[17]. Jean Narboni dans les Cahiers du cinéma estime que le film, « même si faible, facile et sans grand intérêt, témoigne de la part du tandem Girault-Vilfrid, d'un minimum d'ambition et de travail qui le sépare radicalement des basses œuvres de Besnard par exemple. De Funès, en proviseur de lycée inquiet, rigoriste et grincheux, y est un peu moins convaincant qu'à l'accoutumée, mais deux moments au moins sont curieux : une scène dans une boite à matelots du Havre, certainement influencée par Demy (couleurs, mise en place), et une inondation de whisky dans une distillerie écossaise peut-être en référence à Tashlin »[18].

ou cette partie pour l'analyse : "une scène dans une boite à matelots du Havre, certainement influencée par Demy (couleurs, mise en place), et une inondation de whisky dans une distillerie écossaise peut-être en référence à Tashlm."[18]

et la partie de Télérama sur l'air du temps dans le film et le jeu de Louis de Funès

Récompense[modifier | modifier le code]

"Le 22 octobre 1967 au soir, sur la première chaîne de télévision, l’animateur Guy Lux présente cinq extraits de films français qui doivent sortir quelque temps plus tard, raconte Nora Ferreira, directrice du musée Louis-De-Funès. Les téléspectateurs sont invités à voter par carte-réponse. Les résultats sont proclamés le 2 novembre: Les Grandes vacances obtient le premier Ticket d’or, décerné au nom de la Fédération nationale des cinémas français." http://varmatin.com/expos/ces-10-tresors-insolites-que-vous-pourrez-decouvrir-au-musee-de-funes-a-saint-raphael-401580

Postérité ?[modifier | modifier le code]

Autres films avec Jean Girault

Claude Gensac en épouse

Parmi les films qu'il a tourné, Les Grandes Vacances est le film préféré de Louis de Funès[19].

ou tout ça dans les parties développement et distribution

rue au nom de Louis de Funès sur un lieu de tournage : https://actu.fr/normandie/vernon_27681/quand-louis-de-funes-etait-de-passage-a-vernon-pour-le-tournage-dun-film_57055536.html

Analyse[modifier | modifier le code]

Les films de Louis de Funès, en particulier les premiers du Gendarme, le mettent souvent en scène en père de famille aux prises avec les volontés d'émancipation de ses enfants[b]. Le public y trouve un reflet de la société française bouleversée par l'émergence de la jeunesse dans les années 1960[b]. Inscrits dans le registre de la comédie familiale bon enfant, ses films ne montrent cependant qu'une jeunesse turbulente mais inoffensive (à l'exception peut-être des voyous new-yorkais volant l'entrecôte[c]), qui ne menace pas la société, et s'achèvent en plus sur un retour à l'ordre[b]. Le personnage de Nicole illustre ici le conflit entre générations[b]. Un même schéma narratif suit le personnage funésien du Gendarme de Saint-Tropez en 1964 jusqu'à L'Aile ou la Cuisse en 1976 : son fils ou sa fille lui cache une chose qu'il s'évertue à découvrir, tentant tant bien que mal de sauvegarder son contrôle parental qu'il pense remis en cause ; le père parvient finalement à résoudre la situation et rassoir son autorité, non sans compromis[b]. Comme dans le premier Gendarme où elle volait une voiture, Nicole bafoue encore l'autorité de son père par son voyage clandestin en outrepassant les ordres de la hiérarchie et même la loi[b]. Cruchot et sa fille s'associent ensuite pour réparer la faute en secret des autres gendarmes, la réputation de Cruchot étant en jeu[c]. Bien que l'obsession du père de surveiller et contrôler sa progéniture soit constamment ridiculisée dans les films funésiens, toute prise d'autonomie de celle-ci est montrée comme un échec[b]. La réalisation place toujours Cruchot au centre du cadre même si son monde et son autorité s'effondrent, tandis que les plans de Nicole, seule dans son périple clandestin, reflètent une situation précaire en étant toujours suivis de plans de figures répressives comme son père ou les autres gendarmes[b].

, à l'instar de l'escapade de son fils dans Les Grandes Vacances (1967)


[d] : « Les films français des années 1960 multiplient ainsi les références au yé-yé (Monsieur, Jean-Paul Le Chanois, 1964 ; Cent briques et des tuiles, Pierre Grimblat, 1964), mais en en faisant très rarement leur matière narrative. La présence de la musique des idoles, françaises ou britanniques, reste le plus souvent l’occasion d’un simple clin d’œil ou d’un effet visuel. C’est le cas pour la bande de mods anglais décimée par Lino Ventura dans Ne nous fâchons pas (Georges Lautner, 1966) ; ou encore pour la scène de danse du « madison » dans un café dans Bande à part (Jean-Luc Godard, 1964). Le yéyé n’a ici de valeur cinématographique qu’en tant qu’ambiance, lors d’une scène de concert à l’Olympia (Les grandes vacances, Jean Girault, 1967) ou d’une séquence de fête ou de dancing (Les tontons flingueurs, Georges Lautner, 1963 ; L’âge ingrat, Gilles Grangier, 1963 ; Tendre voyou, Jean Becker, 1966). Cette présence est aussi discrète à l’écran qu’écrasante sur la bande-son. En effet, tous les compositeurs français de la période adaptent leur style au yé-yé, de Michel Legrand à Georges Garvarentz, de Michel Magne à Raymond Lefèvre. Même le très classique Georges Delerue s’accorde aux mélodies du Swinging London pour composer la musique du Cerveau (Gérard Oury, 1970). »

  1. Dicale 2009, p. 336.
  2. a et b Thibaut Bruttin, « De Funès-Girault : le moteur et le frein », dans Alain Kruger (dir.), Louis de Funès, à la folie : exposition du 15 juillet 2020 au 30 mai 2021, Paris, La Martinière / Cinémathèque française, coll. « Art et spectacle », (ISBN 978-2-7324-9145-5), p. 144-153.
  3. Les Grandes Vacances sur le site Ciné-Ressources (Cinémathèque française), rubrique Tournage, consulté le .
  4. a b et c Dicale 2009, p. 338.
  5. a et b « Les Grandes Vacances (1967) », sur l2tc.com (consulté le ).
  6. « Aéroport de Paris-Orly — Médias, 1967 à 1969 », sur aeroport-paris-orly.com, .
  7. a et b Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Erreurs
  8. « CA S'EST TOURNE PRES DE CHEZ VOUS », sur filmfrance.net (consulté le ).
  9. Philippe Lombard, « Le Clan des Siciliens (1969) », sur histoiresdetournages.devildead.com, (consulté le ).
  10. Philippe Lombard, « Bernard Stora », Interviews, sur histoiresdetournages.devildead.com, (consulté le ).
  11. Laurent Ruquier, Radiographie : Biographie, pensées et répliques, Le Cherche midi, , 130 p. (ISBN 2749120705 et 9782749120706, lire en ligne)
  12. « Atterrissage sur mesure » [vidéo], sur ina.fr, ORTF, émission Les Coulisses de l'exploit, .
  13. L'Écho républicain de la Beauce et du Perche, 4 septembre 1967 : « C'est au cours d'un simple vol d'entraînement que le mari d'Anne-Marie Peysson est mort samedi soir. De son avion un Stamp, on devait aussi retirer le corps d'un de ses amis, M. Antoine Lescat, un garagiste des Thilliers-en-Vexin, père de 5 enfants. De nombreux témoins virent l'appareil exécuter des acrobaties dans un mugissement de moteur poussé à plein régime. Durant une bonne partie de l'après-midi, les rase-mottes succédèrent ainsi aux loopings mettant à rude épreuve le petit appareil. Puis, ce fut la catastrophe. L'avion s'est écrasé dans un parc. »
  14. Laurent Ruquier, Radiographie : Biographie, pensées et répliques, Le Cherche midi, , 130 p. (ISBN 978-2-7491-2070-6 et 9782749120706, présentation en ligne)
  15. a b c et d Dicale 2009, p. 344.
  16. Dicale 2009, p. 299.
  17. Dicale 2009, p. 298.
  18. a et b Jean Narboni, « Les Grandes Vacances », Cahiers du cinéma, no 197,‎ noël 1967-janvier 1968, p. 94 (lire en ligne).
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