Sollacaro

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Sollacaro
Sollacaro
Vue générale du centre du village.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Collectivité territoriale unique Corse
Circonscription départementale Corse-du-Sud
Arrondissement Sartène
Intercommunalité Communauté de communes du Sartenais-Valinco
Maire
Mandat
Jean-Jacques Bartoli
2020-2026
Code postal 20140
Code commune 2A284
Démographie
Gentilé Sollacarais
Population
municipale
369 hab. (2021 en augmentation de 4,83 % par rapport à 2015)
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 41° 44′ 42″ nord, 8° 54′ 46″ est
Altitude 450 m
Min. 0 m
Max. 814 m
Superficie 23,89 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Propriano
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Taravo-Ornano
Localisation
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Sollacaro
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Sollacaro
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Sollacaro

Sollacaro est une commune française dans la circonscription départementale de la Corse-du-Sud et le territoire de la collectivité de Corse.

Géographie[modifier | modifier le code]

Géographie physique[modifier | modifier le code]

À vol d'oiseau, Sollacaro est à 25 km au sud-est de la préfecture Ajaccio, 14 km au nord de la sous-préfecture Sartène et 8 km au sud-ouest de Petreto-Bicchisano[1], les distances par la route sont presque doublées[2].

Sollacaro depuis le chemin de Tabio, au sud-ouest..
Sollacaro depuis le chemin de Tabio, au sud-ouest..

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le village est situé à 450 m d'altitude dans la vallée du Taravo, en grande partie sur le versant nord-ouest d'une colline, orientation qui le prive du soleil matinal[3], les quartiers historiques et en particulier la tour (Torre) sont situés sur un éperon rocheux et bénéficient du soleil des 8 h en été.

La colline est située entre les RD 302 et 157A d'un côté et la RN 196 de l'autre côté. Il est traversé par la route départementale 302 qui relie le col de Celaccia à Pisciatello (près d'Ajaccio) par Pila-Canale.

Sismicité[modifier | modifier le code]

Commune située dans une zone de sismicité 1.

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[4] :

  • fleuve le taravo,
  • ruisseaux de petrera, de barcajolo, de candoli, de favale.

Sollacaro dispose d'une station d'épuration d'une capacité de 1000 équivalent-habitants[5].

Climat[modifier | modifier le code]

Climat méditerranéen classé Csb dans la classification de Köppen et Geiger[6].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

En contrebas, sur la RD 57, en direction de Porto Polo, se situent les hameaux de Calvese et, à quelques kilomètres, de Filitosa. Tous deux appartiennent à la commune.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Lignes SNCF[modifier | modifier le code]

Ports[modifier | modifier le code]

  • Le port de Propriano.
  • Le port d'Ajaccio Tino-Rossi[8].

Transports aériens[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Sollacaro est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Propriano, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (49,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (48,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (42,9 %), zones agricoles hétérogènes (37,3 %), prairies (10,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,4 %), terres arables (1,5 %), zones urbanisées (1 %)[14].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire et proto-histoire[modifier | modifier le code]

Figure mégalithique à Filitosa.

L'occupation humaine est attestée dans la vallée du Taravo dès la fin du néolithique et le début de l'âge du bronze. Sur le site archéologique de Filitosa, dans la commune de Sollacaro sur une butte en surplomb de la vallée, ont été trouvées des pointes flèches et de la poterie datant d'environ 3300 avant notre ère. Des statues-menhirs humaines de deux à trois mètres de haut, représentant des visages, armures et épées courtes, y ont été érigés vers 1500 à 1300 avant notre ère, comme gardiens probables surveillant une invasion imminente.

Selon la théorie de Roger Grosjean, archéologue responsable des fouilles systématiques organisées depuis 1954, les Shardanes ou les Torréens, l'un des Peuples de la mer qui déferlent sur les côtes méditerranéennes achevant l'Empire hittite et menaçant l'Égypte antique, envahissent le Sud de la Corse et la Sardaigne.

À Filitosa, les statues-menhirs seront parfois réutilisées comme matériau de construction dans de grandes constructions circulaires, les torre, autour desquelles ont été construites des agglomérations néolithiques fortifiées (castelli).

Du Moyen Âge à l'époque moderne[modifier | modifier le code]

La construction du village en hauteur, caché de la mer, participe d'une tendance générale en Corse du VIIIe au XVIe siècle afin de se protéger des « pirates barbaresques » qui assaillent les côtes. La construction centrale est une maison forte du XVIe siècle, œuvre d'une famille de notables qui domine alors la Corse, les Colonna d'Istria[16].

Jusqu'à leur réunion dans la commune de Sollacaro en 1853, Sollacaro et Calvese appartiennent à la pieve d'Istria, un découpage administratif antérieur au XIe siècle permettant un mode de vie autarcique[16] .

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1800. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].

En 2021, la commune comptait 369 habitants[Note 3], en augmentation de 4,83 % par rapport à 2015 (Corse-du-Sud : +6,69 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851 1856
559536448607615685762706906
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 0201 0501 1031 0271 0241 0991 1591 3411 494
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 4331 2591 2861 2921 0781 056754657485
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018
448355290324326340344347369
2021 - - - - - - - -
369--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[20].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 18,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 45,0 % la même année, alors qu'il est de 30,2 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 179 hommes pour 190 femmes, soit un taux de 51,49 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,7 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[21]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,1 
10,6 
75-89 ans
15,3 
32,4 
60-74 ans
28,4 
24,0 
45-59 ans
21,1 
14,5 
30-44 ans
14,2 
6,1 
15-29 ans
11,1 
11,2 
0-14 ans
7,9 
Pyramide des âges du département de la Corse-du-Sud en 2020 en pourcentage[22]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,8 
9,6 
75-89 ans
11,4 
18,7 
60-74 ans
19 
21,4 
45-59 ans
20,6 
18,9 
30-44 ans
19,4 
14,1 
15-29 ans
13 
16,5 
0-14 ans
14,8 

Structure de la population[modifier | modifier le code]

Malgré sa proximité du littoral, Sollacaro partage avec la plupart des communes rurales de l'intérieur un exode important jusque dans les années 1980[23] avec un solde migratoire de l'ordre de -10‰ entre 1968 et 1982. Depuis, cette tendance s'est inversée avec un solde migratoire de 15‰ sur la période 1990-1990, compensant le solde naturel de -14‰. Ainsi, passant de 448 à 290 habitants en 14 ans (1968–1982), la population s'est stabilisée autour de 324 habitants depuis 1990[24]. Cet inversement de tendance est surtout observé dans le voisinage des grandes villes Ajaccio et Bastia : dans un phénomène de rurbanisation, on assiste au retour des retraités et de certains actifs dans les villages. L'effet reste faible à Sollacaro en raison de sa distance à ces agglomérations[23]. De fait, seuls 44 % des nouveaux arrivants de la décennie 1990-1999 proviennent de la région ; 54 % habitaient en France métropolitaine en 1990. Sept venus de métropole sur dix sont des retraités (44 %) ou d'autres inactifs (28 %)[25], revenant dans leur village d'origine après une carrière professionnelle hors de Corse.[réf. nécessaire]

La population actuelle est particulièrement âgée, les personnes de 60 ans et plus comptant pour près de la moitié (46 %). Cela explique le solde naturel fortement négatif : le taux de natalité est faible (5‰) et celui de mortalité, élevé (19‰)[26].

Après une chute importante de 1968 à 1982 en corollaire de l'exode, le nombre de résidences principales est remonté en 1999 près de son niveau d'origine, avec 2,1 personnes par résidence. Le nombre de résidences secondaires a fortement augmenté au cours de toute la période et dépasse actuellement le nombre de résidences principales[24]. Cela est grande partie lié à l'habitude des anciens Sollacarais d'y conserver une résidence secondaire[27]. Seules deux résidences principales sur dix sont occupées par un locataire (21 %), sept sur dix (72 %) par leur propriétaire et 7 % à titre gratuit[28] ; plus de neuf sur dix (92 %) sont des maisons individuelles dont le nombre médian de pièces est 3[29] et dont la date de construction date d'avant 1949 (pour 75 %)[30].

En 1999, moins de trois habitants de plus de 15 ans sur dix (28 %) exercent une activité professionnelle : 35 % sont retraités, 6 % à la recherche d'emploi et 31 % sont d'autres inactifs[31], qui sont essentiellement des femmes (75 %)[32] et des étudiants[31]. Le taux de chômage est élevé (16 %), surtout chez les hommes (19 %)[33], et deux chercheurs d'emploi sur trois sont chômeurs de longue durée[34]

Les agriculteurs ne représentent plus que 8 % de la population totale et 20 % des actifs, contre 13 % et 48 % respectivement 9 ans plus tôt ; les artisans et commerçants ne représentent plus que 12 % des actifs ayant un emploi soit une baisse du tiers depuis 1990[31]. La catégorie socio-professionnelle la plus représentée, avec quatre personnes ayant un emploi sur dix, est formée par les employés (38 % des actifs), suivie par les agriculteurs (20 %) puis les professions intermédiaires (19 %)[35],[31]. La diminution des occupations locales (artisanat, commerce, agriculture) s'accompagne par une augmentation du nombre de personnes travaillant à l'extérieur : six personnes sur dix exercent leur activité dans une autre commune (+ 85 % en 9 ans)[36]. Le mode de transport prépondérant est la voiture particulière (85 % des personnes avec un emploi)[37]. En 1999, tous les salariés sont employés à temps plein, près de la moitié (46 %) sont titulaires de la fonction publique, la même proportion d'un contrat à durée indéterminée, et un peu moins d'un sur dix (8 %) a un emploi subventionné.

Les étrangers représentent 1,8 % de la population ; sept habitants sur dix (71 %) sont nés en Corse, ce chiffre tombe à 55 % chez les 25-59 ans[35], tranche d'âge correspondant à l'exode le plus important (des années 1950 aux années 1970) : de nombreux Corses partent travailler en métropole lors des Trente Glorieuses.[réf. nécessaire]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Le fait que de nombreux jeunes suivent leurs études hors de la commune ou sur le continent a eu des conséquences au niveau de l'école primaire du village passant 150 élèves en 1945 à 8 en 1983. Elle a un temps été regroupée avec celle de la commune voisine de Casalabriva (une année sur deux à Sollacaro). Le renouveau démographique a permis au village de récupérer une école à temps plein : elle compte actuellement une vingtaine d'élèves[16].

Le nombre de personnes de plus de 15 ans non scolarisée sans aucun diplôme a diminué de moitié de 1990 à 1999, passant à 22 %. 16 % disposent d'un diplôme équivalent au baccalauréat, au brevet professionnel ou supérieur[38].

Établissements d'enseignements[39] :

  • Écoles maternelles à Olmeto, Pila-Canale, Viggianello,
  • Écoles à Sollacaro,
  • Collèges à Petreto-Bicchisano, Propriano,
  • Lycées à Sartène.

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[40] :

  • Médecin à Olmeto,
  • Pharmacie à Olmeto,
  • Hôpital à Sartène.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

L'économie est dominée par le secteur tertiaire avec trois quarts des emplois (74 %), avec une part significative pour le secteur primaire (20 %). La construction et l'industrie ne comptent que pour 6 %[42]. Le chômage est élevé (16 % en 1999)[33] et comparable à la moyenne de la région (17,6 % en 2004, 12,9 % au niveau français)[43] ; le revenu moyen par ménage est de 87 % de la moyenne corse (9 742 € en 2004, 65 % du revenu moyen français)[44],[43].

Production[modifier | modifier le code]

Tourisme[modifier | modifier le code]

Malgré sa proximité au littoral et le site archéologique de Filitosa, la part du tourisme dans l'économie de la commune reste limitée : en 2003, la commune ne compte aucune place de camping et aucune chambre d'hôtel classée[36].

Toutefois, Sollacaro offre plusieurs possibilités d'hébergements en gîtes et chambres d'hôtes, classés auprès des Gites de France Corse.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1865 1935 Célestin Caïtucoli    
1965 1971 Charles Colonna d'Istria[45]    
1971 198? Paul Lorenzi    
1983 2014 Alexandre Mondoloni Apparenté PCF  
2014 En cours Jean-Jacques Bartoli   Professeur des écoles

Budget et fiscalité 2017[modifier | modifier le code]

En 2017, le budget de la commune était constitué ainsi[46] :

  • total des produits de fonctionnement : 526 000 , soit 149  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 389 000 , soit 1 102  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 901 000 , soit 2 551  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 155 000 , soit 439  par habitant ;
  • endettement : 453 000 , soit 1 283  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 13,37 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 9,39 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2016 : médiane en 2016 du revenu disponible, par unité de consommation[47].

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Commune membre de la Communauté de communes du Sartenais-Valinco.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Sites archéologiques :
  • Patrimoine religieux :
  • Patrimoine civil :
    • Pisciaredda- fontaine construite en 1869.
    • Serra-di-Ferro pont Caitucoli sur le Taravo.
    • Mairie-école[56].
    • Maisons de notables.
    • Maisons fortes.
    • Monuments aux morts - Architecte Ph. Poggionovo[57].
    • Buste de Célestin Caitucoli - Ancien maire de Sollacaro[58].
    • Plaque commémorative Paul Poggionovo.

Photos[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Données à vol d'oiseau du site http://www.lion1006.com : [1], [2] et [3]
  2. Distances par la route du site http://www.viamichelin.fr [4], [5] [6]
  3. Vue satellite
  4. L'eau dans la commune
  5. Description de la station
  6. Table climatique
  7. Réseau de transports en commun
  8. Port d'Ajaccio Tino-Rossi
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Pleyben - Châteaulin », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  16. a b et c Le village
  17. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  18. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  19. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  21. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Sollacaro (2A284) », (consulté le ).
  22. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Corse-du-Sud (2A) », (consulté le ).
  23. a et b L'évolution démographique et économique constatée à Sollacaro se retrouve-t-elle ailleurs en Corse ?
  24. a et b INSEE, Sollacaro : évolution démographique 1968-2006
  25. INSEE, Migrations (caract socio-économique selon le lieu de résidence au 01/01/90)
  26. INSEE, Sollacaro : population par âge et par sexe (5 classes d'âge) et Sollacaro : population par âge et par sexe (âge quinquennal)
  27. Sollacaro : démographie
  28. INSEE, Sollacaro : Logement : les occupants (site web indisponible en ce moment)
  29. INSEE, Sollacaro : caractère des résidences principales selon le nombre de pièces (site web indisponible)
  30. INSEE, Sollacaro : Logements par catég selon l’époque d’achèvement (site web indisponible)
  31. a b c et d INSEE, Sollacaro : CSP
  32. INSEE, Population de 15 ans ou plus par sexe, âge et type d’activité.
  33. a et b INSEE, Population active par sexe, âge et type d’activité (site web indisponible)
  34. INSEE, Sollacaro : Chômeurs selon l’ancienneté de la recherche d’un emploi
  35. a et b INSEE, Sollacaro : recensement de la population. La population active utilisée pour le calcul des pourcentages est celle donnée précédemment (98).
  36. a et b Les actifs selon le recensement de l'INSEE
  37. INSEE, Sollacaro : Emploi
  38. INSEE, Sollacaro : Formation : scolarisation et diplômes (site web non disponible)
  39. Établissements d'enseignements
  40. Professionnels et établissements de santé
  41. Ensemble interparoissial de Propriano et Olmeto
  42. INSEE, Sollacaro : Population active ayant un emploi par sexe et statut selon l’activité économique (site web indisponible)
  43. a et b Corse sur le site du Journal du Management
  44. Sollacaro sur le site du Journal du Management
  45. a et b Charles Colonna d'Istria sur http://www.ordredelaliberation.fr
  46. Les comptes de la commune
  47. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  48. « Site préhistorique de Filitosa », notice no PA00099120, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  49. « Site préhistorique I Callanchi - Saparata Alta », notice no PA00099132, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  50. Dolmen du Tarava
  51. « Ancienne église paroissiale de Saint-Albert de Calvese », notice no PA2A000012, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. « église Saint-Albert », notice no IA2A000676, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  53. « église paroissiale de l'Assomption », notice no IA2A000675, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  54. « Chapelle Saint-Roch », notice no IA2A000677, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  55. « Ancienne chapelle Saint-Laurent », notice no IA2A000678, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  56. « Mairie-école », notice no IA2A000679, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  57. « monument aux morts de la guerre 1914-1918 », notice no IA2A000680, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  58. « monument de Célestin Caïtucoli », notice no IA2A000681, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  59. Plaque commémorative
  60. « Célestin,Marc CAÏTUCOLI », sur assemblee-nationale.fr (consulté le ).
  61. Plaque en son honneur
  62. Photo de Paul Poggionovo hissant le drapeau français au palais Farnèse à Rome le 5 juin 1944
  63. Article sur Paul Poggionovo paru le 30 novembre 1956 dans le journal "La Marseillaise" à l'occasion du rattachement de la Corse à la France

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

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Liens externes[modifier | modifier le code]